International -News
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Re: International -News
Israël accueillera l'EURO M21 en 2013
Israël a été choisi pour organiser le Championnat d'Europe des moins de 21 ans de l'UEFA en 2013, à l'issue de la première journée du Comité exécutif de l'UEFA, à Nyon (Suisse).
Le Comité exécutif de l'UEFA a clos aujourd'hui la première journée de sa première réunion de 2011 sous la conduite du Président de l'UEFA, Michel Platini.
Le premier point à l'ordre du jour a été le vote, par les membres autorisés du Comité exécutif, pour désigner l'organisateur du tour final du Championnat d'Europe des moins de 21 ans de l'UEFA 2011-13. Israël a remporté le scrutin et accueillera le tour final.
Cinq associations avaient déposé leur candidature: Bulgarie, République tchèque, Angleterre, Israël et Pays de Galles.
Le tirage au sort de la phase de qualification du Championnat d'Europe des moins de 21 ans de l'UEFA 2011-13 se déroulera à la Maison du football européen, à Nyon, jeudi 3 février 2011, à 12h00 (HEC).
La réunion du Comité exécutif se poursuit aujourd’hui. Elle commencera par la visite de la commissaire européenne pour l'Éducation, la Culture, le Multilinguisme et la Jeunesse, Androulla Vassiliou. Cette rencontre fait suite à la communication de la Commission européenne sur le sport, publiée le 18 janvier.
>>>source<<<
Le boycott commencera bientôt.
amcum_ni- Messages : 4575
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Re: International -News
Bien avant, certains joueront mieux l’élimination que la qualif...........et comme ça la question du boycott ne se posera plus !amcum_ni a écrit:Israël accueillera l'EURO M21 en 2013
Israël a été choisi pour organiser le Championnat d'Europe des moins de 21 ans de l'UEFA en 2013, à l'issue de la première journée du Comité exécutif de l'UEFA, à Nyon (Suisse).
Le Comité exécutif de l'UEFA a clos aujourd'hui la première journée de sa première réunion de 2011 sous la conduite du Président de l'UEFA, Michel Platini.
Le premier point à l'ordre du jour a été le vote, par les membres autorisés du Comité exécutif, pour désigner l'organisateur du tour final du Championnat d'Europe des moins de 21 ans de l'UEFA 2011-13. Israël a remporté le scrutin et accueillera le tour final.
Cinq associations avaient déposé leur candidature: Bulgarie, République tchèque, Angleterre, Israël et Pays de Galles.
Le tirage au sort de la phase de qualification du Championnat d'Europe des moins de 21 ans de l'UEFA 2011-13 se déroulera à la Maison du football européen, à Nyon, jeudi 3 février 2011, à 12h00 (HEC).
La réunion du Comité exécutif se poursuit aujourd’hui. Elle commencera par la visite de la commissaire européenne pour l'Éducation, la Culture, le Multilinguisme et la Jeunesse, Androulla Vassiliou. Cette rencontre fait suite à la communication de la Commission européenne sur le sport, publiée le 18 janvier.
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Le boycott commencera bientôt.
les tubes digestifs en premier rang .............
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Re: International -News
En Amical
Roumanie - Ukraine (2:2)
***
Côte d'Ivoire - Mali(1-0)
****
Chypre - Suède (0:2
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Re: International -News
La France s'offre le Brésil
L'équipe de France de Laurent Blanc a passé avec brio le deuxième gros test de sa jeune existence en dominant 1-0 un Brésil réduit à dix juste avant la pause, en match amical mercredi au Stade de France, une nouvelle victoire de prestige après celle ramenée d'Angleterre en novembre.
Certes, ce cinquième succès d'affilée pour le sélectionneur doit être nuancé, la seleçao ayant été en infériorité numérique juste avant la pause avec l'exclusion de Hernanes pour un très vilain geste sur Benzema (40e). Mais même si ce classique du football international, qui charriait ses promesses de spectacle, de buts et de gestes techniques enlevés, n'a pas été du niveau souhaité, Blanc repart du SDF avec des certitudes et une bien meilleure idée du potentiel de ses troupes.
A la décharge des deux équipes, la pelouse, totalement délabrée par les rugbymen français, samedi contre l'Ecosse, n'offrait pas la possibilité de déployer du beau jeu malgré de bonnes intentions des deux côtés. Ce France-Brésil, au contraire des derniers rendez-vous entre les deux nations, ne restera donc pas dans les annales.
Mais l'essentiel est ailleurs pour Blanc tout à son entreprise de reconstruction des Bleus après le fiasco du Mondial-2010 et qui ne peut que goûter un résultat qui lui fait gagner beaucoup du temps.
L'affiche était en effet attendue comme un test grandeur nature, le succès de novembre en Angleterre (2-1) ayant été obtenu face à une formation dépourvue de ses principales vedettes. Avec le Brésil, le technicien français savait qu'il aurait forcément droit à une opposition beaucoup plus consistante. Si le carton rouge adressé à Hernanes a quelque peu faussé la donne, les motifs d'encouragement et de satisfaction ne vont pas manquer côté tricolore.
Benzema envoie un signe fort
Il y a d'abord le but de Benzema, son 12e en 33 sélections. Le Madrilène a profité d'un travail titanesque de Ménez sur le côté droit pour tromper Julio Cesar (54e) et se positionner plus que jamais comme le buteur attitré de l'ère Blanc (4 buts). En difficulté au Real Madrid et snobé par son entraîneur José Mourinho, l'ancien Lyonnais a envoyé un signe fort à son club et justifié la confiance de Blanc.
Benzema aurait même pu tuer le match à plusieurs reprises sans les arrêts réflexes de grande classe du gardien brésilien (56e, 62e).
Autre bonne nouvelle pour Blanc, la solidité affichée par son arrière-garde. Hormis lors du voyage en Angleterre, la charnière Mexès-Rami n'avait jusque-là pas été confrontée à des adversaires de niveau mondial. Avec Pato et Robinho, le duo a été cette fois servi mais a montré un potentiel jusque-là méconnu. Mexès, déjà excellent à Wembley, a d'ailleurs sans doute disputé son meilleur match en bleu, montrant une autorité et une belle sûreté dans les contacts.
En l'absence de Nasri, blessé, Gourcuff a lui aussi rendu une copie propre malgré quelques déchets techniques. Si sa passe en profondeur en or n'a pas été exploitée par Benzema en première période (9e), il s'est ainsi offert un bon bol d'air alors qu'il connaît des difficultés d'adaptation à Lyon.
Blanc souhaitait que sa formation déploie du jeu et reste fidèle à sa philosophie. Avec Gourcuff à la baguette, les Bleus ont tenté de respecter à la lettre cette exigence même si le début de match a été assez laborieux. La patte Laurent blanc se fait donc de plus en plus sentir sur cette équipe, qui a parfaitement lancé son année 2011 et préparé de la meilleure des manières la reprise de la campagne qualificative pour l'Euro, le 25 mars au Luxembourg.
Fifa.com (10/02/2011)
L'équipe de France de Laurent Blanc a passé avec brio le deuxième gros test de sa jeune existence en dominant 1-0 un Brésil réduit à dix juste avant la pause, en match amical mercredi au Stade de France, une nouvelle victoire de prestige après celle ramenée d'Angleterre en novembre.
Certes, ce cinquième succès d'affilée pour le sélectionneur doit être nuancé, la seleçao ayant été en infériorité numérique juste avant la pause avec l'exclusion de Hernanes pour un très vilain geste sur Benzema (40e). Mais même si ce classique du football international, qui charriait ses promesses de spectacle, de buts et de gestes techniques enlevés, n'a pas été du niveau souhaité, Blanc repart du SDF avec des certitudes et une bien meilleure idée du potentiel de ses troupes.
A la décharge des deux équipes, la pelouse, totalement délabrée par les rugbymen français, samedi contre l'Ecosse, n'offrait pas la possibilité de déployer du beau jeu malgré de bonnes intentions des deux côtés. Ce France-Brésil, au contraire des derniers rendez-vous entre les deux nations, ne restera donc pas dans les annales.
Mais l'essentiel est ailleurs pour Blanc tout à son entreprise de reconstruction des Bleus après le fiasco du Mondial-2010 et qui ne peut que goûter un résultat qui lui fait gagner beaucoup du temps.
L'affiche était en effet attendue comme un test grandeur nature, le succès de novembre en Angleterre (2-1) ayant été obtenu face à une formation dépourvue de ses principales vedettes. Avec le Brésil, le technicien français savait qu'il aurait forcément droit à une opposition beaucoup plus consistante. Si le carton rouge adressé à Hernanes a quelque peu faussé la donne, les motifs d'encouragement et de satisfaction ne vont pas manquer côté tricolore.
Benzema envoie un signe fort
Il y a d'abord le but de Benzema, son 12e en 33 sélections. Le Madrilène a profité d'un travail titanesque de Ménez sur le côté droit pour tromper Julio Cesar (54e) et se positionner plus que jamais comme le buteur attitré de l'ère Blanc (4 buts). En difficulté au Real Madrid et snobé par son entraîneur José Mourinho, l'ancien Lyonnais a envoyé un signe fort à son club et justifié la confiance de Blanc.
Benzema aurait même pu tuer le match à plusieurs reprises sans les arrêts réflexes de grande classe du gardien brésilien (56e, 62e).
Autre bonne nouvelle pour Blanc, la solidité affichée par son arrière-garde. Hormis lors du voyage en Angleterre, la charnière Mexès-Rami n'avait jusque-là pas été confrontée à des adversaires de niveau mondial. Avec Pato et Robinho, le duo a été cette fois servi mais a montré un potentiel jusque-là méconnu. Mexès, déjà excellent à Wembley, a d'ailleurs sans doute disputé son meilleur match en bleu, montrant une autorité et une belle sûreté dans les contacts.
En l'absence de Nasri, blessé, Gourcuff a lui aussi rendu une copie propre malgré quelques déchets techniques. Si sa passe en profondeur en or n'a pas été exploitée par Benzema en première période (9e), il s'est ainsi offert un bon bol d'air alors qu'il connaît des difficultés d'adaptation à Lyon.
Blanc souhaitait que sa formation déploie du jeu et reste fidèle à sa philosophie. Avec Gourcuff à la baguette, les Bleus ont tenté de respecter à la lettre cette exigence même si le début de match a été assez laborieux. La patte Laurent blanc se fait donc de plus en plus sentir sur cette équipe, qui a parfaitement lancé son année 2011 et préparé de la meilleure des manières la reprise de la campagne qualificative pour l'Euro, le 25 mars au Luxembourg.
Fifa.com (10/02/2011)
Re: International -News
Ronaldo et Messi au rendez-vous
L'Argentine a battu le Portugal (2-1) mercredi à Genève à l'occasion d'un match amical de bon niveau marqué par le duel qui a tenu ses promesses entre Cristiano Ronaldo, le Madrilène, et Lionel Messi, le Barcelonais qui a donné la victoire sur penalty à l'Albiceleste.
Les deux derniers Ballon d'or, qui ont inscrit chacun 24 buts en Liga cette saison, étaient attendus au tournant: ils ont répondu présent en étant impliqués dans la plupart des actions dangereuses de leurs équipes.
Messi, aligné en pointe, a contribué à l'ouverture du score par Angel Di Maria en adressant une judicieuse passe décisive après s'être joué des défenseurs portugais Bruno Alves, Rolando et Joao Pereira (14).
Ronaldo, capitaine du Portugal, a quant à lui égalisé sept minutes plus tard en reprenant à bout portant un centre délivré de la gauche par Joao Moutinho, dévié de la tête par Hugo Almeida qui devançait Nicolas Burdisso, statique sur l'action (21).
En toute fin de partie, Messi a donné l'avantage à l'Argentine en transformant un penalty accordé pour une faute de Fabio Coentrao sur Juan Manuel Martinez (89).
Sur l'ensemble de la première période, Leo Messi s'est montré plus actif dans le jeu, sollicitant souvent le ballon, distribuant et remisant. Dès la 7e minute, Messi, de la tête, manquait le cadre de justesse.
Sur un une-deux avec Banega, le joueur du Barça était difficilement stoppé par la sortie du gardien Eduardo (18).
De son côté, Cristiano Ronaldo a sans doute été moins présent dans le jeu mais toujours menaçant aux avant-postes. Après avoir égalisé, le Madrilène manquait de justesse de donner l'avantage à son équipe mais son tir était détourné par Romero (24).
Position incroyable
Avant de laisser sa place à l'heure de jeu à Danny, le Madrilène s'est encore illustré à trois reprises.
Almeida envoyait de la tête au dessus à la réception d'un centre de la gauche de Ronaldo (46). Ronaldo tirait au dessus après que Romero a difficilement détourné une reprise de la tête d'Almeida (49). Ce dernier manquait le cadre malgré une position incroyable sur un ultime centre de la gauche du joueur du Real (59).
De son côté, Messi, resté sur le terrain jusqu'au bout, a continué à être menaçant sur un coup franc sur lequel Eduardo intervenait difficilement (55).
Sur coup franc, Messi déposait le ballon sur la tête de Javier Pastor qui trouvait la transversale (85).
Sur d'autres actions, l'une ou l'autre équipe aurait également pu marquer.
Ainsi, pour le Portugal, Cambiasso manquait de peu de marquer d'entrée contre son camp (2) alors que Romero ne pouvait se saisir d'un centre d'Almeida (19). Le gardien argentin devait aussi sortir dans les pieds de ce dernier (36).
Pour les Sud-américains, Ezequiel Lavezzi envoyait au dessus après un centre de la gauche (40) avant qu'un coup franc joué par Ever Banega ne passe de peu à côté (42).
Une reprise de la tête de Marcos Rojo frôlait le poteau après un centre délivré de la droite par Lavezzi (72) laissant une impression favorable pour une rencontre agréable à suivre.
Fifa.com (10/02/2011)
L'Argentine a battu le Portugal (2-1) mercredi à Genève à l'occasion d'un match amical de bon niveau marqué par le duel qui a tenu ses promesses entre Cristiano Ronaldo, le Madrilène, et Lionel Messi, le Barcelonais qui a donné la victoire sur penalty à l'Albiceleste.
Les deux derniers Ballon d'or, qui ont inscrit chacun 24 buts en Liga cette saison, étaient attendus au tournant: ils ont répondu présent en étant impliqués dans la plupart des actions dangereuses de leurs équipes.
Messi, aligné en pointe, a contribué à l'ouverture du score par Angel Di Maria en adressant une judicieuse passe décisive après s'être joué des défenseurs portugais Bruno Alves, Rolando et Joao Pereira (14).
Ronaldo, capitaine du Portugal, a quant à lui égalisé sept minutes plus tard en reprenant à bout portant un centre délivré de la gauche par Joao Moutinho, dévié de la tête par Hugo Almeida qui devançait Nicolas Burdisso, statique sur l'action (21).
En toute fin de partie, Messi a donné l'avantage à l'Argentine en transformant un penalty accordé pour une faute de Fabio Coentrao sur Juan Manuel Martinez (89).
Sur l'ensemble de la première période, Leo Messi s'est montré plus actif dans le jeu, sollicitant souvent le ballon, distribuant et remisant. Dès la 7e minute, Messi, de la tête, manquait le cadre de justesse.
Sur un une-deux avec Banega, le joueur du Barça était difficilement stoppé par la sortie du gardien Eduardo (18).
De son côté, Cristiano Ronaldo a sans doute été moins présent dans le jeu mais toujours menaçant aux avant-postes. Après avoir égalisé, le Madrilène manquait de justesse de donner l'avantage à son équipe mais son tir était détourné par Romero (24).
Position incroyable
Avant de laisser sa place à l'heure de jeu à Danny, le Madrilène s'est encore illustré à trois reprises.
Almeida envoyait de la tête au dessus à la réception d'un centre de la gauche de Ronaldo (46). Ronaldo tirait au dessus après que Romero a difficilement détourné une reprise de la tête d'Almeida (49). Ce dernier manquait le cadre malgré une position incroyable sur un ultime centre de la gauche du joueur du Real (59).
De son côté, Messi, resté sur le terrain jusqu'au bout, a continué à être menaçant sur un coup franc sur lequel Eduardo intervenait difficilement (55).
Sur coup franc, Messi déposait le ballon sur la tête de Javier Pastor qui trouvait la transversale (85).
Sur d'autres actions, l'une ou l'autre équipe aurait également pu marquer.
Ainsi, pour le Portugal, Cambiasso manquait de peu de marquer d'entrée contre son camp (2) alors que Romero ne pouvait se saisir d'un centre d'Almeida (19). Le gardien argentin devait aussi sortir dans les pieds de ce dernier (36).
Pour les Sud-américains, Ezequiel Lavezzi envoyait au dessus après un centre de la gauche (40) avant qu'un coup franc joué par Ever Banega ne passe de peu à côté (42).
Une reprise de la tête de Marcos Rojo frôlait le poteau après un centre délivré de la droite par Lavezzi (72) laissant une impression favorable pour une rencontre agréable à suivre.
Fifa.com (10/02/2011)
Re: International -News
Victoire forcée de l'Espagne contre la Colombie
L'Espagne, encore sérieusement bousculée en match amical et dominée au nombre des occasions, s'est néanmoins imposée contre la Colombie, mercredi à Madrid (1-0).
En toute logique, l'Espagne aurait dû perdre. La Colombie a eu trois énormes occasions de but alors que la "Roja" n'a eu qu'un poteau de Villa à son actif avant le but contre le cours du jeu de David Silva (86e).
Surtout, l'Espagne a semble-t-il perdu sa joie de jouer. Efficace dans son groupe de qualifications pour l'Euro-2012 (trois victoires en trois matches), elle affiche un bilan beaucoup plus mitigé dans les rencontres sans enjeu (une victoire, un match nul et deux défaites).
Le sélectionneur Vicente Del Bosque avait pourtant dit qu'il n'y avait plus de matches amicaux pour la "Roja", seulement des matches internationaux.
L'Espagne va devoir s'y faire. Quel que soit l'adversaire et quel que soit le stade, il lui faudra désormais lutter à chaque endroit du terrain pour tenter de développer son fameux football "tiki-taka", à une touche de balle.
La Colombie, tombée à la 50e place du classement Fifa et qui n'était pas au niveau des adversaires précédents en amical (Mexique, Argentine, Portugal), lui a mené une vie impossible dans le stade Santiago-Bernabeu du Real Madrid.
Même avec l'équipe qui a gagné la finale de la Coupe du monde, à un joueur près (Albiol, à la place de Puyol blessé).
Poussée par l'importante communauté colombienne de Madrid, la sélection d'Amérique latine s'est créée la première grosse occasion: à la 13e minute, Aguilar a pressé Xavi et récupéré le ballon dans la surface. Seul face à Casillas, il a perdu son duel.
Deux minutes plus tard, Villa a répondu pour la "Roja": parfaitement lancé dans l'espace par Iniesta, il a éliminé Ospina mais trouvé le poteau. Le ballon lui est revenu dans les pieds mais il a manqué le cadre alors que le but était vide.
L'arrière gauche Armero, cauchemar de la défense espagnole, s'est offert la plus belle occasion après une superbe course: il a d'abord éliminé Albiol puis Busquets et s'est présenté seul face à Casillas mais son pied gauche n'a pas trouvé le cadre (45e+1).
En seconde période, la Colombie s'est encore créée les meilleures occasions: Cuadrado, entré en jeu, de peu à côté (64e) et surtout Rodallega, qui a manqué d'un rien la lucarne de Casillas (83e).
Mais c'est bien l'Espagne qui s'est imposée, sur un coup de patte de Silva, bien servi par Navas (86e).
Fifa.com (10/02/2011)
L'Espagne, encore sérieusement bousculée en match amical et dominée au nombre des occasions, s'est néanmoins imposée contre la Colombie, mercredi à Madrid (1-0).
En toute logique, l'Espagne aurait dû perdre. La Colombie a eu trois énormes occasions de but alors que la "Roja" n'a eu qu'un poteau de Villa à son actif avant le but contre le cours du jeu de David Silva (86e).
Surtout, l'Espagne a semble-t-il perdu sa joie de jouer. Efficace dans son groupe de qualifications pour l'Euro-2012 (trois victoires en trois matches), elle affiche un bilan beaucoup plus mitigé dans les rencontres sans enjeu (une victoire, un match nul et deux défaites).
Le sélectionneur Vicente Del Bosque avait pourtant dit qu'il n'y avait plus de matches amicaux pour la "Roja", seulement des matches internationaux.
L'Espagne va devoir s'y faire. Quel que soit l'adversaire et quel que soit le stade, il lui faudra désormais lutter à chaque endroit du terrain pour tenter de développer son fameux football "tiki-taka", à une touche de balle.
La Colombie, tombée à la 50e place du classement Fifa et qui n'était pas au niveau des adversaires précédents en amical (Mexique, Argentine, Portugal), lui a mené une vie impossible dans le stade Santiago-Bernabeu du Real Madrid.
Même avec l'équipe qui a gagné la finale de la Coupe du monde, à un joueur près (Albiol, à la place de Puyol blessé).
Poussée par l'importante communauté colombienne de Madrid, la sélection d'Amérique latine s'est créée la première grosse occasion: à la 13e minute, Aguilar a pressé Xavi et récupéré le ballon dans la surface. Seul face à Casillas, il a perdu son duel.
Deux minutes plus tard, Villa a répondu pour la "Roja": parfaitement lancé dans l'espace par Iniesta, il a éliminé Ospina mais trouvé le poteau. Le ballon lui est revenu dans les pieds mais il a manqué le cadre alors que le but était vide.
L'arrière gauche Armero, cauchemar de la défense espagnole, s'est offert la plus belle occasion après une superbe course: il a d'abord éliminé Albiol puis Busquets et s'est présenté seul face à Casillas mais son pied gauche n'a pas trouvé le cadre (45e+1).
En seconde période, la Colombie s'est encore créée les meilleures occasions: Cuadrado, entré en jeu, de peu à côté (64e) et surtout Rodallega, qui a manqué d'un rien la lucarne de Casillas (83e).
Mais c'est bien l'Espagne qui s'est imposée, sur un coup de patte de Silva, bien servi par Navas (86e).
Fifa.com (10/02/2011)
Re: International -News
Venezuela et Costa Rica font match nul (2:2)
Le Venezuela et le Costa Rica ont fait match nul 2 à 2 (mi-temps: 1-1) en match amical, mercredi soir à Puerto La Cruz (Nord est).
Buts
Venezuela : Salomon Rondon (24, 81.)
Costa Rica : Bryan Oviedo (7), Marcos Urena (60)
Fifa.com (10/02/2011)
Le Venezuela et le Costa Rica ont fait match nul 2 à 2 (mi-temps: 1-1) en match amical, mercredi soir à Puerto La Cruz (Nord est).
Buts
Venezuela : Salomon Rondon (24, 81.)
Costa Rica : Bryan Oviedo (7), Marcos Urena (60)
Fifa.com (10/02/2011)
Re: International -News
La Bosnie s'incline face à un Mexique réaliste
La Bosnie, battue par un Mexique plus réaliste (2-0) mercredi à Atlanta (sud-est) en amical, n'a pas résisté à une sélection aztèque rajeunie mais qui surfe encore sur la vague du Mondial-2010.
Adversaires de la France dans le groupe D des qualifications de l'Euro-2012, les Bosniaques ont effectué une bonne première période, se montrant qualitativement les plus dangereux mais trouvant systématiquement face à eux l'excellent gardien de "El Tri", Jesus Corona.
Un but inscrit par le Mexique à la suite d'un penalty en début de seconde période puis un deuxième après une erreur défensive ont toutefois assommé les hommes de Safet Susic, qui ont ensuite continué de buter sur Corona.
Privée de son attaquant Edin Dzeko, nouveau joueur de Manchester City, la sélection bosniaque a d'abord tenu tête à la formation de Jose Manuel de la Torre, dont c'était le tout premier match à la tête du Mexique, avec notamment des mouvements offensifs de Zvedjan Misimovic (12e) ou de Vedad Ibisevic (32) conclus sur des tirs cadrés dans la surface mais bien parés par Corona.
Dans le temps additionnel de la première période, Javier Hernandez a eu une occasion en or de donner l'avantage au Mexique, ratant un plat du pied droit à bout portant après un centre au millimètre de Giovani Dos Santos. Le joueur de Manchester United, surnommé "Chicharito" (le petit pois), s'est néanmoins rattrapé des le retour des vestiaires en héritant d'un penalty pour une faute du défenseur de Montpellier (L1) et capitaine bosniaque Emir Spahic.
Le gardien Kenan Hasagic était sur la trajectoire mais la balle est revenue sur Hernandez, au coude à coude avec le milieu de Lyon (L1) Miralem Pjanic. Dans la bataille, le ballon, probablement poussé par une jambe de Pjanic, a pris le chemin des filets (48).
Quelques minutes plus tard, le défenseur Besic a fait une passe trop molle à son gardien et Edgar Pacheco, très en vue sur aile gauche, en a profité pour doubler la mise (55). La Bosnie a continué d'attaquer mais de façon désordonnée et Pjanic n'a pesé d'aucun poids offensif.
Fifa.com (10/02/2011)
La Bosnie, battue par un Mexique plus réaliste (2-0) mercredi à Atlanta (sud-est) en amical, n'a pas résisté à une sélection aztèque rajeunie mais qui surfe encore sur la vague du Mondial-2010.
Adversaires de la France dans le groupe D des qualifications de l'Euro-2012, les Bosniaques ont effectué une bonne première période, se montrant qualitativement les plus dangereux mais trouvant systématiquement face à eux l'excellent gardien de "El Tri", Jesus Corona.
Un but inscrit par le Mexique à la suite d'un penalty en début de seconde période puis un deuxième après une erreur défensive ont toutefois assommé les hommes de Safet Susic, qui ont ensuite continué de buter sur Corona.
Privée de son attaquant Edin Dzeko, nouveau joueur de Manchester City, la sélection bosniaque a d'abord tenu tête à la formation de Jose Manuel de la Torre, dont c'était le tout premier match à la tête du Mexique, avec notamment des mouvements offensifs de Zvedjan Misimovic (12e) ou de Vedad Ibisevic (32) conclus sur des tirs cadrés dans la surface mais bien parés par Corona.
Dans le temps additionnel de la première période, Javier Hernandez a eu une occasion en or de donner l'avantage au Mexique, ratant un plat du pied droit à bout portant après un centre au millimètre de Giovani Dos Santos. Le joueur de Manchester United, surnommé "Chicharito" (le petit pois), s'est néanmoins rattrapé des le retour des vestiaires en héritant d'un penalty pour une faute du défenseur de Montpellier (L1) et capitaine bosniaque Emir Spahic.
Le gardien Kenan Hasagic était sur la trajectoire mais la balle est revenue sur Hernandez, au coude à coude avec le milieu de Lyon (L1) Miralem Pjanic. Dans la bataille, le ballon, probablement poussé par une jambe de Pjanic, a pris le chemin des filets (48).
Quelques minutes plus tard, le défenseur Besic a fait une passe trop molle à son gardien et Edgar Pacheco, très en vue sur aile gauche, en a profité pour doubler la mise (55). La Bosnie a continué d'attaquer mais de façon désordonnée et Pjanic n'a pesé d'aucun poids offensif.
Fifa.com (10/02/2011)
Re: International -News
rachid_as a écrit:Ronaldo et Messi au rendez-vous
L'Argentine a battu le Portugal (2-1) mercredi à Genève à l'occasion d'un match amical de bon niveau marqué par le duel qui a tenu ses promesses entre Cristiano Ronaldo, le Madrilène, et Lionel Messi, le Barcelonais qui a donné la victoire sur penalty à l'Albiceleste.
Les deux derniers Ballon d'or, qui ont inscrit chacun 24 buts en Liga cette saison, étaient attendus au tournant: ils ont répondu présent en étant impliqués dans la plupart des actions dangereuses de leurs équipes.
Messi, aligné en pointe, a contribué à l'ouverture du score par Angel Di Maria en adressant une judicieuse passe décisive après s'être joué des défenseurs portugais Bruno Alves, Rolando et Joao Pereira (14).
Ronaldo, capitaine du Portugal, a quant à lui égalisé sept minutes plus tard en reprenant à bout portant un centre délivré de la gauche par Joao Moutinho, dévié de la tête par Hugo Almeida qui devançait Nicolas Burdisso, statique sur l'action (21).
En toute fin de partie, Messi a donné l'avantage à l'Argentine en transformant un penalty accordé pour une faute de Fabio Coentrao sur Juan Manuel Martinez (89).
Sur l'ensemble de la première période, Leo Messi s'est montré plus actif dans le jeu, sollicitant souvent le ballon, distribuant et remisant. Dès la 7e minute, Messi, de la tête, manquait le cadre de justesse.
Sur un une-deux avec Banega, le joueur du Barça était difficilement stoppé par la sortie du gardien Eduardo (18).
De son côté, Cristiano Ronaldo a sans doute été moins présent dans le jeu mais toujours menaçant aux avant-postes. Après avoir égalisé, le Madrilène manquait de justesse de donner l'avantage à son équipe mais son tir était détourné par Romero (24).
Position incroyable
Avant de laisser sa place à l'heure de jeu à Danny, le Madrilène s'est encore illustré à trois reprises.
Almeida envoyait de la tête au dessus à la réception d'un centre de la gauche de Ronaldo (46). Ronaldo tirait au dessus après que Romero a difficilement détourné une reprise de la tête d'Almeida (49). Ce dernier manquait le cadre malgré une position incroyable sur un ultime centre de la gauche du joueur du Real (59).
De son côté, Messi, resté sur le terrain jusqu'au bout, a continué à être menaçant sur un coup franc sur lequel Eduardo intervenait difficilement (55).
Sur coup franc, Messi déposait le ballon sur la tête de Javier Pastor qui trouvait la transversale (85).
Sur d'autres actions, l'une ou l'autre équipe aurait également pu marquer.
Ainsi, pour le Portugal, Cambiasso manquait de peu de marquer d'entrée contre son camp (2) alors que Romero ne pouvait se saisir d'un centre d'Almeida (19). Le gardien argentin devait aussi sortir dans les pieds de ce dernier (36).
Pour les Sud-américains, Ezequiel Lavezzi envoyait au dessus après un centre de la gauche (40) avant qu'un coup franc joué par Ever Banega ne passe de peu à côté (42).
Une reprise de la tête de Marcos Rojo frôlait le poteau après un centre délivré de la droite par Lavezzi (72) laissant une impression favorable pour une rencontre agréable à suivre.
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Re: International -News
Ronalldinho retrouve des couleurs depuis son retour au Pays .....le Bresil
But (sur coup franc) contre Boavista
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Re: International -News
Straith, l'Energie au service du Canada
Faire ses débuts en équipe nationale représente toujours un grand moment dans la carrière d'un footballeur professionnel. Adam Straith ne fait évidemment pas exception à la règle et a donc vécu un moment inoubliable le 24 mai 2010, lorsqu'il a joué pour la première fois pour l'équipe du Canada. Néanmoins, sa première apparition sous le maillot de son pays aurait pu se dérouler dans des circonstances plus favorables, car lors de son entrée sur le terrain, à la 81ème minute, son équipe était menée 0:5 par l'Argentine.
Pour autant, le défenseur aime à se rappeler ce match. "Jouer pour mon pays m'a tout de suite procuré un sentiment exceptionnel. De plus, l'Argentine n'est pas n'importe quel adversaire et l'affronter devant 66 000 spectateurs, c'était fantastique. Je n'oublierai jamais cette rencontre", explique le joueur au cours d'une interview exclusive pour FIFA.com.
A tout juste 20 ans, le Canadien a déjà derrière lui une certaine expérience. Il a quitté sa patrie en 2008 pour aller tenter sa chance en Europe et a rejoint les rangs de l'Energie Cottbus, qui évoluait alors en première division allemande. "J'ai franchi un grand cap à ce moment-là. Auparavant, j'avais joué un an chez les Vancouver Whitecaps. Cottbus a été le club de mes débuts professionnels. L'Energie jouait encore en Bundesliga lorsque je suis arrivé. Tout était plus grand, plus professionnel, plus ambitieux. Je n'avais encore jamais vécu ça. Même le soutien des fans était à mes yeux quelque chose d'extraordinaire."
Dans son élément
Le jeune espoir canadien a d'abord joué dans l'équipe réserve, avant d'obtenir une place au sein de l'équipe première, qu'il espère aujourd'hui aider à réintégrer l'élite du football allemand. "Je me sens incroyablement bien ici. Ce pays et ses habitants me correspondent tout à fait. En Allemagne, la discipline, la ponctualité et l'assiduité sont des valeurs très présentes. En deux ans et demi, j'ai appris à les apprécier moi aussi. J'ai un caractère qui fait que ces valeurs me conviennent bien. Au Canada, les gens sont en général un peu plus détendus. Disons que la qualité de vie est différente", confie-t-il.
Straith, lui, ne s'est sûrement pas laissé aller à la détente ces dernières années. Au contraire, le parcours du défenseur a enregistré une nette progression. Il est actuellement le plus jeune joueur de l'équipe du Canada, avec laquelle il a déjà disputé six matches internationaux. "Pendant longtemps, le Canada n'avait pas suffisamment de joueurs capables de faire preuve de régularité à un niveau élevé. Aujourd'hui, il y a plusieurs Canadiens qui se mesurent semaine après semaine aux meilleurs footballeurs du monde. Cette évolution se répercute sur la qualité de l'équipe nationale", explique le défenseur au micro de FIFA.com, confiant quant à l'avenir du football au Canada.
Straith est cependant conscient des difficultés que connaît le ballon rond dans le pays. "Le hockey sur glace est le sport numéro un. Néanmoins, ce que beaucoup de gens ignorent, c'est qu'il y a plus de jeunes footballeurs que de hockeyeurs au Canada. Mais la plupart d'entre eux ne jouent que pour s'amuser. Nous manquons de structures professionnelles."
Les résultats actuels des équipes de jeunes du Canada confirment en tout cas que le pays a réalisé d'importants progrès dans ce domaine. La sélection U-17 s'est qualifiée il y a quelques jours pour la Coupe du Monde de la catégorie pour la première fois depuis 1995. Quant à la sélection U-20, pour laquelle Straith est encore éligible, elle espère valider dans quelques semaines son billet pour l'édition 2011 de la Coupe du Monde U-20 de la FIFA, qui se déroulera du 29 juillet au 20 août en Colombie.
Progresser chaque jour
Le défenseur, lui, a d'autres projets. En club, il compte bien contribuer à la montée de l'Energie Cottbus en Bundesliga. Sur la scène internationale, plusieurs missions difficiles l'attendent avec l'équipe du Canada, qui occupe actuellement la 80ème place au Classement mondial FIFA/Coca-Cola. "Nous allons disputer l'été prochain un grand tournoi, la Gold Cup 2011. Nous voulons faire bonne figure pendant la compétition. Avant, nous allons jouer plusieurs matches de qualification pour la Coupe du Monde. Nous avons nos chances d'atteindre la phase finale. Pour moi, ce serait un rêve qui se réaliserait." Cet objectif ne sera peut-être pas aisé à atteindre, cependant. En effet, le Canada attend depuis 1986 sa deuxième participation au grand rendez-vous du ballon rond.
Pour le moment, Straith, fan de Steven Gerrard, Jamie Carragher et Liverpool en général, entend se concentrer sur l'Energie Cottbus, avec lequel il se voit bien faire encore un bout de chemin. "Aucun autre club ne me réclame à l'heure actuelle. De toute façon, je me sens très bien à Cottbus, je suis ici dans des conditions optimales pour progresser. Un contrat de longue durée me lie à l'Energie et changer de club ne fait pas partie de mes ambitions."
L'avenir nous dira quelle voie Straith va suivre, mais il peut d'ores et déjà être fier du chemin parcouru jusqu'ici, ce qui ne l'empêche visiblement pas de garder la tête sur les épaules. "J'ai encore beaucoup de choses à apprendre et je continue à travailler dur. On peut s'améliorer tous les jours, grâce à l'entraînement. C'est en tout cas mon objectif. Je suis exigeant envers moi-même."
Fifa.com (08/03/2011)
Faire ses débuts en équipe nationale représente toujours un grand moment dans la carrière d'un footballeur professionnel. Adam Straith ne fait évidemment pas exception à la règle et a donc vécu un moment inoubliable le 24 mai 2010, lorsqu'il a joué pour la première fois pour l'équipe du Canada. Néanmoins, sa première apparition sous le maillot de son pays aurait pu se dérouler dans des circonstances plus favorables, car lors de son entrée sur le terrain, à la 81ème minute, son équipe était menée 0:5 par l'Argentine.
Pour autant, le défenseur aime à se rappeler ce match. "Jouer pour mon pays m'a tout de suite procuré un sentiment exceptionnel. De plus, l'Argentine n'est pas n'importe quel adversaire et l'affronter devant 66 000 spectateurs, c'était fantastique. Je n'oublierai jamais cette rencontre", explique le joueur au cours d'une interview exclusive pour FIFA.com.
A tout juste 20 ans, le Canadien a déjà derrière lui une certaine expérience. Il a quitté sa patrie en 2008 pour aller tenter sa chance en Europe et a rejoint les rangs de l'Energie Cottbus, qui évoluait alors en première division allemande. "J'ai franchi un grand cap à ce moment-là. Auparavant, j'avais joué un an chez les Vancouver Whitecaps. Cottbus a été le club de mes débuts professionnels. L'Energie jouait encore en Bundesliga lorsque je suis arrivé. Tout était plus grand, plus professionnel, plus ambitieux. Je n'avais encore jamais vécu ça. Même le soutien des fans était à mes yeux quelque chose d'extraordinaire."
Dans son élément
Le jeune espoir canadien a d'abord joué dans l'équipe réserve, avant d'obtenir une place au sein de l'équipe première, qu'il espère aujourd'hui aider à réintégrer l'élite du football allemand. "Je me sens incroyablement bien ici. Ce pays et ses habitants me correspondent tout à fait. En Allemagne, la discipline, la ponctualité et l'assiduité sont des valeurs très présentes. En deux ans et demi, j'ai appris à les apprécier moi aussi. J'ai un caractère qui fait que ces valeurs me conviennent bien. Au Canada, les gens sont en général un peu plus détendus. Disons que la qualité de vie est différente", confie-t-il.
Straith, lui, ne s'est sûrement pas laissé aller à la détente ces dernières années. Au contraire, le parcours du défenseur a enregistré une nette progression. Il est actuellement le plus jeune joueur de l'équipe du Canada, avec laquelle il a déjà disputé six matches internationaux. "Pendant longtemps, le Canada n'avait pas suffisamment de joueurs capables de faire preuve de régularité à un niveau élevé. Aujourd'hui, il y a plusieurs Canadiens qui se mesurent semaine après semaine aux meilleurs footballeurs du monde. Cette évolution se répercute sur la qualité de l'équipe nationale", explique le défenseur au micro de FIFA.com, confiant quant à l'avenir du football au Canada.
Straith est cependant conscient des difficultés que connaît le ballon rond dans le pays. "Le hockey sur glace est le sport numéro un. Néanmoins, ce que beaucoup de gens ignorent, c'est qu'il y a plus de jeunes footballeurs que de hockeyeurs au Canada. Mais la plupart d'entre eux ne jouent que pour s'amuser. Nous manquons de structures professionnelles."
Les résultats actuels des équipes de jeunes du Canada confirment en tout cas que le pays a réalisé d'importants progrès dans ce domaine. La sélection U-17 s'est qualifiée il y a quelques jours pour la Coupe du Monde de la catégorie pour la première fois depuis 1995. Quant à la sélection U-20, pour laquelle Straith est encore éligible, elle espère valider dans quelques semaines son billet pour l'édition 2011 de la Coupe du Monde U-20 de la FIFA, qui se déroulera du 29 juillet au 20 août en Colombie.
Progresser chaque jour
Le défenseur, lui, a d'autres projets. En club, il compte bien contribuer à la montée de l'Energie Cottbus en Bundesliga. Sur la scène internationale, plusieurs missions difficiles l'attendent avec l'équipe du Canada, qui occupe actuellement la 80ème place au Classement mondial FIFA/Coca-Cola. "Nous allons disputer l'été prochain un grand tournoi, la Gold Cup 2011. Nous voulons faire bonne figure pendant la compétition. Avant, nous allons jouer plusieurs matches de qualification pour la Coupe du Monde. Nous avons nos chances d'atteindre la phase finale. Pour moi, ce serait un rêve qui se réaliserait." Cet objectif ne sera peut-être pas aisé à atteindre, cependant. En effet, le Canada attend depuis 1986 sa deuxième participation au grand rendez-vous du ballon rond.
Pour le moment, Straith, fan de Steven Gerrard, Jamie Carragher et Liverpool en général, entend se concentrer sur l'Energie Cottbus, avec lequel il se voit bien faire encore un bout de chemin. "Aucun autre club ne me réclame à l'heure actuelle. De toute façon, je me sens très bien à Cottbus, je suis ici dans des conditions optimales pour progresser. Un contrat de longue durée me lie à l'Energie et changer de club ne fait pas partie de mes ambitions."
L'avenir nous dira quelle voie Straith va suivre, mais il peut d'ores et déjà être fier du chemin parcouru jusqu'ici, ce qui ne l'empêche visiblement pas de garder la tête sur les épaules. "J'ai encore beaucoup de choses à apprendre et je continue à travailler dur. On peut s'améliorer tous les jours, grâce à l'entraînement. C'est en tout cas mon objectif. Je suis exigeant envers moi-même."
Fifa.com (08/03/2011)
Re: International -News
Raúl, du bleu royal au bleu de chauffe
Lorsqu'un joueur quitte le monde feutré du Real Madrid pour rejoindre un club populaire, lorsqu'il décide de délaisser son costume d'artiste pour endosser le bleu de chauffe, on peut parler de choc des cultures. En quête de nouveaux défis, Raúl Gonzalez Blanco a fait le pari de débuter une deuxième carrière à Gelsenkirchen, au cœur de la Ruhr. On lui prédisait une adaptation difficile, l'ancien international espagnol s'est chargé de démentir.
L'histoire de la renaissance de l'un des plus grands attaquants espagnols a tout pour plaire. Mercredi, l'ex-roi de Madrid tentera d'imposer sa loi à une autre formation espagnole, avec le secret espoir de mener les Königsblauen en quart de finale de la Ligue des champions de l'UEFA. À l'aller, Raúl s'était distingué en inscrivant le but égalisateur (1:1) à Mestalla, l'antre du FC Valence.
"Il portait peut-être un maillot bleu mais on a retrouvé le Raúl plein de sang-froid qui a fait les beaux jours du Real Madrid", commentait le journal El Mundo après la prestation du légendaire numéro sept sur les terres de ses premiers exploits. Et Marca d'ajouter : "Son passage en Allemagne ne l'a pas changé. Il était de retour en Espagne, les supporters adverses l'ont vite pris en grippe et, comme d'habitude, il a marqué à Mestalla."
C'est sans doute pour cette raison que le recordman des buts en Coupes d'Europe jouit d'une telle cote de popularité en Allemagne et plus particulièrement auprès des supporters de Schalke 04. "On rencontre rarement des gens comme lui", assure son entraîneur Felix Magath. "C'est un joueur qui n'hésite pas à se sacrifier pour le bien de l'équipe. Qu'est-ce que je peux vous dire de plus ? Je croyais que ce genre de footballeurs n'existaient plus."
L'idole des fans
Présenté comme "le joueur le plus important de l'histoire du Real après Alfredo di Stefano" par Jorge Valdano, Raúl est arrivé à Gelsenkirchen avec une terrible envie de revanche. Interrogé sur son transfert surprise en Allemagne l'été dernier, le principal intéressé disait vouloir se confronter "à un autre football, une autre culture, une autre langue" pour "grandir en tant que personne".
Par son sens du mot juste, ses buts et son charisme, il incarne mieux que quiconque les ambitions retrouvées d'un club sacré par sept fois champion d'Allemagne en 1934 et 1958. En 550 matches avec le Real Madrid, Raul a trouvé le chemin des filets à 228 reprises. À ces statistiques impressionnantes, il convient d'ajouter les 42 buts inscrits en 102 sélections en équipe d'Espagne. En Bundesliga, son bilan s'établit pour l'heure à 11 réalisations en 25 sorties. Toutefois, on aurait tort de croire que son apport se limite à ses talents de finisseur.
Si Felix Magath le présente volontiers comme son "joueur le plus important", c'est avant tout parce que Raúl se trouve désormais au cœur du jeu. Légèrement décroché par rapport à l'attaquant de pointe, il n'hésite pas à se replacer pour participer à la récupération. Dans la construction, il est toujours là pour orienter le jeu. "Il s'est très vite intégré. Certains ont même été surpris de constater que sa réputation de gentillesse et de simplicité n'était pas qu'une légende", confirme son coéquipier Christoph Metzelder, lui-même ancien pensionnaire du Real Madrid et dont la présence à Gelsenkirchen a sans doute achevé de convaincre Raúl de se lancer dans l'aventure.
Un choc en forme de revanche
Pourtant, les Königsblauen ont connu une saison relativement difficile en championnat. Schalke 04 pointe aujourd'hui à la dixième place, bien loin des ambitions affichées en début de saison. Malgré ces résultats en dents de scie, Raúl a ravivé la flamme de l'espoir en inscrivant récemment le but de la victoire (1:0) face au Bayern Munich en Coupe d'Allemagne.
À Gelsenkirchen, les supporters veulent croire qu'un exploit contre Valence est possible. "Nous sommes confiants en nos chances. Pour un club comme le nôtre, ce serait formidable de faire partie des huit meilleures équipes en Europe", déclarait il y a quelques jours l'ancien international espagnol.
Raúl oublie de préciser qu'une qualification face à Valence serait une belle revanche pour lui, à titre personnel. Poussée vers la sortie en Espagne, l'ancienne star tient là une belle occasion de faire taire tous ceux qui le disaient fini. "Je crois que le moment était venu pour moi de changer d'air. Aujourd'hui, je vis quelque chose de complètement différent. Je suis pleinement satisfait de mon choix. C'est une expérience très positive, aussi bien pour ma famille qu'à titre professionnel."
Fifa.com (09/03/2011)
Lorsqu'un joueur quitte le monde feutré du Real Madrid pour rejoindre un club populaire, lorsqu'il décide de délaisser son costume d'artiste pour endosser le bleu de chauffe, on peut parler de choc des cultures. En quête de nouveaux défis, Raúl Gonzalez Blanco a fait le pari de débuter une deuxième carrière à Gelsenkirchen, au cœur de la Ruhr. On lui prédisait une adaptation difficile, l'ancien international espagnol s'est chargé de démentir.
L'histoire de la renaissance de l'un des plus grands attaquants espagnols a tout pour plaire. Mercredi, l'ex-roi de Madrid tentera d'imposer sa loi à une autre formation espagnole, avec le secret espoir de mener les Königsblauen en quart de finale de la Ligue des champions de l'UEFA. À l'aller, Raúl s'était distingué en inscrivant le but égalisateur (1:1) à Mestalla, l'antre du FC Valence.
"Il portait peut-être un maillot bleu mais on a retrouvé le Raúl plein de sang-froid qui a fait les beaux jours du Real Madrid", commentait le journal El Mundo après la prestation du légendaire numéro sept sur les terres de ses premiers exploits. Et Marca d'ajouter : "Son passage en Allemagne ne l'a pas changé. Il était de retour en Espagne, les supporters adverses l'ont vite pris en grippe et, comme d'habitude, il a marqué à Mestalla."
C'est sans doute pour cette raison que le recordman des buts en Coupes d'Europe jouit d'une telle cote de popularité en Allemagne et plus particulièrement auprès des supporters de Schalke 04. "On rencontre rarement des gens comme lui", assure son entraîneur Felix Magath. "C'est un joueur qui n'hésite pas à se sacrifier pour le bien de l'équipe. Qu'est-ce que je peux vous dire de plus ? Je croyais que ce genre de footballeurs n'existaient plus."
L'idole des fans
Présenté comme "le joueur le plus important de l'histoire du Real après Alfredo di Stefano" par Jorge Valdano, Raúl est arrivé à Gelsenkirchen avec une terrible envie de revanche. Interrogé sur son transfert surprise en Allemagne l'été dernier, le principal intéressé disait vouloir se confronter "à un autre football, une autre culture, une autre langue" pour "grandir en tant que personne".
Par son sens du mot juste, ses buts et son charisme, il incarne mieux que quiconque les ambitions retrouvées d'un club sacré par sept fois champion d'Allemagne en 1934 et 1958. En 550 matches avec le Real Madrid, Raul a trouvé le chemin des filets à 228 reprises. À ces statistiques impressionnantes, il convient d'ajouter les 42 buts inscrits en 102 sélections en équipe d'Espagne. En Bundesliga, son bilan s'établit pour l'heure à 11 réalisations en 25 sorties. Toutefois, on aurait tort de croire que son apport se limite à ses talents de finisseur.
Si Felix Magath le présente volontiers comme son "joueur le plus important", c'est avant tout parce que Raúl se trouve désormais au cœur du jeu. Légèrement décroché par rapport à l'attaquant de pointe, il n'hésite pas à se replacer pour participer à la récupération. Dans la construction, il est toujours là pour orienter le jeu. "Il s'est très vite intégré. Certains ont même été surpris de constater que sa réputation de gentillesse et de simplicité n'était pas qu'une légende", confirme son coéquipier Christoph Metzelder, lui-même ancien pensionnaire du Real Madrid et dont la présence à Gelsenkirchen a sans doute achevé de convaincre Raúl de se lancer dans l'aventure.
Un choc en forme de revanche
Pourtant, les Königsblauen ont connu une saison relativement difficile en championnat. Schalke 04 pointe aujourd'hui à la dixième place, bien loin des ambitions affichées en début de saison. Malgré ces résultats en dents de scie, Raúl a ravivé la flamme de l'espoir en inscrivant récemment le but de la victoire (1:0) face au Bayern Munich en Coupe d'Allemagne.
À Gelsenkirchen, les supporters veulent croire qu'un exploit contre Valence est possible. "Nous sommes confiants en nos chances. Pour un club comme le nôtre, ce serait formidable de faire partie des huit meilleures équipes en Europe", déclarait il y a quelques jours l'ancien international espagnol.
Raúl oublie de préciser qu'une qualification face à Valence serait une belle revanche pour lui, à titre personnel. Poussée vers la sortie en Espagne, l'ancienne star tient là une belle occasion de faire taire tous ceux qui le disaient fini. "Je crois que le moment était venu pour moi de changer d'air. Aujourd'hui, je vis quelque chose de complètement différent. Je suis pleinement satisfait de mon choix. C'est une expérience très positive, aussi bien pour ma famille qu'à titre professionnel."
Fifa.com (09/03/2011)
Re: International -News
L'Argentine reine d'Amérique du Sud
Un total de cinquante-cinq matches amicaux sont venus chambouler le Classement mondial FIFA/Coca-Cola. L’édition de mars voit un changement notable intervenir dans le Top 5 où l’Argentine (4ème, plus 1), grâce à une victoire 2:1 contre le Portugal (9ème, moins 1), devance désormais le Brésil (5ème, moins 1) à qui une défaite 0:1 contre la France (18ème, plus 1) a coûté la place de première équipe sud-américaine dans le classement mondial. La défaite du Portugal a par ailleurs profité à la Croatie (8ème, plus 1) qui, après sa victoire 4:2 à domicile contre la République tchèque (31ème, moins 1), s’est glissée devant les Lusitaniens.
La Serbie (20ème, plus 3) a quant à elle fait son entrée dans le Top 20 grâce à sa victoire 2:0 contre Israël, et ce au détriment de la Slovaquie (22ème, moins 2) qui s’est inclinée 1:2 en déplacement au Luxembourg. La Bulgarie (47ème, plus 4) et l’Équateur (49ème, plus 5) ont quant à eux réalisé la prouesse de s’immiscer parmi les cinquante meilleures équipes du classement sans pour autant gagner le moindre match. La Bosnie-Herzégovine (56ème, moins 14) et l’Autriche (61ème, moins 16) en font les frais. L’entrée la plus spectaculaire dans le Top 50 est toutefois à mettre à l’actif de la Jamaïque (48ème, plus 11) qui a fait un bond impressionnant depuis la 59ème place.
Après une brève sortie du Top 100 le mois dernier, la Zambie (97ème, plus 4) y est déjà de retour grâce à sa retentissante victoire 4:0 sur le Swaziland. Le Niger (104ème, moins 8 ) s’en voit quant à lui exclu après sa défaite 0:3 contre le Maroc. Il convient enfin de souligner que la Hongrie (36ème, plus 1), Antigua-et-Barbuda (101ème, plus 3) et le Cambodge (154ème, plus 12), atteignent en ce mois de mars leur meilleur classement depuis 1993, année d’introduction du Classement mondial FIFA/Coca-Cola.
Le prochain Classement mondial FIFA/ Coca-Cola sera publié le 13 avril 2011.
Fifa.com (09/03/2011)
Un total de cinquante-cinq matches amicaux sont venus chambouler le Classement mondial FIFA/Coca-Cola. L’édition de mars voit un changement notable intervenir dans le Top 5 où l’Argentine (4ème, plus 1), grâce à une victoire 2:1 contre le Portugal (9ème, moins 1), devance désormais le Brésil (5ème, moins 1) à qui une défaite 0:1 contre la France (18ème, plus 1) a coûté la place de première équipe sud-américaine dans le classement mondial. La défaite du Portugal a par ailleurs profité à la Croatie (8ème, plus 1) qui, après sa victoire 4:2 à domicile contre la République tchèque (31ème, moins 1), s’est glissée devant les Lusitaniens.
La Serbie (20ème, plus 3) a quant à elle fait son entrée dans le Top 20 grâce à sa victoire 2:0 contre Israël, et ce au détriment de la Slovaquie (22ème, moins 2) qui s’est inclinée 1:2 en déplacement au Luxembourg. La Bulgarie (47ème, plus 4) et l’Équateur (49ème, plus 5) ont quant à eux réalisé la prouesse de s’immiscer parmi les cinquante meilleures équipes du classement sans pour autant gagner le moindre match. La Bosnie-Herzégovine (56ème, moins 14) et l’Autriche (61ème, moins 16) en font les frais. L’entrée la plus spectaculaire dans le Top 50 est toutefois à mettre à l’actif de la Jamaïque (48ème, plus 11) qui a fait un bond impressionnant depuis la 59ème place.
Après une brève sortie du Top 100 le mois dernier, la Zambie (97ème, plus 4) y est déjà de retour grâce à sa retentissante victoire 4:0 sur le Swaziland. Le Niger (104ème, moins 8 ) s’en voit quant à lui exclu après sa défaite 0:3 contre le Maroc. Il convient enfin de souligner que la Hongrie (36ème, plus 1), Antigua-et-Barbuda (101ème, plus 3) et le Cambodge (154ème, plus 12), atteignent en ce mois de mars leur meilleur classement depuis 1993, année d’introduction du Classement mondial FIFA/Coca-Cola.
Le prochain Classement mondial FIFA/ Coca-Cola sera publié le 13 avril 2011.
Fifa.com (09/03/2011)
Re: International -News
Müller reçoit son Trophée du Meilleur Jeune Joueur
Star de la Mannschaft et du Bayern Munich, Thomas Muller s'est vu officiellement remettre le Trophée du Meilleur Jeune Joueur Hyundai lors d'une cérémonie qui s'est tenue ce mercredi 9 mars 2011 à Munich. Le jeune attaquant de 22 ans était au Stade olympique de Munich pour recevoir le trophée et un crossover ix35, justes récompenses pour ses performances éblouissantes lors de la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010, où il a explosé sur la scène internationale.
Par sa vitesse, sa vision du jeu et son exceptionnelle qualité technique, Müller a émerveillé les amateurs de football du monde entier lors d'Afrique du Sud 2010. Avec ses cinq buts et trois passes décisives, il a été un grand artisan du magnifique parcours de l'Allemagne, troisième de l'épreuve au bout d'un parcours qui l'a vue écarter l'Angleterre et l'Argentine, deux de ses adversaires historiques.
En étant élu meilleur jeune joueur d'une Coupe du Monde de la FIFA, l'attaquant bavarois marche dans les traces de ses compatriotes Franz Beckenbauer (1966) et Lukas Podolski (2006). Le Meilleur Jeune Joueur Hyundai a été choisi par le Groupe d'étude technique de la FIFA (TSG), qui a pris en compte les joueurs nés à partir du 1er janvier 1989 inclus. Müller a devancé Giovani dos Santos (Mexique) et André Ayew (Ghana), les deux autres joueurs nominés.
Jeune et dynamique
Lors de la cérémonie de remise du trophée, Oliver Takahashi, Responsable des alliances marketing et de la gestion des événements à la FIFA, a déclaré : "C'est un grand plaisir pour la FIFA et pour notre partenaire, la Hyundai Motor Company, de distinguer officiellement Thomas Müller en tant que jeune talent le plus brillant de la Coupe du Monde de la FIFA 2010. Auteur de cinq buts et d'extraordinaires prestations avec l'Allemagne, il mérite amplement cette distinction. Je souhaiterais remercier Hyundai pour son soutien au Trophée du Meilleur Jeune Joueur, qui perpétue la fière tradition consistant à distinguer les talents qui illuminent la Coupe du Monde de la FIFA."
Werner Frey, Directeur exécutif de Hyundai Allemagne, a lui aussi félicité Müller : "En tant que supporters passionnés de football, nous sommes heureux de nous joindre à la FIFA et d'apporter notre soutien à ce trophée spécial, qui existe en Coupe du Monde de la FIFA depuis 1958. Nous estimons que la nature jeune et dynamique de cette récompense correspond parfaitement à notre marque."
Partenaire de la FIFA depuis 1999, la Hyundai Motor Company a récemment prolongé son partenariat avec la FIFA pour huit années supplémentaires. Elle sera donc présente pour les Coupes du Monde de la FIFA 2018 et 2022. La FIFA et Hyundai sont déjà en train d'étudier la planification de la prochaine édition de la Coupe du Monde de la FIFA, qui aura lieu au Brésil en juin et juillet 2014.
Fifa.com (09/03/2011)
Star de la Mannschaft et du Bayern Munich, Thomas Muller s'est vu officiellement remettre le Trophée du Meilleur Jeune Joueur Hyundai lors d'une cérémonie qui s'est tenue ce mercredi 9 mars 2011 à Munich. Le jeune attaquant de 22 ans était au Stade olympique de Munich pour recevoir le trophée et un crossover ix35, justes récompenses pour ses performances éblouissantes lors de la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010, où il a explosé sur la scène internationale.
Par sa vitesse, sa vision du jeu et son exceptionnelle qualité technique, Müller a émerveillé les amateurs de football du monde entier lors d'Afrique du Sud 2010. Avec ses cinq buts et trois passes décisives, il a été un grand artisan du magnifique parcours de l'Allemagne, troisième de l'épreuve au bout d'un parcours qui l'a vue écarter l'Angleterre et l'Argentine, deux de ses adversaires historiques.
En étant élu meilleur jeune joueur d'une Coupe du Monde de la FIFA, l'attaquant bavarois marche dans les traces de ses compatriotes Franz Beckenbauer (1966) et Lukas Podolski (2006). Le Meilleur Jeune Joueur Hyundai a été choisi par le Groupe d'étude technique de la FIFA (TSG), qui a pris en compte les joueurs nés à partir du 1er janvier 1989 inclus. Müller a devancé Giovani dos Santos (Mexique) et André Ayew (Ghana), les deux autres joueurs nominés.
Jeune et dynamique
Lors de la cérémonie de remise du trophée, Oliver Takahashi, Responsable des alliances marketing et de la gestion des événements à la FIFA, a déclaré : "C'est un grand plaisir pour la FIFA et pour notre partenaire, la Hyundai Motor Company, de distinguer officiellement Thomas Müller en tant que jeune talent le plus brillant de la Coupe du Monde de la FIFA 2010. Auteur de cinq buts et d'extraordinaires prestations avec l'Allemagne, il mérite amplement cette distinction. Je souhaiterais remercier Hyundai pour son soutien au Trophée du Meilleur Jeune Joueur, qui perpétue la fière tradition consistant à distinguer les talents qui illuminent la Coupe du Monde de la FIFA."
Werner Frey, Directeur exécutif de Hyundai Allemagne, a lui aussi félicité Müller : "En tant que supporters passionnés de football, nous sommes heureux de nous joindre à la FIFA et d'apporter notre soutien à ce trophée spécial, qui existe en Coupe du Monde de la FIFA depuis 1958. Nous estimons que la nature jeune et dynamique de cette récompense correspond parfaitement à notre marque."
Partenaire de la FIFA depuis 1999, la Hyundai Motor Company a récemment prolongé son partenariat avec la FIFA pour huit années supplémentaires. Elle sera donc présente pour les Coupes du Monde de la FIFA 2018 et 2022. La FIFA et Hyundai sont déjà en train d'étudier la planification de la prochaine édition de la Coupe du Monde de la FIFA, qui aura lieu au Brésil en juin et juillet 2014.
Fifa.com (09/03/2011)
Re: International -News
Benfica - Le réveil d'un géant
Le Benfica Lisbonne, ancienne gloire déchue du football européen, retrouve peu à peu les moyens d'une nouvelle ambition grâce à son énorme popularité, jamais entamée malgré une longue crise financière et sportive, et une stratégie de recrutement améliorée.
Menacé de faillite et enfoncé sportivement il y a dix ans, l'adversaire du Paris SG jeudi en huitièmes de finale de l'Europa League, a réussi à remonter la pente et à gagner le Championnat du Portugal l'an dernier, avec une moyenne de 50.000 spectateurs par match.
"Le Benfica était un géant endormi qui a réussi à se réinventer et tourner la page la plus noire de son histoire", résume le commentateur sportif Luis Freitas Lobo.
Club le plus populaire du Portugal, le Benfica figurait en fin de saison dernière au 11e rang européen des recettes de billetterie, selon un classement de la société d'audit Deloitte.
Avec ses 230.000 "socios", un record de membres payants reconnu par le Guinness, l'institution centenaire se présente aujourd'hui comme "le plus grand club du monde", slogan du président Luis Filipe Vieira, aux commandes depuis 2003.
Le potentiel économique lié à la marque Benfica a permis au club d'emprunter pour investir dans la construction d'un nouveau stade à l'occasion de l'Euro-2004, mais aussi d'être le seul club du Portugal doté de son propre canal télévisé.
Parallèlement, l'amélioration des résultats sportifs, notamment le titre remporté en 2005 (le premier en dix ans), a entraîné un doublement des recettes commerciales en l'espace de cinq ans, atteignant 90 millions d'euros en 2010 (hors participation en Ligue des champions, droits de retransmission et transferts).
Import - export
Autre point fort du Benfica, sa politique de recrutement, essentiellement tournée vers les marchés brésilien et argentin, auquel le club consacre depuis 2008 un budget annuel de 30 millions d'euros.
Le Benfica a en outre créé un fonds d'investissement, le Benfica Stars Fund, auquel il cède une part des droits sportifs de ses joueurs les plus prometteurs, tout en les gardant dans son effectif dans l'attente d'un transfert juteux.
En moins d'un an, le Benfica a multiplié les transferts millionnaires, suscitant la convoitise des plus grands clubs européens comme l'attestent les ventes de Di Maria (25 millions) au Real Madrid ou de Ramires (22 millions) et David Luiz (25 millions) à Chelsea.
"Il est indéniable que l'actuelle direction a créé une dynamique positive", reconnaît Jaime Antunes, candidat malheureux à la présidence du club en 2003. Mais, dit-il, "cette stratégie présente des risques, car elle repose essentiellement sur la hausse de l'endettement".
Dans le contexte de la crise financière portugaise, le Benfica affiche une dette bancaire de 216 millions d'euros, soit plus du double que celle de ses principaux rivaux réunis, le FC Porto et le Sporting Portugal.
Par contre, sur le plan sportif, Benfica a déçu ceux qui croyaient à la fin de l'hégémonie du FC Porto. Actuellement deuxième à 11 points de sa bête noire du nord, le club lisboète n'a plus guère de chance de conserver son titre.
Fifa.com (09/03/2011)
Le Benfica Lisbonne, ancienne gloire déchue du football européen, retrouve peu à peu les moyens d'une nouvelle ambition grâce à son énorme popularité, jamais entamée malgré une longue crise financière et sportive, et une stratégie de recrutement améliorée.
Menacé de faillite et enfoncé sportivement il y a dix ans, l'adversaire du Paris SG jeudi en huitièmes de finale de l'Europa League, a réussi à remonter la pente et à gagner le Championnat du Portugal l'an dernier, avec une moyenne de 50.000 spectateurs par match.
"Le Benfica était un géant endormi qui a réussi à se réinventer et tourner la page la plus noire de son histoire", résume le commentateur sportif Luis Freitas Lobo.
Club le plus populaire du Portugal, le Benfica figurait en fin de saison dernière au 11e rang européen des recettes de billetterie, selon un classement de la société d'audit Deloitte.
Avec ses 230.000 "socios", un record de membres payants reconnu par le Guinness, l'institution centenaire se présente aujourd'hui comme "le plus grand club du monde", slogan du président Luis Filipe Vieira, aux commandes depuis 2003.
Le potentiel économique lié à la marque Benfica a permis au club d'emprunter pour investir dans la construction d'un nouveau stade à l'occasion de l'Euro-2004, mais aussi d'être le seul club du Portugal doté de son propre canal télévisé.
Parallèlement, l'amélioration des résultats sportifs, notamment le titre remporté en 2005 (le premier en dix ans), a entraîné un doublement des recettes commerciales en l'espace de cinq ans, atteignant 90 millions d'euros en 2010 (hors participation en Ligue des champions, droits de retransmission et transferts).
Import - export
Autre point fort du Benfica, sa politique de recrutement, essentiellement tournée vers les marchés brésilien et argentin, auquel le club consacre depuis 2008 un budget annuel de 30 millions d'euros.
Le Benfica a en outre créé un fonds d'investissement, le Benfica Stars Fund, auquel il cède une part des droits sportifs de ses joueurs les plus prometteurs, tout en les gardant dans son effectif dans l'attente d'un transfert juteux.
En moins d'un an, le Benfica a multiplié les transferts millionnaires, suscitant la convoitise des plus grands clubs européens comme l'attestent les ventes de Di Maria (25 millions) au Real Madrid ou de Ramires (22 millions) et David Luiz (25 millions) à Chelsea.
"Il est indéniable que l'actuelle direction a créé une dynamique positive", reconnaît Jaime Antunes, candidat malheureux à la présidence du club en 2003. Mais, dit-il, "cette stratégie présente des risques, car elle repose essentiellement sur la hausse de l'endettement".
Dans le contexte de la crise financière portugaise, le Benfica affiche une dette bancaire de 216 millions d'euros, soit plus du double que celle de ses principaux rivaux réunis, le FC Porto et le Sporting Portugal.
Par contre, sur le plan sportif, Benfica a déçu ceux qui croyaient à la fin de l'hégémonie du FC Porto. Actuellement deuxième à 11 points de sa bête noire du nord, le club lisboète n'a plus guère de chance de conserver son titre.
Fifa.com (09/03/2011)
Re: International -News
Procédure disciplinaire engagée à l'encontre d'arbitres dans le cadre de matches internationaux
La FIFA a ouvert une procédure disciplinaire à l'encontre de six arbitres en relation avec les matches amicaux internationaux Bolivie - Lettonie et Estonie - Bulgarie, disputés le 9 février 2011 à Antalya (Turquie).
Après un examen minutieux des informations et des documents suggérant que le résultat de ces rencontres aurait pu être arrangé, la FIFA a décidé d'engager une procédure.
L'affaire a été transmise à la Commission de Discipline de la FIFA.
Fifa.com (10/03/2011)
La FIFA a ouvert une procédure disciplinaire à l'encontre de six arbitres en relation avec les matches amicaux internationaux Bolivie - Lettonie et Estonie - Bulgarie, disputés le 9 février 2011 à Antalya (Turquie).
Après un examen minutieux des informations et des documents suggérant que le résultat de ces rencontres aurait pu être arrangé, la FIFA a décidé d'engager une procédure.
L'affaire a été transmise à la Commission de Discipline de la FIFA.
Fifa.com (10/03/2011)
Re: International -News
Le Pérou gagne en confiance
Étape par étape et sans faire de bruit, la sélection péruvienne met tout en œuvre pour redevenir cette équipe qui avait fait trembler les gros bras sud-américains. Les progrès ne sont peut-être pas spectaculaires, mais les Incas s'efforcent de sécuriser leur ascension, sans perdre de vue leur objectif principal : retrouver la Coupe du Monde de la FIFA, qu'ils n'ont pas fréquentée depuis Espagne 1982.
Dans ce contexte, comment ne pas se réjouir de l'escalade de neuf places enregistrée lors de la dernière édition du Classement mondial FIFA/Coca-Cola ? Cette progression, la meilleure de la zone Amérique du Sud, permet au Pérou d'occuper le 59ème rang et de réintégrer ainsi le Top 60 mondial, qu'il avait quitté il y a trois mois.
Retour en force
Cette remontée a été alimentée par les 384,9 points engrangés suite à la victoire 1:0 (but d'Orlando Contreras) obtenue le 9 février au Panama. Aujourd'hui, le Pérou est donc la huitième nation de la CONMEBOL dans la hiérarchie mondiale, devant la Bolivie (97ème), mais aussi le Venezuela (63ème).
Certes, cette position n'a rien d'exceptionnel, puisque le Pérou est encore bien loin du meilleur classement de son histoire, la 34ème place, atteinte en septembre 1997. Cependant, les Rojiblancos n'avaient plus devancé deux nations de leur continent depuis novembre dernier, mois au cours duquel l'Équateur leur devait lui aussi le respect. Il y a un an, ils portaient même le bonnet d'âne de la zone Amérique du Sud...
Si le Pérou semble avoir atteint une certaine stabilité, il le doit entre autres à l'Uruguayen Sergio Markarian, nommé au poste de sélectionneur en juillet 2010. "Nous sommes arrivés avec un plan ambitieux reposant sur des points très clairs : suivre les joueurs évoluant dans le championnat du Pérou, échanger avec les entraîneurs, programmer des rassemblements même en dehors des dates bloquées par la FIFA, aller voir les joueurs en Europe, rencontrer les dirigeants, les représentants de l'État et de sociétés afin qu'ils soutiennent le foot péruvien... Nous avons fait tout cela !", affirmait le sélectionneur dans un entretien exclusif avec FIFA.com, deux mois après sa prise de fonctions.
Tourné vers Brésil 2014
La fédération péruvienne avait prévu deux matches amicaux, face au Nigeria et à l'Ouzbékistan, pour le mois de mars, mais ils ont tous deux été annulés. Cela n'empêchera pas Markarian de réunir son effectif en Espagne pour préparer la Copa América. "La Copa América représente deux choses pour nous : l'occasion idéale de redorer notre blason, mais aussi un moyen de préparer et de renforcer l'équipe en vue des qualifications", estimait le technicien.
Les supporters péruviens se rassureront en se disant que Markarian a qualifié le Paraguay pour Corée/Japon 2002, mais ils n'oublieront pas pour autant les difficultés auxquelles leur équipe est systématiquement confrontée dans ce championnat disputé sous forme de matches aller et retour. À l'exception de la campagne qualificative pour France 1998, au terme de laquelle l'Albirroja, cinquième ex-æquo avec le Chili, fut éliminée à la différence de buts, le Pérou n'a jamais fait mieux que la huitième place. Pire, elle a terminé lanterne rouge de la compétition préliminaire pour Afrique du Sud 2010...
Malgré tout, Markarian peut s'appuyer sur sa bonne connaissance du football péruvien. Dans les années 1990, il a dirigé de grosses écuries comme l'Universitario de Deportes et le Sporting Cristal, qu'il a chacune menés à un titre. C'est peut-être de ce vécu qu'il tire une partie de sa confiance : "Nous avons les ressources nécessaires pour former une équipe équilibrée et compétitive. L'objectif, c'est d'aller à la Coupe du Monde 2014 au Brésil et je pense que nous avons les moyens de l'atteindre. Si je n'y avais pas cru, je n'aurais pas accepté cette proposition".
Fifa.com (10/03/2011)
Étape par étape et sans faire de bruit, la sélection péruvienne met tout en œuvre pour redevenir cette équipe qui avait fait trembler les gros bras sud-américains. Les progrès ne sont peut-être pas spectaculaires, mais les Incas s'efforcent de sécuriser leur ascension, sans perdre de vue leur objectif principal : retrouver la Coupe du Monde de la FIFA, qu'ils n'ont pas fréquentée depuis Espagne 1982.
Dans ce contexte, comment ne pas se réjouir de l'escalade de neuf places enregistrée lors de la dernière édition du Classement mondial FIFA/Coca-Cola ? Cette progression, la meilleure de la zone Amérique du Sud, permet au Pérou d'occuper le 59ème rang et de réintégrer ainsi le Top 60 mondial, qu'il avait quitté il y a trois mois.
Retour en force
Cette remontée a été alimentée par les 384,9 points engrangés suite à la victoire 1:0 (but d'Orlando Contreras) obtenue le 9 février au Panama. Aujourd'hui, le Pérou est donc la huitième nation de la CONMEBOL dans la hiérarchie mondiale, devant la Bolivie (97ème), mais aussi le Venezuela (63ème).
Certes, cette position n'a rien d'exceptionnel, puisque le Pérou est encore bien loin du meilleur classement de son histoire, la 34ème place, atteinte en septembre 1997. Cependant, les Rojiblancos n'avaient plus devancé deux nations de leur continent depuis novembre dernier, mois au cours duquel l'Équateur leur devait lui aussi le respect. Il y a un an, ils portaient même le bonnet d'âne de la zone Amérique du Sud...
Si le Pérou semble avoir atteint une certaine stabilité, il le doit entre autres à l'Uruguayen Sergio Markarian, nommé au poste de sélectionneur en juillet 2010. "Nous sommes arrivés avec un plan ambitieux reposant sur des points très clairs : suivre les joueurs évoluant dans le championnat du Pérou, échanger avec les entraîneurs, programmer des rassemblements même en dehors des dates bloquées par la FIFA, aller voir les joueurs en Europe, rencontrer les dirigeants, les représentants de l'État et de sociétés afin qu'ils soutiennent le foot péruvien... Nous avons fait tout cela !", affirmait le sélectionneur dans un entretien exclusif avec FIFA.com, deux mois après sa prise de fonctions.
Tourné vers Brésil 2014
La fédération péruvienne avait prévu deux matches amicaux, face au Nigeria et à l'Ouzbékistan, pour le mois de mars, mais ils ont tous deux été annulés. Cela n'empêchera pas Markarian de réunir son effectif en Espagne pour préparer la Copa América. "La Copa América représente deux choses pour nous : l'occasion idéale de redorer notre blason, mais aussi un moyen de préparer et de renforcer l'équipe en vue des qualifications", estimait le technicien.
Les supporters péruviens se rassureront en se disant que Markarian a qualifié le Paraguay pour Corée/Japon 2002, mais ils n'oublieront pas pour autant les difficultés auxquelles leur équipe est systématiquement confrontée dans ce championnat disputé sous forme de matches aller et retour. À l'exception de la campagne qualificative pour France 1998, au terme de laquelle l'Albirroja, cinquième ex-æquo avec le Chili, fut éliminée à la différence de buts, le Pérou n'a jamais fait mieux que la huitième place. Pire, elle a terminé lanterne rouge de la compétition préliminaire pour Afrique du Sud 2010...
Malgré tout, Markarian peut s'appuyer sur sa bonne connaissance du football péruvien. Dans les années 1990, il a dirigé de grosses écuries comme l'Universitario de Deportes et le Sporting Cristal, qu'il a chacune menés à un titre. C'est peut-être de ce vécu qu'il tire une partie de sa confiance : "Nous avons les ressources nécessaires pour former une équipe équilibrée et compétitive. L'objectif, c'est d'aller à la Coupe du Monde 2014 au Brésil et je pense que nous avons les moyens de l'atteindre. Si je n'y avais pas cru, je n'aurais pas accepté cette proposition".
Fifa.com (10/03/2011)
Re: International -News
Deuxième décollage vers le Cosmos
La rumeur a commencé à courir au début de l'été dernier. "Le Cosmos est de retour", entendait-on dans le milieu du soccer, au nord-est des États-Unis. "Il va construire un nouveau stade. Il va jouer dans le Queens." Oui, le légendaire club américain était sur le point de ressusciter.
Il existe une nostalgie tenace autour du New York Cosmos, ce club glamour qui avait fait entrer le football dans la vie d'Américains jusque-là indifférents aux charmes du ballon rond. Un retour aux affaires du club ? Cette perspective semblait relever d'un doux rêve, le dernier match du Cosmos remontant à quasiment deux décennies.
Le Cosmos était la figure de proue de l'ancienne North American Soccer League (NASL), première mouture de championnat professionnel de soccer, destinée à bousculer l'hégémonie du football américain et du baseball. Si cette ligue créée en 1968 a fini par s'effondrer en 1984, le Cosmos, qui est entré dans la légende grâce à son budget surdimensionné, son côté jet-set et son goût prononcé pour le show, est resté un tremplin pour l'avenir.
Le club de Big Apple a connu ses heures de gloire entre 1975 et 1980, quand il a fait venir les meilleurs footballeurs de la planète à New York, à l'époque dorée du Studio 54, discothèque mythique de la ville. Le premier à signer a été Pelé, plus tard imité par Carlos Alberto. Franz Beckenbauer, Johan Cruyff de façon éphémère, Johan Neeskens et le célèbre attaquant italien Giorgio Chinaglia ont tous porté les couleurs du club. Cette constellation de stars qui remplissait régulièrement les 80 000 places du Meadowlands Stadium était devenue, de l'avis d'un journaliste de l'époque, "l'équipe la plus glamour du football mondial".
Un mal pour un bien
Alors que le soccer devait chambouler le paysage sportif américain, la réalité a pris le dessus et le championnat a fini par imploser. Car en face du Cosmos et de son richissime propriétaire, Warner Communications, on trouvait les modestes San Diego Jaws, Hartford Bicentennials et Colorado Caribous, formations aux moyens plus limités et implantées sur des marchés moins porteurs. Inéluctablement, la NASL a fini par s'écrouler sous le poids de l'ogre new-yorkais.
À quelque chose malheur est bon : les éclats de l'explosion du Cosmos ont permis au soccer de se développer. Dix ans après le démantèlement de la ligue, les États-Unis accueillaient la Coupe du Monde de la FIFA et en 1996, un nouveau championnat voyait le jour. Soucieux de ne pas reproduire les erreurs du passé, les dirigeants de la Major League Soccer (MLS) ont opté pour une structure plus modeste qu'ils ont tenu à gérer en bons pères de famille.
"Le Cosmos est de retour !", s'est enthousiasmé Pelé au mois d'août, quand les dirigeants de ce monument en reconstruction ont fait d'O Rei leur président d'honneur. "Pelé est le plus grand nom du football", reconnaissait récemment Terry Byrne, le directeur anglais du Cosmos, dans un entretien avec FIFA.com. Âgé de 44 ans, cet ancien chauffeur de taxi qui a un temps travaillé comme masseur à Chelsea est aussi le meilleur ami d'un certain David Beckham. Aujourd'hui, Byrne est le promoteur de ce grand projet, un franc-tireur qui ne lâche rien dans les négociations et qu'il est très difficile de joindre au téléphone.
Fidèles à la tradition de la maison, Byrne et son équipe n'ont pas voulu se contenter du come-back de Pelé. Le mois dernier, ils ont annoncé la nomination du légendaire Eric Cantona au poste de directeur du football, où il sera secondé par Cobi Jones, recordman du nombre de sélections avec les Etats-Unis. "Cantona a quitté le football depuis longtemps. Sa signature est un coup immense pour nous", espère Byrne à propos de l'ancienne idole d'Old Trafford. "Ce tandem va nous apporter un truc en plus. Avec eux, nous avons une dimension à la fois locale et internationale."
Objectif MLS
L'objectif du Cosmos est de devenir le 20ème club de MLS en 2013. Les dirigeants du championnat sont d'ailleurs enchantés par la perspective d'accueillir une deuxième franchise new-yorkaise après les Red Bulls. Mais le projet n'est pas encore matérialisé. Si l'équipe du New Jersey, qui compte dans ses rangs des stars étrangères telles que Thierry Henry et Rafa Marquez, est déjà bien installée dans la ligue, c'est loin d'être le cas du Cosmos. Ce dernier a une ligne de vêtements, une page facebook, un maillot, version revisitée du maillot vintage vert et blanc, des drapeaux, une campagne d'affichage, un siège agréable à SoHo et du personnel. Il ne lui manque finalement que l'essentiel : une équipe et l'assurance de revenir dans la cour des grands.
Pour accéder à la MLS, le Cosmos, qui avait bâti sa légende sur des dépenses astronomiques et une inlassable chasse aux stars, devra quelque peu revoir ses méthodes. Car la MLS a tiré des leçons de l'échec de la NASL. L'instauration d'un plafond salarial, que seuls des joueurs désignés auront le droit de dépasser, va obliger la franchise de Big Apple à tout refaire du sol au plafond. Byrne est prêt à relever ce défi. "La vision sera la même : aller chercher les stars", affirme-t-il, lui qui dit avoir été "pris de passion pour le Cosmos" depuis qu'il les avait vus s'entraîner quand il était gamin. "L'ADN de l'ancien Cosmos est encore là."
Mais l'Anglais s'empresse de souligner la nouvelle ligne directrice du club : "Nous avons deux centres de formation, l'un à New York et l'autre à Los Angeles, les deux ayant été récemment acquis par le club." Byrne annonce également que la tradition offensive du Cosmos sera perpétuée : "Nous ne pouvons pas acheter les meilleurs joueurs du monde. La nouvelle philosophie consistera à bâtir un style de jeu spectaculaire. Johan Cruyff et le FC Barcelone représentent le modèle idéal. Nous voulons reproduire cela avec Pelé, Cantona et Jones."
Ceux qui salivent à l'idée de retrouver les paillettes et le glamour du bon vieux temps risquent d'être déçus par les précautions budgétaires auxquelles ce Cosmos new-look est tenu. Mais Byrne s'empresse de préciser : "Nous respectons l'héritage du passé, qui était une époque dorée. Notre objectif est de renouer avec ce temps-là, mais en partant de la base."
Fifa.com (10/03/2011)
La rumeur a commencé à courir au début de l'été dernier. "Le Cosmos est de retour", entendait-on dans le milieu du soccer, au nord-est des États-Unis. "Il va construire un nouveau stade. Il va jouer dans le Queens." Oui, le légendaire club américain était sur le point de ressusciter.
Il existe une nostalgie tenace autour du New York Cosmos, ce club glamour qui avait fait entrer le football dans la vie d'Américains jusque-là indifférents aux charmes du ballon rond. Un retour aux affaires du club ? Cette perspective semblait relever d'un doux rêve, le dernier match du Cosmos remontant à quasiment deux décennies.
Le Cosmos était la figure de proue de l'ancienne North American Soccer League (NASL), première mouture de championnat professionnel de soccer, destinée à bousculer l'hégémonie du football américain et du baseball. Si cette ligue créée en 1968 a fini par s'effondrer en 1984, le Cosmos, qui est entré dans la légende grâce à son budget surdimensionné, son côté jet-set et son goût prononcé pour le show, est resté un tremplin pour l'avenir.
Le club de Big Apple a connu ses heures de gloire entre 1975 et 1980, quand il a fait venir les meilleurs footballeurs de la planète à New York, à l'époque dorée du Studio 54, discothèque mythique de la ville. Le premier à signer a été Pelé, plus tard imité par Carlos Alberto. Franz Beckenbauer, Johan Cruyff de façon éphémère, Johan Neeskens et le célèbre attaquant italien Giorgio Chinaglia ont tous porté les couleurs du club. Cette constellation de stars qui remplissait régulièrement les 80 000 places du Meadowlands Stadium était devenue, de l'avis d'un journaliste de l'époque, "l'équipe la plus glamour du football mondial".
Un mal pour un bien
Alors que le soccer devait chambouler le paysage sportif américain, la réalité a pris le dessus et le championnat a fini par imploser. Car en face du Cosmos et de son richissime propriétaire, Warner Communications, on trouvait les modestes San Diego Jaws, Hartford Bicentennials et Colorado Caribous, formations aux moyens plus limités et implantées sur des marchés moins porteurs. Inéluctablement, la NASL a fini par s'écrouler sous le poids de l'ogre new-yorkais.
À quelque chose malheur est bon : les éclats de l'explosion du Cosmos ont permis au soccer de se développer. Dix ans après le démantèlement de la ligue, les États-Unis accueillaient la Coupe du Monde de la FIFA et en 1996, un nouveau championnat voyait le jour. Soucieux de ne pas reproduire les erreurs du passé, les dirigeants de la Major League Soccer (MLS) ont opté pour une structure plus modeste qu'ils ont tenu à gérer en bons pères de famille.
"Le Cosmos est de retour !", s'est enthousiasmé Pelé au mois d'août, quand les dirigeants de ce monument en reconstruction ont fait d'O Rei leur président d'honneur. "Pelé est le plus grand nom du football", reconnaissait récemment Terry Byrne, le directeur anglais du Cosmos, dans un entretien avec FIFA.com. Âgé de 44 ans, cet ancien chauffeur de taxi qui a un temps travaillé comme masseur à Chelsea est aussi le meilleur ami d'un certain David Beckham. Aujourd'hui, Byrne est le promoteur de ce grand projet, un franc-tireur qui ne lâche rien dans les négociations et qu'il est très difficile de joindre au téléphone.
Fidèles à la tradition de la maison, Byrne et son équipe n'ont pas voulu se contenter du come-back de Pelé. Le mois dernier, ils ont annoncé la nomination du légendaire Eric Cantona au poste de directeur du football, où il sera secondé par Cobi Jones, recordman du nombre de sélections avec les Etats-Unis. "Cantona a quitté le football depuis longtemps. Sa signature est un coup immense pour nous", espère Byrne à propos de l'ancienne idole d'Old Trafford. "Ce tandem va nous apporter un truc en plus. Avec eux, nous avons une dimension à la fois locale et internationale."
Objectif MLS
L'objectif du Cosmos est de devenir le 20ème club de MLS en 2013. Les dirigeants du championnat sont d'ailleurs enchantés par la perspective d'accueillir une deuxième franchise new-yorkaise après les Red Bulls. Mais le projet n'est pas encore matérialisé. Si l'équipe du New Jersey, qui compte dans ses rangs des stars étrangères telles que Thierry Henry et Rafa Marquez, est déjà bien installée dans la ligue, c'est loin d'être le cas du Cosmos. Ce dernier a une ligne de vêtements, une page facebook, un maillot, version revisitée du maillot vintage vert et blanc, des drapeaux, une campagne d'affichage, un siège agréable à SoHo et du personnel. Il ne lui manque finalement que l'essentiel : une équipe et l'assurance de revenir dans la cour des grands.
Pour accéder à la MLS, le Cosmos, qui avait bâti sa légende sur des dépenses astronomiques et une inlassable chasse aux stars, devra quelque peu revoir ses méthodes. Car la MLS a tiré des leçons de l'échec de la NASL. L'instauration d'un plafond salarial, que seuls des joueurs désignés auront le droit de dépasser, va obliger la franchise de Big Apple à tout refaire du sol au plafond. Byrne est prêt à relever ce défi. "La vision sera la même : aller chercher les stars", affirme-t-il, lui qui dit avoir été "pris de passion pour le Cosmos" depuis qu'il les avait vus s'entraîner quand il était gamin. "L'ADN de l'ancien Cosmos est encore là."
Mais l'Anglais s'empresse de souligner la nouvelle ligne directrice du club : "Nous avons deux centres de formation, l'un à New York et l'autre à Los Angeles, les deux ayant été récemment acquis par le club." Byrne annonce également que la tradition offensive du Cosmos sera perpétuée : "Nous ne pouvons pas acheter les meilleurs joueurs du monde. La nouvelle philosophie consistera à bâtir un style de jeu spectaculaire. Johan Cruyff et le FC Barcelone représentent le modèle idéal. Nous voulons reproduire cela avec Pelé, Cantona et Jones."
Ceux qui salivent à l'idée de retrouver les paillettes et le glamour du bon vieux temps risquent d'être déçus par les précautions budgétaires auxquelles ce Cosmos new-look est tenu. Mais Byrne s'empresse de préciser : "Nous respectons l'héritage du passé, qui était une époque dorée. Notre objectif est de renouer avec ce temps-là, mais en partant de la base."
Fifa.com (10/03/2011)
Re: International -News
Hitzfeld prolonge
L'Allemand Ottmar Hitzfeld a prolongé de deux ans son contrat de sélectionneur de la Suisse, qu'il dirigera donc jusqu'à la Coupe du monde 2014 au Brésil, a annoncé jeudi la Fédération Suisse de football (ASF).
Le comité central de l'ASF, réuni vendredi dernier, avait décidé de prolonger de deux ans le contrat de Hitzfeld, qui arrivait à échéance fin juin 2012.
Hitzfeld, 62 ans, en poste depuis juillet 2008, avait conduit la Suisse à la qualification pour le Mondial-2010 en Afrique du Sud où son équipe s'était illustrée au premier tour en infligeant à l'Espagne sa seule défaite (1-0) jusqu'à la victoire finale.
Fifa.com (10/03/2011)
L'Allemand Ottmar Hitzfeld a prolongé de deux ans son contrat de sélectionneur de la Suisse, qu'il dirigera donc jusqu'à la Coupe du monde 2014 au Brésil, a annoncé jeudi la Fédération Suisse de football (ASF).
Le comité central de l'ASF, réuni vendredi dernier, avait décidé de prolonger de deux ans le contrat de Hitzfeld, qui arrivait à échéance fin juin 2012.
Hitzfeld, 62 ans, en poste depuis juillet 2008, avait conduit la Suisse à la qualification pour le Mondial-2010 en Afrique du Sud où son équipe s'était illustrée au premier tour en infligeant à l'Espagne sa seule défaite (1-0) jusqu'à la victoire finale.
Fifa.com (10/03/2011)
Re: International -News
Les clubs russes reprennent du service
Le pays hôte de la Coupe du Monde de la FIFA 2018 a été désigné il y a trois mois et si le coup d'envoi en Russie ne sera donné que dans sept ans, la 21ème édition de la compétition reine projette déjà son ombre sur le football russe. La Premier League se trouve cette saison en plein bouleversement, la course au titre démarrant en automne et se terminant au printemps, comme les autres grands championnats d'Europe.
Dans un premier temps, comme c'était le cas jusqu'à présent, les 16 clubs de première division affronteront leurs rivaux à deux reprises, jusqu'en novembre 2011. A l'issue de cette première phase, ils seront répartis en deux groupes de huit équipes. Les hostilités reprendront au printemps 2012 : les huit meilleures équipes se battront pour décrocher le trophée, les huit autres tenteront d'assurer leur maintien.
"Notre objectif est d'amener le football russe à un niveau plus élevé à travers cette restructuration", expliquait le président de la Fédération russe Sergei Fursenko en septembre dernier, lors de l'annonce du nouveau format. "Nous allons augmenter la durée du championnat, améliorer les infrastructures et synchroniser notre calendrier avec le calendrier européen."
"Cette saison s'annonce extrêmement longue", annonce l'attaquant international allemand Kevin Kuranyi, qui évolue depuis juillet dernier au Dynamo Moscou, à propos de cette saison de transition.
Le champion
Le Zénith Saint-Pétersbourg a largement dominé la saison 2010. Il a occupé la première place du classement durant 29 des 30 journées et affichait à l'issue du championnat le plus grand nombre de victoires (20), la meilleure attaque (61 buts), le plus petit nombre de défaites (2) et la meilleure différence de buts (+ 40). Mais tout cela appartient au passé et ce qui importe dorénavant à l'équipe en bleu et blanc, c'est de réussir un tour de force qu'un seul club non-moscovite, le Rubin Kazan, en 2009, a réalisé jusqu'ici : défendre son titre.
Inutile de chercher de nouvelles recrues de prestige dans les rangs du Zénith, vainqueur de la Coupe UEFA 2008. Le club a préféré miser sur l'expérience et la continuité. L'équipe entraînée par l'Italien Luciano Spalletti a déjà passé un premier test avec succès : le Zénith s'est imposé 1:0 face au CSKA Moscou en finale de la Supercoupe de Russie.
Les prétendants
Sur les 18 saisons de Premier League disputées à ce jour, 13 titres ont été remportés par des formations de Moscou. Rien d'étonnant donc à ce que l'objectif des clubs moscovites - le Lokomotiv, le Dynamo, le Spartak et le CSKA - soit de prendre la tête du championnat 2011/12. Les deux derniers clubs en particulier ont le trophée dans leur ligne de mire.
Toutefois, les équipes de la capitale attendent depuis quatre ans de triompher en Premier League. Le Zénith, en 2007 et 2010, et le Rubin Kazan, en 2008 et 2009, ont décroché deux fois chacun la couronne nationale lors des dernières éditions du championnat. Et le Rubin n'a pas l'intention d'en rester là. Il a frappé un grand coup sur le marché des transferts ces derniers mois en recrutant des stars comme Eduardo, Obafemi Martins, actuellement prêté à Birmingham City, ou Salvatore Bocchetti.
Les outsiders
Deux clubs ont créé la sensation ces derniers temps, même si le premier n'est monté en première division qu'en 2010 et si le second ne compte guère de titre à son palmarès, à l'exception d'une Coupe de Russie en 2004 : le FC Anzhi Makhachkala et le Terek Grozny.
Ce n'est certes pas lié aux places qu'ils occupaient en bas du tableau à la fin de la saison passée, respectivement le 11ème et le 12ème rang. Mais le duo a volé la vedette aux gros calibres en matière de transferts. Avec leurs troupes fraîches, les deux clubs espèrent se montrer dans les années à venir en mesure de concurrencer les formations moscovites, Kazan et Saint-Pétersbourg.
Les principaux transferts
Makhachkala s'est attaché les services du champion du monde brésilien Roberto Carlos. Le défenseur de 37 ans, qui a notamment porté les couleurs du Real Madrid et de l'Inter Milan par le passé, a d'emblée enfilé le brassard de capitaine. "Je ne peux pas prédire l'avenir, mais j'espère être capable de jouer jusqu'à 40 ou 42 ans. J'arrive encore à parcourir sept ou huit kilomètres par match. J'avais envie de participer à un projet intéressant et ambitieux", explique la star brésilienne. Et Kuranyi d'ajouter : "Le fait qu'un tel joueur vienne en Russie est une très bonne publicité pour la Premier League, cela devrait attirer les jeunes talents."
Grozny a quant à lui privilégié la qualité sur le banc de touche et a engagé un nouvel entraîneur en la personne du Néerlandais Ruud Gullit, ancien milieu de terrain de classe mondiale. "Je trouve cela positif que ces équipes renforcent leurs effectifs. Cela rend la Premier League globalement plus intéressante", commente Kuranyi. L'ancien buteur de Schalke 04 se réjouit particulièrement de l'arrivée dans son propre club d'une recrue de choix : Zvjezdan Misimovic. L'attaquant compte sur le milieu de terrain bosnien pour lui délivrer des passes décisives la saison prochaine. "Le club franchit un cap important en faisant venir de grands joueurs qui vont nous tirer vers le haut."
Les joueurs à suivre
Naturellement, durant les premières semaines de la saison, les nouveaux arrivants seront au centre de l'attention. Il ne faut pas oublier pour autant qu'ils ne sont pas les seuls joueurs de talent que compte la Premier Liga. Entre Welliton (Spartak Moscou), meilleur buteur du championnat, et les internationaux comme Igor Akinfeev, Keisuke Honda (CSKA), Danny ou Bruno Alves (Saint-Pétersbourg), la qualité est au rendez-vous et la course au titre s'annonce passionnante, cette année encore.
En outre, le championnat nous réserve deux belles affiches dès le début de la saison. La Premier League s'offre un magnifique lever de rideau avec un derby moscovite qui verra s'affronter le Lokomotiv et le Dynamo. Le tenant du titre Saint-Pétersbourg se mesurera de son côté au Terek Grozny entraîné par Ruud Gullit.
Fifa.com (11/03/2011)
Le pays hôte de la Coupe du Monde de la FIFA 2018 a été désigné il y a trois mois et si le coup d'envoi en Russie ne sera donné que dans sept ans, la 21ème édition de la compétition reine projette déjà son ombre sur le football russe. La Premier League se trouve cette saison en plein bouleversement, la course au titre démarrant en automne et se terminant au printemps, comme les autres grands championnats d'Europe.
Dans un premier temps, comme c'était le cas jusqu'à présent, les 16 clubs de première division affronteront leurs rivaux à deux reprises, jusqu'en novembre 2011. A l'issue de cette première phase, ils seront répartis en deux groupes de huit équipes. Les hostilités reprendront au printemps 2012 : les huit meilleures équipes se battront pour décrocher le trophée, les huit autres tenteront d'assurer leur maintien.
"Notre objectif est d'amener le football russe à un niveau plus élevé à travers cette restructuration", expliquait le président de la Fédération russe Sergei Fursenko en septembre dernier, lors de l'annonce du nouveau format. "Nous allons augmenter la durée du championnat, améliorer les infrastructures et synchroniser notre calendrier avec le calendrier européen."
"Cette saison s'annonce extrêmement longue", annonce l'attaquant international allemand Kevin Kuranyi, qui évolue depuis juillet dernier au Dynamo Moscou, à propos de cette saison de transition.
Le champion
Le Zénith Saint-Pétersbourg a largement dominé la saison 2010. Il a occupé la première place du classement durant 29 des 30 journées et affichait à l'issue du championnat le plus grand nombre de victoires (20), la meilleure attaque (61 buts), le plus petit nombre de défaites (2) et la meilleure différence de buts (+ 40). Mais tout cela appartient au passé et ce qui importe dorénavant à l'équipe en bleu et blanc, c'est de réussir un tour de force qu'un seul club non-moscovite, le Rubin Kazan, en 2009, a réalisé jusqu'ici : défendre son titre.
Inutile de chercher de nouvelles recrues de prestige dans les rangs du Zénith, vainqueur de la Coupe UEFA 2008. Le club a préféré miser sur l'expérience et la continuité. L'équipe entraînée par l'Italien Luciano Spalletti a déjà passé un premier test avec succès : le Zénith s'est imposé 1:0 face au CSKA Moscou en finale de la Supercoupe de Russie.
Les prétendants
Sur les 18 saisons de Premier League disputées à ce jour, 13 titres ont été remportés par des formations de Moscou. Rien d'étonnant donc à ce que l'objectif des clubs moscovites - le Lokomotiv, le Dynamo, le Spartak et le CSKA - soit de prendre la tête du championnat 2011/12. Les deux derniers clubs en particulier ont le trophée dans leur ligne de mire.
Toutefois, les équipes de la capitale attendent depuis quatre ans de triompher en Premier League. Le Zénith, en 2007 et 2010, et le Rubin Kazan, en 2008 et 2009, ont décroché deux fois chacun la couronne nationale lors des dernières éditions du championnat. Et le Rubin n'a pas l'intention d'en rester là. Il a frappé un grand coup sur le marché des transferts ces derniers mois en recrutant des stars comme Eduardo, Obafemi Martins, actuellement prêté à Birmingham City, ou Salvatore Bocchetti.
Les outsiders
Deux clubs ont créé la sensation ces derniers temps, même si le premier n'est monté en première division qu'en 2010 et si le second ne compte guère de titre à son palmarès, à l'exception d'une Coupe de Russie en 2004 : le FC Anzhi Makhachkala et le Terek Grozny.
Ce n'est certes pas lié aux places qu'ils occupaient en bas du tableau à la fin de la saison passée, respectivement le 11ème et le 12ème rang. Mais le duo a volé la vedette aux gros calibres en matière de transferts. Avec leurs troupes fraîches, les deux clubs espèrent se montrer dans les années à venir en mesure de concurrencer les formations moscovites, Kazan et Saint-Pétersbourg.
Les principaux transferts
Makhachkala s'est attaché les services du champion du monde brésilien Roberto Carlos. Le défenseur de 37 ans, qui a notamment porté les couleurs du Real Madrid et de l'Inter Milan par le passé, a d'emblée enfilé le brassard de capitaine. "Je ne peux pas prédire l'avenir, mais j'espère être capable de jouer jusqu'à 40 ou 42 ans. J'arrive encore à parcourir sept ou huit kilomètres par match. J'avais envie de participer à un projet intéressant et ambitieux", explique la star brésilienne. Et Kuranyi d'ajouter : "Le fait qu'un tel joueur vienne en Russie est une très bonne publicité pour la Premier League, cela devrait attirer les jeunes talents."
Grozny a quant à lui privilégié la qualité sur le banc de touche et a engagé un nouvel entraîneur en la personne du Néerlandais Ruud Gullit, ancien milieu de terrain de classe mondiale. "Je trouve cela positif que ces équipes renforcent leurs effectifs. Cela rend la Premier League globalement plus intéressante", commente Kuranyi. L'ancien buteur de Schalke 04 se réjouit particulièrement de l'arrivée dans son propre club d'une recrue de choix : Zvjezdan Misimovic. L'attaquant compte sur le milieu de terrain bosnien pour lui délivrer des passes décisives la saison prochaine. "Le club franchit un cap important en faisant venir de grands joueurs qui vont nous tirer vers le haut."
Les joueurs à suivre
Naturellement, durant les premières semaines de la saison, les nouveaux arrivants seront au centre de l'attention. Il ne faut pas oublier pour autant qu'ils ne sont pas les seuls joueurs de talent que compte la Premier Liga. Entre Welliton (Spartak Moscou), meilleur buteur du championnat, et les internationaux comme Igor Akinfeev, Keisuke Honda (CSKA), Danny ou Bruno Alves (Saint-Pétersbourg), la qualité est au rendez-vous et la course au titre s'annonce passionnante, cette année encore.
En outre, le championnat nous réserve deux belles affiches dès le début de la saison. La Premier League s'offre un magnifique lever de rideau avec un derby moscovite qui verra s'affronter le Lokomotiv et le Dynamo. Le tenant du titre Saint-Pétersbourg se mesurera de son côté au Terek Grozny entraîné par Ruud Gullit.
Fifa.com (11/03/2011)
Re: International -News
Objectif Mexique
Les pays de la Confédération sud-américaine de football regardent vers le nord. Du samedi 12 mars au dimanche 10 avril, les 10 nations de la CONMEBOL participeront en Equateur au 14ème Championnat sud-américain U-17 (Campeonato Sudamericano U-17), avec en jeu quatre billets pour la Coupe du Monde U-17 de la FIFA, Mexique 2011.
Le Groupe A est composé de l'Argentine, de la Bolivie, de l'Equateur, du Pérou et de l'Uruguay tandis que dans le Groupe B, on trouve le Brésil, le Chili, la Colombie, le Paraguay et le Venezuela. Les trois premiers de chaque poule accéderont au deuxième tour, qui se disputera sous la forme d'un tournoi hexagonal où toutes les équipes se rencontreront. Les quatre pays les mieux placés à l'issue de ce mini-championnat seront qualifiés pour Mexique 2011 ainsi que pour les Jeux panaméricains, Guadalajara 2011.
L'éternel prétendant
Avec neuf couronnes continentales à son actif, le Brésil, qui reste sur trois sacres consécutifs dans l'épreuve, est plus que jamais candidat à la victoire finale. L'entraîneur Emerson Ávila peut compter sur un groupe compact, composé en grande partie de joueurs qui ont été vice-champions d'Amérique du Sud dans la catégorie U-15 à Bolivie 2009. À cette occasion, l'attaquant Lucas Piazon avait terminé meilleur buteur de la compétition, avec 10 réalisations. "Contrairement aux U-20, nous n'avons pas de Neymar ou de Lucas. Nous dépendons du collectif. L'aspect tactique sera important également. Cela dit, il est certain que les individualités peuvent toujours apporter un plus", affirme Ávila.
L'un des concurrents les plus sérieux du Brésil dans son groupe sera le Paraguay, tombeur de la Seleçãozinha en finale de Bolivie 2009. Gerardo González, qui était alors à la tête des U-15, entraîne aujourd'hui l'Albirroja U-17. "Nous respectons toutes les équipes, mais tout le monde partira avec les mêmes chances. Notre objectif est d'aller au Mexique", prévient le coach. À noter que les Guaranis n'ont plus participé à la Coupe du Monde U-17 de la FIFA depuis 2001.
La Colombie possède elle aussi un entraîneur habitué à la victoire. Ramiro Viáfara avait permis aux Cafeteros non seulement de se qualifier pour Nigeria 2009, mais également d'obtenir une quatrième place inédite en phase finale. La Tricolor est en outre la troisième nation sud-américaine la plus fréquemment présente en phase finale du tournoi suprême de la catégorie, avec cinq participations, derrière le Brésil (12) et l'Argentine (10).
Malgré une absence de 14 ans, depuis Égypte 1997, en Coupe du Monde U-17 de la FIFA, le Chili ne cache pas ses ambitions. "Il faudra compter avec nous. Nous sommes bien décidés à pratiquer notre football et à lutter jusqu'au bout pour la qualification", annonce George Biehl, entraîneur de la Rojita. Pour le Venezuela, l'objectif sera tout simplement de décrocher une première participation à l'épreuve.
Pronostic ouvert
Dans le Groupe A, l'équipe à battre sera incontestablement l'Argentine, forte de ses 10 participations à la compétition et de ses deux titres continentaux, auxquels on peut ajouter cinq places de finaliste. Sous la houlette du champion du monde 1986 Oscar Garré, la jeune Albiceleste tentera de régner sur le football U-17 sud-américain pour la première fois depuis 2003, où elle avait mis fin à une série de quatre triomphes consécutifs du Brésil sur la scène continentale.
Après ses excellentes prestations en Amérique du Sud et dans le Sudamericano U-20, à l'issue duquel il a décroché sa qualification pour la Coupe du Monde U-20 de la FIFA 2011 et le Tournoi Olympique de Football 2012, l'Uruguay entend étendre cette forme éblouissante à la catégorie U-17. Présente à deux des trois dernières éditions du tournoi mondial, la Celeste, aujourd'hui dirigée par Fabián Coito, espère bien mettre les mains sur un trophée qui lui a échappé de peu en 1991 et en 2003, lorsqu'elle avait été battue en finale par le Brésil.
Hôte de ce tournoi préliminaire sud-américain, l'Equateur avait accueilli la Coupe du Monde U-17 de la FIFA en 1995. Hormis cette qualification automatique, les Équatoriens n'ont réussi qu'une seule fois à valider sur le terrain leur billet pour la phase finale. C'était en 1987. "Le calendrier peut nous être favorable. Nous débutons par la Bolivie et le Pérou, puis nous aurons un peu de repos. L'objectif est de prendre six points lors de ces deux premiers matches, avant d'affronter l'Uruguay et l'Argentine, qui sont les deux favoris du groupe", analyse l'entraîneur Xavier Rodríguez.
Le sélectionneur Juan José Oré s'apprête à disputer son troisième Sudamericano à la tête de l'équipe du Pérou, absente à Nigeria 2009, mais qui avait surpris tout le monde en décrochant sa qualification pour République de Corée 2007. À cette occasion, les jeunes Blanquirojos avaient atteint les quarts de finale. Quant à la Bolivie, elle tentera d'obtenir la deuxième participation de son histoire à la Coupe du Monde U-17 de la FIFA, après avoir été présente à l'édition inaugurale en RP Chine, en 1985.
Fifa.com (11/03/2011)
Les pays de la Confédération sud-américaine de football regardent vers le nord. Du samedi 12 mars au dimanche 10 avril, les 10 nations de la CONMEBOL participeront en Equateur au 14ème Championnat sud-américain U-17 (Campeonato Sudamericano U-17), avec en jeu quatre billets pour la Coupe du Monde U-17 de la FIFA, Mexique 2011.
Le Groupe A est composé de l'Argentine, de la Bolivie, de l'Equateur, du Pérou et de l'Uruguay tandis que dans le Groupe B, on trouve le Brésil, le Chili, la Colombie, le Paraguay et le Venezuela. Les trois premiers de chaque poule accéderont au deuxième tour, qui se disputera sous la forme d'un tournoi hexagonal où toutes les équipes se rencontreront. Les quatre pays les mieux placés à l'issue de ce mini-championnat seront qualifiés pour Mexique 2011 ainsi que pour les Jeux panaméricains, Guadalajara 2011.
L'éternel prétendant
Avec neuf couronnes continentales à son actif, le Brésil, qui reste sur trois sacres consécutifs dans l'épreuve, est plus que jamais candidat à la victoire finale. L'entraîneur Emerson Ávila peut compter sur un groupe compact, composé en grande partie de joueurs qui ont été vice-champions d'Amérique du Sud dans la catégorie U-15 à Bolivie 2009. À cette occasion, l'attaquant Lucas Piazon avait terminé meilleur buteur de la compétition, avec 10 réalisations. "Contrairement aux U-20, nous n'avons pas de Neymar ou de Lucas. Nous dépendons du collectif. L'aspect tactique sera important également. Cela dit, il est certain que les individualités peuvent toujours apporter un plus", affirme Ávila.
L'un des concurrents les plus sérieux du Brésil dans son groupe sera le Paraguay, tombeur de la Seleçãozinha en finale de Bolivie 2009. Gerardo González, qui était alors à la tête des U-15, entraîne aujourd'hui l'Albirroja U-17. "Nous respectons toutes les équipes, mais tout le monde partira avec les mêmes chances. Notre objectif est d'aller au Mexique", prévient le coach. À noter que les Guaranis n'ont plus participé à la Coupe du Monde U-17 de la FIFA depuis 2001.
La Colombie possède elle aussi un entraîneur habitué à la victoire. Ramiro Viáfara avait permis aux Cafeteros non seulement de se qualifier pour Nigeria 2009, mais également d'obtenir une quatrième place inédite en phase finale. La Tricolor est en outre la troisième nation sud-américaine la plus fréquemment présente en phase finale du tournoi suprême de la catégorie, avec cinq participations, derrière le Brésil (12) et l'Argentine (10).
Malgré une absence de 14 ans, depuis Égypte 1997, en Coupe du Monde U-17 de la FIFA, le Chili ne cache pas ses ambitions. "Il faudra compter avec nous. Nous sommes bien décidés à pratiquer notre football et à lutter jusqu'au bout pour la qualification", annonce George Biehl, entraîneur de la Rojita. Pour le Venezuela, l'objectif sera tout simplement de décrocher une première participation à l'épreuve.
Pronostic ouvert
Dans le Groupe A, l'équipe à battre sera incontestablement l'Argentine, forte de ses 10 participations à la compétition et de ses deux titres continentaux, auxquels on peut ajouter cinq places de finaliste. Sous la houlette du champion du monde 1986 Oscar Garré, la jeune Albiceleste tentera de régner sur le football U-17 sud-américain pour la première fois depuis 2003, où elle avait mis fin à une série de quatre triomphes consécutifs du Brésil sur la scène continentale.
Après ses excellentes prestations en Amérique du Sud et dans le Sudamericano U-20, à l'issue duquel il a décroché sa qualification pour la Coupe du Monde U-20 de la FIFA 2011 et le Tournoi Olympique de Football 2012, l'Uruguay entend étendre cette forme éblouissante à la catégorie U-17. Présente à deux des trois dernières éditions du tournoi mondial, la Celeste, aujourd'hui dirigée par Fabián Coito, espère bien mettre les mains sur un trophée qui lui a échappé de peu en 1991 et en 2003, lorsqu'elle avait été battue en finale par le Brésil.
Hôte de ce tournoi préliminaire sud-américain, l'Equateur avait accueilli la Coupe du Monde U-17 de la FIFA en 1995. Hormis cette qualification automatique, les Équatoriens n'ont réussi qu'une seule fois à valider sur le terrain leur billet pour la phase finale. C'était en 1987. "Le calendrier peut nous être favorable. Nous débutons par la Bolivie et le Pérou, puis nous aurons un peu de repos. L'objectif est de prendre six points lors de ces deux premiers matches, avant d'affronter l'Uruguay et l'Argentine, qui sont les deux favoris du groupe", analyse l'entraîneur Xavier Rodríguez.
Le sélectionneur Juan José Oré s'apprête à disputer son troisième Sudamericano à la tête de l'équipe du Pérou, absente à Nigeria 2009, mais qui avait surpris tout le monde en décrochant sa qualification pour République de Corée 2007. À cette occasion, les jeunes Blanquirojos avaient atteint les quarts de finale. Quant à la Bolivie, elle tentera d'obtenir la deuxième participation de son histoire à la Coupe du Monde U-17 de la FIFA, après avoir été présente à l'édition inaugurale en RP Chine, en 1985.
Fifa.com (11/03/2011)
Re: International -News
L'Argentine avec Messi mais sans Tevez
L'Argentine se présentera avec Lionel Messi (FC Barcelone) mais sans Carlos Tevez (Manchester City) ni Sergio Agüero (Atlético de Madrid) pour les matches amicaux de fin mars contre les Etats-Unis et le Costa Rica, selon la sélection dévoilée vendredi par l'entraîneur Sergio Batista.
Le sélectionneur a fait appel au milieu Fernando Belluschi (FC Porto) et à l'attaquant Eduardo Salvio (Benfica) pour pallier les absences sur blessures de Fernando Gago (Real Madrid) et Diego Milito (Inter Milan).
Il a également offert une première sélection au gardien Adrian Gabbarini et au défenseur Federico Fazio.
L'Argentine, qui reste sur une victoire en amical contre le Portugal (2-1), poursuivra sa préparation de la Copa America 2011 en affrontant les Etats-Unis le 26 mars dans le New Jersey puis le Costa Rica trois jours plus tard à San José.
Gardiens : Mariano Andújar (Catane/ITA), Adrián Gabbarini (Independiente/ARG), Sergio Romero (AZ Alkmaar/NED)
Défenseurs : Javier Zanetti (Inter Milan/ITA), Nicolás Burdisso (AS Rome/ITA), Pablo Zabaleta (Manchester City/ENG), Ezequiel Garay (Real Madrid/ESP), Gabriel Milito (FC Barcelone/ESP), Nicolás Otamendi (FC Porto/POR), Federico Fazio (Séville/ESP), Marcos Rojo (Spartak Moscou/RUS)
Milieux : Javier Mascherano (FC Barcelone/ESP), Mario Bolatti (Internacional/BRA), Ever Banega (Valence/ESP), Fernando Belluschi (FC Porto/POR), Esteban Cambiasso (Inter Milan/ITA), Lucas Biglia (Anderlecht/BEL), Javier Pastore (Palerme/ITA), José Sosa (Naples/ITA)
Attaquants : Lionel Messi (FC Barcelone/ESP), Ezequiel Lavezzi (Naples/ITA), Ángel Di María (Real Madrid/ESP), Eduardo Salvio et Nicolás Gaitán (Benfica/POR)
Fifa.com (12/03/2011)
L'Argentine se présentera avec Lionel Messi (FC Barcelone) mais sans Carlos Tevez (Manchester City) ni Sergio Agüero (Atlético de Madrid) pour les matches amicaux de fin mars contre les Etats-Unis et le Costa Rica, selon la sélection dévoilée vendredi par l'entraîneur Sergio Batista.
Le sélectionneur a fait appel au milieu Fernando Belluschi (FC Porto) et à l'attaquant Eduardo Salvio (Benfica) pour pallier les absences sur blessures de Fernando Gago (Real Madrid) et Diego Milito (Inter Milan).
Il a également offert une première sélection au gardien Adrian Gabbarini et au défenseur Federico Fazio.
L'Argentine, qui reste sur une victoire en amical contre le Portugal (2-1), poursuivra sa préparation de la Copa America 2011 en affrontant les Etats-Unis le 26 mars dans le New Jersey puis le Costa Rica trois jours plus tard à San José.
Gardiens : Mariano Andújar (Catane/ITA), Adrián Gabbarini (Independiente/ARG), Sergio Romero (AZ Alkmaar/NED)
Défenseurs : Javier Zanetti (Inter Milan/ITA), Nicolás Burdisso (AS Rome/ITA), Pablo Zabaleta (Manchester City/ENG), Ezequiel Garay (Real Madrid/ESP), Gabriel Milito (FC Barcelone/ESP), Nicolás Otamendi (FC Porto/POR), Federico Fazio (Séville/ESP), Marcos Rojo (Spartak Moscou/RUS)
Milieux : Javier Mascherano (FC Barcelone/ESP), Mario Bolatti (Internacional/BRA), Ever Banega (Valence/ESP), Fernando Belluschi (FC Porto/POR), Esteban Cambiasso (Inter Milan/ITA), Lucas Biglia (Anderlecht/BEL), Javier Pastore (Palerme/ITA), José Sosa (Naples/ITA)
Attaquants : Lionel Messi (FC Barcelone/ESP), Ezequiel Lavezzi (Naples/ITA), Ángel Di María (Real Madrid/ESP), Eduardo Salvio et Nicolás Gaitán (Benfica/POR)
Fifa.com (12/03/2011)
Re: International -News
Festival de Ribéry, Benzema enchaîne les buts
Avec un but, une passe décisive et une activité intense, Franck Ribéry a grandement contribué au large succès du Bayern Munich face à Hambourg (6-0), samedi, alors que Karim Benzema, auteur d'un doublé contre Alicante (2-0), en est à six buts en trois matches avec le Real Madrid.
Espagne
Impressionnant Karim Benzema, qui a marqué six buts lors des trois dernières journées de Liga avec un nouveau doublé samedi lors de la victoire à domicile du Real Madrid contre Hercules Alicante (2-0).
Une reprise dans la course sur un bon centre d'Arbeloa (24) et une belle frappe enroulée en venant de la gauche, faisant inévitablement penser à Thierry Henry (56). Très présent en attaque et sur le pressing, Benzema a déjà marqué plus de buts cette saison qu'au cours de la Liga 2009-2010 (neuf buts contre huit).
Lassana Diarra était également titulaire. Il a bien tenu le milieu de terrain avec Esteban Granero, qui remplaçait Xabi Alonso, laissé sur le banc en prévision de la réception de Lyon. Et bonne nouvelle pour "Lass": il n'a cette fois pas pris de carton jaune.
Allemagne
Franck Ribéry a largement contribué à la victoire écrasante du Bayern Munich samedi face à Hambourg (6-0), inscrivant le quatrième but des Munichois et brillant enfin dans son association retrouvée avec le Néerlandais Arjen Robben qu'il a épaulé dans son triplé.
Incisif et sur le chemin de sa meilleure forme physique, l'ancien Marseillais a ainsi marqué son troisième but cette saison. Il a également été à l'origine de la malheureuse inscription contre son camp du Hambourgeois Westermann. Le milieu, livrant un festival sur le côté gauche, a offert plusieurs ballons décisifs à Robben grâce notamment à ses dribbles.
Angleterre
Cinq joueurs français étaient présents samedi au coup d'envoi du quart de finale de la Coupe d'Angleterre entre Manchester United et Arsenal (2-0). Côté mancunien, Patrice Evra était titulaire au poste d'arrière gauche. Il a souffert face à Samir Nasri et s'est souvent retrouvé à 2 contre 1. Défensivement, il n'a donc pas été au mieux et offensivement, on l'a très peu vu. Il a été remplacé à la 81e minute par Scholes.
Côté londonien, Bacary Sagna, Abou Diaby, Samir Nasri et Laurent Koscielny avaient été alignés par Arsène Wenger alors que Gaël Clichy, mis au repos, est resté sur le banc. Sagna est à la faute sur le second but adverse ou il ne suit pas Rooney mais il a été bon offensivement grâce à ses centres.
Koscielny s'est créé une belle occasion (48) mais défensivement, il s'est fait devancer par Fabio sur le premier but de Manchester United.
Le meilleur tricolore sur la pelouse a donc une nouvelle fois été Samir Nasri. Le meneur de jeu des Bleus s'est démené à droite dans un premier temps puis dans l'axe. Il a inquiété Van der Sar sur deux frappes (45 et 57) et a été entreprenant.
France
Kevin Gameiro a inscrit son 16e but de la saison avec Lorient à Arles-Avignon (3-3), revenant à une longueur du meilleur buteur de L1, le Lillois Sow.
Hugo Lloris a passé une soirée plutôt tranquille dans les buts de Lyon, vainqueur à Sochaux (2-0). Anthony Réveillère a lui été bon sur le côté droit de la défense.
A Saint-Etienne, Payet a été récompensé de son activité en inscrivant le deuxième but des Verts contre Brest (2-0), son 9e de la saison.
Fifa.com (13/03/2011)
Avec un but, une passe décisive et une activité intense, Franck Ribéry a grandement contribué au large succès du Bayern Munich face à Hambourg (6-0), samedi, alors que Karim Benzema, auteur d'un doublé contre Alicante (2-0), en est à six buts en trois matches avec le Real Madrid.
Espagne
Impressionnant Karim Benzema, qui a marqué six buts lors des trois dernières journées de Liga avec un nouveau doublé samedi lors de la victoire à domicile du Real Madrid contre Hercules Alicante (2-0).
Une reprise dans la course sur un bon centre d'Arbeloa (24) et une belle frappe enroulée en venant de la gauche, faisant inévitablement penser à Thierry Henry (56). Très présent en attaque et sur le pressing, Benzema a déjà marqué plus de buts cette saison qu'au cours de la Liga 2009-2010 (neuf buts contre huit).
Lassana Diarra était également titulaire. Il a bien tenu le milieu de terrain avec Esteban Granero, qui remplaçait Xabi Alonso, laissé sur le banc en prévision de la réception de Lyon. Et bonne nouvelle pour "Lass": il n'a cette fois pas pris de carton jaune.
Allemagne
Franck Ribéry a largement contribué à la victoire écrasante du Bayern Munich samedi face à Hambourg (6-0), inscrivant le quatrième but des Munichois et brillant enfin dans son association retrouvée avec le Néerlandais Arjen Robben qu'il a épaulé dans son triplé.
Incisif et sur le chemin de sa meilleure forme physique, l'ancien Marseillais a ainsi marqué son troisième but cette saison. Il a également été à l'origine de la malheureuse inscription contre son camp du Hambourgeois Westermann. Le milieu, livrant un festival sur le côté gauche, a offert plusieurs ballons décisifs à Robben grâce notamment à ses dribbles.
Angleterre
Cinq joueurs français étaient présents samedi au coup d'envoi du quart de finale de la Coupe d'Angleterre entre Manchester United et Arsenal (2-0). Côté mancunien, Patrice Evra était titulaire au poste d'arrière gauche. Il a souffert face à Samir Nasri et s'est souvent retrouvé à 2 contre 1. Défensivement, il n'a donc pas été au mieux et offensivement, on l'a très peu vu. Il a été remplacé à la 81e minute par Scholes.
Côté londonien, Bacary Sagna, Abou Diaby, Samir Nasri et Laurent Koscielny avaient été alignés par Arsène Wenger alors que Gaël Clichy, mis au repos, est resté sur le banc. Sagna est à la faute sur le second but adverse ou il ne suit pas Rooney mais il a été bon offensivement grâce à ses centres.
Koscielny s'est créé une belle occasion (48) mais défensivement, il s'est fait devancer par Fabio sur le premier but de Manchester United.
Le meilleur tricolore sur la pelouse a donc une nouvelle fois été Samir Nasri. Le meneur de jeu des Bleus s'est démené à droite dans un premier temps puis dans l'axe. Il a inquiété Van der Sar sur deux frappes (45 et 57) et a été entreprenant.
France
Kevin Gameiro a inscrit son 16e but de la saison avec Lorient à Arles-Avignon (3-3), revenant à une longueur du meilleur buteur de L1, le Lillois Sow.
Hugo Lloris a passé une soirée plutôt tranquille dans les buts de Lyon, vainqueur à Sochaux (2-0). Anthony Réveillère a lui été bon sur le côté droit de la défense.
A Saint-Etienne, Payet a été récompensé de son activité en inscrivant le deuxième but des Verts contre Brest (2-0), son 9e de la saison.
Fifa.com (13/03/2011)
Re: International -News
Evolution favorable pour Menotti
L'état de santé de l'ancien sélectionneur de l'équipe argentine de football César Menotti, hospitalisé samedi à la suite de problèmes pulmonaires, évolue "favorablement" après qu'il a subi un pneumothorax, ont déclaré ses proches dimanche à l'agence Telam.
L'intervention a été "couronnée de succès" ont ajouté ses proches.
Surnommé "El Flaco" (le maigre) et gros fumeur, Menotti, 72 ans, qui avait conduit l'Argentine au titre mondial sur son sol en 1978, avait été emmené samedi dans le service de soins intensifs de l'Hôpital Italien de la capitale Argentine. Il a quitté ce service après son opération, ont précisé ses proches.
L'ancien sélectionneur de l'albiceleste avait remporté la Coupe du monde en 1978 et le Mondial des moins de 20 ans une année plus tard, avant d'entraîner le Mexique (1991-1992) et de nombreux clubs en Amérique du Sud et en Europe.
Il avait quitté ses fonctions de manager d'Independiente (1re div. argentine) en septembre dernier.
Fifa.com (14/03/2011)
L'état de santé de l'ancien sélectionneur de l'équipe argentine de football César Menotti, hospitalisé samedi à la suite de problèmes pulmonaires, évolue "favorablement" après qu'il a subi un pneumothorax, ont déclaré ses proches dimanche à l'agence Telam.
L'intervention a été "couronnée de succès" ont ajouté ses proches.
Surnommé "El Flaco" (le maigre) et gros fumeur, Menotti, 72 ans, qui avait conduit l'Argentine au titre mondial sur son sol en 1978, avait été emmené samedi dans le service de soins intensifs de l'Hôpital Italien de la capitale Argentine. Il a quitté ce service après son opération, ont précisé ses proches.
L'ancien sélectionneur de l'albiceleste avait remporté la Coupe du monde en 1978 et le Mondial des moins de 20 ans une année plus tard, avant d'entraîner le Mexique (1991-1992) et de nombreux clubs en Amérique du Sud et en Europe.
Il avait quitté ses fonctions de manager d'Independiente (1re div. argentine) en septembre dernier.
Fifa.com (14/03/2011)
Re: International -News
Milutinovic : "Entraîner, c'est toute ma vie"
Âgé de 66 ans, Bora Milutinovic n'a plus besoin d'être présenté. Globe-trotter à l'activité toujours aussi intense sur la scène footballistique, le Serbe a mené cinq sélections nationales différentes en phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA. Plus récemment, il a apporté sa contribution à l'équipe de travail qui a défendu la candidature du Qatar pour l'organisation de la Coupe du Monde de la FIFA 2022.
Blogueur populaire en RP Chine et intervenant de l'Académie Aspire ("Academy for Sport Excellence"), l'entraîneur de l'Irak lors de la Coupe des Confédérations de la FIFA 2009 a accueilli FIFA.com à Doha pour un entretien à bâtons rompus.
Fidèle à son style, Milutinovic évoque les compétitions continentales de l'année 2011, le succès du football qatari et son avenir dans le football.
Bora, nous vous avons vu suivre la récente Coupe d'Asie de l'AFC de très près. Quelle est votre analyse du niveau de cette compétition ?
J'ai vécu de grands moments. Je suis toujours heureux d'assister à ce genre de compétitions. Il y avait une super ambiance dans les stades et l'organisation était parfaite. J'avais déjà vécu trois autres éditions, une à la tête de l'équipe de Chine et deux en tant que spectateur. Je peux vous dire que c'est une autre qualité de football. C'est plus dynamique, le jeu pratiqué est moderne. J'ai vu de bons matches.
En parlant du Qatar, vous avez travaillé pour le comité de candidature à l'organisation de la Coupe du Monde de la FIFA 2022. Parlez-nous de cette aventure…
Je suis très ému, très heureux, plus particulièrement pour le peuple du Qatar. Le Moyen-Orient a une belle occasion de démontrer tous les progrès qu'il a réalisés. Je suis sûr que nous allons assister à une Coupe du Monde de rêve. J'espère que le bon Dieu me permettra de vivre ça ! (rires)
Quelle a été votre première pensée quand vous avez vu apparaître le nom du Qatar ?
Oh ! C'est impossible de décrire l'émotion qui m'a envahi à ce moment-là. Bien entendu, j'ai ressenti du bonheur pour toutes les personnes qui ont travaillé avec tant d'ardeur pour obtenir cette reconnaissance. Je suis sûr que les Qataris vont montrer une image différente de celle à laquelle s'attendent les gens.
Que peut apporter ce pays à la compétition ?
Chacun peut avoir son opinion, mais il faut bien avoir à l'esprit que le monde parfait n'existe pas. Je vous donne un exemple : à la Coupe d'Asie, il était possible de voir deux matches par jour. On pouvait se rendre d'un stade à l'autre en une demi-heure ! Les amoureux de football pourront assister à beaucoup de rencontres. De plus, il y a beaucoup de pays à visiter dans les environs. Il faut voir les choses du bon côté et comprendre la signification de l'organisation d'une Coupe du Monde pour ce pays et ce continent. Cela sera une grande compétition pour tout le monde, les joueurs et le public au sens large.
Vous êtes un expert de la CONCACAF. Comment analysez-vous la nouvelle configuration de cette zone après Afrique du Sud 2010 ?
Le Mexique doit se pencher très sérieusement sur la nature de son problème. C'est un pays qui a une grande passion pour le football. J'espère que José Manuel de la Torre, un entraîneur jeune et intelligent, va réussir à faire travailler tout le monde dans le même sens. Il dispose d'une excellente génération. Le Costa Rica a accordé sa confiance à Ricardo La Volpe. Les Costaricains ont eux aussi la passion, mais ils manquent de patience. La Gold Cup sera intéressante à suivre.
Gold Cup, Copa América... Allons-nous vous voir sur ces compétitions ?
J'espère être en Argentine pour suivre ce qui sera, à coup sûr, une grande compétition. Il s'agit d'une mini Coupe du Monde : on y voit les meilleurs joueurs du monde, comme les Argentins, les Brésiliens et les Uruguayens. Les Sud-Américains pratiquent le football avec passion et ils profiteront de cette épreuve pour préparer la prochaine Coupe du Monde. Dans la CONCACAF, il y a également une grosse intensité autour de ce rendez-vous. Ces deux compétitions sont importantes car elles sont qualificatives pour la Coupe des Confédérations. Il faudra les suivre de très près.
Lionel Messi s'est vu décerner le FIFA Ballon d'Or et José Mourinho a été nommé meilleur entraîneur de l'année. Êtes-vous d'accord avec ce tableau d'honneur ?
Pardon ? Ce n'est pas moi, le meilleur entraîneur ? (rires) Parlons sérieusement, si l'on raisonne en termes de résultats, Mourinho a connu une année fantastique et il a gagné beaucoup de choses. Pour ce qui est du Ballon d'Or, eh bien Messi, c'est Messi ! Avec tout le respect que l'on doit aux autres joueurs, il faut reconnaître que Messi a beaucoup de talent et d'influence, que ce soit en club ou en équipe d'Argentine. En plus, c'est un excellent coéquipier, qui a un superbe état d'esprit. Ajoutez à cela une vie privée irréprochable et tout est dit. Xavi, Andres Iniesta et les autres sont, eux aussi, parfaits dans ce domaine. C'est une bonne chose de montrer l'exemple en dehors du terrain.
Notre dernière question est sur beaucoup de lèvres dans le monde du football. Quand allons-nous vous revoir sur un banc de touche ?
Espérons que ce soit au Qatar en 2022 (rires). Trêve de plaisanterie, j'ai travaillé à la candidature et je collabore avec l'Académie Aspire. Je ne suis peut-être pas sur le terrain, mais je conserve un lien actif avec le football. Entraîner, c'est toute ma vie, mais aujourd'hui, je mets ma passion au service des Qataris, pour qu'ils améliorent leur football.
Fifa.com (14/03/2011)
Âgé de 66 ans, Bora Milutinovic n'a plus besoin d'être présenté. Globe-trotter à l'activité toujours aussi intense sur la scène footballistique, le Serbe a mené cinq sélections nationales différentes en phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA. Plus récemment, il a apporté sa contribution à l'équipe de travail qui a défendu la candidature du Qatar pour l'organisation de la Coupe du Monde de la FIFA 2022.
Blogueur populaire en RP Chine et intervenant de l'Académie Aspire ("Academy for Sport Excellence"), l'entraîneur de l'Irak lors de la Coupe des Confédérations de la FIFA 2009 a accueilli FIFA.com à Doha pour un entretien à bâtons rompus.
Fidèle à son style, Milutinovic évoque les compétitions continentales de l'année 2011, le succès du football qatari et son avenir dans le football.
Bora, nous vous avons vu suivre la récente Coupe d'Asie de l'AFC de très près. Quelle est votre analyse du niveau de cette compétition ?
J'ai vécu de grands moments. Je suis toujours heureux d'assister à ce genre de compétitions. Il y avait une super ambiance dans les stades et l'organisation était parfaite. J'avais déjà vécu trois autres éditions, une à la tête de l'équipe de Chine et deux en tant que spectateur. Je peux vous dire que c'est une autre qualité de football. C'est plus dynamique, le jeu pratiqué est moderne. J'ai vu de bons matches.
En parlant du Qatar, vous avez travaillé pour le comité de candidature à l'organisation de la Coupe du Monde de la FIFA 2022. Parlez-nous de cette aventure…
Je suis très ému, très heureux, plus particulièrement pour le peuple du Qatar. Le Moyen-Orient a une belle occasion de démontrer tous les progrès qu'il a réalisés. Je suis sûr que nous allons assister à une Coupe du Monde de rêve. J'espère que le bon Dieu me permettra de vivre ça ! (rires)
Quelle a été votre première pensée quand vous avez vu apparaître le nom du Qatar ?
Oh ! C'est impossible de décrire l'émotion qui m'a envahi à ce moment-là. Bien entendu, j'ai ressenti du bonheur pour toutes les personnes qui ont travaillé avec tant d'ardeur pour obtenir cette reconnaissance. Je suis sûr que les Qataris vont montrer une image différente de celle à laquelle s'attendent les gens.
Que peut apporter ce pays à la compétition ?
Chacun peut avoir son opinion, mais il faut bien avoir à l'esprit que le monde parfait n'existe pas. Je vous donne un exemple : à la Coupe d'Asie, il était possible de voir deux matches par jour. On pouvait se rendre d'un stade à l'autre en une demi-heure ! Les amoureux de football pourront assister à beaucoup de rencontres. De plus, il y a beaucoup de pays à visiter dans les environs. Il faut voir les choses du bon côté et comprendre la signification de l'organisation d'une Coupe du Monde pour ce pays et ce continent. Cela sera une grande compétition pour tout le monde, les joueurs et le public au sens large.
Vous êtes un expert de la CONCACAF. Comment analysez-vous la nouvelle configuration de cette zone après Afrique du Sud 2010 ?
Le Mexique doit se pencher très sérieusement sur la nature de son problème. C'est un pays qui a une grande passion pour le football. J'espère que José Manuel de la Torre, un entraîneur jeune et intelligent, va réussir à faire travailler tout le monde dans le même sens. Il dispose d'une excellente génération. Le Costa Rica a accordé sa confiance à Ricardo La Volpe. Les Costaricains ont eux aussi la passion, mais ils manquent de patience. La Gold Cup sera intéressante à suivre.
Gold Cup, Copa América... Allons-nous vous voir sur ces compétitions ?
J'espère être en Argentine pour suivre ce qui sera, à coup sûr, une grande compétition. Il s'agit d'une mini Coupe du Monde : on y voit les meilleurs joueurs du monde, comme les Argentins, les Brésiliens et les Uruguayens. Les Sud-Américains pratiquent le football avec passion et ils profiteront de cette épreuve pour préparer la prochaine Coupe du Monde. Dans la CONCACAF, il y a également une grosse intensité autour de ce rendez-vous. Ces deux compétitions sont importantes car elles sont qualificatives pour la Coupe des Confédérations. Il faudra les suivre de très près.
Lionel Messi s'est vu décerner le FIFA Ballon d'Or et José Mourinho a été nommé meilleur entraîneur de l'année. Êtes-vous d'accord avec ce tableau d'honneur ?
Pardon ? Ce n'est pas moi, le meilleur entraîneur ? (rires) Parlons sérieusement, si l'on raisonne en termes de résultats, Mourinho a connu une année fantastique et il a gagné beaucoup de choses. Pour ce qui est du Ballon d'Or, eh bien Messi, c'est Messi ! Avec tout le respect que l'on doit aux autres joueurs, il faut reconnaître que Messi a beaucoup de talent et d'influence, que ce soit en club ou en équipe d'Argentine. En plus, c'est un excellent coéquipier, qui a un superbe état d'esprit. Ajoutez à cela une vie privée irréprochable et tout est dit. Xavi, Andres Iniesta et les autres sont, eux aussi, parfaits dans ce domaine. C'est une bonne chose de montrer l'exemple en dehors du terrain.
Notre dernière question est sur beaucoup de lèvres dans le monde du football. Quand allons-nous vous revoir sur un banc de touche ?
Espérons que ce soit au Qatar en 2022 (rires). Trêve de plaisanterie, j'ai travaillé à la candidature et je collabore avec l'Académie Aspire. Je ne suis peut-être pas sur le terrain, mais je conserve un lien actif avec le football. Entraîner, c'est toute ma vie, mais aujourd'hui, je mets ma passion au service des Qataris, pour qu'ils améliorent leur football.
Fifa.com (14/03/2011)
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