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Mondial 2014, Brésil : NEWS

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Message par rachid_as Lun 14 Juil - 12:57

L'Allemagne s'installe dans un quatre étoiles brésilien

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LE FILM DU TOURNOI - La Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™ promettait d'être spéciale. Organisée par un pays qui représente le meilleur du football, la vingtième édition de la compétition s'annonçait comme un événement unique. Le spectacle a été à la hauteur des attentes à de nombreux égards, avec des stades pleins à craquer, des performances époustouflantes, des surprises à la pelle et un nombre record de buts.

Au bout du compte, l'Allemagne s'adjuge de façon méritée un trophée qu'elle avait déjà remporté trois fois auparavant, et devient ainsi le premier pays européen à soulever la Coupe du Monde sur le continent américain. La formation dirigée par Joachim Löw a été impressionnante tout au long d'une compétition dont la finale, pour la troisième fois d'affilée, est allée en prolongation. Cette fois, le costume du buteur décisif a été enfilé par Mario Götze, quatre ans après Andrés Iniesta, qui avait joué le même rôle en 2010.

Entré en cours de jeu, le milieu offensif du Bayern Munich a inscrit le seul but de la rencontre à la 113ème minute, offrant ainsi à l'Europe une troisième couronne mondiale consécutive. Jamais jusque-là un même continent n'avait gagné la Coupe du Monde trois fois de suite. Son but a failli faire se soulever le toit de l'emblématique et incomparable Maracanã de Rio de Janeiro, théâtre parfaitement adapté d'un instant véritablement inoubliable.

Les moments-clés

Un géant s'écroule : Peu de sélections nationales auront dominé le football mondial comme l'a fait l'Espagne de 2008 à 2012, en remportant successivement les trois compétitions majeures qu'elle a disputées. Mais toutes les bonnes choses ayant une fin, c'est à Brésil 2014 que le rideau est retombé sur la représentation somptueuse donnée pendant quatre ans par une génération exceptionnelle. La chute a été brutale pour les hommes de Vicente del Bosque, nettement battus par les Pays-Bas et le Chili en phase de groupes. "C'est une défaillance collective. Nous sommes responsables", a conclu Del Bosque au sujet du naufrage de la Roja.

Le Costa Rica, surprise parmi d'autres : Pour la première fois de son histoire, l'Afrique a envoyé deux équipes au deuxième tour, l'Algérie ayant même réussi à donner une grosse sueur froide à l'Allemagne grâce à son football rapide et offenisf. Mais la plus grosse surprise du tournoi est venue du Costa Rica, premier d'un groupe dont on l'avait rayé un peu trop tôt en raison du calibre de ses adversaires : Angleterre, Italie et Uruguay. Les Ticos ont quitté l'épreuve en quart de finale, après avoir vaillamment lutté contre les Pays-Bas, vainqueurs aux tirs au but.

Gloire aux gardiens :
Vu le nombre élevé de buts marqués dans cette Coupe du Monde, on pourrait penser que les gardiens n'ont pas été à leur meilleur niveau. Loin s'en est fallu. Tim Howard, Keylor Navas, Guillermo Ochoa, Manuel Neuer et Sergio Romero notamment ont réalisé des arrêts qui sont déjà entrés dans les annales. À noter les performances particulièrement remarquables de Tim Krul, entré en jeu à quelques minutes d'une série de tirs au but dans laquelle il a été décisif pour les Pays-Bas, et du Colombien Faryd Mondragon, qui est devenu le joueur le plus âgé à participer à une Coupe du Monde. Il a foulé les pelouses brésiliennes trois jours après avoir fêté son 43ème anniversaire.

Docteur Jekyll et M. Hyde :
Avant le coup d'envoi de la compétition, la principale question dans le camp uruguayen était de savoir si Luis Suarez serait remis à temps. Après avoir été absent du premier match de la Celeste, perdu face au Costa Rica, Suarez a été brillant contre l'Angleterre, inscrivant un doublé à cette occasion. Mais ce joueur incroyablement talentueux est retombé dans ses travers lors du dernier match de l'Uruguay en phase de groupes. L'Italien Giorgio Chiellini est ainsi devenu la dernière victime d'une morsure de Suarez. Comme on pouvait s'y attendre, les conséquences ont été sévères pour l'avant-centre charrua, sous la forme d'une suspension de neuf matches et quatre mois. Sans son avant-centre fétiche, l'Uruguay a trébuché sur la haie suivante, face à la Colombie.

Talent et fair-play : Vista, technique, buts spectaculaires : à Brésil 2014, James Rodriguez a ébloui tout le monde, spectateurs et joueurs inclus. Dans l'un des gestes les plus touchants du tournoi, David Luiz est ainsi venu réconforter le meneur colombien après la défaite des Cafeteros face au Brésil, demandant même au public de Fortaleza d'acclamer le joueur de l'AS Monaco, dont le talent a éclaté au grand jour.

Le rêve brésilien tourne au cauchemar : Cette Coupe du Monde devait être l'occasion pour le Brésil d'enterrer définitivement les fantômes de 1950 et du célèbre Maracanazo. C'est le contraire qui s'est produit. La Seleção s'est ainsi inclinée deux fois de suite à domicile pour la première fois depuis 1940, et pas de n'importe quelle manière... Après avoir été battu 7:1 par l'Allemagne en demi-finale, subissant ainsi la plus grosse défaite de son histoire devant son public, le Brésil a rechuté dans le match pour la troisième place, concédant un 3:0 sans appel devant les Pays-Bas. Jusque-là, les Brésiliens n'avaient jamais encaissé plus de 11 buts dans une même Coupe du Monde. Cette fois, ils en ont concédé 14, soit le pire total des 32 équipes engagées dans le tournoi.

Gloire à Götze : Le Brésil se consolera en se disant qu'il est le seul pays à avoir gagné la Coupe du Monde plus souvent que l'Allemagne, qui vient de rattraper l'Italie au nombre des sacres (4) dans la compétition. La Nationalmannschaft s'est imposée sur la plus étroite des marges et son adversaire en finale, l'Argentine, peut nourrir de vrais regrets après les trois grosses occasions manquées par Gonzalo Higuain, Lionel Messi et Rodrigo Palacio. Götze, de son côté, a exploité au mieux ce qui ressemblait pourtant à un centre désespéré de son coéquipier André Schürrle, donnant ainsi une leçon de réalisme à ses adversaires argentins en inscrivant un but synonyme de sacre mondial pour l'Allemagne.

La stat
16- C'est le nombre de buts marqués par Miroslav Klose en Coupe du Monde au terme de Brésil 2014, ce qui fait de l'Allemand le meilleur réalisateur de l'histoire de la compétition. Deux fois buteur au Brésil, le joueur de 36 ans bat ainsi le record établi par Ronaldo à Allemagne 2006 et contribue, au même titre que son coéquipier Götze, à faire de cette édition de la grand-messe du football mondial la plus prolifique de l'histoire, à égalité avec États-Unis 1994, avec un total de 171 buts.

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Message par rachid_as Mar 15 Juil - 12:30

Brésil : Scolari, de Pentacampeão à humilhação

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Après avoir été l'homme du "Pentacampeao", la 5e Coupe du monde remportée par le Brésil en 2002 sous sa houlette, le sélectionneur du Brésil Luiz Felipe Scolari est devenu l'homme de l'"humilhação".

Et sans surprise, Scolari, 65 ans, a été remercié lundi par sa Fédération (CBF), incapable de maintenir à la tête de la Seleçao, le responsable de l'humiliant 7-1 encaissé en demi-finale de "son" Mondial, face aux Allemands puis du terrible 3-0, face aux Pays-Bas dans le match pour la 3e place.

Sanguin, "Felipao" (grand Felipe) n'est pas seulement l'homme qui traitait depuis les gradins son prédécesseur d'"âne", mais aussi un entraîneur qui perd son calme. Comme en 2007, quand, alors sélectionneur du Portugal, il frappe au visage le défenseur serbe Ivica Dragutinovic. Pour ses joueurs, c'était aussi et surtout le sélectionneur capable d'unir un groupe. "Scolari a ce côté dur, mais ce côté familial, affectueux, qui lui fait mériter ce qu'il construit", confiait au printemps l'ex-attaquant Luizao.

Avant d'être rappelé à la tête de la Seleçao en novembre 2012, Scolari avait déjà passé un an à ce poste entre juillet 2001 et août 2002: Une année suffisante pour entrer dans l'histoire avec le titre suprême au Mondial-2002. Il peaufinait ainsi son profil d'entraîneur triomphal grâce à une rigueur aussi bien tactique que disciplinaire. D'où des surnoms comme "Sargentao" (sergent-chef) ou "le Dictateur". "Quand on me demande mon opinion, je dis vraiment ce que je pense, se défend-il. Ma réponse ne va pas toujours dans le sens de ce que les gens voudraient entendre".

"Une équipe brésilienne qui joue avec une organisation européenne, avec une réflexion tactique, c'est quelque chose de magnifique, avançait-il aussi sur le plan du jeu. Mais il est difficile de faire comprendre ça aux joueurs." L'homme a su montrer sa poigne, assumant des choix parfois contestables. En 2002, il résiste à l'opinion publique qui souhaitait ardemment en 2002 le retour en sélection du monstre sacré Romario. Nommé sélectionneur du Portugal après le Mondial-2002, Scolari n'avait pas hésité à nouveau à écarter des cadres de la "génération dorée" comme Vitor Baia et Joao Pinto, au profit de jeunes comme... Cristiano Ronaldo.

Succès là encore: la "Selecçao" (surnom des Portugais) retrouvait les sommets depuis la 3e place de l'équipe du mythique Eusebio à la Coupe du monde 1966, avec une finale à l'Euro-2004 et une 4e place au Mondial-2006.

Le détour ouzbek
La défaite en demi-finale face à la France de Zidane en 2006 figeait alors deux records pour Scolari en Coupe du monde, celui du nombre de matches consécutifs sans défaite (12: sept avec le Brésil, cinq avec le Portugal) et celui du nombre de victoires consécutives (11: 7+4). Après un quart de finale à l'Euro-2008, Scolari relevait le défi d'un club: Chelsea. Mais à la suite de débuts prometteurs en Angleterre, ses Blues peinaient et les cadres, notamment Drogba et Lampard, menaient la contestation contre ses méthodes jugées autoritaires. Au bout de huit mois, exit "Big Phil".

Ce fut un sérieux coup d'arrêt pour le Brésilien, qui prenait alors le chemin de l'exil aussi exotique que rémunérateur à Tachkent, en Ouzbékistan, au sein du club hégémonique de Bunyodkor. En 2010, direction Palmeiras: s'il remportait la Coupe du Brésil 2012, le club de Sao Paulo végétait dans la zone rouge en championnat, son entraîneur le quittait en septembre 2012.

Son expérience en faisait a priori l'homme idoine pour mener la génération Neymar au mythique stade Maracana, lieu de la finale du Mondial-2014. Là encore, ses choix de laisser de côté des stars (Ronaldinho, Kaka...) au profit de jeunes, finalement incapables de supporter la pression d'un Mondial à la maison, avait été critiqués. Mais l'homme était resté de marbre, malgré un niveau de jeu laissant perplexe dès le 1er tour. Et à défaut d'une sixième étoile de champion du monde sur le coeur, c'est avec une étiquette de "perdant historique" dans le dos que Scolari quitte la Seleçao.

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Message par rachid_as Mer 16 Juil - 15:34

Allemagne, Löw : "Nous sommes tous champions du monde"

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Joachim Löw, le sélectionneur de l'équipe d'Allemagne vainqueur de la Coupe du monde de football, a partagé le trophée avec le public allemand rassemblé mardi à Berlin en lançant: "nous sommes tous champions du monde".

"Je dois remercier tous les fans en Allemagne. Sans vous, nous ne serions pas là. Nous sommes tous champions du monde", a déclaré Löw, arrivé sur un podium à la Porte de Brandebourg, devant des centaines de milliers de supporters en délire.

Vêtus de pantalon ou short de sport et d'un tee-shirt noir arborant un grand numéro 1, les joueurs de la "Nationalmannschaft" se sont ensuite présentés en petits groupes sur une grande estrade d'une trentaine de mètres de long. Schweinsteiger est apparu enveloppé dans un drapeau allemand. Le capitaine de l'équipe d'Allemagne de football Philipp Lahm a brandi le trophée de la Coupe du monde devant la foule qui l'acclamait. "Depuis que je suis enfant, j'en ai rêvé", a déclaré Lahm, en remerciant le public pour son soutien.

Les joueurs ont rendu un hommage appuyé à Miroslav Klose, meilleur buteur de l'histoire de la Coupe du monde (16 buts) en chantant avec le public "Miro Klose, Miro Klose". "C'est génial. Ca a été un moment super", a dit l'attaquant Lukas Podolski. "Nous sommes méga-fiers de ce que nous avons réalisé. Nous l'avons enfin gagné (la Coupe du monde). Nous sommes fiers des fans", a dit le défenseur Peer Metersacker. "C'est un rêve", a dit le buteur de la finale contre l'Argentine (1-0), Mario Götze. "Bonjour Berlin, je suis fier d'être Berlinois", s'est exclamé Jérôme Boateng, qui a grandi dans la capitale.

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Message par rachid_as Mer 16 Juil - 15:36

Allemagne : Accueil grandiose pour les grands champions

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Après sa victoire contre l'Argentine en finale, l'Allemagne avait entonné "Berlin, Berlin, nous allons à Berlin !" dans le vestiaire. Manifestement, les nouveaux champions du monde avaient hâte de partager leur bonheur avec les habitants de la capitale.

Qui éprouverait le besoin de dormir après un tel triomphe ? Les hommes de Joachim Löw sont apparus épuisés mais ravis à leur arrivée en Allemagne. Leur avion s'est posé à 10h08 exactement sur la piste de l'aéroport Tegel. Les Allemands ont immédiatement entamé un véritable marathon festif en compagnie de leurs fans.

Plusieurs heures auparavant, les supporters s'étaient rassemblés entre la porte de Brandebourg et la Siegessäule afin d'être certains de ne rien manquer de cette immense célébration. Certains ont même fait le déplacement jusqu'à l'aéroport pour être les premiers à féliciter la Nationalmannschaft. Dès l'ouverture de la porte du Boeing 747-8, le capitaine allemand Philipp Lahm a soulevé le fameux trophée. Son geste triomphant a bien évidemment suscité un tonnerre d'applaudissements. 

"Nous donnerons le maximum et nous continuerons à nous battre à chaque match", a promis Thomas Müller, avant de monter dans l'autobus noir où l'attendaient ses coéquipiers. Tout ce petit monde est ensuite monté dans un camion à impériale pour fêter le titre avec les fans rassemblés à la porte de Brandebourg. 

Une grande fête
"C'est un rêve", s'est exclamé le président de la DFB Wolfgang Niersbach. "Tout a commencé à l'aéroport, quand les pompiers nous ont salués avec leur jet d'eau. Les joueurs étaient fous de joie. Je crois que nous allons vivre une belle journée, ici à Berlin."

Des centaines de milliers de personnes sont venues assister à cette grande fête. La foule a, bien entendu, réservé un accueil triomphal à Joachim Löw et à ses joueurs. Les héros sont ensuite montés sur une grande scène, dans une ambiance euphorique. Ces instants de communion absolue resteront sans doute longtemps gravés dans les mémoires de tous les participants. 

"Nous vivons quelque chose d'exceptionnel depuis que nous avons soulevé cette coupe. Les Berlinois nous ont préparé une réception incroyable. Il y a un monde hallucinant dans les rues", s'est félicité  Bastian Schweinsteiger.

"La route a été longue pour arriver à ce titre. Maintenant, nous sommes heureux de pouvoir fêter cette victoire avec les fans. Nous avons vu les images de l'Allemagne. Les supporters ont vibré à nos côtés. Sans vous, nous n'y serions pas arrivés. Nous sommes tous champions du monde", a lancé le sélectionneur Joachim Löw en s'adressant directement à la foule. Ces instants inoubliables ont déjà trouvé leur place dans la légende du football allemand.

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