La JSK, pour une sortie à la crise
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Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK : Le comité de sauvegarde a saisi la banque par un huissier
Lors de la dernière conférence de presse du comité de sauvegarde, l’ex-avocat de la JSK, Salah Meriem, a exhibé des documents qui jusque-là étaient tenus top secrets à la direction du club. En effet, les documents en question ont révélé que sur le plan juridique, le président Moh Cherif Hannachi n’est pas président de la société JSK depuis trois ans. Depuis qu’un nouveau président de CSA est élu, en la personne de Samy Idrès. Hannachi, et ce conformément au registre de commerce de la société, a perdu la casquette de président de CSA et par conséquent ne peut être le président de la société, le CSA étant l’actionnaire majoritaire. Pour l’ex-avocat Meriem, Hannachi n’avait donc pas le droit de gérer les affaires administratives et financières du club depuis cette date là. Les anciens joueurs et dirigeants se demandent comment une banque a pu autoriser des opérations effectuées par Hannachi pendant trois ans alors que sur le plan juridique, il n’est pas légalement le président de la société. Hier, les membres du comité de sauvegarde ont décidé de saisir la banque par un huissier de justice pour demander des explications à toute cette situation.
Tous les chèques comportaient uniquement la signature de Hannachi
Dans toutes les sociétés, les chèques doivent comporter deux signatures, celles du président et du financier. Or a la JSK, depuis quelques temps, tous les chèques comportent uniquement la signature d’une seule personne, ce qui n’est pas conforme à la loi. Le comité de sauvegarde se demande également à travers leur courrier transmis par un huissier comment la banque a autorisé de telles opérations.
Les supporters demandent l’application de la loi
Au lendemain de la conférence de presse du comité de sauvegarde, les supporters de la JSK dénoncent énergiquement les pratiques du président Hannachi dévoilées à travers des documents officiels par l’ex-avocat du club, Meriem. Les supporters soutiennent totalement le comité de sauvegarde et demandent aux autorités juridiques du pays l’application des lois après avoir découvert que le président Hannachi a été le président illégal de la société depuis août 2012, date de l’élection d’un nouveau président du CSA. La sortie médiatique du comité de sauvegarde aura donc apporté du nouveau au dossier, l’affaire fera couler encore beaucoup d’encre cet été.
Saleh Meriem (ex-avocat de la JSK) : «Que chacun assume ses responsabilités»
L’ex-avocat du club de la JSK, contacté par nos soins, confirme qu’un huissier de justice a été chargé de suivre la requête du comité de sauvegarde auprès de la banque de Tizi et dira ceci : «Effectivement un huissier de justice est sur le dossier avec la banque. Nous avons les documents qui prouvent que Hannachi a géré la JSK illégalement depuis trois ans. Nous avons saisi toutes les parties concernées et que chacun assume ses responsabilités. L’incompétence des dirigeants qui gèrent la JSK a conduit le club vers une impasse sur le plan juridique et c’est malheureux.»
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Amara revient sur les documents présentés par le comité de sauvegarde :
«Maintenant c’est à la justice algérienne de faire le travail»
Samedi dernier, le comité de sauvegarde de la JSK a animé un point de presse à Tizi pour dévoiler certaines vérités jusque-là inconnues du public. Les anciens joueurs et dirigeants de la JSK ont insisté sur la présence de supporters afin de leur prouver que leur action menée depuis plusieurs semaines a abouti à un résultat et qu’ils ont réussi à se procurer des documents compromettants, prouvant la mauvaise gestion de Hannachi depuis plusieurs années. Le document principal présenté par l’avocat Meriem est le registre de commerce de la SSPA où l’on trouve le nom de Hannachi cité deux fois, notamment dans la personne moral, club sportif amateur, actionnaire majoritaire, représenté par Hannachi et plus bas encore, Moh Cherif Hannachi, membre. Hannachi, qui n’est plus le président du CSA depuis trois ans, n’a pas le droit de présider le conseil d’administration de la société, a expliqué l’ex-avocat de la JSK, maître Meriem. Le moins que l’on puisse dire, c’est le grand soulagement au sein des anciens joueurs du club kabyle qui estiment qu’à présent que les documents sont là, il ne reste à la justice qu’à réagir et mettre un terme à cette situation. Amara Mourad, qui fait partie du comité et présent samedi à la conférence, nous a révélé ceci : «Sincèrement je suis vraiment sidéré d’apprendre que l’homme en question (Hannachi, ndlr) a géré illégalement la JSK depuis trois années sans interruption. Les documents présentés par Salah Meriem sont là et témoignent que notre action est juste. Depuis des années que nous dénonçons sa gestion, Dieu merci, aujourd’hui la vérité est connue de tous. Le comité a saisi le parquet de Tizi Ouzou et maintenant c’est à la justice algérienne de faire son travail. Nous avons confiance en nos institutions, elles feront toute la lumière sur ces pratiques frauduleuses.»
«L’heure est venue pour que Hannachi et ses acolytes soient jugés»
Poursuivant son analyse, Amara estime que Hannachi a des complices qui l’ont protégé pendant plusieurs années et qui doivent aussi être jugés pour mauvaise gestion. «Les documents prouvent aussi que Hannachi n’était pas seul. Il a des complices qui l’ont protégé pendant des années et que la justice doit convoquer pour les juger.»
«Le montage illégal de la société est prouvé avec des documents»
Pour l’ancien portier de la JSK, Mourad Amara, les documents présentés par Meriem devant la presse suffisent largement à la justice pour faire toute la lumière sur ces pratiques. «Il a fait un montage de société d’une manière illégale. Il a combiné avec tous ses proches collaborateurs pour rester toujours à la tête du club. Les documents en notre possession vont encore révéler d’autres carences en matière de gestion de la JSK. Hannachi est démasqué, il ne trouvera plus rien à dire pour justifier tout cela.»
«Les Kabyles savent maintenant pourquoi il refuse l’ouverture du capital»
Interrogé sur l’ouverture du capital de la JSK qui reste aussi un des points principaux qu’exige le comité de sauvegarde de la JSK, Amara dira : «Bien sûr que nous exigeons toujours l’ouverture du capital. La JSK doit être reprise par des hommes capables de la gérer comme il se doit, une gestion digne de la réputation du club à l’échelle internationale et locale. On a tous compris aujourd’hui, les supporters aussi, les raisons qui ont fait que Hannachi refusait d’ouvrir le capital. Hannachi a tout caché au peuple de la JSK jusqu’à faire fuir tous les industriels de la région. Voilà qu’aujourd’hui on a dévoilé au public pourquoi il est accroché et continue de s’accrocher à son poste de président qu’il ne veut pas lâcher.»
«Hannachi a trahi la mémoire de la JSK, nous ne lui pardonnerons pas»
Visiblement outré, Amara ira jusqu’à dire que le président Hannachi, en présidant les destinées de la JSK illégalement, a trahi la mémoire des hommes qui ont construit ce grand club. «Ce n’est pas nouveaux chez Hannachi, les mauvaise pratiques dans sa gestion en tant que président de club depuis des années qu’on le dénonce. Mais je pense qu’aujourd’hui, avec les preuves présentées devant les médias, il ne trouvera aucune autre explication. Il essayera de fuir la réalité mais nous, en tant que membres du comité de sauvegarde, nous ne le lâcherons pas.»
«Le fait d’avoir rayé de la liste de l’AG de la JSK une bonne partie des anciens prouve tout»
À la fin, Amara comme tous les autres anciens joueurs de la JSK qui ne figurent pas sur la liste des membres de l’AG de la JSK présentée par Meriem a déclaré ceci : «C’est une aberration de supprimer des hommes qui ont tout donné pour ce club de l’assemblée générale. Je ne suis pas le seul qui ne figure pas sur la liste, d’autres anciens joueurs et dirigeants aussi sont écartés pour qu’il ne soit pas dévoilé.»
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Izri : «Les autorités doivent prendre au sérieux ces documents»
Pour sa part, Izri, membre du comité de sauvegarde de la JSK, estime que les autorités doivent prendre en charge sérieusement les documents présentés par l’avocat Meriem. Izri estime que les preuves sont tangibles et il ne reste qu’aux autorités d’agir et de mettre un terme à cette mauvaise gestion de la JSK par son président Moh Cherif Hannachi. «Aujourd’hui nous avons les preuves réelles que la gestion de la JSK par Hannachi est illégale et non conforme aux articles de loi. Il ne peut plus continuer à gérer de cette façon. Nous avons déposé des dossiers au niveau de toutes les parties concernées et nous espérons que les autorités feront quelque chose pour la JSK.»
Le Buteur (29/06/2015)
Lors de la dernière conférence de presse du comité de sauvegarde, l’ex-avocat de la JSK, Salah Meriem, a exhibé des documents qui jusque-là étaient tenus top secrets à la direction du club. En effet, les documents en question ont révélé que sur le plan juridique, le président Moh Cherif Hannachi n’est pas président de la société JSK depuis trois ans. Depuis qu’un nouveau président de CSA est élu, en la personne de Samy Idrès. Hannachi, et ce conformément au registre de commerce de la société, a perdu la casquette de président de CSA et par conséquent ne peut être le président de la société, le CSA étant l’actionnaire majoritaire. Pour l’ex-avocat Meriem, Hannachi n’avait donc pas le droit de gérer les affaires administratives et financières du club depuis cette date là. Les anciens joueurs et dirigeants se demandent comment une banque a pu autoriser des opérations effectuées par Hannachi pendant trois ans alors que sur le plan juridique, il n’est pas légalement le président de la société. Hier, les membres du comité de sauvegarde ont décidé de saisir la banque par un huissier de justice pour demander des explications à toute cette situation.
Tous les chèques comportaient uniquement la signature de Hannachi
Dans toutes les sociétés, les chèques doivent comporter deux signatures, celles du président et du financier. Or a la JSK, depuis quelques temps, tous les chèques comportent uniquement la signature d’une seule personne, ce qui n’est pas conforme à la loi. Le comité de sauvegarde se demande également à travers leur courrier transmis par un huissier comment la banque a autorisé de telles opérations.
Les supporters demandent l’application de la loi
Au lendemain de la conférence de presse du comité de sauvegarde, les supporters de la JSK dénoncent énergiquement les pratiques du président Hannachi dévoilées à travers des documents officiels par l’ex-avocat du club, Meriem. Les supporters soutiennent totalement le comité de sauvegarde et demandent aux autorités juridiques du pays l’application des lois après avoir découvert que le président Hannachi a été le président illégal de la société depuis août 2012, date de l’élection d’un nouveau président du CSA. La sortie médiatique du comité de sauvegarde aura donc apporté du nouveau au dossier, l’affaire fera couler encore beaucoup d’encre cet été.
Saleh Meriem (ex-avocat de la JSK) : «Que chacun assume ses responsabilités»
L’ex-avocat du club de la JSK, contacté par nos soins, confirme qu’un huissier de justice a été chargé de suivre la requête du comité de sauvegarde auprès de la banque de Tizi et dira ceci : «Effectivement un huissier de justice est sur le dossier avec la banque. Nous avons les documents qui prouvent que Hannachi a géré la JSK illégalement depuis trois ans. Nous avons saisi toutes les parties concernées et que chacun assume ses responsabilités. L’incompétence des dirigeants qui gèrent la JSK a conduit le club vers une impasse sur le plan juridique et c’est malheureux.»
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Amara revient sur les documents présentés par le comité de sauvegarde :
«Maintenant c’est à la justice algérienne de faire le travail»
Samedi dernier, le comité de sauvegarde de la JSK a animé un point de presse à Tizi pour dévoiler certaines vérités jusque-là inconnues du public. Les anciens joueurs et dirigeants de la JSK ont insisté sur la présence de supporters afin de leur prouver que leur action menée depuis plusieurs semaines a abouti à un résultat et qu’ils ont réussi à se procurer des documents compromettants, prouvant la mauvaise gestion de Hannachi depuis plusieurs années. Le document principal présenté par l’avocat Meriem est le registre de commerce de la SSPA où l’on trouve le nom de Hannachi cité deux fois, notamment dans la personne moral, club sportif amateur, actionnaire majoritaire, représenté par Hannachi et plus bas encore, Moh Cherif Hannachi, membre. Hannachi, qui n’est plus le président du CSA depuis trois ans, n’a pas le droit de présider le conseil d’administration de la société, a expliqué l’ex-avocat de la JSK, maître Meriem. Le moins que l’on puisse dire, c’est le grand soulagement au sein des anciens joueurs du club kabyle qui estiment qu’à présent que les documents sont là, il ne reste à la justice qu’à réagir et mettre un terme à cette situation. Amara Mourad, qui fait partie du comité et présent samedi à la conférence, nous a révélé ceci : «Sincèrement je suis vraiment sidéré d’apprendre que l’homme en question (Hannachi, ndlr) a géré illégalement la JSK depuis trois années sans interruption. Les documents présentés par Salah Meriem sont là et témoignent que notre action est juste. Depuis des années que nous dénonçons sa gestion, Dieu merci, aujourd’hui la vérité est connue de tous. Le comité a saisi le parquet de Tizi Ouzou et maintenant c’est à la justice algérienne de faire son travail. Nous avons confiance en nos institutions, elles feront toute la lumière sur ces pratiques frauduleuses.»
«L’heure est venue pour que Hannachi et ses acolytes soient jugés»
Poursuivant son analyse, Amara estime que Hannachi a des complices qui l’ont protégé pendant plusieurs années et qui doivent aussi être jugés pour mauvaise gestion. «Les documents prouvent aussi que Hannachi n’était pas seul. Il a des complices qui l’ont protégé pendant des années et que la justice doit convoquer pour les juger.»
«Le montage illégal de la société est prouvé avec des documents»
Pour l’ancien portier de la JSK, Mourad Amara, les documents présentés par Meriem devant la presse suffisent largement à la justice pour faire toute la lumière sur ces pratiques. «Il a fait un montage de société d’une manière illégale. Il a combiné avec tous ses proches collaborateurs pour rester toujours à la tête du club. Les documents en notre possession vont encore révéler d’autres carences en matière de gestion de la JSK. Hannachi est démasqué, il ne trouvera plus rien à dire pour justifier tout cela.»
«Les Kabyles savent maintenant pourquoi il refuse l’ouverture du capital»
Interrogé sur l’ouverture du capital de la JSK qui reste aussi un des points principaux qu’exige le comité de sauvegarde de la JSK, Amara dira : «Bien sûr que nous exigeons toujours l’ouverture du capital. La JSK doit être reprise par des hommes capables de la gérer comme il se doit, une gestion digne de la réputation du club à l’échelle internationale et locale. On a tous compris aujourd’hui, les supporters aussi, les raisons qui ont fait que Hannachi refusait d’ouvrir le capital. Hannachi a tout caché au peuple de la JSK jusqu’à faire fuir tous les industriels de la région. Voilà qu’aujourd’hui on a dévoilé au public pourquoi il est accroché et continue de s’accrocher à son poste de président qu’il ne veut pas lâcher.»
«Hannachi a trahi la mémoire de la JSK, nous ne lui pardonnerons pas»
Visiblement outré, Amara ira jusqu’à dire que le président Hannachi, en présidant les destinées de la JSK illégalement, a trahi la mémoire des hommes qui ont construit ce grand club. «Ce n’est pas nouveaux chez Hannachi, les mauvaise pratiques dans sa gestion en tant que président de club depuis des années qu’on le dénonce. Mais je pense qu’aujourd’hui, avec les preuves présentées devant les médias, il ne trouvera aucune autre explication. Il essayera de fuir la réalité mais nous, en tant que membres du comité de sauvegarde, nous ne le lâcherons pas.»
«Le fait d’avoir rayé de la liste de l’AG de la JSK une bonne partie des anciens prouve tout»
À la fin, Amara comme tous les autres anciens joueurs de la JSK qui ne figurent pas sur la liste des membres de l’AG de la JSK présentée par Meriem a déclaré ceci : «C’est une aberration de supprimer des hommes qui ont tout donné pour ce club de l’assemblée générale. Je ne suis pas le seul qui ne figure pas sur la liste, d’autres anciens joueurs et dirigeants aussi sont écartés pour qu’il ne soit pas dévoilé.»
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Izri : «Les autorités doivent prendre au sérieux ces documents»
Pour sa part, Izri, membre du comité de sauvegarde de la JSK, estime que les autorités doivent prendre en charge sérieusement les documents présentés par l’avocat Meriem. Izri estime que les preuves sont tangibles et il ne reste qu’aux autorités d’agir et de mettre un terme à cette mauvaise gestion de la JSK par son président Moh Cherif Hannachi. «Aujourd’hui nous avons les preuves réelles que la gestion de la JSK par Hannachi est illégale et non conforme aux articles de loi. Il ne peut plus continuer à gérer de cette façon. Nous avons déposé des dossiers au niveau de toutes les parties concernées et nous espérons que les autorités feront quelque chose pour la JSK.»
Le Buteur (29/06/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK : La FAF et la LFP somment Hannachi de présenter les justificatifs
24 heures après les graves révélations du comité de sauvegarde de la JSK qui accuse l’actuel président Moh-Chérif Hannachi d’être un président hors-la-loi, les instances footballistiques n’ont pas tardé à réagir. L’ancien avocat du club, Salah Meriem, a annoncé lors du dernier point de presse que «la JSK est une société commerciale. Le code du commerce notamment l’article 21 stipule ceci : n’a la qualité de commerçant que celui qui est inscrit au registre de commerce. Dans le nouveau registre du commerce de l’équipe kabyle, il est cité que le président du conseil d’administration est la personne morale du Club sportif amateur. C'est-à-dire que le président du conseil d’administration est le CSA en tant que personne morale, représenté par monsieur Hannachi. Ce dernier est donc président de la SSPA-JSK parce qu’il est président du CSA. Avant 2012, tout cela était normal, mais depuis trois ans, il y a un nouveau président. Il y a un nouveau PV signé en août 2012 qui dit qu’un nouveau président du CSA est élu. Par conséquent, Hannachi a perdu sa qualité de président de CSA et bien entendu sa qualité de président de la société. C’est le registre de commerce qui dit cela. Donc, depuis cette date, (août 2012) vis-à vis des documents, ce dernier n’est plus le président du club. Or, il a signé des documents de la société illégalement». C’est cette déclaration qui semble avoir attiré l’attention des responsables du football algérien. Voulant des explications, une source crédible nous a fait savoir que la Ligue de football professionnel ainsi que la Fédération algérienne de football ont saisi officiellement le président de la JS Kabylie, samedi en fin d’après-midi, pour lui demander de s’expliquer et présenter les justificatifs nécessaires, prouvant qu’il est le président réglementaire de la JSK. La LFP et la FAF ne comptent pas se taire selon notre source et iront jusqu’au bout de l’enquête pour élucider cette affaire.
Il était attendu hier, en vain…
Notre source nous a révélé hier que le président de la JSK s’était entretenu samedi avec plusieurs responsables du football algérien, juste après que la conférence de presse des anciens soit diffusée sur les différentes chaînes de télévision. La même source indique que Hannachi a fait preuve de confiance en soi. Prié de se rendre à la Ligue et présenter les documents nécessaires, le boss des Jaune et Vert a ainsi promis de le faire dans les heures qui suivent, indique notre source, tellement qu’il était confiant. Il était ainsi attendu hier au siège de la Ligue, en vain. Il n’a pas donné signe de vie du côté de la maison des Ligues à Belcourt.
Il risque des poursuites judiciaires
La FAF et la LFP ne veulent pas se prononcer sur cette affaire, tant que Hannachi n’a pas encore présenté les arguments nécessaires pour contrecarrer ses opposants. Les deux instances attendront donc ses précisions, avant d’agir. On croit même savoir que cette affaire peut entraîner la justice dans le cas où l’on arrive à une conclusion faisant part de l’irrégularité de la présidence de Hannachi depuis 2012, comme l’indique l’opposition. La FAF a décidé de ne plus toléré ce genre d’affaire. La preuve, c’est que hier les deux arbitres assistants accusés de corruption CSC-NAHD ont été entendus par les services de police, dans le cadre de l’enquête judiciaire réclamée par l’instance dirigée par Mohamed Raouraoua.
Une source à la FAF révèle : «Sportivement, la JSK ne risque rien»
Une source autorisée auprès de la FAF nous a annoncé hier que la JS Kabylie ne risque rien sur le plan sportif, dans le cas où les accusations des opposants s’avèrent juste. Notre source a tenu à préciser : «Ecoutez, la JSK ne risque rien sur le plan sportif à cause des agissements d’une personne. Au contraire, c’est cette personne qui encoure des risques, dans le cas où les accusations de ses opposants s’avèrent vraies. Maintenant, nul ne pourra se prononcer tant que rien n’a été vérifié sur la légalité de son président.»
Le Buteur (29/06/2015)
24 heures après les graves révélations du comité de sauvegarde de la JSK qui accuse l’actuel président Moh-Chérif Hannachi d’être un président hors-la-loi, les instances footballistiques n’ont pas tardé à réagir. L’ancien avocat du club, Salah Meriem, a annoncé lors du dernier point de presse que «la JSK est une société commerciale. Le code du commerce notamment l’article 21 stipule ceci : n’a la qualité de commerçant que celui qui est inscrit au registre de commerce. Dans le nouveau registre du commerce de l’équipe kabyle, il est cité que le président du conseil d’administration est la personne morale du Club sportif amateur. C'est-à-dire que le président du conseil d’administration est le CSA en tant que personne morale, représenté par monsieur Hannachi. Ce dernier est donc président de la SSPA-JSK parce qu’il est président du CSA. Avant 2012, tout cela était normal, mais depuis trois ans, il y a un nouveau président. Il y a un nouveau PV signé en août 2012 qui dit qu’un nouveau président du CSA est élu. Par conséquent, Hannachi a perdu sa qualité de président de CSA et bien entendu sa qualité de président de la société. C’est le registre de commerce qui dit cela. Donc, depuis cette date, (août 2012) vis-à vis des documents, ce dernier n’est plus le président du club. Or, il a signé des documents de la société illégalement». C’est cette déclaration qui semble avoir attiré l’attention des responsables du football algérien. Voulant des explications, une source crédible nous a fait savoir que la Ligue de football professionnel ainsi que la Fédération algérienne de football ont saisi officiellement le président de la JS Kabylie, samedi en fin d’après-midi, pour lui demander de s’expliquer et présenter les justificatifs nécessaires, prouvant qu’il est le président réglementaire de la JSK. La LFP et la FAF ne comptent pas se taire selon notre source et iront jusqu’au bout de l’enquête pour élucider cette affaire.
Il était attendu hier, en vain…
Notre source nous a révélé hier que le président de la JSK s’était entretenu samedi avec plusieurs responsables du football algérien, juste après que la conférence de presse des anciens soit diffusée sur les différentes chaînes de télévision. La même source indique que Hannachi a fait preuve de confiance en soi. Prié de se rendre à la Ligue et présenter les documents nécessaires, le boss des Jaune et Vert a ainsi promis de le faire dans les heures qui suivent, indique notre source, tellement qu’il était confiant. Il était ainsi attendu hier au siège de la Ligue, en vain. Il n’a pas donné signe de vie du côté de la maison des Ligues à Belcourt.
Il risque des poursuites judiciaires
La FAF et la LFP ne veulent pas se prononcer sur cette affaire, tant que Hannachi n’a pas encore présenté les arguments nécessaires pour contrecarrer ses opposants. Les deux instances attendront donc ses précisions, avant d’agir. On croit même savoir que cette affaire peut entraîner la justice dans le cas où l’on arrive à une conclusion faisant part de l’irrégularité de la présidence de Hannachi depuis 2012, comme l’indique l’opposition. La FAF a décidé de ne plus toléré ce genre d’affaire. La preuve, c’est que hier les deux arbitres assistants accusés de corruption CSC-NAHD ont été entendus par les services de police, dans le cadre de l’enquête judiciaire réclamée par l’instance dirigée par Mohamed Raouraoua.
Une source à la FAF révèle : «Sportivement, la JSK ne risque rien»
Une source autorisée auprès de la FAF nous a annoncé hier que la JS Kabylie ne risque rien sur le plan sportif, dans le cas où les accusations des opposants s’avèrent juste. Notre source a tenu à préciser : «Ecoutez, la JSK ne risque rien sur le plan sportif à cause des agissements d’une personne. Au contraire, c’est cette personne qui encoure des risques, dans le cas où les accusations de ses opposants s’avèrent vraies. Maintenant, nul ne pourra se prononcer tant que rien n’a été vérifié sur la légalité de son président.»
Le Buteur (29/06/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Mecherara : «Hannachi est le président légal de la JSK»
Cela va avoir un effet dévastateur. Mohamed Mecherara l’ex-président de la Ligue, qui est aussi à jour avec les lois, nous a fait comprendre que la démarche du comité de sauvegarde pour virer Hannachi ne risque pas d’avoir d’effet. Il nous expliquera que cette démarche prouve une méconnaissance des lois et que Hannachi était toujours président de la JSK puisque seule le CA peut désigner un autre président.
Questionné si Hannachi n’était plus le président légitime de la JSK depuis 2012, comme l’accusent les membres du comité de sauvegarde, l’ancien vice-président de la FAF, Mohamed Mecherara, nous a fait savoir que réglementairement, Hannachi pouvait toujours se proclamer président de la JSK. Il nous fera savoir qu’il ne s’agit pas d’un mandat olympique pour qu’il se retire à une date précise. Mecherara, qui est le mieux placé pour nous parler des lois et de la situation de Hannachi à la tête du club, nous fera savoir que la démarche du comité de sauvegarde de la JSK qui dit que Hannachi n’est plus président ne risquent pas d’avoir le moindre effet ou de faire bouger les choses par ces accusations qui ne feront pas partir l’actuel président. «Hannachi a été élu par le conseil d’administration, le code de commerce n’a pas d’influence sur ça. Dans son cas, il ne s’agit pas d’un mandat olympique qui expire au bout de 3 ou 4 ans qui sont renouvelables. Là on pourrait dire qu’il n’est pas président, mais dans son cas, Hannachi est en règle et peut se proclamer président légitime de la JSK», nous dira le membre de la commission juridique de la CAF.
«Les actionnaires seulement donnent le pouvoir à l’administration»
Pour avoir une meilleure compréhension de la procédure, Mecherara nous dira que les choses doivent être faites selon des règles bien précises. «Dans un monde professionnel, il n’y a pas d’assemblées générales de 500 personnes. Ceux qui sont actionnaires seulement ont le droit. Par la suite, ce sont ces mêmes actionnaires qui donnent le pouvoir à l’administrateur. Et pour faire plus simple, à la JSK, c’est le CSA qui détient la majorité des actions du club qui s’élèvent à 70%, c’est donc au CSA de désigner le nombre maximum des administrateurs. Par la suite le conseil d’administration désigne le président. C’est comme ça que ça marche. Il ne faut pas avoir une mauvaise compréhension des lois et des règlements. Cela veut dire que Hannachi est jusqu’à maintenant toujours en droit de se proclamer président légitime de la JSK. Il faut également savoir que dans une SSPA, le mandat olympique n’existe pas, il est seulement faisable dans le club sportif amateur.»
«Il faut que les actionnaires se mettent d’accord pour élire un nouveau président»
Par ailleurs, la solution est de mettre d’accord tous les actionnaires du club pour élire un nouveau président à la place de Hannachi. Le CA n’était pas soumis au code de commerce, il faudra que les actionnaires se mettent d’accord, nous a expliqué le membre de la CJ de la CAF. «Pour qu’il y ait un changement, il faudrait que les actionnaires se mettent d’accord. Le seul moyen pour changer les choses est que les actionnaires décident la même chose afin désigner quelqu’un d’autre pour prendre la présidence du club. Le CA sera donc appelé à choisir un nouveau président.»
Compétition (29/06/2015)
Cela va avoir un effet dévastateur. Mohamed Mecherara l’ex-président de la Ligue, qui est aussi à jour avec les lois, nous a fait comprendre que la démarche du comité de sauvegarde pour virer Hannachi ne risque pas d’avoir d’effet. Il nous expliquera que cette démarche prouve une méconnaissance des lois et que Hannachi était toujours président de la JSK puisque seule le CA peut désigner un autre président.
Questionné si Hannachi n’était plus le président légitime de la JSK depuis 2012, comme l’accusent les membres du comité de sauvegarde, l’ancien vice-président de la FAF, Mohamed Mecherara, nous a fait savoir que réglementairement, Hannachi pouvait toujours se proclamer président de la JSK. Il nous fera savoir qu’il ne s’agit pas d’un mandat olympique pour qu’il se retire à une date précise. Mecherara, qui est le mieux placé pour nous parler des lois et de la situation de Hannachi à la tête du club, nous fera savoir que la démarche du comité de sauvegarde de la JSK qui dit que Hannachi n’est plus président ne risquent pas d’avoir le moindre effet ou de faire bouger les choses par ces accusations qui ne feront pas partir l’actuel président. «Hannachi a été élu par le conseil d’administration, le code de commerce n’a pas d’influence sur ça. Dans son cas, il ne s’agit pas d’un mandat olympique qui expire au bout de 3 ou 4 ans qui sont renouvelables. Là on pourrait dire qu’il n’est pas président, mais dans son cas, Hannachi est en règle et peut se proclamer président légitime de la JSK», nous dira le membre de la commission juridique de la CAF.
«Les actionnaires seulement donnent le pouvoir à l’administration»
Pour avoir une meilleure compréhension de la procédure, Mecherara nous dira que les choses doivent être faites selon des règles bien précises. «Dans un monde professionnel, il n’y a pas d’assemblées générales de 500 personnes. Ceux qui sont actionnaires seulement ont le droit. Par la suite, ce sont ces mêmes actionnaires qui donnent le pouvoir à l’administrateur. Et pour faire plus simple, à la JSK, c’est le CSA qui détient la majorité des actions du club qui s’élèvent à 70%, c’est donc au CSA de désigner le nombre maximum des administrateurs. Par la suite le conseil d’administration désigne le président. C’est comme ça que ça marche. Il ne faut pas avoir une mauvaise compréhension des lois et des règlements. Cela veut dire que Hannachi est jusqu’à maintenant toujours en droit de se proclamer président légitime de la JSK. Il faut également savoir que dans une SSPA, le mandat olympique n’existe pas, il est seulement faisable dans le club sportif amateur.»
«Il faut que les actionnaires se mettent d’accord pour élire un nouveau président»
Par ailleurs, la solution est de mettre d’accord tous les actionnaires du club pour élire un nouveau président à la place de Hannachi. Le CA n’était pas soumis au code de commerce, il faudra que les actionnaires se mettent d’accord, nous a expliqué le membre de la CJ de la CAF. «Pour qu’il y ait un changement, il faudrait que les actionnaires se mettent d’accord. Le seul moyen pour changer les choses est que les actionnaires décident la même chose afin désigner quelqu’un d’autre pour prendre la présidence du club. Le CA sera donc appelé à choisir un nouveau président.»
Compétition (29/06/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Après le communiqué de l’opposition
Hannachi prépare sa riposte
Les membres du comité de sauvegarde qui se sont réunis samedi après-midi à Tizi Ouzou ont publié un communiqué à l’issue de cette réunion, un communiqué qui a fait un grand bruit vu son contenu. Tout le monde parlait de la fin, de départ, de retrait… peu importe le mot, les choses étaient claires aux yeux des membres dudit comité qui, selon eux, Hannachi préside la JSK depuis des années déjà d’une manière illégale. Les membres du comité de sauvegarde ont même appelé à la désignation d’un directoire pour gérer les affaires du club jusqu’à l’ouverture du capital. De son côté, Hannachi reste très confiant, cette histoire ne lui a fait apparemment ni chaud ni froid, au contraire, Mohand- Chérif Hannachi prépare sa riposte. Hier, le numéro un de la JSK s’est déplacé à Alger, il a fait un tour au notaire qui gère le dossier de la SSPA/JSK. Le président de la formation du Djurdjura a récupéré plusieurs documents de chez le notaire, il devait les remettre aux avocats du club hier en fin de journée afin que ces derniers puissent préparer une riposte et même déposer une plainte. Le président kabyle avait même promis à ses proches qu’il va tenir une conférence de presse où il va faire, selon lui toujours, de très graves révélations.
Compétition (29/06/2015)
Hannachi prépare sa riposte
Les membres du comité de sauvegarde qui se sont réunis samedi après-midi à Tizi Ouzou ont publié un communiqué à l’issue de cette réunion, un communiqué qui a fait un grand bruit vu son contenu. Tout le monde parlait de la fin, de départ, de retrait… peu importe le mot, les choses étaient claires aux yeux des membres dudit comité qui, selon eux, Hannachi préside la JSK depuis des années déjà d’une manière illégale. Les membres du comité de sauvegarde ont même appelé à la désignation d’un directoire pour gérer les affaires du club jusqu’à l’ouverture du capital. De son côté, Hannachi reste très confiant, cette histoire ne lui a fait apparemment ni chaud ni froid, au contraire, Mohand- Chérif Hannachi prépare sa riposte. Hier, le numéro un de la JSK s’est déplacé à Alger, il a fait un tour au notaire qui gère le dossier de la SSPA/JSK. Le président de la formation du Djurdjura a récupéré plusieurs documents de chez le notaire, il devait les remettre aux avocats du club hier en fin de journée afin que ces derniers puissent préparer une riposte et même déposer une plainte. Le président kabyle avait même promis à ses proches qu’il va tenir une conférence de presse où il va faire, selon lui toujours, de très graves révélations.
Compétition (29/06/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Hannachi-Comité de sauvegarde
Les deux sont indésirables
Pour beaucoup d’observateurs et autres supporters de la JSK on souhaite qu’il y ait un changement profond afin que le club phare de la Kabylie remonte sur le toit de l’Afrique. Mais pour beaucoup la solution n’est pas forcément le comité de sauvegarde qui aux yeux de beaucoup perd du terrain.
La situation de la JSK divise ses fans. Beaucoup sont pour le départ de Hannachi, mais pas pour voir le comité de sauvegarde prendre le club. Nombreux sont ceux qui se montrent réticents à voir les actuels opposants prendre les commandes de la JSK. En Kabylie tout comme dans la capitale, on souhaite voir un changement certes, mais pas celui qu’on veut imposer. En effet, les observateurs estiment que le comité de sauvegarde aurait dû intervenir lorsque le club traversait des moments difficiles. Pour nombre d’entre eux, c’est juste à Hannachi qu’ils en veulent et ne cherchent pas réellement l’intérêt de la JSK. Le doute s’installe chez quelques supporters qui ne font qu’observer la situation et ne prennent aucune position. Certains voient en cette entreprise un règlement de comptes personnel entre des membres du comité de sauvegarde de la JSK et Hannachi. Ces gens-là estiment qu’ils se cachent derrière ce comité pour atteindre leurs buts qui sont loin de faire du club l’ogre africain qu’il était autrefois, mais juste pour chasser un président avec qui ils veulent régler leurs comptes.
Ils évoquent les périodes difficiles qu’a traversés le club sans que personne fasse rien
Une partie des supporters se demande pourquoi ce même comité n’est pas intervenu lorsque le club était pénalisé par la CAF et la LFP. Pour eux, puisque c’est l’intérêt de la JSK qu’ils défendent pourquoi avoir attendu tout ce temps pour passer à l’acte. Il est également reproché aux membres dudit comité le fait que personne n’a réclamé à ce que le stade du 1er -Novembre connaisse une levée des sanctions, ou encore lors du décès d’Ebossé où personne n’a jamais rien dit. Pour eux cette opposition n’est pas ce qu’il faut au club. Même si Hannachi doit partir, les gens sont de plus en plus réticents à l’idée de voir le comité de sauvegarde prendre en main les affaires du club. Les supporters estiment que si des gens avaient vraiment l’intention d’apporter du changement et faire de la JSK une meilleure équipe que les années précédentes, ils se seraient manifestés lors des moments difficiles qu’a traversés le club qui n’a trouvé que ses fans pour le défendre. Aujourd’hui ces mêmes fans ne croient ni en l’actuel président ni en ses opposants. Ils ne font qu’observer la situation en espérant que leur club sortira de cette crise qui n’aura que trop longtemps duré et pénalisé l’un des plus grands clubs d’Algérie de faire perpétuer ses traditions en gagnant des titres nationaux et continentaux.
On réclame qu’on présente ce qu’on a de concret
Pendant que Hannachi temporise et joue la carte de la discrétion, le comité l’accuse d’être illégalement président du club. Ces membres du comité de sauvegarde avaient annoncé avoir des industriels qui voulaient voir partir Hannachi avant de se manifester et se présenter au grand public. Sans cela, ces industriels qui sont annoncés comme les sauveurs de la JSK veulent étrangement rester loin des projecteurs. Cela suscite pas mal d’interrogations chez les fans de la JSK qui se demandent maintenant s’il y a réellement des industriels qui souhaitent vraiment investir dans le club. Pourtant annoncer le nom d’une société ou une marque, ferait une bonne publicité et pourrait même faire accélérer les choses pour le comité de sauvegarde qui gagnera en crédibilité. Actuellement on ne peut pas dire que c’est le cas puisqu’on s’inquiète de plus en plus au sein de la galerie kabyle. On réclame d’ailleurs qu’on présente au grand jour ce grand industriel dont on ne cesse de parler. Cela pourrait d’ailleurs permettre au comité de sauvegarde de franchir un pas important pour le départ de Hannachi et l’installation d’une nouvelle direction. Pour les fans, le fait qu’on cache toujours l’identité de cet industriel qu’on annonce vouloir voir Hannachi partir avant de venir, pourrait être une ruse, donc ils veulent maintenant du concret, plus de promesse, il faudra les convaincre avec des faits pas avec des promesses qui risquent de n’être qu’un moyen d’arriver à des fins qui ne sont peut-être pas ce qui est préférable pour le club kabyle.
Compétition (29/06/2015)
Les deux sont indésirables
Pour beaucoup d’observateurs et autres supporters de la JSK on souhaite qu’il y ait un changement profond afin que le club phare de la Kabylie remonte sur le toit de l’Afrique. Mais pour beaucoup la solution n’est pas forcément le comité de sauvegarde qui aux yeux de beaucoup perd du terrain.
La situation de la JSK divise ses fans. Beaucoup sont pour le départ de Hannachi, mais pas pour voir le comité de sauvegarde prendre le club. Nombreux sont ceux qui se montrent réticents à voir les actuels opposants prendre les commandes de la JSK. En Kabylie tout comme dans la capitale, on souhaite voir un changement certes, mais pas celui qu’on veut imposer. En effet, les observateurs estiment que le comité de sauvegarde aurait dû intervenir lorsque le club traversait des moments difficiles. Pour nombre d’entre eux, c’est juste à Hannachi qu’ils en veulent et ne cherchent pas réellement l’intérêt de la JSK. Le doute s’installe chez quelques supporters qui ne font qu’observer la situation et ne prennent aucune position. Certains voient en cette entreprise un règlement de comptes personnel entre des membres du comité de sauvegarde de la JSK et Hannachi. Ces gens-là estiment qu’ils se cachent derrière ce comité pour atteindre leurs buts qui sont loin de faire du club l’ogre africain qu’il était autrefois, mais juste pour chasser un président avec qui ils veulent régler leurs comptes.
Ils évoquent les périodes difficiles qu’a traversés le club sans que personne fasse rien
Une partie des supporters se demande pourquoi ce même comité n’est pas intervenu lorsque le club était pénalisé par la CAF et la LFP. Pour eux, puisque c’est l’intérêt de la JSK qu’ils défendent pourquoi avoir attendu tout ce temps pour passer à l’acte. Il est également reproché aux membres dudit comité le fait que personne n’a réclamé à ce que le stade du 1er -Novembre connaisse une levée des sanctions, ou encore lors du décès d’Ebossé où personne n’a jamais rien dit. Pour eux cette opposition n’est pas ce qu’il faut au club. Même si Hannachi doit partir, les gens sont de plus en plus réticents à l’idée de voir le comité de sauvegarde prendre en main les affaires du club. Les supporters estiment que si des gens avaient vraiment l’intention d’apporter du changement et faire de la JSK une meilleure équipe que les années précédentes, ils se seraient manifestés lors des moments difficiles qu’a traversés le club qui n’a trouvé que ses fans pour le défendre. Aujourd’hui ces mêmes fans ne croient ni en l’actuel président ni en ses opposants. Ils ne font qu’observer la situation en espérant que leur club sortira de cette crise qui n’aura que trop longtemps duré et pénalisé l’un des plus grands clubs d’Algérie de faire perpétuer ses traditions en gagnant des titres nationaux et continentaux.
On réclame qu’on présente ce qu’on a de concret
Pendant que Hannachi temporise et joue la carte de la discrétion, le comité l’accuse d’être illégalement président du club. Ces membres du comité de sauvegarde avaient annoncé avoir des industriels qui voulaient voir partir Hannachi avant de se manifester et se présenter au grand public. Sans cela, ces industriels qui sont annoncés comme les sauveurs de la JSK veulent étrangement rester loin des projecteurs. Cela suscite pas mal d’interrogations chez les fans de la JSK qui se demandent maintenant s’il y a réellement des industriels qui souhaitent vraiment investir dans le club. Pourtant annoncer le nom d’une société ou une marque, ferait une bonne publicité et pourrait même faire accélérer les choses pour le comité de sauvegarde qui gagnera en crédibilité. Actuellement on ne peut pas dire que c’est le cas puisqu’on s’inquiète de plus en plus au sein de la galerie kabyle. On réclame d’ailleurs qu’on présente au grand jour ce grand industriel dont on ne cesse de parler. Cela pourrait d’ailleurs permettre au comité de sauvegarde de franchir un pas important pour le départ de Hannachi et l’installation d’une nouvelle direction. Pour les fans, le fait qu’on cache toujours l’identité de cet industriel qu’on annonce vouloir voir Hannachi partir avant de venir, pourrait être une ruse, donc ils veulent maintenant du concret, plus de promesse, il faudra les convaincre avec des faits pas avec des promesses qui risquent de n’être qu’un moyen d’arriver à des fins qui ne sont peut-être pas ce qui est préférable pour le club kabyle.
Compétition (29/06/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK : La FAF obligera la JSK à se soumettre à la légalité
Le scandale découvert par les membres du Comité de sauvegarde de la JSK sur l’irrégularité du président Mohand Chérif Hannachi ne passera pas sous silence du côté des instances footballistiques. A en croire une source crédible, la FAF étudie le dossier présenté par les opposants à Hannachi lequel dossier prouve qu’il y a eu rendu infraction, en attendant que Hannachi ne présente lui-même les documents prouvant le contraire. Il est, en effet, attendu à la LFP et à la FAF pour prouver qu’il a toujours agi en conformité avec la loi. Mais du côté de la FAF et même si on souhaite garder le silence, on prépare d’ores déjà une riposte pour obliger la JSK de se soumettre à la légalité. Ce sera une première réaction dans l’immédiat. La FAF et même la LFP n’accepteront plus jamais d’avoir affaire à une personne qui s’auto-proclame président, sans qu’il ne soit conforme à la réglementation. Secrètement, la fédération a pu avoir des tuyaux de la part des opposants ainsi que des documents officiels. Alors que le président de l’instance, Mohamed Raouraoua, se trouve en Arabie Saoudite, ce sont ses collaborateurs qui ont pris l’affaire en main.
Les demandes de licence ne doivent plus être signées par Hannachi
En exigeant à la JSK de se soumettre à la légalité, la fédération va donc obliger la ligue à ne plus avoir affaire à Hannachi. En quelque sorte, tous les documents signés par Mohand Chérif Hannachi ne seront plus acceptés ni par la Ligue de football professionnel ni par la Fédération algérienne de football. Notre source nous a même révélé : «Vous savez, les documents signés par Hannachi risquent d’être rejetés. Je peux vous dire que même les demandes de licence ne doivent plus être signées par Hannachi, étant donné qu’il n’est plus le président du club.» Autrement dit, les demandes de licence des joueurs ne doivent plus être signées par Hannachi étant donné que réglementairement, il s’agit d’un ancien président du club. Et ce n’est pas uniquement les demandes de licence qui risquent d’être rejetées puisque tous les documents et demandes officielles adressées aux instances footballistiques, à savoir la FAF et la LFP, seront eux aussi rejetés.
L’instance compte isoler Hannachi, en attendant son éviction
L’instance dirigée par Mohamed Raouraoua ne compte pas badiner avec la loi et ne fermera pas les yeux sur cette affaire, comme nous l’a indiqué un haut responsable de la FAF : «Si Hannachi a détient les documents prouvant sa légalité, qu’il les présente, faute de quoi les instances ne le reconnaîtront pas.» Voilà une déclaration qui prouve cette thèse. Pour la FAF, la priorité est d’isoler Mohand Chérif Hannachi dans l’immédiat, afin de ne pas cautionner la médiocrité et des gens hors la loi, afin de pour montrer la voie au MJS, en prévision de son éviction finale du club, selon les règlements.
Le MJS doit sommer la DJSL d’organiser une AGex et élire un directoire dans l’immédiat
Ce que tous les Kabyles doivent savoir, c’est que ce n’est pas du ressort de la Fédération algérienne de football d’évincer Hannachi. Une source autorisée à la FAF nous a expliqué le rôle de l’instance dirigée par Mohamed Raouraoua dans cette affaire : «La fédération se contentera de saisir la JSK et de la sommer de se conformer à la réglementation. La fédération saisira aussi le ministère des Sports pour l’informer des irrégularités entourant le dossier de la JSK. Et c’est le MJS qui doit sommer la DJS de Tizi Ouzou d’organiser dans les plus brefs une assemblée générale extraordinaire, afin d’élire un directoire, dans les plus brefs délais, qui dirigera les affaires courantes du club pour au moins un mois et représenter le club devant les instances, en attendant l’élection d’un successeur à Hannachi, étant donné que les documents signés par ce dernier sont caducs, sauf s’il présente des documents prouvant le contraire.»
-------------------------
Après trois ans d’irrégularités
La FAF sommera la JSK d’ouvrir son capital dans l’immédiat
Jusqu’à preuve du contraire, Mohand Chérif Hannachi n’est pas le président légal du club. Cette affaire est devenue agaçante pour les instances footballistiques, puisque Hannachi n’a toujours pas présenté les documents nécessaires prouvant le contraire. Cette affaire a donné à réfléchir aux responsables de la Fédération algérienne de football sur ce projet de professionnalisme en Algérie. En cinq ans, l’instance dirigée par Mohamed Raouraoua a constaté que rien n’a changé. Ce sont toujours les mêmes personnes qui président les clubs et qu’à la JSK, Hannachi semble vouloir s’éterniser rester toute sa vie à la tête du club. Hannachi n’est qu’un exemple de l’échec du professionnalisme dont le ministère des Sports et les plus hautes instances du pays endossent une bonne part de la responsabilité. Bref, ce n’est pas un procès mais c’est une réalité amère qui plonge notre football dans un coma. Mais cette fois, les choses vont bouger selon nos informations. Mohamed Raouraoua semble décidé à mettre un terme à cette «loi de nabab» dictée par certains présidents de club, parmi eux Hannachi. Le président de la FAF va donc obliger les présidents des sociétés sportives d’ouvrir le capital, à leur tête la JSK. Ce sera le premier club concerné afin de permettre aux investisseurs et aux hommes d’affaires intéressés de prendre en main le club, ce que Hannachi a toujours refusé.
Raouraoua prendra cette décision à son retour d’Arabie Saoudite
Selon nos informations, Mohamed Raouraoua va prendre cette décision, une fois de retour à Alger. Actuellement, le président de la FAF se trouve en à Djeddah, en Arabie Saoudite, pour prendre part à une réunion du comité exécutif de l’Union arabe de football dont il est le premier vice-président. A son retour au pays, Raouraoua obligera une douzaine de club d’ouvrir le capital, pour permettre aux investisseurs de s’engager immédiatement. Il semble qu’excepté le MCA, l’USMA, le CSC, la JSS et à un degré moindre l’ES Sétif, les autres clubs n’en font qu’à leur tête faisant fi des textes qui définissent le professionnalisme.
Le Buteur (30/06/2015)
Le scandale découvert par les membres du Comité de sauvegarde de la JSK sur l’irrégularité du président Mohand Chérif Hannachi ne passera pas sous silence du côté des instances footballistiques. A en croire une source crédible, la FAF étudie le dossier présenté par les opposants à Hannachi lequel dossier prouve qu’il y a eu rendu infraction, en attendant que Hannachi ne présente lui-même les documents prouvant le contraire. Il est, en effet, attendu à la LFP et à la FAF pour prouver qu’il a toujours agi en conformité avec la loi. Mais du côté de la FAF et même si on souhaite garder le silence, on prépare d’ores déjà une riposte pour obliger la JSK de se soumettre à la légalité. Ce sera une première réaction dans l’immédiat. La FAF et même la LFP n’accepteront plus jamais d’avoir affaire à une personne qui s’auto-proclame président, sans qu’il ne soit conforme à la réglementation. Secrètement, la fédération a pu avoir des tuyaux de la part des opposants ainsi que des documents officiels. Alors que le président de l’instance, Mohamed Raouraoua, se trouve en Arabie Saoudite, ce sont ses collaborateurs qui ont pris l’affaire en main.
Les demandes de licence ne doivent plus être signées par Hannachi
En exigeant à la JSK de se soumettre à la légalité, la fédération va donc obliger la ligue à ne plus avoir affaire à Hannachi. En quelque sorte, tous les documents signés par Mohand Chérif Hannachi ne seront plus acceptés ni par la Ligue de football professionnel ni par la Fédération algérienne de football. Notre source nous a même révélé : «Vous savez, les documents signés par Hannachi risquent d’être rejetés. Je peux vous dire que même les demandes de licence ne doivent plus être signées par Hannachi, étant donné qu’il n’est plus le président du club.» Autrement dit, les demandes de licence des joueurs ne doivent plus être signées par Hannachi étant donné que réglementairement, il s’agit d’un ancien président du club. Et ce n’est pas uniquement les demandes de licence qui risquent d’être rejetées puisque tous les documents et demandes officielles adressées aux instances footballistiques, à savoir la FAF et la LFP, seront eux aussi rejetés.
L’instance compte isoler Hannachi, en attendant son éviction
L’instance dirigée par Mohamed Raouraoua ne compte pas badiner avec la loi et ne fermera pas les yeux sur cette affaire, comme nous l’a indiqué un haut responsable de la FAF : «Si Hannachi a détient les documents prouvant sa légalité, qu’il les présente, faute de quoi les instances ne le reconnaîtront pas.» Voilà une déclaration qui prouve cette thèse. Pour la FAF, la priorité est d’isoler Mohand Chérif Hannachi dans l’immédiat, afin de ne pas cautionner la médiocrité et des gens hors la loi, afin de pour montrer la voie au MJS, en prévision de son éviction finale du club, selon les règlements.
Le MJS doit sommer la DJSL d’organiser une AGex et élire un directoire dans l’immédiat
Ce que tous les Kabyles doivent savoir, c’est que ce n’est pas du ressort de la Fédération algérienne de football d’évincer Hannachi. Une source autorisée à la FAF nous a expliqué le rôle de l’instance dirigée par Mohamed Raouraoua dans cette affaire : «La fédération se contentera de saisir la JSK et de la sommer de se conformer à la réglementation. La fédération saisira aussi le ministère des Sports pour l’informer des irrégularités entourant le dossier de la JSK. Et c’est le MJS qui doit sommer la DJS de Tizi Ouzou d’organiser dans les plus brefs une assemblée générale extraordinaire, afin d’élire un directoire, dans les plus brefs délais, qui dirigera les affaires courantes du club pour au moins un mois et représenter le club devant les instances, en attendant l’élection d’un successeur à Hannachi, étant donné que les documents signés par ce dernier sont caducs, sauf s’il présente des documents prouvant le contraire.»
-------------------------
Après trois ans d’irrégularités
La FAF sommera la JSK d’ouvrir son capital dans l’immédiat
Jusqu’à preuve du contraire, Mohand Chérif Hannachi n’est pas le président légal du club. Cette affaire est devenue agaçante pour les instances footballistiques, puisque Hannachi n’a toujours pas présenté les documents nécessaires prouvant le contraire. Cette affaire a donné à réfléchir aux responsables de la Fédération algérienne de football sur ce projet de professionnalisme en Algérie. En cinq ans, l’instance dirigée par Mohamed Raouraoua a constaté que rien n’a changé. Ce sont toujours les mêmes personnes qui président les clubs et qu’à la JSK, Hannachi semble vouloir s’éterniser rester toute sa vie à la tête du club. Hannachi n’est qu’un exemple de l’échec du professionnalisme dont le ministère des Sports et les plus hautes instances du pays endossent une bonne part de la responsabilité. Bref, ce n’est pas un procès mais c’est une réalité amère qui plonge notre football dans un coma. Mais cette fois, les choses vont bouger selon nos informations. Mohamed Raouraoua semble décidé à mettre un terme à cette «loi de nabab» dictée par certains présidents de club, parmi eux Hannachi. Le président de la FAF va donc obliger les présidents des sociétés sportives d’ouvrir le capital, à leur tête la JSK. Ce sera le premier club concerné afin de permettre aux investisseurs et aux hommes d’affaires intéressés de prendre en main le club, ce que Hannachi a toujours refusé.
Raouraoua prendra cette décision à son retour d’Arabie Saoudite
Selon nos informations, Mohamed Raouraoua va prendre cette décision, une fois de retour à Alger. Actuellement, le président de la FAF se trouve en à Djeddah, en Arabie Saoudite, pour prendre part à une réunion du comité exécutif de l’Union arabe de football dont il est le premier vice-président. A son retour au pays, Raouraoua obligera une douzaine de club d’ouvrir le capital, pour permettre aux investisseurs de s’engager immédiatement. Il semble qu’excepté le MCA, l’USMA, le CSC, la JSS et à un degré moindre l’ES Sétif, les autres clubs n’en font qu’à leur tête faisant fi des textes qui définissent le professionnalisme.
Le Buteur (30/06/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Me Meriem Salah (ex-avocat de la JSK) : «L’affaire Yakubu est un autre scandale qui nous renseigne sur la mauvaise gestion»
L’ancien avocat de la JSK, Me Salah Meriem, n’a pas raté l’occasion de commenter l’affaire de l’attaquant ghanéen Yakouba que certains ont qualifié de Black Star de la JSK, alors qu’il n’avait encore rien conclu concernant son transfert. En effet, les dirigeants se targuent d’avoir mis la main sur un excellent attaquant africain, avant de se rendre compte qu’ils étaient sur le point d’être arnaqués. Pire encore, le joueur a signé son contrat, avant de le résilier dans la soirée même. Me Meriem dira à ce propos : «Ce qui se passe à la JSK est gravissime. Jamais je n’ai pensé que le club vivra de tels scandales. Le scénario des deux joueurs camerounais recrutés l’hiver dernier, Kooh Sohna et Nkama, sont toujours dans les esprits des supporters. Cela prouve toute l’incompétence des dirigeants en place et que la JSK est gérée anarchiquement.»
«Rebrab est un grand monsieur mais il n’est pas l’investisseur dont nous avons parlé»
Beaucoup d’encre a coulé ces derniers temps concernant le potentiel investisseur annoncé pour reprendre la JSK. Les observateurs ainsi que les supporters de la JSK s’interrogent sur l’avenir du club et de l’après-Hannachi. Certains ont même évoqué le nom d’Issad Rebrab pour reprendre en main le club. «Je ne peux pas évoquer cette question pour le moment, nous ne sommes pas ceux qui ouvriront le capital aux investisseurs. Pour l’instant, on ne veut pas dévoiler de nom. Concernant Rebrab, je pense que tout le monde connaît ce grand monsieur mais je confirme les propos de Miloud Iboud, Rebrab n’est pas la personne dont nous avons parlé.»
«Nous détenons toutes les preuves et Hannachi ne pourra pas fuir la réalité»
Toujours à propos de leur campagne menée depuis plusieurs semaines concernant le changement à la JSK et le départ de Hannachi, Me Meriem a ajouté : «Nous détenons toutes les preuves formelles qui confirment que nous sommes sur le droit chemin. La copie du registre de commerce qui est entre nos mains est une pièce très importante qui confirme que Hannachi n’est pas le président légal de la JSK et ne pourra apporter le contraire de ce que nous avons annoncé en conférence de presse samedi dernier.»
«Le code du commerce est clair, Hannachi ne peut pas être le président de la JSK»
En réponse aux déclarations de l’ex-président de la LFP, Mohamed Mechrara, à propos de la situation de Hannachi, l’ex-avocat de la JSK, Me Salah Meriem, a révélé : «Si vraiment Hannachi est le président légal de la JSK, pourquoi on a alors élu un nouveau président du CSA. D’autre part, Mechrara a affirmé que le problème ne se situe pas dans le registre de commerce et n’a aucune relation avec le code du commerce, par contre il atteste que seuls les membres du CA ont le droit de désigner un président, eux qui sont désignés aussi par le même code de commerce et sont membres du CA. Le registre du commerce qui est entre nos mains démontre que Hannachi n’est pas le président légal de la JSK depuis 3 ans.»
«Nous attendons la réponse de la ligue,de la FAF et du MJS»
En conclusion, Me Meriem a confié : «Nous attendons toujours une réaction de la Ligue nationale, de la FAF ou du ministère des Sports concernant tous les dossiers que nous avons déposés.»
Le Buteur (30/06/2015)
L’ancien avocat de la JSK, Me Salah Meriem, n’a pas raté l’occasion de commenter l’affaire de l’attaquant ghanéen Yakouba que certains ont qualifié de Black Star de la JSK, alors qu’il n’avait encore rien conclu concernant son transfert. En effet, les dirigeants se targuent d’avoir mis la main sur un excellent attaquant africain, avant de se rendre compte qu’ils étaient sur le point d’être arnaqués. Pire encore, le joueur a signé son contrat, avant de le résilier dans la soirée même. Me Meriem dira à ce propos : «Ce qui se passe à la JSK est gravissime. Jamais je n’ai pensé que le club vivra de tels scandales. Le scénario des deux joueurs camerounais recrutés l’hiver dernier, Kooh Sohna et Nkama, sont toujours dans les esprits des supporters. Cela prouve toute l’incompétence des dirigeants en place et que la JSK est gérée anarchiquement.»
«Rebrab est un grand monsieur mais il n’est pas l’investisseur dont nous avons parlé»
Beaucoup d’encre a coulé ces derniers temps concernant le potentiel investisseur annoncé pour reprendre la JSK. Les observateurs ainsi que les supporters de la JSK s’interrogent sur l’avenir du club et de l’après-Hannachi. Certains ont même évoqué le nom d’Issad Rebrab pour reprendre en main le club. «Je ne peux pas évoquer cette question pour le moment, nous ne sommes pas ceux qui ouvriront le capital aux investisseurs. Pour l’instant, on ne veut pas dévoiler de nom. Concernant Rebrab, je pense que tout le monde connaît ce grand monsieur mais je confirme les propos de Miloud Iboud, Rebrab n’est pas la personne dont nous avons parlé.»
«Nous détenons toutes les preuves et Hannachi ne pourra pas fuir la réalité»
Toujours à propos de leur campagne menée depuis plusieurs semaines concernant le changement à la JSK et le départ de Hannachi, Me Meriem a ajouté : «Nous détenons toutes les preuves formelles qui confirment que nous sommes sur le droit chemin. La copie du registre de commerce qui est entre nos mains est une pièce très importante qui confirme que Hannachi n’est pas le président légal de la JSK et ne pourra apporter le contraire de ce que nous avons annoncé en conférence de presse samedi dernier.»
«Le code du commerce est clair, Hannachi ne peut pas être le président de la JSK»
En réponse aux déclarations de l’ex-président de la LFP, Mohamed Mechrara, à propos de la situation de Hannachi, l’ex-avocat de la JSK, Me Salah Meriem, a révélé : «Si vraiment Hannachi est le président légal de la JSK, pourquoi on a alors élu un nouveau président du CSA. D’autre part, Mechrara a affirmé que le problème ne se situe pas dans le registre de commerce et n’a aucune relation avec le code du commerce, par contre il atteste que seuls les membres du CA ont le droit de désigner un président, eux qui sont désignés aussi par le même code de commerce et sont membres du CA. Le registre du commerce qui est entre nos mains démontre que Hannachi n’est pas le président légal de la JSK depuis 3 ans.»
«Nous attendons la réponse de la ligue,de la FAF et du MJS»
En conclusion, Me Meriem a confié : «Nous attendons toujours une réaction de la Ligue nationale, de la FAF ou du ministère des Sports concernant tous les dossiers que nous avons déposés.»
Le Buteur (30/06/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK : Issaâd Rebrab prêt à venir !
C’est la nouvelle qui risque de peser lourd dans la balance. L’industriel Issaâd Rebrab a fait savoir à ses proches qu’il est prêt à prendre en main la JSK. Cette nouvelle nous est parvenue de Kabylie, plus précisément du village natal d’Issaâd Rebrab. Et c’est lors d’un enterrement que l’industriel algérien a été interpellé par des personnes de son village qui ont demandé à connaître son point de vue sur la situation actuelle que traverse la JSK. Issaâd Rebrab s’est montré très attentif à ce qu’on lui disait. Il a fait savoir par la suite à son entourage qu’il était bien évidemment déçu de voir qu’un aussi grand club comme la JSK se trouve dans une situation aussi délicate. Par la suite, ces mêmes personnes lui ont demandé s’il était en mesure de prendre un jour le club. Et au moment où la plupart d’entre eux s’attendaient à un refus, Rebrab a affirmé qu’il était prêt à venir, mais sous conditions. L’industriel algérien a fait savoir par la même occasion qu’il ne tournerait pas le dos à la JSK si on le sollicitait.
Il est contre l’idée d’investir des milliards dès le début
Lors de cet échange, Rebrab a fait savoir à son entourage que s’il était appelé à prendre en main la JSK, il n’allait en aucun cas investir des milliards dès la première année, comme l’a fait Ali Haddad à l’USMA. S’il faut injecter de l’argent, Rebrab compte le faire de manière intelligente. Issaâd Rebrab a fait savoir aussi qu’il avait un grand projet pour cette équipe et que sa seule préoccupation est de voir la JSK un jour au sommet de l’Afrique. Il estime que la JSK doit retrouver la place qu’elle mérite et qu’il faudra mettre un grand projet pour que cela se réalise.
Les infrastructures et la formation, ses principales préoccupations
Même s’il n’a toujours pas encore affiché ses intentions de manière officielle, Issaâd Rebrab semble avoir déjà en tête le projet qu’il veut mettre en place. D’après son entourage, Rebrab compte investir dans un premier temps dans la formation, tout en mettant en place toutes les infrastructures que cela exige. Il reste convaincu que la formation est la clé de la réussite. Tout porte à croire que Rebrab dispose d’un projet sérieux qui diffère des méthodes utilisées par Haddad et certaines entreprises nationales qui sont à la tête des clubs de Ligue 1 Mobilis, à l’image du CSC et du MCA.
Sa condition est que Hannachi parte
Toutefois, la condition de Rebrab est claire, nette et précise ! Il accepte de venir, mais pas en tant que sponsor. S’il injecte de l’argent à la JSK, c’est incontestablement pour en être le patron. Il a fait savoir à son entourage que tant que Moh Cherif Hannachi est le président de la JSK, il ne déboursera pas le moindre centime. De nombreux observateurs estiment que maintenant que Rebrab a affiché ses intentions, Hannachi n’aura plus cette excuse de dire que la Kabyle n’a pas d’industriel capable de prendre en main la JSK. Désormais, c’est à lui de faire ses valises et de laisser le club entre les mains des industriels puissants pour l’intérêt de la JSK.
«En cas de départ des dirigeants actuels, je ne laisserai pas tomber la JSK»
Voilà par ailleurs tout ce qu’a déclaré Issaâd Rebrab dans son village natal au sujet de la JSK :
«Si un jour je devais faire quelque chose pour la JSK, je le ferai sans calcul. Toutefois, je ne vais certainement pas injecter des milliards pour recruter des joueurs. Il faut un réel projet pour ce club. Je ne peux pas vous en dire plus, car tant qu’il y a certaines personnes à la tête de ce club, je ne vais pas franchir le pas. Par ailleurs, en cas de départ des dirigeants actuels, je vous garantis que je ne laisserai pas tomber la JSK.»
Le Buteur (30/06/2015)
C’est la nouvelle qui risque de peser lourd dans la balance. L’industriel Issaâd Rebrab a fait savoir à ses proches qu’il est prêt à prendre en main la JSK. Cette nouvelle nous est parvenue de Kabylie, plus précisément du village natal d’Issaâd Rebrab. Et c’est lors d’un enterrement que l’industriel algérien a été interpellé par des personnes de son village qui ont demandé à connaître son point de vue sur la situation actuelle que traverse la JSK. Issaâd Rebrab s’est montré très attentif à ce qu’on lui disait. Il a fait savoir par la suite à son entourage qu’il était bien évidemment déçu de voir qu’un aussi grand club comme la JSK se trouve dans une situation aussi délicate. Par la suite, ces mêmes personnes lui ont demandé s’il était en mesure de prendre un jour le club. Et au moment où la plupart d’entre eux s’attendaient à un refus, Rebrab a affirmé qu’il était prêt à venir, mais sous conditions. L’industriel algérien a fait savoir par la même occasion qu’il ne tournerait pas le dos à la JSK si on le sollicitait.
Il est contre l’idée d’investir des milliards dès le début
Lors de cet échange, Rebrab a fait savoir à son entourage que s’il était appelé à prendre en main la JSK, il n’allait en aucun cas investir des milliards dès la première année, comme l’a fait Ali Haddad à l’USMA. S’il faut injecter de l’argent, Rebrab compte le faire de manière intelligente. Issaâd Rebrab a fait savoir aussi qu’il avait un grand projet pour cette équipe et que sa seule préoccupation est de voir la JSK un jour au sommet de l’Afrique. Il estime que la JSK doit retrouver la place qu’elle mérite et qu’il faudra mettre un grand projet pour que cela se réalise.
Les infrastructures et la formation, ses principales préoccupations
Même s’il n’a toujours pas encore affiché ses intentions de manière officielle, Issaâd Rebrab semble avoir déjà en tête le projet qu’il veut mettre en place. D’après son entourage, Rebrab compte investir dans un premier temps dans la formation, tout en mettant en place toutes les infrastructures que cela exige. Il reste convaincu que la formation est la clé de la réussite. Tout porte à croire que Rebrab dispose d’un projet sérieux qui diffère des méthodes utilisées par Haddad et certaines entreprises nationales qui sont à la tête des clubs de Ligue 1 Mobilis, à l’image du CSC et du MCA.
Sa condition est que Hannachi parte
Toutefois, la condition de Rebrab est claire, nette et précise ! Il accepte de venir, mais pas en tant que sponsor. S’il injecte de l’argent à la JSK, c’est incontestablement pour en être le patron. Il a fait savoir à son entourage que tant que Moh Cherif Hannachi est le président de la JSK, il ne déboursera pas le moindre centime. De nombreux observateurs estiment que maintenant que Rebrab a affiché ses intentions, Hannachi n’aura plus cette excuse de dire que la Kabyle n’a pas d’industriel capable de prendre en main la JSK. Désormais, c’est à lui de faire ses valises et de laisser le club entre les mains des industriels puissants pour l’intérêt de la JSK.
«En cas de départ des dirigeants actuels, je ne laisserai pas tomber la JSK»
Voilà par ailleurs tout ce qu’a déclaré Issaâd Rebrab dans son village natal au sujet de la JSK :
«Si un jour je devais faire quelque chose pour la JSK, je le ferai sans calcul. Toutefois, je ne vais certainement pas injecter des milliards pour recruter des joueurs. Il faut un réel projet pour ce club. Je ne peux pas vous en dire plus, car tant qu’il y a certaines personnes à la tête de ce club, je ne vais pas franchir le pas. Par ailleurs, en cas de départ des dirigeants actuels, je vous garantis que je ne laisserai pas tomber la JSK.»
Le Buteur (30/06/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK / Les membres du comité de sauvegarde chez Mechrara aujourd’hui
Quelques jours après avoir dévoilé des documents compromettants concernant la gestion de Hannachi, les membres du comité de sauvegarde seront reçus aujourd’hui par Mechrara à Alger. Selon nos informations, les anciens de la JSK ont été invités à se rendre chez Mechrara afin de parler de la situation qui prévaut à la JSK notamment tout ce qui est lié à l’aspect juridique de la société.
Hannachi installe le Comité des sages
Après les graves accusations d’anciens joueurs lesquels estiment que Hannachi gère la JSK illégalement et qu’il n’est plus le président depuis 2012, ce dernier, pour riposter, a décidé d’installer le Comité des sages composé de trois personnes dont deux sont des membres de l’actuel bureau. Une décision que personne n’arrive à comprendre du moment qu’il est en train d’essayer tous les moyens pour rester à la tête du club. Par ailleurs, nous avons appris que le président Hannachi souhaite rencontrer le Comité de sauvegarde dans le but de trouver une solution à l’amiable. Une initiative qui ne sera pas acceptée du moment que les anciens savent bien que Hannachi essaye juste de gagner du temps.
Le Buteur (30/06/2015)
Quelques jours après avoir dévoilé des documents compromettants concernant la gestion de Hannachi, les membres du comité de sauvegarde seront reçus aujourd’hui par Mechrara à Alger. Selon nos informations, les anciens de la JSK ont été invités à se rendre chez Mechrara afin de parler de la situation qui prévaut à la JSK notamment tout ce qui est lié à l’aspect juridique de la société.
Hannachi installe le Comité des sages
Après les graves accusations d’anciens joueurs lesquels estiment que Hannachi gère la JSK illégalement et qu’il n’est plus le président depuis 2012, ce dernier, pour riposter, a décidé d’installer le Comité des sages composé de trois personnes dont deux sont des membres de l’actuel bureau. Une décision que personne n’arrive à comprendre du moment qu’il est en train d’essayer tous les moyens pour rester à la tête du club. Par ailleurs, nous avons appris que le président Hannachi souhaite rencontrer le Comité de sauvegarde dans le but de trouver une solution à l’amiable. Une initiative qui ne sera pas acceptée du moment que les anciens savent bien que Hannachi essaye juste de gagner du temps.
Le Buteur (30/06/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK : La Banque ne reconnait plus la signature de Hannachi !
Vraisemblablement, les premières réactions commencent après les graves révélations du comité de sauvegarde de la JSK. Moins d’une semaine après que le comité de sauvegarde a fait de graves révélations concernant la gestion du président de la JSK, Moh Cherif Hannachi, notamment les documents qui prouvent que depuis trois ans, il occupe le poste de président illégalement, le premier organisme étatique à réagir est la Banque. Cette dernière, saisie en début de semaine par un huissier de justice, ne reconnait plus la signature de Hannachi surtout que les documents présentés par l’huissier de justice confirment que Hannachi n’a pas le droit d’exercer sa fonction de président de la JSK depuis 2012, date de l’élection d’un nouveau président du CSA, en l’occurrence Samy Idrès.
La signature de Hannachi suspendue
Selon les éléments d’informations que nous avons pu avoir de nos sources, le président Hannachi s’est retrouvé dans une véritable impasse. Ayant pris connaissance que sa signature n’était plus valable aux guichets de la Banque, notamment pour toutes les opérations de la JSK, Hannachi a essayé de demander l’aide du directeur de la Banque. Ce dernier a, pour l’instant, suspendu toutes les opérations après avoir accusé réception de documents remis par le comité de sauvegarde en attendant que toute cette affaire soit réglée par les instances judiciaires compétentes. Pour rappel, l’ex-avocat de la JSK, Me Salah Meriem, avait aussi fait une autre révélation gravissime samedi dernier en attestant que les chèques de la JSK comportaient une seule signature, celle de Hannachi, alors que conformément à la loi, le financier est aussi tenu de signer le chèque. En d’autres termes, la gestion financière de la JSK n’est pas conforme aux lois en vigueur.
Qu’attendent les instances sportives pour réagir ?
Maintenant que la Banque a suspendu la signature de Hannachi, il va sans dire que les autres instances saisies avec un dossier en début de semaine vont aussi réagir. Au lendemain des révélations faites en conférence de presse sur la mauvaise gestion de Hannachi, les membres du comité ont adressé des courriers à la LFP et la FAF et aussi au Comité olympique algérien et au ministre de la Jeunesse et des Sports, et jusqu’à hier les anciens joueurs et dirigeants attendaient toujours un retour d’écoute.
Me Meriem : «La Banque confirme que Hannachi n’est pas le président légal»
L’ex-avocat de la JSK et membre du comité de sauvegarde, Me Salah Meriem, a expliqué la situation avec la banque en déclarant : «Nous avons reçu l’information que la Banque avec qui travaille la JSK, ne reconnaît plus la signature de Hannachi, et ce dernier n’a plus les prérogatives lui permettant d’agir au nom de la JSK dont il n’est pas le président légal. La Banque a donc confirmé notre thèse et le dossier à notre niveau est solide. Personne n’a le droit d’agir au nom de la JSK sauf son actuel président du CSA».
Le Buteur (01/07/2015)
Vraisemblablement, les premières réactions commencent après les graves révélations du comité de sauvegarde de la JSK. Moins d’une semaine après que le comité de sauvegarde a fait de graves révélations concernant la gestion du président de la JSK, Moh Cherif Hannachi, notamment les documents qui prouvent que depuis trois ans, il occupe le poste de président illégalement, le premier organisme étatique à réagir est la Banque. Cette dernière, saisie en début de semaine par un huissier de justice, ne reconnait plus la signature de Hannachi surtout que les documents présentés par l’huissier de justice confirment que Hannachi n’a pas le droit d’exercer sa fonction de président de la JSK depuis 2012, date de l’élection d’un nouveau président du CSA, en l’occurrence Samy Idrès.
La signature de Hannachi suspendue
Selon les éléments d’informations que nous avons pu avoir de nos sources, le président Hannachi s’est retrouvé dans une véritable impasse. Ayant pris connaissance que sa signature n’était plus valable aux guichets de la Banque, notamment pour toutes les opérations de la JSK, Hannachi a essayé de demander l’aide du directeur de la Banque. Ce dernier a, pour l’instant, suspendu toutes les opérations après avoir accusé réception de documents remis par le comité de sauvegarde en attendant que toute cette affaire soit réglée par les instances judiciaires compétentes. Pour rappel, l’ex-avocat de la JSK, Me Salah Meriem, avait aussi fait une autre révélation gravissime samedi dernier en attestant que les chèques de la JSK comportaient une seule signature, celle de Hannachi, alors que conformément à la loi, le financier est aussi tenu de signer le chèque. En d’autres termes, la gestion financière de la JSK n’est pas conforme aux lois en vigueur.
Qu’attendent les instances sportives pour réagir ?
Maintenant que la Banque a suspendu la signature de Hannachi, il va sans dire que les autres instances saisies avec un dossier en début de semaine vont aussi réagir. Au lendemain des révélations faites en conférence de presse sur la mauvaise gestion de Hannachi, les membres du comité ont adressé des courriers à la LFP et la FAF et aussi au Comité olympique algérien et au ministre de la Jeunesse et des Sports, et jusqu’à hier les anciens joueurs et dirigeants attendaient toujours un retour d’écoute.
Me Meriem : «La Banque confirme que Hannachi n’est pas le président légal»
L’ex-avocat de la JSK et membre du comité de sauvegarde, Me Salah Meriem, a expliqué la situation avec la banque en déclarant : «Nous avons reçu l’information que la Banque avec qui travaille la JSK, ne reconnaît plus la signature de Hannachi, et ce dernier n’a plus les prérogatives lui permettant d’agir au nom de la JSK dont il n’est pas le président légal. La Banque a donc confirmé notre thèse et le dossier à notre niveau est solide. Personne n’a le droit d’agir au nom de la JSK sauf son actuel président du CSA».
Le Buteur (01/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Iboud : «Mecherara nous a déclaré qu’il n’a jamais dit que Hannachi est le président légal de la JSK»
Dans une intervention téléphonique lors de l’émission sportive Addal + diffusée lundi soir par la chaîne de télévision berbère TV, L’ex-président de la JSK, membre du Comité de sauvegarde, Miloud Iboud, a révélé que l’ancien président de la LFP, Mohamed Mecherara qu’il a rencontré personnellement, l’a rassuré qu’il n’a jamais déclaré à la presse que Hannachi est le président légal de la JSK et qu’il avait même fait un démenti. A ce propos, il a déclaré ceci : «Juste après avoir pris connaissance de la déclaration de Mecherara sur la presse, je me suis déplacé pour le rencontrer. Mecherara m’a révélé qu’il n’a jamais fait une telle déclaration et qu’il a même demandé à ce qu’on apporte un démenti.»
«Le problème est d’ordre administratif, l’équipe est tenue à l’écart de tout ce mouvement»
Pour Iboud, le mouvement de protestation initié par le Comité de sauvegarde pour demander le départ du président Hannachi n’aura aucune incidence sur la préparation de l’équipe première : «Le problème de la JSK est purement administratif. Il y a mauvaise gestion caractérisée et nous demandons aux autorités d’intervenir. Notre action ne va pas atteindre l’équipe première qui se prépare normalement pour la nouvelle saison. Le staff technique poursuit son travail normalement, le recrutement aussi a été effectué normalement.»
«Les supporters doivent être rassurés, il y a des hommes qui veulent aider le club»
Beaucoup de supporters s’interrogent sur l’après-Hannachi si ce dernier vient à quitter son poste de président. Iboud rassure et dira à ce propos : «On s’inquiète inutilement sur l’après-Hannachi jusqu’à même dire que s’il quitte le club, il n’y aura personne pour gérer la JSK. Je tiens à rassurer tous les Kabyles et les amoureux de la JSK que le club ne sera jamais abandonné, il a ses hommes qui vont toujours le protéger. Il y a beaucoup qui veulent aider le club mais qui attendent juste que la situation soit nette.»
«On ne sait même plus qui recrute à la JSK»
Invité à faire un commentaire sur le dernier dossier de l’attaquant ghanéen Yakouba, annoncé comme étant la black star le jour de son arrivée et qui a été renvoyée le lendemain, il rétorque : «Ce n’est pas la première fois qu’on nous annonce un joueur comme étant une star avant de se rendre compte que ce n’est pas une bonne affaire. On est arrivé au point où l’on ne sait pas qui recrute à la JSK.»
«Menad est toujours avec nous»
Par la suite, l’ex-président de la JSK a démenti les rumeurs qui ont circulé ces derniers jours à propos de Menad qui aurait quitté le Comité de sauvegarde : «Menad avait été retenu par des obligations personnelles qui l’ont empêché d’être présent aux deux dernières actions organisées par notre comité. A son retour, Menad m’a appelé pour prendre des nouvelles des actions entreprises et de ce qui reste à faire pour l’avenir. Tout ce qui a été dit à son sujet, comme quoi il a quitté est faux. Menad est toujours avec nous, il a même refusé des offres très intéressantes des autres clubs rien que pour rester avec nous et nous aider.»
«On a été au siège de la fédération pour déposer notre courrier»
Evoquant le dernier déplacement des membres du Comité de sauvegarde au siège de la FAF, Iboud a confié : «Nous nous sommes rendus au siège de la FAF pour déposer notre courrier. Nous avons rencontré sur notre chemin le président Raouraoua et son secrétaire général avec qui nous avons échangé quelques amabilités. Raouraoua nous a fait visiter les locaux du nouveau siège de la FAF. Si la JSK avait été gérée par des hommes compétents, aujourd’hui elle aurait eu un siège comme celui de la FAF, voire mieux.»
---------------
Meriem (ex-avocat de la JSK) : «Mecherara a découvert que la JSK est gérée illégalement»
L’ancien dirigeant et avocat de la JSK, Salah Meriem, estime que Mohamed Mecherara, et après avoir étudié le dossier que les membres du comité détiennent, a découvert que la JSK est gérée illégalement : «Effectivement, nous avons eu une discussion avec Mohamed Mecherara et évoqué plusieurs sujets concernant le football, du moment qu’il a déjà occupé un poste important à la Ligue nationale de football. Nous avons même évoqué le sujet de la JSK. Et après lui avoir exposé tout le dossier qui prouve que Hannachi n’est plus le président de la JSK depuis quelque temps, Mecherara a découvert que rien ne fonctionne légalement dans ce club kabyle.»
«Il n’a jamais déclaré que Hannachi est le président légal de l’équipe»
Revenant au sujet du président Hannachi et sur le fait qu’il gère la JSK illégalement depuis 2012, l’ancien avocat de la JSK nous a fait savoir que Mecherara n’a jamais déclaré que Hannachi est le président légal du club : «Lors de la réunion que nous avons eue avec Mohamed Mecherara, ce dernier a nié avoir déclaré que Hannachi est le président légal de la JSK. Il a seulement parlé sur la manière avec laquelle il faut gérer un conseil d’administration sans s’immiscer dans les affaires de l’équipe.»
Le Buteur (01/07/2015)
Dans une intervention téléphonique lors de l’émission sportive Addal + diffusée lundi soir par la chaîne de télévision berbère TV, L’ex-président de la JSK, membre du Comité de sauvegarde, Miloud Iboud, a révélé que l’ancien président de la LFP, Mohamed Mecherara qu’il a rencontré personnellement, l’a rassuré qu’il n’a jamais déclaré à la presse que Hannachi est le président légal de la JSK et qu’il avait même fait un démenti. A ce propos, il a déclaré ceci : «Juste après avoir pris connaissance de la déclaration de Mecherara sur la presse, je me suis déplacé pour le rencontrer. Mecherara m’a révélé qu’il n’a jamais fait une telle déclaration et qu’il a même demandé à ce qu’on apporte un démenti.»
«Le problème est d’ordre administratif, l’équipe est tenue à l’écart de tout ce mouvement»
Pour Iboud, le mouvement de protestation initié par le Comité de sauvegarde pour demander le départ du président Hannachi n’aura aucune incidence sur la préparation de l’équipe première : «Le problème de la JSK est purement administratif. Il y a mauvaise gestion caractérisée et nous demandons aux autorités d’intervenir. Notre action ne va pas atteindre l’équipe première qui se prépare normalement pour la nouvelle saison. Le staff technique poursuit son travail normalement, le recrutement aussi a été effectué normalement.»
«Les supporters doivent être rassurés, il y a des hommes qui veulent aider le club»
Beaucoup de supporters s’interrogent sur l’après-Hannachi si ce dernier vient à quitter son poste de président. Iboud rassure et dira à ce propos : «On s’inquiète inutilement sur l’après-Hannachi jusqu’à même dire que s’il quitte le club, il n’y aura personne pour gérer la JSK. Je tiens à rassurer tous les Kabyles et les amoureux de la JSK que le club ne sera jamais abandonné, il a ses hommes qui vont toujours le protéger. Il y a beaucoup qui veulent aider le club mais qui attendent juste que la situation soit nette.»
«On ne sait même plus qui recrute à la JSK»
Invité à faire un commentaire sur le dernier dossier de l’attaquant ghanéen Yakouba, annoncé comme étant la black star le jour de son arrivée et qui a été renvoyée le lendemain, il rétorque : «Ce n’est pas la première fois qu’on nous annonce un joueur comme étant une star avant de se rendre compte que ce n’est pas une bonne affaire. On est arrivé au point où l’on ne sait pas qui recrute à la JSK.»
«Menad est toujours avec nous»
Par la suite, l’ex-président de la JSK a démenti les rumeurs qui ont circulé ces derniers jours à propos de Menad qui aurait quitté le Comité de sauvegarde : «Menad avait été retenu par des obligations personnelles qui l’ont empêché d’être présent aux deux dernières actions organisées par notre comité. A son retour, Menad m’a appelé pour prendre des nouvelles des actions entreprises et de ce qui reste à faire pour l’avenir. Tout ce qui a été dit à son sujet, comme quoi il a quitté est faux. Menad est toujours avec nous, il a même refusé des offres très intéressantes des autres clubs rien que pour rester avec nous et nous aider.»
«On a été au siège de la fédération pour déposer notre courrier»
Evoquant le dernier déplacement des membres du Comité de sauvegarde au siège de la FAF, Iboud a confié : «Nous nous sommes rendus au siège de la FAF pour déposer notre courrier. Nous avons rencontré sur notre chemin le président Raouraoua et son secrétaire général avec qui nous avons échangé quelques amabilités. Raouraoua nous a fait visiter les locaux du nouveau siège de la FAF. Si la JSK avait été gérée par des hommes compétents, aujourd’hui elle aurait eu un siège comme celui de la FAF, voire mieux.»
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Meriem (ex-avocat de la JSK) : «Mecherara a découvert que la JSK est gérée illégalement»
L’ancien dirigeant et avocat de la JSK, Salah Meriem, estime que Mohamed Mecherara, et après avoir étudié le dossier que les membres du comité détiennent, a découvert que la JSK est gérée illégalement : «Effectivement, nous avons eu une discussion avec Mohamed Mecherara et évoqué plusieurs sujets concernant le football, du moment qu’il a déjà occupé un poste important à la Ligue nationale de football. Nous avons même évoqué le sujet de la JSK. Et après lui avoir exposé tout le dossier qui prouve que Hannachi n’est plus le président de la JSK depuis quelque temps, Mecherara a découvert que rien ne fonctionne légalement dans ce club kabyle.»
«Il n’a jamais déclaré que Hannachi est le président légal de l’équipe»
Revenant au sujet du président Hannachi et sur le fait qu’il gère la JSK illégalement depuis 2012, l’ancien avocat de la JSK nous a fait savoir que Mecherara n’a jamais déclaré que Hannachi est le président légal du club : «Lors de la réunion que nous avons eue avec Mohamed Mecherara, ce dernier a nié avoir déclaré que Hannachi est le président légal de la JSK. Il a seulement parlé sur la manière avec laquelle il faut gérer un conseil d’administration sans s’immiscer dans les affaires de l’équipe.»
Le Buteur (01/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK : L’autre explication de Mecherara
Dans notre édition d’avant-hier Mohamed Mecherara, l’ancien président de la Ligue nationale de Football, s’était exprimé dans nos colonnes pour nous expliquer le fonctionnement d’un Conseil d’Administration d’un club de football comme celui de la JSK.
Hier, Mecherara a tenu à nous apporter d’autres explications quant à la situation du président actuel de la JSK, Mohand-Cherif Hannachi, et dont les membres du comité de sauvegarde affirment et insistent sur le fait que le boss kabyle occupe son poste dans l’illégalité la plus totale. « Connaissant bien les règlements et les lois qui régissent notre football, mais aussi notre pays notamment en matière de code de commerce, j’ai donné certaines détails et explications quant au fonctionnement d’un Conseil d’Administration et le rôle des actionnaires, mais je ne peux en aucun cas me permettre de prononcer une sentence sur la légitimité ou non de Hannachi dans son poste de président, car ce n’est tout simplement pas de mon ressort de le faire. Il faut savoir que la création, le fonctionnement ainsi que les responsabilités d’un Conseil d’Administration sont régis par le code de commerce, et c’est ce que j’ai tenu à expliquer dans le cas de la JSK, pour justement éclairer l’opinion publique », nous dira Mecherara.
Compétition (01/07/2015)
Dans notre édition d’avant-hier Mohamed Mecherara, l’ancien président de la Ligue nationale de Football, s’était exprimé dans nos colonnes pour nous expliquer le fonctionnement d’un Conseil d’Administration d’un club de football comme celui de la JSK.
Hier, Mecherara a tenu à nous apporter d’autres explications quant à la situation du président actuel de la JSK, Mohand-Cherif Hannachi, et dont les membres du comité de sauvegarde affirment et insistent sur le fait que le boss kabyle occupe son poste dans l’illégalité la plus totale. « Connaissant bien les règlements et les lois qui régissent notre football, mais aussi notre pays notamment en matière de code de commerce, j’ai donné certaines détails et explications quant au fonctionnement d’un Conseil d’Administration et le rôle des actionnaires, mais je ne peux en aucun cas me permettre de prononcer une sentence sur la légitimité ou non de Hannachi dans son poste de président, car ce n’est tout simplement pas de mon ressort de le faire. Il faut savoir que la création, le fonctionnement ainsi que les responsabilités d’un Conseil d’Administration sont régis par le code de commerce, et c’est ce que j’ai tenu à expliquer dans le cas de la JSK, pour justement éclairer l’opinion publique », nous dira Mecherara.
Compétition (01/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Le président Hannachi répond à ses opposants
«Nous sommes des légalistes»
Le président de la JSK, Moh Cherif Hannachi, a décidé de déposer plainte contre les membres de l’opposition qui l’avaient accusé d’usurpation de fonction, lors de leur dernière conférence de presse.
«Je me demande comment des documents internes à la société sont arrivés aux mains de ces gens et on veut savoir qui sont les personnes qui sont derrière cette fuite», s’interroge Hannachi dans une vidéo postée, avant-hier soir, sur le site de la JSK, à propos des documents de la SSPA/JSK divulgués à la presse samedi dernier par les membres du Comité de sauvegarde de la JSK. Selon ces derniers, Hannachi n’est plus le président de la JSK depuis 3 ans. Il a usurpé le poste de président dans la mesure où légalement, il ne l’est plus. «Nous avons décidé, ma famille et le bureau directeur de la JSK, de déposer plainte contre ces gens», a-t-il poursuivi. Une manière pour lui de riposter à l’opposition qui avait annoncé, elle aussi, le dépôt d’une plainte devant le parquet de Tizi-Ouzou, samedi dernier, contre Hannachi pour «usurpation de fonction». Pour le président des Canaris, «la divulgation de documents internes à une société est illégale et c’est au procureur de la République de dévoiler qui sont les gens qui ont réussi à faire sortir ces documents pour les donner à ces gens là (membres du Comité de sauvegarde de la JSK)». Pour Hannachi, les membres de l’opposition, composée d’anciens joueurs et dirigeants du club, ne veulent que leurs propres intérêts. «C’est une honte de déclarer que la JSK risque de ne pas être engagée pour la saison prochaine en championnat. Ils ont bouffé à satiété au sein de la JSK et aujourd’hui ils insultent le club et ils veulent même le voir relégué en Ligue II. Je leur réponds que tant que Hannachi est à la tête du club, la JSK restera toujours débout», lance le boss des Canaris, non sans accuser les membres de l’opposition de «faire de la politique» et de les traiter de «mal propres». «Ces gens là sont rentrés dans un jeu politique. Ce sont des gens sales qui dirigent cette opposition. Ils ont recours à des méthodes de voyous alors que nous à la JSK, nous sommes des légalistes», assène encore Hannachi dans son intervention. «Moi je ne veux pas faire dans la violence. Pour preuve, chaque jour des supporters m’appellent de partout pour organiser des marches de soutien à Tizi-Ouzou mais j’ai refusé car moi, je ne veux pas diviser la Kabylie», ajoute-t-il dans cette courte vidéo de 02 mn 35.
DDK (02/07/2015)
«Nous sommes des légalistes»
Le président de la JSK, Moh Cherif Hannachi, a décidé de déposer plainte contre les membres de l’opposition qui l’avaient accusé d’usurpation de fonction, lors de leur dernière conférence de presse.
«Je me demande comment des documents internes à la société sont arrivés aux mains de ces gens et on veut savoir qui sont les personnes qui sont derrière cette fuite», s’interroge Hannachi dans une vidéo postée, avant-hier soir, sur le site de la JSK, à propos des documents de la SSPA/JSK divulgués à la presse samedi dernier par les membres du Comité de sauvegarde de la JSK. Selon ces derniers, Hannachi n’est plus le président de la JSK depuis 3 ans. Il a usurpé le poste de président dans la mesure où légalement, il ne l’est plus. «Nous avons décidé, ma famille et le bureau directeur de la JSK, de déposer plainte contre ces gens», a-t-il poursuivi. Une manière pour lui de riposter à l’opposition qui avait annoncé, elle aussi, le dépôt d’une plainte devant le parquet de Tizi-Ouzou, samedi dernier, contre Hannachi pour «usurpation de fonction». Pour le président des Canaris, «la divulgation de documents internes à une société est illégale et c’est au procureur de la République de dévoiler qui sont les gens qui ont réussi à faire sortir ces documents pour les donner à ces gens là (membres du Comité de sauvegarde de la JSK)». Pour Hannachi, les membres de l’opposition, composée d’anciens joueurs et dirigeants du club, ne veulent que leurs propres intérêts. «C’est une honte de déclarer que la JSK risque de ne pas être engagée pour la saison prochaine en championnat. Ils ont bouffé à satiété au sein de la JSK et aujourd’hui ils insultent le club et ils veulent même le voir relégué en Ligue II. Je leur réponds que tant que Hannachi est à la tête du club, la JSK restera toujours débout», lance le boss des Canaris, non sans accuser les membres de l’opposition de «faire de la politique» et de les traiter de «mal propres». «Ces gens là sont rentrés dans un jeu politique. Ce sont des gens sales qui dirigent cette opposition. Ils ont recours à des méthodes de voyous alors que nous à la JSK, nous sommes des légalistes», assène encore Hannachi dans son intervention. «Moi je ne veux pas faire dans la violence. Pour preuve, chaque jour des supporters m’appellent de partout pour organiser des marches de soutien à Tizi-Ouzou mais j’ai refusé car moi, je ne veux pas diviser la Kabylie», ajoute-t-il dans cette courte vidéo de 02 mn 35.
DDK (02/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
En réponse aux graves accusations du comité de sauvegarde de la JSK
Hannachi saisit le procureur de la République
Iboud : “Nous défions Hannachi d’aller au bout de sa menace, pour nous c’est du bluff !”
Dans des déclarations au site JSK TV (vidéo en kabyle), le président Mohand-Chérif Hannachi est sorti de son mutisme pour révéler qu’il a décidé de porter plainte auprès du procureur de la République pour divulgation de documents confidentiels du club. “L’opposition (le comité de sauvegarde, ndlr) a rendu publics des documents confidentiels liés à la gestion du club, c’est grave, je me demande d’où sont sortis ces documents. Alors j’ai décidé de porter l’affaire devant le procureur pour faire la lumière sur cette question”, dit-il.
En fait Hannachi a répondu à l’accusation du comité de sauvegarde de la JSK qui soutient que lui (Hannachi) n’est plus statutairement président de la JSK.
En outre, Hannachi estime que l’objectif de l’opposition est de diviser la Kabylie : “Beaucoup de villageois m’ont appelé pour organiser une marche afin de répondre à l’opposition mais moi je ne veux pas attiser le feu… Ce sont des gens qui se sont enrichis sur le dos de la JSK et qui veulent encore en profiter. Ce sont des gens sales qui veulent du mal à la JSK, ils ont souhaité sa descente en Ligue 2 et sa ruine mais tant que je serais là, la JSK ne rétrogradera pas”, ajoute-t-il.
Contacté hier par nos soins, Miloud Iboud l’un des responsables du comité de sauvegarde, défie Hannachi d’aller au bout de sa menace : “C’est nous qui avons saisi le procureur pour faire la lumière sur la gestion de la JSK et nous attendons que la justice ouvre une enquête. Pour moi c’est du bluff mais le comité de sauvegarde va bien analyser les propos de Hannachi et apporter sa réponse”, confie Iboud à Liberté. Un communiqué du comité de sauvegarde est attendu pour aujourd’hui. Affaire à suivre donc !
Liberté (02/07/2015)
Hannachi saisit le procureur de la République
Iboud : “Nous défions Hannachi d’aller au bout de sa menace, pour nous c’est du bluff !”
Dans des déclarations au site JSK TV (vidéo en kabyle), le président Mohand-Chérif Hannachi est sorti de son mutisme pour révéler qu’il a décidé de porter plainte auprès du procureur de la République pour divulgation de documents confidentiels du club. “L’opposition (le comité de sauvegarde, ndlr) a rendu publics des documents confidentiels liés à la gestion du club, c’est grave, je me demande d’où sont sortis ces documents. Alors j’ai décidé de porter l’affaire devant le procureur pour faire la lumière sur cette question”, dit-il.
En fait Hannachi a répondu à l’accusation du comité de sauvegarde de la JSK qui soutient que lui (Hannachi) n’est plus statutairement président de la JSK.
En outre, Hannachi estime que l’objectif de l’opposition est de diviser la Kabylie : “Beaucoup de villageois m’ont appelé pour organiser une marche afin de répondre à l’opposition mais moi je ne veux pas attiser le feu… Ce sont des gens qui se sont enrichis sur le dos de la JSK et qui veulent encore en profiter. Ce sont des gens sales qui veulent du mal à la JSK, ils ont souhaité sa descente en Ligue 2 et sa ruine mais tant que je serais là, la JSK ne rétrogradera pas”, ajoute-t-il.
Contacté hier par nos soins, Miloud Iboud l’un des responsables du comité de sauvegarde, défie Hannachi d’aller au bout de sa menace : “C’est nous qui avons saisi le procureur pour faire la lumière sur la gestion de la JSK et nous attendons que la justice ouvre une enquête. Pour moi c’est du bluff mais le comité de sauvegarde va bien analyser les propos de Hannachi et apporter sa réponse”, confie Iboud à Liberté. Un communiqué du comité de sauvegarde est attendu pour aujourd’hui. Affaire à suivre donc !
Liberté (02/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Les fans de la JSK à Paris se préparent : «On appelle les supporters de la JSK en France à une forte mobilisation»
Comme nous l’avons cité dans notre dernière livraison, les supporters des Canaris en France ont pu avoir l’autorisation de la Préfecture de Paris pour l’organisation d’un sit-in, le 5 juillet, au Trocadéro. Les étudiants kabyles à Paris, qui sont d’ailleurs les initiateurs de l’action, sont à pied d’œuvre et les préparatifs sont sur le point d’être finalisés. Lundi dernier, l’un des membres du comité d’organisation, Jugurtha, était l’invité de l’émission Addal + de Berbère TV. Le jeune supporter kabyle, visiblement lui aussi touché par la crise qui secoue son club depuis quelque temps, a donné davantage d’explications sur l’organisation de ce sit-in, le 5 juillet à Paris : «Tout d’abord, je tiens à préciser que ce n’est pas une marche de supporters, plutôt un rassemblement au Trocadéro. Nous avons eu l’autorisation de la préfecture de Paris et nous serons au rendez-vous. Le sit-in de trois heures est prévu donc pour le 5 juillet au Trocadéro, à partir de 17 heures. Je vous annonce que nous sommes presque prêts pour ce rendez-vous et on espère qu’il y aura grande foule.»
«Nous invitons tous les anciens joueurs de l’équipe résidant en France à se joindre à notre action»
Profitant de son passage sur le plateau de Berbère TV, le jeune organisateur du sit-in, pour réclamer le départ du président Hannachi, a lancé un appel aux supporters de venir en masse pour exprimer leur mécontentement concernant la situation que vit le club et demander le départ de Hannachi de sa direction. Aussi, Jugurtha a lancé un autre appel aux anciens joueurs de la JSK résidant en France : «Nous savons qu’il y a des anciens joueurs de la JSK qui résident en France. Faute de ne pouvoir les contacter individuellement car nous n’avons pas leurs coordonnées et adresses, nous saisissons cette occasion pour leur inviter à se joindre nombreux à notre sit-in pacifique».
«Les lignes de métro pour atteindre la place du Trocadéro sont les 6 et 9»
Pour ce qui est de l’organisation, Jugurtha a tenu aussi à informer les supporters des Jaune et Vert en France de certains détails qui permettront aux organisateurs d’enregistrer une affluence nombreuse : «Nous lançons un autre appel aux supporters pour qu’ils soient nombreux à ce sit-in afin de demander le départ de Hannachi et le changement à la JSK. Y en a marre des promesses, et à chaque saison c’est le même scénario qui se reproduit. Nous appelons les supporters à prendre les lignes du métro 6 et 9 pour atteindre le Trocadéro.»
«Les supporters rêvent d’un grand club»
Et pour finir, le membre du comité d’organisation du sit-in du 5 juillet a ajouté : «Nous avons opté pour la date du 5 juillet qui représente beaucoup pour le peuple algérien. C’est le jour de l’Indépendance de notre cher pays et on l’a choisie pour libérer la JSK de ces dirigeants qui l’ont fait reculer d’un siècle. Nous rêvons de voir la JSK redevenir comme avant, pas seulement une grande équipe, mais un grand club très puissant à tous les niveaux.»
Le Buteur (02/07/2015)
Comme nous l’avons cité dans notre dernière livraison, les supporters des Canaris en France ont pu avoir l’autorisation de la Préfecture de Paris pour l’organisation d’un sit-in, le 5 juillet, au Trocadéro. Les étudiants kabyles à Paris, qui sont d’ailleurs les initiateurs de l’action, sont à pied d’œuvre et les préparatifs sont sur le point d’être finalisés. Lundi dernier, l’un des membres du comité d’organisation, Jugurtha, était l’invité de l’émission Addal + de Berbère TV. Le jeune supporter kabyle, visiblement lui aussi touché par la crise qui secoue son club depuis quelque temps, a donné davantage d’explications sur l’organisation de ce sit-in, le 5 juillet à Paris : «Tout d’abord, je tiens à préciser que ce n’est pas une marche de supporters, plutôt un rassemblement au Trocadéro. Nous avons eu l’autorisation de la préfecture de Paris et nous serons au rendez-vous. Le sit-in de trois heures est prévu donc pour le 5 juillet au Trocadéro, à partir de 17 heures. Je vous annonce que nous sommes presque prêts pour ce rendez-vous et on espère qu’il y aura grande foule.»
«Nous invitons tous les anciens joueurs de l’équipe résidant en France à se joindre à notre action»
Profitant de son passage sur le plateau de Berbère TV, le jeune organisateur du sit-in, pour réclamer le départ du président Hannachi, a lancé un appel aux supporters de venir en masse pour exprimer leur mécontentement concernant la situation que vit le club et demander le départ de Hannachi de sa direction. Aussi, Jugurtha a lancé un autre appel aux anciens joueurs de la JSK résidant en France : «Nous savons qu’il y a des anciens joueurs de la JSK qui résident en France. Faute de ne pouvoir les contacter individuellement car nous n’avons pas leurs coordonnées et adresses, nous saisissons cette occasion pour leur inviter à se joindre nombreux à notre sit-in pacifique».
«Les lignes de métro pour atteindre la place du Trocadéro sont les 6 et 9»
Pour ce qui est de l’organisation, Jugurtha a tenu aussi à informer les supporters des Jaune et Vert en France de certains détails qui permettront aux organisateurs d’enregistrer une affluence nombreuse : «Nous lançons un autre appel aux supporters pour qu’ils soient nombreux à ce sit-in afin de demander le départ de Hannachi et le changement à la JSK. Y en a marre des promesses, et à chaque saison c’est le même scénario qui se reproduit. Nous appelons les supporters à prendre les lignes du métro 6 et 9 pour atteindre le Trocadéro.»
«Les supporters rêvent d’un grand club»
Et pour finir, le membre du comité d’organisation du sit-in du 5 juillet a ajouté : «Nous avons opté pour la date du 5 juillet qui représente beaucoup pour le peuple algérien. C’est le jour de l’Indépendance de notre cher pays et on l’a choisie pour libérer la JSK de ces dirigeants qui l’ont fait reculer d’un siècle. Nous rêvons de voir la JSK redevenir comme avant, pas seulement une grande équipe, mais un grand club très puissant à tous les niveaux.»
Le Buteur (02/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK/Berraf a reçu, hier, les membres du Comité de sauvegarde
Après avoir déposé un dossier auprès de la première instance du football national, la FAF, puis rencontré dernièrement l’ex-président de la LFP, Mohamed Mecherara, les membres du Comité de sauvegarde de la JSK, à leur tête Iboud, Menad, Izri et Sadmi, se sont déplacés hier au siège du Comité olympique algérien où ils ont été reçus par le président Mustapha Berraf. Selon des informations recueillies à propos de ce déplacement, les membres dudit comité ont remis un dossier où ils ont démontré encore une fois que le président Hannachi n’est pas légal et qu’ils attendent l’intervention des hautes autorités du pays pour trouver une solution.
Le dossier sera transmis aux parties concernées…
Toujours selon les informations que nous avons obtenues concernant la rencontre entre les anciens joueurs de la JSK et le président du COA, Mustapha Berraf, ce dernier a promis d’étudier le dossier et de le transférer aux parties concernées, notamment le ministère des Sports.
… puis à la LFP
A la fin de la réunion des membres du Comité de sauvegarde avec le président du Comité olympique algérien, on a appris qu’un dossier comportant les mêmes pièces compromettantes déposées à tous les niveaux a été également remis aux responsables de la Ligue nationale de football.
Menad confirme son soutien et met fin à la rumeur
L’absence de Menad à la dernière conférence de presse du Comité de sauvegarde a ouvert la voie à la polémique. Certains ont même pensé qu’il a quitté le comité et qu’il a abandonné l’action. Or, l’absence de Menad a été justifiée par des obligations purement personnelles. Menad, qui a confirmé son soutien total pour le comité, a même annoncé qu’il a refusé des offres rien que pour rester solidaires avec les anciens joueurs et dirigeants. Mieux encore, l’ex-attaquant du Jumbo-Jet s’envolera dans les prochaines heures à Paris pour rendre part au sit-in des supporters prévu le 5 juillet prochain à la place du Trocadéro. Voilà donc qui met fin à la rumeur.
Menad : «Je n’ai pas quitté le comité, je suis toujours aux côtés des anciens jusqu’au départ de Hannachi»
L’ex-international de la JSK, Djamel Menad, a nié en bloc les dernières rumeurs affirmant qu’il est en conflit avec les membres du Comité de sauvegarde qu’il aurait quitté. «Sincèrement, je n’ai pas abandonné les anciens et je n’ai pas pensé un jour à les laisser à mi-chemin. J’étais à l’étranger pour des raisons purement personnelles, mais je vous assure que je suis resté en contact permanent avec les membres du Comité de sauvegarde. Je ne peux pas quitter le groupe, notamment en ce moment. Mon éducation et mes principes ne me permettent pas de lâcher mes camarades. Les supporters sont derrière nous, ils nous font confiance et nous respectent, c’est eux qui nous encouragent à aller de l’avant.»
«J’ai décliné des offres de clubs de Ligue 1 mobilis, à cause de mon engagement envers les supporters»
«Je ne comprends pas pourquoi de telles rumeurs. Je tiens à rassurer les supporters de la JSK que j’ai décliné dernièrement cinq offres de clubs de Ligue 1 mobilis qui m’ont sollicité pour prendre leur équipe, la saison prochaine. J’ai donné mon engagement aux supporters d’aller jusqu’au bout de la mission et nous ne reviendrons pas en arrière jusqu’à concrétiser un changement radical.»
«Berraf a promis de prendre en charge notre dossier»
Donnant son point de vue sur la rencontre avec le président du COA, Berraf, Menad a ajouté : «Si j’avais songé à quitter le Comité de sauvegarde de la JSK, je ne me serais pas déplacé ce jour (hier), au siège du COA en compagnie de Sadmi, Izri et Iboud. Berraf a promis de prendre sérieusement en charge notre dossier.»
Iboud : «Deux dossiers sont sur le bureau du COA et de la LFP, les autorités doivent bouger»
«Nous nous sommes déplacés Menad Izri, Sadmi et moi aujourd’hui (hier, ndlr) au siège du COA où on a été reçus par le président Mustapha Berraf. Ce dernier s’est montré compréhensif concernant la situation de la JSK. Nous lui avons remis un dossier comportant toutes les pièces qui démontrent la mauvaise gestion de la JSK. Un autre dossier a été également déposé à la LFP et nous considérons que l’heure est urgente pour intervenir, les autorités doivent réagir.»
«La réaction de Hannachi prouve qu’il n’est pas le président légal de la JSK»
Par la suite, Iboud a commenté la dernière sortie médiatique de Hannachi sur le site de la direction, en déclarant : «On s’attendait à ce que Hannachi réagisse à tout ce que nous avons apporté comme informations et par rapport aussi aux documents qui remettent en cause la légalité de sa présidence et sa gestion. Malheureusement, il a parlé de choses qui n’ont rien à voir avec le sujet principal et sa réaction confirme qu’il n’est pas le président légal de la JSK.»
Izri : «Notre dossier avance bien»
L’ex-entraîneur des gardiens de but de la JSK, Izri, membre du Comité de sauvegarde, a fait partie de la délégation qui a rencontré le président du COA à Alger. Interrogé sur ce qui a été dit lors de l’entrevue qui leur a été accordée, Izri a déclaré ceci : «Nous avons présenté la situation de la JSK au président du COA et surtout insisté sur les documents qui confirment notre position. Nous considérons que le dossier avance bien et nous ne reculerons pas. Notre but est de sauver la JSK de cette mauvaise gestion.»
«Les supporters doivent rester mobilisés»
S’adressant aux supporters, Izri a ajouté : «Nos supporters ont un grand rôle à jouer pour provoquer le changement. Leur soutien nous a été bénéfique. Sans eux, on ne serait jamais arrivés là. Les documents en notre possession démontrent clairement que tout ce que nous avons dit est vrai et que la direction actuelle doit assumer. Je rassure les supporters que nous ne sommes pas loin de notre but, ils doivent rester mobilisés.»
Le Buteur (03/07/2015)
Après avoir déposé un dossier auprès de la première instance du football national, la FAF, puis rencontré dernièrement l’ex-président de la LFP, Mohamed Mecherara, les membres du Comité de sauvegarde de la JSK, à leur tête Iboud, Menad, Izri et Sadmi, se sont déplacés hier au siège du Comité olympique algérien où ils ont été reçus par le président Mustapha Berraf. Selon des informations recueillies à propos de ce déplacement, les membres dudit comité ont remis un dossier où ils ont démontré encore une fois que le président Hannachi n’est pas légal et qu’ils attendent l’intervention des hautes autorités du pays pour trouver une solution.
Le dossier sera transmis aux parties concernées…
Toujours selon les informations que nous avons obtenues concernant la rencontre entre les anciens joueurs de la JSK et le président du COA, Mustapha Berraf, ce dernier a promis d’étudier le dossier et de le transférer aux parties concernées, notamment le ministère des Sports.
… puis à la LFP
A la fin de la réunion des membres du Comité de sauvegarde avec le président du Comité olympique algérien, on a appris qu’un dossier comportant les mêmes pièces compromettantes déposées à tous les niveaux a été également remis aux responsables de la Ligue nationale de football.
Menad confirme son soutien et met fin à la rumeur
L’absence de Menad à la dernière conférence de presse du Comité de sauvegarde a ouvert la voie à la polémique. Certains ont même pensé qu’il a quitté le comité et qu’il a abandonné l’action. Or, l’absence de Menad a été justifiée par des obligations purement personnelles. Menad, qui a confirmé son soutien total pour le comité, a même annoncé qu’il a refusé des offres rien que pour rester solidaires avec les anciens joueurs et dirigeants. Mieux encore, l’ex-attaquant du Jumbo-Jet s’envolera dans les prochaines heures à Paris pour rendre part au sit-in des supporters prévu le 5 juillet prochain à la place du Trocadéro. Voilà donc qui met fin à la rumeur.
Menad : «Je n’ai pas quitté le comité, je suis toujours aux côtés des anciens jusqu’au départ de Hannachi»
L’ex-international de la JSK, Djamel Menad, a nié en bloc les dernières rumeurs affirmant qu’il est en conflit avec les membres du Comité de sauvegarde qu’il aurait quitté. «Sincèrement, je n’ai pas abandonné les anciens et je n’ai pas pensé un jour à les laisser à mi-chemin. J’étais à l’étranger pour des raisons purement personnelles, mais je vous assure que je suis resté en contact permanent avec les membres du Comité de sauvegarde. Je ne peux pas quitter le groupe, notamment en ce moment. Mon éducation et mes principes ne me permettent pas de lâcher mes camarades. Les supporters sont derrière nous, ils nous font confiance et nous respectent, c’est eux qui nous encouragent à aller de l’avant.»
«J’ai décliné des offres de clubs de Ligue 1 mobilis, à cause de mon engagement envers les supporters»
«Je ne comprends pas pourquoi de telles rumeurs. Je tiens à rassurer les supporters de la JSK que j’ai décliné dernièrement cinq offres de clubs de Ligue 1 mobilis qui m’ont sollicité pour prendre leur équipe, la saison prochaine. J’ai donné mon engagement aux supporters d’aller jusqu’au bout de la mission et nous ne reviendrons pas en arrière jusqu’à concrétiser un changement radical.»
«Berraf a promis de prendre en charge notre dossier»
Donnant son point de vue sur la rencontre avec le président du COA, Berraf, Menad a ajouté : «Si j’avais songé à quitter le Comité de sauvegarde de la JSK, je ne me serais pas déplacé ce jour (hier), au siège du COA en compagnie de Sadmi, Izri et Iboud. Berraf a promis de prendre sérieusement en charge notre dossier.»
Iboud : «Deux dossiers sont sur le bureau du COA et de la LFP, les autorités doivent bouger»
«Nous nous sommes déplacés Menad Izri, Sadmi et moi aujourd’hui (hier, ndlr) au siège du COA où on a été reçus par le président Mustapha Berraf. Ce dernier s’est montré compréhensif concernant la situation de la JSK. Nous lui avons remis un dossier comportant toutes les pièces qui démontrent la mauvaise gestion de la JSK. Un autre dossier a été également déposé à la LFP et nous considérons que l’heure est urgente pour intervenir, les autorités doivent réagir.»
«La réaction de Hannachi prouve qu’il n’est pas le président légal de la JSK»
Par la suite, Iboud a commenté la dernière sortie médiatique de Hannachi sur le site de la direction, en déclarant : «On s’attendait à ce que Hannachi réagisse à tout ce que nous avons apporté comme informations et par rapport aussi aux documents qui remettent en cause la légalité de sa présidence et sa gestion. Malheureusement, il a parlé de choses qui n’ont rien à voir avec le sujet principal et sa réaction confirme qu’il n’est pas le président légal de la JSK.»
Izri : «Notre dossier avance bien»
L’ex-entraîneur des gardiens de but de la JSK, Izri, membre du Comité de sauvegarde, a fait partie de la délégation qui a rencontré le président du COA à Alger. Interrogé sur ce qui a été dit lors de l’entrevue qui leur a été accordée, Izri a déclaré ceci : «Nous avons présenté la situation de la JSK au président du COA et surtout insisté sur les documents qui confirment notre position. Nous considérons que le dossier avance bien et nous ne reculerons pas. Notre but est de sauver la JSK de cette mauvaise gestion.»
«Les supporters doivent rester mobilisés»
S’adressant aux supporters, Izri a ajouté : «Nos supporters ont un grand rôle à jouer pour provoquer le changement. Leur soutien nous a été bénéfique. Sans eux, on ne serait jamais arrivés là. Les documents en notre possession démontrent clairement que tout ce que nous avons dit est vrai et que la direction actuelle doit assumer. Je rassure les supporters que nous ne sommes pas loin de notre but, ils doivent rester mobilisés.»
Le Buteur (03/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Sur notre site : 500 supporters rassemblés à Paris pour demander le départ de Hannachi
Pour lire l'article ==> http://js-kabylie.fr/index.php/informations/articles/3810-500-supporters-rassembles-a-paris-pour-demander-le-depart-de-hannachi
Pour lire l'article ==> http://js-kabylie.fr/index.php/informations/articles/3810-500-supporters-rassembles-a-paris-pour-demander-le-depart-de-hannachi
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK : Les supporters de la JSK ont observé un sit-in hier au Trocadéro de Paris pour demander le départ de Hannachi
Les supporters des Jaune et Vert résidant en France ont observé hier un sit-in, annoncé il y a plusieurs jours, à la place du Trocadéro (Paris). Vers 17h, heure prévue pour le coup d’envoi de cette action pacifique des supporters de la JSK à l’étranger, plusieurs supporters se sont rassemblés à Trocadéro. Comme cité précédemment, l’objectif de cette action, qui émane des étudiants kabyles en particulier, est d’exiger le départ du président Hannachi qu’ils tiennent responsable de la crise qui secoue le club le plus titré du pays depuis plusieurs années. Ce sit-in, le premier organisé à l’étranger pour réclamer un changement à la JSK, a connu un franc succès, dans la mesure où aucun incident n’a été déploré. De nombreux supporters sont venus des quatre coins de la capitale française et des autres villes pour joindre leur voix à ces jeunes visiblement frustrés, à l’instar de ceux qui sont en Algérie, en voyant leur club qui, jadis, dominait tout sur son passage, devenir une équipe quelconque et se limitait malheureusement à jouer le maintien. Voilà pourquoi les fans de l’équipe à l’étranger ont pris la décision d’exprimer leur mécontentement et prouvent que même en étant loin de la terre mère, ces derniers sont attachés aux valeurs sociales, et pour les Kabyles, la JSK est un élément indissociable de leur vie.
Menguelti, Yousfi, Dali et Berrahmoune ont représenté le comité de sauvegarde
Les organisateurs de ce mouvement ont exprimé leur vœu de voir parmi eux des membres du comité de sauvegarde. Selon nos informations, quatre anciens joueurs et dirigeants du club kabyle ont pris part à cette action, à savoir Menguelti, Salah Yousfi, Berrahmoune et l’ex-attaquant de la JSK, Rachid Dali. Ces derniers sont arrivés à Paris pour exprimer leur soutien aux supporters qui sont derrière l’action, tout en les encourageant à maintenir la pression notamment à l’échelle nationale pour sauver le club. Menguelti, Yousfi, Dali et Berrahmoune sont intervenus à tour de rôle pour dénoncer la gestion de Hannachi et demander son départ.
Les inconditionnels de l’émigration satisfaits de la réussite du sit-in
Pour les organisateurs du sit-in, l’événement s’est déroulé dans le calme et la sérénité. En dépit du mois du jeûne et de la chaleur d’hier, on a appris que plusieurs supporters ont effectué le déplacement pour répondre à l’appel de ces jeunes fans de la JSK qui demandent aussi le changement dans leur club.
Cette action devait être levée à 20 heures
Selon le programme qui a été arrêté par les organisateurs, le sit-in devait être levé hier vers 20 heures (heure française). Les supporters de l’équipe en France promettent de maintenir la pression et compte, bien entendu, organiser d’autres actions à l’avenir et ce jusqu’à ce que la direction parte et laisse le club entre les mains de ceux qui sont capables de le faire revenir à la place qui lui sied.
Le Buteur (06/07/2015)
Les supporters des Jaune et Vert résidant en France ont observé hier un sit-in, annoncé il y a plusieurs jours, à la place du Trocadéro (Paris). Vers 17h, heure prévue pour le coup d’envoi de cette action pacifique des supporters de la JSK à l’étranger, plusieurs supporters se sont rassemblés à Trocadéro. Comme cité précédemment, l’objectif de cette action, qui émane des étudiants kabyles en particulier, est d’exiger le départ du président Hannachi qu’ils tiennent responsable de la crise qui secoue le club le plus titré du pays depuis plusieurs années. Ce sit-in, le premier organisé à l’étranger pour réclamer un changement à la JSK, a connu un franc succès, dans la mesure où aucun incident n’a été déploré. De nombreux supporters sont venus des quatre coins de la capitale française et des autres villes pour joindre leur voix à ces jeunes visiblement frustrés, à l’instar de ceux qui sont en Algérie, en voyant leur club qui, jadis, dominait tout sur son passage, devenir une équipe quelconque et se limitait malheureusement à jouer le maintien. Voilà pourquoi les fans de l’équipe à l’étranger ont pris la décision d’exprimer leur mécontentement et prouvent que même en étant loin de la terre mère, ces derniers sont attachés aux valeurs sociales, et pour les Kabyles, la JSK est un élément indissociable de leur vie.
Menguelti, Yousfi, Dali et Berrahmoune ont représenté le comité de sauvegarde
Les organisateurs de ce mouvement ont exprimé leur vœu de voir parmi eux des membres du comité de sauvegarde. Selon nos informations, quatre anciens joueurs et dirigeants du club kabyle ont pris part à cette action, à savoir Menguelti, Salah Yousfi, Berrahmoune et l’ex-attaquant de la JSK, Rachid Dali. Ces derniers sont arrivés à Paris pour exprimer leur soutien aux supporters qui sont derrière l’action, tout en les encourageant à maintenir la pression notamment à l’échelle nationale pour sauver le club. Menguelti, Yousfi, Dali et Berrahmoune sont intervenus à tour de rôle pour dénoncer la gestion de Hannachi et demander son départ.
Les inconditionnels de l’émigration satisfaits de la réussite du sit-in
Pour les organisateurs du sit-in, l’événement s’est déroulé dans le calme et la sérénité. En dépit du mois du jeûne et de la chaleur d’hier, on a appris que plusieurs supporters ont effectué le déplacement pour répondre à l’appel de ces jeunes fans de la JSK qui demandent aussi le changement dans leur club.
Cette action devait être levée à 20 heures
Selon le programme qui a été arrêté par les organisateurs, le sit-in devait être levé hier vers 20 heures (heure française). Les supporters de l’équipe en France promettent de maintenir la pression et compte, bien entendu, organiser d’autres actions à l’avenir et ce jusqu’à ce que la direction parte et laisse le club entre les mains de ceux qui sont capables de le faire revenir à la place qui lui sied.
Le Buteur (06/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Le procureur de la République a ordonné l’ouverture d’une enquête
JSK : le comité de sauvegarde entendu par la police
Saisi par les deux parties en conflit, à savoir le président de la JS Kabylie, Mohand-Chérif Hannachi, et le comité de sauvegarde de la JSK, le procureur de la République de la wilaya de Tizi Ouzou a entamé, hier, la procédure d’enquête, apprend-on de source sûre. C’est ainsi que la Police judiciaire a commencé, hier, les auditions de certains membres du comité de sauvegarde, appelés à motiver leur accusation d’usurpation par Hannachi de la qualité de président du club. D’autres membres sont appelés à témoigner aujourd’hui, puis ce sera Hannachi qui sera convoqué par la police.
En tout cas, les pouvoirs publics ainsi que les autorités judiciaires ont décidé d’aller au bout de cette enquête. Il n’est pas à écarter également que Hannachi soit interrogé sur le paiement en espèces par l’ex-défenseur de la JSK, Djamel Benlamri, de sa lettre de libération (500 millions), le 2 juillet dernier.
Ce que Hannachi a confirmé publiquement alors que depuis le 1er juillet, tout paiement en liquide dépassant les 100 millions de centimes est interdit par la loi. Me Salah Meriem, l’une des responsables du comité de sauvegarde, avait révélé, en effet, lors d’une conférence de presse, organisée le 27 juin dernier, que “le comité de sauvegarde de la JSK a officiellement saisi le parquet de Tizi Ouzou et une plainte a été déposée auprès du procureur de la République pour remettre en cause la fonction de président et les prérogatives de Hannachi qui sont illégales depuis trois ans”. Ce à quoi le président Hannachi avait répondu mercredi dernier dans une intervention à JSK TV, annonçant le dépôt d’une plainte auprès du procureur de la République pour divulgation de documents confidentiels du club. “L’opposition (le comité de sauvegarde, ndlr) a rendu publics des documents confidentiels liés à la gestion du club ; c’est grave, je me demande d’où sont sortis ces documents. Alors, j’ai décidé de porter l’affaire devant le procureur pour faire la lumière sur cette question”, dit-il. Affaire à suivre !
Liberté (07/07/2015)
JSK : le comité de sauvegarde entendu par la police
Saisi par les deux parties en conflit, à savoir le président de la JS Kabylie, Mohand-Chérif Hannachi, et le comité de sauvegarde de la JSK, le procureur de la République de la wilaya de Tizi Ouzou a entamé, hier, la procédure d’enquête, apprend-on de source sûre. C’est ainsi que la Police judiciaire a commencé, hier, les auditions de certains membres du comité de sauvegarde, appelés à motiver leur accusation d’usurpation par Hannachi de la qualité de président du club. D’autres membres sont appelés à témoigner aujourd’hui, puis ce sera Hannachi qui sera convoqué par la police.
En tout cas, les pouvoirs publics ainsi que les autorités judiciaires ont décidé d’aller au bout de cette enquête. Il n’est pas à écarter également que Hannachi soit interrogé sur le paiement en espèces par l’ex-défenseur de la JSK, Djamel Benlamri, de sa lettre de libération (500 millions), le 2 juillet dernier.
Ce que Hannachi a confirmé publiquement alors que depuis le 1er juillet, tout paiement en liquide dépassant les 100 millions de centimes est interdit par la loi. Me Salah Meriem, l’une des responsables du comité de sauvegarde, avait révélé, en effet, lors d’une conférence de presse, organisée le 27 juin dernier, que “le comité de sauvegarde de la JSK a officiellement saisi le parquet de Tizi Ouzou et une plainte a été déposée auprès du procureur de la République pour remettre en cause la fonction de président et les prérogatives de Hannachi qui sont illégales depuis trois ans”. Ce à quoi le président Hannachi avait répondu mercredi dernier dans une intervention à JSK TV, annonçant le dépôt d’une plainte auprès du procureur de la République pour divulgation de documents confidentiels du club. “L’opposition (le comité de sauvegarde, ndlr) a rendu publics des documents confidentiels liés à la gestion du club ; c’est grave, je me demande d’où sont sortis ces documents. Alors, j’ai décidé de porter l’affaire devant le procureur pour faire la lumière sur cette question”, dit-il. Affaire à suivre !
Liberté (07/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
La FAF saisit la JSK : «Tout document signé par Hannachi sera rejeté»
Comme révélé par nos soins, des membres du Comité de sauvegarde de la JS Kabylie sont allés voir le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, afin de lui présenter des documents concernant Mohand Chérif Hannachi qui s’autoproclame président de la JSK. Mohamed Raouraoua n’a pas voulu prendre position en le faisant savoir aux membres du Comité de sauvegarde, sauf qu’il a rassuré Izri et les autres que la réglementation ne sera pas bafouée et qu’il veillera personnellement à ce qu’elle soit appliquée à la lettre. Ainsi, un dossier a été laissé à la disposition de la FAF, de la LFP, du COA et enfin du ministère des Sports pour prendre les mesures qui s’imposent, tant les opposants à Hannachi sont sûrs qu’il n’est pas le président légitime du club. Les instances footballistiques ont étudié le dossier et sont arrivées à la conclusion suivante : «Mohand Chérif Hannachi n’est pas président de la JSK.» Une source autorisée au niveau de la FAF nous a fait savoir hier : «La JSK a été informée des anomalies constatées. Les dossiers ou tout document signé par Hannachi et présentés aux instances sera carrément rejeté.» Une autre source de la FAF indique : «Hannachi n’est pas le président légal comme il le prétend. Les opposants ont finalement raison alors que nous pensions le contraire. La JSK doit se conformer à la légalité.» Voilà une bombe qui risque de faire beaucoup de polémique.
Hannachi devant le fait accompli
Autrement dit, Hannachi est devant le fait accompli. Le désormais ancien président de la JSK –, puisque la FAF a étudié le dossier prouvant que, depuis 2012, c’est Samy Idrès qui devait être le président, selon les statuts de la JSK, présentés à la LFP, – n’a qu’à se soumettre à la légalité et admettre qu’il s’est pris dans son propre piège. Alors qu’il voulait tout verrouiller pour bloquer la route aux anciens joueurs, Hannachi s’est plongé dans la clandestinité, devenant un président illégal. Maintenant, il n’y a que deux solutions, se soumettre à la légalité ou démissionner. L’étau s’est donc resserré sur Hannachi. Reste à savoir s’il va s’entêter à résister à la « Kaddafi » pour avoir une fin inespérée ou se retirer et sortir par la grande porte, tant que la porte est ouverte.
Les instances footballistiques ne peuvent pas faire le gendarme
Notre source au niveau de la FAF confirme encore une fois qu’évincer Hannachi n’est pas de son ressort : «Il y a des anomalies. Hannachi n’est pas le président légal, il doit se soumettre à la réglementation. Encore une fois, je tiens à vous préciser que ce n’est pas à la FAF d’évincer Hannachi. La FAF constate les infractions et ne considère plus Hannachi comme président de la JSK. Tous les documents que la JSK envoie à la FAF et qui seront signés par Hannachi seront rejetés, c’est simple pour nous, mais on ne peut pas faire le gendarme. La FAF ne fait pas le gendarme pour contrôler les clubs. Deux joueurs, à savoir Mekkaoui et Benlamri, ont fait de graves révélations sur l’insistance à Hannachi de percevoir de l’argent liquide. Cela veut dire que ce bonhomme a enfreint les lois de la République qui interdissent le payement par chkara. Il est obligatoire d’effectuer de telles transactions par virement bancaire, ce que Hannachi a refusé. C’est donc du ressort des autorités de mettre un terme à cela. Les deux déclarations des deux joueurs sont vraiment graves et une enquête doit être ouverte. En plus de cela, à titre personnel, je me pose une seule question : pourquoi Hannachi ne veut-il pas partir, malgré tout ce qu’il endure, c’est intrigant quand même !»
L’AG des actionnaires de ce jeudi dévoilera plus de vérité
Bizarrement, Mohand Chérif Hannachi a décidé de convoquer une assemblée des actionnaires pour ce jeudi, afin de parler d’une soit-disant ouverture du capital et l’intronisation de certains membres. Or à travers cette réunion, Hannachi veut prendre à défaut les actionnaires du club puisque certains d’entre eux s’opposent à Hannachi et veulent eux aussi son départ.
Le Buteur (07/07/2015)
Comme révélé par nos soins, des membres du Comité de sauvegarde de la JS Kabylie sont allés voir le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, afin de lui présenter des documents concernant Mohand Chérif Hannachi qui s’autoproclame président de la JSK. Mohamed Raouraoua n’a pas voulu prendre position en le faisant savoir aux membres du Comité de sauvegarde, sauf qu’il a rassuré Izri et les autres que la réglementation ne sera pas bafouée et qu’il veillera personnellement à ce qu’elle soit appliquée à la lettre. Ainsi, un dossier a été laissé à la disposition de la FAF, de la LFP, du COA et enfin du ministère des Sports pour prendre les mesures qui s’imposent, tant les opposants à Hannachi sont sûrs qu’il n’est pas le président légitime du club. Les instances footballistiques ont étudié le dossier et sont arrivées à la conclusion suivante : «Mohand Chérif Hannachi n’est pas président de la JSK.» Une source autorisée au niveau de la FAF nous a fait savoir hier : «La JSK a été informée des anomalies constatées. Les dossiers ou tout document signé par Hannachi et présentés aux instances sera carrément rejeté.» Une autre source de la FAF indique : «Hannachi n’est pas le président légal comme il le prétend. Les opposants ont finalement raison alors que nous pensions le contraire. La JSK doit se conformer à la légalité.» Voilà une bombe qui risque de faire beaucoup de polémique.
Hannachi devant le fait accompli
Autrement dit, Hannachi est devant le fait accompli. Le désormais ancien président de la JSK –, puisque la FAF a étudié le dossier prouvant que, depuis 2012, c’est Samy Idrès qui devait être le président, selon les statuts de la JSK, présentés à la LFP, – n’a qu’à se soumettre à la légalité et admettre qu’il s’est pris dans son propre piège. Alors qu’il voulait tout verrouiller pour bloquer la route aux anciens joueurs, Hannachi s’est plongé dans la clandestinité, devenant un président illégal. Maintenant, il n’y a que deux solutions, se soumettre à la légalité ou démissionner. L’étau s’est donc resserré sur Hannachi. Reste à savoir s’il va s’entêter à résister à la « Kaddafi » pour avoir une fin inespérée ou se retirer et sortir par la grande porte, tant que la porte est ouverte.
Les instances footballistiques ne peuvent pas faire le gendarme
Notre source au niveau de la FAF confirme encore une fois qu’évincer Hannachi n’est pas de son ressort : «Il y a des anomalies. Hannachi n’est pas le président légal, il doit se soumettre à la réglementation. Encore une fois, je tiens à vous préciser que ce n’est pas à la FAF d’évincer Hannachi. La FAF constate les infractions et ne considère plus Hannachi comme président de la JSK. Tous les documents que la JSK envoie à la FAF et qui seront signés par Hannachi seront rejetés, c’est simple pour nous, mais on ne peut pas faire le gendarme. La FAF ne fait pas le gendarme pour contrôler les clubs. Deux joueurs, à savoir Mekkaoui et Benlamri, ont fait de graves révélations sur l’insistance à Hannachi de percevoir de l’argent liquide. Cela veut dire que ce bonhomme a enfreint les lois de la République qui interdissent le payement par chkara. Il est obligatoire d’effectuer de telles transactions par virement bancaire, ce que Hannachi a refusé. C’est donc du ressort des autorités de mettre un terme à cela. Les deux déclarations des deux joueurs sont vraiment graves et une enquête doit être ouverte. En plus de cela, à titre personnel, je me pose une seule question : pourquoi Hannachi ne veut-il pas partir, malgré tout ce qu’il endure, c’est intrigant quand même !»
L’AG des actionnaires de ce jeudi dévoilera plus de vérité
Bizarrement, Mohand Chérif Hannachi a décidé de convoquer une assemblée des actionnaires pour ce jeudi, afin de parler d’une soit-disant ouverture du capital et l’intronisation de certains membres. Or à travers cette réunion, Hannachi veut prendre à défaut les actionnaires du club puisque certains d’entre eux s’opposent à Hannachi et veulent eux aussi son départ.
Le Buteur (07/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK : Le procureur de la République ordonne l'ouverture d'une enquête
Comme nous l’avons annoncé dans une de notre précédentes éditions, le comité de sauvegarde de la JSK a déposé plainte contre l’actuel président de la JSK Mohand Cherif Hannachi pour usurpation de qualité et ce, après avoir présenté des documents prouvant qu’il n’est pas le président légitime de la JSK. Aux dernières nouvelles, nous avons appris que le procureur de la République près le tribunal de Tizi a déclaré recevable la plainte des membres du comité de sauvegarde et du coup il a été procédé à l’ouverture d’une enquête par les éléments de la police judiciaire. Selon nos informations, la police judiciaire de Tizi a entamé depuis hier l’enquête sur le dossier de la JSK notamment l’usurpation de qualité par Hannachi et autres dossiers qui seront désormais étudiés concernant la gestion du CSA dont les biens ont été concédés par Hannachi au profit de la société sans passer par aucune procédure judiciaire légale.
Iboud et Menad auditionnés hier, Termoul, Amara et Sadmi aujourd’hui
Dès l’ordre de l’ouverture d’une enquête donné par le procureur de la République près le tribunal de Tizi, la police judiciaire a convoqué quelques membres du comité de sauvegarde de la JSK pour les auditionner et bien entendu écouter leur version des faits. Ainsi, pour la journée d’hier deux anciens de la JSK ont été convoqués pour audition, il s’agit de Menad et Iboud. Ces deux derniers ont expliqué la situation en toute transparence et ont parlé de l’accusation portée contre Hannachi. Aujourd’hui, ce sera au tour de Sadmi, Termoul et Amara, d’apporter leur version des faits alors que Abdeslam et Izri passeront au tribunal demain. Les membres du comité de sauvegarde sont optimistes, vu la solidité du dossier qu’ils ont entre leurs mains.
Et ça sera le tour de Hannachi et Idrès après
Par ailleurs et après la fin de la série des auditions avec les membres du comité de sauvegarde, les services de la police judiciaire de Tizi vont également convoquer Hannachi et Idrès pour le même motif, notamment cette affaire d’usurpation de qualité par Hannachi et Samy Idrès qui est aussi concerné dans ce dossier lui qui est le président du CSA démissionnaire mais qui n’a jamais déposé une démission à la DJS. Une fois les auditions clôturées, le dossier sera transféré au procureur de la République qui prononcera le jugement final.
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Iboud : « L’enquête est ouverte, le dossier est sur la bonne voie »
« Nous nous sommes déplacés au siège de la police Menad et moi pour être auditionnés. Une enquête a été ouverte par les services de la police sur le dossier de la JSK et nous avons saisi l’occasion de tout dévoiler et de confirmer que nous sommes sur le droit chemin. Pour l’instant, je ne peux pas dire plus que ça, d’autres membres se présenteront aussi pour dire tout ce qu’ils savent du dossier qui je considère est sur la bonne voie. »
Le Buteur (07/07/2015)
Comme nous l’avons annoncé dans une de notre précédentes éditions, le comité de sauvegarde de la JSK a déposé plainte contre l’actuel président de la JSK Mohand Cherif Hannachi pour usurpation de qualité et ce, après avoir présenté des documents prouvant qu’il n’est pas le président légitime de la JSK. Aux dernières nouvelles, nous avons appris que le procureur de la République près le tribunal de Tizi a déclaré recevable la plainte des membres du comité de sauvegarde et du coup il a été procédé à l’ouverture d’une enquête par les éléments de la police judiciaire. Selon nos informations, la police judiciaire de Tizi a entamé depuis hier l’enquête sur le dossier de la JSK notamment l’usurpation de qualité par Hannachi et autres dossiers qui seront désormais étudiés concernant la gestion du CSA dont les biens ont été concédés par Hannachi au profit de la société sans passer par aucune procédure judiciaire légale.
Iboud et Menad auditionnés hier, Termoul, Amara et Sadmi aujourd’hui
Dès l’ordre de l’ouverture d’une enquête donné par le procureur de la République près le tribunal de Tizi, la police judiciaire a convoqué quelques membres du comité de sauvegarde de la JSK pour les auditionner et bien entendu écouter leur version des faits. Ainsi, pour la journée d’hier deux anciens de la JSK ont été convoqués pour audition, il s’agit de Menad et Iboud. Ces deux derniers ont expliqué la situation en toute transparence et ont parlé de l’accusation portée contre Hannachi. Aujourd’hui, ce sera au tour de Sadmi, Termoul et Amara, d’apporter leur version des faits alors que Abdeslam et Izri passeront au tribunal demain. Les membres du comité de sauvegarde sont optimistes, vu la solidité du dossier qu’ils ont entre leurs mains.
Et ça sera le tour de Hannachi et Idrès après
Par ailleurs et après la fin de la série des auditions avec les membres du comité de sauvegarde, les services de la police judiciaire de Tizi vont également convoquer Hannachi et Idrès pour le même motif, notamment cette affaire d’usurpation de qualité par Hannachi et Samy Idrès qui est aussi concerné dans ce dossier lui qui est le président du CSA démissionnaire mais qui n’a jamais déposé une démission à la DJS. Une fois les auditions clôturées, le dossier sera transféré au procureur de la République qui prononcera le jugement final.
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Iboud : « L’enquête est ouverte, le dossier est sur la bonne voie »
« Nous nous sommes déplacés au siège de la police Menad et moi pour être auditionnés. Une enquête a été ouverte par les services de la police sur le dossier de la JSK et nous avons saisi l’occasion de tout dévoiler et de confirmer que nous sommes sur le droit chemin. Pour l’instant, je ne peux pas dire plus que ça, d’autres membres se présenteront aussi pour dire tout ce qu’ils savent du dossier qui je considère est sur la bonne voie. »
Le Buteur (07/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Comité de sauvegarde de la JSK
Rencontre aujourd’hui avec le DJS
L’enquête ordonnée par le procureur de la République de la wilaya de Tizi Ouzou s’est poursuivie hier par l’audition par la police d’autres membres du comité de sauvegarde de la JSK. Puis ce sera au tour du président de la JSK, Hannachi, d’être auditionné au même titre que d’autres dirigeants du club kabyle. En outre, les responsables du comité de sauvegarde ont rendez-vous aujourd’hui avec le directeur de la jeunesse et des sports de la wilaya de Tizi Ouzou dans le cadre de l’enquête déclenchée par la DJS au sujet de la gestion de la JSK.
Liberté (08/07/2015)
Rencontre aujourd’hui avec le DJS
L’enquête ordonnée par le procureur de la République de la wilaya de Tizi Ouzou s’est poursuivie hier par l’audition par la police d’autres membres du comité de sauvegarde de la JSK. Puis ce sera au tour du président de la JSK, Hannachi, d’être auditionné au même titre que d’autres dirigeants du club kabyle. En outre, les responsables du comité de sauvegarde ont rendez-vous aujourd’hui avec le directeur de la jeunesse et des sports de la wilaya de Tizi Ouzou dans le cadre de l’enquête déclenchée par la DJS au sujet de la gestion de la JSK.
Liberté (08/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
JSK : La vérité sur une histoire qui n’existe pas
Beaucoup a été dit et écrit sur la JSK et son président ces derniers jours. Certains faits sont vrais, d’autres non.
«Le procureur de la République s’est saisi de l’affaire et a ordonné une enquête» : ça, c’est une vérité. «Que la FAF, le COA ou la LFP aient saisi la JSK officiellement pour l’informer que la signature de Hannachi n’est plus recevable est un grand mensonge. » Nous avons appelé tous les acteurs concernés dans cette affaire. La FAF, la LFP, le COA, la JSK et le comité de sauvegarde pour essayer de faire toute la lumière sur cette affaire et le moins que l’ont puisse dire est que certaines vérités sont étonnantes.
Berraf : «Le COA prend acte»
Le président du Comité olympique algérien n’a pas voulu polémiquer autour du conflit JSK-comité de sauvegarde. Joint par nos soins, Mustapha Berraf nous dira : «Des gens respectables sont venus me voir pour me faire part de leur problème. Je les ai reçus. J’ai entendu ce qu’ils avaient à dire et j’ai dit ce que j’avais à leur dire. Le COA prend acte. » Nous avons essayé de savoir ce que le COA a fait et compte faire dans cette affaire, voici la réponse de Berraf : «Le COA prône la réconciliation et travaillera dans ce sens. La JSK est un très grand club. Il ne mérite pas ça. On va essayer de faire entendre la voix de la raison aux deux parties, trouver une solution qui arrangerait tout le monde et surtout qui permettra à ce club d’avancer et de faire le bonheur des Algériens comme il le faisait jadis. »
Kerbadj : «Hannachi est le président de la SSPA, il peut signer»
La LFP est la seule autorité compétente à traiter de l’affaire JSK. Tous les clubs y sont affiliés. Le président Mahfoud Kerbadj que nous avons joint hier en milieu de journée dit encore une fois qu’à son niveau il n’y a pas d’affaire JSK, tout en confirmant sa rencontre avec les membres du comité de sauvegarde de la JSK. «Je vous ai dit la dernière fois qu’il n’y a pas d’affaire JSK à mon niveau. Ce club n’a pas de traitement de faveur, tout comme son président. On a appelé tous les clubs à régulariser leur situation administrative via un communiqué qui est toujours sur notre site. La JSK, à l’instar des autres clubs doit actualiser ses données pour la saison 2015/2016. Si anomalie il y a, on refusera le dossier, tout simplement», nous dira Kerbadj.
«J’ai reçu le comité de sauvegarde»
Le président de la Ligue de football professionnel nous dira ensuite qu’il a rencontré récemment les membres du comité de sauvegarde avec qui il a eu une discussion qu’il a qualifiée «d’intéressante». «J’ai reçu récemment Iboud et ses amis. Ils m’ont remis des documents prouvant que Hannachi a été président du CSA et président de la SSPA. J’ai pris note », dira l’ex-président du CRB. Interrogé sur les écrits de presse disant que la LFP aurait envoyé un courrier à la JSK l’informant que la signature de Hannachi n’est plus valable, Kerbadj, très remonté, nous dira : «C’est faux et archi faux. Jusqu’à preuve du contraire Hannachi Mohand-Chérif est le président légal de la SSPA/JSK. C’est l’assemblée des actionnaires du club qui l’a élu président et seule une AGEX peut le destituer. Sa signature est valable, sinon, tous les joueurs qu’il a libérés ne seront pas qualifiés, idem pour les nouvelles recrues. Comme je vous l’ai dit Hannachi peut signer normalement, sans même prendre l’avis des autres… A moins que la justice ne le l’empêche. »
«On a demandé à la JSK des actes notariés des statuts du club»
Par ailleurs, et en ce qui concerne la requête du comité de sauvegarde et sa promesse faites aux Iboud & Co de prendre en main le dossier, le président de la LFP nous répondra : «La Ligue ne peut pas destituer Hannachi. Seuls le CA de la SSPA et la justice peuvent le faire. Ceci étant, on a demandé à la JSK de régulariser sa situation administrative et elle va le faire. La direction de ce club va nous envoyer des actes notariés prouvant que c’est Ilyès Izri le président du CSA et que Hannachi n’est qu’un simple actionnaire choisi par le conseil d’administration pour présider la SSPA» et d’ajouter : «Je ne sais pas pourquoi la FAF est citée dans cette affaire. Les clubs sont affiliés à la LFP et non à la FAF. Cette dernière ne peut ni communiquer ni décider dans cette affaire. »
Compétition (08/07/2015)
Beaucoup a été dit et écrit sur la JSK et son président ces derniers jours. Certains faits sont vrais, d’autres non.
«Le procureur de la République s’est saisi de l’affaire et a ordonné une enquête» : ça, c’est une vérité. «Que la FAF, le COA ou la LFP aient saisi la JSK officiellement pour l’informer que la signature de Hannachi n’est plus recevable est un grand mensonge. » Nous avons appelé tous les acteurs concernés dans cette affaire. La FAF, la LFP, le COA, la JSK et le comité de sauvegarde pour essayer de faire toute la lumière sur cette affaire et le moins que l’ont puisse dire est que certaines vérités sont étonnantes.
Berraf : «Le COA prend acte»
Le président du Comité olympique algérien n’a pas voulu polémiquer autour du conflit JSK-comité de sauvegarde. Joint par nos soins, Mustapha Berraf nous dira : «Des gens respectables sont venus me voir pour me faire part de leur problème. Je les ai reçus. J’ai entendu ce qu’ils avaient à dire et j’ai dit ce que j’avais à leur dire. Le COA prend acte. » Nous avons essayé de savoir ce que le COA a fait et compte faire dans cette affaire, voici la réponse de Berraf : «Le COA prône la réconciliation et travaillera dans ce sens. La JSK est un très grand club. Il ne mérite pas ça. On va essayer de faire entendre la voix de la raison aux deux parties, trouver une solution qui arrangerait tout le monde et surtout qui permettra à ce club d’avancer et de faire le bonheur des Algériens comme il le faisait jadis. »
Kerbadj : «Hannachi est le président de la SSPA, il peut signer»
La LFP est la seule autorité compétente à traiter de l’affaire JSK. Tous les clubs y sont affiliés. Le président Mahfoud Kerbadj que nous avons joint hier en milieu de journée dit encore une fois qu’à son niveau il n’y a pas d’affaire JSK, tout en confirmant sa rencontre avec les membres du comité de sauvegarde de la JSK. «Je vous ai dit la dernière fois qu’il n’y a pas d’affaire JSK à mon niveau. Ce club n’a pas de traitement de faveur, tout comme son président. On a appelé tous les clubs à régulariser leur situation administrative via un communiqué qui est toujours sur notre site. La JSK, à l’instar des autres clubs doit actualiser ses données pour la saison 2015/2016. Si anomalie il y a, on refusera le dossier, tout simplement», nous dira Kerbadj.
«J’ai reçu le comité de sauvegarde»
Le président de la Ligue de football professionnel nous dira ensuite qu’il a rencontré récemment les membres du comité de sauvegarde avec qui il a eu une discussion qu’il a qualifiée «d’intéressante». «J’ai reçu récemment Iboud et ses amis. Ils m’ont remis des documents prouvant que Hannachi a été président du CSA et président de la SSPA. J’ai pris note », dira l’ex-président du CRB. Interrogé sur les écrits de presse disant que la LFP aurait envoyé un courrier à la JSK l’informant que la signature de Hannachi n’est plus valable, Kerbadj, très remonté, nous dira : «C’est faux et archi faux. Jusqu’à preuve du contraire Hannachi Mohand-Chérif est le président légal de la SSPA/JSK. C’est l’assemblée des actionnaires du club qui l’a élu président et seule une AGEX peut le destituer. Sa signature est valable, sinon, tous les joueurs qu’il a libérés ne seront pas qualifiés, idem pour les nouvelles recrues. Comme je vous l’ai dit Hannachi peut signer normalement, sans même prendre l’avis des autres… A moins que la justice ne le l’empêche. »
«On a demandé à la JSK des actes notariés des statuts du club»
Par ailleurs, et en ce qui concerne la requête du comité de sauvegarde et sa promesse faites aux Iboud & Co de prendre en main le dossier, le président de la LFP nous répondra : «La Ligue ne peut pas destituer Hannachi. Seuls le CA de la SSPA et la justice peuvent le faire. Ceci étant, on a demandé à la JSK de régulariser sa situation administrative et elle va le faire. La direction de ce club va nous envoyer des actes notariés prouvant que c’est Ilyès Izri le président du CSA et que Hannachi n’est qu’un simple actionnaire choisi par le conseil d’administration pour présider la SSPA» et d’ajouter : «Je ne sais pas pourquoi la FAF est citée dans cette affaire. Les clubs sont affiliés à la LFP et non à la FAF. Cette dernière ne peut ni communiquer ni décider dans cette affaire. »
Compétition (08/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Rachid Kana : (actionnaire et membre fondateur de la SSPA/JSK) «Hannachi a tout fait pour que je n’assiste pas à l’assemblée générale du CA»
Il semblerait que ça chauffe à nouveau au sein du conseil d’administration de la JSK. Pour cause, quelques heures seulement après la réunion entre Hannachi et les membres du conseil, l’un des membres, Rachid Kana, est monté au créneau pour dénoncer les agissements de Hannachi, en disant : «Hannachi a tout fait pour que je n’assiste pas à cette assemblée, alors que je suis un membre fondateur du CA. C’est illégal, ce qu’il vient de faire. Je sais que Hannachi voulait me mettre les bâtons dans les roues.»
«Il sait que je refuse de marcher dans ses combines. C’est pour ça qu’il m’a mis à l’écart»
Rachid Kana ajoutera dans la foulée : «Si Hannachi ne voulait pas de ma présence à cette assemblée, c’est parce qu’il sait pertinemment que je ne suis pas le genre de personne qui marche dans ses combines. J’ai toujours dénoncé les choses illégales. J’ai toujours dit les 4 vérités, chose que Hannachi n’apprécie pas. Si j’avais pris part à l’assemblée, Hannachi sait que j’aurai dit des choses qui ne lui auraient pas plu. Il a donc tout fait pour que je ne soit pas présent.»
«Sur l’invitation qui m’a été donnée, il n’y avait pas l’adresse du lieu de l’assemblée. C’est une mascarade !»
Par la suite, Rachid Kana a fait savoir qu’il a reçu l’invitation à l’assemblée, mais ce n’était qu’une formalité à ses yeux, en justifiant : «J’ai effectivement reçu l’invitation des mains d’une personne que je ne connais pas. Il a pour nom Azlef. Je ne l’avais jamais vu par le passé. Mais ce qui m’a le plus surpris, c’est qu’il n’y avait pas l’adresse complète du lieu où cette assemblée devait se dérouler. Il était mentionné que celle-ci devait se dérouler à Bab Ezzouar. Je pensais alors qu’elle allait se réunir chez le notaire, mais lorsque j’ai appelé, on m’a fait savoir que celle-ci allait se tenir à Hydra chez un membre du conseil. C’est une vraie mascarade !»
«Cette assemblée est illégale, car elle devait se tenir au siège de la société»
«Il est clair que cette assemblée est illégale pour la simple raison qu’elle devait se tenir au siège de la société. Hannachi a pris la peine de changer de wilaya, ce qui est illégal. C’est la raison pour laquelle je dénonce ce comportement et je dis que je suis prêt à aller en justice pour dénoncer de tels agissements du président, qui n’a pas le droit de se comporter ainsi. Nous sommes des actionnaires et il doit respecter tout le monde», conclura Rachid Kana.
Le Buteur (11/07/2015)
Il semblerait que ça chauffe à nouveau au sein du conseil d’administration de la JSK. Pour cause, quelques heures seulement après la réunion entre Hannachi et les membres du conseil, l’un des membres, Rachid Kana, est monté au créneau pour dénoncer les agissements de Hannachi, en disant : «Hannachi a tout fait pour que je n’assiste pas à cette assemblée, alors que je suis un membre fondateur du CA. C’est illégal, ce qu’il vient de faire. Je sais que Hannachi voulait me mettre les bâtons dans les roues.»
«Il sait que je refuse de marcher dans ses combines. C’est pour ça qu’il m’a mis à l’écart»
Rachid Kana ajoutera dans la foulée : «Si Hannachi ne voulait pas de ma présence à cette assemblée, c’est parce qu’il sait pertinemment que je ne suis pas le genre de personne qui marche dans ses combines. J’ai toujours dénoncé les choses illégales. J’ai toujours dit les 4 vérités, chose que Hannachi n’apprécie pas. Si j’avais pris part à l’assemblée, Hannachi sait que j’aurai dit des choses qui ne lui auraient pas plu. Il a donc tout fait pour que je ne soit pas présent.»
«Sur l’invitation qui m’a été donnée, il n’y avait pas l’adresse du lieu de l’assemblée. C’est une mascarade !»
Par la suite, Rachid Kana a fait savoir qu’il a reçu l’invitation à l’assemblée, mais ce n’était qu’une formalité à ses yeux, en justifiant : «J’ai effectivement reçu l’invitation des mains d’une personne que je ne connais pas. Il a pour nom Azlef. Je ne l’avais jamais vu par le passé. Mais ce qui m’a le plus surpris, c’est qu’il n’y avait pas l’adresse complète du lieu où cette assemblée devait se dérouler. Il était mentionné que celle-ci devait se dérouler à Bab Ezzouar. Je pensais alors qu’elle allait se réunir chez le notaire, mais lorsque j’ai appelé, on m’a fait savoir que celle-ci allait se tenir à Hydra chez un membre du conseil. C’est une vraie mascarade !»
«Cette assemblée est illégale, car elle devait se tenir au siège de la société»
«Il est clair que cette assemblée est illégale pour la simple raison qu’elle devait se tenir au siège de la société. Hannachi a pris la peine de changer de wilaya, ce qui est illégal. C’est la raison pour laquelle je dénonce ce comportement et je dis que je suis prêt à aller en justice pour dénoncer de tels agissements du président, qui n’a pas le droit de se comporter ainsi. Nous sommes des actionnaires et il doit respecter tout le monde», conclura Rachid Kana.
Le Buteur (11/07/2015)
Re: La JSK, pour une sortie à la crise
Fin des auditions des membres du comité de sauvegarde de la JSK
Hannachi sera entendu cette semaine par la police
La Police judiciaire a achevé, en fin de semaine, la première phase des auditions dans le cadre de l’enquête diligentée par le procureur de la République dans l’affaire qui oppose le comité de sauvegarde de la JSK au président Mohand-Chérif Hannachi. Les sept membres du comité ont été, en effet, entendus par la police de Tizi ouzou qui a écouté leurs versions par rapport à l’accusation d’usurpation de la fonction de président et faux usage de faux. Cette semaine, ce sera au tour de Hannachi et de certains responsables de la JSK d’être entendus par la police avant que cette dernière ne remette son rapport au procureur de la République. En attendant, les membres du comité de sauvegarde ont décidé de tenir une réunion d’aujourd’hui à Tizi Ouzou afin de réfléchir sur les suites à donner au mouvement de contestation. Me Salah Meriem, l’une des responsables du comité de sauvegarde, avait révélé, en effet, lors d’une conférence de presse, organisée le 27 juin dernier, que “le comité de sauvegarde de la JSK a officiellement saisi le parquet de Tizi Ouzou et une plainte a été déposée auprès du procureur de la République pour remettre en cause la fonction de président et les prérogatives de Hannachi qui sont illégales depuis trois ans”. Ce à quoi le président Hannachi avait répondu, annonçant le dépôt d’une plainte auprès du procureur de la République pour divulgation de documents confidentiels du club. “L’opposition (le comité de sauvegarde, ndlr) a rendu publics des documents confidentiels liés à la gestion du club ; c’est grave, je me demande d’où sont sortis ces documents. Alors, j’ai décidé de porter l’affaire devant le procureur pour faire la lumière sur cette question”, dit-il.
Liberté (12/07/2015)
Hannachi sera entendu cette semaine par la police
La Police judiciaire a achevé, en fin de semaine, la première phase des auditions dans le cadre de l’enquête diligentée par le procureur de la République dans l’affaire qui oppose le comité de sauvegarde de la JSK au président Mohand-Chérif Hannachi. Les sept membres du comité ont été, en effet, entendus par la police de Tizi ouzou qui a écouté leurs versions par rapport à l’accusation d’usurpation de la fonction de président et faux usage de faux. Cette semaine, ce sera au tour de Hannachi et de certains responsables de la JSK d’être entendus par la police avant que cette dernière ne remette son rapport au procureur de la République. En attendant, les membres du comité de sauvegarde ont décidé de tenir une réunion d’aujourd’hui à Tizi Ouzou afin de réfléchir sur les suites à donner au mouvement de contestation. Me Salah Meriem, l’une des responsables du comité de sauvegarde, avait révélé, en effet, lors d’une conférence de presse, organisée le 27 juin dernier, que “le comité de sauvegarde de la JSK a officiellement saisi le parquet de Tizi Ouzou et une plainte a été déposée auprès du procureur de la République pour remettre en cause la fonction de président et les prérogatives de Hannachi qui sont illégales depuis trois ans”. Ce à quoi le président Hannachi avait répondu, annonçant le dépôt d’une plainte auprès du procureur de la République pour divulgation de documents confidentiels du club. “L’opposition (le comité de sauvegarde, ndlr) a rendu publics des documents confidentiels liés à la gestion du club ; c’est grave, je me demande d’où sont sortis ces documents. Alors, j’ai décidé de porter l’affaire devant le procureur pour faire la lumière sur cette question”, dit-il.
Liberté (12/07/2015)
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