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International -News (Part 2)

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Message par rachid_as Lun 22 Déc - 15:57

Belgique, Wilmots : "Le talent ne suffit pas"

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L'année 2014 a été un bain de jouvence pour Marc Wilmots. Le sélectionneur de la Belgique a mené son équipe jusqu'en quart de finale de la Coupe du Monde de la FIFA, une friandise dont il s'est gavé dans sa jeunesse avec quatre participations à l'épreuve reine, entre 1990 et 2002.

C'est donc avec plaisir que l'ancien milieu de terrain a accepté de se mettre à table avec FIFA.com pour évoquer son année riche en émotions, l'aventure brésilienne des Diables Rouges, l'avenir de cette génération dorée, sa vie de sélectionneur et ses favoris pour le FIFA Ballon d'Or.


Marc Wilmots, qui a été le meilleur joueur de l'année 2014 ?
Initialement, j'avais voté pour Arjen Robben, Manuel Neuer et Thibaut Courtois. Donc pour moi, c'est Neuer. C'est un gardien complet qui est, selon moi, le meilleur au monde. Il a fait une saison parfaite, il a presque tout gagné, il est constant tout en faisant beaucoup de progrès. C'est le premier relanceur de son équipe et c'est vraiment le gardien moderne par excellence. Outre le Bayern, il a mené l'Allemagne au titre mondial. Donc j'estime que sur l'année écoulée, on peut récompenser celui qui arrête les buts et pas toujours ceux qui les marquent.

En tant qu'ancien joueur offensif, n'êtes vous pas plus sensible à ce que font Lionel Messi et Cristiano Ronaldo ?
Si, bien sûr. Cristiano Ronaldo est un des plus grands professionnels de la planète, qui met 40 buts par saison. Le problème, c'est que ça devient presque une habitude. Messi a connu une année plus compliquée avec des blessures, même s'il est allé en finale de la Coupe du Monde. Mais bon, on parle de quoi là ? Ce sont deux joueurs monstrueux, qui font dans la continuité, qui gagnent des titres et qui sont encore jeunes. On a l'impression qu'ils sont sur une autre planète depuis quelques années. Ceci étant dit, Manuel Neuer a lui aussi un beau bilan en terme de statistiques.

Quand vous étiez joueur, qui vous impressionnait le plus ?
C'était Ronaldo le Brésilien. Il Fenomeno, c'était la même chose que Cristiano Ronaldo et Messi. C'était une machine à marquer qui alliait technique, vitesse et qui avait une constance dans ses prestations. Dommage qu'il ait été rattrapé par les blessures avec son tendon rotulien qui a commencé à chauffer. Ce qui m'impressionne aussi avec Cristiano Ronaldo et Messi, c'est qu'ils ne sont jamais blessés. Mais ça n'est pas un hasard, il y a beaucoup de travail derrière. C'est une question de prendre soin de son corps, d'être professionnel à 200% et de vivre pour son métier. Le tout avec des qualités physiques, mentales et un talent au dessus de la norme. Ça donne des joueur qui marqueront l'histoire du foot.

Eden Hazard a déclaré qu'il voulait atteindre ce niveau. Qu'en pensez-vous ?
Eden est sur une excellente progression pour l'instant, et j'espère bien qu'il ambitionne d'atteindre ce niveau. Il doit juste être plus efficace et plus finisseur. Il a montré avec Lille qu'il pouvait marquer une vingtaine de buts par saison. C'est sur ce critère là qu'il doit progresser pour aider son équipe dans les moments-clés. Mais c'est aussi un collectif qui permet ça. Eden est encore jeune, il a 23 ans et il a beaucoup d'ambition, c'est bien. C'est tout ce que je lui souhaite.

Parlons à présent de vos confrères. Qui, de Carlo Ancelotti (Real Madrid), Diego Simeone (Atlético de Madrid) et Joachim Löw (Allemagne) est à vos yeux le meilleur entraîneur de l'année 2014 ?
Moi j'aime beaucoup Diego Simeone. Quand on voit l'effectif qu'il a, on voit qu'il tire le maximum de son potentiel. Il a une équipe bien en place, difficile à bouger avec une assise défensive très stable. Il a aussi toujours le nez pour aller chercher l'attaquant qui faut, comme Falcao ou Diego Costa, pour faire la décision. Simeone a réussi là où on ne l'attendait pas, c'est à dire aller en finale de la Ligue des champions et gagner le titre de champion d'Espagne en laissant le Real Madrid et Barcelone derrière, il ne faut pas l'oublier… Il a vraiment fait une année extraordinaire. Ça fait trois ans, il y a de la continuité chez lui.

Pour le plus beau but, avez-vous une préférence entre les trois finalistes pour le Prix Puskas de la FIFA ?
Je dirais celui de James Rodriguez. Le garçon est dos au but, et ce qui m'épate c'est cet instinct qu'il a de se mettre face au jeu quand il reçoit le ballon avec son contrôle orienté de la poitrine, enchaîné avec une reprise de volée formidable. Le tout pendant une Coupe du Monde ! Ce qu'il fait est inarrêtable. Dans la réalisation, dans l'idée, dans le contrôle : tout est parfait. Ce qui fait la différence, c'est qu'il avait tout lu, tout analysé et a pris sa décision de faire ça avant de recevoir le ballon. Du coup, ça va plus vite. Cette façon de penser plus vite que les autres, c'est toute la beauté du foot et c'est la marque d'un grand joueur.

Quelle est votre plus grande satisfaction de cette année 2014 ?
C'est notre état d'esprit pendant la Coupe du Monde. Ça n'est jamais facile de partir à 50-55 personnes. Toute la préparation a été très bien faite et tous nos choix ont été judicieux. Nous n'avons connu aucun problème avec les membres de mon staff. Nous avons vraiment formé un groupe qui était là pour représenter la Belgique. Les égos étaient de côté et seul le collectif importait. Nous avons enchaîné quatre victoires en quatre matches, ce qui n'était jamais arrivé pour la Belgique. Nous sommes tombés en quart de finale contre l'Argentine sans être balayés, et même avec des regrets car nous aurions pu aller plus loin. C'était une remise sur la carte du football belge, le tout avec l'équipe la plus jeune du tournoi. Je pense que mes garçons ont pris beaucoup d'expérience. C'était aussi une confirmation de nos matches de qualifications, deux années pleines au bout desquelles nous sommes quatrièmes au classement mondial alors que nous partions de la 55ème place. Nous avons remis notre équipe nationale en place, et surtout nous avons retrouvé notre public.

La vie de sélectionneur est très intense pendant une Coupe du Monde. Avez-vous eu un coup de blues quand tout s'est arrêté ?
Non, pas tellement. Je faisais déjà ma cinquième Coupe du Monde, dont quatre en tant que joueur. J'ai aussi été consultant, donc j'ai vu tout ça de l'intérieur et de l'extérieur. J'ai appris à faire la part des choses. Il y a des choses qui sont plus importantes que le football et on peut se ressourcer avec sa famille. En fait, pour un joueur ou pour un entraîneur, le plus difficile c'est de réenchaîner derrière avec des nouveaux objectifs quand on a atteint presque le maximum. Quand je suis rentré du Brésil, je suis allé directement à Bordeaux pour trouver un camp de base pour l'Euro 2016 pour avancer et continuer à voir plus loin. La vie ne s'arrête pas là, on a encore faim et on continue à régler tous les détails pour être performants.

Le plus dur est-il à présent de confirmer ?
On doit toujours confirmer ! Ça dépend de quelques facteurs, il y a la méforme, les blessures… On n'a pas un noyau à 70-80 joueurs, mais plutôt autour de 30-35. Nous avons de bons éléments de la sélection Espoirs que nous essayons d'intégrer dans l'équipe A. En tous cas, il faut s'arracher pour se qualifier. Cela fait plus de 30 ans que nous ne nous sommes pas qualifiés pour un Euro et qu'on n'a pas enchaîné deux tournois consécutifs. Donc je sais que ça sera difficile. Après, pendant un tournoi, c'est une question de moment. Ça peut basculer sur rien. L'Allemagne aurait pu être éliminée contre l'Algérie, qui a eu trois occasions et ne les a pas mises. Moi, je veux nous qualifier pour l'Euro, ça serait déjà quelque chose d'unique. Mais nous aurons l'ambition d'y faire mieux. Après un quart de finale de Coupe du Monde, atteindre une demi-finale de l'Euro serait exceptionnel.

Avoir autant de talents à votre disposition doit rendre la vie d'un sélectionneur facile. Mais cela ne la rend-elle pas parfois plus compliquée ?
On oublie une chose : regardez le noyau de l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie ou la France. Ils n'ont rien à nous envier. Il y a beaucoup d'autres équipes qui ont du talent. Ça se joue à la volonté et, comme je dis toujours "à la douleur du mal". Il faut s'arracher jusqu'à la limite, et c'est ce que mes joueurs ont réussi à faire, malgré leur talent... Le travail et le collectif, ce sont aussi des grandes qualités. Moi, avec 11 talents, je n'y arrive pas. Mais avec un bon collectif, je vais y arriver. Surtout avec un banc qui pense comme ça. Donc si on a un groupe qui continue à penser comme ça, on va avoir des résultats.. Mais si on ne pense qu'à soi même et à son talent... Le talent ne suffit pas. Il y a le travail et le professionnalisme qui doivent venir avec. Il faut bien connaître tous les détails de son métier. Et puis il y a l'expérience qui demande du temps. Cette génération en a, on en a pour sept-huit ans.

Comment voyez-vous l'évolution du jeu des Diables Rouges ?
Nous sommes repartis à la base pour avoir une assise défensive solide. Nous avons pris très peu de buts. Du coup, le regard des adversaires à changé. Ils nous attendent et essaient de nous prendre en contre-attaque. La philosophie a changé. La Belgique prend le jeu en main, elle est ambitieuse, elle avance sur l'adversaire. 

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Message par rachid_as Mar 23 Déc - 18:06

Paraguay, Díaz : "Un des moments les plus heureux de ma vie"

International -News (Part 2) - Page 24 2024273_FULL-LND

À toute vitesse, comme lorsqu'il enfilait les buts sous les maillots de River Plate, de l'Inter Milan, de la Fiorentina ou encore de Monaco : ainsi a commencé le mandat de Ramón Ángel Díaz à la tête de la sélection paraguayenne, qui cherche à se racheter après avoir tenté en vain – et à la surprise générale – de se qualifier pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™.

Après avoir débuté comme entraîneur il y a presque 20 ans, le nouveau patron de l'équipe du Paraguay sort d'une année 2014 où il a été comblé sur le plan sportif, grâce au titre décroché sur le banc de River Plate, ainsi qu'au niveau personnel, avec la naissance de son deuxième petit-fils, Adriano, ou "l'héritier", comme il aime l'appeler. À 55 ans, Ramón Díaz affirme au micro de FIFA.com qu'il a désormais "le calme et le savoir-faire nécessaires" pour réussir à son nouveau poste.

À son arrivée au Paraguay, l'entraîneur le plus titré de l'histoire de River Plate a immédiatement mis le pied à l'étrier. Il a rencontré la presse, s'est entretenu avec le sélectionneur qu'il a remplacé, et a même changé l'hôtel dans lequel résidera l'Albirroja lors de la Copa América 2015 au Chili. "Nous voulons que les joueurs se sentent à l'aise, dans un environnement qui soit à la hauteur de cette sélection", explique-t-il dans un entretien exclusif au cours duquel il révèle ce qui l'a séduit dans cette nouvelle proposition, ce que cela impliquera d'affronter l'Argentine en 2015, et la différence de dynamique selon qu'on entraîne un club ou une sélection nationale.

Ramón, vous avez reçu un certain nombre de propositions après avoir gagné un nouveau titre avec River Plate en 2014. Qu'est-ce qui vous a séduit dans l'offre du Paraguay ?
Le fait d'entraîner une sélection vous donne du prestige au niveau mondial. C'est un beau défi, le plus important qui existe. Je crois que le Paraguay possède les joueurs pour former une équipe d'un très bon niveau. Voilà pourquoi j'ai accepté cette offre, même si j'ai eu des propositions de plusieurs clubs.

Comment peut-on expliquer qu'une équipe aussi habituée à disputer la Coupe du Monde ait été absente de Brésil 2014 ?
Il est difficile d'expliquer pourquoi le Paraguay a terminé dernier des qualifications mais en même temps, nous ne sommes pas ici pour fournir des explications. Aujourd'hui, la seule chose qui nous intéresse est l'avenir et pour cela, il faut planifier avec beaucoup de précision. Nous devons profiter de l'expérience collective des joueurs paraguayens. J'ai déjà rencontré beaucoup de gens pour être informé le mieux possible non seulement sur le football paraguayen, mais aussi sur les coutumes et l'adaptation au pays. Nous sommes sur la bonne voie. Je suis persuadé que tout cela va porter ses fruits.

Vous avez la réputation de très bien savoir motiver vos troupes. De ce point de vue, en sélection, le coach passe moins de temps avec ses joueurs qu'en club. Comment allez-vous relever ce défi ?
Notre équipe technique va être en contact permanent avec les joueurs. Nous allons leur envoyer des vidéos pour qu'ils sachent ce que nous attendons d'eux et se familiarisent avec la façon dont nous voulons jouer. Avec les moyens technologiques actuels, nous pouvons suivre nos internationaux en temps réel et en permanence. Et puis, nous avons des gens suffisamment compétents, au sein de l'équipe technique, pour faire savoir aux joueurs ce que nous attendons d'eux et pourquoi nous les avons sélectionnés. Nous faisons attention au moindre détail.

Concernant les relations avec la presse, Ramón Díaz va-t-il conserver la verve que nous lui connaissons ou adoptera-t-il un profil plus bas ?
Non, non… Être sélectionneur de l'équipe nationale n'a rien à voir avec la gestion d'une équipe de club. Là, vous représentez un pays. Il faut assumer cette responsabilité avec calme.

La sélection paraguayenne est connue de longue date pour son efficacité défensive. À partir de là, allez-vous vous concentrer sur le travail offensif, d'autant plus que vous êtes vous-même un ancien buteur (ndr : Ramón Díaz a marqué plus de 220 buts au cours de sa carrière) ?
Le football a beaucoup changé. Aujourd'hui, on travaille dans toutes les lignes pour que l'équipe possède une structure et un fonctionnement solides. C'est ce que je veux : une équipe solide et fiable. Au vu de la quantité de joueurs que nous avons en Europe, je n'ai aucun souci à ce sujet.

Pouvez-vous d'ores et déjà nous donner quelques noms ?
Il y en aura beaucoup de l'étranger mais pour l'instant, nous sommes dans une phase de supervision. Il est important de mettre sur pied une structure valable pour aujourd'hui, mais également pour demain. Il y a beaucoup de jeunes joueurs intéressants qui vont disputer le Sudamericano U-20 et les qualifications pour les Jeux Olympiques. Nous allons les suivre et les soutenir, en espérant qu'ils réussissent un grand tournoi.

Vous venez d'évoquer le fait que le football avait beaucoup changé ces dernières années. Avec aussi peu de temps de travail, allez-vous essayer de reproduire votre système avec une défense à trois ?
Lors de la dernière Coupe du Monde, pratiquement aucune équipe n'a joué avec trois défenseurs. Dans le football actuel, il y a beaucoup de dynamisme et de pression. Pour maîtriser la défense à trois, il faut du travail et du temps, ce dont justement nous manquons en sélection. Pour la Copa América, j'espère pouvoir disposer des joueurs 35 à 40 jours avant le coup d'envoi de la compétition. Il n'y a que comme ça que l'on peut espérer avoir un système bien au point.

Dans cette Copa América, vous allez affronter l'Argentine. Ce match représente-t-il quelque chose de spécial pour vous ?
C'est l'une des meilleures équipes du monde. Il nous reste six mois pour travailler et construire une structure solide. Ce sera un match important. Notre objectif sera de nous qualifier pour le tour suivant.

Vous allez défier la sélection de votre propre pays. C'est quand même quelque chose de particulier, non ?
C'est sûr que les attentes vont être énormes, principalement parce que sur le banc paraguayen il y aura l'un des entraîneurs les plus titrés du football argentin. Je crois que le public argentin est impatient de voir comment je m'en sors.

Quelle sera la plus grande priorité de votre mandat. Il y aura deux Copas América et une Cou…
(Il interrompt) La qualification pour la Coupe du Monde ! C'est l'objectif principal du football paraguayen tout entier : les joueurs, le sélectionneur, les dirigeants. Nous allons travailler comme des fous pour y arriver.

Comme entraîneur, vous avez obtenu des résultats spectaculaires en Argentine, mais pas à l'étranger. Est-ce le moment de le faire ?
Certainement, oui, aussi bien sur le plan professionnel que familial. J'ai l'expérience et le calme nécessaire et les choses se passent très bien depuis un certain temps. L'année 2014 a été formidable et m'a apporté beaucoup de bonheur, à moi et à toute la famille. Tout cela se reflète dans mon travail.

Quel est donc votre vœu le plus cher en cette fin d'année ?
Mon premier souhait est que le Paraguay se qualifie pour les Jeux Olympiques de 2016. Nous allons tout faire pour que cela arrive. Ensuite, je souhaite que nous soyons tous en bonne santé. C'est tout ce que je demande, pour continuer de travailler dans un domaine qui me plaît et me passionne. Le football n'a pas d'égal.

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Message par rachid_as Mar 23 Déc - 18:07

Suède, Ibrahimovic : "Être deuxième, "c'est comme être dernier"

International -News (Part 2) - Page 24 2492472_FULL-LND

L'attaquant vedette du Paris SG Zlatan Ibrahimovic a exprimé mardi son mécontentement après avoir été classé deuxième meilleur sportif suédois de l'histoire, après le tennisman Björn Borg, par un quotidien suédois.

"Arriver deuxième, c'est comme être dernier", a réagi Ibrahimovic par l'intermédiaire d'un porte-parole, Mika Lepistö, auprès du quotidien Dagens Nyheter.

Selon lui, il devrait occuper les cinq premières places du classement.

Ibrahimovic a toutefois reconnu que Borg, vainqueur de 11 tournois du Grand Chelem et N.1 mondial 109 semaines entre 1979 et 1981, était "une légende vivante".

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Message par rachid_as Mer 24 Déc - 17:29

Mexique : Ronaldinho menacé d'exclusion par son club

International -News (Part 2) - Page 24 2439286_FULL-LND

L'ex-star du Brésil Ronaldinho est menacé d'exclusion par son club mexicain, Queretaro, s'il ne revient pas au plus vite de vacances pour disputer la deuxième partie de la saison, a déclaré mardi le président des "Coqs blancs".

L'ancien joueur du Paris SG, de Barcelone et de l'AC Milan a obtenu l'autorisation de se rendre aux États-Unis et au Brésil pour régler des affaires personnelles entre la fin du tournoi d'ouverture 2014 et le début du tournoi de clôture 2015, le 11 janvier.

Mais le Brésilien aurait dû revenir il y a deux semaines. Entre-temps, Queretaro a commencé sans lui sa préparation, le 8 décembre, et disputé plusieurs matches amicaux, le dernier mardi contre Guadalajara.

"Si Ronaldinho n'arrive pas la semaine prochaine, nous prendrons une décision. Il a déjà manqué une grande partie de la présaison et personne n'est au-dessus de l'institution", a prévenu le directeur sportif du club Joaquin Beltran.

Le président Arturo Villanueva a assuré que si Ronaldinho ne se présentait pas à temps, il préférerait "prendre quelqu'un d'autre".

Ronaldinho, 34 ans, avait créé la surprise en septembre en signant pour deux saisons pour le modeste club mexicain. Il a marqué trois buts et donné une passe décisive en neuf matchs disputés lors du tournoi d'ouverture.

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Message par rachid_as Sam 27 Déc - 16:55

Etats-Unis : Klinsmann à la recherche du Messi américain

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En prenant ses fonctions de sélectionneur des États-Unis il y a trois ans, Jürgen Klinsmann avait promis du changement. Les mots "action" et "réaction" revenaient souvent dans son discours, mais l'ancien international allemand a poussé sa réflexion plus loin. "Peut-être trouverons-nous quelqu'un par hasard, en train de jouer dans la rue. Il y a peut-être un Messi qui se cache quelque part aux États-Unis. Qui sait ?"

Ses propos n'étaient pas uniquement destinés à alimenter le débat. Klinsmann n'a négligé aucune piste pour tenter de dénicher la perle rare. Le territoire des États-Unis couvre près de dix millions de kilomètres carrés. Si les talents du calibre de Lionel Messi restent exceptionnellement rares, il serait bien étonnant qu'une telle superficie n'abrite pas quelques joueurs au potentiel inexploité.

Dans un pays de plus de 300 millions d'habitants, un sélectionneur peut légitimement espérer découvrir des footballeurs qui possèdent d'autres qualités que le sens du sacrifice ou un mental de guerrier. Pendant des décennies, les footballeurs américains se sont trop souvent résumés à ces deux clichés.

Universités et D2
Au cours de son mandat, Klinsmann a convoqué un nombre impressionnant d'internationaux. Deux joueurs illustrent parfaitement la volonté du sélectionneur d'élargir ses horizons. Miguel Ibarra est un attaquant tenace, qui sent parfaitement les coups. Depuis l'élimination des Stars and Stripes en huitièmes de finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, le New-yorkais a déjà participé à deux stages avec l'équipe nationale. Visiblement, Klinsmann ne se soucie guère de savoir que son protégé évolue en North American Soccer League, la deuxième division américaine.

"Son exemple prouve que de nombreux chemins mènent au sommet", explique Klinsmann lorsqu'on l'interroge sur sa décision de sélectionner l'attaquant de Minnesota United. C'est la première fois depuis 2005 que l'on trouve en sélection un international basé aux États-Unis qui ne figure pas en MLS. L'ancien Monégasque a renouvelé l'expérience avec Jordan Morris, étudiant en deuxième année à l'université de Stanford. Ce dernier est devenu à cette occasion le premier universitaire à participer à un stage de la sélection depuis 1995. Rappelons qu'à l'époque, il n'existait pas de grand championnat national aux États-Unis. 

"Nous jugeons les gens sur leur potentiel, en nous basant sur leur talent et leur volonté d'apprendre", explique Klinsmann à propos de Morris. Pour ne pas mettre en péril son statut d'amateur, le néo-international a même dû renoncer au défraiement habituellement versé à tout joueur appelé en équipe nationale. "Certains estiment que cette convocation arrive trop tôt pour Morris, qui est encore à l'université. Nous ne sommes pas de cet avis, car nous considérons qu'il a du potentiel." 

Il faut dire que Klinsmann tient un double rôle. En plus de ses fonctions de sélectionneur national, il officie en tant que directeur technique de la Fédération américaine de football. À première vue, on pourrait penser que les deux positions sont incompatibles : la première est tournée vers les résultats à court terme, tandis que l'autre doit prendre en considération des questions plus complexes et s'inscrire dans la durée.

Nutrition et ambition
Une chose est sûre, Klinsmann n'entend pas se laisser dicter sa conduite. Il a déjà critiqué le niveau de jeu en Major League Soccer. Cet été au Brésil, il n'a pas hésité à se passer des services de Landon Donovan, pourtant présenté comme le meilleur joueur américain de sa génération. À sa place, il a convoqué un jeune méconnu, Julian Green. L'Allemand lance régulièrement des défis aux joueurs qui apparaissent comme les piliers de son équipe : Clint Dempsey, Michael Bradley et Jozy Altidore n'ont pas été épargnés. Personne n'est à l'abri ; il n'y a pas d'intouchables. Parallèlement, le sélectionneur s'est régulièrement tourné vers des footballeurs récemment naturalisés et originaires de Norvège, d'Islande ou d'Allemagne. Il a aussi laissé une place à des professionnels plus âgés comme Chris Wondolowski et Kyle Beckerman, que l'on croyait trop vieux pour faire carrière au niveau international.  

Pendant la Coupe du Monde, Klinsmann a même tenté un invraisemblable coup de poker en replaçant l'attaquant DaMarcus Beasley en défense. Il encourage la pratique du yoga et s'en prend régulièrement aux hamburgers. "Il ne vous viendrait pas à l'esprit de mettre du diesel dans votre Ferrari", avait-il lancé à un journaliste pour illustrer les mauvaises habitudes alimentaires de ses joueurs. 

Sa dernière innovation en date concerne l'élargissement des programmes de formation et de développement. Klinsmann veut voir les joueurs intégrer ces institutions plus tôt, plus vite. Il souhaite mettre en place un réseau de techniciens dans tout le pays, qui seraient ses yeux et ses oreilles pour en scruter les moindres recoins. On peut se demander si ces mesures permettront de découvrir ce Messi américain, qui reste aujourd'hui un mythe. Mais en écoutant Klinsmann, on se dit que rien n'est impossible. "Nous sommes là pour élever encore le niveau. Nous voulons nous mesurer aux meilleurs", a-t-il récemment déclaré, avant d'ajouter que son équipe visait ouvertement une place en demi-finale de Russie 2018.

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Message par rachid_as Dim 28 Déc - 16:04

Mexique : Ronaldinho finalement de retour à Queretaro

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L'ex-star du Brésil Ronaldinho est finalement revenu de vacances pour rejoindre son club de Queretaro, au Mexique, plus de deux semaines après la reprise de l'entraînement, a déclaré samedi le club.

"Ronaldinho vient avec un esprit de revanche et l'objectif de se battre pour le championnat", a dit le président de Queretaro, Arturo Villanueva.

L'ancien joueur du Paris SG, de Barcelone et de l'AC Milan avait obtenu l'autorisation de se rendre aux États-Unis et au Brésil pour régler des affaires personnelles entre la fin du tournoi d'ouverture 2014 et le début du tournoi de clôture 2015, le 11 janvier. Mais il aurait dû revenir depuis plus de deux semaines, ses coéquipiers ayant commencé leur préparation le 8 décembre. "Nous allons discuter avec lui pour voir dans quel état il arrive. L'équipe technique et le préparateur physique vont essayer de le mettre en forme le plus tôt possible", a ajouté le président.

Les "Coqs blancs" reprennent la compétition le 11 janvier.

Ronaldinho, 34 ans, avait créé la surprise en septembre en signant pour deux saisons pour le modeste club mexicain. Il a marqué trois buts et donné une passe décisive en neuf matchs disputés lors du tournoi d'ouverture.

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Message par rachid_as Lun 29 Déc - 22:01

Zico juge l'échec du Brésil logique

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La légende du football brésilien Zico a estimé dans la presse brésilienne lundi que l'échec du Brésil en demi-finale de "son" Mondial-2014 n'était pas un accident de parcours, mais la poursuite d'une dynamique entamée depuis trois Coupes du monde.

"Les gens parlent du 7-1 comme si c'était quelque chose sorti de nulle part mais ça ne l'était pas", a déclaré Zico, cité lundi par le journal brésilien O Globo.

"La vérité, c'est que cela fait déjà trois Coupes du monde que la sélection brésilienne ne tient pas son rang", a ajouté l'ancien N.10 de la Seleçao des années 1970-1980, désormais entraîneur du FC Goa, en Inde. "Tant que les gens continueront à penser que c'était un hasard, rien ne changera. Ce n'est pas possible de continuer à croire, par exemple, que les Brésiliens qui jouent à l'étranger vont arriver en sélection et tout résoudre. Il faut porter plus d'attention à ceux qui jouent au Brésil et au football qu'on pratique au pays."

Le Brésil, quintuple champion du monde, a échoué cet été à domicile dans la quête d'une sixième étoile, humilié 7-1 en demi-finale par l'Allemagne, futur vainqueur du tournoi.

Le dernier titre mondial de la Seleçao remonte à 2002, en Corée du Sud et au Japon.

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Message par rachid_as Lun 29 Déc - 22:01

Argentine : Higuain, Tevez ou Agüero avec Messi, un dilemme pour Martino

International -News (Part 2) - Page 24 1299311_FULL-PRT

Choisir parmi le trio d'attaquants Carlos Tevez, Gonzalo Higuain et Sergio Agüero pour accompagner Lionel Messi lors de la Copa America-2015 est "le grand problème de l'Argentine", a estimé le sélectionneur Gerardo Martino dans la presse argentine lundi.

"Le grand problème de l'Argentine, c'est la qualité des joueurs du milieu de terrain jusqu'en attaque. Si Tevez jouait N.2, Higuain N.6 et Agüero N.9, on aurait une super équipe", a déclaré Martino, cité lundi par le journal argentin Clarin.

Tevez, avec la Juventus, et Agüero, avec Manchester City, sont actuellement les meilleurs marqueurs des championnats italien et anglais, avec respectivement 10 et 14 buts inscrits. A Naples, le compteur d'Higuain affiche sept réalisations.

"A un moment donné, on décidera si les trois viennent ou non, (...) il faut voir comment on cohabite en sachant que certains vont jouer, et d'autres non", a ajouté le sélectionneur. "Les footballeurs doivent comprendre que les joueurs qui ont les mêmes caractéristiques, il est très difficile qu'ils puissent cohabiter tous ensemble dans une même équipe."

L'Argentine figure dans le groupe B de la Copa America-2015 (du 11 juin au 4 juillet 2015 au Chili), aux côtés de l'Uruguay, du Paraguay et de la Jamaïque.

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Message par rachid_as Mer 31 Déc - 10:44

Match amical
Milan arrête la série du Real


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L'AC Milan a mis fin à une série de 22 victoires consécutives -toutes compétitions confondues- du Real Madrid en s'imposant 4 à 2 en match amical, mardi à Dubaï, grâce à un doublé de son "petit pharaon" El Shaarawy.

Devant quelque 45.000 spectateurs ravis de cette affiche de gala, dont le Serbe Novak Djokovic, N.1 mondial de tennis, c'est Jérémy Ménez qui a ouvert la marque pour les Milanais. Seul devant le gardien Keylor Navas, préféré à Casillas, le Français a été idéalement servi par Bonaventura (24e). El Shaarawy a doublé la mise sept minutes plus tard d'un tir à ras de terre.

Et à la grande joie des spectateurs, c'est Cristiano Ronaldo en personne qui a réduit le score. Lancé par Jesé, CR7 a glissé le ballon entre le gardien Diego Lopez et le poteau après avoir devancé la sortie de Zapata (35e).

Mais c'est bien Stephan El Shaarawy qui a été l'homme du match: il a réussi son doublé (49e) en battant Casillas, entré à la place de Navas en même temps que Benzema, Bale, Pepe et James Rodriguez, qui a remplacé Ronaldo.

En dépit de ces changements, le Real ne parvenait pas à déstabiliser la défense milanaise. Et c'est même Giampaolo Pazzini, d'une tête parfaitement ajustée, qui a porté le score à 4-1 (74e)!

Les Madrilènes, visiblement encore en vacances, ont quand même profité du relâchement des Milanais pour réduire le score sur un penalty de Benzema (84e). Mais, en dépit des tentatives de Bale ou James, les champions d'Europe n'ont pas réussi à marquer d'autres buts.

Le Real, qui reprendra la Liga dimanche prochain à Valence, avait remporté le Mondial des clubs en battant 2-0 les Argentins de San Lorenzo en finale. Les Madrilènes sont toujours en tête du Championnat d'Espagne, avec un point de plus que le FC Barcelone et un match en retard à disputer face au FC Séville, le 4 février.

Pour sa part, l'AC Milan n'est que 7e du Championnat d'Italie, où il affrontera Sassuolo le mardi 6 janvier pour le compte de la 17e journée.

Fifa.com (30/12/2014)
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Message par rachid_as Mar 6 Jan - 15:46

Mexique : Cvitanich, de Nice, à Pachuca

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L'attaquant argentin Dario Cvitanich, absent de la reprise à Nice, a rejoint Pachuca au Mexique, six mois avant l'échéance de son contrat, a annoncé lundi le club mexicain.

"Dario revient à Pachuca et est le troisième renfort des Tuzos pour le tournoi de clôture 2015", a annoncé sur son compte Twitter le club mexicain, éliminé en quarts de finale de l'actuel tournoi d'ouverture, et où Cvitanich a joué de 2010 à 2011.

Passé par Boca Juniors et l'Ajax Amsterdam, Cvitanich, 30 ans, a disputé 73 matches sous les couleurs niçoises depuis son arrivée en 2012 pour 32 buts inscrits.

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Message par rachid_as Mar 6 Jan - 15:47

Etats-Unis : Yedlin en excès de vitesse

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Dans le football, la technique est irremplaçable. Mais si elle l'était, un bon substitut serait la vitesse. Chaque description du latéral droit américain DeAndre Yedlin débute immanquablement par cet attribut. Un corner pour Seattle Sounders ne donne rien. Pire, il permet à Philadelphia Union de lancer une contre-attaque dont le scénario semble déjà tout écrit : remontée fulgurante du terrain et but. Yedlin, fautif sur le corner, décide alors de mettre les gaz pour rattraper son erreur...

Le contre est déjà lancé et Cristian Maidana possède 15 mètres d'avance sur l'arrière droit de Seattle. Comme dans les films où l'image est accélérée, Yedlin revient vers son camp à toutes jambes, dépasse l'Argentin, ratisse le ballon et le passe calmement à un coéquipier. Pas de tacle désespéré ni de faute. Dès le début de sa course, Yedlin savait que sa pointe de vitesse lui permettrait de réaliser son intervention.

Jürgen Klinsmann n'est évidemment pas resté insensible aux qualités de sprinter de l'Américain. Lui-même extrêmement rapide lorsqu'il évoluait au poste d'avant-centre, l'actuel entraîneur des États-Unis a un point faible pour les joueurs qui savent débouler dans les couloirs. Quand il était sélectionneur de son Allemagne natale lors de la Coupe du Monde 2006, Klinsmann avait ainsi fait confiance au latéral droit David Odonkor, alors quasiment inconnu sur la scène mondiale. Certes, Odonkor manquait d'habileté technique et la suite de sa carrière s'en ressentira. Mais lors d'Allemagne 2006, sa performance générale contre la Pologne a largement contribué à permettre au pays hôte d'éviter une élimination dès le premier tour.

Tout va très vite
En lisant le nom de Yedlin dans la liste des 23 Américains annoncée par Klinsmann en vue de Brésil 2014, personne en dehors des fans de Seattle, ne parvenait à mettre un visage sur ce patronyme. Les journalistes le décrivaient en général comme un joueur rapide, avec un gros potentiel, mais pas encore prêt pour la compétition suprême du football mondial. "Cela peut vous surprendre, mais je ne l'ai pas convoqué comme remplaçant. Je compte sur lui et en particulier sur sa vitesse", justifiait déjà Klinsmann.

Au coup d'envoi de Brésil 2014, Yedlin, tout juste 21 ans, avait à son actif deux sélections et moins d'une saison dans le football professionnel. "Tout est arrivé très vite", raconte Yedlin au micro de FIFA.com. Entré en cours de jeu face au Portugal, il adresse une passe décisive à Clint Dempsey. Dans la tempête de Recife contre l'Allemagne, future championne du monde, il est à deux doigts de reproduire sa prouesse. Après avoir remplacé Fabian Johnson, blessé, dans le huitième de finale contre la Belgique, Yedlin fera parler sa puissance physique pour neutraliser Eden Hazard.

"J'aimerais tant pouvoir revivre tout cela", ajoute Yedlin au sujet de la Coupe du Monde 2014. "Ce sont des moments qui resteront avec moi toute ma vie. Dans l'ensemble, nous avons fait une assez bonne Coupe du Monde, mais il est évident que nous avions les moyens d'aller plus loin. Cela dit, c'est un souvenir qui reste très positif. J'ai énormément appris en tant que joueur pendant ce tournoi."

Adaptation rapide
Et le monde en a appris beaucoup sur lui. Sa débauche d'énergie mais également sa coiffure, angulaire et fendue d'une bande blonde, ne pouvaient laisser insensible. Né à Seattle, dans le nord-ouest des États-Unis, Yedlin a été élevé par ses grands-parents. Sa mère avait 19 ans moment de sa naissance et son père était absent. Ses racines sont à la fois indiennes d'Amérique, afro-américaines, lettones et dominicaines. Enfant, il allait voir son oncle jouer au foot dans un championnat amateur.

Un mois après la Coupe du Monde, Mauricio Pochettino, entraîneur de Tottenham, décide de s'attacher les services du produit du centre de formation des Sounders. "Il est jeune et possède un potentiel prodigieux", estime l'Argentin au sujet de sa nouvelle recrue, dont la traversée de l'Atlantique sera retardée de plusieurs mois en raison des démarches administratives liées à la délivrance de son permis de travail. "Il est important de lui donner le temps de s'adapter à son nouvel environnement, sur le terrain comme en dehors", précise Pochettino, lui aussi séduit par la vitesse de Yedlin, classé au 20ème rang en termes de vitesse sur les milliers de footballeurs professionnels figurant dans la dernière édition du jeu vidéo d'EA Sports sous franchise de la FIFA.

Bientôt, les aptitudes défensives de Yedlin vont être mises à rude épreuve en Premier League anglaise. Mais le jeune Américain espère rapidement prendre ses marques. "Rapidement", justement, c'est sa spécialité.

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Message par rachid_as Mer 7 Jan - 15:28

L’Italie de la renaissance à la révolution

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La révolution offensive prônée par Cesare Prandelli avant la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™ devait permettre à l’Italie de tourner définitivement le dos au catenaccio et de négocier le virage de la modernité. Mais une élimination précoce en phase de groupes, la seconde consécutive, a démontré que le mal du football italien était plus profond.

La nouvelle option offensive n'a pas encore été totalement assimilée alors que plusieurs grands clubs de la botte sont loin d'adhérer aux demandes du commissaire technique. Ainsi, depuis sa prise de fonction Antonio Conte, confronté à un changement générationnel, procède à une politique forcée de rajeunissement tout en déplorant le peu de places que les clubs de Serie A accordent aux jeunes. "La qualité technique et individuelle de nos joueurs est en baisse", estime le capitaine Gianluigi Buffon. Carlo Ancelotti, en fin connaisseur du football italien, module en soulignant : "D'un point de vue technique, nous ne sommes pas mauvais. Mais si tous les autres pays progressent, pas nous".

Il ressort de ces deux témoignages que la page des années dorées du football italien, aussi bien pour les clubs que pour la Nazionale, est définitivement tournée. C'est flagrant au niveau des clubs qui, pour des raisons essentiellement financières, n'ont pas pu - ou su - suivre l'extraordinaire croissance des formations allemandes, anglaises et espagnoles avec qui ils traitaient d'égal à égal il y a dix ans à peine. Au classement UEFA des clubs sur les cinq dernières années, l'Italie ne compte qu'un seul représentant dans les 20 premiers avec l'AC Milan... 20ème. Par ailleurs sur les 464 joueurs qualifiés dans les 20 équipes de Serie A, 206 sont des étrangers. "On m'a reproché de n'avoir sélectionné aucun titulaire en attaque en Serie A à part Simone Zaza, mais tous les attaquants de Serie A sont des étrangers", déplore Antonio Conte.

Trancher dans le vif

Mais, face au pressing de Conte, les choses commencent à bouger. Pour inciter les clubs italiens à investir dans la formation au lieu de faire appel à des joueurs étrangers, le conseil fédéral a tranché dans le vif. Les clubs de Serie A ne pourront désormais compter que 25 professionnels, dont quatre issus de leur centre de formation et quatre autres formés et ayant grandi en Italie. "L'objectif est très clair. Il s'agit de redonner force et prestige au ‘club Italie’ qui est l'image du pays", précise le Président de la Fédération Carlo Tavecchio en annonçant que "2015 sera l'année de la réforme qui permettra de ramener de 20 à 18 le nombre des clubs en Serie A". Selon la formule actuelle, le prochain championnat se terminerait le 22 mai 2016, soit 19 jours à peine avant le début du prochain UEFA EURO, un record négatif de temps pour préparer un grand rendez-vous.

Autre point épineux, le problème des stages que Conte voudrait imposer pour éviter une trop longue période de latence entre deux rencontres de la Nazionale. Or, des clubs puissants comme la Juventus, l’AS Rome ou Naples y sont opposés. "Tout le monde est d'accord sur le fait que le moment est difficile et qu'il est nécessaire de changer. Mais, quand tu te tournes, tu te retrouves seul. Un homme seul ne peut jamais rien faire tout seul. J'ai besoin d'un club, en l'occurrence d'une fédération, qui me soutienne", insiste le Mister.

Remettre l'Italie à sa place
Enfin, la révolution aura aussi lieu sur le plan technique. Après la déconvenue brésilienne, la Nazionale a abandonné le 4-3-3 au profit d'un 3-5-2 qui a fait les beaux jours de la Juventus et redonné verticalité et équilibre à l'équipe. Conte, qui n'a pas l'habitude de faire dans la diplomatie, insiste sur la nécessité "d'être humble, d'apprécier le travail, la fatigue sans lesquels on ne devient jamais un champion. Des choses qui ont un peu disparu en Italie".

Le nouvel homme-clé de la mutation en cours mise ainsi sur une jeunesse prometteuse, en ayant fait débuter en Nazionale plus d'une dizaine de joueurs, et n'hésite pas à laisser de côté des stars capricieuses en précisant : "J'évalue les joueurs mais aussi les hommes. J'ai besoin de gens qui ont faim (fame) et non pas juste leur réputation (fama)", lâche-t-il en jouant sur la nuance entre les deux mots dans la langue de Dante.

Avec trois victoires et un nul, l'Italie est co-leader de son groupe de qualification avec la Croatie. "Je n'ai jamais eu peur des défis et je suis convaincu que nous réussirons à nous relever, car la place de l'Italie est dans les tout premiers au monde", conclut-il en patron d’une révolution qui a pour but non pas de changer les choses, mais de les remettre à leur place...

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Message par rachid_as Ven 9 Jan - 11:57

Iran, Ghoochannejhad : "Pas de pression, mais un honneur"

International -News (Part 2) - Page 24 2385418_FULL-LND

Quand le sélectionneur de l'Iran Carlos Queiroz a appelé durant l'année 2012 l'attaquant Reza Ghoochannejhad pour lui parler de la sélection triple championne d'Asie, sa réponse a été claire et directe : "Pas besoin de rappeler, je veux jouer pour l'Iran".

Ghoochannejhad, qui a joué pour les équipes de jeunes des Pays-Bas, n'a pas regretté cette décision instantanée. Il a qualifié son pays pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™ en inscrivant plusieurs buts décisifs, dont celui de la victoire dans le dernier match face à la République de Corée. Au Brésil, il a disputé les trois rencontres de son équipe et inscrit le seul but iranien.

Il a ensuite largement contribué à la qualification de la Team Melli pour la Coupe d'Asie des Nations de l'AFC, Australie 2015, en terminant meilleur buteur des qualifications. FIFA.com a rencontré l'attaquant de 27 ans et l'a interrogé sur son expérience au Brésil, l'honneur de représenter son pays et ses projets d'études en droit.


Reza, que pensez-vous des performances de l'Iran à la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014 ?
Notre qualification tenait du miracle et tout le monde était content d'aller au Brésil. On n'attendait pas grand-chose de nous compte tenu de notre groupe. Mais nous avons bien joué, en particulier contre l'Argentine. Nous avons montré au monde le vrai niveau de la sélection iranienne, malgré la défaite. De nombreux messages de soutien nous sont parvenus du monde entier et j'espère que nous continuerons sur notre lancée en Coupe d'Asie.

Vous avez inscrit le seul but de l'Iran à Brésil 2014 dans le dernier match, face à la Bosnie-et-Herzégovine…. Quels souvenirs en gardez-vous ?
C'est un autre rêve qui s'est réalisé sans que j'en prenne conscience sur le coup. Nous sommes ainsi revenus à 1:2 avec l'espoir d'égaliser puis de l'emporter, pour continuer notre aventure. Malheureusement, nous avons marqué trop tard. C'est déjà exceptionnel de participer à la Coupe du Monde, mais y marquer un but est réservé à un petit nombre de joueurs. Je suis très fier de cette expérience.

L'Iran va débuter la Coupe d'Asie le 11 janvier prochain. Qu'attendez-vous de cette compétition, que votre pays a déjà remportée trois fois ?
La Coupe d'Asie sera différente de la Coupe du Monde au niveau des attentes, car nous sommes classés premiers au niveau continental et les supporters iraniens nous attendent au tournant. Nous devons faire notre devoir sans penser à la pression. Nous avons bien travaillé depuis un an et j'espère que nous allons encore progresser. Il faudra gagner le premier match face à Bahreïn. Je crois beaucoup en notre staff technique et en Carlos Queiroz, qui possède beaucoup d'expérience. Nous allons réussir avec lui.

L'Iran est tombé dans un groupe composé de trois équipes d'Asie occidentale : Bahreïn, le Qatar et les Émirats Arabes Unis. Que pensez-vous de ce groupe ?
Personnellement, cela ne change pas grand-chose pour moi. Nous rentrons de la Coupe du Monde, où nous avons affronté de grandes équipes et nous n'aurons donc pas d'excuses. L'important, c'est d'être bien concentré durant ces trois rencontres et d'obtenir des résultats positifs. Il faut respecter nos adversaires et faire notre travail.

Vous évoluez au Koweït et nombre de vos collègues jouent également dans le Golfe. Est-ce un avantage ?
Assurément. Le football est différent dans le Golfe de ce qu'il est en Europe et mes cinq mois au Koweït m'ont permis de m'acclimater. C'est un atout de posséder plusieurs joueurs évoluant dans cette région. Les trois équipes de notre groupe sont issues du Golfe, nous savons donc à quoi nous attendre. J'espère que nous tirerons partie de cette expérience sur le terrain.

Vous avez terminé meilleur buteur des qualifications pour la Coupe d'Asie 2015. Cela vous met-il la pression pour terminer à la même place en Australie ?
Il ne s'agit pas de pression mais plutôt d'un honneur de jouer pour mon pays. Aider l'équipe en marquant, en faisant des passes décisives ou en jouant bien me suffit. Le plus important est de se qualifier pour le second tour et de rendre notre public heureux. Que cela se réalise grâce à mes buts ou à ceux de mes coéquipiers, je serai satisfait dans les deux cas.

En dehors du football, vous avez étudié le droit et vous parlez quatre langues. Comptez-vous poursuivre vos études universitaires après votre carrière ?
Je suis resté deux ans en faculté de droit lorsque j'étais aux Pays-Bas, il y a trois ou quatre ans. J'ai toujours envie de faire des études dans ce domaine. La vie ne s'arrête pas au football et il faut essayer d'apprendre chaque jour et de se cultiver. Il est encore trop tôt pour décider de ce que je ferai après le football, car tout va très vite. Entre les qualifications pour la Coupe d'Asie, la Coupe du Monde et la Coupe d'Asie, cette année aura été très chargée. J'ai beaucoup de choses sur mon agenda et je profite de chaque instant. Une fois les crampons raccrochés, je prendrai le temps de la réflexion sur mon avenir.

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Message par rachid_as Lun 12 Jan - 16:23

La Hongrie perd Buzanszky

International -News (Part 2) - Page 24 2315770_FULL-LND

Jeno Buzanszky, le dernier survivant de la fameuse équipe de Hongrie qui atteignit la finale de la Coupe du monde en 1954, est mort dimanche à l'âge de 89 ans, a rapporté le magazine de football Four-Four-Two.

Défenseur latéral droit, Buzanszky avait porté 49 fois le maillot de la Hongrie aux côtés des légendaires Ferenc Puskas et Sandor Kocsis, dans une équipe qui avait ébloui le monde du football dans les années 1950.

Grands favoris du Mondial-1954, les Magyars s'étaient toutefois inclinés en finale contre l'Allemagne de l'Ouest (3-2). Ce fut leur seule défaite en six ans, entre 1950 et 1956.

Buzanszky était présent à Wembley lorsque la Hongrie avait infligé à l'Angleterre la première défaite à domicile de son histoire contre une équipe continentale, 6 buts à 3, en 1953. Il avait aussi gagné la médaille d'or olympique à Helsinki en 1952.

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Message par rachid_as Ven 16 Jan - 20:05

Inde : Constantine à nouveau sélectionneur

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L'entraîneur anglais Stephen Constantine a été nommé pour la deuxième fois à la tête de la sélection indienne, 171e nation au classement de la FIFA, a annoncé vendredi la Fédération indienne de football (AIFF).

Constantine, qui avait déjà entraîné l'Inde de 2002 à 2005, réussissant à hisser la sélection au 109e rang, la meilleure performance de la sélection, succède au Néerlandais Wim Koevermans, démissionnaire après une défaite contre la Palestine (3-2), en match amical en octobre 2014.

Le technicien anglais, âgé de 52 ans, qui doit entrer en fonction en février, était le sélectionneur du Rwanda, après avoir entraîné les clubs chypriotes de l'Apep Pitsilia et du Nea Salamina Famagouste.

Le football connaît un accroissement de sa popularité en Inde, le pays du cricket roi, dans le sillage de l'Indian Super League (ISL). Bâtie sur le modèle de la ligue indienne de cricket, l'ISL a réuni huit franchises établies dans de grandes villes et dotées chacune d'une recrue étrangère de dimension internationale, disputant un mini-championnat sur deux mois.

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Message par rachid_as Lun 19 Jan - 18:36

Allemagne : Vogts opéré du coeur

International -News (Part 2) - Page 24 2306467_full-lnd

L'ancien sélectionneur de l'équipe allemande de football Berti Vogts a été opéré d'une valve cardiaque, intervention prévue de longue date, a annoncé lundi la Fédération allemande de football (DFB) dans un communiqué.

Champion d'Europe avec la Nationalmannschaft en 1996, Berti Vogts (âgé de 68 ans) a expliqué qu'il se sentait bien après l'opération, dans un hôpital universitaire à Tübingen (près de Stuttgart dans le sud-ouest de l'Allemagne).

Egalement sélectionneur de l'Ecosse (2002-2004) et du Nigeria (2007-2008), l'Allemand a démissionné de son poste de sélectionneur de l'Azerbaïdjan en octobre, après une sévère défaite contre la Croatie (6-0) en match de qualification pour l'Euro-2016.

L'entraîneur, champion du monde en 1974 avec l'Allemagne en temps que joueur, a toutefois révélé qu'il était "proche de signer un nouveau contrat" sans préciser le nom de l'équipe ou de la sélection, et qu'il regardait "de l'avant, vers de nouveaux défis".

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Message par rachid_as Mer 21 Jan - 16:18

La retraite pour Trezeguet ?

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L'attaquant franco-argentin David Trezeguet a décidé de prendre sa retraite sportive et pourrait rejoindre l'encadrement de la Juventus Turin, a annoncé mardi le quotidien argentin Clarin.

Trezeguet, champion du monde et d'Europe avec la France, "met un terme à sa carrière à 37 ans, malgré l'intérêt du club de Majorque" (Baléares, Espagne), écrit le site internet du journal.

"L'information a été confirmée par son agent ce mardi (...) Dans les prochains jours il pourrait se rendre en Italie, où la Juventus lui aurait proposé un poste dans l'encadrement", ajoute Clarin.

Trezeguet, qui a passé dix ans à la Juve de 2000 à 2010, avait accédé au statut international à Monaco au cours des cinq saisons précédentes, club avec lequel il avait effectué ses débuts en D1 après un essai infructueux au Paris SG.

Formé au club argentin de Platense, "Trezegol", né à Rouen de parents argentins (son père était joueur professionnel dans cette ville), a inscrit 62 buts avec le club monégasque. Il allait en marquer 171 sous le maillot de la Juventus. Puis il a complété son total à Alicante, en Espagne, avant de rentrer "au pays" à River Plate (2012-2013) et Newell's, puis de signer au Pune FC, dans le nouveau championnat indien.

Seul "accroc" à ce parcours de "serial buteur": pas le moindre but inscrit lors de son passage éclair à Bani Yas (3 matches), aux Emirats arabes unis, après Alicante et avant de rejoindre River.

Champion du monde avec l'équipe de France en 1998, avec le culot de ses 20 ans et son accent argentin, il a surtout crevé l'écran en finale de l'Euro-2000 contre l'Italie, avec ce but en or d'une reprise de volée du gauche en pleine lucarne qui offrait le titre continental aux Tricolores.

Il est le troisième meilleur buteur de l'histoire de l'équipe de France (34 buts en 71 sélections), derrière Thierry Henry (51 buts) et Michel Platini (41).

Il se retire avec un palmarès remarquable : champion du monde (1998), champion d'Europe (2000), champion de France (1997, 2000), champion d'Italie (2002, meilleur buteur de Serie A cette même année) et une finale perdue de Ligue des champions en 2003, avec la Juve contre l'AC Milan, vainqueur aux tirs au but (Trezeguet avait manqué le sien !).

L'annonce de sa retraite intervient un peu plus d'un mois après celle de son ami et ancien coéquipier à Monaco et en équipe de France, Thierry Henry.

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Message par rachid_as Mer 21 Jan - 20:04

France : Cinq batailles légendaires du Roi David

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Même les meilleures choses ont une fin. Et pour tous les amateurs de football, français en particulier, la carrière de David Trezeguet en était une très bonne. Débuté dans les petites catégories argentines, d’où est originaire son père, avec le CA Platense, le parcours de l’attaquant a culminé lors de la Coupe du Monde de la FIFA, France 1998™, bouclée le trophée en main, à 20 ans à peine.

Tout autour de cet été inoubliable, on trouve dans le CV de Trezeguet , entre autres, l’UEFA EURO 2000, deux championnats de France avec l’AS Monaco, deux d’Italie avec la Juventus, un passage aussi réussi sur le plan sportif qu’émotif avec River Plate, et une pige indienne au Pune FC pour marquer ses derniers buts. Finalement, la retraite de Trezegol, à 37 ans, est une bonne nouvelle uniquement pour les gardiens de but, qui n’auront plus à faire les frais de sa redoutable efficacité...

Pour rendre hommage à l’un des meilleurs buteurs des 15 dernières années, l’un des ultimes représentants du numéro neuf "à l’ancienne", régnant sur la surface de réparation, toujours au bon endroit au bon moment, FIFA.com revient sur cinq moments-clés de sa carrière.

Coupe du Monde de la FIFA, France 1998

France - Italie 0:0 (4 t.a.b 3), 3 juillet 1998, quart de finale, Stade de France(Saint-Denis)

Après une qualification au but en or contre le Paraguay en huitième de finale, avec une passage décisive de Trezeguet pour Laurent Blanc, la France joue une nouvelle fois avec le feu en quart de finale, avec une dramatique séance de tirs au but contre l'Italie. Après les quatre premiers tirs, les deux équipes sont à égalité. David Trezeguet s'avance pour ce tir décisif face à Gianluca Pagliuca. Très concentré, semblant très serein malgré son jeune âge (20 ans), il prend quatre pas d'élan et place une frappe croisée à ras de terre qui prend le portier à contre-pied. La France se qualifie, et soulèvera le trophée quelques jours plus tard.

UEFA EURO 2000
France - Italie 2:1 (a.p.), 2 juillet 2000, finale, Stade de Feyenoord (Rotterdam)

Les champions du monde se retrouvent en finale de l'UEFA EURO 2000 face à l'Italie. Cette fois, ce sont deux remplaçants qui vont faire la différence. Tout d'abord Sylvain Wiltord, qui arrache l'égalisation à la quatrième minute du temps additionnel de la seconde mi-temps. Une nouvelle fois les Bleus jouent leur destin en prolongation. La délivrance intervient à la 103ème minute. Les protagonistes sont Robert Pires qui, depuis le côté gauche, adresse un centre en retrait dans l'axe où se trouve David Trezeguet. Ce dernier réalise une reprise du gauche de tableau noir et d'une grande pureté. Sa frappe violente qui finit sous la transversale ne laisse aucune chance à Francesco Toldo. Trezegol est devenu la bête noire de la Nazionale.

Coupe du Monde de la FIFA, Allemagne 2006

Italie - France 1:1 (5 t.a.b 3), 9 juillet 2006, finale, Olympiastadion (Berlin)

Encore une fois, David Trezeguet va être le protagoniste d'une finale de grand tournoi, mais un héros malheureux cette fois. La finale de la Coupe du Monde se joue aux tirs au but. Quand arrive le tour de Trezeguet, il se trouve face à son coéquipier de la Juventus, Gianluigi Buffon. En général très efficace dans ce genre d'exercice, Trezeguet se concentre très longuement, comme il n'arrivait pas à se décider, s'il faut ou non changer ses habitudes. Finalement il frappe en force mais le ballon heurte le dessous de la transversale et va rebondir juste devant la ligne de but. Les Bleus ne referont jamais leur handicap…

Italie, Serie A
Livourne 1:3  Juventus, 27 janvier 2008, Stade Armando Picchi (Livourne)

Le Matador a trouvé ses marques à la Juventus, où il va passer dix saisons, de 2000 à 2010, en inscrivant 171 buts en 320 rencontres. Parmi les nombreuses pépites, le but inscrit contre Livourne illustre la complicité qu'il y avait entre Trezeguet et Alessandro del Piero. En pleine domination de la Juventus, les deux hommes se trouvent les yeux fermés et réussissent un audacieux une-deux en pleine surface de réparation. Trezeguet se retrouve seul devant le gardien et gagne son duel en plaçant son ballon au premier poteau alors qu'il avait tout le grand côté ouvert. Mais il avait vu du coin de l'œil le gardien de Livourne se préparer à plonger sur sa droite. L'instinct du buteur…

Argentine, Nacional B

River Plate 2:0 Almirante Brown, 23 juin 2012, Stade Monumental (Buenos Aires)

Dix-sept ans après son départ pour l'Europe, David Trezeguet revient au pays pour se mettre au service de River Plate, qui lutte pour retrouver sa place dans l'élite. Après un an de purgatoire, la montée se joue sur le match retour contre Almirante Brown, les deux équipes ayant fait match nul (1:1) à l'aller. Le Roi David ne va pas faire les choses à moitié en réussissant un doublé. Il frappe une première fois après un incroyable une-deux de la tête avec Rogelio Funes Mori, qui se conclut par une frappe limpide du gauche de 18 mètres à la hauteur du premier poteau. Puis, à la 88ème, toujours sur un service somptueux de Funes Mori, le Français se glisse entre le dernier défenseur et le gardien et expédie le ballon au fond, mais du droit cette fois.

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Message par rachid_as Jeu 22 Jan - 17:32

Pays-Bas : La famille du football soutient Ricksen dans son combat

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On dit souvent que c'est dans le malheur que l'on reconnaît ses vrais amis. Le malheur a frappé à la porte de Fernando Ricksen en 2013, lorsqu'on a diagnostiqué chez lui une sclérose latérale amyotrophique. Depuis, il se bat contre cette maladie cruelle, débilitante et fatale. Ce combat lui a permis de découvrir qu'il avait peut-être plus d'amis qu'il ne le pensait.

Le monde du football a déjà eu l'occasion de montrer qu'il était prêt à soutenir l'ancien international néerlandais. Il en fournira un autre exemple ce 24 janvier, au stade Ibrox de Glasgow, où Ricksen a connu les plus beaux moments de sa carrière sous le maillot des Rangers. Ce jour-là, une rencontre sera organisée en son honneur, à laquelle participeront ses anciens coéquipiers et amis comme Ronald de Boer, Gennaro Gattuso et Arthur Numan, qui formeront un Ibrox XI opposé à un "Fernando's All-Stars XI" composé de Teddy Sheringham, Matt Le Tissier et autres anciennes gloires du football britannique.

L'événement promet d'être à la fois riche et lourd en émotions, pour Ricksen comme pour les fans qui l'ont soutenu au cours des six années riches en trophées passées par le Néerlandais à Ibrox. "C'est un club unique, avec des fans uniques également", confiait l'intéressé, passé également par l'AZ Alkmaar et le Zénith Saint-Pétersbourg, au micro de FIFA.com. "C'est un honneur pour moi d'avoir joué là-bas. Ç'a été dur au début mais au bout d'un moment, j'ai réalisé que le football écossais était fait pour moi. C'est un football dans lequel on se bat et où on n'abandonne jamais !"

Et de poursuivre : "Quand vous allez à Glasgow pour jouer aux Rangers, vous intégrez une famille planétaire, la famille des Rangers. Je sais que j'aurai toujours une place dans leur cœur. Le club, les fans, mes collègues, énormément de gens m'ont contacté pour me témoigner leur amour et leur soutien. C'est quelque chose d'incroyable."

Des Pays-Bas à l'Ecosse en passant par Zurich
Ce soutien va bien au-delà de l'Écosse. En mai dernier, au moment où Ricksen a perdu la faculté de parler – une capacité qu'il a quelque peu retrouvée –, le Fortuna Sittard, son premier club, a organisé un match en son hommage. Ce jour-là, Roy Makaay, Mark van Bommel, Anatoliy Tymoshchuk et Giovanni van Bronckhorst étaient quelques-unes des stars qui ont foulé la pelouse et porté en triomphe, après le coup de sifflet final, un Ricksen en larmes.

La FIFA a elle aussi tendu la main de l'amitié. Le Président de la FIFA a été parmi les premiers à faire part de son soutien à Ricksen après l'annonce du diagnostic. "Continue de te battre, Fernando", a lancé Blatter à l'ancienne star des Rangers. Le Président de la FIFA a également accueilli Ricksen à la Maison de la FIFA plus tard dans l'année et début 2015, le Néerlandais a été invité d'honneur au gala du FIFA Ballon d'Or, une expérience que l'intéressé a décrite comme "unique dans sa vie".

Le Président de la FIFA connaît bien les effets dévastateurs de la sclérose latérale amyotrophique. Son ami Stefano Borgonovo, ancien attaquant de l'AC Milan et de la Fiorentina, en est mort en juin 2013 et sa veuve, Chantal – qui continue de diriger la Stefano Borgonovo Foundation – sera présente dans les tribunes d'Ibrox ce 24 janvier pour encourager Ricksen. Blatter, de son côté, suit de près le combat de Ricksen, auquel il a envoyé plusieurs tweets ce 22 janvier avant le retour du joueur dans son pré carré d'Ibrox.

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Message par rachid_as Lun 26 Jan - 14:24

France : Trezeguet confirme sa retraite

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L'ancien attaquant de l'équipe de France David Trezeguet confirme officiellement sa retraite, à 37 ans, dans une interview à l'Equipe lundi.

"Il est l'heure pour moi d'entamer une nouvelle aventure, en dehors des terrains", confie le Franco-Argentin, champion du monde 1998 et d'Europe en 2000, auteur de 34 buts en 71 sélections avec l'équipe de France. Parmi ses projets, il fait part de son désir de rejoindre l'encadrement de la Juventus de Turin pour laquelle il a joué de 2000 à 2010. "L'idée serait que je participe à la promotion de l'image du club dans le monde", explique-t-il.

Trezeguet, qui a passé dix ans à la Juve, avait accédé au statut international à Monaco au cours des cinq saisons précédentes, club avec lequel il avait effectué ses débuts en D1 après un essai infructueux au Paris SG.

Formé au club argentin de Platense, "Trezegol", né à Rouen de parents argentins (son père était joueur professionnel dans cette ville), a inscrit 62 buts avec le club monégasque. Il allait en marquer 171 sous le maillot de la Juventus. Puis il a complété son total à Alicante, en Espagne, puis à Bani Yas, aux Emirats Arabes Unis, avant de rentrer "au pays" à River Plate (2012-2013) et Newell's, puis de signer au Pune FC, dans le nouveau championnat indien.

David Trezeguet est le troisième meilleur buteur de l'histoire de l'équipe de France (34 buts en 71 sélections), derrière Thierry Henry (51 buts) et Michel Platini (41). Il se retire avec un palmarès remarquable : champion du monde (1998), champion d'Europe (2000), champion de France (1997, 2000), champion d'Italie (2002, meilleur buteur de Serie A cette même année) et une finale perdue de Ligue des champions en 2003, avec la Juve.

L'annonce de sa retraite intervient après celle de son ami et ancien coéquipier à Monaco et en équipe de France, Thierry Henry.

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Message par rachid_as Lun 26 Jan - 14:25

France : Trezeguet, serial-buteur au parfum d'Italie

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David Trezeguet, qui a raccroché ses crampons à 37 ans, restera dans l'histoire de l'équipe de France avec son but en or en finale de l'Euro-2000 contre l'Italie, pays qui l'a fait prince à la Juventus et contre qui il échoua en finale du Mondial-2006.

Trezeguet, c'est d'abord et avant tout un serial-buteur: 307 en 21 ans d'une carrière professionnelle jalonnée de trophées parmi lesquels la Coupe du monde 1998 et ce fameux championnat d'Europe deux ans plus tard, qui confirmait la suprématie de la bande à Zidane, Deschamps et Henry au tournant du XXIe siècle. En 71 sélections avec les Bleus, "Trezegol" a marqué 34 fois, soit une moyenne de quasiment un but tous les deux matches. Un total qui le place derrière Thierry Henry (51) et Michel Platini (41).

Toute la France du football garde en mémoire ce soir d'été du 2 juillet 2000 à Rotterdam et l'image de Trezeguet courant fêter vers tout le banc tricolore, torse nu et larmes d'enfant, sa sublime demi-volée du gauche, de la 102e minute, fatale aux Azzurri (2-1). Lui que l'Italie, probablement plus friande des "renards des surfaces" que la France, a tôt reconnu comme l'immense buteur qu'il était. Pour le grand bonheur de la Juventus de Turin dont il est devenu en dix saisons et 171 réalisations le 5e meilleur buteur de l'histoire et demeure à ce jour le meilleur artilleur étranger.

Histoire de tirs au but
Lui que l'Italie, déjà à ses dépens, avait fait grandir d'un seul coup du haut de ses 20 ans, avec ce tir au but plein de sang froid, réussi en quart de finale du Mondial-1998 au Stade de France. Lui, enfin, que l'Italie, jamais amnésique et toujours rancunière, a fini par faire pleurer de rage et de désespoir, en finale du Mondial-2006, avec l'aide de la transversale qui a repoussé son tir au but et précipité en quelque sorte son déclin en Bleu, à 29 ans seulement.

Si l'Italie n'a jamais été très loin de ses plus grandes joies et de ses plus grandes peines sportives, c'est en Argentine qu'a commencé à s'écrire l'histoire de ce Gerd Muller ou plutôt de ce Mario Kempes à la française, avec lequel il a pour points communs le profil de machine à marquer et d'avoir joué à River Plate et au club espagnol d'Hercules Alicante. Né à Rouen où son père, Argentin d'extraction française, avait posé ses valises de joueur, c'est à Buenos Aires que le jeune David a grandi et fait ses premiers pas de footballeur, disputant son premier match professionnel à 16 ans et 8 mois avec l'Atletico Platense.

Il n'a pas tout à fait 18 ans quand il tente sa chance en France. Après un essai infructueux au Paris SG, il est finalement recruté par l'AS Monaco où il forme avec Thierry Henry un duo redoutable qui frappe rapidement aux portes des équipes de France. Chez les moins de 18 et de 20 ans, chez les Espoirs et très vite chez les A, dès 1998, l'année qui compte.

Contrairement à Henry, qui a échoué à s'imposer à la Juventus (1999), Trezeguet, crâne presque rasé et petit bouc, passe une décennie remplie de buts, de titres (champion d'Italie 2002, 2003) et de distinctions (désigné meilleur joueur du Calcio pour la saison 2001-02) à Turin. Et rentre définitivement dans le coeur des tifosis en restant au club malgré la rétrogradation en Serie B (2e div.) consécutive à une affaire de matches truqués (2006-2007).

Après avoir tout gagné ou presque (la Ligue des champions s'est refusée à lui en finale en 2003) à la Juve, Trezeguet a fait un retour remarqué en Argentine en 2012, où il a contribué au retour en première division de River Plate, avant de jouer une saison aux Newell's Old Boys. C'est finalement en Inde, dans la Super League qui a sorti de leur retraite de nombreuses anciennes gloires comme Robert Pirès, désormais le dernier des Bleus de 1998 encore en activité, que Trezeguet a prolongé, en fin d'année passée, le plaisir de jouer.

Son ultime but officiel pour le FC Pune City, il l'a marqué le 30 octobre dernier d'une somptueuse demi-volée. Une de plus, une dernière...

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Message par rachid_as Lun 26 Jan - 14:26

Argentine : Riquelme annonce sa retraite

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L'Argentin Juan Roman Riquelme, génial N.10 et idole de Boca Juniors comme son légendaire prédécesseur Diego Maradona, a annoncé dimanche qu'il prenait sa retraite, à 36 ans.

"C'est pour moi un jour important parce que j'ai décidé de ne plus jouer au football", a déclaré Riquelme lors d'un entretien à la chaîne de télévision ESPN. "Après avoir vécu tous mes rêves avec Argentinos et Boca Juniors, il me semble que c'est le meilleur moment" pour arrêter, a expliqué Riquelme, héros de la remontée des Argentinos Juniors en première division le 8 décembre dernier.

"C'est une nouvelle vie qui commence pour moi et je ne sais pas si elle sera liée au football", a-t-il ajouté, lui qui a joué 18 saisons professionnelles, dont une au FC Barcelone et quatre à Villarreal.

Il a toutefois reconnu envisager "d'essayer de présider le club de Boca Juniors", où il a effectué l'essentiel de sa carrière (388 matches, 89 buts) et remporté 5 titres de champion (1998, 1999, 2000, 2008 et 2011), 3 coupes Libertadores (2000, 2001, 2007), une coupe Intercontinentale (2000) et une Recopa (2008).

Adulé en Argentine, où il a intégré la sélection en 2006 pour le Mondial en Allemagne (51 sél. 17 buts), remportant l'or olympique en 2008, Riquelme a terminé sa carrière par un contrat de six mois avec les Argentinos -son club formateur- pour les aider à redevenir un club de l'élite du foot national. "J'ai pris la décision qui me paraît la plus juste. Je ne me sens plus de porter un autre maillot au pays. J'ai essayé de tout donner à Boca, Argentinos, Villarreal, Barcelone, et avec la sélection. Je suis très heureux de la carrière que j'ai pu faire", a -t-il commenté.

Elu meilleur joueur d'Amérique en 2000 et 2001 par le quotidien uruguayen El Pais, il quitte cependant la scène en insistant sur le fait que "le plus grand joueur de l'histoire" du foot reste son compatriote Diego Maradona. "J'ai eu la chance jouer avec lui, de le voir s'entraîner. Quand il était chaud, tu pouvais rentrer à la maison, il se mettait à faire le show avec le ballon, il jonglait avec une bouteille", s'est souvenu Riquelme plein d'admiration.

Mais le joueur préféré de son fils aîné est l'autre vedette planétaire du foot argentin, Lionel Messi, "avec qui j'ai aussi eu la chance de jouer", a-t-il ajouté.

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Message par rachid_as Lun 26 Jan - 14:52

Argentine : Dix déclarations du dernier des 10

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Juan Román Riquelme a décidé le 25 janvier de quitter le football professionnel, qu’il fréquentait depuis 18 ans. L’Argentin a annoncé son choix dans une zone où il s’est toujours senti aussi à l’aise que sur les terrains de jeu : à la table d’une conférence de presse.

L’ancien milieu créateur de Boca Juniors, du FC Barcelone, de Villarreal, d’Argentinos Juniors et de l’Argentine s’est distingué par ses titres, ses buts décisifs, ses actions d’éclat mais aussi par son charisme devant les micros.

En hommage à cet immense joueur, FIFA.com vous propose, en dix déclarations, de revenir sur la relation particulière qui l’unit à ses parents, son admiration pour Andrés Iniesta, son souvenir de la Coupe du Monde de la FIFA, Allemagne 2006™ et ses anecdotes avec Carlos Bilardo et Louis van Gaal.

"Chacun vit le foot à sa façon. Certains disent que je fais la gueule quand je joue, mais Zidane, je ne l’ai jamais vu rigoler, ni quand il gagne ni quand il perd. Pourtant, c’est le meilleur joueur du monde depuis dix ans".
En 2006, concernant sa personnalité sur le terrain.

"Pour mon père, je ne joue jamais bien ! Déjà quand j’étais enfant, il ne me lâchait pas du match et je jouais en pleurant. Il y a toujours quelque chose qui cloche. Même si la presse estime que j’ai fait un bon match, il vient me parler des passes que j’ai ratées. Il m’en demande toujours plus, mais je pense que c’est bien. Ça m’aide à ne pas me relâcher".
Concernant la relation qui le lie à son père, lors d’une conversation avec FIFA.com.

"J’ai eu la chance de grandir à l’époque de Maradona. Après avoir suivi ses matches, j’allais jouer dans la rue avec mes amis. Je me prenais pour lui. Je commentais les actions en disant ‘et c’est Maradona qui a la balle’, des choses du genre. Maintenant, mon fils fait pareil avec Messi. Il se met à jouer en disant ‘et c’est Messi qui a la balle’. Pour les gens de mon âge, Maradona est l’idole suprême. Pour les plus jeunes, comme mon fils, l’idole, c’est Messi."
Riquelme et sa relation avec les idoles, lors d’une conversation avec FIFA.com.

"J’ai pris la décision de ne plus jouer pour l’équipe nationale à compter d’aujourd’hui. Je n’ai pas eu besoin d’y réfléchir très longtemps, car le fait que je doive penser à la santé de ma mère a énormément facilité les choses. En raison des critiques que j’ai reçues, elle a déjà été hospitalisée deux fois depuis la Coupe du Monde. Elle se fait du souci et je dois veiller sur elle. Ma mère, je l’aime énormément et je n’ai pas envie de la faire souffrir".
Riquelme et son étonnant retrait  de l’équipe nationale après la Coupe du Monde de la FIFA, Allemagne 2006 à la demande de sa mère.

"Pour moi, il n’y avait rien sur ce papier. C’était juste histoire de perdre un peu de temps et de faire croire à nos tireurs qu’il savait où ils allaient la mettre. Je me souviens que Cambiasso a frappé ce tir au but à mi-hauteur alors qu’il ne faisait jamais ça à l’entraînement. Et lui il a plongé de ce côté-là. Ça ne colle pas. Pour moi, il n’y avait rien. Mais il a bien joué le coup : il a été malin et nos joueurs étaient un peu perturbés".
Riquelme raconte à FIFA.com sa version de la séance de tirs au but contre l’Allemagne à la Coupe du Monde de la FIFA 2006, lors de laquelle Jens Lehmann avait utilisé un petit papier contenant des informations sur les tireurs argentins.

"Messi est le plus grand, le meilleur du monde. Cristiano Ronaldo est un joueur de PlayStation, celui qu’on fait frapper du pied gauche, du pied droit… Il est grand, rapide, il est bon de la tête, il en met sur coup franc, sur penalty, et il est habile. Mais celui qui joue le mieux au foot, c’est Iniesta, qui sait quand il faut avancer et quand il faut reculer, quand il faut accélérer et quand il faut temporiser. Ce sont des choses qui ne s’achètent pas. On peut éventuellement apprendre à frapper, à contrôler la balle, mais pas à savoir tout ce qui se passe sur le terrain. Ça c’est inné".
Concernant Andrés Iniesta, lors d’un entretien avec FIFA.com.

“Van Gaal m’a dit que j’étais le meilleur du monde quand on avait la balle mais qu’on jouait à 10 quand on ne l’avait plus. Il m’a expliqué qu’il n’était pas convaincu de ma venue, mais j’ai appris beaucoup de choses. Ses entraînements étaient géniaux."
Au sujet de son passage au FC Barcelone, le jour de l’annonce de sa retraite.

"Carlos Bilardo m’a sauvé la vie. Il m’a demandé à quel poste je voulais jouer. Je lui ai répondu que je m’en fichais, mais que je ne voulais être ni gardien ni défenseur. Lors de mon premier match contre l’Unión, en 1996, sur le terrain de Boca Juniors, il m’a dit que mes coéquipiers allaient toujours chercher à me donner la balle."
Le jour de l’annonce de sa retraite, au sujet de Carlos Bilardo et de ses débuts en Primera División.

"C’est un jour important pour moi. J’ai pris la décision d’arrêter le football. J’avais décidé que je continuerais si un nouveau challenge se présentait. Mais après être monté avec Argentinos et avoir honoré mon contrat avec le club, avoir réalisé tous mes rêves avec le maillot de Boca, la meilleure chose est d’annoncer ma retraite."
Le 25 janvier 2015, lors de l’annonce officielle de se retraite.

"Le football m’a tout donné. Les poupées sont ce qu’il y a de mieux pour les filles, mais moi, le plus beau cadeau qu’on m’a fait, c’est le ballon. Celui qui a inventé ça est une idole, c’est le plus grand de tous."
Riquelme et sa relation avec le ballon, lors d’une conversation avec FIFA.com.

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Message par rachid_as Mer 28 Jan - 14:32

Conca, de Fluminense, à Shanghai

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Le milieu de terrain argentin Dario Conca va rejoindre le club chinois de Shanghai SIPG, entraîné depuis novembre par l'ancien sélectionneur de l'Angleterre, le Suédois Sven-Göran Eriksson, a annoncé mercredi le club.

"Conca va bientôt arriver à Shanghai et signera formellement après une visite médicale", a indiqué Shanghai SIPG (1re div. chinoise) sur le réseau social Sina Weibo, l'équivalent chinois de Twitter.

Conca, 31 ans, jouait depuis 2014 sous les couleurs du club brésilien de Fluminense.

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Message par rachid_as Dim 1 Fév - 22:38

Costa Rica : Wanchope nommé sélectionneur des Ticos

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L'ancien attaquant international Paulo Cesar Wanchope a été nommé sélectionneur de l'équipe nationale du Costa Rica, a annoncé dimanche la Fédération costaricienne de football, après une longue et infructueuse recherche d'un technicien de premier plan.

"Wanchope sera présenté mardi prochain", a annoncé la Fédération sur compte Twitter.

L'ex-buteur âgé de 38 ans a été l'adjoint du sélectionneur colombien Jorge Luis Pinto lors de l'épopée du Costa Rica au Mondial-2014. Malgré un parcours jusqu'en quarts de finale, Jorge Luis Pinto n'a pas été prolongé.

Considéré comme l'une des figures les plus marquantes du football costaricien des dernières décennies, Wanchope a notamment évolué à West Ham, Manchester City, ou encore Malaga, où il n'a rien remporté cependant.

Avant d'opter pour Wanchope, la Fédération avait émis l'intention d'engager le Colombien Juan Carlos Osorio ou l'Argentin Ricardo Gareca.

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