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Message par rachid_as Dim 11 Déc - 14:48

Anelka confirmé à Shanghai

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L'attaquant français de Chelsea Nicolas Anelka, sur le départ, a donné son accord pour évoluer au sein de Shanghai Shenhua, a annoncé dimanche un porte-parole du club chinois à l'AFP.

Selon Ma Yue, le joueur de 32 ans pourrait débuter avec sa nouvelle équipe dès le mois de janvier, "si tous les détails contractuels sont confirmés à 100%".

Si son transfert à Shanghai devait aboutir, Anelka deviendrait la principale tête d'affiche d'un Championnat chinois en plein essor.

En juillet, le milieu de terrain argentin Dario Conca était devenu la recrue la plus onéreuse de ce championnat en étant transféré pour 10 millions de dollars (7,5 millions d'euros) au Guangzhou Evergrande.

Shanghai Shenua avait terminé à la 11e place du classement la saison passée.

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Message par rachid_as Lun 12 Déc - 11:33

Shanghai confirme le recrutement d'Anelka

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Le club de football de Shanghai Shenhua a confirmé lundi le recrutement de l'attaquant français de Chelsea Nicolas Anelka, qui entamera en janvier un contrat de deux ans dans la capitale économique chinoise.

Le club chinois a précisé dans un bref communiqué la venue du joueur français "à l'issue du mercato d'hiver", sans indiquer le montant du transfert, ni les conditions de son embauche.

Les médias chinois, citant la chaîne sportive ESPN, ont toutefois annoncé que le salaire hebdomadaire de Nicolas Anelka atteindrait 200.000 livres sterling (234.000 euros), contre 90.000 livres (105.000 euros) par semaine à Chelsea. Une information que le porte-parole du club, Ma Yue, a tenté de réfuter de façon évasive. "Je ne peux pas révéler le salaire (d'Anelka) pour l'heure, je peux juste dire que le montant pourrait bien être différent", a-t-il déclaré sans donner plus de détails.

Du côté du joueur de 32 ans, aucune confirmation n'a été donnée par ses représentants. Un responsable du club, qui avait requis l'anonymat, avait par ailleurs indiqué jeudi dernier que Shanghai Shenhua discutait également avec l'entraîneur français Jean Tigana, actuellement sans club.

Anelka devient ainsi la principale tête d'affiche du championnat chinois, dont la puissance financière ne cesse de croître.

En juillet, le milieu de terrain argentin Dario Conca était devenu la recrue la plus onéreuse de ce championnat en étant transféré pour 10 millions de dollars (7,5 millions d'euros) au Guangzhou Evergrande.

Shanghai Shenhua, qui avait terminé à la 11e place du classement la saison passée, est le 9e club d'Anelka après le Paris SG, Arsenal, le Real Madrid, Liverpool, Manchester City, Fenerbahçe, Bolton et Chelsea.

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Message par rachid_as Mar 13 Déc - 14:26

Ramalho : "Pas le moment de partir en Europe"

International -News - Page 23 1554522_FULL-LND

Neymar, l'attaquant-vedette brésilien, a tout intérêt à rester dans son club brésilien de Santos jusqu'au Mondial 2014, pour "mieux se préparer", a estimé son entraîneur, Muricy Ramalho, mardi au Japon.

Neymar a prolongé son contrat avec le Santos FC en novembre jusqu'en 2014.

Son transfert éventuel était devenu un feuilleton entre le Real Madrid, pour une éventuelle arrivée cet hiver, et par le Barça pour une signature à l'hiver 2012-2013.

"J'ai le sentiment qu'il sera en mesure de mieux se préparer s'il reste au Brésil. Le temps d'aller en Europe viendra après la Coupe du monde", a déclaré Ramalho, à la veille de la demi-finale de la Coupe du monde des Clubs entre Santos et le club japonais de Kashiwa Reysol.

"Les gens qui gèrent aujourd'hui sa carrière font un travail parfait. Ce n'est pas le moment de partir en Europe", a-t-il insisté.

Le "Roi" Pelé a récemment déclaré que Neymar était "meilleur que Messi", avant d'être contredit par Maradona, autre légende du football.

Messi et Neymar pourraient se retrouver en finale du Mondial des clubs le week-end prochain.

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Message par rachid_as Mer 14 Déc - 15:46

Colombie : Alvarez limogé

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La Fédération colombienne limogé mardi le sélectionneur national Leonel Alvarez, un peu plus de trois mois après sa prise de fonctions, en raison des mauvais résultats aux éliminatoires de la Coupe du monde 2014, soldés par une défaite contre l'Argentine (2-1).

La Colombie, 6e au classement de la zone Amsud, avait remporté son premier match des qualifications en Bolivie, avant de concéder à domicile un nul face au Venezuela (1-1) et la défaite contre l'Argentine.

"C'est une décision unanime du comité exécutif", qui "croit le moment venu de changer de cap", a indiqué le président de la Fédération colombienne, Luis Bedoya.

Depuis la défaite face à l'Argentine, les médias locaux ne cessaient de spéculer sur le départ d'Alvarez, 46 ans, et les rumeurs s'étaient accentuées après la démission de son adjoint Julio Comesana le 18 novembre dernier.

Pour le remplacer, les médias citent entre autres les Argentins Gerardo Martino, ancien sélectionneur du Paraguay, et Julio Falcioni, l'entraîneur de Boca Juniors.

Alvarez avait succédé en septembre dernier à Hernan Dario Gomez, dont il était l'adjoint, et qui avait renoncé à sa charge après avoir frappé une femme dans un bar de Bogota en août.

Comme joueur, Alvarez (101 sélections), avait disputé deux phases finales de Coupe du monde, en 1990 et en 1994. Il avait porté les couleurs de trois des principaux clubs colombiens, Independiente Medellin, America Cali et Atletico Nacional, et joué aussi en Espagne (Valladolid), au Mexique (Veracruz) et enfin aux États-Unis.

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Message par rachid_as Jeu 15 Déc - 9:53

Albanie : De Biasi nommé sélectionneur

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L'italien Giovanni De Biasi a été officiellement nommé sélectionneur de l'équipe d'Albanie, a annoncé mercredi la Fédération albanaise de football.

De Biasi, 55 ans, remplace le Croate Josip Kuze, qui avait quitté en octobre après les mauvais résultats dans les qualifications à l'Euro-2012 de l'Albanie, 5e du groupe D avec neuf points en dix matches.

De Biasi, ex-entraîneur en Italie de Modène, Brescia, et de l'Udinese notamment, a signé un contrat de deux ans, selon le porte-parole de la Fédération albanaise, Lirim Zalla.

Lors des qualifications au Mondial-2014, l'Albanie affrontera dans le groupe E la Norvège, la Suisse, la Slovénie, Chypre et l'Islande.

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Message par rachid_as Jeu 15 Déc - 10:04

Juan Aurich sacré champion pour la première fois

International -News - Page 23 1557605%5fmedium

L'équipe de Juan Aurich a remporté le championnat du Pérou de football pour la première fois, en s'imposant aux pénalties (0-0, 3 t.a.b. à 1) face à Allianza Lima en finale, mercredi au stade Nacional de Lima.

Juan Aurich, équipe de Chiclayo (nord) entraînée par le Colombien Diego Umana, doit sa vcitoire à son gardien Diego Penny, qui a arrêté deux des tirs au buts d'Allianza, un autre penalty de l'équipe de Lima passant au-dessus.

Aurich remporte le premier titre de son histoire face à un rival 22 fois couronné, après l'avoir poussé en trois manches: Allianza avait emporté le match aller à Chiclayo 2 à 1, puis Juan Aurich était venu s'imposer à Lima (1-0) au retour, avant le match décisif de mercredi.

Juan Aurich, Allianza Lima, ainsi que Sport Huancayo, qui a fini 3e de la saison régulière, disputeront pour le Pérou la Copa Libertadores 2012, équivalent sud-américain de la Ligue des champions.

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Message par rachid_as Jeu 15 Déc - 10:05

Tigana nouvel entraîneur de Shanghai Shenhua

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L'ex-international français Jean Tigana sera le nouvel entraîneur du club chinois Shanghai Shenhua avec lequel il doit signer dimanche un contrat, a indiqué jeudi un porte-parole du club.

Tigana, 56 ans, sera le nouvel entraîneur de l'attaquant français de Chelsea (Angleterre), Nicolas Anelka, 32 ans, attendu en janvier après avoir signé un contrat de deux ans avec Shanghai Shenhua.

L'ancien entraîneur de Lyon, Monaco, Fulham (Angleterre), Besiktas (Turquie) et Bordeaux est attendu samedi en Chine, toujours de même source.

"Tigana va arriver samedi à Shanghai pour y régler les derniers détails de son contrat. Et sauf circonstances imprévues, le contrat sera signé dimanche et ensuite Tigana sera présenté à la presse", a précisé le porte-parole.

Tigana, libre depuis sa démission de son poste à Bordeaux, le 7 mai 2010, sera le second entraîneur français en Chine. Philipe Troussier entraîne le club de Shenzhen.

Jean Tigana a joué à Toulon, Lyon, Bordeaux et Marseille.

Shanghai Shenhua avait terminé à la 11e place du classement la saison passée.

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Message par rachid_as Lun 19 Déc - 13:16

Riquelme : "Le ballon m'a tout donné"

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Aujourd'hui âgé de 33 ans, Juan Román Riquelme est considéré comme l'un des milieux offensifs les plus talentueux des dernières décennies. Joueur intelligent, précis à la passe et doté d'une grande frappe de balle, l'Argentin vient d'ajouter un nouveau trophée à son palmarès avec Boca Juniors. Il attend désormais la fin des vacances pour retrouver la Copa Libertadores.

Dans un emploi du temps consacré à la récupération et aux célébrations, le numéro 10 a trouvé un créneau pour accueillir FIFA.com. Dans un entretien exclusif, le maestro est revenu sur les 15 ans qui se sont écoulés depuis ses débuts dans l'élite argentine. Sur le terrain comme au petit jeu des questions-réponses, Riquelme reste toujours fidèle à son style, prouvant qu'il n'est pas homme à esquiver la difficulté.


Román, l'année 2011 a été particulière pour vous à plusieurs titres, entre autres parce que vous avez effectué votre 15ème saison professionnelle. Quand vous étiez enfant, imaginiez-vous que vous feriez une telle carrière ?
Franchement, non ! J'imaginais que j'allais devenir footballeur, que j'allais essayer de jouer un jour sous le maillot de Boca Juniors, à la Bombonera, car ma famille supporte ce club. Mais je ne me voyais pas jouer aussi longtemps, ni avoir la chance d'être autant apprécié par les gens de mon pays. C'est magnifique.

Quel joueur admiriez-vous quand vous étiez plus jeune ?
J'ai eu la chance de grandir à l'époque de Diego Maradona, que tous les Argentins considéraient comme le meilleur joueur du monde. Après l'avoir vu jouer un match, j'ai couru dans la rue avec mes amis et le ballon… Je me mettais dans sa peau. Je commentais les actions en disant "Et c'est Maradona qui a le ballon", des choses de ce genre. Aujourd'hui, mon fils fait pareil, mais avec Messi ! Quand il joue, il dit "Et c'est Messi qui a la balle". Pour les garçons de ma génération, Maradona était l'idole suprême. Pour les plus jeunes, comme mon petit, l'idole, c'est Messi.

Si vous deviez citer deux moments qui ont marqué votre carrière, l'un positif, l'autre négatif, quels seraient-ils ?
Je savoure les moments que je passe avec mes coéquipiers, que ce soit à l'entraînement ou à table pour les repas. Mais pour les gens, les plus beaux souvenirs sont obligatoirement liés à un titre en championnat ou en coupe. C'est assez difficile d'en retenir un… Si je devais citer le plus mauvais souvenir, ce serait peut-être la demi-finale perdue avec Villarreal en Ligue des champions 2006, contre Arsenal. On était très motivés pour atteindre cette finale de la Ligue des champions car on savait qu'en jouant à Villarreal, cette occasion n'allait pas se présenter à nouveau. Ç'a été assez difficile à vivre.

Vous avez manqué un penalty lors de cette rencontre. Vous arrive-t-il d'y repenser ?
Oui, je revois tous les matches. Je crois qu'on méritait de gagner, on était supérieurs à Arsenal. On a bien mieux joué, on a obtenu ce penalty et on a manqué plusieurs occasions. Mais dans le football, quand ça ne veut pas sourire, on ne peut rien y faire.

Quelques mois plus tard, vous jouiez la Coupe du Monde de la FIFA™ en Allemagne. Quelle a été la signification de cette compétition à vos yeux ?
C'était quelque chose d'important car c'était la seule compétition que je n'avais pas disputée. Beaucoup de choses ont été dites sur cette édition. J'ai été très triste à la fin à cause de l'élimination, mais il ne faut pas oublier qu'on s'est fait sortir sans perdre un seul match. Je crois que notre équipe a proposé le plus beau football de la compétition et j'ai été le meilleur passeur de la Coupe du Monde. Ça a été une très belle expérience, comme les Jeux Olympiques, que j'ai eu la chance de vivre après avoir dépassé la limite d'âge.

La défaite en quart de finale contre l'Allemagne a été un coup dur. A posteriori, quelle analyse faites-vous de ce match ?
J'aurais tendance à penser qu'on avait le match en main. Au vu de la physionomie de la rencontre, on s'attendait davantage à voir l'Argentine mettre un deuxième but à tout moment, plutôt qu'à voir l'Allemagne égaliser. Ils donnaient l'impression d'être très fatigués, ils étaient plusieurs à avoir des crampes. Mais ils ont réussi à marquer sur une action où le ballon est arrivé à Miroslav Klose au deuxième poteau. C'est un formidable joueur de tête… Il est meilleur de la tête qu'avec les pieds ! Ce but a fait basculer le match. Après, les tirs au but, c'est une question de chance. Ils ont été bien aidés par leur gardien et on s'est fait éliminer. Je n'ai pas eu la chance de tirer un penalty à la Coupe du Monde. J'aurais adoré. J'avais l'habitude de passer en premier lors des séances de tirs au but. Ça aurait été beau à vivre. Je suis de ceux qui pensent qu'un joueur de foot doit toujours répondre présent dans les moments de tension, de prise de décision. Mais je n'ai pas pu tirer car j'étais déjà sorti. Et je suis resté sur cette frustration de ne pas avoir pu tirer ce penalty.

Si on ajoute la demi-finale évoquée tout à l'heure contre Arsenal, on peut dire que Jens Lehmann est votre bête noire. Cette séance de tirs au but est entrée dans l'histoire en raison du petit papier que Lehmann avait utilisé pour…
(Il coupe) Il n'y avait rien sur ce papier. Il n'y avait rien écrit dessus. C'était juste histoire de perdre un peu de temps, de faire penser à nos tireurs qu'il savait où ils allaient mettre la balle. Je me souviens qu'Esteban Cambiasso a tiré son penalty à mi-hauteur alors qu'il ne l'avait jamais fait à l'entraînement. Et lui s'est jeté du bon côté. Ce sont des coïncidences. Pour moi, il n'y avait rien sur ce papier. Mais c'était de bonne guerre, c'était bien vu pour tenter de déstabiliser nos joueurs.

Parlons du Riquelme hors des terrains. Suivez-vous beaucoup le football ?
Oui, je regarde tout. Le football argentin, le football européen, les matches de la sélection…

Avez-vous une préférence pour une équipe ?
Tout le monde prend plaisir à voir le FC Barcelone. Il a eu la chance de pouvoir rassembler plusieurs joueurs comme il n'en aura plus jamais : Messi, Iniesta, Xavi, Piqué… Tous dans la même équipe, au même moment. Ils ont de la chance et ils donnent beaucoup de plaisir.

Comment s'y prendre pour le battre ? Existe-t-il une recette ?
C'est difficile. Si c'est un match sec dans une Coupe ou bien une double confrontation, tout est possible, avec de la chance. Mais sur une compétition longue, il va rarement perdre un championnat. Je crois que le seul entraîneur qui a battu ce Barça est celui de Getafe, Luis García, qui s'est imposé 1:0 récemment et a obtenu le nul l'an dernier avec Levante. Ça veut tout dire. Chacun dans son style, Barcelone et le Real Madrid sont bien trop forts.

Quand vous voyez ce Barça, vous dites-vous que vous étiez arrivé là-bas au mauvais moment ?
Quand une équipe joue bien et qu'elle gagne, elle évolue dans la sérénité et la confiance. C'est un plaisir de la voir jouer. Moi, je suis arrivé une année d'élections, avec beaucoup de problèmes, beaucoup de nervosité. Mais aujourd'hui, je suis là où je veux être : Boca, c'est mon club et ma maison. Je suis très heureux d'être là où je suis aujourd'hui.

En parlant de Boca, comment avez-vous vécu la descente de River Plate ?

Il faut faire la part des choses. Le supporter de Boca a vécu ça comme si on avait gagné un championnat. Mais pour moi qui aime le foot, je crois que c'est une mauvaise chose. C'est comme si Barcelone ou le Real descendait en Espagne. Ça fait du mal au championnat. Le Superclásico est le match le plus attendu de tous et cette année, on n'a pas pu le jouer. J'espère que River va remonter très vite pour qu'on puisse revivre ça.

Quels sont vos joueurs préférés ?
Messi est le plus grand, le meilleur du monde. Cristiano Ronaldo est un joueur de Playstation, que l'on fait frapper du droit, du gauche… Il est grand, rapide, bon de la tête, il met des buts sur penalty et sur coup franc, il est adroit. Mais le meilleur footballeur est Andres Iniesta : il sait quand aller de l'avant, quand reculer. S'il a le ballon sur la gauche, il sait qui se trouve à droite, il sait tout ce qu'il faut faire. Il sait quand partir en dribble, quand accélérer, quand ralentir. Je crois que c'est la seule chose qu'on ne peut pas acheter ou apprendre. On peut apprendre à frapper, à contrôler, mais savoir tout ce qui se passe sur le terrain, ça, c'est inné.

Iniesta parle toujours de vous de façon élogieuse…
J'ai eu la chance d'arriver à Barcelone quand il était avec la B. Il a commencé à s'entraîner avec nous et je me suis beaucoup attaché à lui. On passait beaucoup de temps ensemble. C'est à cette époque qu'il a débuté et depuis, on entretient d'excellents rapports. On reste toujours en contact.

Vous avez récemment déclaré que vous teniez absolument à disputer la prochaine Coupe du Monde de la FIFA™… Est-ce une demande de votre fils ?
Oui ! (rires) Il a neuf ans et il aime beaucoup le football. Il sait que la Coupe du Monde va se jouer là-bas… Je vais essayer de continuer à jouer au football. Je sais que ça va être compliqué, que je vais être assez âgé, mais j'aurai la motivation et le désir de participer à cette Coupe du Monde. Et si je ne joue pas, alors j'irai en tant que supporter pour soutenir notre sélection.

Vous collectionnez les maillots de vos adversaires. En avez-vous un préféré ?
J'ai la chance d'avoir beaucoup de maillots, mais si je devais en citer un, ce serait sûrement celui de Zinedine Zidane. J'ai celui qu'il a utilisé lors de son dernier match sur le terrain du Real Madrid. Le mercredi avant le match, il m'a appelé pour me dire qu'il n'avait pas le mien et qu'il voulait qu'on échange nos maillots le dimanche. Ce jour-là, l'entraîneur l'a sorti cinq minutes avant la fin pour qu'il reçoive l'ovation du public et il est resté sur la touche pour m'attendre et tenir sa promesse. Ça a été un très beau moment. Maintenant, je l'ai chez moi, avec la date marquée dessus. C'est l'un des plus grands joueurs que j'aie vu jouer.

Avant de conclure, pourriez-vous nous enlever un doute : votre père reste-t-il le plus grand critique de votre jeu ?
Pour lui, je ne fais jamais un bon match ! (rires) Il y a toujours quelque chose qui ne va pas. Mais ça m'a beaucoup aidé car il était très exigeant avec moi. Même si la presse dit que j'ai fait un bon match, il va me passer à côté et me glisser "si tu es aussi fort, pourquoi as-tu raté cette passe ?". Je crois que c'est toujours bon d'avoir quelqu'un qui en demande toujours plus. Ça permet de ne jamais se relâcher et de toujours chercher à progresser.

Après avoir passé tant d'années avec le ballon, comment décririez-vous son importance dans votre vie ?
Le ballon m'a tout donné. Pour les filles, les poupées sont les plus belles choses au monde. Pour moi, le ballon est le plus beau jouet qui soit. Celui qui l'a inventé est une véritable idole, le plus grand homme qui soit.

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Message par rachid_as Mar 20 Déc - 10:17

Décès de l'ex-entraîneur de la Celeste, Hector Nunez

Hector "Pichon" Nunez, entraîneur de la "Celeste" uruguayenne vainqueur de la Copa America en 1995, est décédé lundi en Espagne, à 75 ans, des suites d'une longue maladie, selon les médias locaux.

Nunez avait débuté comme joueur sous les couleurs du Nacional de Montevideo, mais c'est avec le club espagnol du FC Valence qu'il a fait la plus grande partie de sa carrière sur le terrain.

"Hector Nunez s'en est allé, c'est une grande perte pour le football uruguayen", a déclaré Diego Forlan, l'attaquant de la "Celeste" de l'Inter Milan, sur le réseau Twitter.

Durant sa carrière sur le banc d'entraîneur, Nunez a dirigé diverses équipes espagnoles, dont l'Atletico Madrid et Valence, ainsi que le Nacional de Montevideo, l'équipe du Tecos de Zapopan au Mexique et le club d'Al Nasr en Arabie saoudite.

Au niveau des équipes nationales, il a également mené la sélection du Costa Rica, et lorsqu'il a cessé son activité sur les bancs de touche, il était à la tête du modeste club de Tacuarembo en Uruguay.

Ses premiers lauriers en tant qu'entraîneur ont été glanés sous les couleurs du Nacional en 1989 avec la Coupe des coupes d'Amérique du Sud et la Copa Interamericana.

Son moment de gloire a cependant été la victoire de la sélection uruguayenne en 1995 en finale de la Copa America, à domicile, aux tirs au but, face au Brésil, qui avait remporté la Coupe du monde aux Etats-Unis un an plus tôt.

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Message par rachid_as Mar 20 Déc - 13:08

Vasco renaît dans le sillage de Souza

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Vainqueur de la dernière Copa do Brasil et vice-champion du Brésil à l'issue du Brasileirão 2011, Vasco da Gama vient de réussir l'une de ses saisons les plus abouties depuis plusieurs années. Diego Souza est l'un des joueurs qui ont contribué à cet excellent cru 2011 pour le club de Rio de Janeiro.

Nul doute que cette année, un déclic s'est produit à Vasco, aussi bien au sein de l'effectif qu'entre l'équipe et ses supporters, la fusion ayant été totale entre footballeurs et spectateurs. Lors de cet exercice 2011, la formation cruzmaltina a même accompli la prouesse d'étendre son capital sympathie à des quartiers carioca qui n'étaient pas d'habitude acquis à sa cause.

Après avoir été pressenti pour participer à la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010™ alors qu'il était rarement titulaire à l'Atlético Mineiro, Diego Souza a été l'un des catalyseurs de cette véritable renaissance. "Quand j'ai signé ici, c'était clairement avec l'ambition de gagner des titres et de revenir en Seleção", affirme le milieu vascaíno au micro de FIFA.com. "J'ai réussi sur les deux tableaux et je vais tout faire pour que ça continue en 2012. J'espère que Vasco da Gama pourra continuer à jouer les premiers rôles."

Liberté et reconnaissance
Il y a deux ans, les pensionnaires du stade São Januário préparaient leur retour parmi l'élite après avoir connu les affres de la Série B. À cette époque, Diego Souza porte les couleurs de Palmeiras et fait partie des joueurs susceptibles d'être appelés par Dunga pour tenter de remporter avec le Brésil une sixième Coupe du Monde de la FIFA™. Il participe même au match de qualifications contre la Bolivie, à La Paz. Au final, en raison d'une concurrence il est vrai extrêmement relevée, Diego Souza n'est pas retenu pour l'Afrique du Sud.

En club, il passe beaucoup trop de temps à son goût sur le banc de l'Atlético Mineiro et décide de revenir à Rio de Janeiro, où il avait déjà défendu les couleurs de Flamengo et Fluminense. Cette fois, c'est avec Vasco da Gama qu'il s'engage. Joueur et club sont alors en pleine période de reconstruction. "L'objectif du club était clair : il s'agissait de remporter des titres. Tout le groupe a adhéré au projet. Pour moi, 2011 a été une très belle saison. J'ai été l'un des meilleurs buteurs de l'équipe, j'ai reçu un prix de la CBF, j'ai été décisif pour le club. Ce genre de reconnaissance est très important pour un footballeur", affirme-t-il.

Dans une équipe où se côtoient l'expérience de Felipe et Juninho Pernambucano, et la jeunesse prometteuse de Dedé et Allan, Diego Souza a beaucoup de liberté, en ce sens qu'il n'a pas d'étiquette précise, et donc pas de pression. "Je suis les consignes de l'entraîneur. Mon poste de prédilection est milieu offensif, mais je peux jouer dans une position plus reculée également, partir de plus loin. Ça ne me dérange pas. Si on me demande d'avoir un rôle de récupérateur juste devant la défense, je sais le faire également", analyse celui qui a été appelé par Mano Menezes pour affronter l'Argentine dans le cadre du "Superclassico", qui s'est disputé à Belém. À cette occasion, il a réussi une passe décisive à l'attention de Neymar, dans un match qui s'est soldé par la victoire de la Seleção.

Des scènes inoubliables
Il y avait bien longtemps que Vasco da Gama n'avait pas vécu une saison aussi pleine. Après un premier semestre marqué par la victoire en Copa do Brasil, le Campeonato Carioca en guise de préparation et la première moitié du Brasileirão 2011, le club a connu un coup dur avec l'AVC qui a frappé l'entraîneur Ricardo Gomes, lors de la dernière journée des matches aller. Sur la scène continentale, le Gigante da Colina a atteint les demi-finales de la Copa sudamericana, avant de connaître un sprint final effréné avec Corinthians pour la course au titre de champion du Brésil 2011.

Au final, Vasco a terminé juste derrière Corinthians, ce qui n'enlève évidemment rien au travail effectué. "Le plus important, c'est que le travail soit reconnu", estime Diego Souza. "Tout le monde s'est battu jusqu'à la fin, les supporters nous ont aidés de façon phénoménale. Leur soutien était une récompense pour tous nos efforts. Il y a eu des scènes inoubliables cette année avec notre public."

Dans le contexte actuel et avec l'enthousiasme énorme suscité par le retour de Ricardo Gomes pour diriger le travail quotidien de l'équipe, difficile de ne pas être optimiste par rapport à l'année 2012. "Je pense que l'effectif ne va pas trop bouger. Avec le soutien de nos supporters et le retour de Ricardo, ça s'annonce bien pour 2012. Les attentes sont énormes."

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Message par rachid_as Mer 21 Déc - 10:47

Nouveau sélectionneur pour la République de Corée

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Choi Kang-Hee, entraîneur du Jeonbuk Hyundai Motors, a été désigné nouveau sélectionneur national en remplacement de Cho Kwang-Rae, limogé après la défaite face au Liban (2-1) en qualifications pour le Mondial-2014, a annoncé la Fédération sud-coréenne de football mercredi.

Le Jeonbuk Hyundai Motors est le club champion en titre de Corée du Sud.

La République de Corée, première du groupe B, comptait trois points d'avance sur le Liban avant leur rencontre de la 5e journée du 3e tour des qualifications zone Asie pour la Coupe du monde 2014 au Brésil.

Elle se trouve désormais à égalité de points avec les Libanais après sa défaite à domicile, mais conserve la 1re place du groupe grâce à une meilleure différence de buts.

Le Koweït, désormais à deux points des deux premiers, est revenu dans la course à la qualification avant de recevoir la Corée du Sud lors d'un dernier match décisif.

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Message par rachid_as Mer 21 Déc - 10:48

Boca Juniors - Falcioni prolonge d'un an

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Julio César Falcioni a prolongé d'un an son contrat d'entraîneur de Boca Juniors, a annoncé Daniel Angelici, le président du club de Buenos Aires qui vient de remporter le Tournoi d'ouverture du Championnat d'Argentine et affiche ses ambitions pour la Coupe Libertadores.

"Nous avons une équipe qui a été sacrée championne, qui est solide. Nous allons recruter d'autres joueurs. La Coupe Libertadores va être notre objectif prioritaire", s'est enflammé le président du club, à l'annonce de cette prolongation de contrat.

Les attaquants uruguayen Santiago Silva (Fiorentina/ITA) et chilien Humberto Suazo (Monterrey/MEX), notamment, intéresseraient Boca Juniors.

Avant de prendre les rênes de l'équipe de Boca Juniors en décembre 2010, Falcioni, ancien gardien de but âgé de 55 ans, a entraîné depuis 1997 une demi-douzaine de clubs argentins: Velez Sarsfield, Olimpio, Banfield, Independiente, Colon, Gimnasia de La Plata.

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Message par rachid_as Mer 21 Déc - 14:07

Vargas habitué à crever l'écran

International -News - Page 23 1557638_medium

Le Chilien Eduardo Vargas a connu une saison 2011 vertigineuse. À 22 ans, dont déjà cinq passés dans le football professionnel, cet attaquant explosif s'est enfin débarrassé de l'étiquette de "grande promesse" pour devenir un grand joueur. Brillant avec l'Universidad de Chile et la Roja, il va franchir une nouvelle étape avec un transfert vers le Vieux Continent.

Il est édifiant de comparer ses statistiques de cette année avec celles de 2010. Lors de sa première saison avec La U, Vargas n'a inscrit que quatre buts en 32 sorties. Sur l'exercice 2011, il pointe à 32 réalisations, dont 10 au cours du Championnat d'ouverture remporté par son équipe et 11 sur la campagne victorieuse en Copa Sudamericana, premier sacre international du club, compétition dont il a terminé meilleur buteur.

La cerise sur le gâteau a pris la forme d'un transfert vers Naples. Vargas prendra la direction de l'Italie une fois le Championnat de clôture terminé. L'Universidad de Chile dispute jeudi 22 décembre sa demi-finale retour face à l'Universidad Católica. Si elle passe, elle sera opposée en finale à Cobreloa, club où Vargas a débuté en 2006 et a évolué jusqu'en 2009.

Ses belles performances en club ont valu à l'enfant de Santiago d'être rappelé en sélection par Claudio Borghi, en poste depuis février 2011. Vargas n'a pas manqué son retour puisqu'il a mis un but aux champions du monde espagnols en amical puis un autre face au Pérou en qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Convaincant par ses récents faits d'armes, le Chilien semble promis à l'avenir le plus radieux. "Je ne sais pas… Je crois que j'ai encore beaucoup de choses à prouver", estime modestement l'intéressé dans un entretien exclusif avec FIFA.com.

Le foot pour obsession
Vargas a toujours su que son avenir s'écrirait dans le monde du football. Sa mère, Pamela, a récemment raconté une anecdote des plus cocasses au journal chilien La Tercera. "Il allait même aux toilettes avec le ballon. Il pensait au football à longueur de journée, si bien que la directrice de l'école a voulu l'envoyer chez un psychologue. Mais une institutrice s'y est opposée car elle comprenait que c'était sa passion."

Après des passages peu concluants à l'Universidad Católica et Palestino, ce joueur d'1m75 va vivre une expérience peu commune. En 2005, il participe à l'émission Adidas Selection Team, programme de téléréalité atour du football à sept. S'il n'a pas remporté ce concours disputé par 32 autres joueurs, Vargas voit le bon côté des choses : "Ça a été positif parce que j'ai accumulé de très bonnes expériences. On apprend toujours quelque chose de ce que nous propose la vie".

Séduits par son niveau lors de cette émission et par ses superbes prestations lors d'un tournoi estival à Puerto Montt en 2006, l'Universidad de Chile et Colo Colo souhaitent l'engager dans leurs catégories de jeunes. La suite, c'est Andrés Alvaredo, son entraîneur dans cette équipe amateurs, qui nous la raconte : "J'ai pensé : 'Ce garçon n'est pas passé par les cadets. À 16 ans, pourquoi le faire entrer dans la catégorie de jeunes d'un club ? Mieux vaut prendre le chemin le plus court'".

Alvaredo lui décroche donc un essai à Cobreloa, alors entraîné par son ami Jorge Aravena. "Je l'ai observé et au bout de trois jours, j'ai demandé au club de l'engager. Il est très complet, il frappe des deux pieds et il a une excellente détente. Il était avant-centre, mais comme j'avais Lucas Barrios, j'ai dû le faire jouer sur le côté", se souvient Aravena, qui l'a lancé dans le grand bain. "C'était contre Puerto Montt et ça s'est très bien passé", se souvient Vargas. "J'avais 16 ans mais j'ai bien géré mon stress car j'étais sûr de mes qualités. C'est comme ça qu'a commencé ma grande aventure", ajoute l'attaquant.

Ascension, sélection, explosion
En 2006, il joue quatre matches, toujours en tant que remplaçant. En 2007, sous la houlette de Gustavo Huerta, il participe à cinq rencontres. C'est en 2008 qu'il inscrit son premier but, face à Huachipato. Cette année-là, il dispute 20 matches et signe quatre réalisations, une visibilité qui lui ouvre les portes des sélections de jeunes, avec lesquelles il est convoqué pour plusieurs compétitions.

Sa vitesse, son toucher et ses appels de balle tonitruants attirent l'attention de Marcelo Bielsa, qui le convoque pour le Festival International Espoirs de Toulon 2009. Dans le Var, la sélection andine triomphe grâce notamment à un Vargas étincelant. Suite logique, il débute avec les A en novembre 2009 à l'occasion d'une rencontre amicale face au Paraguay. Rappelé en janvier 2010 pour un match contre le Panama, il n'est pas du voyage en Afrique du Sud, ce qui ne constitue pas forcément une surprise.

À ce stade, Vargas a déjà signé à la U, où l'Uruguayen Gerardo Pelusso le fait jouer milieu de terrain, poste où il se montre moins performant. Tout va changer avec l'arrivée début 2011 de l'Argentin Jorge Sampaoli, qui lui permet de retrouver son rôle de prédilection. Les fruits de ce repositionnement ne se font pas attendre et débouchent vite sur un transfert vers l'Europe. "Je suis heureux, même si je suis un peu stressé car je ne pensais pas qu'on pouvait faire aussi vite le saut vers le football italien."

Vargas compte aussi écrire son avenir avec l'équipe nationale, au sein de laquelle il s'est affirmé sous la coupe de Borghi. "Les qualifications vont être difficiles, mais on est sereins. Le Chili possède l'effectif nécessaire pour aller à Brésil 2014", conclut-il avec conviction.

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Message par rachid_as Jeu 22 Déc - 11:27

Le Junior de Barranquilla sacré champion

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Le Junior de Barranquilla a été sacré champion de Colombie de football, après avoir battu Once Caldas aux tirs au but (4-2) en finale retour, mercredi à Manizales.

A l'aller, Junior de Barranquilla s'était imposé 2 à 1. Le score étant au retour de 2-1 à l'issue du temps réglementaire pour Once Caldas, les équipes ont disputé la prolongation, puis la séance de tirs au but à l'issue de laquelle l'équipe visiteuse a été sacrée, pour la septième fois de son histoire.

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Message par rachid_as Dim 25 Déc - 10:58

Le Viêt-Nam limoge Falko Goetz

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La Fédération vietnamienne de football (VFF) a limogé le sélectionneur allemand Falko Goetz, jugé responsable de l'échec de l'équipe nationale lors des Jeux du sud-est asiatique (Sea Games) le mois dernier, a-t-elle indiqué vendredi.

"Dans tous les pays du monde, l'entraîneur assume la responsabilité d'une défaite de l'équipe nationale", a indiqué à l'AFP Nguyen Lan Trung, vice-président de la VFF, ajoutant que le comité exécutif de la fédération avait voté à l'unanimité pour le départ de l'Allemand.

L'équipe nationale du Viêt-Nam n'était pas sur le podium des Sea Games en Indonésie, désespérant ce pays passionné de foot par ses mauvais résultats.

Le secrétaire général de la VFF Tran Quoc Tuan avait remis sa démission la semaine dernière, mais celle-ci avait été rejetée.

Selon le journal de la Jeunesse Tuoi Tre vendredi, la VFF devrait indemniser Falko Goetz d'une somme de 66.000 dollars pour la rupture de son contrat de deux ans, signé en juin.

Goetz, 49 ans, ex-joueur du Bayer Leverkusen, était devenu le 8e sélectionneur étranger du Viêt-Nam depuis 1995, après le départ du Portugais Henrique Calisto.

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Message par rachid_as Mar 27 Déc - 10:01

Argentine, Racing - Basile nouvel entraîneur

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L'ancien sélectionneur argentin Alfio 'Coco' Basile, a été nommé entraîneur du Racing Club (D1 argentine) en remplacement de son compatriote Diego Simeone, parti pour l'Atletico Madrid, a annoncé lundi son représentant.

"Maintenant, je veux être champion", a déclaré Basile, 68 ans, après la conclusion d'un accord avec le club. Il devrait signer son contrat jeudi puis être présenté officiellement à la presse, toujours de même source.

Le Racing Club a terminé deuxième du tournoi d'ouverture du Championnat d'Argentine remporté par Boca Juniors, à l'issue de la 19e et dernière journée disputée le 13 décembre.

Alfio Basile, ancien défenseur central, a joué au Racing Club de 1964 à 1970 avec lequel il a notamment remporté le titre en 1966, la Coupe Libertadores et la Coupe Intercontinentale en 1967. Il a entraîné le Racing en 1997, de 1986 à 1987 et de 1996 à 1997.

Il a dirigé la sélection nationale d'Argentine à deux reprises, de 1991 à 1994 et de 2006 à 2008.

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Message par rachid_as Mer 28 Déc - 12:30

Israel : Guttman remplace Fernandez

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Eli Guttman, ancien coach d'Hapoël Tel Aviv et considéré comme l'un des meilleurs entraîneurs d'Israël, a été officiellement confirmé à la tête de la sélection nationale à la place du Français Luis Fernandez.

Sa nomination a été approuvée mardi à l'unanimité par la direction de la Fédération israélienne de football.

"Le choix d'Eli Guttman n'est pas dû au hasard. Eli est un professionnel doué d'une discipline de jeu", s'est félicité le patron du football israélien, Avi Luzon, sur le site de la Fédération.

Guttman, 53 ans, était le favori pour succéder au Français, mal aimé en Israël.

Il aura comme mission principale de conduire le onze israélien en phase finale du prochain Mondial au Brésil en 2014, un exploit jamais réalisé par l'équipe nationale depuis 1970.

"Aujourd'hui, j'accomplis un rêve, même si ce n'est qu'un demi-rêve. L'autre moitié du rêve serait de se qualifier pour la Coupe du Monde", a déclaré Eli Guttman à la presse.

Avant de quitter Hapoël Tel Aviv en mai dernier, il avait permit à ce club de remporter le doublé coupe-championnat pendant la saison 2009-10.

Son premier match, une rencontre amicale, aura lieu à domicile contre l'Ukraine fin février. Sur la route du Brésil, Israël trouvera ensuite les équipes du Portugal, de Russie, d'Irlande du Nord, d'Azerbaïdjan et du Luxembourg.

Le contrat de son prédécesseur n'a pas été renouvelé après que Fernandez a échoué à qualifier Israël pour la phase finale de l'Euro 2012. Très critiqué par la presse locale, le Français s'était plaint d'être "remis en cause systématiquement et de ne pas pouvoir travailler".

Israël avait terminé troisième de son groupe de qualification derrière la Grèce et la Croatie.

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Message par rachid_as Dim 8 Jan - 10:15

Colombie : Pekerman va diriger la sélection

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La Fédération colombienne de football (FCF) a conclu un accord avec l'Argentin José Nestor Pekerman pour qu'il dirige la sélection nationale qui dispute actuellement les éliminatoires de la Coupe du monde 2014, selon un communiqué publié jeudi sur son site internet.

Le texte précise que le contrat sera signé dans les prochains jours.

Le nouveau directeur technique national remplacera Leonel Alvarez, limogé le 13 décembre, un peu plus de trois mois après sa prise de fonctions, en raison des mauvais résultats aux éliminatoires de la prochaine Coupe du monde au Brésil.

La Colombie, 6e au classement de la zone Amsud, avait remporté son premier match des qualifications en Bolivie, avant de concéder à domicile un nul face au Venezuela (1-1) et une défaite contre l'Argentine (1-2).

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Message par rachid_as Lun 9 Jan - 10:52

Argentine, Sabella : "Le long terme ne m'intéresse pas"

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A 57 ans, l’Argentin Alejandro Sabella a relevé l’un de ces défis dont rêvent tous les entraîneurs : diriger l’équipe nationale de son propre pays. Désigné au mois d’août à la place de Sergio Batista, l’ancien adjoint de Daniel Passarella à la Coupe du Monde de la FIFA, France 1998 s’est vu remettre les clés de l'Albiceleste avec l’objectif de l’emmener jusqu’à Brésil 2014.

Alors qu’il prépare la reprise de la compétition préliminaire, prévue pour le mois de juin, Sabella, père de quatre enfants et grand amateur de livres d’histoire, a accordé un entretien à FIFA.com avec l’intention de n’éluder aucun sujet. Ses défis, les exigences du poste, l’état du football mondial et un rêve : "Rendre à l’Argentine le statut qu’elle mérite".


M. Sabella, cela fait presque six mois que vous avez pris les rênes de l’Argentine. Que vous attendiez-vous à trouver et qu’avez-vous trouvé ?
Je me sentais investi d’une grande responsabilité et je ressentais aussi un grand amour pour ce maillot. À mon arrivée, j’ai dû m’habituer très rapidement à tout ce qui entoure une équipe nationale. C’est un grand changement par rapport à un club. Heureusement j’avais eu la change de seconder Passarella à l’époque où l’exode des joueurs vers l’étranger avait véritablement démarré. Cela m’a pris un certain temps de prendre mes marques. J’étais également conscient des responsabilités que je prenais et des difficultés de la compétition préliminaire.

Entraîner l’Argentine présente des avantages et des inconvénients. Quels sont les bons et les mauvais côtés ?
Pour un Argentin amateur de footballeur, c’est un summum de diriger l’équipe nationale : il n’y a rien au-delà. Les joueurs, ils rêvent de jouer en première division et d’être convoqués en équipe nationale. Pour un entraîneur, c’est pareil. Ça, c’est le bon côté. En revanche, la pression des résultats n’est pas forcément facile à supporter. Il y en a de plus en plus dans le football, pas seulement en Argentine. Peut-être la pression est-elle un peu plus grande dans les pays latins que dans les anglo-saxons, où la mentalité est différente, mais il y en a partout. Ces choses-là sont moins agréables, mais elles font aussi partie du boulot.

Le contexte que vous décrivez a eu raison, entre autres, des derniers sélectionneurs : Alfio Basile, Diego Maradona et Sergio Batista. Cela vous a-t-il fait hésiter ?
Non, pas du tout. Si je n’ai jamais hésité, c’est en raison de ce que je viens de vous dire. Ce poste, tous les Argentins qui ont entraîné une équipe un jour ou l’autre en rêvent. On n’a pas le droit de refuser, ni même d’hésiter.

Revenons à la compétition préliminaire. On vous a vu fêter avec beaucoup d’émotion la victoire sur la Colombie à Barranquilla. Qu'avez-vous ressenti ?
On venait d’enregistrer un très mauvais résultat contre la Bolivie (1:1 à Buenos Aires), qui nous a injustement tenus en échec, même si on aurait certainement pu mieux jouer. En Colombie, nous avons encaissé le premier but et j’ai commencé à ressentir beaucoup de pression. Je me suis dit qu’il fallait absolument que je trouve le moyen d’inverser la tendance et de rendre à l’Argentine le statut qu’elle mérite.

Est-ce une nécessité d'avoir un tel niveau d’exigence quand on occupe un poste de sélectionneur dans un pays aussi fou de football que l’Argentine ?
Oui, c’est pourquoi je pense qu’il faut savoir baisser d’un cran le niveau d’exigence et de sévérité, notamment dans l’autocritique. C’est important de savoir se remettre en question, mais il faut rester mesuré. Si on ne sait pas s’arrêter, on peut rapidement déprimer, ce qui n’est pas souhaitable.

Voyez-vous un psy ?
Non non, je n’en ai jamais vu ! Une fois j’ai lu que Mao Tsé-toung disait que l’autocritique était un signe de faiblesse. En partie, c’est vrai : poussée à l’extrême, c’en est un. Ça m’a été utile de lire ça, car j’ai toujours été très dur avec moi-même. D’ailleurs, je conseille souvent à mes joueurs de ne pas trop se flageller. Je leur dis d’éviter de garder en tête les erreurs qu’ils ont commises, car ça peut compliquer les choses. Un peu d’autocritique, c’est très sain, c’est même une preuve d’humilité. Si on ne le fait pas, on peut facilement tomber dans l’excès de confiance. Le tout est de savoir rester mesuré, dans toutes les situations.

Revenons au football. Est-ce en défense que vous avez le plus de difficultés à trouver un équilibre ?
Oui, nous avons du mal à trouver la relève. Attention, je dis ça avec beaucoup d’humilité et avec le plus grand respect pour les joueurs actuels. Mais par rapport à notre attaque, qui est composée de Lionel Messi, Gonzalo Higuaín et Sergio Agüero, cela n’a rien de déshonorant de considérer que la défense n’est pas encore au niveau. Le problème, c’est que nous avons très peu de temps pour travailler et trouver des solutions. Il faut surtout chercher à construire un groupe sain, faire en sorte qu’il y ait une bonne ambiance et sensibiliser les joueurs au respect du maillot. C’est ce que font mes joueurs et c’est comme ça qu’ils ont pu renverser la vapeur en seconde mi-temps contre la Colombie.

Êtes-vous un consommateur de médias sportifs ?
Un peu, mais à petite dose. Il y a toujours quelque chose à prendre. Après tout, la critique est bonne à prendre, qu’elle soit positive ou négative. Ça permet de prendre un peu de recul. Les opinions des autres sont parfois utiles.

Après la défaite argentine contre le Venezuela, les médias avaient beaucoup critiqué une phrase que vous aviez prononcée avant la rencontre, selon laquelle vous vous contenteriez d’une victoire "un demi à zéro". Regrettez-vous vos propos ?
Allez, peut-être que pour des raisons historiques, j’ai eu tort de parler d’une victoire "un demi à zéro", mais je ne crois pas que le Venezuela en ait profité. Il faut aussi tenir compte du contexte et ne pas oublier que le Venezuela a beaucoup progressé, que son équipe titulaire s’était reposée lors de la première journée et que le match s’était disputé dans des conditions d’humidité et de chaleur très élevées. Le Venezuela peut se permettre de jouer avec des remplaçants contre l’Équateur : "Tant pis si on perd ce match, mais il faut qu’on soit prêts à jouer contre l’argentine". Mais l’argentine ne peut pas faire ça, par respect pour son histoire. Mon commentaire n’était peut-être pas très heureux, soit, mais je ne crois pas qu’il ait influé sur le moral des Vénézuéliens.

Le Brésil est déjà qualifié pour la Coupe du Monde de la FIFA. Vous avez joué au Brésil et vous connaissez la mentalité du footballeur brésilien. Croyez-vous que le fait de jouer à domicile puisse leur compliquer la tâche ?
C’est une arme à double tranchant de jouer à domicile, donc cela va dépendre de la personnalité des joueurs. Le Brésilien est un footballeur très particulier, avec de grandes qualités. S’il est en confiance, il devient injouable, il vous balade, il se promène… Mais il faudra qu’ils arrivent à bien gérer la pression, qu’ils composent avec l’obligation de devoir remporter le titre. Il faudra voir comment ils gèrent ça. Ils font partie des principaux candidats, c’est indéniable. Ils le sont toujours et ils seront encore plus à domicile. Mais attention, c’est vraiment à double tranchant.

Vous connaissez bien l’Uruguay également, pour avoir secondé Daniel Passarella lors de son passage à la tête de l’équipe. Comment expliquez-vous la bonne période traversée par la Celeste ?
L’Uruguay dispose d’un groupe très costaud, avec des joueurs à forte personnalité qui s’entendent très bien et qui ont le sens de la solidarité et du partage. Ils savent très bien ce que c’est de porter le maillot celeste. Les relations avec le staff sont également très bonnes et ceux qui évoluent en Europe ont énormément progressé. Tout cela a favorisé l’éclosion d’une grande équipe. Avec la confiance que les joueurs ont pu engranger, le système s’est rapidement transformé en un cercle vertueux extrêmement efficace.

Vous regardez beaucoup de football. Quelles équipes nationales vous ont le plus marqué ?
L’Allemagne et l’Espagne sont au-dessus. L’Allemagne est en pleine forme, elle a beaucoup progressé. Elle a plusieurs jeunes très talentueux, qui complètent à merveille les Thomas Mueller et autres joueurs plus établis comme Philipp Lahm ou Bastian Schweinsteiger… Depuis le changement de génération, ce groupe a su engranger de l’expérience et s’améliorer constamment. L’Espagne est elle aussi à son meilleur niveau. Quand on est champion du monde, on se permet parfois quelques relâchements, mais son potentiel est énorme. Ce sont les deux équipes qui se détachent… Avec le Brésil, bien sûr ! J’oubliais le Brésil, pardon ! Le Brésil est toujours dans le coup, c’est le quintuple champion du monde.

Avant de conclure, parlons de Lionel Messi. Qu’est-ce qui vous a le plus surpris chez lui en tant que personne ?
Qu’il était le meilleur joueur du monde et le plus déstabilisant, je le savais déjà. En le voyant de près, j’ai été étonné par sa capacité à changer de rythme, son explosivité et son maniement du ballon en course. Il me rappelle les vieux circuits qu’on avait quand j’étais gosse. Les petites voitures étaient tout de suite au maximum, un peu comme lui. Mais ce qui m’a le plus surpris, c’est ce qu’il suscite auprès des fans. En Inde et au Bangladesh, c’était de la folie furieuse. Au Venezuela aussi, tout comme en Colombie. Il éveille chez les gens un sentiment d’idolâtrie extrêmement violent. C’est vraiment frappant.

Dernière question, vous voyez-vous à la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014 ?
Non. Pour l’instant, je me vois juste en train d’affronter la Suisse au mois de février. Après, on verra. J’avance match après match et je me concentre sur mon travail. Ceci n’a rien à voir avec l’équipe nationale, mais avec le travail en général. Le long terme ne m’intéresse pas : mon truc, c’est le court et le moyen termes. Chaque chose en son temps.

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Message par adsm Lun 9 Jan - 14:16

rachid_as a écrit:Argentine, Sabella : "Le long terme ne m'intéresse pas"

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Message par rachid_as Mar 10 Jan - 12:22

Metsu : "L'Asie a fait un bond en avant"

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En match d'ouverture de la Coupe du Monde de la FIFA, Corée/Japon 2002™, la France s'est fait surprendre par le Sénégal, nouveau venu dans la compétition. Par la suite, les Lions de la Teranga ont continué sur leur lancée et échoué à deux doigts des demi-finales. Ce succès doit beaucoup au technicien français Bruno Metsu, devenu grâce aux exploits de ses protégés un entraîneur renommé sur la scène internationale.

Après l'Afrique, Metsu a pris la direction du continent asiatique et plus précisément du Golfe. Avec le club émirati d'Al Ain, il a remporté la Ligue des champions de l'AFC. Il a également fait le bonheur de sélections nationales, offrant la Coupe du Golfe aux Émirats Arabes Unis et emmenant le Qatar à un stade avancé de la Coupe d'Asie des Nations de l'AFC.

Aujourd'hui à la tête d'Al-Gharrafa, à Doha, l’ancien entraîneur de Sedan a accepté de revenir sur son parcours exceptionnel au micro de FIFA.com.


M. Metsu, le monde vous a découvert à la Coupe du Monde de la FIFA, Corée/Japon 2002™, alors que vous étiez à la tête du Sénégal. Que retenez-vous de cette expérience ?
J'ai entraîné pendant plus de dix ans avant cette compétition, mais c'est vrai que cette expérience a été exceptionnelle et m'a révélé aux yeux du public mondial. J'ai appris beaucoup de choses, aussi bien sur le plan humain que sur le plan professionnel. Je me suis acharné à construire et renforcer l'équipe. Nous étions devenus une famille soudée, où tout le monde voulait gagner. Chacun était conscient de l'importance de la cohésion et, lorsque nous avons obtenu notre sésame pour la Coupe du Monde, nous nous sommes juré de représenter au mieux l'Afrique, pour cette première participation du Sénégal à la grande fête du football.

Comment avez-vous obtenu de tels résultats et quel impact ont-ils eu sur vous ?
Personne n'aurait misé un kopeck sur nous. Nous étions dans le groupe très relevé de la France, de l'Uruguay et du Danemark. Mais en Coupe du Monde, beaucoup de facteurs entrent en jeu. Au milieu de ces grosses équipes, nous étions libérés de toute pression. Notre esprit combatif s'est aiguisé et nous n'avions peur de personne. Nous voulions à tout prix faire mentir les pronostics. Cela s'est traduit sur le terrain. Après notre victoire au match d'ouverture face à la France, championne du monde en titre, les joueurs se sont senti pousser des ailes. Nous avons réussi à nous qualifier pour le second tour en épatant tout le monde. Nous avons continué face à la Suède, portés par notre soif de victoires. En quart de finale, face à la Turquie, les médias commençaient à parler de notre qualification en demi-finale et cela a peut-être indirectement affaibli notre détermination. Mais les joueurs ont tout de même été à la hauteur, j'étais satisfait de leur performance. La victoire tient à des petits détails, que nous avons négligés. Nous avons dit adieu à la compétition, laissant échapper une occasion historique. Cela dit, le bilan de cette compétition reste très positif.

Vous avez ensuite pris les rênes du club émirati d'Al Ain. Comment avez-vous géré la transition d'une équipe nationale disputant la Coupe du Monde de la FIFA™ à un club en plein développement ?
Il y a une différence certaine entre les métiers de sélectionneur et d'entraîneur de club. Je voulais retrouver un rythme de travail quotidien et je pensais que le club d'Al Ain m'offrirait un environnement adéquat. Je n'ai pas été déçu puisque j'y ai trouvé tout ce dont j'avais besoin pour construire une équipe. J'ai fait profiter le club de mon expérience et j'ai travaillé sur les petits détails qui font toute la différence. Les efforts de tout le groupe ont été récompensés par la première Ligue des champions de l'AFC nouvelle formule.

Vous avez ensuite pris en main les sélections émiratie et qatarie. Que vous a apporté cette étape dans votre carrière ?
Après Al Ain, j'avais besoin d'une nouvelle aventure et je me suis rendu au Qatar, où j'ai dirigé Al Gharrafa. Avec ce club, j'ai remporté deux titres majeurs. Puis l'envie de redevenir sélectionneur me titillait. J'ai reçu une offre des Émirats Arabes Unis et, connaissant le pays, je n'ai pas hésité une seule seconde à accepter le poste. Nous avons fait du bon boulot là-bas, remportant au passage la Coupe du Golfe, attendue par les fans locaux depuis 33 ans. Nous nous sommes donnés à fond, les joueurs ont fourni des efforts surhumains et j'étais très heureux d'obtenir de tels résultats.

Le poste de sélectionneur du Qatar était donc une suite logique ?
Après les Émirats Arabes Unis, le Qatar m'a contacté pour prendre la direction de l'équipe pour la Coupe d'Asie 2011, qu'il organisait. C'était une expérience complètement différente. Nous n'avions pas assez de temps pour préparer les joueurs et faire progresser l'équipe. Malgré tout, nous sommes parvenus à gérer la ferveur du public et à digérer la défaite contre l'Ouzbékistan en ouverture, et à nous qualifier pour le second tour. Nous avons dit au revoir à la compétition face au Japon, champion en titre, face auquel nous avons bien joué mais nous avons manqué de chance en nous inclinant 2:3 à la dernière minute. J'étais globalement satisfait de la performance de mon équipe, même si nous aurions pu aller plus loin. Cette saison, j'ai décidé de retourner à Al Gharrafa, où nous travaillons actuellement à reconquérir le titre national et à aller le plus loin possible en Ligue des champions.

Vous connaissez par cœur le football asiatique. Quels sont vos pronostics pour le dernier tour des qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA 2014 ? Quelles équipes voyez-vous au Brésil ?
Le football asiatique a fait un bond en avant. Mes favoris sont l'Australie et le Japon, qui possèdent de nombreux joueurs dans les championnats européens et dont le style de jeu est supérieur aux autres équipes. Cela dit, ils devront batailler dur pour obtenir leur sésame. Les premiers tours des qualifications n'ont déjà pas été une partie de plaisir devant des adversaires modestes et la phase finale sera bien plus relevée. Il ne faut pas oublier les équipes expérimentées comme la République de Corée, qui n'est pas encore qualifiée, et l'Iran, qui possède des individualités talentueuses, tout comme l'Arabie Saoudite. D'autres équipes progressent et sont capables de créer la surprise, telles que l'Irak, la Jordanie et l'Ouzbékistan. Ces qualifications seront passionnantes.

Parlons de la France. Que pensez-vous des chances des Bleus au prochain UEFA EURO 2012 ?
L'équipe de France a connu une période délicate lors de la dernière Coupe du Monde. Elle était confrontée à une lourde pression et de grandes attentes, mais elle n'a pas trouvé la bonne formule. Le niveau de nos individualités a baissé et nous n'avons plus de grand joueur charismatique autour duquel souder le groupe, comme c'était le cas avec Platini dans les années 80, puis Zidane dans la dernière décennie. Nous n'avons plus de joueurs de ce calibre en équipe nationale. Certes, il y a des éléments talentueux comme Karim Benzema, mais il manque un joueur d'exception. C'est pourquoi je doute de la capacité de l'équipe à franchir le premier tour. S’ils veulent y parvenir, ils doivent travailler à fond dans les prochains mois pour faire peau neuve.

Après le sacre de Lionel Messi et Pep Guardiola lors du Gala FIFA Ballon d'Or 2011, que pensez-vous des exploits du FC Barcelone ?
C'est la plus belle équipe actuelle. Tous les joueurs évoluent en harmonie, ils pratiquent un football différent. On sent qu'ils prennent leur pied sur le terrain à l'intérieur du schéma tactique. Ils sont parvenus à éblouir le public tout en raflant les titres. Lionel Messi est un joueur hors norme. Il accomplit des choses incroyables et permet à l'équipe de faire la différence à tout moment. Si les Barcelonais conservent leur niveau actuel, je pense que personne ne pourra les arrêter et qu'ils resteront un bon bout de temps au sommet.

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Message par rachid_as Mar 10 Jan - 12:24

Caras nouveau sélectionneur moldave

L'ancien manager de l'équipe de Moldavie Ion Caras, a été nommé entraîneur national, rapporte mardi la presse locale.

Caras 61 ans, qui a déjà occupé ce poste, a signé un contrat d'une durée de deux ans avec la Fédération moldave. Il succède au Roumain Gabi Balint qui avait démissionné après la non qualification pour l'Euro-2012.

Ion Caras a été le premier sélectionneur de la Moldavie indépendante, en 1991. Il était sélectionneur lors des qualifications pour l'Euro-1996 et pour les qualifications à la Coupe du monde 1998. Il avait démissionné en 1997.

Il débutera son nouveau mandat contre le Belarus, lors d'un match amical, le mois prochain.

Cara a également entraîné les clubs du FC Politehnica Chisinau et du FC Zimbru Chisinau.

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Message par rachid_as Mer 11 Jan - 9:49

Eusébio a quitté l'hôpital

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Eusébio, l'ancienne gloire du football portugais hospitalisée la semaine dernière après avoir été soignée pour une pneumonie fin décembre, a quitté l'hôpital mardi, a-t-on appris de source hospitalière.

Eusébio, souffrant d'une cervicalgie aiguë, avait été admis mercredi dernier à l'hôpital de la Luz à Lisbonne quelques jours à peine après avoir quitté l'établissement où il était resté une dizaine de jours afin d'y être traité pour une double pneumonie.

Originaire du Mozambique, une ancienne colonie portugaise, l'ancien international portugais qui aura 70 ans fin janvier s'était illustré au cours de sa carrière dans le club lisboète du Benfica avec lequel il a notamment remporté deux fois la Coupe d'Europe des clubs champions (ancêtre de l'actuelle Ligue des champions) en 1961 et 1962.

Surnommé "la Panthère noire", il a également aidé la sélection portugaise à décrocher la troisième place lors de la Coupe du monde 1966.

Ballon d'Or en 1965, Eusébio a également été désigné deux fois meilleur buteur européen (soulier d'or) en 1968 et 1973.

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Message par rachid_as Ven 13 Jan - 14:48

Felipe Melo : "C'est une renaissance"

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Quitter l'un des meilleurs championnats de la planète pour s'aventurer dans un pays moins coté sur le plan footballistique est toujours un pari risqué. C'est celui tenté par Felipe Melo qui, après une saison compliquée en Italie et en Seleção, a décidé de relancer sa carrière à Galatasaray. Depuis, le milieu de terrain brésilien a retrouvé le plaisir de jouer, au point de qualifier son expérience turque de "renaissance".

Le nouveau numéro 10 du grand club stambouliote, qui occupe actuellement le fauteuil de leader dans le championnat turc, n'élude aucun sujet dans son entretien avec FIFA.com. Il évoque tour à tour le bonheur retrouvé sur les gazons turcs et son espoir de revenir dans une équipe du Brésil qu'il avait quittée par la petite porte en 2010 : "Ce n'est pas à cause d'une exclusion que les portes de la Seleção se ferment à jamais", affirme-t-il.


Felipe Melo, comment expliquez-vous votre départ de la Juventus pour Galatasaray, un club qui ne dispute pas de compétition européenne cette année ?
Le plus important pour n'importe quel joueur, c'est de sentir qu'il est important pour son club. On m'a souvent demandé pourquoi j'étais parti pour Galatasaray alors que je goûtais à une certaine tranquillité à la Juve. Mais c'est précisément pour ça que je suis parti : parce que je cherchais un nouveau défi. Je voulais aller dans un club qui avait l'ambition de remporter des titres et dans lequel je pouvais vraiment faire une différence. J'ai trouvé tout cela ici.

Sortir un peu des médias, après la période agitée de 2010, pourrait-il aider à votre retour au premier plan ?
Si vous faites référence à mes deux dernières années à la Juventus, on peut effectivement dire que sur le plan collectif, elles ont été horribles. Dans ce genre de situation, c'est la réputation de toutes les individualités du groupe qui est touchée. Nous sommes passés à côté de tous nos objectifs, à savoir être champions d'Italie et nous qualifier pour une grande compétition européenne. De ce côté-là, j'ai retrouvé une grande sérénité. Je suis dans une équipe qui pratique un bon football et je suis redevenu une idole pour les supporters. En ce sens, oui, on peut dire que c'est une renaissance. Autrement dit, je pense que j'ai pris la bonne décision. Je ne suis peut-être pas au plus haut niveau de ma carrière, mais je m'en approche de nouveau.

Vous avez déjà marqué quatre buts en Turquie, dont trois au cours des premières journées du championnat. On ne vous connaissait pas ces qualités de buteur…
C'est dû au fait que j'ai plus de liberté qu'à la Juventus. Depuis le début à Galatasaray, l'entraîneur me répète que je peux monter quand je veux, pour créer le surnombre. Je sais que je serai couvert derrière. Mon père me dit toujours qu'un bon match, c'est un marquage irréprochable, au moins quatre montées, un tir, et pas plus de deux passes manquées. J'essaie de garder ça à l'esprit.

Vous portez le numéro 10. C'est inhabituel pour un milieu défensif. Est-ce que cela signifie que vous avez plus de responsabilités ?
La responsabilité n'est pas liée au numéro, mais à l'écusson qui est sur votre maillot. Mais peut-être que le numéro 10 me donne des qualités en plus, allez savoir (rires). Quand je fais une belle passe ou que je pivote sur moi-même à la Ronaldinho, je me dis que c'est grâce au numéro que j'ai dans le dos (rires).

Vous êtes avant tout un combattant. C'est l'une de vos grandes qualités. D'ailleurs, les gens ici vous ont surnommé "pitbull". Cela vous convient-il ?
En Italie, c'était "le Gladiateur", ici c'est "pitbull". Ça ne me dérange pas. Après tout, c'est à la fois mon rôle et mon style. Je suis là pour faire de la place et pour anéantir les actions adverses. C'est une tâche qui me convient. Ce que j'aime bien dans ce rôle, c'est que ça permet aussi de motiver tout le monde. Vous êtes amené à montrer l'exemple. Ça donne de l'énergie à vos coéquipiers. Le problème, c'est que ce nom de "pitbull" a une connotation négative. Ça fait penser à un joueur qui ne court que pour faire mal, ce qui ne me correspond pas du tout. Je sais que j'ai des qualités, par exemple dans la passe. Je connais mes statistiques et je sais que je fais peu d'erreurs dans les transmissions. Lors de la dernière Coupe du Monde, j'ai eu l'un des meilleurs pourcentages de passes réussies sur l'ensemble de la compétition. C'est moi qui ai fait la passe décisive à Robinho pour l'ouverture du score contre les Pays-Bas. Je travaille énormément mes passes à l'entraînement. C'est donc un peu réducteur de dire que je suis un pitbull. Si j'en suis un, alors je suis un pitbull qui a de la classe (rires).

Cela vous embête-t-il qu'on ne retienne que le côté négatif ?
Non, plus maintenant. J'ai appris à vivre avec ça et en plus, certaines critiques sont constructives. Elles permettent d'apprendre. J'ai beaucoup entendu dire que Felipe Melo était un joueur qui avait les nerfs à fleur de peau, et qui par conséquent pouvait être exclu à n'importe quel moment. C'est une critique, mais pas une analyse. Ça repose sur une action, dans un match. En plus, ça ne prend pas en compte le fait que j'ai changé depuis. J'ai progressé. Certes, j'ai pris des cartons jaunes et des rouges. Mais on oublie un peu vite tout ce que j'ai fait pour la Seleção par exemple. Dans la dernière Coupe des Confédérations, nous avons gagné le trophée en concédant une seule défaite et j'ai joué tous les matches, de la première à la dernière minute. Tout ça a été anéanti en une seconde pour ce geste sur Arjen Robben. Aujourd'hui, les choses sont différentes. Je prends beaucoup moins de cartons que par le passé.

Pour revenir sur cette Coupe du Monde de la FIFA™ en Afrique du Sud, quelle leçon en avez-vous tirée ? Cela vous a-t-il aidé à progresser ?
Oui, sans aucun doute. La famille m'a beaucoup aidé dans ce processus. Après, tout est question de caractère. Il faut avoir la force de vouloir changer. J'ai une personnalité forte, impulsive. Ça m'a attiré des ennuis, mais maintenant ça me donne la force pour changer et m'améliorer. J'ai compris que je devais apprendre à me contrôler. J'ai aussi réalisé qu'il n'y a que dans la défaite qu'on apprend quelque chose.

Êtes-vous toujours dans la course pour une place en Seleção ?
Je n'ai jamais couru après une place en Seleção. Si je le mérite, ça viendra naturellement. Ce qui est sûr, c'est que ce n'est plus un rêve pour moi, parce que ça a déjà été une réalité pendant assez longtemps. Cela dit, ça reste un objectif prioritaire. Je veux revenir pour défendre les couleurs de mon pays et c'est pour cela que je continue de me donner à fond, match après match. Si je continue comme ça, que le club continue d'obtenir de bons résultats et que je prends peu de cartons, alors je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas revenir en Seleção. Tous les chiffres parlent pour moi. Il y avait le problème des exclusions mais à partir du moment où j'y remédie, je sais que je peux revenir en équipe nationale.

À votre poste, le sélectionneur brésilien, Mano Menezes, est toujours en train d'expérimenter. Aujourd'hui, c'est Fernandinho qui semble avoir sa préférence. Menezes souligne la qualité de son jeu de passe, ce qui est l'une de vos grandes qualités également...
Je crois que dans ce secteur, le seul vrai titulaire est Lucas, mais actuellement il est blessé. Après, Mano a testé des joueurs comme Elias, Luiz Gustavo, Fernandinho, Ralf... Avec tout le respect que je dois à tout le monde, j'espère qu'on me donnera une nouvelle chance. Ce n'est pas pour une exclusion que les portes de la Seleção se ferment à jamais. Je travaillerai jusqu'à la dernière minute pour revenir en équipe nationale, car je veux être champion du monde dans mon pays.

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Message par rachid_as Lun 30 Jan - 13:59

Roberto Carlos arrêtera sa carrière en décembre

International -News - Page 23 1537628_medium

L'arrière gauche brésilien Roberto Carlos, champion du monde en 2002 et joueur de légende du Real Madrid, qui évolue désormais en Russie à Anji Makhatchkala, arrêtera sa carrière "en décembre" de cette année, a révélé le joueur au quotidien espagnol Marca de lundi.

"Mon contrat comme joueur de l'Anji se termine en juin 2013. Mais en décembre, j'ai la possibilité d'arrêter de jouer. Après, je resterai au club comme adjoint du président Suleiman Kerimov. Il m'a demandé de l'aider à renforcer la structure du club pour les 10 prochaines années", a expliqué Roberto Carlos.

"Je ne m'en vais pas parce que je suis blessé, mais parce que ma carrière sportive a été complète, a-t-il ajouté. J'ai joué à Palmeiras, à l'Inter, au Real Madrid... J'ai vécu tout ce que j'avais à vivre comme joueur".

Roberto Carlos, 38 ans, met ainsi le point final à une trajectoire qui l'aura notamment vu remporter la Coupe du monde 2002 avec le Brésil, ainsi que trois Ligues des Champions et trois championnats d'Espagne avec le Real de Ronaldo et de Zidane.

A l'heure du bilan, il confie à Marca que s'il "devait retenir un match, ce serait sans doute la finale contre la Juventus", avec le Real en 1998.

"Elle nous a apporté le septième titre de Ligue des Champions (de l'histoire du club madrilène). Gagner ce titre 32 ans après le sixième signifiait beaucoup pour moi et pour tous les supporteurs madrilènes (...) Ensuite, je n'ai qu'un regret: ne pas avoir pu remporter la Coupe du roi", ajoute-t-il.

Quant à ses fameux buts (104 au total en club), marqués de cette frappe de balle si caractéristique, puissante et travaillée à la fois, il en retient deux: "celui que j'ai marqué avec le Brésil contre la France, sur coup franc, lors de la Coupe des Confédérations 1997. L'effet du ballon fut fantastique. Et celui que j'ai inscrit depuis le point de corner avec le Real contre Tenerife".

"Je crois que Cafu et moi avons démontré que les latéraux ne doivent pas seulement défendre (...) Nous étions très offensifs, mais nous avons aussi été critiqués pour cela. Mais je me souviens que Zidane voulait toujours que je joue à ses côtés, il disait que celui avec qui il s'associait le mieux, c'était moi", conclut Roberto Carlos.

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