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Message par rachid_as Dim 2 Sep - 14:27

Del Piero va rejoindre le Sydney FC

International -News - Page 29 1690801_medium

L'ancien international italien Alessandro Del Piero, sans club depuis la fin de son contrat avec la Juventus Turin, va rejoindre le Sydney FC, a annoncé vendredi le club australien qui présente ce transfert comme un événement "énorme".

"C'est énorme pour le Sydney FC, c'est énorme pour le Championnat d'Australie, c'est énorme pour le football australien, nous sommes très fiers de la décision prise en notre faveur par Alessandro", a indiqué le président du club, Scott Barlow, sur son site internet.

Tony Pignata, le directeur exécutif du club, doit se rendre en Italie ce week-end pour finaliser la signature du contrat, a précisé le club dans son communiqué.

La durée du contrat n'a pas été précisée.

Le Sydney FC a remporté le titre de champion d'Australie à deux reprises (2006, 2010) depuis sa création en 2004 et a compté dans son effectif l'ancien buteur de Manchester United, Dwight Yorke.

Agé de 37 ans, Del Piero qui a fait toute sa carrière à la Juventus où il a remporté six titres de champion d'Italie et la Ligue des champions 1996, était notamment convoité par le club suisse du FC Sion.

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Message par rachid_as Dim 2 Sep - 14:39

Supercoupe d'Europe : L'Atlético terrasse Chelsea

International -News - Page 29 1692982_medium

L'Atletico Madrid, vainqueur de l'Europa League, a remporté la Supercoupe d'Europe, grâce notamment à un triplé de son "Tigre", l'avant-centre colombien Radamel Falcao, bourreau de Chelsea, vainqueur de la Ligue des Champions, humilié finalement 4 à 1, vendredi à Monaco.

On disait que Torres serait motivé à l'idée de rencontrer son club formateur de l'Atletico, sous les yeux de Vicente Del Bosque, sélectionneur de l'Espagne, championne du monde et d'Europe en titre, en tribunes à Louis II. On disait qu'Hazard redonnait des couleurs au jeu des "Blues". Mais c'était oublier un peu vite Falcao, la machine à marquer, auréolé d'un titre de meilleur buteur de l'UEFA Europa League (12 buts) la saison passée.

Le "Tigre", son surnom, a fait vivre une soirée de cauchemar au gardien de Chelsea, Cech, un des meilleurs au monde à son poste, qui n'a rien pu faire devant l'ancien joueur de River Plate et Porto.

Falcao s'est d'abord offert un lob avec poteau rentrant sur lequel David Luiz n'a pu que se jeter en vain (1-0, 7e). Ensuite, le Colombien a enroulé de l'autre côté une balle divine (2-0, 19e). Puis, enfin, Arda Turan a temporisé en attendant l'arrivée de la flèche Falcao, pourtant parti en retard sur l'action, qui signait son triplé (3-0, 45e). Roberto Di Matteo, coach de Chelsea, rentrait aux vestiaires à la mi-temps avec un sacré blues. Miranda a donné le coup de grâce ensuite (4-0, 60e). Cahill a sauvé l'honneur (4-1, 75e).

Torres et Hazard à la peine
Et l'addition aurait pu être bien plus corsée si ce diable de Colombien n'avait pas trouvé la transversale des Londoniens (4e) et un poteau (35e).

Dans les rangs de Chelsea, Torres a été pratiquement inexistant, privé de ballons. Hazard n'a pu placer que quelques démarrages, mais a subi les fautes malicieuses de Juanfran ou Mario Suarez.

Plus généralement, les Madrilènes ont profité des largesses défensives d'un Lampard laissant trop d'espace entre le milieu de terrain et les lignes arrières. Et Falcao s'est chargé de désorganiser le maillage des Blues obligeant Mikel et Cole à quitter leurs postes pour s'occuper de lui, en pure perte.

L'attaquant de la sélection colombienne a donc livré un beau feu d'artifice au Stade Louis II qui vivait sa dernière Supercoupe d'Europe. Désormais ce match lançant la saison européenne va tourner dans différentes villes européennes. L'an prochain, ce sera Prague, puis Cardiff, puis Tbilissi.

Vicente Del Bosque, lui, n'était pas dépaysé. Il a entendu des "yo soy espanol" (je suis espagnol) chantés à pleins poumons par les fans madrilènes toute la nuit.

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Message par rachid_as Mar 4 Sep - 11:43

Eriksson rebondit en Thaïlande

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Le Suédois Sven-Goran Eriksson, ancien sélectionneur de l'équipe d'Angleterre, est le nouveau directeur technique du club de 1re division thaïlandaise de Tero Sasana, ont annoncé lundi les dirigeants du club de Bangkok.

Eriksson, 64 ans, sera chargé de superviser les séances d'entraînement et les adversaires de l'équipe entraînée par le Belge Robert Procureur.

Il s'est engagé dans un premier temps jusqu'au terme de la saison actuelle qui prend fin le mois prochain.

"Je ne sais pas ce qu'en disent les gens, mais j'ai décidé d'accepter ce poste, car je peux aider" à faire progresser le football thaïlandais, a assuré Eriksson qui a travaillé en Suède (Göteborg), au Portugal (Benfica), en Italie (AS Rome, Fiorentina et Lazio Rome) et Angleterre (Manchester City).

"C'est la première fois que je vais travailler en Asie et je suis impatient d'assister à des matches", a ajouté le technicien scandinave.

Depuis qu'il a quitté son poste de sélectionneur de l'Angleterre (2001-06), Eriksson a enchaîné les échecs, à Manchester City (2007-08), à la tête de la sélection du Mexique (2008-09), puis de Côte d'Ivoire (2010), ou accepté des missions surprenantes dans des clubs ayant perdu leur prestige comme Nottingham County (2009-10) ou Leicester City (2010-11).

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Message par rachid_as Mar 4 Sep - 12:09

Shafi garde les rêves de la Jordanie

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La Jordanie possède un des meilleurs gardiens d'Asie depuis plusieurs années, sur lequel elle peut compter dans les moments cruciaux. Les Al Nashama comptent donc sur Amer Sabbah Shafi pour obtenir leur sésame pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, après l'accession historique du pays au dernier tour des qualifications.

Lors des deux premières journées dans la zone Asie, les Jordaniens ont fait match nul (1:1) à domicile face à l'Irak, avant de tomber lourdement (0:6) au Japon. Ils sont donc dans l'obligation d'obtenir un résultat positif à Amman face à l'Australie, le 11 septembre prochain. "Nous n'avons récolté qu'un seul point lors des deux premières journées, ce qui nous met dans une situation compliquée", admet le portier au micro de FIFA.com. "Nous ne pouvons plus laisser passer le moindre point à Amman. L'Australie possède de nombreux joueurs évoluant dans les plus grands championnats du monde et cela nous encourage à donner le meilleur de nous-mêmes pour relever le défi."

Habitué des rencontres au sommet, il a tenu tête aux meilleures équipes lors des Coupes d'Asie des Nations de l'AFC 2004 et 2011, en tant que jeune gardien prometteur puis comme capitaine expérimenté. La Baleine , l'un de ses nombreux surnoms, devra se montrer agile face aux Socceroos. "Je m'entraîne de manière intensive pour être au top le jour du match", confie-t-il. "Cette rencontre est très importante pour moi et je dois être à la hauteur pour mes coéquipiers et les supporters, qui attendent beaucoup de moi. Je leur promets que je répondrai présent".

Le parcours du combattant
Peu de gens auraient misé sur une qualification des Al Nashama pour ce dernier tour, mais ils ont franchi les obstacles pour atteindre ce stade pour la première fois de leur histoire. "Personne ne nous voyait arriver jusque-là au coup d'envoi des qualifications, d'autant que nous étions dans le même groupe que l'Irak et la RP Chine", se souvient Shafi. "Mais nous sommes armés pour affronter les meilleures formations. Depuis la Coupe d'Asie au Qatar, où nous avons été éliminés de justesse en quart de finale, nous sommes en progression constante. Nous étions déterminés à atteindre ce stade des qualifications pour la première fois."

Toujours à la recherche de sa première victoire dans ce dernier tour, la Jordanie espère vite retrouver l'efficacité. "Nous avons montré un beau visage face à l'Irak, mais contre le Japon, nous avons été débordés et le sort s'est acharné sur nous", juge le dernier rempart jordanien. "En plus d'un très long voyage et du décalage horaire, nous étions privés de plusieurs cadres. Nous ne pensions pas perdre par une aussi grande marge, mais cette rencontre fait désormais partie du passé, mais ce qui s'est passé va redoubler notre motivation. Toutes les équipes se tiennent et nous comptons bien conquérir les points nécessaires."

Et Amer Shafi sait mieux que personne que les Jordaniens prendront trois points si les attaquants marquent, mais que face à une redoutable Australie, ils pourront en sauver au moins un si le gardien est à son meilleur niveau.

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Message par rachid_as Mer 5 Sep - 19:39

Del Piero au Sydney FC

International -News - Page 29 1694392_medium

L'ancien international italien Alessandro Del Piero, sans club depuis la fin de son contrat avec la Juventus Turin en juin, a annoncé mercredi avoir signé avec le Sydney FC.

"Je suis content de pouvoir vivre cette nouvelle aventure, il s'agit d'un jour spécial pour moi", a expliqué l'ex-champion du monde (2006) lors d'une conférence de presse à Turin, en précisant qu'il serait "Australien pendant deux ans".

Selon les médias italiens, le club australien a emporté la mise pour 1,6 million d'euros par an.

Le joueur a dit partir avec l'intention de "gagner et permettre à (sa) nouvelle équipe d'évoluer".

Le directeur exécutif du FC Sydney, Tony Pignatta, s'est réjoui de ce transfert en le qualifiant d'"opportunité fantastique pour nous et, plus généralement pour le foot australien". "Nous sommes très fiers de la décision prise" par Del Piero, a-t-il ajouté.

Plusieurs clubs avaient convoité Alessandro Del Piero ces derniers mois, notamment le club suisse du FC Sion et le club anglais de Liverpool.

"Je veux remercier tous les clubs qui se sont montrés intéressés", a poursuivi le joueur, en soulignant avoir "aussi reçu plusieurs offres d'équipes italiennes".

Il s'est dit conscient d'avoir fait "un choix assez radical". "Mais ici ma carrière est finie. Je suis à la recherche de nouveauté, d'une perspective différente. Voilà pourquoi j'ai choisi l'Australie, je n'ai aucun regret", a-t-il poursuivi.

Del Piero a promis malgré tout de continuer "à soutenir comme supporteur" la Juventus de Turin, le club qu'il n'a jamais quitté en 19 ans de carrière.

Agé de 37 ans, Alessandro Del Piero avait débuté sa carrière en septembre 1993 à la Juve, remportant notamment une Ligue des champions et six titres de champion d'Italie et inscrivant 289 buts. Il a aussi remporté avec l'Italie la Coupe du monde 2006.

Le Sydney FC a remporté le titre de champion d'Australie à deux reprises (2006, 2010) depuis sa création en 2004 et a compté dans son effectif l'ancien buteur de Manchester United, Dwight Yorke. Le club a été acheté en 2010 par le multi-millionnaire russe David Traktovenko.

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Message par rachid_as Lun 10 Sep - 11:31

Australie, Schwarzer : "Un grand honneur"

International -News - Page 29 1696523_FULL-LND

Lorsque, du haut de ses 20 ans, Mark Schwarzer est entré sur la pelouse du stade du Commonwealth à Edmonton en match aller des barrages intercontinentaux pour la Coupe du Monde de la FIFA, États-Unis 1994™ suite à l'exclusion du gardien titulaire, il était bien loin de se douter que ce 31 juillet 1993 marquerait le début d'une longue carrière avec l'Australie.

En détournant deux tirs au but canadiens, il a mené l'Australie au second tour des barrages. Les Socceroos n'ont certes pas obtenu leur sésame pour États-Unis 1994 puisque l'Argentine leur a finalement barré la route, mais Schwarzer gardait toujours les cages de la sélection nationale 12 ans plus tard, à l'occasion d'un nouveau barrage intercontinental pour Allemagne 2006™, cette fois face à l'Uruguay.

Après une défaite (0:1) à Montevideo le 12 novembre 2005, Schwarzer s'est illustré quatre jours plus tard en détournant deux tirs au but adverses, comme en 1993. Grâce à lui, l'Australie s'est qualifiée pour la Coupe du Monde de la FIFA™ pour la première fois en 32 ans.

Jeudi 6 septembre 2012, le portier avait une nouvelle fois rendez-vous avec l'histoire : il est devenu le premier Australien à dépasser le seuil des 100 sélections, lors d'un match amical face au Liban. FIFA.com y était et a rencontré le joueur de Fulham.


Qu'est-ce que cela vous fait d'entrer dans le club très fermé des joueurs aux cent sélections ?
C'est un grand honneur pour moi. J'essaye de ne pas trop y penser mais je crois qu'avec davantage de recul, je prendrai conscience de cet exploit. Avec mes coéquipiers, nous voulions seulement nous qualifier pour la Coupe du Monde et nous y sommes parvenus à la sueur de notre front. Plus tard, j'espère que je serai fier et satisfait de ma carrière.

Vous avez joué votre premier match officiel en sélection en 1993. Aviez-vous la moindre idée de ce qui vous attendait, à l'époque ?
Jamais je n'aurais pensé accomplir autant de choses. La qualification pour Allemagne 2006 est un exploit qui arrive au terme d'une absence de 32 ans. Après avoir découvert cette compétition, je voulais y goûter une deuxième fois. Je pensais qu'Afrique du Sud 2010 serait ma dernière Coupe du Monde mais je n'ai pas réussi à arrêter ! Après avoir atteint mon 75ème match, je me suis dit qu'en continuant un peu, la barre des 100 serait à ma portée. Mon principal objectif a toujours été la qualification pour la Coupe du Monde et il le reste aujourd'hui.

Après un démarrage relativement lent avec deux points seulement en deux matches, la tâche semble très compliquée. Y coryez-vous encore ?
Les deux premiers matches ont été très difficiles, avec des conditions climatiques difficiles à Oman, en juin. Nous sommes rentrés en Australie avec un voyage de 23 heures qui nous a fait arriver trois jours seulement avant le deuxième match, alors que les Japonais étaient déjà sur place. Malgré cela, je pense que nous avons été à la hauteur.

Quelle est l'équipe la plus dangereuse de votre groupe ?
Il ne faut en prendre aucune à la légère, surtout en déplacement. La sélection omanaise a montré combien elle était difficile à manœuvrer sur ses terres et je suis convaincu que la Jordanie sera au top la semaine prochaine pour nous recevoir. Je peux en dire autant pour l'Irak, que nous connaissons bien et qui nous donne toujours du fil à retordre. Nous jouons tous ces matches pour nous qualifier pour la plus grande compétition mondiale de football et nous savons que les autres formations sont aussi motivées que nous.

Que représenterait, pour vous et pour l'Australie, une nouvelle qualification pour la Coupe du Monde de la FIFA™ ?
C'est très important pour que notre football continue à se développer. La qualification permet d'attirer des supporters et de susciter davantage d'intérêt. Nous nous devons de continuer sur notre lancée et d'enchaîner les bons résultats car les Australiens n'aiment pas perdre. Je peux vous garantir que nous ferons tout pour les satisfaire.

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Message par rachid_as Dim 16 Sep - 11:34

Accueil triomphal pour Del Piero à Sydney

International -News - Page 29 1696330_medium

L'ancien international italien Alessandro Del Piero, recruté à la surprise générale par le Sydney FC, a reçu un accueil enthousiaste et triomphal à son arrivée en Australie dimanche.

Pour ses premiers pas à Sydney, Del Piero, accompagné de sa femme et de ses enfants, était attendu à l'aéroport par quelque 500 supporteurs de son nouveau club et membres de la communauté italienne installés en Australie.

"Je ne suis pas ici pour finir ma carrière, mais pour en commencer une nouvelle", a déclaré l'attaquant de 37 ans qui, après 19 années passées à la Juventus Turin, s'est engagé pour deux ans avec le Sydney FC.

"Je joue pour gagner", a-t-il ajouté, assailli par les demandes d'autographes et les questions des journalistes.

Le champion du monde 2006 était convoité par le club suisse du FC Sion et le club anglais de Liverpool, mais a choisi le Sydney FC qui lui offre, selon la presse, un salaire annuel d'1,6 million d'euros.

Son nouveau club a remporté le titre de champion d'Australie à deux reprises (2006, 2010) depuis sa création en 2004.

L'arrivée de Del Piero est présentée par les responsables australiens comme décisive pour le développement du football dans l'ombre du rugby à XIII et à XV notamment.

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Message par rachid_as Lun 17 Sep - 10:39

Uruguay, Forlán : "Je relève un beau défi"

International -News - Page 29 1532899_FULL-LND

À 33 ans et après 17 ans de carrière dans les plus grands championnats de la planète, notamment en Argentine, Angleterre, Espagne, Italie et aujourd'hui Brésil, l'Uruguayen Diego Forlán fait partie de ces footballeurs qu'il est inutile de présenter, surtout après sa performance rayonnante à la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010™. À cette occasion, l'attaquant charrúa avait largement contribué à la quatrième place obtenue par la Celeste. Sur le plan personnel, il avait remporté le Ballon d'Or adidas couronnant le meilleur joueur du tournoi.

Aujourd'hui installé à Porto Alegre, Forlán a répondu aux questions de FIFA.com. Il évoque son retour dans le football sud-américain, l'actualité de la sélection uruguayenne et nous dit à quoi pourrait ressembler la suite de sa carrière déjà bien remplie.


Diego Forlán, que signifie pour votre carrière ce retour en Amérique du Sud ?
Ça signifie une situation différente dans un pays différent… Après dix années passées en Europe, le moment de changer me semblait venu. Suite à mon expérience en Italie et après avoir joué en Espagne et en Angleterre, j'ai considéré qu'une étape de ma carrière était terminée.

N'aviez-vous plus de défis à relever en Europe ?
Je ne dirais pas ça. J'ai vécu dix très belles années, malgré quelques petits problèmes ponctuels, comme le fait d'avoir peu joué à l'Inter Milan. On m'a fait de belles offres pour continuer là-bas, mais j'ai aussi eu cette proposition de rejoindre une équipe importante dans un championnat très compétitif et avec un contrat de trois ans à la clé. En plus, cela me permettait de revenir près de chez moi, de ma famille et de mes amis. Tout était réuni pour que je rentre.

N'envisagez-vous donc pas un éventuel retour sur le Vieux Continent ?
En vérité, pour l'instant je ne pense ni à l'Europe ni à aucun autre endroit. J'ai 33 ans et je veux jouer le plus longtemps possible, mais je ne sais pas comment je serai à 36 ans ! (rires)

Avez-vous considéré la possibilité de jouer un jour en Uruguay ?
Non. Sincèrement, personne ne savait que j'allais revenir en Amérique du Sud car l'offre de l'Internacional Porto Alegre est restée assez secrète jusqu'à la signature du contrat. Par conséquent, aucune équipe uruguayenne n'a eu le temps de penser à moi.

Estimez-vous avoir une dette envers votre pays natal ?
Absolument pas. De toute façon, ça ne serait pas facile et je préfère ne pas donner d'illusions à qui que ce soit. Je suis content de la décision que j'ai prise : l'Internacional est un grand club.

Qu'est-ce qui vous a séduit dans le championnat brésilien ?
Le fait que ça a toujours été un championnat difficile, avec six ou sept équipes toujours capables de finir dans les quatre premières places. Depuis quelques années, on ne connaît le nom du champion que tout à la fin. On y joue bien au football, il y a de grands clubs, des derbies passionnants… C'est un beau défi.

D'un point de vue footballistique, quelles différences avez-vous remarquées par rapport à l'Europe ?
La plus notable concerne la taille des terrains. Ici, ils sont plus grands. Il est donc plus difficile de combler les espaces. Le football pratiqué est assez dynamique dans l'ensemble. Après, il y a des différences relatives et qui dépendent des équipes, de l'entraîneur, des joueurs. Les "petites" équipes se mettent à onze derrière !

Parlons de la sélection. Comment analysez-vous ce qui est arrivé à l'Uruguay dans le Tournoi Olympique de Football Masculin, Londres 2012 ?
Je ne surprendrai personne en disant quelque chose d'évident : c'est le football. Le niveau général était très équilibré et les trois rencontres ont été très compliquées, même face aux Émirats Arabes Unis. Nous avons fini par gagner ce match, après avoir eu beaucoup de possession et pas mal d'occasions de but… Regardez notre match contre le Sénégal : c'est une équipe rapide, forte et bonne techniquement. Elle nous a marqué le deuxième but alors qu'elle jouait en infériorité numérique… Il n'y a plus de résultats prévisibles.

Auriez-vous aimé y participer ?
Oui, comme tous les autres joueurs de la sélection qui n'y ont pas participé. Mais nous connaissons les règles et personnellement, je ne me suis pas fait d'illusions. Par conséquent, j'ai pris cela très naturellement et j'imagine que mes coéquipiers ont fait de même.

Oscar Tabárez dit que c'est l'un des signes de la maturité du groupe. Il considère que c'est un élément essentiel dans la réussite de l'Uruguay ces dernières années…
Oui, il existe une très bonne relation sur le terrain et en dehors. Ça aide dans les moments positifs, et encore plus dans les moments négatifs.

Compte tenu des derniers résultats, le statut de favori commence-t-il à peser sur les épaules de l'Uruguay ?
Pas du tout ! Peut-être que certaines personnes pensent cela à propos du statut de favori, mais pas nous. De toute façon, nous continuons comme avant. Nous avons confiance en nos moyens et nous savons jusqu'où nous pouvons aller, ni plus ni moins. Les qualifications n'ont jamais été faciles pour l'Uruguay. Toutes les sélections progressent constamment. Tout le monde peut s'en apercevoir.

Est-ce une situation facile à vivre avec des supporters aussi passionnés que les Uruguayens ?
Les supporters sont en train de vivre un moment particulier, avec plusieurs bonnes performances qui sont venues après une longue traversée du désert. Il est donc totalement compréhensible qu'ils soient contents et qu'ils l'expriment, surtout les jeunes générations. Moi, depuis que je suis gamin, je n'ai jamais vu l'Uruguay gagner quoi que ce soit à part la Copa América 1987, qui s'est jouée en Argentine. Aujourd'hui, on a une équipe d'Uruguay différente et les gens sont contents. Il est normal qu'ils en profitent.

Le public uruguayen et vous-même pourriez-vous supporter un quatrième barrage consécutif ?
Non, ce serait très dur ! (rires) Mais en même temps, peu importe la manière, la seule chose qui compte est la qualification pour la Coupe du Monde. Ça n'a jamais été facile et il est évident que l'objectif est d'y arriver le plus tôt possible. Cela dit, si on me promet que nous serons au Brésil en passant par le barrage, je signe tout de suite !

Est-ce votre principale motivation aujourd'hui après avoir été Ballon d'Or à Afrique du Sud 2010, gagné la Copa América 2011 et être devenu le meilleur buteur de l'histoire de la sélection uruguayenne ?
Sans aucun doute, oui, mais je ne suis pas le genre de personne qui a besoin de se fixer sans arrêt des objectifs pour se motiver. J'aime m'entraîner, jouer et vivre de ce métier. Tant que l'envie sera là, les défis se présenteront naturellement.

Pourriez-vous être encore le meilleur joueur ce la Coupe du Monde à Brésil 2014 ?
Il faudra d'abord se qualifier, ensuite il faudra qu'on me sélectionne et après, il faudra jouer et gagner les matches (rires). Le plus important pour moi, c'est d'avoir déjà gagné cette récompense. Elle appartient à l'histoire.

Parlez-nous de votre vie en dehors des terrains. Quelle est la meilleure chose et la pire dans la vie d'un footballeur ?
J'ai choisi de vivre du football et c'est merveilleux. Cela vous donne la possibilité de voyager, de connaître des pays différents, d'autres cultures et d'avoir des amis dans le monde entier. Après, il est certain qu'on passe à côté de certaines choses, en particulier à cause du temps passé loin de la famille. Mais dans tous les métiers, il faut faire des sacrifices. L'important est d'être en accord avec soi-même et de ne pas se demander "comment aurait été ma vie si…". Mon objectif a toujours été d'assumer le statut de star en essayant de rester moi-même. Je crois que j'y suis arrivé.

Vous avez dit que vous souhaitiez jouer encore un certain temps. Appréhendez-vous la retraite ?
Non, pas le moins du monde. Je sais que tôt ou tard, le moment viendra. Mais pour l'instant, j'essaie de prendre du plaisir à tout ce que je fais. Ensuite, j'aimerais rester dans le football. Il y a de nombreuses manières de le faire. Mais je n'y ai pas encore réfléchi. Ce que je sais en revanche, c'est que le moment d'y penser n'est pas encore venu.

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Message par rachid_as Sam 22 Sep - 12:47

Menezes : "Les grands joueurs ne créent pas de problèmes"

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La vie n'est jamais facile pour l'entraîneur de la sélection du Brésil. Mano Menezes était parfaitement conscient de cela lorsqu'il a pris les commandes de l'équipe en 2010. Sa mission n'était en rien modeste : mettre la Seleção sur les rails de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, avec si possible au passage une victoire inédite lors du Tournoi Olympique de Football Masculin, Londres 2012.

Concernant l'objectif olympique, Menezes n'est pas passé loin, avec une place en finale et une médaille d'argent qui n'a fait qu'intensifier la pression toujours énorme qui pèse sur les épaules de tout sélectionneur du Brésil. Avant les Jeux Olympiques au Royaume-Uni, FIFA.com avait eu une longue conversation avec l'entraîneur. Il avait abordé les aspects généraux de la position qu'il occupe, les tendances d'un football dominé par l'Espagne et le Barça, et la façon dont son expérience avec le Corinthians de Ronaldo et de Roberto Carlos l'avait aidé à arriver en Seleção. Entretien.


M. Menezes, en 2010, vous êtes passé du statut d'entraîneur en club à celui de sélectionneur. Certains aspects de ce travail vous ont-ils surpris ?
Nous avons encore des problèmes de calendrier au Brésil, ce qui complique beaucoup la vie du sélectionneur national. La principale difficulté est le manque de périodes suffisamment longues pour être avec les joueurs, surtout quand on est dans une phase - comme c'est le cas depuis mon arrivée - où l'on dispute peu de matches. Il faut choisir un groupe, superviser de nouveaux joueurs. Je ne pouvais pas continuer éternellement avec les mêmes noms, car de toute façon, certains ne pourront probablement pas aller jusqu'en 2014. Par conséquent, il faut faire tout cela en peu de temps, avec peu de possibilités d'être avec le groupe pendant des périodes longues. Ça a été et cela continue d'être la partie la plus difficile.

Au contraire d'un club, où vous choisissez vos titulaires parmi un groupe de 25 ou 30 joueurs, en Seleção l'éventail est beaucoup plus large. Cela signifie-t-il que vous pouvez avoir une recette et, à partir de là, sélectionner les "ingrédients" ?
La grande différence en club, surtout au Brésil, est la suivante : vous concevez une manière de jouer en fonction des caractéristiques des joueurs. En Seleção, vous pouvez choisir une manière de jouer et ensuite, chercher les joueurs pour la développer le mieux possible. Il est clair qu'il existe des changements de direction en chemin, et l'entraîneur doit d'ailleurs y être attentif. Un joueur peut se révéler supérieur aux attentes par exemple. Mais la règle de base est que vous pouvez choisir votre façon de jouer.

Le côté humain et le contact avec les joueurs en dehors du terrain doivent être très différents en club et en sélection, n'est-ce pas ? La manière de diriger le groupe ne doit pas être la même…
Absolument. L'approche est différente, parce qu'il y a beaucoup moins d'intimité. En club, vous êtes proches de vos joueurs et cette proximité est indispensable pour pouvoir aborder certains points précis. Mais surtout, la grande différence, c'est que les joueurs ont plus un statut de star dans leurs clubs respectifs. En Seleção, ils doivent partager ce statut. En équipe nationale, comme il n'y a que des cadors, ils doivent sacrifier leur vanité personnelle au nom du collectif.

Selon vous, les succès récents de l'Espagne et de Barcelone constituent-ils un phénomène isolé, dû à une génération de joueurs, ou marquent-ils le début d'une nouvelle conception du football ?
Les équipes qui gagnent marquent toujours l'histoire du football. Elles deviennent la référence. Dès lors, elles influent sur le comportement des autres car elles deviennent les équipes à battre. Mais pour pouvoir les battre, il faut d'abord bien les comprendre. Vous ne pouvez certainement pas les imiter, car vous n'en avez ni les moyens, ni le besoin. Cela dit, vous pouvez tout à fait comprendre leur fonctionnement, leur dynamique de jeu, leur philosophie...

Ce changement n'est pas seulement tactique, il valorise la circulation du ballon. Pour mettre cela en place, est-il indispensable d'avoir des joueurs de qualité ?
En fait, cette manière de jouer n'est pas reproductible dans les mêmes proportions si vous n'avez pas les joueurs adéquats. Mais on peut le faire à une échelle beaucoup plus petite. Prenez les Barcelonais : en ce moment, ils jouent à peu près de toutes les manières possibles, avec toutes les organisations tactiques. Ils font des choses proprement inimaginables sur le plan tactique. Le résultat, c'est qu'ils exercent une véritable suprématie. Mais cela ne sera possible qu'avec ce groupe, avec ces joueurs.

Avant de prendre en charge la Seleção, vous avez entraîné les Corinthians à l'époque de Ronaldo. Il suscitait la frénésie des médias. Ce que vous avez vécu durant cette période vous est-il utile aujourd'hui pour gérer certaines situations en équipe nationale ?
Oui, cela m'a aidé et a sûrement été pour quelque chose dans mon arrivée au poste de sélectionneur, car les gens regardent votre travail et votre façon de vous comporter. Avant de vous confier l'équipe du Brésil, on étudie votre capacité à être sélectionneur national. J'ai beaucoup appris au contact de Ronaldo et d'autres grands joueurs comme Roberto Carlos, qui a lui aussi été avec moi aux Corinthians. J'ai appris que la relation avec eux devait être extrêmement simple, transparente et objective. Les grands joueurs n'aiment pas parler pour ne rien dire. Ils veulent aller à l'essentiel. Avec eux, vous êtes obligé de vous concentrer sur les questions qui ont réellement besoin d'être traitées. Vous devez expliquer à chacun sa position par rapport aux autres et vous conformer à ce que vous avez dit. Alors, vous n'aurez aucun problème. Un jour, un entraîneur m'a dit : "Les grands joueurs créent rarement de problèmes". C'est la vérité. Ceux qui créent des problèmes, ce sont les autres, ceux qui pensent être de grands joueurs. Par conséquent, mieux vaut avoir de vrais grands joueurs. (Rires)

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Message par rachid_as Lun 24 Sep - 11:51

Iran, Queiroz : "Je veux changer les mentalités"

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Le Portugais Carlos Queiroz s'est fait un nom sur les bancs de touche en dirigeant plusieurs clubs et sélections de premier plan, du Real Madrid à l'équipe nationale du Portugal, après avoir notamment été le bras droit de Sir Alex Ferguson à Manchester United. Il tient actuellement les rênes de la sélection d'Iran, qu'il compte bien mener en phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™.

FIFA.com a rencontré le technicien pour revenir sur sa brillante carrière, ponctuée notamment par deux triomphes consécutifs en Coupe du Monde U-20 de la FIFA en 1989 et 1991.


Carlos Queiroz, quelles sont vos chances de qualification pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™ avec l'Iran ?
Les indicateurs sont favorables mais je suis bien placé pour savoir qu'il sera très compliqué de se qualifier directement. Pour moi, les deux premières places se joueront entre l'Iran, la Corée du Sud, l'Ouzbékistan et le Qatar. J'ai aussi beaucoup de respect pour le Liban, qui a les moyens de jouer les trouble-fêtes et peut prétendre à la troisième place.

Quelle est votre stratégie dans ces qualifications ? Qu'allez-vous demander à vos joueurs ?
Nous savons tous que les qualifications sont difficiles et que chaque confrontation réclame une préparation optimale. Depuis mon arrivée en Iran, je me suis efforcé de changer la mentalité des joueurs. Je veux qu'ils comprennent que tous les matches sont importants. Toutes les équipes se tiennent et quel que soit l'adversaire, il y a toujours trois points en jeu. Ils doivent se battre pour arracher ces trois points, aussi bien à domicile qu'à l'extérieur. Après, il y a la chance et des éléments indépendants de notre volonté. Je remarque également que le calendrier est difficile. C'est le parcours du combattant pour se déplacer d'un bout à l'autre de l'Asie. Toutes les équipes ne disposent pas d'un jet privé. C'est un fardeau pour nous.

Revenons sur votre participation à la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010™ avec le Portugal. Comment expliquez-vous votre élimination en huitième de finale ?
Avant cet échec, nous avons disputé beaucoup de matches : 21 rencontres en 2009 et 2010. Nous n'avons perdu que la dernière d'entre elles, face à l'Espagne, qui nous a sorti de la compétition avant de devenir championne du monde. Je veux tout de même rappeler que nous n'étions pas au mieux. Après une longue saison, nous avons dû nous préparer dans l'urgence. Nous avons perdu des joueurs pour cause de blessure, dont Nani, un jour avant le début de la compétition. D'autres revenaient tout juste et le reste de l'équipe n'était pas à son meilleur niveau, techniquement et physiquement. Il n'y a qu'à voir les performances de Cristiano Ronaldo, qui brille habituellement dans les grands événements. Cela dit, je suis globalement satisfait de notre parcours.

Dans les grands rendez-vous, le Portugal fait toujours partie des favoris mais il n'a pour l'instant remporté aucun titre. Comment expliquer cette situation ?
Le football est ainsi fait. Je pense que les causes principales sont à rechercher du côté de l'immobilisme et de la stagnation. Notre pays est petit et nos choix sont limités. Nous devons enrichir notre effectif pour trouver davantage de solutions sur le terrain. La finale de l'EURO 2004 perdue, que nous n'oublierons malheureusement jamais, a sans doute marqué l'apogée d'une génération. Le football est parfois ingrat envers les grandes équipes. Les Pays-Bas en savent quelque chose, eux qui n'ont jamais remporté la Coupe du Monde.

Que pouvez-vous nous dire sur votre expérience au Real Madrid ?
Nous avions des différents points de vue avec la politique du président, et nous avons eu des desaccords à cette époque. Aujourd'hui, je me réjouis de la nouvelle politique du président, qui écoute l'entraîneur et tient compte des conseils, ce qui a permis au club de remporter deux titres importants ces deux dernières saisons.

Que pensez-vous de la rivalité acharnée entre le Real Madrid et le FC Barcelone et de leur mainmise sur le football espagnol ces dernières années ?
Ce sont deux écoles radicalement différentes. Barcelone possède de grands joueurs comme Messi, Xavi et Iniesta, qui lui ont permis d'engranger des titres ces dernières années, avec la manière. Mais une fois que le Real a retrouvé son identité, il est parvenu à dominer Barcelone, grâce aussi à d'excellents joueurs. Je pense qu'il s'agit des deux meilleures équipes actuelles. Messi et Ronaldo sont les rois du football. Ils sont aux antipodes mais notre sport a besoin des deux. En tant qu'entraîneur, vous ne souhaitez pas les rencontrer mais ça ne vous empêche pas de vous régaler chaque fois que vous les voyez.

Vous étiez l'assistant de Sir Alex Ferguson. Il vient de dépasser son 1 000ème match à Manchester United, en plus d'un quart de siècle. Avez-vous un message à lui faire passer pour cette occasion ?
C'est difficile de parler de lui. Je peux dire que nous sommes tous une petite partie du football mais que lui, par sa personnalité exceptionnelle, incarne le football. Il est de la même trempe que Pelé, Maradona, Di Stefano et Puskas. En football, il y a des hommes qui inspirent le respect. Lorsqu'ils pénètrent dans le stade, vous ne pouvez-vous empêcher des les applaudir. Ferguson est un de ceux-là.

Pour finir, vous avez officié aussi bien en club qu'en sélection. Quel rôle préférez-vous ?
Il s'agit de deux métiers différents. J'aime le travail de sélectionneur au moment de débuter un stage de préparation ou de disputer un match. Mais lors de longues périodes sans compétition, je regrette le poste d'entraîneur. J'adore le travail au quotidien, me rendre au stade et diriger les entraînements. Mes instants préférés sont sur le terrain, avec les joueurs. En sélection, c'est différent. Ça demande un autre engagement. Vous travaillez pour les supporters de tous les clubs, ce qui est très difficile. Vous pouvez passer de l'enfer au paradis en un match. Lorsque vous perdez, vous êtes au plus bas car tout le pays vous en veut. Cela dit, je ne sais pas pourquoi mais j'adore ce poste.

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Message par rachid_as Jeu 27 Sep - 11:57

Supercoupe d'Amérique du Sud : Santos soulève le trophée

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Le club brésilien de Santos a remporté la SuperCoupe d'Amérique du Sud de football en battant le club chilien Universidad de Chile 2 à 0, grâce notamment à un but de l'international Neymar, en match retour mercredi à Sao Paulo.

Au match aller, les deux clubs avaient fait match nul 0 à 0 à Santiago.

L'attaquant auriverde a ouvert le score à la 27e minute. Et c'est à l'heure de jeu que Bruno Rodrigo a donné de l'ampleur au score (60) pour le club paulista.

La Supercoupe oppose chaque année les vainqueurs de la Coupe sud-américaine (Universidad de Chile en 2011) et de la Copa Libertadores (Santos en 2011).

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Message par rachid_as Lun 1 Oct - 12:09

Čech : "Une équipe faite pour remporter des titres"

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A 30 ans, Petr Čech a déjà tout gagné avec Chelsea. Arrivé à Londres en 2004, celui qui est considéré comme l'un des meilleurs gardiens de but de la planète a enfin décroché la saison dernière un titre après lequel son club courait depuis toujours : la Ligue des champions de l'UEFA. De quoi donner des ailes aux Blues qui ont attaqué la nouvelle saison du bon pied, avec l'ambition de redevenir rois d'Angleterre, tout en défendant leur couronne européenne.

Véritable taulier de son équipe nationale, le portier tchèque espère aussi s'appuyer sur un UEFA EURO 2012 encourageant pour négocier au mieux les prochaines échéances internationales qui attendent son pays, à commencer par les qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™.

Petr Čech évoque avec FIFA.com les défis passionants qui l'attendent cette année.


Que pensez-vous du début de saison que vous réalisez avec Chelsea ?
Je crois que c'est pas mal ! C'est bien de commencer en prenant des points d'entrée. Surtout, nous avons fait un majorité de matches sans prendre de but. Ça montre qu'il y a une belle solidarité défensive, et c'est évidemment très satisfaisant pour moi, en tant que gardien de but. Ce qui est dommage, c'est ce match de Supercoupe d'Europe à Monaco où nous sommes passés complètement à côté. Nous avons une équipe faite pour remporter des titres, et nous n'avons pas su le faire contre l'Atlético de Madrid, qui a mérité cette victoire.

Justement en ce qui concerne la scène européenne, comment jugez-vous votre entrée dans la Ligue des champions de l'UEFA ?
Je regrette que nous ayons commencé par un match nul à domicile contre la Juventus, surtout après avoir mené 2:0. Nous aurions dû mieux contrôler cette deuxième mi-temps et assurer la victoire. Mais il y a tout de même beaucoup de bonnes choses. Il faut continuer ainsi et prendre un maximum de points pour finir en tête de notre groupe et bien négocier la suite.

Quelles sont les forces des Blues cette année ?
Nous avons une équipe différente avec beaucoup de nouvelles recrues, qui sont plus des techniciens que des joueurs physiques. Donc notre jeu a évolué et nous essayons d'apporter davantage d'animation dans les phases offensives, avec ces talents que nous avons devant. Pour l'instant, l'arrivée d'Eden Hazard nous a fait beaucoup de bien ! Il a rapidement trouvé des automatismes avec les partenaires qui évoluent autour de lui, comme Juan Mata ou Oscar, et ça fait vraiment plaisir de voir un joueur arriver d'un autre championnat et s'adapter aussi vite.

Oscar n'a pas tardé non plus à trouver ses marques, notamment avec son doublé contre la Juventus. Ces deux exemples vous ont-ils surpris ?
Ce sont deux jeunes joueurs avec beaucoup d'ambition, qui ont déjà pas mal d'expérience malgré leur âge. Et puis généralement, on s'adapte mieux quand on est jeune. Ils rentrent sur le terrain pour prendre du plaisir et en donner autour d'eux. Eden continue à faire ce qu'il faisait en France depuis quelques années déjà. Quant à Oscar, je suis très heureux pour lui car ça n'est pas facile d'arriver comme ça du Brésil, d'un championnat totalement différent. En plus, il est très jeune. Avec ce doublé, il a montré qu'il méritait amplement sa place ici, et ça va lui donner beaucoup de confiance par la suite.

Est-ce aussi un signe de bonne santé pour Chelsea de voir s'intégrer si bien ses nouvelles recrues ?
Oui, c'est vrai ! Mais cela fait longtemps que Chelsea a un groupe très solidaire, et que les nouveaux venus ont le sentiment immédiat d'y appartenir. Tout le monde a bien en tête que l'équipe est plus importante que les individualités, et les nouveaux sont toujours bien accueillis. Ça fait plus de huit ans que je suis ici, et je n'ai quasiment pas vu de joueurs estimant que la vie était difficile chez nous, et ne pas réussir leur intégration à cause de ça. Bien au contraire.

Tous les gros bras de la Premier League sont déjà au rendez-vous. Cette saison s'annonce-t-elle donc très ouverte ?
Cette saison sera très disputée, et donc passionnante pour les supporters. Beaucoup d'équipes se sont renforcées. Manchester United a bien commencé et sera là pour la course au titre, comme Manchester City qui voudra le défendre, et puis nous qui allons revenir au sommet. Il y a aussi Arsenal, qui tourne bien et marque des buts tout en se montrant solide derrière. S'ils continuent ainsi, ils vont être très dangereux. On voit également d'autres équipes qui ont l'ambition de bien jouer et de décrocher une place européenne. A mon avis, ça s'annonce aussi excitant que la saison dernière où on ne savait pas jusqu'à la fin qui allait gagner le titre, et qui allait être relégué. Ça va être très intéressant cette année encore.

La victoire en Ligue des champions de l'UEFA a-t-elle donné une force mentale supplémentaire à Chelsea ?
Ça nous a procuré énormément de plaisir et nous a donné beaucoup plus de tranquillité, parce que c'est un trophée que le club cherchait à gagner depuis longtemps. Nous avons enfin réussi à soulever cette magnifique coupe, et désormais notre ambition est de défendre notre titre. Après avoir connu un sentiment aussi exceptionnel, nous n'avons qu'une seule envie : le vivre de nouveau.

Vous avez été l'un des héros de la finale gagnée contre le Bayern Munich, notamment en arrêtant le penalty d'Arjen Robben en prolongation. Est-ce le moment le plus fort de votre carrière, d'un point de vue personnel ?
Certainement ! C'est un moment dont tout le monde va se souvenir, et moi le premier. C'était un des tournants décisifs de cette finale, car ils auraient pu l'emporter s'ils avaient marqué à ce moment là. Cet arrêt nous a permis d'entretenir l'espoir, et d'aller jusqu'aux tirs au but. On connaît la suite...

Vous avez désormais tout gagné avec Chelsea. Quelles ambitions nourrissez-vous avec votre équipe nationale ?
J'ai remporté le Championnat d'Europe Espoirs en 2002, où nous avions battu la France en finale. Je suis très fier de cela et je rêve de le reproduire un jour avec l'équipe A. J'ai toujours beaucoup de regrets quand je repense à la demi-finale de l'EURO perdu contre la Grèce en 2004, car nous avions une équipe exceptionnelle et nous aurions pu aller au bout. Maintenant, deux générations de joueurs sont parties, et nous sommes en reconstruction. A ce titre, s'être qualifiés pour le dernier EURO était déjà un exploit, et aller jusqu'en quart de finale une vraie satisfaction. Nous pouvons considérer cette performance comme un premier pas en avant, avec comme objectif la qualification pour la Coupe du Monde 2014.

Pour son premier match de ces qualifications, la République tchèque a décroché un match nul au Danemark. Est-ce un bon départ ?
C'est un très bon résultat quand on regarde les performances des Danois lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2010, où ils avaient terminé en tête de leur groupe après un parcours remarquable, surtout à domicile, et contre des grosses équipes comme le Portugal. Pour nous, c'est une très bonne chose avant nos deux matches décisif à la maison où nous devons absolument faire le plein.

Avec l'Italie qui peine pour l'instant à retrouver le niveau qui lui avait permis de se hisser en finale du dernier UEFA EURO, la République tchèque a-t-elle un coup à jouer dans le Groupe B ?
Tout le monde sait que l'Italie est favorite, avec le Danemark qui est deuxième du groupe au classement mondial. Nous sommes là pour créer la surprise et faire un joli coup en éliminant une de ces deux équipes. Nous espérons au moins terminer deuxièmes pour jouer les barrages, mais nous allons tout faire pour terminer en tête et nous qualifier directement, tout en restant réalistes.

Vous avez déjà disputé une Coupe du Monde de la FIFA en 2006. Quel est votre rôle auprès des jeunes joueurs dans ces qualifications ?
Je fais désormais partie des plus expérimentés car je suis celui qui a le plus de sélections actuellement, et j'ai aussi toute mon expérience avec Chelsea, le champion d'Europe en titre. Je suis là pour faire partager tout ce vécu avec les jeunes joueurs, pour faire en sorte qu'ils se sentent à l'aise et leur montrer le chemin qu'il faut emprunter pour réussir.

Lors d'un entretien récent avec FIFA.com, Jaroslav Plašil disait de la nouvelle génération tchèque qu'elle était très talentueuse, et qu'elle apportait également un brin de folie et d'audace à votre jeu. Êtes-vous d'accord avec cette analyse ?
Oui, et j'ajouterais qu'avec les bonnes performances du Viktoria Plzeň l'année dernière en Ligue des champions, ceux qui évoluent au club ont gagné beaucoup d'expérience, et ça profite beaucoup à la sélection. Globalement, notre grande force est que nous sommes une vraie équipe, très soudée, et capable de sortir de situations difficiles en restant solidaires. Ce sont ces qualités qui nous ont permis de nous qualifier pour le dernier EURO en barrages contre le Monténégro.

30 ans, c'est tout jeune pour un gardien de but. Vous projetez-vous au delà de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014 ? Vous êtes-vous fixé une limite ?
L'idée d'aller au Brésil, dans ce pays qui vit pour le foot, ce sera un événement très spécial auquel j'espère vraiment participer. Après, j'adore ce que je fais et je prends toujours beaucoup de plaisir. Si je peux continuer cinq, six ou sept années, je le ferai. La seule condition, c'est que je reste en bonne santé et en bonne forme. Je ne veux pas continuer à jouer juste parce que je m'appelle Petr Čech et que j'ai joué 10 ans pour Chelsea.

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Message par rachid_as Mer 3 Oct - 12:06

Allemagne : Ballack tire sa révérence

International -News - Page 29 1713667_medium

L'ex-capitaine de l'équipe d'Allemagne Michael Ballack a annoncé sa retraite mardi à 36 ans, un milieu offensif qui fut le meilleur joueur allemand des années 2000 mais dont le talent n'a pu empêcher une carrière de "loser magnifique" marquée par de grandes finales perdues.

Meneur de jeu aussi technique que robuste, élégant et accrocheur, Ballack s'inscrit dans la lignée des grands d'outre-Rhin, prenant la succession du Ballon d'Or 1996 Matthias Sammer.

"A 36 ans, je peux désormais regarder derrière moi et dire que j'ai eu une longue et merveilleuse carrière dans le football professionnel à laquelle je n'aurais pas osé rêver étant enfant, dit-il mardi dans un communiqué. Ce fut un privilège de travailler avec des entraîneurs de niveau mondial et des joueurs fantastiques".

Les derniers mois sans club, depuis que Leverkusen ne lui avait pas prolongé son contrat, "m'ont montré que le temps était venu d'arrêter", explique-t-il. Des contacts avec les Red Bulls New York n'avaient pas abouti.

Longtemps capitaine de la Nationalmannschaft, Ballack totalise 98 sélections et 42 buts, sur une carrière internationale s'étirant de 1999 à 2010.

Né en Allemagne de l'Est, le milieu a fait ses classes à Karl-Marx-Stadt (devenue Chemnitz en 1995) avant de gravir les échelons du football national, avec le modeste Kaiserslautern (1997-1999), puis un club plus huppé, Leverkusen (1999-2002), et enfin LE club allemand, le Bayern Munich (2002-2006).

Il y atteint la plénitude avant de tenter l'aventure à l'étranger dans le Chelsea de Roman Abramovich, une expérience plus mitigée, suivie par un retour à Leverkusen en pré-retraite (2010-2012).

2002 et 2008, années amères
Mais Ballack, c'est surtout un joueur maudit. Avec en point d'orgue l'année 2002: avec Leverkusen, il finit 2e de la Bundesliga et s'incline en finales de la Coupe d'Allemagne et de la Ligue des champions (avec la fameuse volée de Zidane pour le Real Madrid).

Et l'Allemagne perd la finale de la Coupe du monde face au Brésil (2-0), un match pour lequel il est suspendu en raison d'un second avertissement en demi-finale.

En 2008, rebelote. Chelsea finit 2e du Championnat anglais et s'incline en finale de la Coupe de la Ligue, et Ballack perd surtout les finales de C1 (aux tirs au but face à Manchester United) et de l'Euro (1-0 face à l'Espagne).

De grands échecs qui éclipsent un palmarès garni en Allemagne et en Angleterre de sept titres de champion et de huit coupes nationales.

Pour parachever sa malédiction, il doit déclarer forfait pour le Mondial-2010 sur blessure. Le joueur se rend néanmoins en Afrique du Sud, où sa présence est diversement appréciée au sein du onze allemand. Philipp Lahm, promu capitaine, affirme alors qu'il compte bien conserver son brassard...

Le sélectionneur Joachim Löw compte de toute façon faire émerger la nouvelle génération avec Mesut Özil en leader technique, et ne rappellera plus Ballack. Sauf pour un match amical face au Brésil en août 2011, en guise de jubilé, invitation que le joueur décline.

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Message par rachid_as Mer 3 Oct - 12:31

Pérou : Pizarro cumule les records et les regrets

International -News - Page 29 1710918_FULL-LND

Lorsqu'il a quitté le Pérou en 1999, Claudio Pizarro s'est lancé dans l'inconnu. Peu de ses compatriotes s'étaient expatriés et s'il avait fait ses preuves sous le maillot de l'Alianza Lima, la Bundesliga représentait un pari risqué. Treize ans plus tard, il est le footballeur étranger affichant le plus grand nombre de matches disputés (337) et de réalisations (160) de l'histoire du football allemand. "J'avais des rêves et des envies plein la tête, comme gagner des titres et rejoindre un grand club, mais je n'avais pas imaginé battre des records", confie-t-il à FIFA.com.

Il lui reste cependant un défi à remporter, sur lequel il s'est cassé les dents à trois reprises : mettre fin à la longue absence de son pays en Coupe du Monde de la FIFA™. Le Pérou a en effet disparu de la scène mondiale depuis 1982. Pizarro avait à peine trois ans. "Je ne le répèterai jamais assez : je rêve de disputer la Coupe du Monde avec ma sélection. Je suis convaincu que nous pouvons nous qualifier et j'ai l'impression que le peuple péruvien commence à y croire", assure l'attaquant de 34 ans, qui compte 33 matches de qualifications mondialistes à son actif.

Déception et critiques
Avec sept points engrangés sur la route de Brésil 2014, les hommes de Sergio Markarián se trouvent à seulement cinq longueurs du Chili, qui est en position de barragiste. Ils se mordent encore les doigts d'avoir laissé la victoire leur échapper contre l'Argentine le 11 septembre dernier.

Ce jour-là, à Lima, ils s'étaient pourtant créé les meilleures occasions, dont une gâchée par Pizarro, avant de se résigner à concéder le nul 1:1. "On aurait pu gagner ce match, c'était très important de décrocher les six points de la double journée", confesse le buteur, qui a fait l'objet de vives critiques après son penalty manqué face à Sergio Romero. "Ce sont des choses qui arrivent en football. Quand il y a un loupé, on est critiqué, c'est normal", ajoute-t-il. "J'ai assez d'expérience pour savoir gérer ce genre de problème."

L'expérience, c'est précisément ce qui lui permet d'analyser lucidement ses prestations dans la compétition préliminaire. "Ça ne se passe pas comme je l'espérais, mais je suis persuadé que les choses vont s'améliorer. Les deux prochains matches seront cruciaux", reconnaît le Bavarois, auteur d'un but en cinq rencontres.

Rattraper les points perdus
Les Andins ont empoché sept points sur les 12 possibles chez eux, ce qui ne satisfait pas leur capitaine. "En qualifications, il est capital de gagner à domicile. Nous avons déjà laissé filer plusieurs points et il nous faut maintenant les récupérer à l'extérieur. Je suis sûr qu'on y arrivera."

Pour ce faire, la Rojiblanca devra surmonter deux obstacles de taille : la Bolivie et le Paraguay, les lanternes rouges du classement qui brûlent de revenir dans la course. En mal de succès, ses supporters pourraient lui apporter un soutien précieux. "Quand les gens sont déçus par les résultats à domicile, ils s'impatientent et perdent confiance dans l'équipe. Mais le public peut devenir fantastique quand tout va bien. Nous avons besoin de lui", estime Pizarro. Optimiste, il affirme que son équipe a les moyens de remporter les deux matches.

Pour conclure, il livre son analyse du tournoi à l'approche des deux journées qui marqueront la fin de la phase aller et le début de la seconde, consacrée aux matches retour. "L'Argentine et l'Uruguay sont les mieux placés, mais la Colombie traverse une bonne passe en ce moment. Ce sera très serré jusqu'au bout. Les équipes qualifiées seront celles qui réussiront à maintenir qualité et régularité. Mon objectif, que je crois accessible, c'est que le Pérou intègre ce groupe."

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Message par rachid_as Mar 9 Oct - 12:26

Chili, Vidal : "J'aime que le ballon passe par moi"

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Talent, personnalité et rage de vaincre. Tels sont les premiers mots qui viennent à l'esprit pour décrire le Chilien Arturo Vidal. Après avoir évolué avec les juniors de Colo Colo, le milieu de terrain polyvalent intègre l'équipe première en 2005. Deux ans plus tard, il fait découvrir ses qualités à la planète entière en aidant le Chili à décrocher une troisième place historique à la Coupe du Monde U-20 de la FIFA, Canada 2007.

Dès lors, la machine est lancée : il signe un contrat au Bayer Leverkusen et s'impose comme titulaire indiscuté dans la sélection nationale, qu'il aide à retrouver la Coupe du Monde de la FIFA™ après 12 ans d'absence. Performant à Afrique du Sud 2010, il enchaîne une saison exceptionnelle avec Leverkusen, ce qui lui vaut de faire partie de l'équipe-type de la Bundesliga pour l'exercice 2010/11 et de décrocher un contrat avec la Juventus.

En Italie, il aide la Vecchia Signora à gagner le titre, à l'issue d'une saison 2011/12 où les Bianconeri ne perdront pas le moindre match. Quant à Vidal, il figure de nouveau dans l'équipe-type d'un grand championnat européen et rêve désormais d'emmener le Chili à Brésil 2014. C'est de tout cela que le jeune prodige de la Juve et de la Roja parle au micro de FIFA.com.


Arturo Vidal, estimez-vous faire partie de la meilleure génération de l'histoire du football chilien ?
Oui ! Il y a eu de grands joueurs chiliens à différentes époques, mais il n'y en a jamais eu autant d'un seul coup. Aujourd'hui, nous sommes plusieurs à briller dans les plus grands championnats européens et en sélection. C'est nouveau pour notre football. Personnellement, je suis fier de faire partie de ce processus. À Santiago, on dit qu'il y avait bien longtemps que l'équipe nationale du Chili n'avait plus obtenu de résultats aussi bons que ceux de ces dernières années. Nous essayons de profiter de cela, mais également de faire honneur au nom du pays le mieux possible.

Le Chili s'est qualifié pour la Coupe du Monde de la FIFA après 12 années d'absence et a atteint les huitièmes de finale. En revanche, il n'a pas été à la hauteur des attentes en Copa América. Quel est le prochain objectif ?
La qualification pour le prochain Mondial bien sûr. Une fois que nous l'aurons obtenue, nous devrons penser à aller plus loin, c'est-à-dire à nous battre pour le titre. L'Afrique du Sud a été une première pour nous tous et nous a servi d'expérience. Mais au Brésil, nous devrons avoir une autre mentalité.

Êtes-vous convaincu que le Chili se qualifiera pour la phase finale de Brésil 2014 ?
Je suis convaincu que nous avons l'équipe pour le faire. Il ne faut pas s'arrêter à la défaite contre la Colombie (1:3 à domicile). Ça nous a fait mal, mais si l'on fait un bilan général, on est dans le positif. Ce n'est pas pour rien que nous avons occupé la première place de ces éliminatoires. L'idée est de rester dans les trois premiers jusqu'à la fin. Le groupe est mature et le démontre.

Cela dit, il y encore eu récemment des problèmes de discipline. Est-ce le talon d'Achille de cette équipe ?
On parle beaucoup de ça. Le football vous donne beaucoup, et des fois ça tourne mal. Il faut savoir devenir mature comme être humain et quand vous avez ce genre de statut, vous êtes parfois obligé de donner l'exemple. Ce n'est pas une tâche facile. Ce sont des choses nécessaires, que l'on intègre avec le temps.

Les relations avec la presse de votre pays sont-elles faciles ?
À ce sujet, plusieurs facteurs entrent en jeu. D'un côté, la presse chilienne cherche toujours le détail éloigné du football. De l'autre, le footballeur chilien est en général assez réservé. Par conséquent, au moment de parler, il préfère se tenir à l'écart pour éviter les problèmes.

Mais vous-même, vous semblez être exactement le contraire. À quoi est-ce dû ?
Oui, c'est vrai. C'est dû à mon parcours personnel. Au début, vous ne pensez qu'à réussir et après, vous devenez plus mature. Le fait de vivre en Allemagne et en Italie m'a aidé à grandir, à mieux réfléchir aux choses et à pouvoir les exprimer correctement.

On vous sent aussi plus tranquille sur le terrain. Votre tempérament est-il plutôt un avantage ou un inconvénient pour vous ?
Un avantage ! Sans ce tempérament, je n'aurais jamais pu réussir en dehors du Chili. Pour pouvoir percer dans des championnats comme la Bundesliga ou la Serie A, vous devez avoir quelque chose de spécial. Dans mon cas, c'est le tempérament.

Avez-vous du mal à vous contrôler ?
Peut-être au début, oui, quand je jouais à Colo Colo. À cette époque, j'ai beaucoup travaillé là-dessus, surtout en revoyant les vidéos de mes matches. Mais quand je suis parti pour l'étranger, j'étais déjà plus calme.

À Colo Colo, vous avez eu comme entraîneur Claudio Borghi. Quelle est la différence entre le Borghi entraîneur en club et celui qui est à la tête du Chili ?
Claudio travaille toujours de la même façon. C'est une personne proche du groupe, qui nous donne beaucoup de liberté, dans le meilleur sens du terme. Il n'y a pas assez d'entraîneurs comme ça, qui peuvent vous montrer, sur le terrain et en dehors, qu'ils sont passés par là parce qu'ils ont été joueurs eux aussi. Cette proximité nous donne confiance.

On a l'impression que vous honorez cette confiance en acceptant de jouer à différentes positions : milieu axial, sur les côtés, numéro 10. Une fois, vous avez même été libéro. À quel poste êtes-vous le plus à l'aise ?
Ce n'est pas un secret : mon poste est milieu axial. J'ai joué toute ma vie à cette position et je crois que c'est là que j'ai le meilleur rendement. J'aime bien avoir la vision du jeu, être la transition entre l'attaque de la défense. J'aime que le ballon passe par moi. Cela dit, changer de position ne me pose aucun problème lorsqu'il s'agit d'aider la sélection de mon pays ou mon club. Dans ce cas-là, j'essaie de m'adapter le plus vite possible.

Êtes-vous en train de traverser la meilleure période de votre carrière ?
Je crois que oui… En Allemagne, ça c'était déjà très bien passé, mais aujourd'hui, je joue dans l'un des plus grands clubs de l'histoire du football, qui en plus vient d'être champion sans perdre le moindre match. Je réponds non seulement à mes propres attentes, mais aussi à celles des gens qui m'ont recruté. Au niveau affectif, je vis quelque chose de similaire à ce que j'ai vécu au Chili. Les supporters me témoignent sans arrêt leur affection. Cela dit, il y a toujours la place de mieux faire.

Ce que réussit la Juventus actuellement vous surprend-il ?
Je savais que j'arrivais dans une équipe qui n'obtenait pas de bons résultats. Je savais aussi que je débarquais chez un grand d'Europe. Quand j'ai accepté, j'ai pensé que nous avions les moyens de changer cela et de lutter pour le titre. C'est ce qui s'est passé. Nous n'avons pas mis longtemps à réaliser que nous étions en course pour le titre, même si je dois reconnaître qu'on ne s'attendait pas à terminer invaincus. Le championnat italien est très difficile.

Pensez-vous être en mesure de conserver votre titre ou préféreriez-vous maintenant gagner la Ligue des champions ?
Je crois qu'avec les renforts qui sont arrivés cet été, nous sommes encore meilleurs que l'an dernier. Je pense que nous pouvons conserver notre titre et réussir une bonne Ligue des champions. Dans un club comme la Juventus, vous ne pouvez pas jouer autre chose que le titre !

Êtes-vous tenté par les championnats d'Espagne ou d'Angleterre ?
Je n'y ai pas encore pensé. Je répète que je suis très content ici et que si je devais y rester toute ma vie, je serais heureux.

Justement, le football vous rend-il heureux ? Avez-vous toujours l'amour du jeu ?
Oui, et j'espère rester amoureux du football toute ma vie. Non seulement le football est ce que je sais faire de mieux, mais en plus c'est lui qui me rend heureux tous les jours.

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Message par rachid_as Mar 9 Oct - 12:38

Nouvelle-Zélande : Gleeson-Hogg, la patience et l'ambition

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Le pire n’est jamais certain ? Pour Ricki Herbert, il s’est certainement invité de force dans sa carrière une après-midi de juin 2012. Quadruple lauréate et tenante du titre, sa Nouvelle-Zélande s’incline alors en demi-finale de la Coupe des Nations de l’OFC, dans la chaleur des Îles Salomon. Deux ans après l’historique campagne mondialiste, les All Whites sont pâles. "Cela fait 52 matches que je suis entraîneur de cette équipe et c'est l'un de mes pires moments", rumine à chaud Herbert.

Jake Gleeson et Ian Hogg étaient de la déroute inattendue. L’un dans les cages, l’autre sur le banc. Symboles d’une nouvelle génération de Kiwis appelée à rapidement prendre la relève, les deux compères des Portland Timbers ont une patience à la hauteur de leur ambition. "Mon heure viendra", assène Gleeson pour FIFA.com. "Je suis encore jeune et j’ai le temps de pouvoir grandir tranquillement. Les sélections de jeunes sont un bon tremplin mais l’écart de niveau avec les All Whites est encore très conséquent", poursuit le troisième gardien de l’équipe nationale.

Comme son nouveau coéquipier en MLS, Hoog était de l’aventure olympique avec la sélection U-23 l’été passé. "C’était une expérience très profitable, ça permet d’emmagasiner de la confiance. Notre entraîneur à Londres est l’assistant de Ricki Herbert, ça aide pour se mettre dans le bain. On a construit avec lui une belle relation. Cela me permet de continuer à faire mon trou chez les All Whites. C’est le bon moment, je suis plus exposé en MLS. Je peux mieux montrer ce que je sais faire", nous confie le jeune défenseur international, buteur en amical face au Salvador en mai 2012.

"Seule la victoire est acceptable"
Utilisée par Herbert dans les matches du deuxième tour des qualifications, la paire continue d’apprendre dans l’ombre, sans s’impatienter. "A chaque rassemblement pour des matches de qualifications, l’entraîneur a le même message : on doit faire le boulot et le faire bien. Seule la victoire est acceptable", explique Hogg. "La concurrence progresse en Océanie, où les équipes sont imprévisibles car les joueurs ne gardent pas vraiment leur position. Donc on sait qu’on doit absolument être irréprochables dans la concentration et l’intensité. De nouveaux joueurs sont arrivés, il va falloir un peu de temps pour que la sauce prenne. Mais on va voir une bien meilleure équipe de Nouvelle-Zélande dans un futur proche."

Gleeson, révélé sur la scène internationale lors de la Coupe du Monde U-17 de la FIFA, République de Corée 2007, insiste lui sur le besoin de repères et de stabilité sur la route de Brésil 2014. "La première priorité est de se qualifier et on a besoin des vétérans. L’entraîneur aura le temps de travailler avec les jeunes après. Être dans une zone sans gros adversaires peut permettre au staff d’offrir du temps de jeu et de l’expérience aux nouveaux, qui comme moi en ont besoin. Mais les autres nations de l’Océanie progressent, elles sont mieux structurées et ont des meilleurs sélectionneurs. On a constaté à la Coupe des Nations qu’on pouvait se faire surprendre."

Faciles vainqueurs de leurs deux premiers matches, les All Whites doivent digérer leur nouveau statut et la pression qui va avec. "Il y a plus d’attentes mais c’est normal", estime Hogg. "On a plus de joueurs qui évoluent au haut niveau en club, les jeunes progressent et le staff sait où il veut aller. On est dans la bonne direction", ajoute Gleeson. "Le sélectionneur nous encourage à ne pas avoir peur de mal faire et à être plus libres sur le terrain, sans non plus être naïfs", précise Hogg, premier défenseur du beau jeu prôné par Herbert. Face à Tahiti les 12 et 16 octobre, il faudra avant tout être efficace. Ce qui n’est pas forcément incompatible avec l’inexpérience. Gleeson et Hogg sont prêts à le prouver.

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Message par rachid_as Mer 10 Oct - 11:48

Décès de Rafael Lesmes, ancien joueur du Real

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L'ancien défenseur du Real Madrid Rafael Lesmes, vainqueur de cinq Coupes d'Europe dans les années 50, est décédé lundi, a annoncé le club merengue mardi sur son site internet.

Lesmes, latéral gauche et coéquipier des légendes du Real Madrid Paco Gento et Alfredo Di Stefano, est décédé à Valladolid à l'âge de 85 ans.

En huit saisons au Real Madrid (de 1952 à 1960), il avait notamment remporté les cinq premières Coupes d'Europe de l'histoire enlevées par le club merengue, ainsi que quatre championnats d'Espagne.

En dehors du Real Madrid, Lesmes avait évolué entre autres au Real Valladolid et comptait une cape en sélection espagnole.

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Message par rachid_as Mer 10 Oct - 13:51

Equateur : Rueda, maître à la casa

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Cela tient presque de la lapalissade : si une sélection aspire à disputer une Coupe du Monde de la FIFA™, elle doit au moins se montrer maîtresse chez elle au cours du processus qualificatif. Pour certaines formations, cette obligation de résultats à la maison peut se transformer en lourd fardeau, ce que les visiteurs ne manquent pas d'exploiter.

L'Équateur ne souffre certainement pas de cette pression puisqu'il est le seul pays des qualifications sud-américaines pour Brésil 2014 à avoir remporté toutes ses rencontres à domicile, le tout sans encaisser le moindre but. À l'Estadio Olímpico Atahualpa de Quito, la Tricolor a eu raison du Venezuela (2:0), du Pérou (2:0), de la Colombie (1:0) et de la Bolivie (1:0). Cette efficacité dans son fief la place sur les rails de ses débuts tonitruants dans les qualifications pour Allemagne 2006, où l'Equateur avait enchaîné six victoires consécutives.

De surcroît, la sélection équatorienne n'était parvenue qu'une seule fois à conserver sa cage inviolée lors de quatre rencontres de qualification consécutives. C'était lors de la campagne d'accession à Corée/Japon 2002. Et encore, elle avait alors enregistré trois victoires et un nul. Toujours est-il qu'à chaque fois, les Équatoriens avaient décroché leur sésame pour la grand-messe du football mondial…

"Tout le monde est conscient que si nous conservons ce niveau d'efficacité à Quito, nous nous rapprocherons de l'objectif, qui est bien entendu de se qualifier pour la Coupe du Monde", explique Reinaldo Rueda, le sélectionneur colombien de l'Équateur, à FIFA.com. "Mais c'est un processus long et il reste encore un dur chemin à parcourir. Là nous recevons le Chili, un adversaire extrêmement compliqué, mais il y aura aussi le Paraguay, l'Argentine et l'Uruguay. Rien ne sera simple", ajoute Rueda, à l'approche du duel face à la Roja de Claudio Borghi, ce vendredi 12 octobre.

Les clés de la réussite
Mais alors quelle est la recette de la souveraineté équatorienne à domicile ? "La possession de balle, le dynamisme et l'agressivité, ce qui permet de contrôler le déroulement du match. Ces matches ont tous été équilibrés, mais à chaque fois, nous avons su trouver le chemin du but aux moments-clés puis gérer notre avantage. Tout cela influe sur l'adversaire car il sait qu'il a une marge d'erreur limitée. Mais cette image, nous devons continuer à l'entretenir sur le terrain", explique le technicien.

Cette excellence à domicile s'oppose à une incontestable médiocrité à l'extérieur, où l'Équateur reste sur deux défaites et un nul, obtenu lors de la dernière journée de septembre, à Montevideo. "Le manque de vécu de certains joueurs connaissant leurs premières titularisations y est pour quelque chose. C'est pour ça que j'estime que c'est une question de maturation : il nous manque cette touche de malice ou, pour le dire autrement, cette faculté à rester dans le mach. À mesure que l'équipe continuera à grandir, j'espère que nous obtiendrons davantage de résultats comme celui de l'Uruguay."

En matière de progression à l'extérieur, Rueda salue d'ailleurs les performances de son prochain adversaire, le Chili, qui reste sur deux succès hors de ses bases après avoir encaissé deux défaites pour ses deux premiers déplacements. "Aussi bien en Bolivie qu'au Venezuela, ils ont fait ce que je viens de dire : ils sont restés concentrés sur leur match et ils sont revenus avec les trois points. C'est clair que c'est une équipe à vocation offensive, mais elle maîtrise aussi parfaitement la contre-attaque car elle compte des joueurs offensifs rapides et efficaces. Il va falloir être pleinement concentré sur le plan tactique pour éviter qu'ils nous surprennent".

Comparaisons et attentes
Rueda, qui a qualifié le Honduras pour Afrique du Sud 2010, trouve plusieurs points communs entre cette aventure et celle qu'il vit actuellement avec l'Équateur. "Cette sélection a grandi avec le temps et elle a remporté pratiquement tous ses matches à domicile, mais elle est aussi allée chercher de précieux points à l'extérieur."

De la même façon, il reconnaît que la Copa América 2011 lui a fourni des informations utiles. "L'Uruguay traverse peut-être une mauvaise passe, mais cette équipe a encore beaucoup d'atouts. Je ne vais rien vous apprendre sur le potentiel de l'Argentine, mais maintenant, elle semble avoir trouvé son groupe. Quant à la Colombie, après des débuts hésitants, elle a récupéré à l'extérieur les points qu'elle a perdus à domicile, où elle va être très difficile à prendre maintenant. C'est très équilibré", analyse Rueda.

Et l'Équateur dans tout cela ? "Nous n'avons pas convaincu en débuts d'éliminatoires, mais nous avons réussi à modifier cette impression. Nous savons que l'équipe a beaucoup à donner et nous allons exiger d'elle qu'elle réalise tout son potentiel. L'important, cela va être de nous maintenir à ce niveau, à l'affût, car ça va être très serré jusqu'à la fin."

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Message par rachid_as Dim 14 Oct - 18:20

Angleterre : Rooney capitaine ?

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Le sélectionneur de l'équipe d'Angleterre Roy Hodgson a estimé dimanche que l'attaquant de Manchester United Wayne Rooney pourrait devenir à terme capitaine de la sélection nationale.

Interrogé sur la possibilité de confier à l'avenir le capitanat à Rooney, Hodgson a répondu "oui".

"Il était le vice-capitaine à l'Euro quand il a pu rejouer. Il prend à coeur de jouer pour l'Angleterre. Je sais qu'il a été très fier d'être capitaine et qu'il voudrait le devenir", a-t-il ajouté.

"Frank Lampard a été le capitaine quand Steven (Gerrard) et Wayne étaient absents. Mais j'ai toujours pensé que Wayne pourrait être le vice-capitaine et quand Frank reviendra, je devrai prendre une décision", a conclu Hodgson.

En raison de la suspension du capitaine habituel Steven Gerrard et de la blessure du vice-capitaine Frank Lampard, Rooney, 26 ans, a hérité vendredi du brassard lors du facile succès de l'Angleterre 5-0 contre Saint-Marin en match de qualification pour le Mondial-2014.

Rooney avait porté pour la première fois le brassard lors d'un match amical contre le Brésil en 2009 à Doha. Mais Fabio Capello avait par la suite estimé que l'attaquant au tempérament impulsif n'était pas assez mature pour cette charge.

Mardi, Steven Gerrard sera le capitaine de l'équipe d'Angleterre en Pologne, toujours dans le cadre des éliminatoires pour la prochaine Coupe du monde.

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Message par rachid_as Dim 14 Oct - 18:20

Allemagne : Ballack espère toujours un jubilé

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L'ancien capitaine de l'équipe d'Allemagne, Michael Ballack, aujourd'hui retraité, espère toujours disputer un match d'adieux avec la sélection, mais le manager de la Nationalmannschaft Oliver Bierhoff ne lui a laissé que très peu d'espoirs.

L'ancien joueur du Bayern Munich et de Chelsea, qui a eu 36 ans en septembre, a mis un terme à sa carrière au début du mois d'octobre, étant sans club depuis l'expiration en juin de son contrat de deux ans avec le Bayer Leverkusen.

Ballack, 98 sélections en équipe d'Allemagne, avait décliné une première offre de la Fédération allemande pour faire son jubilé lors d'un match amical contre le Brésil en août 2011, mais il déclare aujourd'hui être toujours intéressé par un match d'adieu avec l'équipe nationale.

"J'aimerais, oui. Bien sûr que je souhaiterais dire au revoir aux supporteurs", a dit Ballack, qui souhaite désormais passer ses diplômes d'entraîneur, au journal de Cologne l'Express.

Seulement Bierhoff a estimé à son tour qu'il était peu probable que la Fédération soit à nouveau impliquée dans un quelconque jubilé depuis le premier refus de Ballack.

"Je ne pense pas qu'une autre chance puisse se reproduire", a dit l'ancien joueur, aujourd'hui manager de la Nationalmannschaft à la chaîne ZDF. "Nous avons proposé à Michael de jouer ses 99e et 100e matches internationaux, mais il a décliné (...) Je pense que le temps pour un jubilé est passé, nous n'avons que peu de dates disponibles", a poursuivi Bierhoff.

Le directeur sportif du Bayer Leverkusen, Rudi Völler, a en revanche déclaré qu'il souhaitait toujours l'organisation par le club d'un match en l'honneur de Ballack.

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Message par rachid_as Mer 17 Oct - 8:05

Allemagne : Klose à une longueur de Müller

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Auteur d'un doublé contre la Suède (4-4) mardi à Berlin, Miroslav Klose totalise désormais 67 buts en sélection et ne pointe plus qu'à une unité du record du légendaire Gerd Müller avec 68 réalisations.

Buteur quatre jours plus tôt en Irlande (6-1), Klose a profité de sa 126e sélection pour marquer dans le premier quart d'heure les deux premiers buts contre la Suède, quatrième adversaire des qualifications au Mondial-2014.

Le vétéran de 34 ans a ouvert la marque dès la 8e minute, puis a récidivé sept minutes plus tard, sur deux services du jeune Marco Reus. Un premier doublé dans ses qualifications mondiales pour un joueur qui en avait réalisé trois durant la campagne menant à l'Euro-2012.

Klose a inscrit son premier but en sélection le 24 mars 2001 à l'occasion de la victoire sur l'Albanie en qualification au Mondial-2002.

Avant le match, l'international allemand, qui avait confessé avoir marqué un but de la main en Championnat d'Italie le mois dernier, s'était vu remettre officiellement la médaille du fair-play de la Fédération allemande (DFB).

Klose, parti à l'été 2011 du Bayern Munich à la Lazio Rome, a profité de l'absence de Mario Gomez, opéré en août dernier, pour être titularisé pour les quatre premiers matches de qualification au Mondial.

Muet contre les Iles Féroé (3-0) puis en Autriche (2-1), l'avant-centre a "claqué" le 4e but du festival contre l'Eire.

Klose a répété cette semaine qu'il espérait être du voyage au Brésil, la dernière occasion d'ajouter un trophée international à son palmarès riche de nombreux succès en club.

En Coupe du monde, il compte 14 buts à son actif, cinq en 2002, où la Nationalmannschaft échouait en finale, autant en 2006 (3e), puis quatre en 2010 (3e). Il est là aussi à une longueur d'un autre record, celui du nombre de buts inscrits (15) en phase finale de Coupe du monde détenu par le Brésilien Ronaldo.

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Message par rachid_as Jeu 18 Oct - 15:23

Brésil, Hulk : "Je m'adapte très vite partout"

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Le froid, la langue, les différences culturelles : autant de raisons qui pourraient justifier d'éventuelles difficultés d'adaptation de Givanildo Vieira de Souza, plus connu sous le nom de Hulk, à son nouveau pays d'adoption, la Russie, où il défend les couleurs du Zénith Saint-Pétersbourg depuis septembre.

Mais pour le natif de Campina Grande, dans le Paraíba, État du Nordeste brésilien, la notion de difficulté d'adaptation n'existe pas. Elle n'a d'ailleurs jamais existé. Très tôt dans sa carrière, l'attaquant de la Seleção a appris que dans son cas, les opportunités n'arriveraient pas toutes cuites. Il faudrait aller les chercher, parfois très loin. Au micro de FIFA.com, Hulk raconte.


Vous êtes arrivé très tôt au Japon. Quels souvenirs en gardez-vous ?
Quand je suis arrivé, c'était complètement différent de ce que j'avais imaginé. À 18 ans, je pensais que l'adaptation allait être très difficile. C'est le contraire qui s'est passé. Ça a été très facile. Je me suis retrouvé dans un pays qui avait tout ce qu'il fallait en termes d'infrastructures. Et dans tous les clubs où j'ai joué, il y avait toujours des Brésiliens pour m'aider.

Avant cela, vous êtes également passé par le Portugal. L'adaptation a-t-elle été aussi facile ?
Je suis arrivé au Portugal à l'âge de 15 ans. À l'époque, je jouais aux Corinthians, à São Paulo. Mon agent m'a dit : "Allons au Portugal". J'ai fait mes valises et je suis parti. J'y ai passé une année, pendant laquelle j'ai beaucoup appris. Je vivais et je m'entraînais avec des pros.

Le fait de ne pas avoir joué au Brésil vous a-t-il compliqué la tâche pour gagner le cœur des supporters de la Seleção ?
Oui, un peu. Même aujourd'hui, alors que j'ai déjà pas mal joué en Seleção, il y a toujours cette question. Je suis connu dans le monde entier, le monde entier sait comment je joue. Mais je suis parti très tôt du Brésil. Comme professionnel, j'ai dû y jouer un peu plus de 70 minutes, c'est tout. Par conséquent, il est normal qu'il y ait cette interrogation à mon sujet.

Combien de minutes comme professionnel ?
(rires) Vous avez bien entendu : un peu plus de 70 minutes. J'ai commencé contre Fluminense, au stade Barradão, où je suis entré en jeu en deuxième période. L'autre bout de match a été contre l'Internacional, au stade Beira-Rio. Nous avons perdu 2:1, mais j'avais réussi une bonne entrée.

À cette époque, sur le plan tactique, jouiez-vous plus ou moins de la même manière qu'aujourd'hui ?
Non, j'ai un peu évolué. Au Brésil, les équipes utilisent beaucoup le 4-4-2, alors qu'en Europe, la tendance est de jouer en 4-3-3. C'est pour ça qu'ici, j'ai commencé à jouer plus en pointe. Je n'ai jamais été avant-centre, mais plus un milieu offensif qui allait sur les côtés, bougeait beaucoup et allait chercher le ballon. Mais en Europe, j'ai commencé à jouer plus devant. Avant, j'ai aussi pas mal joué dans l'axe.

Aujourd'hui, vous évoluez plus à l'avant et sur la droite, malgré le fait d'être gaucher...
Oui. Ça s'est fait naturellement. J'ai toujours aimé jouer de ce côté et par chance, j'ai toujours eu des entraîneurs qui m'ont aidé dans ce sens-là. Jesualdo Ferreira, par exemple, est l'un de ceux qui m'ont le plus aidé quand je suis arrivé en Europe. Il me parlait beaucoup et m'a permis d'être très à l'aise sur le terrain et en dehors.

Quand vous avez quitté l'Asie pour l'Europe, quelles différences vous ont le plus frappé ?
En Europe, il existe un grand respect pour l'organisation tactique. Les joueurs obéissent plus aux consignes tactiques. Par conséquent, quand je suis arrivé, j'ai eu un peu de mal à revenir et à participer au marquage. Aujourd'hui, j'ai plus de facilités dans ce domaine.

Beaucoup de gens se laissent induire en erreur par votre carrure imposante et s'attendent à voir un joueur peu rapide, peu habile. Quel leur répondez-vous ?
Les gens qui ne me connaissent pas pensent qu'avec mon gabarit, je dois avoir un style percutant, basé sur le physique. Mais en réalité, je n'ai jamais vraiment recherché le défi physique. Je préfère manier le ballon, faire des appels, partir en profondeur... Par contre, je frappe fort dans le ballon depuis que je suis tout petit (rires)

D'où vous vient ce surnom ?
De mon enfance, quand j'avais trois ans. J'aimais beaucoup ce personnage, Hulk. Je disais souvent à mon père que j'étais fort, que j'avais des muscles. Il me répondait : "Alors tu es comme Hulk". Et ça m'est resté. Ensuite, j'ai grandi pour finalement avoir un physique imposant. C'est bien tombé. (rires)

Si les supporters brésiliens ont parfois du mal à vous faire confiance, le sélectionneur Mano Menezes ne semble pas avoir ce problème avec vous…
Je pense que la principale preuve de cela est ma convocation pour les Jeux Olympiques. J'étais l'un des trois joueurs de plus de 23 ans. Ça m'a rendu très heureux. Malheureusement, nous n'avons pas gagné la médaille d'or, mais j'ai cherché à profiter de cette expérience au maximum.

Cette convocation vous a-t-elle surpris ?
Disons qu'au début de l'année, je n'aurais jamais imaginé avoir cette chance. Mais après les matches amicaux que nous avons disputés au cours de l'année contre le Danemark, les États-Unis, le Mexique et l'Argentine, j'ai commencé à penser que mon nom pourrait être sur la liste.

À votre arrivée au Zénith, vous avez beaucoup parlé du projet du club de construire une grande équipe. Quels aspects de ce projet ont le plus retenu votre attention ?
Durant toute la période des transferts, il y a eu beaucoup de spéculation sur mon nom. Plusieurs grands clubs ont exprimé leur intérêt, mais les propositions n'étaient pas satisfaisantes, ni pour le FC Porto, ni pour moi. Avant de me décider pour le Zénith, j'ai parlé avec Luciano Spalletti. Il m'a dit beaucoup de bien du club. Il m'a parlé de la très bonne organisation qui existait ainsi que du projet de monter une grande équipe. Quand je suis arrivé, c'est exactement ce que j'ai trouvé, avec un projet ambitieux. J'ai la certitude qu'à l'avenir, le Zénith sera l'un des grands d'Europe.

Quel est l'objectif de l'équipe cette saison ?
Gagner le championnat de Russie et réussir une bonne Ligue des champions. Nous avons perdu nos deux premiers matches, mais ce n'est pas fini. Nous avons les qualités pour accéder au tour suivant.

Vous avez joué la Ligue des champions de l'UEFA l'année même de votre arrivée au FC Porto. Est-ce une compétition spéciale pour les équipes du continent ?
C'est le tournoi le plus important, toujours, parce qu'il réunit les meilleurs clubs et les meilleurs joueurs. C'est vraiment sympa d'y participer, surtout pour les équipes de pays comme le Portugal ou la Russie, dont les championnats ne sont pas retransmis dans le monde entier comme c'est le cas pour l'Angleterre ou l'Italie. Mano dit toujours qu'il garde un œil sur tous les Brésiliens, indépendamment du championnat ou de l'équipe. C'est pour ça que je vais continuer de jouer et de marquer.

Vous avez parlé de la facilité avec laquelle vous vous êtes adapté au Japon. Aujourd'hui, quelles sont les difficultés dans votre adaptation à la Russie ?
Honnêtement, il n'y en a pas. La ville est l'une des plus belles que j'ai eu l'occasion de voir dans ma vie. Je ne la connais pas encore bien, mais je sais aller tout seul au centre d'entraînement et le peu que j'ai vu est incroyable. Le club possède de superbes infrastructures. Donc la vérité, c'est que je n'ai aucun problème.

Le fait d'avoir quitté votre famille puis votre pays très tôt vous a-t-il aidé à vous adapter plus facilement à des changements aussi radicaux ?
Oui, sans aucun doute. Je m'adapte très rapidement à n'importe quoi, car j'ai quitté la maison très tôt. Quand vous avez réussi à vous adapter au Japon à l'âge de 18 ans, la suite devient un jeu d'enfant. (rires)

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Message par rachid_as Ven 19 Oct - 17:35

Brésil, Dida : "Tout est dans la préparation"

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Avec la même sérénité qu’il affrontait les attaquants lors d’un penalty, Dida a patienté. À l’expiration de son contrat avec l’AC Milan, en juillet 2010, le gardien a décidé de rester en Italie, comptant bien poursuivre sa carrière en Europe, de préférence en Angleterre. Mais aucune proposition intéressante ne lui parvenant, il a finalement opté pour un retour au pays, à Belo Horizonte, où il a pris son mal en patience.

Deux ans plus tard, il a retrouvé le football professionnel en signant à Portuguesa. À 39 ans, le gardien a prouvé que cette longue pause n’avait entamé ni ses qualités, ni son appétit. Le voici en leader de l’équipe paulista qui dispute le Brasileirao.

Avec FIFA.com, un Dida en pleine forme passe en revue les grands moments de sa longue carrière, depuis la Seleção jusqu’à l’époque de Flamenguinho, sa première équipe, qui a contribué à son éclosion alors qu’il habitait à Lagoa da Canoa. Le gardien livre aussi les noms des homologues qui l’ont inspiré.


Dida, qu’est-ce qui vous a motivé à repartir au Brésil pour reprendre votre carrière ?
D’abord, il y a des raisons familiales. Quand mon contrat avec Milan est arrivé à son terme, je suis resté en Italie pendant un an car je voulais jouer en Angleterre pour accomplir mon rêve de toujours. Ça ne s’est pas passé comme je le voulais, entre autres en raison de mon statut d’extracommunautaire. L’année suivante, j’ai donc décidé de rentrer au Brésil avec ma famille. J’aime mon pays et j’ai toujours eu l’intention de rentrer une fois que j’aurais pris ma retraite. Sauf que j’ai reçu une proposition et je ne me suis pas posé de question. J’ai eu l’occasion de signer avec Portuguesa pour disputer le Brasileirao et maintenant j’espère pouvoir enchaîner les matches.

Ce retour nous donne l’occasion d’évoquer votre longue carrière, pendant laquelle vous avez disputé trois Coupes du Monde de la FIFA et remporté un titre mondial. Quelle expérience en avez-vous retirée ?
La première Coupe du Monde laisse une trace indélébile, forcément. Il faut se tenir prêt à aider ses coéquipiers. Je n’ai pas participé directement au jeu en 1998, puisque je ne faisais que m’entraîner et rester sur le banc, mais on peut faire beaucoup pour le groupe dans cette situation. En Corée et au Japon, j’ai vécu la même chose. Mais remporter une Coupe du Monde, même depuis le banc de touche, ça reste une émotion indescriptible. Ça donne encore plus envie de se battre pour représenter le Brésil.

Du coup, même si le Brésil n’a pas pu conserver son titre, avez-vous tout de même vécu de bons moments à Allemagne 2006 puisque vous étiez titulaire ?
Oui, je n’ai pas les mots pour le dire. Être là, faire partie de l’événement, c’est énorme. C’est un rêve qui m’accompagnait depuis mon enfance. J’avais déjà disputé des compétitions importantes, j’avais déjà vécu deux Coupes du Monde, mais ce n’est pas pareil quand on est sur le terrain. J’ai vraiment accompli un rêve. Malheureusement nous n’avons pas pu remporter le titre, mais je pense que l’expérience engrangée en Coupe du Monde est unique pour un joueur.

Remontons un peu dans le temps. Est-il vrai que dans votre enfance, vous avez créé une équipe qui s’appelait Flamengo ?
Je ne l’ai pas créée seul, il y avait aussi mes frères et des gens de la ville. À vrai dire, ça s’appelait Flamenguinho et c’était ma première équipe. On a choisi ce nom parce qu’on était tous fans de Flamengo. On adorait Flamengo. Je me souviens que je faisais du porte à porte pour trouver des joueurs prêts à participer à des tournois. Nous en avons gagné quelques-uns et nous avons aussi perdu. C’est comme ça que ma carrière a commencé, finalement. Avant ça, je jouais surtout derrière la maison de mes parents, ou bien au futsal.

Quels sont les gardiens qui vous ont le plus inspiré ?
L’un de mes héros a toujours été Rinat Dasaev. Je l’ai vu jouer une Coupe du Monde et il faisait des choses incroyables sur sa ligne. C’était un grand gardien. Il y a aussi Taffarel, avec qui j’ai passé quelque temps en sélection, avec la possibilité de partager quelques séances de travail. C’est un grand copain maintenant et il a énormément contribué à mon développement et à mon évolution sur le terrain.

Vous vous êtes toujours distingué par votre efficacité sur les penalties. Pourriez-vous nous confier le secret de votre réussite dans cet exercice ?
Tout est dans la préparation. Il faut travailler ça au quotidien, être bien dans la tête et verrouiller sa concentration. Tous les facteurs ont leur importance. Je suis très content de pouvoir aider mon équipe dans ces situations-là, parce que ce n’est pas facile pour un joueur de bien gérer les penalties, surtout dans les séances de tirs au but. Pour tout dire, je pense que le gardien a moins de responsabilités que le tireur dans ces moments-là, mais cela ne doit pas l’empêcher de tout mettre en œuvre pour s’interposer.J’ai toujours pu m’entraîner sérieusement pendant ma carrière et je peux encore le faire aujourd’hui, ce qui me permet de réussir de bonnes prestations. Avec les penalties, c’est pareil. Il faut être bien concentré pour être capable de faire face à tous les tirs au but qu’il faudra arrêter.

Fifa.com (19/10/2012)
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Message par rachid_as Dim 21 Oct - 12:10

Ligue des champions de l'AFC
Un derby et une première finale en vue


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La semaine prochaine, toute l'Asie aura les yeux tournés vers les demi-finales aller de la Ligue des champions de l'AFC. Lundi, les deux grands rivaux de la ville saoudienne de Djeddah, Al Ittihad et Al Ahli, ouvriront le bal dans ce qui constituera le 155ème derby de l'histoire des deux clubs.

Deux jours plus tard, les Ouzbeks de Bunyodkor et Ulsan Hyundai, de République de Corée, croiseront le fer à Tachkent. Les deux clubs participent pour la deuxième fois de leur histoire aux demi-finales, mais n'ont jamais atteint la finale de l'épreuve. FIFA.com présente ces demi-finales aller.

Programme
22 octobre
Al Ittihad - Al Ahli
24 octobre
Bunyodkor - Ulsan Hyundai

L'affiche
Al Ittihad - Al Ahli

Toute l'Asie aura les yeux rivés sur le stade du Prince Abdullah Al Faisal de Djeddah, où les deux grands clubs de la ville, Al Ittihad et Al Ahli, ajouteront un épisode supplémentaire au plus vieux derby d'Arabie Saoudite. Les deux équipes s'étaient affrontées pour la première fois en 1938. Aujourd'hui, ce derby est l'un des plus attendus en Asie.

Deuxième club le plus titré de l'histoire du football saoudien après Al Hilal avec huit championnats nationaux à son actif, Al Ittihad mène au nombre des victoires, avec 58 contre 50 succès à Al Ahli. L'un des derbies les plus mémorables reste sans aucun doute la victoire 7:0 d'Al Ittihad sur Al Ahli dans la Coupe du Roi 1960. Il s'agit aussi du plus gros score de l'histoire entre les deux équipes.

La saison dernière, Al Ahli avait gagné la première confrontation entre les deux rivaux sur le score de 3:1, mais Al Ittihad avait pris sa revanche au retour en s'imposant 1:0. Ce résultat avait été lourd de conséquences pour Al Ahli, qui s'était vu subtiliser le titre national par Al Shabab pour deux petits points. La première confrontation entre les deux frères ennemis dans le présent exercice devait avoir lieu le mois dernier, mais elle a été décalée en raison des rendez-vous des deux équipes en Ligue des champions de l'AFC.

Entraîné par le Tchèque Karel Jarolim, Al Ahli connaît une baisse de régime depuis quelque temps. Sa défaite 2:0 à Najran l'a fait descendre à la septième place du championnat d'Arabie Saoudite. Ce passage à vide est compliqué par une infirmerie bien remplie. Le défenseur Kamel Al Mousa et le milieu Abdulraheem Jaizawi sont incertains pour cette demi-finale aller. Même chose pour le capitaine Mohammed Massad.

Dirigé par Raul Caneda, Al Ittihad devra de son côté se passer de l'expérimenté défenseur Redha Tukar, suspendu. Pour ne rien arranger, l'attaquant Naif Hazazi, actuel deuxième meilleur buteur de la compétition avec sept réalisations, se ressent encore d'une douleur au genou.

L'autre demi-finale
Avec comme objectif une première apparition en finale de l'épreuve suprême des clubs en Asie, Bunyodkor et Ulsan Hyundai auront rendez-vous avec l'histoire, mercredi à Tachkent. Les points communs entre les deux équipes s'arrêtent là. Les joueurs entraînés par Mirjalol Qosimov ont battu Nawbahor Namangan 1:0 samedi, réduisant leur retard sur le leader Pakhtakor à seulement deux points à trois journées de la fin. Bunyodkor est donc toujours en course pour réaliser un doublé historique.

Dans les play-offs du championnat de République de Corée, Ulsan Hyundai reste sur deux défaites consécutives, contre Pohang Steelers et Jeonbuk Motors, les deux fois sur le score de 3:1. Après avoir été éliminé de la Coupe de République de Corée avec une défaite 3:0 en demi-finales contre Gyeongnam FC, Ulsan Hyundai n'a pas réussi à terminer dans le trio de tête d'une K-League dont il avait pris la deuxième place la saison dernière. Le demi-finaliste de la présente Ligue des champions de l'AFC ne participera donc pas à la prochaine édition de la prestigieuse compétition continentale.

L'équipe entraînée par Kim Ho-Gon s'apprête ainsi à jouer son va-tout dans ces demi-finales de Ligue des champions de l'AFC, afin de sauver une saison mal engagée sur la scène domestique. En attaque, Ulsan comptera une nouvelle fois sur le Brésilien Rafinha, buteur à trois reprises au tour précédent (victoire 5:0 sur Al Hilal en score cumulé). Bunyodkor s'appuiera pour sa part sur son capitaine Viktor Karpenko et sur l'attaquant international Anvarjon Soliev pour tenter de faire la différence.

Le joueur à suivre
Toujours en phase d'adaptation à Al Ittihad, l'attaquant brésilien Diego Souza a commencé à retrouver ses sensations devant le but adverse. Face à Guangzhou Evergrande, il a égalisé et permis à son équipe de l'emporter finalement 4:2. En championnat, il a ouvert le score récemment face à Al Taawun, dans un match qui s'est terminé sur le score de 3:3.

La stat
2 - Al Ittihad est la seule équipe de ces demi-finales à avoir remporté la Ligue des champions de l'AFC à deux reprises. Ulsan et Bunyodkor participent pour la deuxième fois de leur histoire au dernier carré de la compétition.

Entendu…
"Nous attendons impatiemment ce match et nous nous sommes bien préparés. Nous sommes tous conscients de l'importance de ce match pour l'équipe. Je suis complètement remis de ma blessure et je suis prêt pour cette rencontre" - Amad Al Hosani, attaquant omanais d'Al Ahli

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Message par rachid_as Lun 22 Oct - 13:01

Le Myanmar en quête de renaissance

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Le Myanmar fait incontestablement partie des cendrillons de la planète foot. Il n'a jamais disputé la Coupe du Monde de la FIFA™, ne s'est qualifié qu'une seule fois pour la Coupe d'Asie de l'AFC, a récemment enchaîné une peu glorieuse série de 11 matches sans victoire, a dégringolé à la 184ème place du Classement Mondial FIFA/Coca-Cola et ne compte aucun joueur évoluant dans un championnat étranger.

Cet état des lieux contraste nettement avec l'époque dorée du Myanmar, entre le milieu des années 1960 et le milieu des années 1970. Le pays alors appelé Birmanie est la force dominante de l'Asie du Sud-est. Victorieux des Jeux Asiatiques en 1966 et 1970, les Birmans réussissent la prouesse de conquérir les Jeux du Sud-est asiatique cinq fois consécutives à compter de 1965.

Après s'être aisément qualifiés pour la Coupe d'Asie de l'AFC 1968 en battant l'Inde, le Cambodge et le Pakistan sans concéder le moindre but, les Anges Blancs font sensation en Iran. Grâce à un superbe but de Pu Ba, ils battent Israël, avant que le même Pu Ba et Yeni Yat ne leur offrent un succès 2:0 face à Hong Kong. Ils s'inclineront finalement 3:1 face au pays hôte à Téhéran, devant se contenter de la deuxième marche du podium.

À la tête de la sélection au cours de cette période faste, Sein Hlaing s'est vu remettre l'Ordre du Mérite de la FIFA en 2004 en reconnaissance de ces résultats exceptionnels. L'ancien ailier est rejoint en 1972 par Bert Trautmann, légendaire gardien qui avait contribué à la victoire de Manchester City lors de la finale de la FA Cup 1956 malgré une fracture d'un os du cou. Riche de l'apport de l'Allemand, la sélection birmane se qualifie pour le Tournoi Olympique de Football de Munich 1972, où elle concède deux honorables défaites 1:0 face à l'Union Soviétique et au Mexique, avant de terminer son parcours en beauté par une victoire 2:0 face au Soudan. Ce jour-là, Soe Than et Aung Moe Thin signent les buts birmans, tandis que le portier Aung Tin et le patron de la défense Win Nyunt Myo se distinguent par leurs prestations sécurisantes sur la pelouse allemande.

Le départ de Trautmann en 1974 enclenche le début d'un déclin progressif. En raison de problèmes politiques, le pays ne va que rarement participer aux qualifications pour les compétitions majeures et chaque tentative se soldera par un échec. En février 2010, la défaite 3:0 face au Tadjikistan ouvre une terrible série de 11 matches sans victoire notamment marquée par une fessée 7:1 face au Vietnam ce mois d'août. Cette spirale négative a entraîné le Myanmar vers sa pire place au Classement Mondial FIFA/Coca-Cola : 184ème.

Après la pluie, le beau temps
En octobre 2012, sous les ordres de Park Sung-Hwa, auteur de 28 buts en 92 sélections pour la République de Corée, le Myanmar a redonné du baume au cœur de ses supporters. Quand la sélection s'engage dans le tournoi de qualification à cinq équipes pour la Coupe de l'AFF, personne ne la voit décrocher l'un des deux billets pour la phase finale. Pourtant, une superbe volée du jeune ailier Yan Aung Win leur offre une victoire face à Brunei, avant qu'un doublé opportuniste du joeur de poche Kyi Lin n'assure un succès 2:1 contre le Timor Oriental. Les Anges Blancs se sont ensuite assuré leur présence à la Coupe de l'AFF de novembre en disposant du Cambodge 3:0. Pour terminer, leur nul vierge avec le Laos leur a offert la première place de la poule.

L'équipe nationale du Myanmar n'est pas la seule à mieux se porter. Fondée en 1947, la fédération (MFF) a créé la Myanmar National League en 2009. Celle-ci a remplacé la Myanmar Premier League, qui concernait uniquement des clubs de Yangon, et implique désormais des formations de tout le pays, pour le plus grand plaisir d'un peuple passionné de ballon rond. Le succès de cette compétition a été tel qu'elle est passée de huit à 14 clubs. Et ce n'est pas tout puisque l'introduction d'une deuxième division et d'un système de promotion-relégation est envisagée pour la saison 2014.

Dans deux ans, les amateurs de foot du Myanmar suivront la Coupe du Monde de la FIFA™ en spectateurs neutres. La sélection n'a fait ses débuts dans les qualifications mondialistes que lors de la campagne pour Afrique du Sud 2010. À son deuxième essai, elle a battu la Mongolie sur deux manches et atteint le deuxième tour des qualifications de la zone Asie pour Brésil 2014. Malgré la défaite contre Oman à ce stade, il y a bon espoir que le Myanmar devienne vite un sérieux prétendant à la qualification pour l'épreuve suprême. Grâce aux efforts sans relâche de la MFF et au soutien imminent de la FIFA, il ne fait aucun doute que cet espoir ne cessera de grandir.

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