[21] Said BELKALEM

«Il faut mériter le brassard.»

Il faut mériter de jouer à la JSK d'abord puis aspirer à etre un jour son capitaine d’équipe ""

Tout a basculé et changé depuis longtemps @Said !!

JS KABYLIE - IL NOUS L’A CONFIÉ HIER
Belkalem dès aujourd’hui à Hammam Bourguiba

Le défenseur international des Canaris, Essaid Belkalem, sera, dès aujourd’hui, à Hammam Bourguiba où se trouve la JSK, en stage depuis samedi dernier. L’information nous a été confirmée par l’intéressé lui même. En effet, joint hier, l’axial Kabyle nous a confié qu’il se rendra aujourd’hui en Tunisie. «Je me rendrai, dès demain, à Hammam Bourguiba pour entamer la préparation avec l’équipe, qui se trouve sur place depuis samedi dernier. Je suis rentré hier (mardi NDLR) de vacances et j’ai pratiquement tout réglé avec la direction du club. Cela dit, je me remettrai au travail ce jeudi» nous a déclaré Belkalem.

DDK (12/07/2012)

JSK : Belkalem-Hannachi pas d’accord !

Très attendue, la rencontre Belkalem-Hannachi a enfin eu lieu. Le défenseur central, qui rentrait mardi de vacances (à Paris), a fait un crocher au bureau de la JSK dans l’après-midi, sur demande du secrétaire du club, avant de rentrer chez lui. On le disait, cette rencontre était très attendue, car les deux hommes avaient des choses à se dire les yeux dans les yeux, après un échange aigre-doux par voie de presse interposée. Naturellement, les retrouvailles étaient tendues. On le savait, les deux hommes ne sont pas en bons termes, ce qui laissait présager une rencontre houleuse. Ce fut le cas, heureusement sans heurts. Ils se sont échangé des propos en toute transparence. Belkalem aurait souhaité que son président lui dise discrètement «ses vérités», au lieu de verser dans des déclarations incendiaires. Hannachi s’est fié, apparemment, aux dires des autres. Ce qui le rend furieux. Du classique ! Qu’à cela ne tienne, selon une source sûre, Essaïd Belkalem paraissait serein, il voulait calmer le jeu, même s’il en reste quelques détails non élucidés. En tout cas, les deux hommes ont tenté de noyer le poisson dans l’eau. Car, même si aucune polémique ne s’est déclenchée entre les deux parties, il n’en demeure pas moins que la rencontre n’a connu aucune avancée notable.

L’offre de Hannachi jugée insuffisante
Déjà, il existait un différend lors de cette rencontre. Moh-Chérif Hannachi voulait renégocier les termes du contrat de Belkalem, lui faire une offre et éventuellement conclure. Quant à Belkacem, celui-ci voulait crever l’abcès. Il ne concevait pas un nouveau départ, dit un proche à lui, sans avoir aplani sa situation. Hannachi lui a proposé son offre. Mais, Essaid Belkalem, connaissant sa valeur sur le marché, a rejeté la proposition. Le président de la JSK a titillé la sensibilité de «l’enfant du club», en vain. Les affaires sont les affaires.

Belkalem accepte de partir à Hammam Bourguiba en signe de bonne foi
Bien qu’il ait jugé l’offre insuffisante, Belkalem a tenu à se rendre à Hammam Bourguiba, pour assister ses camarades, en signe de bonne foi. Le défenseur a accepté de reprendre les entraînements en attendant de voir mieux. Il sera, en effet, du voyage aujourd’hui pour la Tunisie. Il s’envolera à 6 heures du matin vers Annaba, puis regagnera Tunis par taxi, en compagnie de Khelili et Hannachi. Ce dernier devrait trouver un compromis avec son défenseur. A priori, une rencontre est prévue dans les prochaines heures à Hammam Bourguiba. Ce défenseur souhaiterait avoir une réponse d’ici la fin du stage à Tunis, sinon il radicalisera sa proposition. Affaire à suivre...

Le Buteur (12/07/2012)

Belkalem et Hannachi font la paix des braves

Essaïd Belkalem, le joueur international de la JSK, et Mohand-Chérif Hannachi, son président, ont enterré la hache de guerre. Au cours d’une entrevue mardi passé, ils ont convenu de mettre leurs différends de côté et faire la paix des braves.

Bonne nouvelle pour les supporters de la JSK, Essaïd Belkalem va rejoindre ses camarades en Tunisie. Il a eu une franche discussion avec son président et compte désormais se consacrer à son travail, mettant entre parenthèses son désaccord avec le chairman des Jaune et Vert. Comment un dénouement aussi heureux a pu se produire, alors que leur relation n’était pas au point ?

Ses vacances en France lui ont permis de faire le point
Après le clash avec son président et les mots durs que les deux hommes se sont échangés à travers les médias, l’imposant défenseur international des Canaris est parti en vacances, en France, pour se ressourcer. Ce break lui a permis de prendre du recul par rapport aux événements, de faire le point et d’envisager ce qui serait le mieux pour lui et le club qu’il chérit. Il faut croire que cette coupure lui a été bénéfique. Ainsi, lundi dernier, lors de son intervention sur Berbère Télévision, Essaïd Belkalem montrait déjà des signes laissant deviner son intention d’apaiser les choses.

Lundi, sur Berbère TV, il a donné des signes d’apaisement
Son propos était nettement moins virulent comparé à ce qu’il avait laissé entendre sur les ondes de la radio nationale en réponse, il faut le souligner, à une attaque non moins virulente de son président. «J’aurais aimé dire à Hannachi les choses en face et pas à travers la presse», a-t-il notamment fait savoir, non sans regret, lors de l’émission Addal + de notre confère Lounis Temzi. Depuis, les choses se sont précipitées. Mardi dernier, le défenseur de charme de la JSK est rentré en Algérie. Il a débarqué avec la ferme résolution d’aller à la rencontre de son président pour une franche explication.

De l’aéroport d’Alger au bureau de Hannachi, avant même de voir sa propre famille
De source sûre, on a appris que Belkalem tenait tellement à mettre un terme à ces histoires que, peu après son retour au pays, il est allé directement rejoindre Hannachi dans son bureau, au siège du club. Dit autrement, Belkalem est allé rencontrer Hannachi avant même de voir sa propre famille, après plusieurs jours passés en France. Un geste qui doit être interprété comme un signal fort de la part du joueur qui, en somme, aura fait passer la JSK avant sa propre famille. Le président des Canaris a dû l’apprendre et a sans doute apprécié la sincérité de son joueur. Mais que se sont-ils dit au juste ?

Ils se sont dit les choses en face
La question retient l’attention et une source proche de la JSK nous a fait quelques révélations à ce propos. Comme le souhaitait le joueur, les deux hommes ont eu une franche explication. Ainsi, ils sont revenus sur tous les sujets qui ont jeté le trouble dans leur relation. De l’histoire du match de Sétif où Belkalem a jugé plus utile de ne pas poursuivre la partie, du contentieux financier qui oppose le joueur et son président, des nouveaux émoluments du joueur, ils n’ont quasiment éludé aucun sujet. Toutefois, cela n’a pas été l’occasion de prendre les grandes décisions qui auraient permis de tout régler une fois pour toutes. Et pour tout dire, il s’agit en fait d’un deal qui arrange les deux parties provisoirement.

Mais le problème de fond persiste
La pomme de discorde entre Hannachi et Belkalem a trait à l’histoire des 9 mois de salaire impayés durant la blessure du joueur. Notre source assure que Hannachi a transmis une correspondance dans ce sens à Mohamed Raouraoua, le président de la FAF. Reste à voir quelle suite effective sera réservée au dossier. Donc, le problème de fond persiste. Comme aucune décision n’a été prise au sujet de la nouvelle rémunération, tout a été mis de côté pour que le joueur se consacre à son travail dans la sérénité et à l’abri des remous que provoquent les déclarations médiatiques tapageuses.

Il sera aujourd’hui en Tunisie
Maintenant que les remous suscités par les déclarations sont évacués, les choses vont pouvoir prendre leur cours normal. Ainsi, Essaïd Belkalem va rejoindre ses équipiers en Tunisie dès aujourd’hui, jeudi. Il se soumettra aux exercices préparés par Fabbro, à l’instar de tous ses partenaires au club, et préparera sereinement sa nouvelle saison sous le maillot kabyle, en attendant d’autres perspectives, notamment un probable appel des sirènes de l’étranger. Il semble acquis que seul un transfert hors du pays convaincra Belkalem de quitter la JSK. Et dans une telle perspective, le mieux serait de ne pas faire de vagues médiatiques qui donneraient à réfléchir aux recruteurs. Entretemps, le conflit Belkalem-Hannachi est mis entre parenthèses.

Hannachi a saisi Raouraoua sur les 9 mois de salaire
Selon une source très proche de la direction des Jaune et Vert, le point de discorde entre les deux parties, c’est les neuf mois de salaire qu’il n’a pas touchés alors qu’il était en convalescence. Le joueur affirme qu’il s’est blessé à la JSK et celle-ci affirme le contraire. Cela dit, il est parti en France passer quelques jours de vacances au moment où son équipe a pris la route de Hammam Bourguiba pour effectuer son premier stage de préparation. Selon la même source, le président des Canaris a déjà saisi le premier responsable de notre football concernant cette histoire de salaires. Comme tout le monde le sait, Hannachi et Raouraoua se sont réconciliés. Raouraoua aurait même rassuré Hannachi à ce sujet.

Compétition (12/07/2012)

Belkalem : «Jamais un joueur a boycotté la JSK. Je ne le ferai jamais !»

Il est à sa première semaine de préparation et le voilà déjà pas très loin de retrouver son meilleur niveau. Parti en vacances après les échéances de la sélection nationale, Belkalem regagne le centre de préparation de Hammam Bourguiba malgré le différent, pas encore réglé à cent pour cent, avec son président Hannachi. Selon le joueur l’heure est au travail, le dossier sera rouvert en temps opportun.

Cela fait exactement quatre jours depuis que vous êtes avec l’équipe, peut-on comprendre que le différend que vous avez avec le président Hannachi est définitivement réglé ?
Pas à cent pour cent. Certes nous nous sommes vus avant que je ne vienne en Tunisie. Nous nous sommes dit certaines vérités en face, néanmoins beaucoup de zones d’ombre ne sont pas éclaircies. Ma présence ici s’explique par l’obligation de reprendre très vite le travail et ce pour ne pas accuser un retard considérable d’ici le deuxième stage à Alger. Après, j’espère qu’il y aura encore une autre rencontre pour tout mettre au clair.

Avez-vous convenu d’un autre rendez-vous pour tout régler d’une manière définitive ?
En principe, on devrait se rencontrer une nouvelle fois ici au centre de préparation, malheureusement ça n’a pas été le cas. Croyez-moi que je tenais tant à cette deuxième entrevue, cela m’aurait permis de tout régler avec lui et me concentrer uniquement sur mon travail. Franchement, je regrette le fait qu’on ne se soit pas vus.

Vous avez quand même pris une sage décision de l’accompagner au centre où votre équipe se prépare depuis plus d’une semaine.
Je pense que je n’ai fait que mon devoir, il n’a jamais été question de bouder l’équipe, sachez que je connais parfaitement les valeurs de ce club et du maillot que je porte. La JSK n’a jamais été boycottée par un joueur, et ce n’est pas aujourd’hui que je vais me distinguer par un tel comportement irresponsable. Je suis là en tant que joueur professionnel, je vais honorer mon contrat avec respect.

Y a-t-il une chance de vous voir crever l’abcès une bonne fois pour toutes au cours d’un autre rendez-vous ?
C’est tout ce que je souhaite. Pour l’instant, je me concentre sur ma préparation, je considère que je suis encore loin de ma forme et du coup, je dois redoubler d’efforts pour être au top en début de saison. N’oubliez pas que nous avons bénéficié de vacances et la reprise passe par une bonne préparation.

De nombreux observateurs pensent que le différend est dû à votre blessure avec la sélection des locaux ainsi qu’aux neuf mois de salaire impayés, quelle est exactement votre version ?
Je le dis une fois de plus, je me suis blessé à la JSK, pas ailleurs. Pour ce qui est des salaires impayés, croyez-moi que j’ai tourné la page définitivement, la FAF m’a accordé une faveur en me prenant en charge médicalement parlant.

Y a-t-il un espoir de voir toute cette polémique cesser un jour, ce qui va dans votre intérêt et celui de votre club également ?
Je veux bien que toute cette histoire finisse. Honnêtement, je ne voulais même pas que ça fasse autant de bruit. Je voulais voir le président Hannachi à quatre journées de la fin du championnat comme ça été toujours le cas pour parler de plusieurs choses. J’ai bien envie de me sentir soulager, on dirait que c’est un fardeau que j’ai sur les épaules.

Et si l’on revient à la préparation qui tire à sa fin, quel commentaire en faites-vous ?
D’abord, je tiens à vous dire que le groupe travaille bien depuis son arrivée samedi dernier. Personnellement, je ne suis là que depuis jeudi et je fais de mon mieux pour rattraper le retard. Je sens que je suis encore loin de ma forme, je compte encore travailler pour y parvenir.

Vous êtes revenu de loin après une longue période de convalescence, vous affichez une forme qui laisse de nombreux observateurs optimistes, quel a été votre secret ?
J’ai traversé des moments que je ne souhaiterais à aucun joueur de les vivre. C’était une dure épreuve que seul Dieu connaît la douleur qui creusait dans mon cœur. Néanmoins, je me suis procuré des forces mentales pour résister, j’avais en plus le soutien de tous. J’ai pris deux exemples comme référence. Maroci, qui, après de longs mois de convalescence suite à sa blessure au genou, est revenu à son meilleur niveau, ainsi que l’international Meghni, revenu, lui aussi, d’une grave blessure. Il m’a beaucoup soutenu.

Tout le monde vous reconnaît la force mentale dont vous avez fait, d’où vous l’aviez puisée ?
Les moments difficiles que j’ai endurés m’ont beaucoup forgé. Je vous cite seulement l’exemple d’un boxeur qui est mis KO, il finit toujours par prendre sa revanche un jour et de plus belle manière, à l’image de Mohamed Ali.

Dans un autre registre, la présence de quatre joueurs axiaux dans l’équipe va rendre la concurrence encore plus dure, quel est votre commentaire ?
Le fait d’avoir des doublures dans chaque poste sera très bénéfique pour le groupe. Chacun donnera le meilleur de lui-même pour s’imposer, ça ne triche pas, et seul le terrain tranchera.

La JSK a traversé deux dures saisons, comment voyez-vous la nouvelle ?
Cela fait deux ans que nous débutons mal le championnat, ce qui s’est négativement répercuté sur nos résultats. Je vous assure que ça n’a pas été facile pour nous, les joueurs, de résister à la grosse pression. Le club a frôlé deux fois la relégation et vous imaginez quelle pression a pesé sur nous. Je reste optimiste pour la saison prochaine, la JSK reviendra en haut du tableau et les supporters vont être nombreux. Pour l’instant, il y a une bonne ambiance. Nous voulons tous réussir le stage pour aller à la conquête d’un titre.

Vous affichez, également, de belles ambitions en sélection depuis que vous êtes sélectionné par Halilhodzic, pourriez-vous nous en parler ?
Il faut savoir que la vie dans un club n’est pas celle en sélection, c’est très différent. Je fais de mon mieux pour réussir et convaincre ceux qui ont placé leur confiance en moi. C’est très strict, la concurrence est rude. Néanmoins avec le travail je pourrai m’imposer.

Pour terminer, la direction a promu quatre jeunes du cru, vous en êtes passés par là, quel est votre sentiment ?
Ce n’est qu’un retour aux belles traditions, la JSK a été de tout temps une équipe qui formait des joueurs, je suis content que des jeunes du club soient promus. Je me rappelle lorsque je suis arrivé en seniors, j’ai trouvé Rabie Meftah, Demba et les autres qui m’ont facilité l’intégration. A mon tour, il est de mon devoir de les encourager et leur montrer le chemin à suivre pour réussir.

Le Buteur (16/07/2012)

Belkalem : «9 mois de salaires, bessmah !»

Comme Maroci, Belkalem aussi avait répondu à toutes les questions. Dans un premier temps, l’enfant de Mekla est revenu sur cette histoire de conflit qu’il l’opposait à Hannachi avant de parler d’autres points. Entretien.

- Pour commencer, peut-on dire que le conflit qui vous oppose à Hannachi est réglé ?
- Pas à 100% dans la mesure où il reste quelques détails à régler. Moi, personnellement, j’aurais aimé réglé tout comme d’habitude, c’est-à-dire juste au lendemain de la fin de la saison. Néanmoins, cette fois, les choses ont beaucoup traîné.

- Et que comptez-vous faire maintenant ?
- Pour le moment, je me concentre sur ce stage de préparation de mon équipe. Il était question qu’on règle tout lors de la venue du président à Hammam Bourguiba, on ne s’est pas vus et maintenant, à mon retour au pays, je dois régler quelques détails avec Hannachi.

- Pourtant, vous avez rencontré Hannachi la veille de votre venue à Hammam Bourguiba…
- Oui, j’ai vu le président au siège du club, on a parlé vaguement. J’ai été clair avec lui, je lui ai dit que je vais reprendre le chemin des entraînements afin de ne pas avoir un retard sur le plan physique par rapport aux autres joueurs et afin d’être prêt pour le début du championnat. On n’a pas parlé d’autre chose, on s’est mis d’accord qu’on réglera tout à Hammam Bourguiba, mais, sur place, on ne s’est pas rencontrés et maintenant, à notre retour au pays, on doit tout régler.

- Hannachi a déclaré qu’en qualité d’enfant du club et aussi que vous êtes sous contrat, vous n’auriez pas dû faire toutes ces déclarations…
- Je ne veux pas revenir en arrière ni aborder ce sujet. Toutefois, en ma qualité d’enfant du club, je n’ai pas abandonné l’équipe. Un autre joueur à ma place n’aurait jamais repris le chemin des entraînements avant de régler sa situation.

- Le point de désaccord est cette histoire de neuf mois de salaire mais aussi de votre blessure avec l’équipe nationale…
- Pour cette histoire de blessure, je le redis une autre fois, c’est à la JSK que je me suis blessé. Il y a des spécialistes qui pourront prouver mes dires. La fédération m’a fait une faveur en me prenant en charge à Aspetar. Sinon, pour cette question de neuf mois de salaire, c’est mon dû, mais je suis prêt à tout laisser, car, je suis un enfant du club et j’aime la JSK. Mais, pour autre chose, je dois régler quelques détails avec Hannachi à mon retour au pays. J’espère avoir été clair sur ce sujet et je ne veux pas entrer dans d’autres détails.

- Sinon, l’équipe a recruté un bon défenseur axial cet été…
- Bienvenu à Benlamri et la concurrence ne me fait pas peur. Au contraire, ça sera une bonne chose à l’équipe, car, il n’y aura pas de tricheurs à l’entraînement et que le terrain tranche.

- Comment voyez-vous l’avenir de votre équipe en championnat ?
- Pour éviter le scénario des deux précédentes saisons, on doit débuter le championnat en fanfare, voilà comment je vois les choses.

- Sinon, cet été, vos dirigeants ont promu cinq jeunes en équipe seniors…
- C’est un plaisir de voir tant de jeunes joueurs en équipe première. Comme moi j’ai trouvé des enfants du club à l’image de Rabie Meftah qui m’a beaucoup aidé, je ferai la même chose avec ces jeunes.

- Aujourd’hui, quel souvenir gardez-vous de votre blessure et comment avez-vous retrouvé votre niveau ?
- Pour ma blessure, j’ai passé des moments très difficiles. J’ai pris les cas de Meghni et Maroci comme exemples. Pour le niveau, j’ai cravaché très dur et j’ai pris l’exemple d’un boxeur qui avait perdu un combat par K.-O, mais qui avait gagné ses autres combats après.

- Halilodzic a récompensé vos efforts en vous appelant en équipe nationale et il n’a pas tari d’éloges sur vous par la suite. Vous visez certainement une place de titulaire chez les Verts…
- L’équipe nationale n’est pas comme les clubs où le joueur doit gagner sa place le plus vite possible pour plusieurs raisons. Je prendrai tout le temps nécessaire pour gagner ma place en EN.

Compétition (16/07/2012)

Ah Non ! C'est pas Normal !!!!!!!!!!!!!
C'est quoi cette fin en douce?????

Je le comnprend! Hannachi le casserait si non!

Ils s'appellent les problèmes personnels ntadarth !!!!!!

adsm a écrit:Ils s'appellent les problèmes personnels ntadarth !!!!!!

Acu tevghid ad inid?

Hannachi-Belkalem, acte II cette semaine

Décidément, l’affaire Belkalem continue de faire couler beaucoup d’encre en cette période de stage, même si l’international algérien a rencontré son président la semaine dernière à Tizi Ouzou. Une fois de plus, le défenseur kabyle doit revoir son président pour la seconde fois de suite, afin d’évoquer l’aspect financier. Aux dernières nouvelles, Belkalem n’a rien conclu avec son président sur ce volet. En gros, il s’agira de se mettre d’accord sur le salaire que percevra le joueur lors de la nouvelle saison. D’après certains observateurs, ce nouveau tête-à-tête entre Hannachi et Belkalem sera probablement le dernier, avant le règlement définitif de ce conflit qui dure depuis des semaines. Dans le cas contraire, les choses risquent de s’enfoncer à nouveau entre les deux hommes, une situation qui n’arrangerait personne. D’après la même source d’information, Hannachi rencontrera Belkalem à l’hôtel Riadh, dans la discrétion la plus totale.

Le joueur n’a toujours pas signé sa demande de licence
Pour rappel, Belkalem, qui se trouvait en France la première semaine de juillet, était dans le flou concernant sa situation au club. Mais dès son retour, il a brièvement discuté avec Hannachi, avant d’accepter de faire le déplacement en Tunisie, où ses partenaires effectuaient leur stage à Hammam Bourguiba. Toutefois, Belkalem a clairement expliqué à ses dirigeants qu’effectuer le déplacement en Tunisie ne voulait pas dire que le problème était résolu. Pour preuve, le joueur n’a toujours pas signé sa demande de licence pour la nouvelle saison, même s’il lui reste une année de contrat.

Ça parle de 160 millions/mois
Du côté de la direction kabyle, on semble très serein concernant le cas Belkalem. Normal lorsqu’on sait que le joueur est toujours sous contrat avec la JSK. D’après certaines indiscrétions, le président Hannachi compte faire une nouvelle offre à son joueur cette semaine. Même si ce n’est toujours pas une certitude, ça parle de 160 millions de centimes comme salaire mensuel. Une somme qui ne laissera pas le joueur indifférent. A l’heure actuelle, le conflit Hannachi-Belkalem n’est, certes, pas résolu, mais les choses semblent aller dans la bonne voie.

Le Buteur (22/07/2012)

Belkalem, un cas définitivement réglé
Comme nous l’avons annoncé dans notre précédente édition, le président Hannachi voulait à tout prix régler le cas du défenseur central, Essaïd Belkalem, qui, rappelons-le, n’a toujours pas signé sa demande de licence pour la prochaine saison. Et c’est lors de la séance de reprise de dimanche dernier que tout devait être réglé entre le joueur et la direction. Comme prévu, à la fin de l’entraînement, Belkalem est reparti avec deux dirigeants du club, au moment où le reste de ses partenaires avaient pris place dans le bus. Lors de ce tête-à-tête avec le joueur, les dirigeants de club ont fait une nouvelle offre à Belkalem concernant le montant du salaire que percevra le joueur durant la saison. Et d’après la même source d’information, le joueur aurait donné son accord de principe. L’offre des dirigeants l’aurait fortement intéressée. Désormais, Belkalem pourra signer sa demande de licence avant d’encaisser son chèque.

Le Buteur (24/07/2012)

Belkalem - Hannachi : retour à la case départ ?
Alors qu’on croyait que le différend qui opposait Mohand Cherif Hannachi à Essaïd Belkalem définitivement aplani, apparemment le conflit demeure entier. En effet, le président Hannachi a rencontré avant-hier et ce pour la deuxième fois en cette fin du mois de juillet, son joueur, à Alger, où l’équipe est en stage. Selon les quelques bribes d’informations qui ont filtré de l’entrevue, on croit savoir que les deux hommes ont tout abordé, de la blessure du joueur qui l’a éloigné des terrains pendant presque une année, aux neuf mois de salaires impayés, jusqu’à même soulever un autre dossier non moins important, à savoir une revalorisation de salaire. Toutes ces questions, on croit savoir, ont été évoquées dans le fond par les deux hommes. Si dans un premier temps, une source proche du dossier nous a confié que le problème est définitivement réglé, hier c’est le même scénario qui refait surface. Le joueur, selon des indiscrétions, est loin d’être convaincu par le discours de son premier responsable. La nuit portant conseil, Belkalem a fait savoir à ses responsables qu’il est contre la proposition de son président et qu’il compte encore le revoir. A l’heure où nous mettons sous presse, Belkalem n’a encore pas signé sa demande de licence et ne le fera qu’une fois un compromis trouvé.

Le Buteur (25/07/2012)

Il a rencontré Yarichène et Bechohra
Belkalem rassure : «Je signerai cette semaine»

C’est lundi dernier que le solide défenseur des Canaris devait rencontrer Hannachi, mais, à la dernière minute, les deux parties ne se sont pas réunies autour de la table des négociations.

Pour un petit rappel, le joueur qui est prêt à laisser tomber les neuf mois de salaires qu’il a exigés dans un premier temps exige toutefois un nouveau salaire. Le premier responsable de la formation du Djurdjura est au courant des intentions de son jeune joueur, pour cette raison, les deux parties devaient se voir lors des deux premiers jours de ce stage afin de régler une bonne fois pour toutes cette histoire de salaires. Certes, Hannachi n’a pas eu un tête-à-tête avec Belkalem, néanmoins, ce dernier a eu une longue discussion lundi soir avec Yarichène et Bechohra. Le premier cité n’est autre que l’homme de confiance de Hannachi et il a participé avec un grand apport à l’opération recrutement alors que le second était tout le temps proche du joueur et il connaît bien cette histoire. Cela dit, Yarichène et Bechohra ont tenté de raisonné le joueur et de trouver un terrain d’entente avec lui afin de tourner et définitivement cette page.

Il n’a pas encore réglé définitivement son cas
Selon une source crédible, Belkalem qui a eu une longue discussion avec Bechohra et Yarichène lundi dernier a abordé avec ces deux proches de Hannachi le sujet de son salaire. Après une bonne phase retour, l’enfant de Mekla a retrouvé son meilleur niveau comme il a été aussi sélectionné par Halilozidch. Belkalem est revenu en force au-devant de la scène et ce nouveau statut l’a poussé logiquement à exiger un nouveau salaire. Certes, les choses sont sur la bonne voie et le joueur ne tardera pas à trouver un terrain d’entente avec ses dirigeants concernant le nouveau salaire qu’il doit toucher cette saison. Mais, une rencontre entre Hannachi et Belkalem dans les prochaines heures est plus que nécessaire afin de régler et de fixer le salaire que Belkalem doit toucher cette saison.

On parle d’un contact du FC Nantes
En plus de cette histoire de salaire, on parle ces derniers jours dans l’entourage de la JSK d’un contact du FC Nantes pour Belkalem. C’est vrai, le solide défenseur des Jaune et Vert avait des touches en France au début de cet été, d’ailleurs, il était annoncé à Sochaux avant de décider de poursuivre son aventure avec les Canaris et d’honorer son contrat. Aujourd’hui, on parle du FC Nantes alors que le joueur de son côté s’entraîne le plus normalement du monde avec le groupe en attendant de régler cette affaire de salaire dans les prochains jours.

«Je devrais signer la demande de licence cette semaine»
Rencontré lundi dernier à l’issue de la séance d’entraînement de son équipe, Belkalem nous a confirmé qu’il n’a pas rencontrés Hannachi. «Au moment où je vous parle, je n’ai pas encore rencontré le premier responsable du club.» Cependant, l’enfant de Mekla nous a avoué qu’il signera la demande de licence dans les prochaines heures. «Je suis avec le groupe, je m’entraîne le plus normalement du monde et je me prépare pour la nouvelle saison. Je ne peux pas bouder l’équipe ni accuser un retard sur le plan physique. Bref, je devrais même signer la demande de licence au courant de cette semaine.»

Rial, Belkalem, Benlamri et Khelili veulent tous une place de titulaire : Une rude concurrence en défense
De plus en plus le staff technique des Jaune et Vert avance dans la préparation, de plus en plus les choses deviennent très difficiles pour Fabbro en défense. Oui, très difficiles même. Ce dernier devrait choisir dans les jours à venir une paire axiale et deux joueurs qui débuteront la saison dans l’axe de la défense. Le choix est très difficile vu la présence de quatre bons défenseurs. D’abord, il y a Rial, l’élément le plus âgé du groupe et le plus expérimenté. Fabbro ne pourra jamais mettre son capitaine sur le banc de touche. Ensuite, il y a Belkalem, un enfant du club qui était titulaire indiscutable en équipe première alors qu’il était encore junior. Un joueur qui a retrouvé son meilleur niveau et qui a gagné haut la main sa place en EN. Fabbro ne pourra pas aussi mettre ce joueur sur le banc de touche. Et puis, les responsables de la JSK ont cassé leur tirelire cet été pour enrôler celui qu’on présente comme le futur meilleur défenseur du championnat et l’un des grands espoirs de notre football. Mettre Benlamri sur le banc de touche sera une grande perte pour la JSK. Enfin, le jeune Khelili affiche une belle forme ces derniers jours et lui aussi veut une place de titulaire. « La concurrence ne me fait pas peur et seul le terrain tranchera, moi j’ai une grande confiance en mes qualités », ne cesse de déclarer Khelili.

Un axe à trois, seule solution pour Fabbro
Au moment où la concurrence bat son plein en défense, Fabbro ne cesse de songer à la solution. Certes, ce dernier n’a jamais essayé trois défenseurs dans l’axe depuis le début de la préparation et cela malgré que les joueurs aient joué plusieurs oppositions et matchs d’application entre eux. Cependant, le coach italien des Jaune et Vert aura tout le temps devant lui pour essayer cette formule qui pourra être la bonne solution et pour le staff technique et pour l’équipe.

Compétition (25/07/2012)

Belkalem : «Je réglerai ma situation avant le départ au Maroc»

Etant le seul joueur à n’avoir pas signé sa demande de licence à la JSK, nous sommes partis à la rencontre du défenseur central kabyle, Essaïd Belkalem, pour essayer de mieux connaître les raisons de ce blocage. Ponctuel comme il est, Belkalem était déjà là avant notre arrivée. Il était 18h30 lorsque le joueur a commencé à nous parler de tout ce qu’il a vécu depuis le mois de mai dernier, à commencer par la grande polémique déclenchée suite à ses déclarations à Radio Tizi Ouzou. Fidèle à ses habitudes, Belkalem a accepté de répondre à toutes nos questions, même les plus gênantes parfois, telle que l’histoire du brassard de capitaine qui a fait couler beaucoup d’encre. Appréciez !

Ne ressentez-vous pas un certain retard dans la préparation, du moment que vous avez raté la première semaine de préparation à Hammam Bourguiba ?
Que je le veuille ou non, j’accumule un certain retard dans la préparation, car, effectivement, j’ai rejoint le groupe à Hammam Bourguiba en retard. Une fois sur place, j’ai effectué des tests physiques avant d’entamer le travail. Heureusement que je me suis adapté rapidement à la charge de travail. Cela n’a pas été facile pour moi, mais par la suite, je me suis adapté. Aujourd’hui, je me sens dans le bain.

Le stage de la sélection vous a beaucoup servi, apparemment ?
Exactement, c’est sans doute pour cette raison que j’ai vite retrouvé le rythme. En tout cas, je n’ai jamais bénéficié d’autant de repos depuis la catégorie juniors. Je n’ai jamais pris 20 jours de vacances d’un coup.

Contrairement aux habitudes, vous n’avez pas effectué un travail d’oxygénation au début du stage, du moment que la charge de travail a été augmentée d’un coup. Comment avez-vous réagi à cela ?
Je dirais que chaque entraîneur a sa méthode de travail, et Fabbro a la sienne. J’ai eu la chance de travailler avec pas mal de préparateurs physiques et chacun a sa conception des choses. De notre côté, cela ne nous pose aucun problème, du moment que notre seul souci est d’améliorer notre condition physique.

Revenons à votre situation au club. Vous êtes pour le moment le seul joueur qui n’a pas signé sa demande de licence pour la prochaine saison. Peut-on connaître les raisons ?
Avant toute chose, je tiens à dire un truc très important.

Lequel ?
C’est que beaucoup de gens ont parlé de cette affaire, et je ne vous cache pas que cela m’a beaucoup gêné, car je n’ai pas l’habitude de faire parler de moi. C’est l’occasion de tirer certaines choses au clair afin que tout le monde puisse connaître la réalité des choses.

Allez-y ?
Pour revenir à votre question, il est vrai que je n’ai toujours pas signé ma demande de licence, mais je tiens à dire que ce n’est guère un problème pour personne. Je dois juste rencontrer les dirigeants pour évoquer certains détails, avant de conclure. Il n’y a rien d’inquiétant jusque-là, du moment que je compte aller jusqu’au terme de mon contrat avec la JSK.

Justement, peut-on connaître vos exigences ?
Je vais parler en toute franchise avec mes dirigeants sur certains points concernant ma situation et mon avenir au club, sans plus.

Certains sont convaincus que le problème majeur entre vous et la direction demeure sur le plan financier…
Croyez-moi que l’argent n’est pas ma priorité. Certes, on évoquera l’aspect financier, mais je n’en fais pas une affaire. Il y a d’autres points plus importants à mes yeux.

Comme une offre de l’étranger par exemple ?
Oui, pourquoi pas. Au cas où un club me contacte avant la fin de mon contrat, j’aimerais bien connaître les intentions de mes dirigeants à ce sujet. J’aimerais bien qu’on me facilite la tâche.

Quand allez-vous rencontrer les dirigeants pour parler en détail de votre situation ?
Ça va se faire à la fin du stage d’Alger, probablement le 28 ou le 29. Ce qui est certain, c’est que je vais les voir avant le départ au Maroc. Pour le moment, je suis plus concentré sur le stage. En tout cas, ma prochaine rencontre avec les dirigeants ne suscite pas une grande polémique.

Allez-vous rencontrer pour la même occasion le président Hannachi ?
J’ai déjà parlé avec Hannachi, mais nous n’avons pas tardé. On a parlé de la situation en général, notamment mes dernières déclarations à la presse qui n’ont pas été du goût du président. J’ai dit clairement au président que ce n’est pas de mes habitudes de trop parler aux médias. Je lui ai dit aussi que je ne suis pas un joueur ingrat, ni quelqu’un qui lui fera du chantage, et je n’oublierai jamais tout ce que la JSK m’a donné. J’ai un grand amour pour ce club, et ceux qui disent le contraire ne me connaissent pas.

En toute franchise, regrettez-vous que les choses en arrivent jusque-là, entre vous et la direction ?
Vous voulez mon avis ? Je dirais que les choses n’auraient jamais dû arriver à ce stade. Cette affaire a donné une mauvaise image de moi et de la JSK. Je suis convaincu que le problème remonte à la fin de saison où rien n’était clair.

Soyez plus explicite ?
Depuis que je suis à la JSK, les choses se sont toujours très bien passées. J’aurais vraiment souhaité rencontrer les dirigeants en fin de saison, pas maintenant. En règle générale, on évoque la prochaine saison au mois de juin. Cela a toujours été le cas à la JSK. Les dirigeants savaient que j’avais un stage avec la sélection, et ils auraient dû régler ma situation bien avant. Je ne vous cache pas que j’ai douté durant un moment. Mais bref, tout ça n’est que du passé pour moi. Je me tourne vers l’avenir, désormais.

Qu’avez-vous à dire aux supporters kabyles qui sont toujours inquiets tant que vous n’avez pas signé votre demande de licence pour la prochaine saison ?
Je sais que je suis très estimé en Kabylie et ailleurs, et c’est un honneur pour moi. Je tiens à leur dire, avant toute chose, que je ne suis pas un joueur à problèmes. J’essayerai de donner une bonne image de moi et de la JSK. Je suis un enfant du club et je ne me montrerai jamais ingrat envers la JSK.

Beaucoup de supporters pensent que vous risquez de boycotter le prochain stage au Maroc ; votre réponse à cela ?
C’est insensé de dire que je risque de boycotter le prochain stage. Aucun joueur à la JSK ne l’a fait auparavant, et croyez-moi que Belkalem ne sera pas le premier. Je ne vais pas me salir pour une histoire de stage. Bien au contraire, j’accumule un certain retard dans la préparation et je compte redoubler d’efforts pour être prêt à la reprise du championnat. Il n’y a aucune raison de boycotter les entraînements.

Qu’en est-il exactement du contact du FC Nantes ?
Je ne suis au courant de rien. Il est vrai que j’ai reçu de nombreux contacts de l’étranger, je vous assure que pour l’instant il n’y a rien de concret.

Une autre polémique avait éclaté depuis quelques semaines concernant le brassard de capitaine. Sincèrement, souhaitez-vous le reprendre cette saison ?
Je n’ai absolument rien à voir avec cette histoire. Il faut savoir accepter certaines choses, un point c’est tout. Il est vrai que j’étais le capitaine, mais je me suis absenté durant 9 mois, pour cause de blessure. A mon retour, le brassard a été confié à Rial. Cela ne me pose aucun problème. Cela se passe comme ça dans les grands clubs. Je vous ai cité l’exemple de Ferdinand à Manchester. Il était capitaine, mais de retour de blessure, c’est Vidic qui a hérité du brassard, et il a accepté les choses. Par principe, je ne reprendrai pas le brassard de capitaine.

Avant de conclure, parlez-nous de votre dernière expérience en sélection ?
Il est vrai que j’ai appris beaucoup de choses de mon dernier stage en sélection. Je sais que ça ne sera pas facile de s’imposer, car il y a une rude concurrence au niveau de tous les postes, notamment dans l’axe. C’est une grande responsabilité, car on représente tout un pays. Je sais qu’il va falloir rester le plus stable possible pour durer en sélection.

Le Buteur (26/07/2012)

JSK : Ils se sont vus dans la soirée d’hier
Hannachi-Belkalem, la dernière rencontre

Selon une source très proche de la direction kabyle, le premier responsable du club a pris la décision de prendre le taureau par les cornes concernant l'affaire Belkalem, une affaire qui a fait couler beaucoup d'encre cet été, de l'avis de plus d'un.

l'enfant de Mekla a rencontré lundi dernier deux proches de Hannachi qui l'on rassuré concernant cette histoire de nouveau salaire. Néanmoins, le joueur n'a pas réglé sa situation et un grand bruit a été causé une nouvelle fois concernant cette affaire. Pour cette raison, Hannachi a déclaré hier après-midi à ses proches qu'il réglera cette affaire une bonne fois pour toutes dans la soirée de mercredi, c'est-à-dire hier soir.

Hannachi devait se déplacer hier au stade de Staouéli d'abord où la séance d'entraînement devait se dérouler avant de faire un saut à l'hôtel et rencontrer Belkalem. Pour un petit rappel, le point de désaccord n'est autre que le nouveau salaire que le joueur n'a cessé de réclamer, puisque, concernant les neuf mois de salaires que Belkalem n'a pas touchés lorsqu'il était en période de convalescence, ce dernier a pris la décision de les laisser tomber, néanmoins, le natif de Djemaâ N' Sahaaridj réclame toujours un nouveau salaire alors que du côté de la direction du club on affirme que le salaire du joueur a été revalorisé en fin de saison. Bref, la rencontre d'hier soir devait être décisive entre les deux parties, puisqu'à quelques jours de la fin de ce second stage de préparation, Belkalem veut régler son cas avant de partir au Maroc et se consacrer uniquement à la préparation de la nouvelle saison. Par ailleurs, la piste du FC Nantes qu'on a rapportée dans notre édition d'hier a été confirmée par un dirigeant du club.

Compétition (26/07/2012)

Turwed nagh mazal ?
Deux amoureux qui se boudent !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je sens qu'il quittera avant le début de saison.
A sa place, j'aurai quitte depuis zik nni!

Il perd un précieux temps à la JSK....

La bombe Belkalem explose

Le deuxième stage de préparation de la JSK qui s’est déroulé à Alger s’est terminé quelque peu en queue de poisson.

L’affaire Belkalem qui a fait couler cet été beaucoup d’encre et de salive a pris à l’issue de cette rencontre amicale une autre tournure et désormais, les choses sont très claires à propos de ce sujet. Au moment où tout le monde à la JSK attendait une rencontre Hannachi-Belkalem pour cette fin de stage, la bombe a retardement a explosé en fin de compte. Cela fait plusieurs jours que le joueur a engagé un bras de fer avec la direction de son club. Les choses ont commencé à vrai dire après les déclarations faites par l’enfant de Mekla à la Radio nationale. Néanmoins, les responsables kabyles ont réussi à régler cette affaire, la preuve le joueur était du voyage à Hammam Bourguiba. Cela dit, samedi dernier, l’affaire Belkalem est arrivée à sa fin.

Les choses ont commencé avec son refus de prendre le brassard
Alors qu’en première mi-temps, c’est Nabil Mazari qui a pris le brassard de capitaine et cela malgré la présence de Rial sur le terrain lors du premier half, au milieu de la seconde période, Mazari a cédé sa place au jeune Merzouki. Il a donné le brassard à Belkalem mais ce dernier a refusé carrément de le prendre. Hanifi est intervenu pour essayer de raisonner le natif de Mekla mais ce dernier n’est pas revenu sur sa décision et le brassard a été porté par Fergane. Pour Belkalem, cette histoire de brassard est claire, puisque l’entraîneur a déjà désigné un capitaine d’équipe.

Les supporters l’ont interpellé à la fin de la rencontre
Déjà avant même la fin de la rencontre, Belkalem a profité d’un arrêt de jeu de la rencontre pour parler avec quelques supporters qui étaient derrière le grillage du stade. A la fin de la rencontre, la plupart des supporters qui étaient présents au stade de Staouéli se sont dirigés vers Belkalem. Ce dernier a eu une longue discussion avec les supporters. Quelques supporters n’ont pas hésité d’afficher leur soutien à l’enfant de Mekla alors que d’autres lui ont demandé de trouver un terrain d’entente avec la direction et de régler son cas une bonne fois pour toutes.

«Je pars, car ils ne m’ont pas estimé à ma juste valeur»
Selon les témoignages de quelques supporters qui étaient présents sur les lieux, à un certain moment de sa discussion avec les supporters, Belkalem avait lâché cette phrase : « C’est bon, je pars, puisqu’ils ne m’ont pas estimé à ma juste valeur. » De son côté, le joueur avait déclaré à ses proches au lendemain de cette rencontre amicale avec l’OM que la JSK est sa maison.

Yarichène aux supporters : «On lui a proposé un salaire de 150 millions, il a demandé 350»
Les mêmes supporters qui ont interpellé Belkalem ont aussi interpellé Yarichène, celui qui a participé avec un grand apport à l’opération recrutement. Ce dernier et selon les mêmes témoignages a déclaré aux supporters : «On a proposé un bon salaire à Belkalem, un salaire qui avoisine les 150 millions, mais, il a demandé 350.»

Son passeport se trouvait chez lui et Il n’y aura pas de rencontre avec Hannachi
Au moment où nous mettons sous presse, le passeport du joueur était chez lui alors que les autres passeports des autres joueurs se trouvaient chez le secrétaire du club qui prépare le voyage de demain. Par ailleurs et selon une source crédible, il n’y aura pas de rencontre Belkalem-Hannachi.

On reparle de ce contact avec le FC Nantes
Comme nous l’avions rapporté dans l’une de nos précédentes éditions, le joueur de la JSK avait un contact avec le FC Nantes. Aujourd’hui, on reparle de côté de la direction kabyle et avec beaucoup de sérieux de cette histoire des contacts de Belkalem avec le club français. Affaire à suivre.

Selon des proches du joueur Essaïd sera du voyage au Maroc
Le solide défenseur international des Canaris n’a pas voulu faire la moindre déclaration concernant cette histoire. Par ailleurs et selon les proches de l’enfant de Mekla, ce dernier sera du voyage au Maroc. Belkalem n’a pas l’intention de bouder son équipe. Et puis, le joueur est dans les plans de Vahid pour le match de la Libye puisque Bouzid et Bougherra ne seront pas concernés par cette rencontre alors que Medjani n’a pas donné satisfactions lors des précédents matchs, le joueur doit être au top de sa forme physique d’ici le mois de septembre.

Il a déjà demandé sa lettre de libération à Hannachi
l Il y’a aussi un détail de taille, c’est que la plupart des supporters de la JSK ne sont pas au courant de cette histoire de la lettre de libération. Dans l’une de ses rencontres avec Hannachi, Belkalem n’a pas hésité à demander sa lettre de libération à son président. Belkalem avait même demandé à Hannachi de fixer un prix pour sa lettre de libération. Chose que Hannachi avait refusée catégoriquement.

Compétition (30/07/2012)

JSK : Belkalem exige plus de 4 milliards pour rester

Alors que tout le monde croyait que la relation entre l’international de la JSK, Essaïd Belkalem, et son président, Mohand Cherif Hannachi, allait être normalisée dans l’intérêt du club, surtout que le joueur a effectué le déplacement en Tunisie avec son président, voilà que la situation se dégrade de nouveau. En effet, à ce jour, Belkalem n’a encore pas trouvé de terrain d’entente avec son premier responsable concernant plusieurs points, notamment la revalorisation de son salaire en prévision de la saison prochaine. On croit savoir d’une source proche du dossier que le montant qu’a offert l’administration kabyle au joueur, soit un salaire de 150 millions par mois, est loin de satisfaire ce dernier d’où ses tergiversations quant à signer sa nouvelle licence pour la saison 2012/2013. Par ailleurs, l’incident du brassard survenu samedi soir à dix minutes de la fin du match amical face à Médéa n’est que la goutte qui a fait déborder le vase. Autrement dit, Belkalem en avait gros sur le cœur et cela ne date pas d’aujourd’hui et le fait de refuser de porter le brassard renseignait inéluctablement sur la situation. Selon des indiscrétions, nous avons appris que Belkalem est décidé cette fois-ci à maintenir jusqu’au bout son exigence, jusqu’à songer sérieusement à ne pas être du voyage aujourd’hui au Maroc.

Il exige une augmentation de salaire ou sa libération
L’international Essaïd Belkalem a rencontré la semaine dernière un membre de la SSPA, en l’occurrence Yazid Yarichène. Le défenseur kabyle a conditionné la signature de la nouvelle licence par la revalorisation de son salaire, il aurait exigé un salaire de 350 millions par mois, a-t-on appris d’une source proche de la direction kabyle qui ajoute que Belkalem a confié à ce membre de la SSPA que dans le cas où sa condition n’est pas satisfaite, il est prêt à négocier sa lettre de libération. Pour rappel, Belkalem est sous contrat jusqu’en juin 2013.

Hannachi réclame plus de 3 milliards pour le libérer
Administrativement, Essaïd Belkalem est toujours la propriété du club kabyle. Il est encore lié par contrat jusqu’en juin 2013. Selon une source digne de foi, nous avons appris que le président du club Mohand Cherif Hannachi, qui souhaite naturellement garder son international pour la saison prochaine, n’est pas prêt à laisser partir son joueur sans que le club qui l’a formé et lui a permis de décrocher le statut d’international, ne tire pas de bénéfices de son transfert, surtout qu’il n’est qu’à une saison de la fin de son contrat.

On le soupçonne d’avoir effectué des essais à Nantes, cet été
D’autres sources d’informations confient que le problème est également lié aux nombreux contacts que Belkalem a eus depuis qu’il est revenu à la compétition. On croit savoir que les responsables de la JSK soupçonneraient leur défenseur axial d’avoir effectué dernièrement des essais en France, au FC Nantes plus précisément, avant de rejoindre son équipe avec une semaine de retard au premier stage de Hammam Bourguiba en Tunisie. En exigeant une somme qui dépasserait de loin l’offre de la direction kabyle, le joueur tente de provoquer lui-même son départ du club, c’est ce que pensent les dirigeants de la JSK.

Il devait s’entretenir une dernière fois avec un membre du club hier
Même si dans la tête du joueur la décision de ne pas effectuer le déplacement au Maroc avec l’équipe est déjà arrêtée, hier il devait quand même rencontrer un dirigeant membre de la SSPA pour essayer de trouver un compromis. Ce qui est toutefois certain, c’est que le joueur n’est pas prêt à faire des concessions, et les dirigeants eux ne paraissent pas disposés à satisfaire ses exigences financières, et ainsi on croit que les jours de Belkalem sont désormais comptés à la JSK.

Le Buteur (31/07/2012)

Belkalem a exigé 250 millions et non 350

Esseid Belkalem est sous contrat avec la JSK jusqu’en juin 2013, mais il n’a pas encore signé sa demande de licence. Le joueur exige une réévaluation de son salaire, qui est, rappelons-le, de 90 millions par mois. Hannachi a refusé de négocier avec lui directement.

Il a délégué Yazid Yarichène, son nouveau bras droit, pour mener les pourparlers. Le rendez-vous a eu lieu la veille du match face à Médéa et Yarichéne a proposé à l’international algérien 150 millions non négociable. Le joueur a refusé cette somme et a exigé 250 millions (et non 350 millions comme l’ont fait circuler certains dirigeants de la JSK). «On lui a proposé 150, il a exigé 350», diront quelques proches de Hannachi aux nombreux supporters furieux qui demandaient des explications sur le cas Belkalem). «Ces personnes voulaient faire retourner le public contre Belkalem», nous dira un ami proche d’Esseid.

Ce qu’il a dit à Yarichène
«Je veux être estimé à ma juste valeur. Je suis un international tout comme Hachoud, Benmoussa, Slimani et les autres. Entre ce qu’ils touchent dans leurs clubs et ce que vous me proposez, il y a une sacrée différence. Si j’étais libre comme ils l’étaient eux en début de saison, l’USMA, le CSC et le MCA m’auraient donné le double de ce que je vous demande. C’est parce que je suis un enfant du club que vous me faites ça ? Regardez-moi dans les yeux et dites que je ne mérite pas ce salaire…», dira Belkalem à Yazid Yarichéne la veille du match amical face à Médéa.

«Hannachi devrait lui donner ce qu’il veut et exiger en contrepartie une prolongation de contrat»
Tout d’abord, il faut signaler que Hannachi a évité depuis le début de négocier avec Esseid Belkalem directement. C’est Yazid Yarichène, une personnalité crédible et très respectée dans le club et partout ailleurs, qui mène les discussions à présent. Sur la façon avec laquelle les négociations ont été menées, on a entendu dire qu’aucune proposition de prolongation de contrat n’aura été proposée au joueur et à ce propos justement, un proche de la JSK, qui est aussi proche de Belkalem, nous dira : «Belkalem est une valeur sûre pour le club. Pourquoi Hannachi ne satisferait pas le joueur en lui offrant 250 millions mais exigerait en contrepartie à ce que le joueur prolonge. De cette façon, la JSK récupérera son argent en cas de transfert du joueur en fin de saison, sinon elle aura gardé le meilleur défenseur d’Algérie.»

Il veut jouer la CAN et prendre part aux éliminatoires de la CM : Belkalem devrait aller au Maroc
Mohand Cherif Hannachi est convaincu qu’Esseid Belkalem n’est pas le type de joueur à mettre en péril sa carrière sportive pour une histoire d’argent. Le boss de la JSK est en position de force et il le sait parfaitement, c’est pourquoi il est tranquille et sûr que tôt ou tard, son joueur signera et ne se permettra jamais de passer une année blanche et risquer de perdre son niveau et surtout sa place en équipe nationale.

Esseid perdra tout !
Avec la blessure de Bougherra, la retraite d’Antar Yahia et le chômage de Bouzid, Belkalem a une grande chance de jouer la double confrontation face à la Libye en septembre, puis en octobre prochain. S’imposer en équipe nationale ne sera pas trop difficile pour lui et il le sait parfaitement. Prendre part à la CAN 2013 en Afrique du Sud sera son objectif principal cette saison. Mais si Belkalem ne signe pas, il ne jouera pas, donc Vahid ne le convoquera pas. Et s’il n’est pas convoqué pour la CAN, il ne jouera pas les éliminatoires de la Coupe du monde 2014, et s’il ne prend pas part aux matchs qualificatifs, il ne jouera pas la Coupe du monde en cas de qualification. Ainsi, on pourra dire que Belkalem sera le grand perdant dans cette histoire. Il est entre le marteau et l’enclume. L’enfant de Mekla sait que Hannachi ne l’a pas estimé à sa juste valeur et il sait aussi que son président profite de son cas pour lui imposer le salaire qu’il veut, mais il n’y peut rien, si ce n’est gagner du temps, négocier et essayer d’avoir le meilleur salaire possible. C’est en tout cas ce que nous a affirmé une personne très proche de ce joueur : «A 99%, Belkalem ira au Maroc. Il est pour le moment au chevet de son père qui est un peu malade.»

La JSK le perdra certainement en fin de saison
La manière avec laquelle Hannachi a géré cette affaire Belkalem nous poussera à dire que ce joueur, et même s’il signe pour jouer cette saison à la JSK, il ne rempilera certainement pas à la JSK. Il partira jouer pour le club de son choix. A l’USMA ou à l’étranger, la JSK ne touchera aucun centime, parce qu’on n’a pas été souples avec lui lors des négociations et on n’a pas aussi pensé à apaiser les esprits avant de lui proposer une prolongation de contrat.

Compétition (31/07/2012)

Enfin un enfant du club qui sait taper sur la table !!!!!!!!!!

Certains trouveront cela moche de sa part mais se contrediront vite en réclamant que Slimani et autres valent autant ;;;;;alors?

La JSK se paie des sosies de joueurs à 1 ou 2 milliards et pour quelqu'un qui est revenu à son niveau après une telle blessure et absence, vaut certainement triple pour rester correct !!

Belkalem ne doit pas signer à moins de 5milliards quitte a rester une année sans jouer....................faut bien faire chier le trader Muhech

Il a montré à tout le monde qu'il est au dessus meme avec une absence de presque 1an alors.....?????

Les choses sont claires pour Belkalem.

Il refuse de signer sa demande de licence 2012-2013. Ainsi, il pourra rester inactif jusqu'à Décembre 2012 (fin de la phase aller) et demander une libération sans contre partie. La FAF ou la LFP ne pourront pas refuser s'il ne joue aucun match de la phase aller.

Il prend un risque car il restera encore inactif pour quelques mois de plus mais c'est la seule solution pour partir sans que la JSK ne touche quelque chose et sans qu'il ne soit obligé de payer quelque chose aussi.

JSK : Fabbro hésite à aligner Belkalem

Le moins que l’on puisse dire, ce 3e stage de Casablanca n’a vraiment pas débuté en douceur pour le staff technique, et pour cause, en plus de la question du dosage de la charge de travail, de la stratégie qui sera mise en place ce samedi face au Raja et de la gestion du groupe, le premier responsable du staff, Enrico Fabbro, se voit contraint de gérer une autre question qui le tracasse, à savoir le cas du défenseur central Essaïd Belkalem. D’après des indiscrétions, Fabbro ne sait plus sur quel pied danser à son sujet, du moment que le joueur n’est pas engagé à 100 % avec l’équipe. Aux yeux de plusieurs observateurs, il est logique que le staff technique ne fasse appel qu’à ceux qui sont officiellement à la JSK. On l’aura donc compris, le cas de Belkalem est en instance, pas seulement au niveau de la direction, il l’est aussi au sein du groupe.

Tant qu’il n’a pas signé, Fabbro ne comptera pas sur lui
Tant qu’il n’aura pas signé sa demande de licence, on voit mal comment Fabbro pourra compter sur l’international algérien. Cependant, le feuilleton Belkalem devrait prendre fin demain soir, avec l’arrivée des dirigeants, en l’occurrence Moh Cherif Hannachi et Yazid Yarichène. Les deux hommes feront une derrière offre à leur joueur avant de trancher sur son cas. Pour le moment, l’entraîneur italien ne veut pas trop se mêler des affaires administratives, mais sur le terrain, il fait bien de prendre ses précautions.

Pour les dirigeants, soit il signe ce samedi, soit il quitte le stage
Face à cette situation en plein stage d’intersaison à l’étranger, les dirigeants kabyles ne veulent plus tergiverser. D’après certaines sources, l’arrivée de Hannachi demain soir mettra fin à cet épisode qui aura duré plusieurs semaines. D’après certains observateurs, il existe actuellement deux issues possibles : soit Belkalem signe sa demande de licence, et il intègre définitivement le groupe ; soit il ne signe pas et, dans ce cas, il quittera définitivement le stage. Aux yeux des responsables, cette affaire qui a fait couler beaucoup d’encre doit prendre fin. Peu importe la décision qui sera prise par les deux parties, mais l’important est de clore ce dossier. Temporiser davantage n’arrange ni la direction ni le staff technique.

Le Buteur (02/08/2012)