Infos autres DZ

rachid_as a écrit:

adenisurmer a écrit:

rachid_as a écrit:

Pas le chant mais le chan sans "t"

Le chan = Le championnat d'afrique des nations.....

Je rigole !! la CHAN ! CAN +H ......le H me pose problème !!

CAN = Coupe d'afrique des nations....

Mais le principe est le même, et ça se jouera en compétition fermée? Non?

adenisurmer a écrit:

rachid_as a écrit:

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rachid_as a écrit:

Pas le chant mais le chan sans "t"

Le chan = Le championnat d'afrique des nations.....

Je rigole !! la CHAN ! CAN +H ......le H me pose problème !!

CAN = Coupe d'afrique des nations....

Mais le principe est le même, et ça se jouera en compétition fermée? Non?

OUI....

rachid_as a écrit:

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rachid_as a écrit:

CAN = Coupe d'afrique des nations....

Mais le principe est le même, et ça se jouera en compétition fermée? Non?

OUI....

19/04/2010 - Rachid Mekhloufi : un monument du football algérien



Rachid Mekhloufi, ce nom que les anciennes générations associent mécaniquement au football, a occupé les devants de la scène de ce sport durant une quarantaine d’années comme joueur, entraîneur et dirigeant.

Né le 16 août 1936 à Sétif, Rachid Mekhloufi coule aujourd’hui des jours paisibles entre l’Algérie et la Tunisie, le pays de son épouse.
En retrait de la sphère officielle footballistique, il n’en demeure qu’il suit de très prés l’actualité du football, comme tout passionné de ce sport. Il lui arrive de donner de temps à autre sur les médias son opinion sur le football national, particulièrement sur actuelle nationale. Il garde toujours un lien avec le football à travers La fondation de l’équipe du FLN qu’il anime avec les anciens joueurs de l’équipe.
«Mekhloufi restera une icône du football national», dira l'un de ses proches.

Sa carrière a commencé à la fin des années quarante dans les rangs de l’Union sportive franco-musulmane de Sétif (USFMS), actuelle USM Sétif qui évolue en seconde division du championnat national.

Il n’avait que 13 ans lorsqu’il a quitté les terrains sommaires des quartiers et les balles en caoutchouc pour courir sur un vrai terrain derrière un vrai ballon.

A 16 ans, il gagna sa place au sein de l’équipe senior par son travail et son sérieux. Il effectuait dans les entraînements sous le regard vigilant de Layas que le petit prodige Sétifien considérait comme un second père.

Durant l’exercice 53/54, Rachid a accompli une saison époustouflante tantôt en juniors, tantôt en seniors. Il était déjà la vedette de la vile de Aïn El Fouara.
Il n'avait pas encore bouclé ses 18 ans quand il décida de traverser la Méditerranée pour tenter sa chance en "métropole". Il débarqua un jour d’été dans la ville de Saint-Etienne, cette cité des mineurs et des usines.

L’émigré Sétifien a eu de la chance de tomber à son arrivée sur un entraîneur exceptionnel qui s’appelait Jean Snella. Grâce à cet homme qu'il a, faut-il le rappeler, effectué un passage en Algérie dans les années soixante-dix comme entraineur du NA Hussein Dey, a réussi à s’intégrer plus rapidement.

Le 9 octobre de l’année 54, le journal l’Equipe annonçait dans ses colonnes : « Saint- Etienne alignera un junior, Rachid.»
La grande année de Mekhloufi fut incontestablement 1956. Au cours des derniers mois, Rachid jouera non seulement au sein de son club, mais également en équipe de France espoirs, en équipe de France B et en équipe de France A.
A vingt ans, il était considéré parmi les 2 ou 3 attaquants opérant en France.


« En trois ans, écrivait à l’époque le journal l'Equipe, Rachid a gravé les échelons à la vitesse d’un avion supersonique ; connaissez-vous révélation plus foudroyante ? Nous pas.»

Sur le plan technique, voilà ce que disait de lui Jean Snella : «Tout notre système de jeu est monté pour et autour de Rachid. Mekhloufi est donc un faux inter sans être un véritable avant de pointe. Il n’a pas, en tout cas, son pareil pour guetter l’adversaire et filer au but adverse. »
Son premier match sous le maillot des Bleus de l’équipe A était le contre l’URSS le 21 octobre 1956. L’URSS du grand gardien de but Lev Yachine.

Le hasard de l’histoire a fait que les deux hommes se rencontrent de nouveau et s’affrontent le 11 novembre 1964 à Alger mais fois-ci, Mekhloufi portait le maillot Vert de l’équipe nationale de l’Algérie indépendante.

Entre les deux dates, se sont produits des événements exceptionnels. Le plus important est l’indépendance de l’Algérie à laquelle le footballeur Mekhloufi a contribué à sa manière en rejoignant en 1958 l’équipe du FLN. Cette dernière, qui a sillonné de nombreux pays à travers le monde, était porteuse du message du peuple algérien en lutte contre l’occupation française.

Laissant confort et biens, Rachid, à l’instar de beaucoup de footballeurs professionnels algériens, a répondu à l’appel de Front de Libération Nationale, (FLN), le mouvement de libération nationale, pour constituer une équipe de football. Le départ de ces joueurs, le 13 avril 1958, dans le plus grand secret a fait l’effet d’une bombe dans l’Hexagone. Pour Mekhloufi, c’était encore spécial. Il figurait, avec Mustapha Zitouni, parmi les 40 joueurs que l’entraîneur de l’époque avait retenus pour disputer le Mondial de 1958 en Suède.

Après l’indépendance, Mekhloufi retournera à son club d’origine, Saint-Etienne, après un passage au Servette de Genève, pour poursuivre sa cartière de joueur. Parallèlement, il venait de temps en temps jouer avec l’Equipe nationale. Il ne pouvait pas venir constamment pour la simple raison qu’avec son statut de joueur professionnel, il n’avait pas le droit de jouer dans les compétitions officielles africaines réservées à l’époque uniquement aux amateurs. Ceci explique le nombre réduit de sélections (une dizaine) par rapport aux matches joués par l’équipe nationale qui a livré 55 rencontres au 29 décembre 1967, date de sa dernière apparition sous le maillot vert. C’était contre la Tunisie pour le compte des éliminatoires de la Coupe du monde de 1968.

Son premier match international avec l’Algérie a eu lieu contre la Tchécoslovaquie le 26 février 1964 à Alger. Avec la sélection de son pays, il a eu la chance de rencontrer deux grandes nations du football mondial, l’Allemagne (RFA) le 1er janvier 1964 à Alger et le Brésil le 18 juin 1965 à Oran ; le Brésil avec ses grandes vedettes Pelé et Grincha.

Avant de retourner définitivement en Algérie en 1971, Mekhloufi terminera sa carrière en Corse, à Bastia comme entraîneur-joueur.
Le 24 novembre 1971, s’ouvre une nouvelle page à Mekhloufi, il est nommé entraîneur de l’équipe nationale algérienne. Sa première expérience d’entraîneur s’acheva une année après. Il décida de démissionner pour «immixtion caractérisée dans ses prérogatives».

Il a fallu attendre 1975, après deux éliminations successives de la sélection nationale de la Coupe d’Afrique des nations et des Jeux olympiques, pour voir le retour de Mekhloufi avec les pleins pouvoirs. Il s’appuiera sur une ossature constituée de joueurs issus du service militaire pour mener sa campagne des Jeux Méditerranéens de 1975 que l’Algérie organisait. Il a remporté la médaille d’or. C’était sa plus belle revanche contre ceux qui ne croyaient pas en lui.

Il est resté à la tête de l’EN jusqu’à 1979, avant d’y retourner une nouvelle fois en début de 1982 comme Directeur Technique à l’occasion de la Coupe du Monde de 1982. L’expérience a tourné court, puisque après la phase finale de cette compétition en juillet, il a tout lâché. L’état d’esprit dans lequel évoluait la sélection nationale n’était plus ce qu’il a toujours souhaité.

Ce n'est qu'en 1988 qu’il a réapparu comme président de la Fédération Algérienne de Football (FAF). Ila été désigné par le Ministère de la Jeunesse et des Sports.

Mais le vent de la révolte et de réforme qui ont secoué à l’époque l’Algérie imposa une démocratisation des structures sportives. Il a quitté de nouveau la scène pour revenir en avril 2000 comme candidat à la même structure. Malheureusement, les voies urnes ont désigné un autre prétendant. Mekhloufi a compris ce jour-là que c’est la fin d’une époque.


Quelques passages de l’article ont été tirés du Livre de Hocine SEDDIKI, « Rachid MEKHOULFI, l’imagination au bout des pieds. »

faf.dz

Sofiane Feghouli snobe l’équipe nationale

Alors que de nombreux joueurs professionnels font les yeux doux à l’équipe nationale, le franco-algérien Sofiane Feghouli continue de manifester son désintérêt pour les Verts.

Interrogé, vendredi 23 avril, par la radio française RMC, le futur milieu de terrain de Valence (Liga, Esapgne) a répondu : «pour le moment, je n'ai pas encore pris de décision. Entre les mauvais résultats de Grenoble et mes soucis de blessures, ça n'a pas été ma préoccupation cette saison». Ni la possibilité de jouer le Mondial ni celle de porter les couleurs du pays d’origine de son père ne constituent des motivations pour le talentueux milieu de terrain de Grenoble (Ligue 1, France).

Le franco-algérien dont la double nationalité lui ouvre les portes des Verts – et éventuellement des Bleus- répond toutefois toujours aux convocations de l’équipe de France espoirs. Il attend peut être d’être sélectionné par Raymond Domenech alors que Rabah Saâdane lui avait déjà manifesté son intérêt.

TSA (24/04/2010)

Réélu au conseil exécutif de l’UAF, Raouraou refuse la réconciliation avec son adversaire égyptien Zaher

Mohamed Raouaroua a été réélu mardi soir pour la troisième fois consécutive au bureau exécutif de l’Union arabe de football. Le président de la FAF a obtenu 18 voix sur 22 et a battu l’égyptien Samir Zaher, classé à la 7e position avec 13 points. Une claque pour l’Egypte et son représentant .

Raouraoua récolte ainsi le travail colossal qu’il a accompli au sein de l’UAF et surtout de la FAF avec notamment une qualification de l’Algérie au Mondial 2010 après 24 ans d’absence. La victoire du représentant algérien est aussi le fruit des bonnes relations qu’entretient l’Algérie avec de nombreux pays arabes.

Zaher a également échoué dans sa tentative de renouer avec Raouraoua pour sceller la réconciliation des fédérations des deux pays qui ne se parlent plus depuis l’agression des Verts par des supporters égyptiens le 12 novembre 2009 au Caire. Le président de la FAF qui avait déjà refusé de serrer la main à son homologue égyptien maintient sa position en réclamant des excuses publiques de la part de Zaher avant toute réconciliation.

TSA (28/04/2010)

Un centre medical d’excellence approuvé par la FIFA, à Alger

La Fifa vient d’accréditer le département de Médecine et de Traumatologie de la clinique Chahrazed d’Alger, dirigé par le Dr Yacine Zerguini, Membre de la Commission de Médecine Sportive de la CAF, comme Centre Médical d’excellence.

C’est la 3e institution médicale africaine à être ainsi labélisée par l’instance faîtière du football mondial. Les deux autres sont en Afrique du sud et hébergées par les universités de Witwatersrand (Johannesburg) et de Capetown.

L’objectif poursuivi par la Fifa à travers ces centres médicaux d’excellence est d’avoir des adresses de référence vers lesquelles les joueurs peuvent se diriger et retrouver des experts et des spécialistes dans divers domaines de la médecine du football.

Ces centres ont entre autres prestation le diagnostic des blessures, la prévention de celles-ci, l’évaluation des performances, la delivrance de conseils afin de compenser des défaillances physiques, l’amélioration de stratégies spécifiques d’entrainement.

Le 1er centre d’excellence médical de la Fifa, dirigé par le Pr Jiri Dvorak, Médecin Chef de la FIFA, a ouvert en mai 2005 à la clinique Schulthess à Zurich en Suisse. D’autres ont suivi depuis lors, selectionnés selon des critères très stricts.

CAF.Online (28/04/2010)

Eliminatoires CAN 2011 (U20) : L’Algérie éliminée face à la Sierra Léone
L’équipe nationale algérienne des U20 a été éliminée au tour préliminaire des qualifications de la CAN 2011 malgré sa victoire vendredi à Zeralda 1-0, (mi temps 1-0) face à la Sierra...

rachid_as a écrit:Eliminatoires CAN 2011 (U20) : L’Algérie éliminée face à la Sierra Léone
L’équipe nationale algérienne des U20 a été éliminée au tour préliminaire des qualifications de la CAN 2011 malgré sa victoire vendredi à Zeralda 1-0, (mi temps 1-0) face à la Sierra...

Le relève disaient-ils?

Zambia: Setif Players Exchange Blows In the Midst of Victory

A post-match brawl between Entente Setif midfielders Khaled Lemmouchia and Francis Ambane overshadowed Zanaco’s exit from this year’s Caf Champions League.

Cameroonian midfielder Ambane who came on in the last 10 minutes of the match got into an altercation with his Algerian team mate in the midst of missing two chances on goal.

The two squared up after the final whistle before being briefly separated but their fight got ugly in the Nkoloma stadium car park leaving Lemmouchia with a bloodied face as the police shielded Ambane from the wrath of some of his teammates who turned against him on the team bus.

Ambane left in a separate car with Setif official and Algerian diplomatic staff under guard from the police.

Meanwhile, back on the field of play, the game was scoreless going to halftime before Zanaco took the lead in the 51st minute through Makundika Sakala who headed in an Allen Mukuka cross.

Setif leveled eight minutes later through striker Nabil Hemani who drilled in free kick.

Man of the match Lazhar Aissa made it 2-1 in the 76th before Kennedy Nkethani equalized in the 80th minute.

Zanaco bow out 3-2 on aggregate and have now been relegated to the Confederations Cup.

They will know their last 16 opponents when the draws for both the Champions League group stage and Confederations Cup pre-group matches are made on May 13 in Cairo.

Lusaka Times

Lemmouchia

Mondial 2010: pas d'arbitres algériens en Afrique du sud

Le trio arbitral algéro-égyptien constitué de Mohamed Benouza (Algérie) et des assistants Nasser Abdel Nadi (Egypte) et Maamar Chabane (Algérie) n'officiera pas au Mondial 2010 en raison de l'échec des juges de touche aux tests physiques, a annoncé jeudi la FIFA. Selon une disposition communiquée au préalable aux intéressés, l’échec de l’arbitre ou de ses deux assistants aux tests physiques entraîne l’élimination de l’ensemble du trio, a précisé la FIFA. Les tests physiques officiels ont été réalisés la semaine dernière, dans chacune des six confédérations, par les instructeurs de la FIFA.

TSA (28/05/2010)

Rabah Madjer ambassadeur de l’Unesco

Rabah Madjer, 51 ans, a été nommé mercredi « ambassadeur de bonne volonté » de l'Unesco. « C'est une magnifique initiative de voir un grand sportif comme Rabah Madjer aux côtés de notre organisation pour défendre la cause de la jeunesse à travers le monde, ainsi que les valeurs de la paix, de l'éducation, du sport, de la culture, du dialogue et de la non-violence véhiculées par l'Unesco », a déclaré Mme Bokova à la presse, à l'issue de sa rencontre avec l’ex-star des Verts.

Le sport est « un vecteur exceptionnel et formidable pour encourager le dialogue, la coopération entre les peuples (...) Le sport est aussi un message d'amitié et de tolérance. Ce sont pour toutes ces valeurs que s'engagera Rabah Madjer, tout comme d'autres prestigieux noms de femmes et d'hommes qui forment le réseau de l'Unesco à travers le monde », a ajouté Mme Bokova.

L'ancien international et attaquant de l'EN et du FC Porto a exprimé sa « fierté » d'être désigné à ce poste. « Je suis fier de représenter mon pays à l'Unesco en tant qu'ambassadeur de bonne volonté. C'est une exaltante mission qui m'a été confiée et j'espère être à la hauteur et représenter également dignement le monde arabe et le continent africain dont je fais partie", a-t-il indiqué à l’APS.

Auteur de la talonnade qui porte son nom et qui a permis au FC Porto de remporter la Coupe d’Europe des Champions face au Bayern Munich en 1987, Rabah Madjer a été également honoré au siège de l’Unesco par la délégation permanente algérienne. Rabah Madjer a assuré de « sa détermination à soutenir, en tant qu'ambassadeur de bonne volonté de l'Unesco, tous les efforts remarquables pour promouvoir particulièrement les programmes « l'éducation pour tous » et « le sport pour la paix et le développement » ».

TSA (03/06/2010)

CAN-2010 «DAMES»
L'Algérie bat la Tunisie (1-0) et se qualifie

La sélection algérienne dames de football s'est qualifiée pour la phase finale de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2010 grâce à sa victoire contre son homologue tunisienne sur le score de 1 à 0 samedi au stade El- Menzah (Tunis) en match retour des éliminatoires. L'unique but de la rencontre a été inscrit par Asma Ouadah à la 65e minute. Lors du match aller disputé à Koléa, l'Algérie et la Tunisie avaient fait match nul (1-1).

Le soir d'Algérie (0/06/2010)

Académie de football « Younès Ifticène » : En attendant l’aval du MJS

L’entraîneur Younès Ifticène, très connu sur le plan national en tant qu’ancien joueur de l’USMH et entraîneur, n’attend que l’agrément du MJS pour lancer son académie de football.


Ifticène a déjà obtenu l’agrément de la wilaya d’Alger. Le projet que tient à cœur Ifticène va enfin être réalisé dans la commune natale du technicien. Ce dernier, bien estimé dans le milieu du football algérien, a décidé de se consacrer à la formation des jeunes (12 et 16 ans). La prospection touchera les enfants de la commune d’El Harrach et ses environs. Pour son lancement, l’académie accueillera 30 jeunes qui suivront une formation en demi-pension de quatre années.
Ils seront encadrés par huit entraîneurs (cadres sportifs) qui vont veiller à l’entraînement méthodologique de cette tranche d’âge. Il n’ y aura pas que l’aspect sport qui primera. Les techniciens axeront la préparation à tous les niveaux, comme nous le fait remarquer Ifticène. « El Harrach qui a de tout temps été une cuvée pour les équipes nationales va perpétuer cette tradition. L’académie de football qui sera une première dans la commune permettra de prendre en charge les talentueux jeunes footballeurs en herbe. Ces jeunes seront suivis également dans leur cursus scolaire. »


Par Chafik B./El Wattan
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Publié le : 11-08-2010 / 13h16

Mort d'une grande figure du football algérien





Mohamed Allam, le responsable politique de l'équipe de football du Front de libération nationale (FLN) algérien, créée à la fin des années 50, en pleine guerre d'indépendance, est mort mardi à l'âge de 84 ans, Mohamed Allam constituait l'une des grandes figures de la révolution algérienne. L'équipe de football du FLN s'était constituée à l'occasion de la Coupe du monde 1958, qui se déroulait en Suède, dans l'objectif de porter des idéaux d'indépendance. Les Algériens évoluaient jusqu'alors dans le championnat français.

Compétition

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Paix à son ame !

JSK : La JSK réhabilite le joueur local
PUBLIE LE : 01-09-2010 | 00:00 | PAR CHOUEIB K.

Merzekane : «Les portes de l’EN seront fermées aux locaux jusqu’en 2012»
Amani : «Belkalem est mieux que Bellaid et Metref meilleur que Mesbah

Les résultats de la JSK en Ligue des champions, notamment la victoire face au Ahly à Tizi Ouzou et le nul contre l’équipe égyptienne au Caire, ont ravivé la polémique autour de la présence des joueurs locaux parmi les Verts. Les joueurs évoluant dans le championnat algérien sont, rappelons-le, absents de la liste des convoqués depuis deux ans déjà. Raouraoua et Saâdane semblent avoir mis un trait définitif sur cette option, malgré le fait que dans sa conférence de presse qui a suivi son installation, le coach avait annoncé son intention de battre le rappel des locaux. Battre «la sélection égyptienne» à quelques éléments près, ensuite l’accrocher au Cairo Stadium face à une hostilité et à dix contre onze est une grosse performance. La même équipe égyptienne s’est amusée en Angola, en infligeant un sévère 4 à 0 à une équipe algérienne essentiellement constituée de professionnels évoluant en Europe et pas nécessairement dans les meilleurs clubs européens ou les meilleurs championnats du Vieux Continent. Le dernier match amical disputé face au Gabon est édifiant, tant la composante de la sélection algérienne était constituée de joueurs nés et formés en France. La dernière prestation de la JSK consolide la position des fervents défenseurs des locaux. Elle devrait donner à réfléchir à Saâdane pour accorder la chance à des locaux et leur ouvrir ainsi la voie au professionnalisme comme c’est le cas récemment de Halliche, au lieu de faire appel à des joueurs évoluant dans des championnats et des clubs de seconde zone et qui passent parfois le plus clair de leur temps sur le banc de touche.

N’y a-t-il pas d’éléments de la JSK capables de jouer en EN ?

Comment se peut-il qu’une équipe qui joue les premiers rôles en Ligue des champions en caracolant en tête de son groupe avec un total de dix points pour une avance confortable de cinq longueurs sur le Ahly, avec comme concurrent ce dernier club avec ses quinze joueurs appelés fréquemment en sélection, Al Ismaily avec ses quatre internationaux et l’équipe du Heartland vice-championne dans la même épreuve lors de l’exercice écoulé. La JSK s’est qualifiée avant le terme des matchs de poules.
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Merzekane : «Les portes de l’EN seront fermées aux locaux jusqu’en 2012»

«Je ne veux pas que l’on me mette dans le camp de ceux qui clament aujourd’hui que le résultat de la JSK dans le contexte que l’on connaît est dû à la valeur des locaux. La JSK est sur le point de réaliser un bon parcours. Son premier résultat ramené d’Al Ismaily a ouvert la voie à ce joli parcours. Les locaux n’avaient pas besoin de ces résultats pour que l’on se rende compte qu’ils ont des qualités et qu’ils peuvent aspirer à faire partie de l’Equipe nationale. Evitons de créer toute forme de polémique entre l’EN et la JSK. J’ai toujours fait confiance au joueur local et je pense sincèrement que l’Equipe nationale doit composer son ossature à partir d’éléments évoluant dans le championnat d’Algérie. Tedjar et Belkalem devraient être convoqués en sélection. Je suis persuadé qu’ils progresseront encore plus avec la sélection. Malheureusement, à voir la stratégie appliquée en Equipe nationale et qui consiste à négliger la piste des locaux, quelqu’un qui est persuadé qu’il n’existe pas un arrière droit en Algérie n’est pas en mesure de changer d’avis. Pour cette raison, je suis persuadé que les portes de l’EN seront fermées aux joueurs locaux jusqu’en 2012.»
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Amani : «Belkalem est mieux que Bellaid et Metref meilleur que Mesbah»

«La JSK nous a donné du bonheur et je tiens à féliciter cette équipe pour sa prestation au Caire. La hargne, la volonté et la solidarité du groupe ont permis à la JSK de revenir indemne de son voyage en Egypte. Le résultat de la JSK ne doit pas nous pousser à remettre en cause l’apport des professionnels et à constituer une sélection de locaux. Cela n’est ni possible ni imaginable. Ils ne sont pas nombreux les joueurs du cru capables de faire partie des Verts. Certains d’entre eux méritent de faire partie de l’Equipe nationale. Je vois un élément comme Belkalem qui est titulaire dans son club, par contre Bellaid ne joue pas du tout avec son club. Je me demande ce que l’on a trouvé de particulier à Mesbah. Comparé à Metref, ce dernier est de loin meilleur. Notre championnat est encore faible et nous sommes obligés de continuer à courir à la recherche des professionnels.»
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Benchikha : «Je donne rendez-vous aux Algériens pour la prochaine CHAN au Soudan»

«J’ai toujours dit qu’il faut donner plus de considération aux joueurs locaux. La JSK est le meilleur exemple pour montrer que les joueurs qui évoluent dans notre championnat sont capables de sortir le grand jeu. Belkalem qui n’a que 20 ans et qui a fait partie de la sélection des espoirs fera partie de l’ossature de l’Equipe nationale A’. D’autres sont en mesure d’éclore. Je donne rendez-vous aux Algériens durant la CHAN 2011 au mois de janvier au Soudan.»


Lire la suite: http://www.lebuteur.com/division-1/actualites/jsk-la-jsk-rehabilite-le-joueur-local#ixzz0yGNst16R

SPORT
Les fédérations et les clubs sportifs soumis à l’obligation de publier leurs résultats


Le gouvernement impose de nouvelles mesures pour favoriser la transparence dans la gestion des fédérations et des clubs sportifs bénéficiant d’aides publiques. Ces derniers devront déclarer leurs ressources émanant du mécénat, du sponsoring, des dons et legs, ainsi que de la publicité », selon la loi de finances complémentaire (LFC) 2010 publiée, lundi 6 septembre, au dernier Journal officiel.

Selon la même loi, ces fédérations et clubs sportifs devront également publier « leurs comptes annuels et le rapport des commissaires aux comptes et, ce, dans les trois mois à compter de l’approbation des comptes par l’organe délibérant statutaire ». « Les comptes annuels comprennent un bilan, un compte de résultats et une annexe détaillant l’ensemble des ressources récoltées durant l'année hors subvention du ministère de la Jeunesse et des Sports et précisant, notamment, les ressources reçues au titre du mécénat, du sponsoring, des dons et legs », ajoute le texte.

« Le comité national olympique et les fédérations sportives nationales doivent, en outre, faire accompagner leurs comptes annuels d’un compte d’emploi annuel des subventions reçues qui précise, notamment, l’affectation de la subvention par type de dépenses », précise le texte.

Ces nouvelles mesures visent à moraliser le milieu du sport, notamment du football. Les clubs, profitant d’une comptabilité opaque, multiplient les pratiques douteuses et difficilement contrôlables : corruption d’arbitre, évasion fiscale, contrats surestimés avec les joueurs et les entraîneurs, etc.

Source : TSA

Les U17, U20 et l’EN A en crise
Trois sélections sans entraîneur !
Par : S. A. M.

C’est désormais la nouvelle mode chez les différentes sélections nationales et cela pour faute de résultat. Après les U20, les A, voilà que l’équipe nationale des U17 se trouve sans sélectionneur suite à son élimination samedi dernier du premier tour des éliminatoires de la CAN-2011 face au Gabon. La crise touche de plein fouet le football national dans ses sélections. Il faut remonter au mois d’avril dernier où les poulains d’Athmane Ibrir se sont faits éliminés face à Sierra Leone de la course à la CAN-2011. Au lendemain de cette écrasante élimination, la Faf avait limogé l’entraîneur de la sélection des U20 qui a ensuite été recruté par le PAC. Cinq mois plus tard, c’est l’équipe fanion, la A qui a été touchée par la crise. En effet, les coéquipiers de Madjid Bougherra n’ont fait qu’un match nul à domicile face à la Tanzanie. Une goutte qui a fait déborder le vase après plusieurs faux pas de la sélection et une équipe qui ne réussissait pas à trouver ses repères offensifs. Rabah Saâdane, pour sa part, jette l’éponge et annonce sa démission quelques heures seulement après la fin du match. Une semaine plus tard, c’est au tour de la sélection nationale des U17. Les cadets, vice-champions d’Afrique en 2009, et mondialistes la même année au Nigeria n’ont pas pu mieux faire que leurs aînés en se faisant éliminés à domicile par une modeste équipe du Gabon après un match nul 0-0 à Dar El-Beïda. Une élimination de trop pour la FAF qui n’a pas tardé pour retirer sa confiance au sélectionneur Abdelaziz Khrouf, consultant de l’ENTV. Maintenant, trois sélections et pas des moindres sont sans coaches à la veille d’échéances internationales qui les attendent et le meilleur exemple est celui des grands verts qui auront à affronter la République Centrafrique le 10 octobre prochain à Bangui… sans entraîneur. Si on parle de l’ancien adjoint de Rabah Saâdane, Zohir Djelloul à la tête des U20, l’équipe U17 est maintenant sans entraîneur comme celle des A qui attend la nomination d’un étranger. Une situation des plus alarmantes pour les Verts qui ont maintenant un statut à défendre et une place à protéger en vue des qualifications à la CAN-2012, organisée conjointement par le Gabon et la Guinée équatoriale. Des changements profonds sont à prévoir pour sortir le football national de sa crise.

Liberté

Kerbadj : «Tous derrière la JSK»

Le président Kerbadj revient dans cet entretien sur la situation au sein de son club qui, après la première victoire en championnat, confie qu’il a été satisfait tout comme ses invités présents au 20-Août.

... Il revient aussi sur le conflit qui ronge le milieu du football en ce moment, avec le conflit qui engage la FAF, à sa tête Raouraoua, la JSK et la JSMB, qui s’adonnent à une véritable guerre des mots en ce début de championnat professionnel qui, selon Kerbadj, ne sert aucunement les intérêts du football algérien.



- Bonjour M. Kerbadj, après la première victoire de votre équipe pour cette nouvelle saison, comment prévoyez-vous l’avenir proche du CRB ?
- J’ai apprécié la réaction de mon équipe et je souhaite que les choses continuent à évoluer dans le bon sens. Je pense que l’équipe est en train de faire du bon travail avec le coach Gamondi, et on s’attend à des résultats meilleurs à l’avenir.

- L’équipe va préparer le match derby face au MCA, comment se présente la réception du champion en titre, avec la trêve forcée et le report du match face à la JSK ?
- Je tiens à dire avant tout que je suis complètement d’accord avec le report du match face à la JSK, à laquelle on souhaite beaucoup de chances afin de passer le cap à Tizi. La JSK représente l’Algérie et nous sommes tous derrière elle pour aller au bout. Je suis même disposé à aller assister au match pour montrer ma bonne foi, pour peu que nos amis de la JSK m’invitent. Concernant le match face au MCA, ce sera un bon test pour l’équipe, un derby où on s’attend à ce que l’équipe confirme sa lancée et aligne un autre succès qui va réconforter tout le monde.

- Face au MCEE, les supporters ont mal réagi aux décisions des arbitres en jetant des bouteilles vides, est-ce un comportement justifiable ?
- On n’a pas été sanctionnés par la Ligue et je pense que ce n’est plus une réaction à avoir. L’arbitre est humain et l’erreur est humaine. Les supporters doivent soutenir les arbitres qui sont aussi concernés par le professionnalisme de notre football. C’est un comportement antisportif qui portera préjudice à leur club, il faut une réelle prise de conscience de ce côté.

- En ce qui concerne vos ambitions de restructurer le du club et votre demande de rénovation au niveau du stade, y a-t-il du nouveau ?
- Les responsables concernés nous ont affirmé qu’une commission technique sera constituée dans les prochains jours pour traiter le dossier, et on attend le résultat pour entamer les travaux.

- Les autorités locales ont affiché leur soutien lors de la dernière collation que vous avez organisée, qu’en est-il aujourd’hui concrètement ?
- Rien. Les autorités sont en train de vendre des cartes aux supporters et en font cadeau à bon nombre et je suis complètement contre. Le CRB est d’accord pour que les autorités vendent les cartes d’abonnement et le club attend d’avoir son dû au terme de cette opération. Ce que je dénonce, c’est l’octroi gratuit des cartes à bon nombre de supporters et le club en tant qu’entité n’a pas son compte et les autorités doivent prendre en considération la reconversion d’une association en une SPA qui doit faire des bénéfices.

- Avez-vous saisi les concernés pour demander vos droits ?
- Pas encore, mais on a l’intention de le faire si ça continue ainsi.

- La FAF et la JSK sont engagées dans un conflit qui a fait couler beaucoup d’encre, s’est ajoutée par la suite la réaction du président de la JSMB qui a mis de l’huile sur le feu, pensez-vous que c’est dans l’intérêt du football algérien ?
- Je tiens à préciser que nous n’avons jamais tranché sur la question de notre soutien aux 28 clubs protestataires, mais s’il y avait bien injustice, nous sommes contre. Il faut arrêter les hostilités. C’est loin d’être dans l’intérêt du football algérien et de l’avancée du projet du professionnalisme. La JSK est engagé en Ligue des champions et elle avait besoin de sérénité et de soutien et nous sommes tous derrière elle. Elle n’avait pas besoin de s’engager dans un bras de fer avec la FAF. Le moment a été mal choisi, il faut à présent se rendre à l’évidence et oeuvrer dans l’intérêt du football algérien.

Compétition (05/10/2010)

rachid_as a écrit:Kerbadj : «Tous derrière la JSK»



- La FAF et la JSK sont engagées dans un conflit qui a fait couler beaucoup d’encre, s’est ajoutée par la suite la réaction du président de la JSMB qui a mis de l’huile sur le feu, pensez-vous que c’est dans l’intérêt du football algérien ?
- Je tiens à préciser que nous n’avons jamais tranché sur la question de notre soutien aux 28 clubs protestataires, mais s’il y avait bien injustice, nous sommes contre. Il faut arrêter les hostilités. C’est loin d’être dans l’intérêt du football algérien et de l’avancée du projet du professionnalisme. La JSK est engagé en Ligue des champions et elle avait besoin de sérénité et de soutien et nous sommes tous derrière elle. Elle n’avait pas besoin de s’engager dans un bras de fer avec la FAF. Le moment a été mal choisi, il faut à présent se rendre à l’évidence et oeuvrer dans l’intérêt du football algérien.

Compétition (05/10/2010)

Bizarre comme question
C’est clair, Hannachi est un menteur

on connait ses va-nu-pied à la solde de rawrawa ,

kamal a écrit:

rachid_as a écrit:Kerbadj : «Tous derrière la JSK»



- La FAF et la JSK sont engagées dans un conflit qui a fait couler beaucoup d’encre, s’est ajoutée par la suite la réaction du président de la JSMB qui a mis de l’huile sur le feu, pensez-vous que c’est dans l’intérêt du football algérien ?
- Je tiens à préciser que nous n’avons jamais tranché sur la question de notre soutien aux 28 clubs protestataires, mais s’il y avait bien injustice, nous sommes contre. Il faut arrêter les hostilités. C’est loin d’être dans l’intérêt du football algérien et de l’avancée du projet du professionnalisme. La JSK est engagé en Ligue des champions et elle avait besoin de sérénité et de soutien et nous sommes tous derrière elle. Elle n’avait pas besoin de s’engager dans un bras de fer avec la FAF. Le moment a été mal choisi, il faut à présent se rendre à l’évidence et oeuvrer dans l’intérêt du football algérien.

Compétition (05/10/2010)

Bizarre comme question
C’est clair, Hannachi est un menteur

C'est vrai ! Hannachi est un menteur mais Tiab est un marchand de match....Allik en sait quelque chose......

Football professionnel : une réforme agitée
Par : Mustapha Hammouche


Raouraoua et Hannachi sont convaincus d’avoir embarqué l’opinion nationale dans une controverse décisive.
Le football, opium populaire, capte malgré la médiocrité et la violence, l’attention et le porte-monnaie d’une jeunesse avide de défouloirs. Alors, les personnages qui dirigent ce lucratif déversoir des frustrations juvéniles se prennent pour les animateurs de notre sportif bonheur.

Depuis quelques semaines, les présidents de la FAF et de la JSK nous livrent, par fragments, les éléments de leur dispute, chacun à son tour nous prenant à témoin de l’anéantissement à venir de son adversaire.
Le spectacle affligeant qui a entouré la rencontre entre les équipes de Bordj Bou-Arréridj et Belouizdad et celles de Chlef et Oran n’a pas suffi à les rappeler à plus de mesures. Malgré le morne paysage footballistique sur lequel ils règnent, ils continuent à solliciter notre attention sur leur épique et médiatique confrontation. Les termes de la polémique sont à la hauteur de l’œuvre sportive qu’ils concourent à produire : il n’y est question que d’argent, de manœuvres et d’ambitions individuelles.

On remarquera qu’au commencement il y eut une histoire d’avion spécial qui s’avéra payant. Et qu’il est question de cession de la JSK et de siège électif confédéral… Même la passagère retenue de Hannachi, nous la devons, de son propre aveu, à l’intervention du directeur du principal sponsor de la Fédération et des clubs nationaux. Comme quoi l’argument financier est parfois bien plus convaincant que l’idéal sportif.

Pendant que le président de la Fédération nationale et celui d’un club phare continuent à chauffer la salle en attendant l’audience à laquelle ils nous invitent, les terrains de football sont les théâtres de prestations de basses factures souvent ponctuées de furieux déchaînements de violence. On le voit : ce n’est pas parce qu’on passe au professionnalisme qu’on joue mieux et plus fair-play !

L’ancien mode de gestion des affaires de clubs est peut-être déstabilisé par une réforme qui touche plus au budget qu’à la culture des clubs. Parce que cette réforme ne renouvelle que les sources de financement, la manière de gérer les clubs change, mais pas la manière de gérer leur activité sportive. Ce qui explique l’agitation nerveuse des castes dirigeantes en place et la persistance du déficit moral et technique qu’on observe dans nos stades.
Pendant que deux notables du football national se chamaillent et se préparent à la confrontation judiciaire, l’entraîneur de l’équipe nationale continue à aller à la pêche de professionnels européens d’origine algérienne pour compléter son “onze”.
C’est peut-être cela, le nouvel esprit sportif national, cet esprit de Oumdurman que le coach appelle encore de ses vœux en dépit de la faiblesse de son championnat, voire à cause de cette faiblesse, il faut tout faire pour que cette équipe nationale gagne. Car en dépit de sa faiblesse, voire à cause de cette faiblesse, il y a encore des affaires à faire autour du championnat national.

M. H./Liberté

Nasr de Libye - 1 ES Sétif 3



L’ES Sétif s’est imposé par 3/1 à devant le Nasr de Libye en match de la finale de la Coupe de l’Union Nord Africaine de Football (UNAF), disputé jeudi soir à Benghazi en Libyei.


Les Sétifiens ont ouvert le score par Djallit à la 26’. Ils ont ajouté un second but par Metref à la 63’ après l’égalisation Ahmed Abdelkader obtenu six minutes auparavant. Hachoud a marqué le troisième but à cinq minutes de la fin du temps réglementaire.


La victoire ne souffre d’aune contestation tant les noirs et blancs ont dominé largement les débats. Les libyens n’ont brillé que durant le premier quart d’heure de la seconde mi-temps.
Avec cette victoire réalisée en terre adverse, l’Entente est bien partie pour décrocher le trophée de la coupe de l’UNAF des vainqueurs de coupe.


Signalons que le match retour aura lieu le 21 décembre à 18H à Sétif. Elle sera dirigée par un trio marocain composé de MM. Hichem Tiazi (arbitre central), Abdelaziz Mehraji et Abdallah Filali (arbitres assistants). Le 4e arbitre sera également Marocain, à savoir Abdallah Laâchiri.

LNF (09/12/2010)