Saison italienne, 2014 - 2015
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Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Coupe d'Italie
Finale Juventus-Lazio, favori contre spécialiste
La Juventus Turin, reine d'Italie et candidate au trône européen, tend les mains vers la Coupe d'Italie, mercredi (18h45 GMT), mais la Lazio Rome dispute sa troisième finale en sept ans et a remporté les deux premières.
La tête ailleurs. Un match bien plus important attend chacun des deux adversaires. La Lazio doit disputer lundi un derby crucial contre l'AS Rome avec l'accès direct à la Ligue des champions en jeu. La Juve a sa grande finale contre le FC Barcelone, le 6 juin. Cette qualification a pris de cours la Ligue italienne (Lega), obligée d'avancer la finale de la Coupe d'Italie à mercredi: elle l'avait programmée le 7 juin, bien peu confiante dans les chances du "calcio" de retrouver le sommet de l'Europe.
Sur la route d'un triplé qu'elle n'a jamais réussi, contrairement à l'Inter Milan de 2010, la Juve devrait aligner sa meilleure équipe et faire tourner pour les deux derniers matches de Serie A, sans enjeu puisqu'elle est déjà championne. Massimiliano Allegri est seulement privé de Claudio Marchisio et Alvaro Morata, suspendus. Il devrait aligner son 4-3-1-2 avec l'Argentin Roberto Pereyra derrière les deux attaquants, Carlos Tevez et Fernando Llorente.
Anderson-Klose
Stefano Pioli aussi devrait choisir ses titulaires, avec un titre en jeu, avec en attaque le Brésilien Felipe Anderson, qui a explosé cette saison, et Miroslav Klose, présent au niveau mondial depuis 15 ans. Mais le banc de la Lazio n'a pas la profondeur de celui de la Juve, et il faut penser au grand derby. L'Aigle romain a obtenu de le décaler d'un jour, lundi (16h00 GMT), provoquant l'ire de la Louve.
Le derby est déjà commencé, les deux clubs se disputent, mais d'abord il y a une finale à jouer. Historiquement la "Coppa Italia" n'a pas le prestige de la "Cup" anglaise, les tifosi eux-mêmes la snobent un peu, les affluences sont faibles et la Lega, pour défendre son tournoi, protège les grands clubs, qui n'entrent en jeu qu'en 8e de finale avec le statut de têtes de série.
Mais la Lazio, vainqueur du trophée en 2009 et surtout en 2013, contre la Roma en finale, ne peut pas négliger une ligne de plus à son palmarès (deux "scudetti, six "Coppe", une Coupe des coupes), et la Juve n'a plus gagné la coupe nationale depuis 1995. Et les grands rendez-vous se préparent mieux avec une victoire.
Fifa.com (19/05/2015)
Finale Juventus-Lazio, favori contre spécialiste
La Juventus Turin, reine d'Italie et candidate au trône européen, tend les mains vers la Coupe d'Italie, mercredi (18h45 GMT), mais la Lazio Rome dispute sa troisième finale en sept ans et a remporté les deux premières.
La tête ailleurs. Un match bien plus important attend chacun des deux adversaires. La Lazio doit disputer lundi un derby crucial contre l'AS Rome avec l'accès direct à la Ligue des champions en jeu. La Juve a sa grande finale contre le FC Barcelone, le 6 juin. Cette qualification a pris de cours la Ligue italienne (Lega), obligée d'avancer la finale de la Coupe d'Italie à mercredi: elle l'avait programmée le 7 juin, bien peu confiante dans les chances du "calcio" de retrouver le sommet de l'Europe.
Sur la route d'un triplé qu'elle n'a jamais réussi, contrairement à l'Inter Milan de 2010, la Juve devrait aligner sa meilleure équipe et faire tourner pour les deux derniers matches de Serie A, sans enjeu puisqu'elle est déjà championne. Massimiliano Allegri est seulement privé de Claudio Marchisio et Alvaro Morata, suspendus. Il devrait aligner son 4-3-1-2 avec l'Argentin Roberto Pereyra derrière les deux attaquants, Carlos Tevez et Fernando Llorente.
Anderson-Klose
Stefano Pioli aussi devrait choisir ses titulaires, avec un titre en jeu, avec en attaque le Brésilien Felipe Anderson, qui a explosé cette saison, et Miroslav Klose, présent au niveau mondial depuis 15 ans. Mais le banc de la Lazio n'a pas la profondeur de celui de la Juve, et il faut penser au grand derby. L'Aigle romain a obtenu de le décaler d'un jour, lundi (16h00 GMT), provoquant l'ire de la Louve.
Le derby est déjà commencé, les deux clubs se disputent, mais d'abord il y a une finale à jouer. Historiquement la "Coppa Italia" n'a pas le prestige de la "Cup" anglaise, les tifosi eux-mêmes la snobent un peu, les affluences sont faibles et la Lega, pour défendre son tournoi, protège les grands clubs, qui n'entrent en jeu qu'en 8e de finale avec le statut de têtes de série.
Mais la Lazio, vainqueur du trophée en 2009 et surtout en 2013, contre la Roma en finale, ne peut pas négliger une ligne de plus à son palmarès (deux "scudetti, six "Coppe", une Coupe des coupes), et la Juve n'a plus gagné la coupe nationale depuis 1995. Et les grands rendez-vous se préparent mieux avec une victoire.
Fifa.com (19/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Coupe d'Italie
Juventus, le doublé en attendant mieux
La Juventus Turin a franchi la deuxième étape du triplé dont elle rêve en gagnant la Coupe d'Italie contre la Lazio Rome (2-1 a.p.), à 17 jours de sa finale de Ligue des champions.
Un but du remplaçant Alessandro Matri au début de la prolongation (97e) a tué les espoirs de la Lazio, qui avait pourtant plutôt dominé et venait de frapper deux poteaux d'un coup. Déjà championne pour la quatrième fois de rang, la "Vieille Dame" reste sur sa vague avant d'aller défier le grand FC Barcelone le 6 juin à Berlin et aligne un troisième doublé, après ceux de 1960 et 1995.
Le Barça, également en quête de triplé, dispute sa finale de Coupe d'Espagne contre l'Athletic Bilbao le 30 mai. La Lazio doit se ressaisir tout de suite: elle jouera lundi l'accès direct à la Ligue des champions contre sa grande rivale, l'AS Rome, lors de l'avant-dernière journée de championnat.
Pourtant, les "Laziali" sont parfaitement entrés dans le match, marquant sur un coup de franc de Danilo Cataldi smashé de la tête par le capitaine Stefan Radu, entre Andrea Pirlo et Paul Pogba, vers la lucarne de Marco Storari (4e).
La Juve a vite égalisé sur un autre coup de pied arrêté, un coup franc de Pirlo remis de la tête par Patrice Evra sur le défenseur Giorgio Chiellini, qui trouvait lui aussi la lucarne d'un superbe ciseau, un geste de buteur (11e). Après ces dix premières minutes de folie, le match est retombé.
Un tir, deux poteaux pour Djordjevic
Des frissons ont parcouru les travées du stade Olympique sur quelques ratés, quand Pogba a manqué un amorti de la poitrine devant sa surface, offrant une frappe à Marco Parolo (32e), non cadrée, ou sur un dégagement d'Etrit Berisha contré par Tevez, qui aurait pu coûter cher (42e).
En dehors de cela, les deux équipes craintives ne se sont plus beaucoup livrées, malgré quelques raids de Fernando Llorente côté Juve, ou quelques éclairs de Felipe Anderson pour la Lazio.
Après la pause, la Lazio a montre un peu plus de velléités offensives, et la Juve s'est retrouvée à procéder par contres, un avant-goût de ce qui devrait l'attendre avec le Barça. Mais face à un adversaire d'un autre calibre, contre lequel les stars Tevez ou Pirlo ne pourront pas se permettre un match aussi terne.
A Berlin, la Juve aura également besoin d'un meilleur Pogba que celui vu mercredi soir. Dans un mauvais jour, le Français a cédé sa place à Roberto Pereyra en fin du match (78e), sans répondre aux quelques cris de singes de tifosi laziali.
A l'approche du coup de sifflet final, chaque équipe a eu une balle de match. L'ex-Nantais Filip Djordjevic, qui venait de remplacer Miroslav Klose (84e), a buté sur Storari. Puis Alessandro Matri s'est vu refuser un but pour un hors-jeu (87e).
Djordjevic, le Serbe de la Lazio, a eu une occasion plus éclatante encore dès le début de la prolongation, une frappe qui a ricoché sur les deux poteaux (94e). C'était juste avant le but vainqueur... Matri a repris en puissance un ballon mal renvoyé par la défense. Même secouée, même avec des cadres en petite forme, la Juve sait se frayer le chemin vers la gloire, comme face au Real. Le Barça est prévenu.
Fifa.com (20/05/2015)
Juventus, le doublé en attendant mieux
La Juventus Turin a franchi la deuxième étape du triplé dont elle rêve en gagnant la Coupe d'Italie contre la Lazio Rome (2-1 a.p.), à 17 jours de sa finale de Ligue des champions.
Un but du remplaçant Alessandro Matri au début de la prolongation (97e) a tué les espoirs de la Lazio, qui avait pourtant plutôt dominé et venait de frapper deux poteaux d'un coup. Déjà championne pour la quatrième fois de rang, la "Vieille Dame" reste sur sa vague avant d'aller défier le grand FC Barcelone le 6 juin à Berlin et aligne un troisième doublé, après ceux de 1960 et 1995.
Le Barça, également en quête de triplé, dispute sa finale de Coupe d'Espagne contre l'Athletic Bilbao le 30 mai. La Lazio doit se ressaisir tout de suite: elle jouera lundi l'accès direct à la Ligue des champions contre sa grande rivale, l'AS Rome, lors de l'avant-dernière journée de championnat.
Pourtant, les "Laziali" sont parfaitement entrés dans le match, marquant sur un coup de franc de Danilo Cataldi smashé de la tête par le capitaine Stefan Radu, entre Andrea Pirlo et Paul Pogba, vers la lucarne de Marco Storari (4e).
La Juve a vite égalisé sur un autre coup de pied arrêté, un coup franc de Pirlo remis de la tête par Patrice Evra sur le défenseur Giorgio Chiellini, qui trouvait lui aussi la lucarne d'un superbe ciseau, un geste de buteur (11e). Après ces dix premières minutes de folie, le match est retombé.
Un tir, deux poteaux pour Djordjevic
Des frissons ont parcouru les travées du stade Olympique sur quelques ratés, quand Pogba a manqué un amorti de la poitrine devant sa surface, offrant une frappe à Marco Parolo (32e), non cadrée, ou sur un dégagement d'Etrit Berisha contré par Tevez, qui aurait pu coûter cher (42e).
En dehors de cela, les deux équipes craintives ne se sont plus beaucoup livrées, malgré quelques raids de Fernando Llorente côté Juve, ou quelques éclairs de Felipe Anderson pour la Lazio.
Après la pause, la Lazio a montre un peu plus de velléités offensives, et la Juve s'est retrouvée à procéder par contres, un avant-goût de ce qui devrait l'attendre avec le Barça. Mais face à un adversaire d'un autre calibre, contre lequel les stars Tevez ou Pirlo ne pourront pas se permettre un match aussi terne.
A Berlin, la Juve aura également besoin d'un meilleur Pogba que celui vu mercredi soir. Dans un mauvais jour, le Français a cédé sa place à Roberto Pereyra en fin du match (78e), sans répondre aux quelques cris de singes de tifosi laziali.
A l'approche du coup de sifflet final, chaque équipe a eu une balle de match. L'ex-Nantais Filip Djordjevic, qui venait de remplacer Miroslav Klose (84e), a buté sur Storari. Puis Alessandro Matri s'est vu refuser un but pour un hors-jeu (87e).
Djordjevic, le Serbe de la Lazio, a eu une occasion plus éclatante encore dès le début de la prolongation, une frappe qui a ricoché sur les deux poteaux (94e). C'était juste avant le but vainqueur... Matri a repris en puissance un ballon mal renvoyé par la défense. Même secouée, même avec des cadres en petite forme, la Juve sait se frayer le chemin vers la gloire, comme face au Real. Le Barça est prévenu.
Fifa.com (20/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Juve, Napoli en guise de super-entraînement
La Juventus Turin s'offre contre Naples un avant-dernier tour de piste avant sa grande finale contre le Barcelone, samedi en match avancé de la 37e et avant-dernière journée du Championnat d'Italie. Le clou de la journée se joue lundi, jour où la capitale arrêtera de respirer pendant presque deux heures pour un derby Lazio-AS Rome incandescent, ticket pour la Ligue des champions en jeu.
Avant l'explication entre ses dauphines, la Juve, toute fraîche auréolée du doublé Coupe-Championnat, a une affiche de prestige contre Naples, qui espère encore rejoindre une des deux formations romaines pour disputer la C1 la saison prochaine. La "Vieille Dame" a étalé tout son savoir-faire mercredi en gagnant la Coupe d'Italie après avoir été pourtant menée et malmenée par la Lazio en finale (2-1 a.p.).
Pour garder la confiance au beau fixe avant la finale de Ligue des champions, le 6 juin à Berlin, la Juve serait bien inspirée de continuer de gagner. Après il lui restera une ultime journée contre le Hellas Vérone, le 31 mai. Massimiliano Allegri devrait reposer quelques titulaires de mercredi. Paul Pogba, encore en manque de rythme après près de deux mois sur le flanc, cela s'est vu mercredi, devrait jouer pour chauffer ses moteurs.
A Naples, Rafael Benitez, sur le départ, aimerait remplir un des objectifs de la saison après avoir échoué dans les coupes. Le mince espoir de se qualifier pour la C1 passe par une victoire à Turin.
Les trois relégués connus (Parme, Cesena et Cagliari), il reste à attribuer les places en Europe League. Le Napoli est au moins sûr de ce ticket là, la Fiorentina essaiera de valider le sien samedi à Palerme.
Le programme
Samedi
Palerme - Fiorentina
Juventus Turin - Naples
Dimanche
Empoli - Sampdoria Gênes
Cesena - Cagliari
Chievo Vérone - Atalanta Bergame
Genoa - Inter Milan
Parme - Hellas Vérone
Udinese - Sassuolo
AC Milan - Torino
Lundi
Lazio Rome - AS Rome
Fifa.com (22/05/2015)
La Juventus Turin s'offre contre Naples un avant-dernier tour de piste avant sa grande finale contre le Barcelone, samedi en match avancé de la 37e et avant-dernière journée du Championnat d'Italie. Le clou de la journée se joue lundi, jour où la capitale arrêtera de respirer pendant presque deux heures pour un derby Lazio-AS Rome incandescent, ticket pour la Ligue des champions en jeu.
Avant l'explication entre ses dauphines, la Juve, toute fraîche auréolée du doublé Coupe-Championnat, a une affiche de prestige contre Naples, qui espère encore rejoindre une des deux formations romaines pour disputer la C1 la saison prochaine. La "Vieille Dame" a étalé tout son savoir-faire mercredi en gagnant la Coupe d'Italie après avoir été pourtant menée et malmenée par la Lazio en finale (2-1 a.p.).
Pour garder la confiance au beau fixe avant la finale de Ligue des champions, le 6 juin à Berlin, la Juve serait bien inspirée de continuer de gagner. Après il lui restera une ultime journée contre le Hellas Vérone, le 31 mai. Massimiliano Allegri devrait reposer quelques titulaires de mercredi. Paul Pogba, encore en manque de rythme après près de deux mois sur le flanc, cela s'est vu mercredi, devrait jouer pour chauffer ses moteurs.
A Naples, Rafael Benitez, sur le départ, aimerait remplir un des objectifs de la saison après avoir échoué dans les coupes. Le mince espoir de se qualifier pour la C1 passe par une victoire à Turin.
Les trois relégués connus (Parme, Cesena et Cagliari), il reste à attribuer les places en Europe League. Le Napoli est au moins sûr de ce ticket là, la Fiorentina essaiera de valider le sien samedi à Palerme.
Le programme
Samedi
Palerme - Fiorentina
Juventus Turin - Naples
Dimanche
Empoli - Sampdoria Gênes
Cesena - Cagliari
Chievo Vérone - Atalanta Bergame
Genoa - Inter Milan
Parme - Hellas Vérone
Udinese - Sassuolo
AC Milan - Torino
Lundi
Lazio Rome - AS Rome
Fifa.com (22/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Le plus grand derby de Rome depuis Romulus et Remus
La Ville éternelle est en fusion: Lazio et AS Rome se disputent une place en Ligue des champions dans un derby mythologique, lundi pour la 37e et avant-dernière journée du Championnat d'Italie.
Un peu plus de 2768 ans après la fondation mythique de Rome (753 av. JC), l'AS Rome a l'occasion de décrocher la deuxième place et l'accès direct à la C1 si elle bat son vieil adversaire, dans une version footballistique de l'affrontement entre Romulus et Remus.
Chaque équipe a son destin en mains, puisque la Lazio comme la Roma sont sûres de la deuxième place si elles gagnent leurs deux derniers matches.
En cas de match nul, la Roma garderait la main, avec un dernier match à domicile contre Palerme. Mais la Lazio joue mieux que l'équipe de Rudi Garcia depuis quelques mois. Elle l'a prouvé en tenant tête au champion, la Juventus Turin, en finale de Coupe d'Italie (défaite 2-1 a.p.).
Stefano Pioli a perdu son capitaine, Stefan Radu, blessé contre la Juve, mais compte sur son attaquant brésilien Felipe Anderson, qui avait explosé au derby aller avec un doublé (2-2).
Également auteur d'un doublé ce jour-là, Francesco Totti, guidera l'attaque de Garcia. L'autre "romaniste" pur jus, Daniele De Rossi, a promis que, cette fois, il ne serait pas trop nerveux pour ce grand match.
Garcia n'a jamais perdu le derby
L'entraîneur français devrait associer le capitaine éternel à Juan Iturbe, la recrue la plus coûteuse de l'histoire du club (22 millions d'euros), qui a une dernière occasion de sauver une saison ratée, et Victor Ibarbo.
Après des mois de balbutiements, la Roma a retrouvé le fil du jeu offensif cher à Garcia. Le "Mister", descendu de son piédestal après une première saison très réussie, joue également beaucoup personnellement. Il sauve sa saison et pourra repartir cet été avec un nouveau souffle s'il gagne ce crucial derby, où il est toujours invaincu (une victoire, deux nuls).
La Lazio n'a plus gagné ce choc depuis sa victoire (1-0) en finale de la Coupe d'Italie le 26 mai 2013. Ce match était le sommet de l'histoire du "Stracittadina", les graffitis "26-05-2013" ou "Lulic 71" (Senad Lulic a marqué à la 71e minute) fleurissent sur les murs de Rome. Mais une nouvelle page s'écrit lundi, avec le prestige - et les millions d'euros - de la Ligue des champions à la clef.
Dans les autres rencontres, dimanche, le Genoa a l'occasion d'écarter l'Inter de la course à l'Europa League, mais le club génois n'a toujours pas sa licence UEFA à cause de problèmes financiers...
Programme
Samedi
Palerme - Fiorentina
Juventus Turin - Naples
Dimanche
(12h30) Empoli - Sampdoria Gênes
(15h00) Cesena - Cagliari
Chievo Vérone - Atalanta Bergame
Genoa - Inter Milan
Parme - Hellas Vérone
Udinese - Sassuolo
(20h45) AC Milan - Torino
Lundi
(18h00) Lazio Rome - AS Rome
Fifa.com (23/05/2015)
La Ville éternelle est en fusion: Lazio et AS Rome se disputent une place en Ligue des champions dans un derby mythologique, lundi pour la 37e et avant-dernière journée du Championnat d'Italie.
Un peu plus de 2768 ans après la fondation mythique de Rome (753 av. JC), l'AS Rome a l'occasion de décrocher la deuxième place et l'accès direct à la C1 si elle bat son vieil adversaire, dans une version footballistique de l'affrontement entre Romulus et Remus.
Chaque équipe a son destin en mains, puisque la Lazio comme la Roma sont sûres de la deuxième place si elles gagnent leurs deux derniers matches.
En cas de match nul, la Roma garderait la main, avec un dernier match à domicile contre Palerme. Mais la Lazio joue mieux que l'équipe de Rudi Garcia depuis quelques mois. Elle l'a prouvé en tenant tête au champion, la Juventus Turin, en finale de Coupe d'Italie (défaite 2-1 a.p.).
Stefano Pioli a perdu son capitaine, Stefan Radu, blessé contre la Juve, mais compte sur son attaquant brésilien Felipe Anderson, qui avait explosé au derby aller avec un doublé (2-2).
Également auteur d'un doublé ce jour-là, Francesco Totti, guidera l'attaque de Garcia. L'autre "romaniste" pur jus, Daniele De Rossi, a promis que, cette fois, il ne serait pas trop nerveux pour ce grand match.
Garcia n'a jamais perdu le derby
L'entraîneur français devrait associer le capitaine éternel à Juan Iturbe, la recrue la plus coûteuse de l'histoire du club (22 millions d'euros), qui a une dernière occasion de sauver une saison ratée, et Victor Ibarbo.
Après des mois de balbutiements, la Roma a retrouvé le fil du jeu offensif cher à Garcia. Le "Mister", descendu de son piédestal après une première saison très réussie, joue également beaucoup personnellement. Il sauve sa saison et pourra repartir cet été avec un nouveau souffle s'il gagne ce crucial derby, où il est toujours invaincu (une victoire, deux nuls).
La Lazio n'a plus gagné ce choc depuis sa victoire (1-0) en finale de la Coupe d'Italie le 26 mai 2013. Ce match était le sommet de l'histoire du "Stracittadina", les graffitis "26-05-2013" ou "Lulic 71" (Senad Lulic a marqué à la 71e minute) fleurissent sur les murs de Rome. Mais une nouvelle page s'écrit lundi, avec le prestige - et les millions d'euros - de la Ligue des champions à la clef.
Dans les autres rencontres, dimanche, le Genoa a l'occasion d'écarter l'Inter de la course à l'Europa League, mais le club génois n'a toujours pas sa licence UEFA à cause de problèmes financiers...
Programme
Samedi
Palerme - Fiorentina
Juventus Turin - Naples
Dimanche
(12h30) Empoli - Sampdoria Gênes
(15h00) Cesena - Cagliari
Chievo Vérone - Atalanta Bergame
Genoa - Inter Milan
Parme - Hellas Vérone
Udinese - Sassuolo
(20h45) AC Milan - Torino
Lundi
(18h00) Lazio Rome - AS Rome
Fifa.com (23/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Juventus, le goût de la victoire
La Juventus Turin continue d'enchaîner les victoires à quinze jours de sa finale contre Barcelone: elle a battu Naples (2-1) pour son dernier match à domicile de la saison, samedi pour la 37e journée du Championnat d'Italie.
Même sans plusieurs titulaires, la Juve, championne depuis trois matches, est trop forte pour le Napoli, qui a sans doute laissé ses derniers espoirs de se qualifier pour la prochaine Ligue des champions.
Des buts de Roberto Pereyra, Stefano Sturaro et Simone Pepe ont permis à la Juve de s'imposer, trois jours après avoir remporté la finale de la Coupe d'Italie contre la Lazio Rome (2-1 a.p.).
David Lopez avait égalisé, en reprenant un penalty de Lorenzo Insigne repoussé par Gianluigi Buffon.
Il reste un match sur la pelouse du Hellas Vérone, dimanche 31 mai, avant d'aller défier le Barça à Berlin pour la grande finale de la Ligue des champions, le 6 juin.
Si elle garde le rythme jusqu'à Vérone, la Juve arrivera pleine de confiance en ses moyens contre Lionel Messi, Neymar et Luis Suarez.
Ses remplaçants ont aussi le culte de la victoire. Le jeune Français Kingsley Coman a servi une superbe passe décisive à Pereyra pour l'ouverture du score. Sturaro lui a réussi un magnifique dribble en pivot sur Raul Albiol pour marquer le deuxième but.
Hommage aux victimes du Heysel
Enfin Pepe, blessé de longue durée qui n'a joué que quelques matches depuis deux ans, a marqué sur penalty le dernier but, après un coup de folie de Miguel Britos, qui a donné un coup de tête à Alvaro Morata dans la surface de réparation.
Paul Pogba, qui a besoin de compétition après 52 jours d'absence de février à avril, a joué tout le match, Andrea Pirlo les vingt dernières minutes, et Andrea Barzagli et Leonardo Bonucci ont disputé une mi-temps chacun.
Giorgio Chiellini et Arturo Vidal sont restés sur le banc, comme Patrice Evra.
Pour ce dernier match à domicile d'une saison réussie, avec le doublé Coupe-Championnat, qui pourrait devenir grandiose, le Juventus Stadium a rendu hommage aux 39 victimes du Heysel, le 29 mai 1985, par un tifo géant, avec l'inscription "Personne ne meurt vraiment s'il vit dans le coeur de ceux qui restent, pour toujours".
Trente ans après le drame, la Juventus retourne en finale de Coupe d'Europe contre l'ogre du moment, Liverpool alors, le FC Barcelone aujourd'hui. Le plus bel hommage serait la victoire.
Fifa.com (23/05/2015)
La Juventus Turin continue d'enchaîner les victoires à quinze jours de sa finale contre Barcelone: elle a battu Naples (2-1) pour son dernier match à domicile de la saison, samedi pour la 37e journée du Championnat d'Italie.
Même sans plusieurs titulaires, la Juve, championne depuis trois matches, est trop forte pour le Napoli, qui a sans doute laissé ses derniers espoirs de se qualifier pour la prochaine Ligue des champions.
Des buts de Roberto Pereyra, Stefano Sturaro et Simone Pepe ont permis à la Juve de s'imposer, trois jours après avoir remporté la finale de la Coupe d'Italie contre la Lazio Rome (2-1 a.p.).
David Lopez avait égalisé, en reprenant un penalty de Lorenzo Insigne repoussé par Gianluigi Buffon.
Il reste un match sur la pelouse du Hellas Vérone, dimanche 31 mai, avant d'aller défier le Barça à Berlin pour la grande finale de la Ligue des champions, le 6 juin.
Si elle garde le rythme jusqu'à Vérone, la Juve arrivera pleine de confiance en ses moyens contre Lionel Messi, Neymar et Luis Suarez.
Ses remplaçants ont aussi le culte de la victoire. Le jeune Français Kingsley Coman a servi une superbe passe décisive à Pereyra pour l'ouverture du score. Sturaro lui a réussi un magnifique dribble en pivot sur Raul Albiol pour marquer le deuxième but.
Hommage aux victimes du Heysel
Enfin Pepe, blessé de longue durée qui n'a joué que quelques matches depuis deux ans, a marqué sur penalty le dernier but, après un coup de folie de Miguel Britos, qui a donné un coup de tête à Alvaro Morata dans la surface de réparation.
Paul Pogba, qui a besoin de compétition après 52 jours d'absence de février à avril, a joué tout le match, Andrea Pirlo les vingt dernières minutes, et Andrea Barzagli et Leonardo Bonucci ont disputé une mi-temps chacun.
Giorgio Chiellini et Arturo Vidal sont restés sur le banc, comme Patrice Evra.
Pour ce dernier match à domicile d'une saison réussie, avec le doublé Coupe-Championnat, qui pourrait devenir grandiose, le Juventus Stadium a rendu hommage aux 39 victimes du Heysel, le 29 mai 1985, par un tifo géant, avec l'inscription "Personne ne meurt vraiment s'il vit dans le coeur de ceux qui restent, pour toujours".
Trente ans après le drame, la Juventus retourne en finale de Coupe d'Europe contre l'ogre du moment, Liverpool alors, le FC Barcelone aujourd'hui. Le plus bel hommage serait la victoire.
Fifa.com (23/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
La Fiorentina en Europa League
La Fiorentina s'est qualifiée pour la prochaine Europa League, où elle a échoué en demi-finales cette année, grâce à sa victoire à Palerme (3-2), dimanche pour la 37e et avant-dernière journée du Championnat d'Italie.
La "Viola" s'est assurée un classement entre la 4e et la 6e place, avec 6 points d'avance sur la Sampdoria Gênes (7e).
L'équipe de Vincenzo Montella a fait la course en tête en Sicile, menant par Josip Ilicic (23) puis Alberto Gilardino. Palerme a deux fois égalisé, par le Croate Mato Jajalo (26) puis Luca Rigoni (69), mais la Fiorentina l'a emporté grâce à Marcos Alonso (78).
Le Genoa (6e) a fait un pas décisif en battant l'Inter Milan samedi (3-2), mais le doyen des clubs italiens n'a pour l'instant pas la licence Uefa, ses comptes ne répondant pas aux critères du fair play-financier. Le club attend le résultat de son recours devant le comité Olympique italien (Coni).
Si le Genoa n'était pas admis, comme cela est arrivé à Parme l'an dernier, la 7e place vaudrait un ticket pour l'Europa League.
Samuel Eto'o a maintenu le rêve européen de la "Samp" (7e) en égalisant dans les temps additionnel à Empoli (1-1), d'un geste éclair en pivot, comme à ses plus beaux jours. Mais son avenir dépend de l'autre équipe de Gênes, qu'elle ne peut plus rattraper au classement.
L'Inter a besoin d'un miracle pour retourner en coupe d'Europe: la non-admission du Genoa et une victoire au dernier match, contre Empoli, couplé à une défaite à domicile de la Sampdoria contre Parme, dernier et en faillite.
Le vétéran Luca Toni, auteur d'un doublé à Parme (2-2), dont un penalty, a profité de cette avant-dernière journée pour prendre seul la tête du classement des buteurs, avec 21 buts, un de mieux que Carlos Tevez (Juventus Turin), au repos lors de la victoire contre Naples (2-1) samedi, et Mauro Icardi, sprint final. Toni, 37 ans, a déjà terminé "capocannoniere" en 2005-2006 avec la Fiorentina (31 buts).
Fifa.com (24/05/2015)
La Fiorentina s'est qualifiée pour la prochaine Europa League, où elle a échoué en demi-finales cette année, grâce à sa victoire à Palerme (3-2), dimanche pour la 37e et avant-dernière journée du Championnat d'Italie.
La "Viola" s'est assurée un classement entre la 4e et la 6e place, avec 6 points d'avance sur la Sampdoria Gênes (7e).
L'équipe de Vincenzo Montella a fait la course en tête en Sicile, menant par Josip Ilicic (23) puis Alberto Gilardino. Palerme a deux fois égalisé, par le Croate Mato Jajalo (26) puis Luca Rigoni (69), mais la Fiorentina l'a emporté grâce à Marcos Alonso (78).
Le Genoa (6e) a fait un pas décisif en battant l'Inter Milan samedi (3-2), mais le doyen des clubs italiens n'a pour l'instant pas la licence Uefa, ses comptes ne répondant pas aux critères du fair play-financier. Le club attend le résultat de son recours devant le comité Olympique italien (Coni).
Si le Genoa n'était pas admis, comme cela est arrivé à Parme l'an dernier, la 7e place vaudrait un ticket pour l'Europa League.
Samuel Eto'o a maintenu le rêve européen de la "Samp" (7e) en égalisant dans les temps additionnel à Empoli (1-1), d'un geste éclair en pivot, comme à ses plus beaux jours. Mais son avenir dépend de l'autre équipe de Gênes, qu'elle ne peut plus rattraper au classement.
L'Inter a besoin d'un miracle pour retourner en coupe d'Europe: la non-admission du Genoa et une victoire au dernier match, contre Empoli, couplé à une défaite à domicile de la Sampdoria contre Parme, dernier et en faillite.
Le vétéran Luca Toni, auteur d'un doublé à Parme (2-2), dont un penalty, a profité de cette avant-dernière journée pour prendre seul la tête du classement des buteurs, avec 21 buts, un de mieux que Carlos Tevez (Juventus Turin), au repos lors de la victoire contre Naples (2-1) samedi, et Mauro Icardi, sprint final. Toni, 37 ans, a déjà terminé "capocannoniere" en 2005-2006 avec la Fiorentina (31 buts).
Fifa.com (24/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Yanga-Mbiwa donne le derby à l'AS Rome
L'AS Rome s'est assuré la deuxième place et la Ligue des champions en gagnant le grand derby contre la Lazio dans un final ébouriffant (2-1), grâce à un but de Mapou Yanga-Mbiwa, lundi pour la 37e journée du Championnat d'Italie.
D'une pierre deux coups. La Roma sauve sa saison en sécurisant les lucratives poules de la C1 et a pris sa revanche sur la Lazio, qui avait gagné l'autre plus grand derby de l'histoire de la Capitale, la finale de la Coupe d'Italie 2013 (1-0).
Si la Lazio ne veut pas tout perdre, cinq jours après la finale de Coupe d'Italie contre la Juventus Turin (2-1 a.p.), il lui faut ramener au moins un point de Naples, dimanche. Sinon le Napoli lui chipera même la troisième place et les barrages de la C1.
Le héros de la Louve est le capitaine du Montpellier champion de France en 2012: sa superbe extension et sa tête décroisée (85) ont abattu les "Laziali", qui venait d'égaliser par Filip Djordjevic (81).
Longtemps joué avec le frein à main, le derby de la capitale s'est dénoué dans le dernier quart d'heure.
Juan Iturbe, le flop du mercato, plus gros transfert du club cet été, a rentabilisé d'un seul geste les 22 millions d'euros payés par la Roma à Vérone, ouvrant le score après un très gros travail de Victor Ibarbo (73). Oubliée la saison erratique de l'Argentin.
Mais la Lazio, dominatrice sur l'ensemble du match, a égalisé sur une superbe remise de Miroslav Klose pour Djordjevic, revenant dans la course.
Puis Mapou est entré avec fracas dans le coeur des Romanistes et la légende du derby. Le défenseur français a mouché les quelques cris de singe que lui avait adressé des tifosi de la Lazio.
Garcia sauve sa saison
Il a également aidé son entraîneur Rudi Garcia, qui l'avait réclamé comme défenseur au mercato cet été. Le technicien français termine sur une excellente note une saison éprouvante, où il a failli ternir sa réputation de faiseurs de miracles.
La Lazio a manqué l'ouverture du score sur un ballon en or de Felipe Anderson pour Klose, la tête plongeante du champion du monde allemand se dérobant du cadre (5). En début de seconde période, l'Aigle romain a encore adressé quelques frappes au but, hors cadre par Dusan Basta, après un ballon repoussé par Kostas Manolas, ou contrée (48), par Lucas Biglia (60).
Stefano Pioli, avisé, a remplacé un Senad Lulic au bord du second avertissement par Luis Cavanda (56). Il y a deux ans, le Bosnien avait été le héros de la finale-derby en marquant le but.
La Roma n'a eu sa première occasion dangereuse qu'à la 70e minute, mais le Colombien Ibarbo a manqué le cadre. Il s'est rattrapé sur le but d'Iturbe, qui a lancé le sprint de ce match mémorable dont la Ville Éternelle n'a pas fini de parler.
Fifa.com (25/05/2015)
L'AS Rome s'est assuré la deuxième place et la Ligue des champions en gagnant le grand derby contre la Lazio dans un final ébouriffant (2-1), grâce à un but de Mapou Yanga-Mbiwa, lundi pour la 37e journée du Championnat d'Italie.
D'une pierre deux coups. La Roma sauve sa saison en sécurisant les lucratives poules de la C1 et a pris sa revanche sur la Lazio, qui avait gagné l'autre plus grand derby de l'histoire de la Capitale, la finale de la Coupe d'Italie 2013 (1-0).
Si la Lazio ne veut pas tout perdre, cinq jours après la finale de Coupe d'Italie contre la Juventus Turin (2-1 a.p.), il lui faut ramener au moins un point de Naples, dimanche. Sinon le Napoli lui chipera même la troisième place et les barrages de la C1.
Le héros de la Louve est le capitaine du Montpellier champion de France en 2012: sa superbe extension et sa tête décroisée (85) ont abattu les "Laziali", qui venait d'égaliser par Filip Djordjevic (81).
Longtemps joué avec le frein à main, le derby de la capitale s'est dénoué dans le dernier quart d'heure.
Juan Iturbe, le flop du mercato, plus gros transfert du club cet été, a rentabilisé d'un seul geste les 22 millions d'euros payés par la Roma à Vérone, ouvrant le score après un très gros travail de Victor Ibarbo (73). Oubliée la saison erratique de l'Argentin.
Mais la Lazio, dominatrice sur l'ensemble du match, a égalisé sur une superbe remise de Miroslav Klose pour Djordjevic, revenant dans la course.
Puis Mapou est entré avec fracas dans le coeur des Romanistes et la légende du derby. Le défenseur français a mouché les quelques cris de singe que lui avait adressé des tifosi de la Lazio.
Garcia sauve sa saison
Il a également aidé son entraîneur Rudi Garcia, qui l'avait réclamé comme défenseur au mercato cet été. Le technicien français termine sur une excellente note une saison éprouvante, où il a failli ternir sa réputation de faiseurs de miracles.
La Lazio a manqué l'ouverture du score sur un ballon en or de Felipe Anderson pour Klose, la tête plongeante du champion du monde allemand se dérobant du cadre (5). En début de seconde période, l'Aigle romain a encore adressé quelques frappes au but, hors cadre par Dusan Basta, après un ballon repoussé par Kostas Manolas, ou contrée (48), par Lucas Biglia (60).
Stefano Pioli, avisé, a remplacé un Senad Lulic au bord du second avertissement par Luis Cavanda (56). Il y a deux ans, le Bosnien avait été le héros de la finale-derby en marquant le but.
La Roma n'a eu sa première occasion dangereuse qu'à la 70e minute, mais le Colombien Ibarbo a manqué le cadre. Il s'est rattrapé sur le but d'Iturbe, qui a lancé le sprint de ce match mémorable dont la Ville Éternelle n'a pas fini de parler.
Fifa.com (25/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Benitez veut réussir ses adieux à Naples
Rafael Benitez aimerait laisser Naples en barrages de Ligue des champions en guise de cadeau avant de partir entraîner vraisemblablement le Real Madrid, mais il faut battre la Lazio Rome lors de la 38e journée, dimanche (20h45).
Voir Naples et rebondir. Le match de la dernière journée du Championnat d'Italie fera basculer le bilan de "Rafa" du bon ou du mauvais côté. Si Napoli bat la Lazio, il remonte ses trois points de retard, grâce à l'avantage dans la confrontation directe (victoire 1-0 à Rome) et accède pour la seconde année d'affilée aux préliminaires de la C1.
Tout autre résultat laisse la précieuse place sur le podium à la Lazio, et le bilan du technicien espagnol deviendrait moyen: Coupe et Supercoupe d'Italie 2014, mais rien à se mettre sous la dent en 2015, une saison commencée par une élimination en barrages contre l'Athletic Bilbao qui avait rendu vaine la troisième place en Serie A.
Destiné au prestigieux banc de la "Maison Blanche", Benitez a perdu un peu le contrôle de son vestiaire où les conflits internes se sont multipliés, selon la presse italienne. Son équipe a manqué plusieurs fois l'occasion de prendre la troisième place en perdant des points contre des "petits", comme à Empoli (4-2) ou Parme (2-2), relégué de longue date.
La Lazio peut tout perdre
Manquer la C1 pourrait signifier perdre également Gonzalo Higuain, le buteur argentin, qui intéresse notamment la Juve.
La Lazio elle a peur de se retrouver les mains vides après une saison fantastique. Épuisée, elle a perdu la finale de Coupe d'Italie contre la Juventus Turin (2-1 a.p.), et cinq jours plus tard l'accès direct à la Ligue des champions dans le derby contre l'AS Rome (2-1), sur un but concédé à cinq minutes de la fin.
La fin de saison est difficile physiquement, mais la Lazio peut compter sur la qualité de son football depuis six mois pour retourner en C1, enfin... au moins en barrages.
La troisième est la dernier enjeu de la saison de Serie A, mais le mic-mac administratif autour du Genoa pourrait rendre européenne la 7e place, promise à la Sampdoria, l'autre club génois, si elle obtient au moins le nul contre Parme.
Le Genoa (6e) devrait se qualifier pour l'Europa League mais n'a toujours pas sa licence Uefa, faute de remplir les critères du fair play financier. Le club a fait appel devant le comité Olympique italien (Coni), mais son avocat... ne s'est même pas rendu à la réunion de conciliation jeudi! Si le doyen des clubs italiens ne peut pas s'inscrire, il laissera la place à sa grande rivale.
Programme
Samedi
(18h00) Hellas Vérone - Juventus Turin
(20h45) Atalanta Bergame - AC Milan
Dimanche
(18h00) Cagliari - Udinese
(20h45) Fiorentina - Chievo Vérone
Inter Milan - Empoli
Naples - Lazio Rome
AS Rome - Palerme
Sampdoria Gênes - Parme
Sassuolo - Genoa
Torino - Cesena
Fifa.com (30/05/2015)
Rafael Benitez aimerait laisser Naples en barrages de Ligue des champions en guise de cadeau avant de partir entraîner vraisemblablement le Real Madrid, mais il faut battre la Lazio Rome lors de la 38e journée, dimanche (20h45).
Voir Naples et rebondir. Le match de la dernière journée du Championnat d'Italie fera basculer le bilan de "Rafa" du bon ou du mauvais côté. Si Napoli bat la Lazio, il remonte ses trois points de retard, grâce à l'avantage dans la confrontation directe (victoire 1-0 à Rome) et accède pour la seconde année d'affilée aux préliminaires de la C1.
Tout autre résultat laisse la précieuse place sur le podium à la Lazio, et le bilan du technicien espagnol deviendrait moyen: Coupe et Supercoupe d'Italie 2014, mais rien à se mettre sous la dent en 2015, une saison commencée par une élimination en barrages contre l'Athletic Bilbao qui avait rendu vaine la troisième place en Serie A.
Destiné au prestigieux banc de la "Maison Blanche", Benitez a perdu un peu le contrôle de son vestiaire où les conflits internes se sont multipliés, selon la presse italienne. Son équipe a manqué plusieurs fois l'occasion de prendre la troisième place en perdant des points contre des "petits", comme à Empoli (4-2) ou Parme (2-2), relégué de longue date.
La Lazio peut tout perdre
Manquer la C1 pourrait signifier perdre également Gonzalo Higuain, le buteur argentin, qui intéresse notamment la Juve.
La Lazio elle a peur de se retrouver les mains vides après une saison fantastique. Épuisée, elle a perdu la finale de Coupe d'Italie contre la Juventus Turin (2-1 a.p.), et cinq jours plus tard l'accès direct à la Ligue des champions dans le derby contre l'AS Rome (2-1), sur un but concédé à cinq minutes de la fin.
La fin de saison est difficile physiquement, mais la Lazio peut compter sur la qualité de son football depuis six mois pour retourner en C1, enfin... au moins en barrages.
La troisième est la dernier enjeu de la saison de Serie A, mais le mic-mac administratif autour du Genoa pourrait rendre européenne la 7e place, promise à la Sampdoria, l'autre club génois, si elle obtient au moins le nul contre Parme.
Le Genoa (6e) devrait se qualifier pour l'Europa League mais n'a toujours pas sa licence Uefa, faute de remplir les critères du fair play financier. Le club a fait appel devant le comité Olympique italien (Coni), mais son avocat... ne s'est même pas rendu à la réunion de conciliation jeudi! Si le doyen des clubs italiens ne peut pas s'inscrire, il laissera la place à sa grande rivale.
Programme
Samedi
(18h00) Hellas Vérone - Juventus Turin
(20h45) Atalanta Bergame - AC Milan
Dimanche
(18h00) Cagliari - Udinese
(20h45) Fiorentina - Chievo Vérone
Inter Milan - Empoli
Naples - Lazio Rome
AS Rome - Palerme
Sampdoria Gênes - Parme
Sassuolo - Genoa
Torino - Cesena
Fifa.com (30/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Toni et Hellas entaillent la confiance de la Juve
La Juventus Turin, auteur du doublé Coupe-Championnat d'Italie depuis une semaine, a mal préparé sa finale de Ligue des champions en étant rejointe à la dernière seconde à Vérone 2-2, Luca Toni pouvant terminer meilleur buteur, samedi lors de la 38e et dernière journée.
Contretemps. La tête décroisée de Juanito Gomez a laissé une tache sur la feuille de match de la Juve, à une semaine d'aller défier le FC Barcelone à Berlin pour la finale de la C1.
Reste l'image de Gianluigi Buffon rampant à quatre pattes pour essayer vainement d'empêcher le ballon d'entrer. L'armure le Juve s'est fendillée, et pourrait entamer son immense confiance en elle, un de ses atouts pour faire tomber les Catalans.
L'équipe de Massimiliano Allegri, avec quatre titulaires sur le banc au départ, Giorgio Chiellini, Stéphane Lichtsteiner (entré en jeu), Arturo Vidal et Alvaro Morata, se dirigeait vers un succès grâce à ses remplaçants de luxe. Roberto Pereyra a signé une magnifique ouverture du score, un brossé de 25 m dans la lucarne de Rafael, juste avant la pause (42e).
Également destiné au banc le 6 juin, Fernando Llorente a marqué le but du 2-1 (57e). Mais Carlos Tevez a manqué le penalty du KO en fin de match (88).
Toni neuf ans après?
Puis, un coup franc provoqué par Simone Pepe, exclu pour tacle par derrière, a entraîné le but de Gomez (90+3).
Mais le héros du jour reste Luca Toni. En quête d'un extraordinaire titre de meilleur buteur, à 38 ans, il a fini par trouver le chemin des filets, d'une frappe du gauche (48e), une fois n'est pas coutume, sur un service de l'Islandais Emil Hallfredsson, qui a cherché tout le match à trouver son attaquant. Toute l'équipe a sauté sur lui pour fêter ce but, et le stade a chanté "Luca! Luca!"
Avec 22 buts, le capitaine du Hellas a battu Tevez (20 buts), muet samedi, mais Mauro Icardi (20 buts), de l'Inter Milan, peut le rejoindre ou le battre, dimanche contre Empoli. Si l'Argentin ne marque pas plus d'un but, Toni redeviendra "capocannoniere", neuf ans après. Il avait explosé au niveau international avec la Fiorentina, marquant 31 buts en 2005-2006 avant de finir champion du monde avec l'Italie.
Auparavant, le "Fou" avait manqué un but à portes ouvertes (5e), puis failli marquer sur un pied tendu (33e) après un gros travail d'Hallfredsson.
Tout Vérone a poussé derrière son attaquant, même le gardien Rafael, qui s'est détendu pour repousser le penalty de Tevez et a fait le geste du fou, la main sur la tempe, celui de Toni quand il marque.
Fifa.com (30/05/2015)
La Juventus Turin, auteur du doublé Coupe-Championnat d'Italie depuis une semaine, a mal préparé sa finale de Ligue des champions en étant rejointe à la dernière seconde à Vérone 2-2, Luca Toni pouvant terminer meilleur buteur, samedi lors de la 38e et dernière journée.
Contretemps. La tête décroisée de Juanito Gomez a laissé une tache sur la feuille de match de la Juve, à une semaine d'aller défier le FC Barcelone à Berlin pour la finale de la C1.
Reste l'image de Gianluigi Buffon rampant à quatre pattes pour essayer vainement d'empêcher le ballon d'entrer. L'armure le Juve s'est fendillée, et pourrait entamer son immense confiance en elle, un de ses atouts pour faire tomber les Catalans.
L'équipe de Massimiliano Allegri, avec quatre titulaires sur le banc au départ, Giorgio Chiellini, Stéphane Lichtsteiner (entré en jeu), Arturo Vidal et Alvaro Morata, se dirigeait vers un succès grâce à ses remplaçants de luxe. Roberto Pereyra a signé une magnifique ouverture du score, un brossé de 25 m dans la lucarne de Rafael, juste avant la pause (42e).
Également destiné au banc le 6 juin, Fernando Llorente a marqué le but du 2-1 (57e). Mais Carlos Tevez a manqué le penalty du KO en fin de match (88).
Toni neuf ans après?
Puis, un coup franc provoqué par Simone Pepe, exclu pour tacle par derrière, a entraîné le but de Gomez (90+3).
Mais le héros du jour reste Luca Toni. En quête d'un extraordinaire titre de meilleur buteur, à 38 ans, il a fini par trouver le chemin des filets, d'une frappe du gauche (48e), une fois n'est pas coutume, sur un service de l'Islandais Emil Hallfredsson, qui a cherché tout le match à trouver son attaquant. Toute l'équipe a sauté sur lui pour fêter ce but, et le stade a chanté "Luca! Luca!"
Avec 22 buts, le capitaine du Hellas a battu Tevez (20 buts), muet samedi, mais Mauro Icardi (20 buts), de l'Inter Milan, peut le rejoindre ou le battre, dimanche contre Empoli. Si l'Argentin ne marque pas plus d'un but, Toni redeviendra "capocannoniere", neuf ans après. Il avait explosé au niveau international avec la Fiorentina, marquant 31 buts en 2005-2006 avant de finir champion du monde avec l'Italie.
Auparavant, le "Fou" avait manqué un but à portes ouvertes (5e), puis failli marquer sur un pied tendu (33e) après un gros travail d'Hallfredsson.
Tout Vérone a poussé derrière son attaquant, même le gardien Rafael, qui s'est détendu pour repousser le penalty de Tevez et a fait le geste du fou, la main sur la tempe, celui de Toni quand il marque.
Fifa.com (30/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
La Lazio troisième, Benitez part sur un échec
La Lazio Rome a assuré la troisième place et les barrages de la Ligue des champions en battant le Naples de Rafael Benitez (4-2) au bout du suspense, dimanche pour la 38e et dernière journée du Championnat d'Italie.
Le dernier ticket italien pour la C1 s'est joué jusqu'aux dernières minutes. La Lazio a mené 2-0, s'est retrouvée à dix et s'est faite rejoindre, puis Gonzalo Higuain a envoyé sur la barre transversale un penalty qui pouvait valoir 40 millions d'euros.
En contre, la Lazio, à qui un nul suffisait pour rester 3e devant Naples, a assuré sa place sur la grille de départ en C1. Le Napoli perd gros, et les erreurs défensives de l'équipe de Benitez, destiné au Real Madrid, ont de quoi inquiéter les supporters "merengues".
L'Aigle romain termine brillamment une saison où il a failli tout perdre, même s'il faudra échapper à des clients comme le FC Valence ou Manchester United en préliminaires. Battus coup sur coup en finale de Coupe d'Italie, par la Juventus (2-1 a.p.), auteur du doublé, et dans le derby-Ligue des champions par l'AS Rome (2-1), les "Biancocelesti" avaient gardé assez d'essence pour mater Naples.
La Lazio a connu toutes les émotions, la joie, la trouille, puis la libération. Après des buts de Marco Parolo (33) et Antonio Candreva (45+1), elle entendait l'hymne pompier de la Ligue des champions.
Icardi rejoint Toni
Mais "Pipita" Higuain a redonné l'espoir à Naples en réussissant un doublé (55, 64), sous une pression infernale après l'exclusion de Parolo à l'heure de jeu pour double avertissement.
Puis Faouzi Ghoulam à son tour a reçu un second jaune (70), rééquilibrant les débats, et l'Argentin a craqué sur le penalty (76). Ogenyi Onazi (85) puis Miroslav Klose (90+2) ont achevé le Napoli.
Benitez quitte Naples sur un échec et sous les sifflets d'un San Paolo qui avait fait le plein. Le Napoli a perdu deux demi-finales, en Coupe d'Italie, déjà contre la Lazio, et en Europa League, contre Dniepropetrovsk. Sans Ligue des champions, il sera difficile de retenir Higuain.
Dans les autres matches, Mauro Icardi a réussi à rejoindre Luca Toni en tête du classement des buteurs lors de la victoire de l'Inter Milan contre Empoli (4-2), signant un doublé. Le Highlander de Vérone, 38 ans, doit partager son trône. Il avait marqué samedi contre la Juventus (2-2).
La Roma termine sur une fausse note, une défaite à domicile contre Palerme (2-1), mais elle avait assuré l'essentiel lundi.
Le Genoa termine 6e, sa défaite à Sassuolo (3-1) ne change rien, mais le doyen des clubs italiens n'est pas sûr d'obtenir son billet pour l'Europa League, il lui manque encore la licence UEFA, faute de respecter le fair play financier.
Fifa.com (31/05/2015)
La Lazio Rome a assuré la troisième place et les barrages de la Ligue des champions en battant le Naples de Rafael Benitez (4-2) au bout du suspense, dimanche pour la 38e et dernière journée du Championnat d'Italie.
Le dernier ticket italien pour la C1 s'est joué jusqu'aux dernières minutes. La Lazio a mené 2-0, s'est retrouvée à dix et s'est faite rejoindre, puis Gonzalo Higuain a envoyé sur la barre transversale un penalty qui pouvait valoir 40 millions d'euros.
En contre, la Lazio, à qui un nul suffisait pour rester 3e devant Naples, a assuré sa place sur la grille de départ en C1. Le Napoli perd gros, et les erreurs défensives de l'équipe de Benitez, destiné au Real Madrid, ont de quoi inquiéter les supporters "merengues".
L'Aigle romain termine brillamment une saison où il a failli tout perdre, même s'il faudra échapper à des clients comme le FC Valence ou Manchester United en préliminaires. Battus coup sur coup en finale de Coupe d'Italie, par la Juventus (2-1 a.p.), auteur du doublé, et dans le derby-Ligue des champions par l'AS Rome (2-1), les "Biancocelesti" avaient gardé assez d'essence pour mater Naples.
La Lazio a connu toutes les émotions, la joie, la trouille, puis la libération. Après des buts de Marco Parolo (33) et Antonio Candreva (45+1), elle entendait l'hymne pompier de la Ligue des champions.
Icardi rejoint Toni
Mais "Pipita" Higuain a redonné l'espoir à Naples en réussissant un doublé (55, 64), sous une pression infernale après l'exclusion de Parolo à l'heure de jeu pour double avertissement.
Puis Faouzi Ghoulam à son tour a reçu un second jaune (70), rééquilibrant les débats, et l'Argentin a craqué sur le penalty (76). Ogenyi Onazi (85) puis Miroslav Klose (90+2) ont achevé le Napoli.
Benitez quitte Naples sur un échec et sous les sifflets d'un San Paolo qui avait fait le plein. Le Napoli a perdu deux demi-finales, en Coupe d'Italie, déjà contre la Lazio, et en Europa League, contre Dniepropetrovsk. Sans Ligue des champions, il sera difficile de retenir Higuain.
Dans les autres matches, Mauro Icardi a réussi à rejoindre Luca Toni en tête du classement des buteurs lors de la victoire de l'Inter Milan contre Empoli (4-2), signant un doublé. Le Highlander de Vérone, 38 ans, doit partager son trône. Il avait marqué samedi contre la Juventus (2-2).
La Roma termine sur une fausse note, une défaite à domicile contre Palerme (2-1), mais elle avait assuré l'essentiel lundi.
Le Genoa termine 6e, sa défaite à Sassuolo (3-1) ne change rien, mais le doyen des clubs italiens n'est pas sûr d'obtenir son billet pour l'Europa League, il lui manque encore la licence UEFA, faute de respecter le fair play financier.
Fifa.com (31/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
De Toni à la chute de l'empire milanais
Luca Toni, co-meilleur buteur à 38 ans, restera un des héros d'une saison italienne encore dominée par la Juventus Turin et marqué par l'approfondissement du déclin de l'Inter et de l'AC Milan.
TOPS
Allegri les a tous retournés
Arrivé sous les insultes à la Juventus, Massimiliano Allegri termine la saison sous les tonnerres d'applaudissement des mêmes tifosi.
Cumulant les péchés d'ex-Milanista et de remplaçant de l'idole Antonio Conte, le Toscan a vite conquis le petit monde "bianconero". Il a assuré la transition en douceur du système Conte (défense à trois) au sein (défense à quatre), et a réussi le doublé, en attendant peut-être mieux, avec la finale de Ligue des champions contre Barcelone.
Toni, le Roger Milla blanc
L'increvable Luca Toni a terminé meilleur buteur de Serie A (22 buts) à 38 ans, l'âge du mythique camerounais au Mondial-1990 (4 buts), neuf ans après un premier titre remporté avec la Fiorentina (31 buts en 2005-2006).
Le capitaine du Hellas Vérone a fait mieux que Carlos Tevez (Juventus, 20 buts), pourtant auteur d'une des plus belles saisons de sa carrière, mais doit partager le titre de "capocannoniere" avec le jeune loup Mauro Icardi (Inter Milan).
Les clubs Romains
La géopolitique du Calcio a un peu changé cette saison, où les clubs romains terminent 2e et 3e. La Ville Éternelle aura peut-être deux clubs en Ligue des champions, si la Lazio passe le tour préliminaire, comme Londres, Manchester ou Madrid, et Milan autrefois.
La Roma de Garcia termine pour la seconde fois d'affilée deuxième, consolidant sa montée en puissance de l'ère américaine. La Lazio a réussi une saison magnifique, grâce au jeu prôné par Stefano Pioli. Elle peut espérer garder ses stars, Felipe Anderson ou Antonio Candreva.
FLOPS
Les clubs milanais
Milan, la ville aux dix Ligue des champions, ne verra pas l'Europe la saison prochaine. Le déclin des deux géants lombards est spectaculaire.
A l'Inter Milan (8e), le retour de Roberto Mancini en cours de saison n'a pas redressé la barre, en particulier à cause d'une défense trop fragile où Nemanja Vidic, sa recrue phare, n'a été que l'ombre du capitaine de Manchester United.
L'AC Milan va rater l'Europe pour la seconde saison consécutive, un véritable camouflet pour son propriétaire, Silvio Berlusconi, qui démarche des acheteurs en Asie pour son club. L'expérience Filippo Inzaghi sur le banc n'a pas marché, "Pippo" était décidément plus efficace devant le but...
Les dirigeants de Parme
Un déficit de 218 millions d'euros a coulé Parme, club vainqueur des trois coupes d'Europe, en quelques saison. Le président. Pénalisé de 7 points en tout, le club a fini dernier, mais ses joueurs et son entraîneur, Roberto Donadoni, ont eux fait preuve d'un état d'esprit sportif admirable.
Fifa.com (31/05/2015)
Luca Toni, co-meilleur buteur à 38 ans, restera un des héros d'une saison italienne encore dominée par la Juventus Turin et marqué par l'approfondissement du déclin de l'Inter et de l'AC Milan.
TOPS
Allegri les a tous retournés
Arrivé sous les insultes à la Juventus, Massimiliano Allegri termine la saison sous les tonnerres d'applaudissement des mêmes tifosi.
Cumulant les péchés d'ex-Milanista et de remplaçant de l'idole Antonio Conte, le Toscan a vite conquis le petit monde "bianconero". Il a assuré la transition en douceur du système Conte (défense à trois) au sein (défense à quatre), et a réussi le doublé, en attendant peut-être mieux, avec la finale de Ligue des champions contre Barcelone.
Toni, le Roger Milla blanc
L'increvable Luca Toni a terminé meilleur buteur de Serie A (22 buts) à 38 ans, l'âge du mythique camerounais au Mondial-1990 (4 buts), neuf ans après un premier titre remporté avec la Fiorentina (31 buts en 2005-2006).
Le capitaine du Hellas Vérone a fait mieux que Carlos Tevez (Juventus, 20 buts), pourtant auteur d'une des plus belles saisons de sa carrière, mais doit partager le titre de "capocannoniere" avec le jeune loup Mauro Icardi (Inter Milan).
Les clubs Romains
La géopolitique du Calcio a un peu changé cette saison, où les clubs romains terminent 2e et 3e. La Ville Éternelle aura peut-être deux clubs en Ligue des champions, si la Lazio passe le tour préliminaire, comme Londres, Manchester ou Madrid, et Milan autrefois.
La Roma de Garcia termine pour la seconde fois d'affilée deuxième, consolidant sa montée en puissance de l'ère américaine. La Lazio a réussi une saison magnifique, grâce au jeu prôné par Stefano Pioli. Elle peut espérer garder ses stars, Felipe Anderson ou Antonio Candreva.
FLOPS
Les clubs milanais
Milan, la ville aux dix Ligue des champions, ne verra pas l'Europe la saison prochaine. Le déclin des deux géants lombards est spectaculaire.
A l'Inter Milan (8e), le retour de Roberto Mancini en cours de saison n'a pas redressé la barre, en particulier à cause d'une défense trop fragile où Nemanja Vidic, sa recrue phare, n'a été que l'ombre du capitaine de Manchester United.
L'AC Milan va rater l'Europe pour la seconde saison consécutive, un véritable camouflet pour son propriétaire, Silvio Berlusconi, qui démarche des acheteurs en Asie pour son club. L'expérience Filippo Inzaghi sur le banc n'a pas marché, "Pippo" était décidément plus efficace devant le but...
Les dirigeants de Parme
Un déficit de 218 millions d'euros a coulé Parme, club vainqueur des trois coupes d'Europe, en quelques saison. Le président. Pénalisé de 7 points en tout, le club a fini dernier, mais ses joueurs et son entraîneur, Roberto Donadoni, ont eux fait preuve d'un état d'esprit sportif admirable.
Fifa.com (31/05/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Tevez, l'Apache en quête d'un nouveau scalp
"L'Apache" Carlos Tevez a retrouvé cette saison le sentier de la gloire, après s'être un peu égaré dans les plaines, et vise une deuxième Ligue des champions, avec la Juventus Turin cette fois, contre Barcelone.
"Je me battrai pour conquérir ma deuxième 'Champions'". Merveille d'engagement physique et mental, l'Argentin devrait tenir parole pour finir en apothéose cette saison du renouveau, samedi à Berlin.
Avec 50 buts tout rond en deux saisons, le mythique maillot numéro 10 sur les épaules, celui de Platini, Baggio ou Del Piero, Tevez est redevenu une idole et un joueur craint.
Vainqueur de la Copa Libertadores 2003 avec Boca Juniors, de la C1 2008 avec Manchester United, champion du monde des clubs ces deux années, il a une occasion en or de regarnir son palmarès continental, à 31 ans, après une période noire, de septembre 2011 à l'été 2013, quand il est arrivé à la Juve.
Tevez a failli être chassé de Manchester City pour un conflit avec Roberto Mancini, à la suite d'un refus d'entrer en jeu contre le Bayern Munich, le 27 septembre 2011.
Après une longue fâcherie, puis finalement des excuses, au bout de cinq mois, il a repris le cours de sa carrière, mais dans l'ombre de Kun Agüero, la nouvelle star de City.
Cet épisode boudeur a terni sa réputation, mais Tevez a patiemment fourbi ses armes, et repris son vol à la Juve. Après une première saison réussie (19 buts en Serie A), il a retrouvé tout son talent lors de l'exercice actuel.
Mauvaise réputation
"Tevez a fait une saison extraordinaire", a répété son entraîneur, Massimiliano Allegri, avant la finale. Laissé entièrement libre par le nouveau technicien, l'Argentin s'est révélé décisif.
Il a même retrouvé l'équipe d'Argentine, dont il fut longtemps banni, et rêve de conquérir enfin cet été la Copa America, après deux finales perdues en 2004 et 2007.
Sur le terrain, l'ex-capitaine de City est redevenu un chef de tribu. "Carlos nous a fait faire un grand saut qualitatif quand il est arrivé", estime Claudio Marchisio.
Son coéquipier conteste la mauvaise réputation de l'enfant de "Fuerte Apache", surnom du quartier mal famé de son enfance, en réalité "Ejército de los Andes", l'Armée des Andes, tout un programme pour ce joueur si combatif.
"Il n'a jamais créé de problème, il s'est tout de suite mis à la disposition du groupe et il est devenu une référence pour l'équipe", ajoute Marchisio.
Il semble faire l'unanimité auprès de ses coéquipiers. Patrice Evra le place à la hauteur du capitaine. "Ce groupe est exceptionnel, composé de vrais hommes. Cet été, il m'est arrivé de parler avec Tevez ou (Gianluigi) Buffon, et j'ai senti en eux une détermination incroyable. J'ai admiré leur énorme personnalité", dit le défenseur français.
Paul Pogba, un des passeur attitrés de L'Apache, décrit "un battant, il se donne toujours à fond, même à l'entraînement, et ne se relâche jamais, c'est sa force."
Depuis quelques semaines, l'Apache a un peu fléchi, cependant. Il n'a pas brillé à Madrid, contre le Real, et a même manqué un penalty samedi pour le dernier match de championnat, contre Vérone (2-2).
Mais Marchisio balaye le doute: "Carlos est un joueur fondamental, espérons qu'il le sera samedi". Ugh!
Fifa.com (02/06/2015)
"L'Apache" Carlos Tevez a retrouvé cette saison le sentier de la gloire, après s'être un peu égaré dans les plaines, et vise une deuxième Ligue des champions, avec la Juventus Turin cette fois, contre Barcelone.
"Je me battrai pour conquérir ma deuxième 'Champions'". Merveille d'engagement physique et mental, l'Argentin devrait tenir parole pour finir en apothéose cette saison du renouveau, samedi à Berlin.
Avec 50 buts tout rond en deux saisons, le mythique maillot numéro 10 sur les épaules, celui de Platini, Baggio ou Del Piero, Tevez est redevenu une idole et un joueur craint.
Vainqueur de la Copa Libertadores 2003 avec Boca Juniors, de la C1 2008 avec Manchester United, champion du monde des clubs ces deux années, il a une occasion en or de regarnir son palmarès continental, à 31 ans, après une période noire, de septembre 2011 à l'été 2013, quand il est arrivé à la Juve.
Tevez a failli être chassé de Manchester City pour un conflit avec Roberto Mancini, à la suite d'un refus d'entrer en jeu contre le Bayern Munich, le 27 septembre 2011.
Après une longue fâcherie, puis finalement des excuses, au bout de cinq mois, il a repris le cours de sa carrière, mais dans l'ombre de Kun Agüero, la nouvelle star de City.
Cet épisode boudeur a terni sa réputation, mais Tevez a patiemment fourbi ses armes, et repris son vol à la Juve. Après une première saison réussie (19 buts en Serie A), il a retrouvé tout son talent lors de l'exercice actuel.
Mauvaise réputation
"Tevez a fait une saison extraordinaire", a répété son entraîneur, Massimiliano Allegri, avant la finale. Laissé entièrement libre par le nouveau technicien, l'Argentin s'est révélé décisif.
Il a même retrouvé l'équipe d'Argentine, dont il fut longtemps banni, et rêve de conquérir enfin cet été la Copa America, après deux finales perdues en 2004 et 2007.
Sur le terrain, l'ex-capitaine de City est redevenu un chef de tribu. "Carlos nous a fait faire un grand saut qualitatif quand il est arrivé", estime Claudio Marchisio.
Son coéquipier conteste la mauvaise réputation de l'enfant de "Fuerte Apache", surnom du quartier mal famé de son enfance, en réalité "Ejército de los Andes", l'Armée des Andes, tout un programme pour ce joueur si combatif.
"Il n'a jamais créé de problème, il s'est tout de suite mis à la disposition du groupe et il est devenu une référence pour l'équipe", ajoute Marchisio.
Il semble faire l'unanimité auprès de ses coéquipiers. Patrice Evra le place à la hauteur du capitaine. "Ce groupe est exceptionnel, composé de vrais hommes. Cet été, il m'est arrivé de parler avec Tevez ou (Gianluigi) Buffon, et j'ai senti en eux une détermination incroyable. J'ai admiré leur énorme personnalité", dit le défenseur français.
Paul Pogba, un des passeur attitrés de L'Apache, décrit "un battant, il se donne toujours à fond, même à l'entraînement, et ne se relâche jamais, c'est sa force."
Depuis quelques semaines, l'Apache a un peu fléchi, cependant. Il n'a pas brillé à Madrid, contre le Real, et a même manqué un penalty samedi pour le dernier match de championnat, contre Vérone (2-2).
Mais Marchisio balaye le doute: "Carlos est un joueur fondamental, espérons qu'il le sera samedi". Ugh!
Fifa.com (02/06/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Dybala, de Palerme, à la Juventus
L'attaquant argentin Paolo Dybala a signé pour cinq ans à la Juventus, qui a payé 32 millions d'euros à Palerme pour ce transfert, a annoncé jeudi le club turinois.
La Juve pourra payer jusqu'à 8 M EUR de bonus en fonction d'objectifs fixés dans le contrat, a précisé le club.
Dybala est une des révélations de la saison italienne. Âgé de 21 ans, il a marqué 13 buts pour les Rose et Noir cette saison en Championnat d'Italie. Il était arrivé en 2012 en Sicile en provenance du club argentin Instituto Cordoba.
Dybala est le premier renfort de la Juventus, qui s'arrête à disputer la finale de la Ligue des champions contre Barcelone, samedi à Berlin. Le milieu allemand Sami Khedira (Real Madrid) devrait suivre.
Fifa.com (04/06/2015)
L'attaquant argentin Paolo Dybala a signé pour cinq ans à la Juventus, qui a payé 32 millions d'euros à Palerme pour ce transfert, a annoncé jeudi le club turinois.
La Juve pourra payer jusqu'à 8 M EUR de bonus en fonction d'objectifs fixés dans le contrat, a précisé le club.
Dybala est une des révélations de la saison italienne. Âgé de 21 ans, il a marqué 13 buts pour les Rose et Noir cette saison en Championnat d'Italie. Il était arrivé en 2012 en Sicile en provenance du club argentin Instituto Cordoba.
Dybala est le premier renfort de la Juventus, qui s'arrête à disputer la finale de la Ligue des champions contre Barcelone, samedi à Berlin. Le milieu allemand Sami Khedira (Real Madrid) devrait suivre.
Fifa.com (04/06/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Naples - Sarri sur le point de remplacer Benitez
Maurizio Sarri, l'ex-entraîneur d'Empoli, devrait remplacer sur le banc de Naples Rafael Benitez, parti prendre les commandes du Real Madrid, rapporte lundi la presse spécialisée.
Les négociations lundi entre le président du club italien, Aurelio de Laurentiis, et Sarri auraient débouché sur un accord et l'entraîneur de 56 ans devrait "signer son contrat mardi", selon Sky Sport.
Les médias ajoutent que Sarri s'engagerait avec le Napoli pour un an, avec une année supplémentaire en option si les objectifs du club sont remplis, et toucherait 1,5 million d'euros par saison, soit cinq fois le salaire dont il bénéficiait à Empoli.
Naples, qui a terminé cinquième du Championnat d'Italie, est qualifié pour la prochaine Europa League alors que le sort de son attaquant vedette, l'Argentin Gonzalo Higuain (16 buts en Serie A cette saison) est encore incertain, certaines rumeurs l'envoyant vers l'Angleterre.
Avec Empoli, qu'il avait conduit jusqu'en Serie A en 2014, Sarri, réputé pour son sens tactique, a achevé la saison au 15e rang, huit longueurs devant le premier relégué. Mais le club toscan s'est distingué à plusieurs occasions, notamment en battant la Lazio Rome (2-1) à domicile et en contraignant successivement au match nul Naples (2-2), la Fiorentina (1-1) et l'AS Rome (1-1), à l'extérieur.
Fifa.com (08/06/2015)
Maurizio Sarri, l'ex-entraîneur d'Empoli, devrait remplacer sur le banc de Naples Rafael Benitez, parti prendre les commandes du Real Madrid, rapporte lundi la presse spécialisée.
Les négociations lundi entre le président du club italien, Aurelio de Laurentiis, et Sarri auraient débouché sur un accord et l'entraîneur de 56 ans devrait "signer son contrat mardi", selon Sky Sport.
Les médias ajoutent que Sarri s'engagerait avec le Napoli pour un an, avec une année supplémentaire en option si les objectifs du club sont remplis, et toucherait 1,5 million d'euros par saison, soit cinq fois le salaire dont il bénéficiait à Empoli.
Naples, qui a terminé cinquième du Championnat d'Italie, est qualifié pour la prochaine Europa League alors que le sort de son attaquant vedette, l'Argentin Gonzalo Higuain (16 buts en Serie A cette saison) est encore incertain, certaines rumeurs l'envoyant vers l'Angleterre.
Avec Empoli, qu'il avait conduit jusqu'en Serie A en 2014, Sarri, réputé pour son sens tactique, a achevé la saison au 15e rang, huit longueurs devant le premier relégué. Mais le club toscan s'est distingué à plusieurs occasions, notamment en battant la Lazio Rome (2-1) à domicile et en contraignant successivement au match nul Naples (2-2), la Fiorentina (1-1) et l'AS Rome (1-1), à l'extérieur.
Fifa.com (08/06/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Khedira à la Juventus Turin pour quatre saisons
Le milieu international allemand Sami Khedira s'est engagé pour quatre saisons, jusqu'en juin 2019, avec la Juventus Turin, a annoncé mardi le club italien.
"Sami Khedira portera le maillot "bianconero" pour les quatre prochaines saisons. La Juventus a trouvé un accord avec le joueur qui le liera au club du 1er juillet 2015 jusqu'au 30 juin 2019", écrit la Juve, championne d'Italie et finaliste malheureuse de la Ligue des champions samedi (battue 3-1 par le FC Barcelone), sur son site internet.
Khedira, âgé de 28 ans, sacré champion du monde l'été dernier au Brésil, arrive en Italie en provenance du Real Madrid, où il évoluait depuis l'été 2010. Avec le club madrilène, il a remporté la Ligue des champions (2014), le Championnat d'Espagne (2012), la Coupe du Roi (2011 et 2014), la Supercoupe d'Europe (2014), la Supercoupe d'Espagne (2012) et le Mondial des clubs (2014).
Fifa.com (09/06/2015)
Le milieu international allemand Sami Khedira s'est engagé pour quatre saisons, jusqu'en juin 2019, avec la Juventus Turin, a annoncé mardi le club italien.
"Sami Khedira portera le maillot "bianconero" pour les quatre prochaines saisons. La Juventus a trouvé un accord avec le joueur qui le liera au club du 1er juillet 2015 jusqu'au 30 juin 2019", écrit la Juve, championne d'Italie et finaliste malheureuse de la Ligue des champions samedi (battue 3-1 par le FC Barcelone), sur son site internet.
Khedira, âgé de 28 ans, sacré champion du monde l'été dernier au Brésil, arrive en Italie en provenance du Real Madrid, où il évoluait depuis l'été 2010. Avec le club madrilène, il a remporté la Ligue des champions (2014), le Championnat d'Espagne (2012), la Coupe du Roi (2011 et 2014), la Supercoupe d'Europe (2014), la Supercoupe d'Espagne (2012) et le Mondial des clubs (2014).
Fifa.com (09/06/2015)
Re: Saison italienne, 2014 - 2015
Sarri successeur de Benitez à Naples
L'entraîneur Maurizio Sarri quitte Empoli pour Naples, où il succède à Rafael Benitez parti au Real Madrid, a annoncé jeudi soir le club napolitain qui a terminé 5e du dernier championnat d'Italie.
Sarri, 56 ans, s'est fait une réputation de beau jeu en Italie après avoir conduit Empoli (2012-2015) de la Serie B au maintien en Serie A avec peu de moyens.
Le nouveau technicien arrive avec son encadrement technique, composé de quatre personnes, et pourrait être rejoint par le nouveau milieu international italien Mirko Valdifiori, son joueur de base à Empoli, selon la presse italienne.
Naples a échoué à se qualifier pour les barrages de la prochaine Ligue des champions.
Fifa.com (11/06/2015)
L'entraîneur Maurizio Sarri quitte Empoli pour Naples, où il succède à Rafael Benitez parti au Real Madrid, a annoncé jeudi soir le club napolitain qui a terminé 5e du dernier championnat d'Italie.
Sarri, 56 ans, s'est fait une réputation de beau jeu en Italie après avoir conduit Empoli (2012-2015) de la Serie B au maintien en Serie A avec peu de moyens.
Le nouveau technicien arrive avec son encadrement technique, composé de quatre personnes, et pourrait être rejoint par le nouveau milieu international italien Mirko Valdifiori, son joueur de base à Empoli, selon la presse italienne.
Naples a échoué à se qualifier pour les barrages de la prochaine Ligue des champions.
Fifa.com (11/06/2015)
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