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Re: International -News
par adsm Lun 19 Avr - 12:37
Ribéry parmi les témoins entendus
Franck Ribéry fait partie des deux joueurs interrogés par la police dans l'affaire de proxénétisme sur mineure, a reconnu son avocate. Et le conseil de Sidney Govou a cherché à dédouaner le milieu lyonnais.
Les enquêteurs s'intéressent surtout à une connaissance de Ribéry, a fait savoir son avocate, dimanche.(EQ)
C'est le premier nom cité dans l'affaire des internationaux entendus par la police dans le cadre d'une affaire de proxénétisme. Franck Ribéry a bien fait partie des personnes interrogées par les autorités, a indiqué son avocate dimanche, tout en réfutant que le joueur du Bayern puisse faire l'objet de la moindre charge. «Il a été entendu dans la semaine comme témoin. Pour nous, l'affaire s'arrête là», a dit Me Sophie Bottai, jointe par téléphone par la radio RMC. Franck Ribéry aurait été entendu pour s'expliquer sur ses relations avec une de ses connaissances, proche d'un animateur d'un réseau d'escort girls, selon son conseil. «C'est uniquement en raison de cette relation» qu'il a été convoqué par les services de police, a-t-elle assuré à RMC.
«CETTE AFFAIRE NE CONCERNE PAS FRANCK RIBÉRY ET NE POURRAIT, DANS LE PIRE DES CAS, QUE RELEVER DE LA SEULE SPHÈRE PRIVÉE DE MON CLIENT ET N'APPELLE AINSI AUCUN AUTRE COMMENTAIRE.»
Deux joueurs de l'équipe de France de football ont récemment entendus comme témoins par les enquêteurs, sur commission rogatoire d'un juge d'instruction parisien. Un ou deux autres pourraient l'être bientôt. L'enquête porte sur une boîte de nuit parisienne, soupçonnée par la police d'employer des prostituées, établissement dans lequel plusieurs joueurs de l'équipe de France auraient leurs habitudes. L'un de ces joueurs, selon des informations parues dimanche dans L'Equipe, aurait reconnu devant les enquêteurs avoir eu une relation suivie avec une prostituée, sans savoir qu'elle était mineure au début de cette relation. «Cette affaire ne concerne pas Franck Ribéry et ne pourrait, dans le pire des cas, que relever de la seule sphère privée de mon client et n'appelle ainsi aucun autre commentaire», a déclaré Me Bottai à RMC.
Par ailleurs, l'avocat de Sidney Govou, sans nier formellement que le joueur lyonnais ait pu être entendu comme témoin, a souligné que le joueur n'avait aucun rapport, lointain ou étroit, avec la moindre affaire de proxénétisme lié à cette enquête. «Mon client tient à affirmer qu'il n'est lié ni de près ni de loin à quelconque réseau de proxénétisme. Sidney Govou n'a notamment jamais mis les pieds au fameux Café Zaman à Paris. Pour le reste, l'ampleur que prend cette affaire le blesse profondément parce qu'elle affecte ses proches et altère son honneur. Il ne fera aucun commentaire sur cette histoire», dit un communiqué transmis par l'AFP.
L'equipe.fr
Franck Ribéry fait partie des deux joueurs interrogés par la police dans l'affaire de proxénétisme sur mineure, a reconnu son avocate. Et le conseil de Sidney Govou a cherché à dédouaner le milieu lyonnais.
Les enquêteurs s'intéressent surtout à une connaissance de Ribéry, a fait savoir son avocate, dimanche.(EQ)
C'est le premier nom cité dans l'affaire des internationaux entendus par la police dans le cadre d'une affaire de proxénétisme. Franck Ribéry a bien fait partie des personnes interrogées par les autorités, a indiqué son avocate dimanche, tout en réfutant que le joueur du Bayern puisse faire l'objet de la moindre charge. «Il a été entendu dans la semaine comme témoin. Pour nous, l'affaire s'arrête là», a dit Me Sophie Bottai, jointe par téléphone par la radio RMC. Franck Ribéry aurait été entendu pour s'expliquer sur ses relations avec une de ses connaissances, proche d'un animateur d'un réseau d'escort girls, selon son conseil. «C'est uniquement en raison de cette relation» qu'il a été convoqué par les services de police, a-t-elle assuré à RMC.
«CETTE AFFAIRE NE CONCERNE PAS FRANCK RIBÉRY ET NE POURRAIT, DANS LE PIRE DES CAS, QUE RELEVER DE LA SEULE SPHÈRE PRIVÉE DE MON CLIENT ET N'APPELLE AINSI AUCUN AUTRE COMMENTAIRE.»
Deux joueurs de l'équipe de France de football ont récemment entendus comme témoins par les enquêteurs, sur commission rogatoire d'un juge d'instruction parisien. Un ou deux autres pourraient l'être bientôt. L'enquête porte sur une boîte de nuit parisienne, soupçonnée par la police d'employer des prostituées, établissement dans lequel plusieurs joueurs de l'équipe de France auraient leurs habitudes. L'un de ces joueurs, selon des informations parues dimanche dans L'Equipe, aurait reconnu devant les enquêteurs avoir eu une relation suivie avec une prostituée, sans savoir qu'elle était mineure au début de cette relation. «Cette affaire ne concerne pas Franck Ribéry et ne pourrait, dans le pire des cas, que relever de la seule sphère privée de mon client et n'appelle ainsi aucun autre commentaire», a déclaré Me Bottai à RMC.
Par ailleurs, l'avocat de Sidney Govou, sans nier formellement que le joueur lyonnais ait pu être entendu comme témoin, a souligné que le joueur n'avait aucun rapport, lointain ou étroit, avec la moindre affaire de proxénétisme lié à cette enquête. «Mon client tient à affirmer qu'il n'est lié ni de près ni de loin à quelconque réseau de proxénétisme. Sidney Govou n'a notamment jamais mis les pieds au fameux Café Zaman à Paris. Pour le reste, l'ampleur que prend cette affaire le blesse profondément parce qu'elle affecte ses proches et altère son honneur. Il ne fera aucun commentaire sur cette histoire», dit un communiqué transmis par l'AFP.
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Re: International -News
par adsm Mer 28 Avr - 9:17
Le Réal Madrid voudrait s’attacher les services de Patrice Evra, latéral gauche de Manchester-United, selon l’hebdomadaire France-Football.
Bien que le club de la capitale espagnole ait acheté Christiano Ronaldo à Manchester lors du mercato d’été 2009 pour une somme de 94 millions d’euros. Florentino Perez président du Réal, aime beaucoup le club mancunien puisqu’il aimerait s’attacher les services de Wayne Rooney et donc maintenant de Patrice Evra.
Evra étant sous contrat jusqu’en juin 2013 chez les red devils, on doute cependant qu’Alex Ferguson, laisse partir le Français, qui est l’un des joueurs, que le manager Écossais, utilise le plus.
Son prix estimé aux alentours des 20 millions d’euros, ne va sûrement pas être un frein pour le club merengue. Mais Manchester ne pourra pas se permettre de vendre Rooney et en plus Evra. Du côté Anglais on pense même qu’aucun de ces deux joueurs ne partent dès cet été
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Re: International -News
par rachid_as Jeu 7 Oct - 14:55
Italie : Les nouvelles têtes de Prandelli
De Leonardo Bonucci, en train de s'installer en défense centrale, à Antonio Cassano, intronisé patron du jeu par le sélectionneur Cesare Prandelli, l'Italie s'en remet à de nouveaux talents pour sa renaissance et sa qualification à l'Euro-2012, après le bide du Mondial-2010.
"Je ne vois pas encore de jeunes avec un potentiel de stars". D'entrée, avant le déplacement en Irlande du Nord, vendredi (18h45 GMT), Prandelli a douché les enthousiasmes. L'Italie ne tient pas encore une génération potentiellement championne du monde (d'Europe, en l'occurence).
La défense, aux trois-quarts à rebâtir autour de Giorgio Chiellini (35 sélections), offre le plus de champ aux jeunes pousses.
Le plus en vue des Azzurri frais reste Leonardo Bonucci (5 sél.), qui forme désormais la charnière avec Chiellini, comme à la Juventus. Sûr, sobre et solide, il a joué les 270 minutes complètes sous le nouveau sélectionneur. Et même marqué le but de la victoire à Tallinn contre l'Estonie (2-1).
Bonucci était en Afrique du Sud, mais il n'a pas joué. A 23 ans, il s'impose comme le second de Chiellini, monté en grade après l'ère Fabio Cannavaro. Et ils pourront peaufiner leurs automatismes - cruciaux en charnière - en club.
Sur les côtés, le Parmesan Luca Antonelli (23 ans, 2 sél.) semblait avoir pris une longueur d'avance à gauche, mais il a déclaré forfait pour les matches contre l'Irlande du Nord et la Serbie (mardi) en raison d'une blessure à un orteil. L'arrière du Genoa Domenico Criscito (23 ans, 10 sél.), titulaire au Mondial, pourrait avoir une nouvelle chance.
Attaque: le tour de Borriello?
Le Palermitain Mattia Cassani (27 ans, 4 sél.) a joué deux matches sur trois avec Prandelli. Il pourrait profiter de l'absence de Lorenzo De Silvestri (1 sél.), laissé à la disposition des Espoirs (et donc pas jugé indispensable), pour s'arrimer couloir droit.
Au milieu et en attaque, aucun nouveau n'a encore tiré son épingle du jeu. Prandelli n'a pas touché à son milieu à trois Daniele De Rossi-Andrea Pirlo-Riccardo Montolivo, même si l'absence du dernier, blessé à une cheville, offre une chance à un nouveau de se montrer.
En attaque, Prandelli a un peu tout essayé, mais seul 'FantAntonio' Cassano (18 sél. depuis... 2003) a joué toutes les rencontres, et marqué un but à chacun des deux matches de qualification à l'Euro.
Après une longue histoire d'amour contrariée avec la Nazionale (carton rouge à l'Euro-2004, absent aux Mondiaux 2006 et 2010), il est à 28 ans l'étoile de l'équipe d'Italie. Il n'est pas un débutant, mais un nouveau.
Giuseppe Rossi (23 ans/16 sél.), de Villarreal, vu en Afrique du Sud, et Giampaolo Pazzini (26 ans/11 sél.), de la Sampdoria, ont chacun joué un match et demi, mais sans vraiment convaincre. A Belfast, ce pourrait être le tour du Romain Marco Borriello (28 ans), encore jamais buteur en cinq sélections.
Reste enfin le cas du gardien. Gianluigi Buffon est intouchable, mais blessé jusqu'en décembre, et son remplaçant, Federico Marchetti, aussi. En leur absence, Salvatore Sirigu (Palerme) a joué deux matches, et Emiliano Viviano (Bologne) un. Sirigu pourrait être reconduit à Belfast.
Fifa.Com (07/10/2010)
De Leonardo Bonucci, en train de s'installer en défense centrale, à Antonio Cassano, intronisé patron du jeu par le sélectionneur Cesare Prandelli, l'Italie s'en remet à de nouveaux talents pour sa renaissance et sa qualification à l'Euro-2012, après le bide du Mondial-2010.
"Je ne vois pas encore de jeunes avec un potentiel de stars". D'entrée, avant le déplacement en Irlande du Nord, vendredi (18h45 GMT), Prandelli a douché les enthousiasmes. L'Italie ne tient pas encore une génération potentiellement championne du monde (d'Europe, en l'occurence).
La défense, aux trois-quarts à rebâtir autour de Giorgio Chiellini (35 sélections), offre le plus de champ aux jeunes pousses.
Le plus en vue des Azzurri frais reste Leonardo Bonucci (5 sél.), qui forme désormais la charnière avec Chiellini, comme à la Juventus. Sûr, sobre et solide, il a joué les 270 minutes complètes sous le nouveau sélectionneur. Et même marqué le but de la victoire à Tallinn contre l'Estonie (2-1).
Bonucci était en Afrique du Sud, mais il n'a pas joué. A 23 ans, il s'impose comme le second de Chiellini, monté en grade après l'ère Fabio Cannavaro. Et ils pourront peaufiner leurs automatismes - cruciaux en charnière - en club.
Sur les côtés, le Parmesan Luca Antonelli (23 ans, 2 sél.) semblait avoir pris une longueur d'avance à gauche, mais il a déclaré forfait pour les matches contre l'Irlande du Nord et la Serbie (mardi) en raison d'une blessure à un orteil. L'arrière du Genoa Domenico Criscito (23 ans, 10 sél.), titulaire au Mondial, pourrait avoir une nouvelle chance.
Attaque: le tour de Borriello?
Le Palermitain Mattia Cassani (27 ans, 4 sél.) a joué deux matches sur trois avec Prandelli. Il pourrait profiter de l'absence de Lorenzo De Silvestri (1 sél.), laissé à la disposition des Espoirs (et donc pas jugé indispensable), pour s'arrimer couloir droit.
Au milieu et en attaque, aucun nouveau n'a encore tiré son épingle du jeu. Prandelli n'a pas touché à son milieu à trois Daniele De Rossi-Andrea Pirlo-Riccardo Montolivo, même si l'absence du dernier, blessé à une cheville, offre une chance à un nouveau de se montrer.
En attaque, Prandelli a un peu tout essayé, mais seul 'FantAntonio' Cassano (18 sél. depuis... 2003) a joué toutes les rencontres, et marqué un but à chacun des deux matches de qualification à l'Euro.
Après une longue histoire d'amour contrariée avec la Nazionale (carton rouge à l'Euro-2004, absent aux Mondiaux 2006 et 2010), il est à 28 ans l'étoile de l'équipe d'Italie. Il n'est pas un débutant, mais un nouveau.
Giuseppe Rossi (23 ans/16 sél.), de Villarreal, vu en Afrique du Sud, et Giampaolo Pazzini (26 ans/11 sél.), de la Sampdoria, ont chacun joué un match et demi, mais sans vraiment convaincre. A Belfast, ce pourrait être le tour du Romain Marco Borriello (28 ans), encore jamais buteur en cinq sélections.
Reste enfin le cas du gardien. Gianluigi Buffon est intouchable, mais blessé jusqu'en décembre, et son remplaçant, Federico Marchetti, aussi. En leur absence, Salvatore Sirigu (Palerme) a joué deux matches, et Emiliano Viviano (Bologne) un. Sirigu pourrait être reconduit à Belfast.
Fifa.Com (07/10/2010)
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Re: International -News
par rachid_as Dim 10 Oct - 14:16
Les Etats-Unis et la Pologne font match nul
Les Etats-Unis et la Pologne ont fait match nul 2 à 2 (mi-temps: 1-1) en match amical de football, samedi devant 31.696 spectateurs au Soldier Field de Chicago (nord-est).
Le score a été ouvert par l'Américain Jozy Altidore (13e) après une passe décisive de Jermaine Jones, le milieu de terrain germano-américain de Schalke 04 qui faisait là ses grands débuts en équipe des Etats-Unis après avoir enregistré trois sélections en matches amicaux pour l'Allemagne en 2008-2009.
Adam Matuszczyk a égalisé avant la pause pour la Pologne (30e), soutenue par des milliers de supporteurs dans une ville connue pour sa forte minorité d'origine polonaise. Le défenseur de l'AC Milan Oguchi Onyewu a ensuite permis aux Etats-Unis de repasser en tête (52e) avec un but sur corner.
L'attaquant du Borussia Dortmund Jakub Blaszczykowski a toutefois inscrit un dernier but pour la Pologne, à la 73e minute.
La Pologne affrontera mardi l'Equateur à Montréal alors que les Etats-Unis accueilleront dans le même temps la Colombie à Philadelphie.
Fifa.com (10/10/2010)
Les Etats-Unis et la Pologne ont fait match nul 2 à 2 (mi-temps: 1-1) en match amical de football, samedi devant 31.696 spectateurs au Soldier Field de Chicago (nord-est).
Le score a été ouvert par l'Américain Jozy Altidore (13e) après une passe décisive de Jermaine Jones, le milieu de terrain germano-américain de Schalke 04 qui faisait là ses grands débuts en équipe des Etats-Unis après avoir enregistré trois sélections en matches amicaux pour l'Allemagne en 2008-2009.
Adam Matuszczyk a égalisé avant la pause pour la Pologne (30e), soutenue par des milliers de supporteurs dans une ville connue pour sa forte minorité d'origine polonaise. Le défenseur de l'AC Milan Oguchi Onyewu a ensuite permis aux Etats-Unis de repasser en tête (52e) avec un but sur corner.
L'attaquant du Borussia Dortmund Jakub Blaszczykowski a toutefois inscrit un dernier but pour la Pologne, à la 73e minute.
La Pologne affrontera mardi l'Equateur à Montréal alors que les Etats-Unis accueilleront dans le même temps la Colombie à Philadelphie.
Fifa.com (10/10/2010)
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Re: International -News
par rachid_as Dim 10 Oct - 14:20
France : Blanc n'a toujours pas choisi son capitaine
Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc a déclaré dimanche qu'il prendrait une décision définitive concernant le brassard de capitaine, dévolu à Alou Diarra samedi contre la Roumanie (2-0), d'ici "la fin de la saison des éliminatoires" de l'Euro-2012.
"La décision de faire tourner le capitanat n'est pas farfelue mais a été mûrement réfléchie, pour voir qui peut assumer cette fonction, a indiqué Blanc. Mais on ne va pas faire tourner le capitanat entre 11 joueurs car il y en a qui n'en sont pas capables, qui ne le désirent pas et ça les mettrait en difficulté plus qu'autre chose. Le capitanat va tourner entre trois-quatre-cinq joueurs et après on prendra une décision à la fin de la saison des éliminatoires. On a le temps."
"Mais si d'ici là, quelqu'un se détache, on n'attendra pas, a-t-il ajouté. Pour l'instant, on constate, on analyse. C'est vrai qu'Alou (Diarra, ndlr) remplit très bien ce rôle mais je n'ai rien à reprocher ni à Philippe (Mexès, ndlr) ni à Flo (Malouda, ndlr) et ils seront aussi des candidats."
Face aux Roumains, Alou Diarra a hérité du brassard de capitaine pour la deuxième fois d'affilée. Lors des deux premiers matches de l'ère Blanc, Mexès puis Malouda avaient occupé cette fonction.
Dimanche, le milieu de terrain Abou Diaby a lui estimé qu'Alou Diarra était "le capitaine légitime, il remplit parfaitement ce rôle".
Fifa.com (10/10/2010)
Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc a déclaré dimanche qu'il prendrait une décision définitive concernant le brassard de capitaine, dévolu à Alou Diarra samedi contre la Roumanie (2-0), d'ici "la fin de la saison des éliminatoires" de l'Euro-2012.
"La décision de faire tourner le capitanat n'est pas farfelue mais a été mûrement réfléchie, pour voir qui peut assumer cette fonction, a indiqué Blanc. Mais on ne va pas faire tourner le capitanat entre 11 joueurs car il y en a qui n'en sont pas capables, qui ne le désirent pas et ça les mettrait en difficulté plus qu'autre chose. Le capitanat va tourner entre trois-quatre-cinq joueurs et après on prendra une décision à la fin de la saison des éliminatoires. On a le temps."
"Mais si d'ici là, quelqu'un se détache, on n'attendra pas, a-t-il ajouté. Pour l'instant, on constate, on analyse. C'est vrai qu'Alou (Diarra, ndlr) remplit très bien ce rôle mais je n'ai rien à reprocher ni à Philippe (Mexès, ndlr) ni à Flo (Malouda, ndlr) et ils seront aussi des candidats."
Face aux Roumains, Alou Diarra a hérité du brassard de capitaine pour la deuxième fois d'affilée. Lors des deux premiers matches de l'ère Blanc, Mexès puis Malouda avaient occupé cette fonction.
Dimanche, le milieu de terrain Abou Diaby a lui estimé qu'Alou Diarra était "le capitaine légitime, il remplit parfaitement ce rôle".
Fifa.com (10/10/2010)
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Re: International -News
par rachid_as Dim 10 Oct - 14:23
France, Diaby : "C'est une nouvelle ère qui commence"
Le milieu de l'équipe de France Abou Diaby, remis de sa blessure à la cheville droite et apte physiquement pour affronter le Luxembourg, mardi, a estimé dimanche qu'une "nouvelle ère" débutait chez les Bleus, matérialisée par le succès acquis face à la Roumanie (2-0), samedi.
Comment allez-vous physiquement et pourquoi vous êtes-vous retrouvé en tribunes face aux Roumains?
C'était court, j'avais reçu un gros choc (en championnat d'Angleterre, le 3 octobre, ndlr). J'avais peur de m'être luxé au ligament. Mais mardi, je peux jouer.
Comment avez-vous trouvé le match face aux Roumains?
Le début était frustrant, on jouait contre une équipe qui jouait bas sans volonté d'aller vers l'avant. C'était donc dur de faire des décalages. Mais le premier but a été une libération.
Comment vivez-vous la forte concurrence au milieu de terrain chez les Bleus?
Cela fait partie du jeu, on est là pour ça. C'est bien pour le groupe qu'il y ait plusieurs joueurs, cela permet de hausser notre niveau et notre rendement.
Le fait que les buts soient venus du banc de touche peut-il aider à souder le groupe?
Il faut pouvoir compter sur tout le monde. C'est bien pour nous et notre confiance.
Le public a semblé aussi très enthousiaste...
On a senti que les gens étaient contents de voir l'équipe de France gagner. C'est super important de donner ce bonheur-là, il faut redorer l'image de l'équipe de France à tous les niveaux, sur et en dehors du terrain. Depuis les tribunes, ça faisait chaud au coeur. On a tourné la page. C'est une nouvelle ère qui commence et j'espère qu'elle sera remplie de succès.
Qu'est-ce qui a changé au sein de l'équipe depuis le Mondial?
Par rapport à la Coupe du monde, il y a beaucoup de choses qui ont changé. Il y a de jeunes joueurs bourrés de talents. Tout le monde vit bien ensemble et le coach nous aide à nous libérer. La philosophie et la mentalité sont les mêmes qu'à Arsenal. Tout est basé sur la maîtrise du ballon. Il y a beaucoup de jeu, on prend beaucoup de plaisir aux entraînements.
Comment abordez-vous le match de mardi contre le Luxembourg?
Ils vont nous attendre derrière et ils ne vont pas se livrer. Ce sera le même problème que contre la Roumanie. J'espère qu'on va vite marquer le premier but pour se libérer. Ce n'est pas facile de jouer contre des équipes qui nous attendent. On a un peu de mal à se trouver. Il faut mieux maîtriser notre jeu pour se retrouver devant le but plus facilement.
Fifa.com (10/10/2010)
Le milieu de l'équipe de France Abou Diaby, remis de sa blessure à la cheville droite et apte physiquement pour affronter le Luxembourg, mardi, a estimé dimanche qu'une "nouvelle ère" débutait chez les Bleus, matérialisée par le succès acquis face à la Roumanie (2-0), samedi.
Comment allez-vous physiquement et pourquoi vous êtes-vous retrouvé en tribunes face aux Roumains?
C'était court, j'avais reçu un gros choc (en championnat d'Angleterre, le 3 octobre, ndlr). J'avais peur de m'être luxé au ligament. Mais mardi, je peux jouer.
Comment avez-vous trouvé le match face aux Roumains?
Le début était frustrant, on jouait contre une équipe qui jouait bas sans volonté d'aller vers l'avant. C'était donc dur de faire des décalages. Mais le premier but a été une libération.
Comment vivez-vous la forte concurrence au milieu de terrain chez les Bleus?
Cela fait partie du jeu, on est là pour ça. C'est bien pour le groupe qu'il y ait plusieurs joueurs, cela permet de hausser notre niveau et notre rendement.
Le fait que les buts soient venus du banc de touche peut-il aider à souder le groupe?
Il faut pouvoir compter sur tout le monde. C'est bien pour nous et notre confiance.
Le public a semblé aussi très enthousiaste...
On a senti que les gens étaient contents de voir l'équipe de France gagner. C'est super important de donner ce bonheur-là, il faut redorer l'image de l'équipe de France à tous les niveaux, sur et en dehors du terrain. Depuis les tribunes, ça faisait chaud au coeur. On a tourné la page. C'est une nouvelle ère qui commence et j'espère qu'elle sera remplie de succès.
Qu'est-ce qui a changé au sein de l'équipe depuis le Mondial?
Par rapport à la Coupe du monde, il y a beaucoup de choses qui ont changé. Il y a de jeunes joueurs bourrés de talents. Tout le monde vit bien ensemble et le coach nous aide à nous libérer. La philosophie et la mentalité sont les mêmes qu'à Arsenal. Tout est basé sur la maîtrise du ballon. Il y a beaucoup de jeu, on prend beaucoup de plaisir aux entraînements.
Comment abordez-vous le match de mardi contre le Luxembourg?
Ils vont nous attendre derrière et ils ne vont pas se livrer. Ce sera le même problème que contre la Roumanie. J'espère qu'on va vite marquer le premier but pour se libérer. Ce n'est pas facile de jouer contre des équipes qui nous attendent. On a un peu de mal à se trouver. Il faut mieux maîtriser notre jeu pour se retrouver devant le but plus facilement.
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Re: International -News
par adsm Mer 27 Oct - 16:20
Lors du match Napoli 1- 2 Milan Ac
Admirez ce but de Ezequiel Lavezzi(Napoli)
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Re: International -News
par adsm Mar 7 Déc - 19:18
Le Qatar en appui de sa candidature pour la CDM 2022 présente les conceptions pour les cinq premiers stades proposés.
Les stades dans la vidéo sont : Al-Wakrah, Al-Shamal, Al-Gharafa, Al-Khor et Al-Rayyan.
Les stades dans la vidéo sont : Al-Wakrah, Al-Shamal, Al-Gharafa, Al-Khor et Al-Rayyan.
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Re: International -News
par rachid_as Mer 5 Jan - 16:01
Blatter : "A Brésil 2014, les arbitres seront professionnels"
Le Président de la FIFA Joseph S. Blatter a accordé à FIFA.com un long entretien pour faire le bilan de 2010 et évoquer les objectifs de 2011 et plus loin encore. Dans une deuxième partie consacrée à l’avenir, il évoque le FIFA Ballon d’Or, la Coupe du Monde de la FIFA 2014, le football féminin, l’arbitrage, la task force Football 2014, entre autres choses.
L’année 2011 commence avec le FIFA Ballon d’Or, dont on connaît déjà les trois nominés : Andres Iniesta, Lionel Messi et Xavi. Que pensez-vous de ces trois joueurs ?
En année de Coupe du Monde, c’est très logique qu’il y ait deux nominés sur trois qui soient espagnols, le pays des champions du monde. Quant au troisième, l’Argentin Lionel Messi, personne ne peut nier que c’est un joueur d’exception. Parmi les trois entraîneurs nominés, il y a d’ailleurs également Vicente del Bosque, le sélectionneur de l’Espagne.
Et comment expliquez-vous l’absence des Brésiliens, en général grands pourvoyeurs de nominés ?
Dans les nominés pour le FIFA/FIFpro World XI, il y a tout de même des Brésiliens, mais surtout des défenseurs. Cela peut surprendre mais cela correspond à la manière de jouer du Brésil à la Coupe du Monde 2010, c’est à dire à l’européenne, en se basant sur une assise défensive conséquente : Julio César, Maicon, Lucio, Juan, Michel Bastos. Ce n’était pas le style brésilien.
En revanche, les trois nominés sont des petits gabarits. Qu’est-ce que cela vous inspire ?
Cela prouve que le football est ouvert à tous. Il n’y a pas besoin d’être très grand ou très fort pour bien jouer. C’est une réalité qui ne date pas d’aujourd’hui. Des attaquants comme Gerd Müller, Uwe Seeler, Diego Maradona ou Jean-Pierre Papin, étaient eux-aussi des petits gabarits !
Après 2010, on voit déjà poindre 2014…
Oui… La Coupe du Monde de la FIFA 2014 se déroulera au Brésil dans un peu plus de trois ans. Le tirage au sort préliminaire se tiendra déjà le 30 juillet prochain. Il reste beaucoup de travail en termes d’infrastructures, il ne faut donc pas perdre de temps.
Se rendre au Brésil, c’est un peu un retour au pays du football ?
Retourner en Amérique du Sud me réjouit. La dernière fois c’était en 1978, il y avait 16 équipes. Maintenant il y en a 32 et surtout, la Coupe du Monde a pris une toute autre envergure depuis. Mais la Coupe du Monde est un tel événement que, où que l’on aille, nos partenaires nous suivent, que ce soit la télévision ou le marketing.
Vous évoquiez le rôle social d’une Coupe du Monde. Quel pourrait-il être au Brésil ?
Au Brésil, nous pourrons laisser des infrastructures dans les provinces. Le Brésil est très concentré sur Rio et Sao Paulo. Pour la Coupe du Monde, nous allons vers le Nord et nous allons en Amazonie à Manaus. C’est un pays émergent de quelque 200 millions d’habitants, très multiracial, mais où il y a aussi de la pauvreté. L’héritage que la Coupe du Monde permettra sans doute d’améliorer cela également.
Mais avant Brésil 2014, l’année 2011 sera elle aussi chargée…
En 2011, il y a quatre compétitions de confédérations : la Gold Cup de la CONCACAF, la Coupe d’Asie au Qatar, la Copa América en Amérique du Sud, le CHAN en Afrique. Et il y a cinq rendez-vous mondiaux de la FIFA : la Coupe du Monde féminine, le U-17 masculin, l'U-20 masculin, le Beach Soccer et la Coupe du Monde des Clubs. Nous allons encore voir beaucoup de bon football cette année !
La Coupe du Monde Féminine sera un grand événement. Qu’en attendez-vous ?
C’est important de jouer au milieu de l’Europe, dans un pays où le football féminin est fort. Le football féminin a du mal à être accepté par la sphère économique, les gens n’y croient pas. L’Allemagne peut changer cela en organisant bien l’épreuve mais surtout en assurant des stades pleins. Le match d’ouverture à Berlin devrait déjà compter 50 000 spectateurs, c’est une belle réussite.
Pourquoi selon vous, dans certains pays, le football féminin a du mal à décoller ?
Il y a un grand engouement chez les jeunes filles pour le football. C’est un sport que tout le monde peut pratiquer. Mais à partir d’un certain âge ou d’un certain niveau, il n’y a pas ou peu de ligues professionnelles, du coup les femmes ont du mal à vivre de leur sport. Pourtant techniquement, le sport a beaucoup évolué. La finale de l’U-17 en 2010 entre le Japon et la République de Corée était de très bon niveau, par exemple.
Hormis les compétitions de la FIFA, d’autres grands thèmes seront abordés dès 2011. La création d’une "task force football 2014" a été évoquée. Quel sera son rôle ?
La task force a pour but de faire le bilan sur l’organisation du jeu et des compétitions. Je vous donne quelques exemples : on donne trois points par victoire, un point pour un nul. On peut se poser la question de savoir si c’est une bonne chose, on peut en discuter. La prolongation, est-ce le seul moyen en cas de nul ? Et s’il y a une prolongation, comment terminer le match ? Est-ce que le but en or est une option à réétudier ? Certains l’ont aimé, pas d’autres. Il y a beaucoup d’aspects des compétitions qui peuvent être discutés.
Quels autres thèmes pourraient être discutés ?
L’autre grande question est celle du calendrier. Selon moi, et Michel Platini est d’accord, les championnats des ligues sont trop longs car il y a trop d’équipes, trop de matches. Un championnat de 20 équipes, cela fait 38 matches, plus les Coupes nationales, Coupes de la ligue, etc. Il y a un conflit d’intérêts entre les équipes nationales et les clubs sur ce sujet. Certains se plaignent que les joueurs sont fatigués ou blessés. Ce n’est pas à cause du calendrier international… Bref, c’est une question qui mérite discussion.
Et pour l’arbitrage, qui a subi quelques critiques récemment, quelles sont selon vous les prochaines étapes ?
L’objectif est clair : en 2014 n’arbitreront en phase finale de la Coupe du Monde que des arbitres professionnels. C’est une obligation. Les entraîneurs sont professionnels, les joueurs sont professionnels, il n’y a pas de raison que les arbitres ne le soient pas. Et si certains disent qu’il n’y a pas assez d’argent pour les rémunérer, je répondrais qu’il y a assez d’argent dans les ligues professionnelles…
La question du calendrier international pour les jeunes est-elle aussi d’actualité ?
Je pense que le calendrier pour les compétitions de jeunes devrait s’aligner sur le calendrier international, c’est le même principe. Quant aux tournois olympiques, la décision est valable jusqu’en 2016 : ce seront des joueurs U-23 et trois joueurs plus âgés si les équipes le souhaitent. Ces joueurs de moins de 23 ans devraient être libérés par les clubs.
Fifa.com (05/01/2011)
Le Président de la FIFA Joseph S. Blatter a accordé à FIFA.com un long entretien pour faire le bilan de 2010 et évoquer les objectifs de 2011 et plus loin encore. Dans une deuxième partie consacrée à l’avenir, il évoque le FIFA Ballon d’Or, la Coupe du Monde de la FIFA 2014, le football féminin, l’arbitrage, la task force Football 2014, entre autres choses.
L’année 2011 commence avec le FIFA Ballon d’Or, dont on connaît déjà les trois nominés : Andres Iniesta, Lionel Messi et Xavi. Que pensez-vous de ces trois joueurs ?
En année de Coupe du Monde, c’est très logique qu’il y ait deux nominés sur trois qui soient espagnols, le pays des champions du monde. Quant au troisième, l’Argentin Lionel Messi, personne ne peut nier que c’est un joueur d’exception. Parmi les trois entraîneurs nominés, il y a d’ailleurs également Vicente del Bosque, le sélectionneur de l’Espagne.
Et comment expliquez-vous l’absence des Brésiliens, en général grands pourvoyeurs de nominés ?
Dans les nominés pour le FIFA/FIFpro World XI, il y a tout de même des Brésiliens, mais surtout des défenseurs. Cela peut surprendre mais cela correspond à la manière de jouer du Brésil à la Coupe du Monde 2010, c’est à dire à l’européenne, en se basant sur une assise défensive conséquente : Julio César, Maicon, Lucio, Juan, Michel Bastos. Ce n’était pas le style brésilien.
En revanche, les trois nominés sont des petits gabarits. Qu’est-ce que cela vous inspire ?
Cela prouve que le football est ouvert à tous. Il n’y a pas besoin d’être très grand ou très fort pour bien jouer. C’est une réalité qui ne date pas d’aujourd’hui. Des attaquants comme Gerd Müller, Uwe Seeler, Diego Maradona ou Jean-Pierre Papin, étaient eux-aussi des petits gabarits !
Après 2010, on voit déjà poindre 2014…
Oui… La Coupe du Monde de la FIFA 2014 se déroulera au Brésil dans un peu plus de trois ans. Le tirage au sort préliminaire se tiendra déjà le 30 juillet prochain. Il reste beaucoup de travail en termes d’infrastructures, il ne faut donc pas perdre de temps.
Se rendre au Brésil, c’est un peu un retour au pays du football ?
Retourner en Amérique du Sud me réjouit. La dernière fois c’était en 1978, il y avait 16 équipes. Maintenant il y en a 32 et surtout, la Coupe du Monde a pris une toute autre envergure depuis. Mais la Coupe du Monde est un tel événement que, où que l’on aille, nos partenaires nous suivent, que ce soit la télévision ou le marketing.
Vous évoquiez le rôle social d’une Coupe du Monde. Quel pourrait-il être au Brésil ?
Au Brésil, nous pourrons laisser des infrastructures dans les provinces. Le Brésil est très concentré sur Rio et Sao Paulo. Pour la Coupe du Monde, nous allons vers le Nord et nous allons en Amazonie à Manaus. C’est un pays émergent de quelque 200 millions d’habitants, très multiracial, mais où il y a aussi de la pauvreté. L’héritage que la Coupe du Monde permettra sans doute d’améliorer cela également.
Mais avant Brésil 2014, l’année 2011 sera elle aussi chargée…
En 2011, il y a quatre compétitions de confédérations : la Gold Cup de la CONCACAF, la Coupe d’Asie au Qatar, la Copa América en Amérique du Sud, le CHAN en Afrique. Et il y a cinq rendez-vous mondiaux de la FIFA : la Coupe du Monde féminine, le U-17 masculin, l'U-20 masculin, le Beach Soccer et la Coupe du Monde des Clubs. Nous allons encore voir beaucoup de bon football cette année !
La Coupe du Monde Féminine sera un grand événement. Qu’en attendez-vous ?
C’est important de jouer au milieu de l’Europe, dans un pays où le football féminin est fort. Le football féminin a du mal à être accepté par la sphère économique, les gens n’y croient pas. L’Allemagne peut changer cela en organisant bien l’épreuve mais surtout en assurant des stades pleins. Le match d’ouverture à Berlin devrait déjà compter 50 000 spectateurs, c’est une belle réussite.
Pourquoi selon vous, dans certains pays, le football féminin a du mal à décoller ?
Il y a un grand engouement chez les jeunes filles pour le football. C’est un sport que tout le monde peut pratiquer. Mais à partir d’un certain âge ou d’un certain niveau, il n’y a pas ou peu de ligues professionnelles, du coup les femmes ont du mal à vivre de leur sport. Pourtant techniquement, le sport a beaucoup évolué. La finale de l’U-17 en 2010 entre le Japon et la République de Corée était de très bon niveau, par exemple.
Hormis les compétitions de la FIFA, d’autres grands thèmes seront abordés dès 2011. La création d’une "task force football 2014" a été évoquée. Quel sera son rôle ?
La task force a pour but de faire le bilan sur l’organisation du jeu et des compétitions. Je vous donne quelques exemples : on donne trois points par victoire, un point pour un nul. On peut se poser la question de savoir si c’est une bonne chose, on peut en discuter. La prolongation, est-ce le seul moyen en cas de nul ? Et s’il y a une prolongation, comment terminer le match ? Est-ce que le but en or est une option à réétudier ? Certains l’ont aimé, pas d’autres. Il y a beaucoup d’aspects des compétitions qui peuvent être discutés.
Quels autres thèmes pourraient être discutés ?
L’autre grande question est celle du calendrier. Selon moi, et Michel Platini est d’accord, les championnats des ligues sont trop longs car il y a trop d’équipes, trop de matches. Un championnat de 20 équipes, cela fait 38 matches, plus les Coupes nationales, Coupes de la ligue, etc. Il y a un conflit d’intérêts entre les équipes nationales et les clubs sur ce sujet. Certains se plaignent que les joueurs sont fatigués ou blessés. Ce n’est pas à cause du calendrier international… Bref, c’est une question qui mérite discussion.
Et pour l’arbitrage, qui a subi quelques critiques récemment, quelles sont selon vous les prochaines étapes ?
L’objectif est clair : en 2014 n’arbitreront en phase finale de la Coupe du Monde que des arbitres professionnels. C’est une obligation. Les entraîneurs sont professionnels, les joueurs sont professionnels, il n’y a pas de raison que les arbitres ne le soient pas. Et si certains disent qu’il n’y a pas assez d’argent pour les rémunérer, je répondrais qu’il y a assez d’argent dans les ligues professionnelles…
La question du calendrier international pour les jeunes est-elle aussi d’actualité ?
Je pense que le calendrier pour les compétitions de jeunes devrait s’aligner sur le calendrier international, c’est le même principe. Quant aux tournois olympiques, la décision est valable jusqu’en 2016 : ce seront des joueurs U-23 et trois joueurs plus âgés si les équipes le souhaitent. Ces joueurs de moins de 23 ans devraient être libérés par les clubs.
Fifa.com (05/01/2011)
rachid_as- Admin
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Re: International -News
par rachid_as Lun 24 Jan - 11:01
Les leaders maintiennent le cap
Si la Ligue 1 a cédé la place à la Coupe de France le temps d'un week-end, toutes les grosses cylindrées étaient de sortie dans le reste de l'Europe. Dans l'ensemble, les candidats au titre ont habilement mené leur barque.
En Angleterre et en Espagne, les leaders se sont imposés. Seul le Borussia Dortmund a laissé échapper des points. Mais avec 13 longueurs d'avance sur son premier poursuivant, le plus large écart des grands championnats européens, le BVB peut se permettre de voir venir.
FIFA.com revient sur l'actualité des principales compétitions européennes.
Premier League : Arsenal reste au contact
A l'issue de la 22ème journée, Manchester United reste la seule équipe invaincue en Angleterre. Opposés à Birmingham, les Red Devils se sont même livrés à une véritable démonstration de force (5:0). Dans le même temps, Manchester City (3) a concédé une surprenante défaite (0:1) sur le terrain d'Aston Villa (16).
Grâce à son succès 3:0 sur Wigan, Arsenal se maintient à deux longueurs de l'invincible leader. Après trois matches sans victoire, Liverpool a retrouvé des couleurs en s'imposant 3:0 devant Wolverhampton. Les Reds profitent de leur deuxième succès de la saison en déplacement pour remonter à la 11ème place du classement. Enfin, le tenant du titre Chelsea (4) affrontera Bolton (9) lundi soir.
En haut : Manchester United (48 points), Arsenal (46), Manchester City (45)
En bas : Wigan (22), Wolverhampton, West Ham United (21)
Buteurs : Dimitar Berbatov (17 buts), Carlos Tevez (11) Andrew Carroll (10)
La stat : 3. Dimitar Berbatov a signé son troisième triplé de la saison. Le Gunner Robin van Persie a aussi fait parler la poudre ce week-end en frappant à trois reprises contre les Latics.
Bundesliga : Premier faux-pas du Borussia
Le champion d'automne s'attendait sans doute à disposer facilement d'une équipe du VfB Stuttgart en plein doute et solidement vissée à l'avant-dernière place du classement. Mais en concédant l'égalisation à six minutes du terme (1:1), le Borussia Dortmund a laissé échapper une victoire qui lui tendait les bras.
Le Bayer Leverkusen (2) se rapproche du BVB, à la faveur de son succès 3:1 sur le terrain de Mönchengladbach. De son côté, le Bayern Munich s'est rassuré en signant face à Kaiserslautern sa plus large victoire de la saison (5:1). Hambourg SV(6), vainqueur 1:0 de l'Eintracht Francfort, et Schalke 04 (10), qui s'est imposé 1:0 à Hanovre, poursuivent leur redressement. En revanche, la santé du Werder Brême reste fragile, comme le prouve la lourde défaite (0:3) concédée à Cologne.
En haut : Borussia Dortmund (47 points), Bayer Leverkusen (36), Hanovre (34)
En bas : St. Pauli (19), VfB Stuttgart (16), Borussia Mönchengladbach (13)
Buteurs : Papiss Cissé, Mario Gomez (15 buts), Theofanis Gekas (14)
La stat : 100. Au soir de la 19ème journée, le Borussia Dortmund vire en tête de la Bundesliga pour la 100ème fois de son histoire.
Serie A : Fortunes diverses pour les prétendants
Battus sur le même score (1:3) par Bologne et l'Udinese, la Lazio (4) et l'Inter Milan (5) voient le titre de champion d'Italie s'éloigner encore un peu. Tenue en échec (0:0) par la Sampdoria, la Juventus (6) laisse quant à elle passer l'occasion de remonter à la quatrième place.
Ces contre-performances font les affaires du trio de tête, qui prend le large. En disposant de Cesena 2:0, l'AC Milan conserve quatre points d'avance sur Naples, qui l'a emporté 2:0 à Bari. L'AS Rome reprend quant à elle la troisième place aux Biancocelesti, à la faveur d'un net succès 3:0 contre Cagliari.
En haut : AC Milan (44 points), Naples (40), AS Rome (38)
En bas : Cesena (19), Brescia (18), Bari (14)
Buteurs : Antonio di Natale (15 buts), Edinson Cavani (14), Marco di Vaio (13)
La stat : 6. Après six matches sans défaite, l'Inter Milan a concédé son premier revers depuis l'arrivée aux commandes de Leonardo.
La Liga : Real et Barça toujours au coude-à-coude
A en juger par les premiers résultats, la deuxième moitié de la saison devrait confirmer les tendances constatées depuis le début de l'exercice en cours. Face au Racing Santander, le FC Barcelone a signé sa 18ème victoire en 20 journées (3:0). Les Catalans conservent quatre points d'avance sur le Real Madrid, qui s'est imposé de justesse devant Majorque, grâce à Karim Benzema.
Le FC Valence (4) a lui aussi dû batailler ferme pour venir à bout de Malaga, pourtant avant-dernier du classement. En effet, il aura fallu attendre le temps additionnel pour voir les favoris prendre un avantage définitif au tableau d'affichage (4:3), par Aritz Aduriz. Vainqueur de la Real Sociedad 2:1, Villarreal se maintient en troisième position, à 13 points du Barça.
En haut : FC Barcelone (55 points), Real Madrid (51), Villarreal (42)
En bas : Almeria, Malaga (17), Levante (15)
Buteurs : Cristiano Ronaldo (22 buts), Lionel Messi (19), David Villa (14)
La stat : 14. Comme le nombre de matches de Liga remportés consécutivement par le FC Barcelone.
Ailleurs
En SüperLig de Turquie, Bursaspor a raté l'occasion de réduire l'écart qui le sépare du leader Trabzonspor. Le tenant du titre, qui n'a pas pu s'imposer devant Konyaspor (0:0), n'a pas profité du résultat nul (1:1) qui a sanctionné les débats entre le club de Trabzon et Ankaragücu. Fenerbahçe, vainqueur d'Antalyaspor (1:0), et Beşiktaş, qui a largement battu Bucaspor 5:1, pointent désormais en troisième et cinquième positions.
Grâce à sa petite victoire (1:0) sur le promu Beira-Mar, le FC Porto affiche toujours huit longueurs d'avance sur son premier poursuivant en Liga Sagres du Portugal. Malgré son succès 4:2 devant le Nacional Funchal, Benfica (2) en est aujourd'hui réduit à attendre un faux pas des Dragões pour revenir dans la course au titre.
En France, il n'était pas question de points ce week-end mais de qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe de France. Deux formations de l'élite ont été éliminées par des équipes issues de divisions inférieures. Brest a mordu la poussière contre Chambéry et Bordeaux s'est incliné face à Angers. En revanche, les autres pensionnaires de Ligue 1 ont réussi à faire respecter la hiérarchie. Rennes, le Paris Saint-Germain, Nancy, Lille, Lorient et Nice, qui a sorti Lyon, seront présents au tour suivant.
Fifa.com (24/01/2011)
Si la Ligue 1 a cédé la place à la Coupe de France le temps d'un week-end, toutes les grosses cylindrées étaient de sortie dans le reste de l'Europe. Dans l'ensemble, les candidats au titre ont habilement mené leur barque.
En Angleterre et en Espagne, les leaders se sont imposés. Seul le Borussia Dortmund a laissé échapper des points. Mais avec 13 longueurs d'avance sur son premier poursuivant, le plus large écart des grands championnats européens, le BVB peut se permettre de voir venir.
FIFA.com revient sur l'actualité des principales compétitions européennes.
Premier League : Arsenal reste au contact
A l'issue de la 22ème journée, Manchester United reste la seule équipe invaincue en Angleterre. Opposés à Birmingham, les Red Devils se sont même livrés à une véritable démonstration de force (5:0). Dans le même temps, Manchester City (3) a concédé une surprenante défaite (0:1) sur le terrain d'Aston Villa (16).
Grâce à son succès 3:0 sur Wigan, Arsenal se maintient à deux longueurs de l'invincible leader. Après trois matches sans victoire, Liverpool a retrouvé des couleurs en s'imposant 3:0 devant Wolverhampton. Les Reds profitent de leur deuxième succès de la saison en déplacement pour remonter à la 11ème place du classement. Enfin, le tenant du titre Chelsea (4) affrontera Bolton (9) lundi soir.
En haut : Manchester United (48 points), Arsenal (46), Manchester City (45)
En bas : Wigan (22), Wolverhampton, West Ham United (21)
Buteurs : Dimitar Berbatov (17 buts), Carlos Tevez (11) Andrew Carroll (10)
La stat : 3. Dimitar Berbatov a signé son troisième triplé de la saison. Le Gunner Robin van Persie a aussi fait parler la poudre ce week-end en frappant à trois reprises contre les Latics.
Bundesliga : Premier faux-pas du Borussia
Le champion d'automne s'attendait sans doute à disposer facilement d'une équipe du VfB Stuttgart en plein doute et solidement vissée à l'avant-dernière place du classement. Mais en concédant l'égalisation à six minutes du terme (1:1), le Borussia Dortmund a laissé échapper une victoire qui lui tendait les bras.
Le Bayer Leverkusen (2) se rapproche du BVB, à la faveur de son succès 3:1 sur le terrain de Mönchengladbach. De son côté, le Bayern Munich s'est rassuré en signant face à Kaiserslautern sa plus large victoire de la saison (5:1). Hambourg SV(6), vainqueur 1:0 de l'Eintracht Francfort, et Schalke 04 (10), qui s'est imposé 1:0 à Hanovre, poursuivent leur redressement. En revanche, la santé du Werder Brême reste fragile, comme le prouve la lourde défaite (0:3) concédée à Cologne.
En haut : Borussia Dortmund (47 points), Bayer Leverkusen (36), Hanovre (34)
En bas : St. Pauli (19), VfB Stuttgart (16), Borussia Mönchengladbach (13)
Buteurs : Papiss Cissé, Mario Gomez (15 buts), Theofanis Gekas (14)
La stat : 100. Au soir de la 19ème journée, le Borussia Dortmund vire en tête de la Bundesliga pour la 100ème fois de son histoire.
Serie A : Fortunes diverses pour les prétendants
Battus sur le même score (1:3) par Bologne et l'Udinese, la Lazio (4) et l'Inter Milan (5) voient le titre de champion d'Italie s'éloigner encore un peu. Tenue en échec (0:0) par la Sampdoria, la Juventus (6) laisse quant à elle passer l'occasion de remonter à la quatrième place.
Ces contre-performances font les affaires du trio de tête, qui prend le large. En disposant de Cesena 2:0, l'AC Milan conserve quatre points d'avance sur Naples, qui l'a emporté 2:0 à Bari. L'AS Rome reprend quant à elle la troisième place aux Biancocelesti, à la faveur d'un net succès 3:0 contre Cagliari.
En haut : AC Milan (44 points), Naples (40), AS Rome (38)
En bas : Cesena (19), Brescia (18), Bari (14)
Buteurs : Antonio di Natale (15 buts), Edinson Cavani (14), Marco di Vaio (13)
La stat : 6. Après six matches sans défaite, l'Inter Milan a concédé son premier revers depuis l'arrivée aux commandes de Leonardo.
La Liga : Real et Barça toujours au coude-à-coude
A en juger par les premiers résultats, la deuxième moitié de la saison devrait confirmer les tendances constatées depuis le début de l'exercice en cours. Face au Racing Santander, le FC Barcelone a signé sa 18ème victoire en 20 journées (3:0). Les Catalans conservent quatre points d'avance sur le Real Madrid, qui s'est imposé de justesse devant Majorque, grâce à Karim Benzema.
Le FC Valence (4) a lui aussi dû batailler ferme pour venir à bout de Malaga, pourtant avant-dernier du classement. En effet, il aura fallu attendre le temps additionnel pour voir les favoris prendre un avantage définitif au tableau d'affichage (4:3), par Aritz Aduriz. Vainqueur de la Real Sociedad 2:1, Villarreal se maintient en troisième position, à 13 points du Barça.
En haut : FC Barcelone (55 points), Real Madrid (51), Villarreal (42)
En bas : Almeria, Malaga (17), Levante (15)
Buteurs : Cristiano Ronaldo (22 buts), Lionel Messi (19), David Villa (14)
La stat : 14. Comme le nombre de matches de Liga remportés consécutivement par le FC Barcelone.
Ailleurs
En SüperLig de Turquie, Bursaspor a raté l'occasion de réduire l'écart qui le sépare du leader Trabzonspor. Le tenant du titre, qui n'a pas pu s'imposer devant Konyaspor (0:0), n'a pas profité du résultat nul (1:1) qui a sanctionné les débats entre le club de Trabzon et Ankaragücu. Fenerbahçe, vainqueur d'Antalyaspor (1:0), et Beşiktaş, qui a largement battu Bucaspor 5:1, pointent désormais en troisième et cinquième positions.
Grâce à sa petite victoire (1:0) sur le promu Beira-Mar, le FC Porto affiche toujours huit longueurs d'avance sur son premier poursuivant en Liga Sagres du Portugal. Malgré son succès 4:2 devant le Nacional Funchal, Benfica (2) en est aujourd'hui réduit à attendre un faux pas des Dragões pour revenir dans la course au titre.
En France, il n'était pas question de points ce week-end mais de qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe de France. Deux formations de l'élite ont été éliminées par des équipes issues de divisions inférieures. Brest a mordu la poussière contre Chambéry et Bordeaux s'est incliné face à Angers. En revanche, les autres pensionnaires de Ligue 1 ont réussi à faire respecter la hiérarchie. Rennes, le Paris Saint-Germain, Nancy, Lille, Lorient et Nice, qui a sorti Lyon, seront présents au tour suivant.
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