[Débat] Entraineur de la JSK - Mourad Karouf & Rezki Amrouche

ici

Puisque la JSK n'affiche aucune ambition de gagner des titres, pour cette année, autant garder Karouf jusqu'à juin et le laisser preparer l'equipe .
Le Provisoire qui dure est une marque de fabrique chez Mister abrikouli, alors pourquoi changer..
la Jsk changera d'orintation si, elle arrive à changer d'equipe de management et renvoyer le grand imposteur.pour se soustraire de la tcharaka footbalistique algerienne et se hisser vers son vrai niveau .

Si Hannachi a gardé Karouf, c'est juste qu'il n'a pas encore trouvé un chef-mercenaire, ou parce qu'il préfere donner l'argent à ses joueurs que d'investir dans un entraineur.

Sinon pour Karouf il sautera dès que Hannachi aurait trouvé son homme, c'est pour vous dire, que le choix d'un entraineur ne dépend pas des résultats techniques ou de ses performances mais de l'humeur du berzidene

Mourad Karouf. Entraîneur de la JSK
« Le visage de l’équipe sera encore meilleur au retour »

A la veille du départ de l’équipe pour le Maroc et le jour-même de la reprise des entraînements, nous avons apostrophé Mourad Karouf, le coach de la JSK, avec lequel nous avons abordé diverses questions liées à l’équipe.

Vous venez de boucler l’année 2009 par une qualification aux 1/16es de la coupe d’Algérie. Une victoire qui ponctue aussi un parcours des plus positifs pour vous...
Effectivement, je dirai que dans l’ensemble et depuis notre prise en main de l’équipe, notre bilan est plus que positif, je dirai même qu’il est remarquable lorsqu’au bout du compte vous n’enregistrez qu’une seule défaite contre le champion sortant.

- Reconnaissez tout de même que votre équipe manque de volume et d’amplitude dans le jeu, car tous les matches que vous avez remportés, la manière n’y était guère et vous avez laissé sur leur faim les puristes du beau jeu...
Vous savez, il est difficile de travailler l’aspect tactique et autre amplification du volume de jeu de votre équipe lorsque vous êtes soumis à un calendrier qui ne vous offre aucune marge de manœuvre avec la succession de matches disputés. Je reconnais tout de même le bien-fondé de votre question, mais en revanche, je dois dire que l’équipe s’était libérée. Elle évoluait à son aise et avec beaucoup de joie de jouer. C’était pour nous le plus important.

- Donc, vous pensez que l’équipe était atteinte moralement avant votre prise en main ?
Une chose est sûre, l’équipe est jeune et se devait de reprendre confiance en elle. C’est ce à quoi nous nous sommes attelés dans les premières séances d’entraînement. Les joueurs ont de suite saisi le message. Et cela, c’est le plus important.

- Vous allez vous rendre au Maroc pendant cette trêve hivernale pour peaufiner votre préparation. Pourquoi ce choix ?
L’équipe a besoin de se préparer loin de chez elle. Le groupe se devait de se retrouver ensemble pour une dizaine de jours. La vie en communauté forge davantage la solidarité que nous allons raffermir davantage au cours de ce stage. Le choix du Maroc est dicté par l’existence de structures adéquates pour ce genre de stage. Mieux, le groupe connaît très bien les lieux, ce qui ne va pas le dépayser. Dès le premier jour, il rentrera dans le vif du sujet dans la mesure où chacun connaît les moindres recoins de ce centre de la Lyonnaise des eaux de Casablanca, donc point de repérage. Une seule chose nous contrariera, c’est l’absence de cinq de nos éléments et non des moindres, retenus en stage durant la même période avec l’équipe A’. Nous allons tout de même faire avec cet aléa. Nous allons nous préparer de façon à ce que l’équipe soit encore meilleure durant la phase retour.

- Une phase retour délicate avec votre entrée en lice en Ligue des champions...
Pas uniquement pour cette Ligue des champions dans laquelle nous allons tout faire pour atteindre dans un premier temps les poules, puis, dans un second, le dernier carré, mais aussi pour tout le reste de la saison où la JSK a un bon coup à jouer.

- On annonce aussi l’arrivée imminente d’un nouvel entraîneur à la JSK après que vous ayez eu les garanties de finir la saison à la barre de la JSK. Cela ne vous contrarie pas quelque peu ?
Non, aucunement. Si un entraîneur arrive, il sera le bienvenu. S’il nous accepte dans son staff, cela ne fera que nous honorer. Nous sommes jeunes dans le métier d’entraîneurs, ce sera donc pour nous l’occasion d’apprendre encore avec un entraîneur chevronné, comme il aura aussi à apprendre de nous bien des choses. Mais encore une fois, cela ne nous gêne pas de travailler sous les ordres d’un autre entraîneur.

El-Watan (31/12/2009)

Ce que je ne comprends pas pourquoi ce manque d'ambitions et pourquoi ce complexe d'infériorité chez certains jeunes entraineurs ????

Le journaliste lui pose une question sur l'arrivée d'un nouvel entraineur, et Karouf répond avec des "si" ou des phrases pleines de démagogie !

Pourquoi personne, parmi les anciens joueurs, ne se lance le défit d'arraché le poste d'entraineur et de faire quelque chose avec cette équipe ...

rachid_as a écrit:Ce que je ne comprends pas pourquoi ce manque d'ambitions et pourquoi ce complexe d'infériorité chez certains jeunes entraineurs ????

Le journaliste lui pose une question sur l'arrivée d'un nouvel entraineur, et Karouf répond avec des "si" ou des phrases pleines de démagogie !

Pourquoi personne, parmi les anciens joueurs, ne se lance le défit d'arraché le poste d'entraineur et de faire quelque chose avec cette équipe ...

Ils savent qu'ils sont avec un président qui ne les protègera jamais. Ce n'est pas comme à l'époque de Benkaci ou de Khalef Abdelkader. Hannachi est le premier à casser la dynamique d'un entraineur jeune. Saib est le parfait exemple.

JS-Kabylie.fr a écrit:

rachid_as a écrit:Ce que je ne comprends pas pourquoi ce manque d'ambitions et pourquoi ce complexe d'infériorité chez certains jeunes entraineurs ????

Le journaliste lui pose une question sur l'arrivée d'un nouvel entraineur, et Karouf répond avec des "si" ou des phrases pleines de démagogie !

Pourquoi personne, parmi les anciens joueurs, ne se lance le défit d'arraché le poste d'entraineur et de faire quelque chose avec cette équipe ...

Ils savent qu'ils sont avec un président qui ne les protègera jamais. Ce n'est pas comme à l'époque de Benkaci ou de Khalef Abdelkader. Hannachi est le premier à casser la dynamique d'un entraineur jeune. Saib est le parfait exemple.

Il faut aller vers l'affrontement, les SAIB et MENAD doivent laisser leur image de bon enfant de famille de coté de tout dévoiler sur le terrain pour l'opinion publique, si les enfants du club ne remettent pas de l'ordre dans le club, le salut ne viendra pas de l'extérieur ....et ce n'est pas avec Karrouche - qui a disparu depuis la rencontre Hannachi Boutef- qui va changer quelque chose...

Brècheteau refuse l'offre de la JSK

Contrairement à ce qui a été annoncé dans la presse et dans certains sites internet, le français Yves Brècheteau ne sera pas le nouvel entraineur de la JSK. En effet, après que le président kabyle M. Hannachi aie fait un proposition à l'entraineur français, il aurait promet d'étudier l'offre et de répondre aujourd'hui. Chose faite, puisque Yves Brècheteau vient d'informer les dirigeants kabyles qu'il n'accepte pas de devenir l'entraineur de la JSK. Ainsi donc, les joueurs continueront à s'entrainer sous la houlette du duo Karouf-Amrouche jusqu'à ce qu'un nouvel entraineur soit nommé.

Rédaction - JS-Kabylie.fr

JS-Kabylie.fr a écrit:Brècheteau refuse l'offre de la JSK

Contrairement à ce qui a été annoncé dans la presse et dans certains sites internet, le français Yves Brècheteau ne sera pas le nouvel entraineur de la JSK. En effet, après que le président kabyle M. Hannachi aie fait un proposition à l'entraineur français, il aurait promet d'étudier l'offre et de répondre aujourd'hui. Chose faite, puisque Yves Brècheteau vient d'informer les dirigeants kabyles qu'il n'accepte pas de devenir l'entraineur de la JSK. Ainsi donc, les joueurs continueront à s'entrainer sous la houlette du duo Karouf-Amrouche jusqu'à ce qu'un nouvel entraineur soit nommé.

Rédaction - JS-Kabylie.fr

Qui veut travailler pour un président qui refuse a son entraîneur de se promener dans la ville de Tizi?

Karouf revient sur son parcours

Les jaune et vert ne se sont pas déplacés à Casablanca pour faire du tourisme ou pour se reposer. Un intense travail les attend durant le stage. Les coachs sont partis avec le calepin rempli de notes et de remarques faites lors de la phase aller depuis le limogeage de Lang jusqu’au match de coupe face à Hadjout. Certaines choses ont été prises à temps, mais d’autres nécessitent d’autres formules. Un bilan a été fait. C’est l’essentiel puisque c’est la première base de travail pour corriger les lacunes et se projeter vers l’avant. Justement, à tête reposée et avec un peu plus de recul, nous sommes revenus en compagnie du coach Karouf sur le parcours réalisé jusque là par l’équipe. C’est la veille du départ à destination de Casablanca et chaque détail a son importance. Karouf nous fait revivre, match par match, ce qui a été constaté lors des matchs de l’aller.

JSK 2 – MSPB 1 « La victoire à tout prix ! »
« Le premier constat qu’on a fait après quelques minutes de jeu, c’était la fébrilité tactique de l’équipe. On a remarqué un manque de cohésion flagrant, on avait du mal à atteindre nos attaquants, car il n’y avait pas de complémentarité entre les lignes. On ne jouait pas en bloc et les trois compartiments n’étaient pas compacts. En dépit de ces carences, on retient quelques points positifs. Le plus intéressant des points positifs se résume à ces situations offensives sur balles arrêtées dont nous avions profité au maximum. Si mes souvenirs sont bons, c’est Hamiti qui a débloqué la situation en ouvrant le score avec une tête rageuse sur un corner bien botté par Tedjar. Un but qui nous a fait énormément de bien, car on avait réalisé un début de rencontre tout juste moyen. Il est vrai que le départ de Lang a quelque peu libéré les joueurs psychologiquement, mais l’équipe n’était pas encore au point, elle se cherchait. Le problème était donc d’ordre tactique et non pas spécialement d’ordre physique ou psychologique, il fallait gagner et remettre l’équipe sur les rails. La victoire été impérative même si la manière n’y était pas. Après ce match, nous avions bénéficié d’une quinzaine de jours de trêve, une période durant laquelle nous avons axé notre travail sur le domaine tactique. On a travaillé sur le placement et le replacement des joueurs, les automatismes et le jeu en bloc. On a beaucoup insisté sur les balles arrêtées que ça soit en phase défensive ou offensive. »

USMA 1 – JSK 1 « On pouvait faire mieux. »
« Avant d’aller affronter l’USMA sur son terrain, on avait disputé deux rencontres amicales. L’occasion était propice pour nous de voir d’autres joueurs à l’œuvre et de varier les schémas de jeu, mais aussi de peaufiner le travail tactique que nous avions entamé après la rencontre face au MSPB. Durant le premier quart d’heure, l’USMA nous a carrément surclassé, ce qui a logiquement permis l’ouverture du score en faveur de l’adversaire, mais au retour des vestiaires, la JSK a contrôlé le jeu à sa guise. J’ai retenu d’ailleurs, le bon placement des joueurs tout au long de la partie, nous avions osé en fin de rencontre et poussé jusqu’au bout l’adversaire. On avait opté pour une tactique très offensive avec l’incorporation de pas moins de cinq attaquants, un choix qui a apporté ses fruits puisqu’on a arraché l’égalisation en toute fin de rencontre. J’irai même plus loin en disant que nous aurions pu l’emporter assez aisément vu notre nette domination en seconde période. Cela dit, tout n’était pas parfait, nos joueurs manquaient encore d’agressivité, certains d’entre eux se perdaient un peu trop sur le terrain. Mais on a constaté déjà l’évolution et une meilleure application des consignes sur le terrain ».

JSK 4 – USMAn 0 « Une deuxième mi-temps très satisfaisante. »
« En première mi-temps, le jeu était assez équilibré, on a dit à nous joueurs de varier entre le jeu court et le jeu long. J’ai remarqué qu’à la JSK, on jouait trop court, alors que varier le jeu est une arme fatale pour l’adversaire dans le football moderne. Pourquoi jouer long ? Tout simplement pour trouver des situations et des solutions rapidement. Et justement, c’est grâce à une balle longue déviée par Aoudia que la JSK a ouvert le score. Après la pause-citron, nous avons mis Tedjar dans l’axe, ce qui a crée un boulevard pour Meftah, d’ailleurs deux buts sont venus du coté droit confirmant la justesse de notre stratégie. Il y avait aussi des joueurs comme Yahia Cherif et Oussalah qui se sont montrés très percutants. Ce qu’on voulait on l’a eu dans ce match face à Annaba, c'est-à-dire jouer sur les cotés, faire le maximum de centres possibles, et toujours se placer au premier poteau sur les balles arrêtées. Ce que j’ai retenu après ce match, c’est que notre équipe n’est pas vraiment faite pour jouer en 3-5-2, car les stoppeurs n’ont pas assimilé le rôle qui leur été assigné, c'est-à-dire, d’offrir une large couverture aux latéraux quand ces derniers se portent l’attaque. Cependant, il faut dire que la progression de l’équipe était de plus en plus palpable»

USMB 1- JSK 1 « Un manque d’efficacité qui nous a coûté deux points. »
« Pour dire vrai, on est partis à Blida pour gagner, on voulait coûte que coûte ramener de l’extérieur notre première victoire de la saison. Malheureusement, on a pêché devant les buts. On a manqué d’efficacité, d’autant plus que notre tâche s’est un peu compliquée lorsque nous avions encaissé un but en tout début de rencontre, bon par la suite nos joueurs se sont bien ressaisis en revenant logiquement au score. Comme face à l’USMAlger, nous avions incorporé plusieurs joueurs à vocation offensive pour rajouter un second but, mais comme je vous l’ai dit, on n’a pas eu beaucoup de chance devant les bois avec les nombreuses occasions créées. Mes deux satisfactions pour ce match sont : primo, l’équipe a bien joué surtout en deuxième mi temps, donc collectivement ça a très bien marché. Secundo, c’est la fraîcheur physique de l’équipe. Malgré la succession de trois matchs en quelques jours et le terrain lourd de Tchaker, les joueurs ont tenu le coup jusqu’au coup de sifflet final de l’arbitre. »

ESS 2 – JSK 0 « Un match à mettre aux oubliettes. »
« Durant ce match, nos joueurs étaient vraiment naïfs. Si face nous avions manqué d’efficacité à Blida, face à l’ESS par contre, nous avions manqué d’agressivité. La preuve durant tout le match, je n’ai vu qu’un seul tacle de notre part, celui de Meftah sur Metref. Quand tu vois un Ziaya qui parvient aisément à toucher la balle trois voire quatre fois devant trois de nos défenseurs et à l’intérieur même de notre surface, c’est que nous étions vraiment naïfs sur tous les plans ! Il est vrai que nous avons reconduit le 3-5-2 pour ce match, car on voulait libérer les couloirs pour Meftah et Boukria qui a pris la place d’un Oussalah menacé d’une suspension, malheureusement ça n’a pas fonctionné. J’ajouterai que le but que l’arbitre nous a injustement refusé aurait pu changer la physionomie du match, mais ce n’est pas là une excuse, notre rendement était faible, nous étions mauvais et nous ne méritions pas mieux. Ce match était donc à oublier le plus rapidement possible! »

JSK 1 – ASO 0 « Une équipe qui commence à se construire. »
« Voila un match durant lequel on a vu du beau jeu et beaucoup d’actions dangereuses en notre faveur. On a vu de belles phases de jeu. Certes on a manqué une multitude d’occasions, mais j’ai constaté que le groupe avait gagné en maturité, c’est là un point très important, nos joueurs ont gardé leur calme et leur lucidité jusqu’à l’ultime minute du match. On n’a pas paniqué pour aller chercher la victoire. Une victoire obtenue dans les temps morts du match. J’ai retenu de ce match que l’équipe commençait vraiment à se construire. »

JSK 3 – CAB 1 « On a gagné, on a marqué mais on devait travailler davantage ! »
« Malgré le terrain lourd et les conditions climatiques rudes, nous avons vu un match plaisant, encore une fois. On a ouvert le score grâce à Ziti sur une balle arrêtée, une autre preuve que le travail fait à l’entraînement portait souvent ses fruits. On a trouvé quelques difficultés après l’égalisation des Batnéens, mais on a vite fait la différence de retour des vestiaires. C’était le dernier match de la phase aller, je pense que le bilan a été positif, et la réussite de nos attaquants reflète notre santé actuelle. Aoudia et Yahia Cherif ont inscris quatre buts chacun sous notre houlette et Hamiti en a réussi deux. Cela dit, il nous reste beaucoup de travail à effectuer, on doit travailler encore plus nos automatismes, les joueurs doivent jouer les yeux bandés, c’est l’objectif que nous voulons atteindre. »

USMMH 1 – JSK 2 « Un véritable match de coupe. »
« Sincèrement, pour cette rencontre on a évité un véritable piège. C’était un match de coupe au sens propre du mot. En ouvrant la marque rapidement et par deux fois, tout avait bien commencé pour nous, nous dominions largement les débats et on croyait qu’on allait se diriger tranquillement vers la qualification. Mais en deuxième période, nous avons été surpris par les Hadjoutis sur un but de toute beauté sur coup franc direct. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’on a sous estimé l’adversaire, mais nos joueurs se sont quelque peu relâchés, et pourtant à la pause nous avions insisté pour garder la même cadence voire plus. On a retenu la qualification au prochain tour, c’est l’essentiel car il ne faut pas oublier, cela fait deux saisons de suite que la JSK n’a pas dépassé le premier tour en coupe d’Algérie. Nous avons bien conclu cette année 2009 et on espère que 2010 sera encore meilleure ! »

Site OFF (01/01/2009)

Voici mes commentaire Mr Karouf :
JSK 2 – MSPB 1 « La victoire à tout prix ! »
Ce match était le premier pour Karouf, la JSK a gagné sans convaincre, l'enjeu était supérieur sur le jeu...par contre l'adversaire était juste trop faible, on pouvait faire mieux

USMA 1 – JSK 1 « On pouvait faire mieux. »
Je ne suis pas d'accord, l'USMA avait bouffé la JSK en volume de jeu, alors que la JSK n'avait eu que une et unique occasion qu'elle a réussie à mettre en fond des filets...mais ça reste un bon points à prendre, la JSK revenait rarement avec des poins de Bologhine.

JSK 4 – USMAn 0 « Une deuxième mi-temps très satisfaisante. »
Un match plus que satisfaisant,ah si on gagnait tout nos match à Tizi avec un tel score......

USMB 1- JSK 1 « Un manque d’efficacité qui nous a coûté deux points. »
Un bon point pris....

ESS 2 – JSK 0 « Un match à mettre aux oubliettes. »
Le match que l'on pensait pas perdre, l'ESS revenait juste d'une déception africaine en plus il jouait un match tout les 3 ou 4 joours....la JSK a-t-elle trop respecté l'ESS ???

JSK 1 – ASO 0 « Une équipe qui commence à se construire. »
Les matchs contre l'ASO sont toujours difficile, on a rarement gagné avec plus de deux buts contre cette équipe.

JSK 3 – CAB 1 « On a gagné, on a marqué mais on devait travailler davantage ! »
Un match tranquille.

USMMH 1 – JSK 2 « Un véritable match de coupe. »
Cette fois-ci, la JSK a trop sous-estimé son adversaire, on aurait du faire comme les autres gros bras qui ont atomisé les petits...

rachid_as a écrit:Voici mes commentaire Mr Karouf :


ESS 2 – JSK 0 « Un match à mettre aux oubliettes. »
Le match que l'on pensait pas perdre, l'ESS revenait juste d'une déception africaine en plus il jouait un match tout les 3 ou 4 joours....la JSK a-t-elle trop respecté l'ESS ???

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...ou bien un complexe d'infériorité.

amcum_ni a écrit:

rachid_as a écrit:Voici mes commentaire Mr Karouf :


ESS 2 – JSK 0 « Un match à mettre aux oubliettes. »
Le match que l'on pensait pas perdre, l'ESS revenait juste d'une déception africaine en plus il jouait un match tout les 3 ou 4 joours....la JSK a-t-elle trop respecté l'ESS ???

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...ou bien un complexe d'infériorité.

+1
ça serait très grave que la JSK ait un complexe envers une équipe de la chemma ligue, il faut vite que le club retrouve sa vraie dimension

+1
ça serait très grave que la JSK ait un complexe envers une équipe de la chemma ligue, il faut vite que le club retrouve sa vraie dimension

C'est le cas déjà mon ami ............la JSK d'autrefois, telle qu'on l'a aimé, ne faisait pas de calculs, elle allait jouer pour gagner et rien d'aujourd'hui, on est amené à voir autre chose .........la suffisance !!!
Le match qui devait le plus servir de leçon,est au yeux des décideurs de la JSK, à mettre aux oubliettes !!!!!!!!!quelle honte!

adenisurmer a écrit:

+1
ça serait très grave que la JSK ait un complexe envers une équipe de la chemma ligue, il faut vite que le club retrouve sa vraie dimension

C'est le cas déjà mon ami ............la JSK d'autrefois, telle qu'on l'a aimé, ne faisait pas de calculs, elle allait jouer pour gagner et rien d'aujourd'hui, on est amené à voir autre chose .........la suffisance !!!
Le match qui devait le plus servir de leçon,est au yeux des décideurs de la JSK, à mettre aux oubliettes !!!!!!!!!quelle honte!

Je vous assure que dans peu de temps, Hannachi va pleurer en disant qu'il n'a pas les moyens de rivaliser avec l'ESS et le MCA ...

Karouf : «Cette affaire était insupportable. On a fait de moi le bouc émissaire»

Après avoir réussi sa carrière de footballeur où il a presque tout gagné, l’ancien international Mourad Karouf est entrain de faire son apprentissage dans le difficile milieu d’entraîneur. En plus de ses qualités techniques et physiques, qui ont fait de l’un des meilleurs défenseurs latéraux de sa génération, l’ex-joueur de la JSK, de la JSMB et de l’USMB, est devenu, malgré lui, plus connu avec cette affaire, qui porte son nom : «l’affaire Karouf». Se trouvant à Casablanca en stage avec la JSK, Mourad Karouf a bien voulu évoquer, pour Planète Sport, une multitude de sujets.

Nous sommes à la moitié du stage que vous effectuez ici à Casablanca au complexe Kahrama. Quelle est votre évaluation ?
Je peux vous dire que le stage se déroule dans de très bonnes conditions. Le programme tracé est respecté à la lettre. Pour une première évaluation, je dirais que les joueurs répondent bien à la charge et se soumettent bien aux règle de la disciplinaire.

Vous avez axé sur le biquotidien dans votre programme. Peut-on avoir des détails sur le travail que vous effectuez ?

Durant tout le stage, les joueurs seront soumis à un programme biquotidien avec un travail physique le matin (force, vitesse, explosion, endurance) et l’après-midi est réservé au travail technico-tactique avec ballon (placement, cohésion, atelier défense, atelier attaque). Les jours des deux matchs qu’on jouera, aujourd’hui et vendredi prochain, les joueurs feront deux séances de musculations. C’est pour tester les capacités de résistance et d’endurance des joueurs. Le point positif durant les premiers jours, c’est d’avoir tout l’effectif sous la main. Nous avons récupéré Maroci. Il n’y a que Aoudia qui est soumis à un repos actif.

Les matchs amicaux sont importants dans un stage, vous en convenez ?
Absolument. Nous avons souhaité programmer une troisième rencontre contre le WAC. Malheureusement, nous allons nous contenter de deux matchs tests. On aura une idée plus claire sur les prédispositions de chaque élément. Les matchs sont un enchaînement du travail physico- technico-tactique.

Malgré le fait que c’est un peu tôt, comment se présente cette deuxième phase du championnat avec notamment l’entrée en lice de l’équipe en Champion’s League ?
Après avoir bien terminé la phase aller, nous avons dressé un bilan dans lequel on a décelé les points forts et les points faibles de l’équipe. Nous avons axé le travail dans la perspective d’évoluer avec un meilleur visage lors de la phase retour. Je peux vous dire qu’avec le travail qu’on a déjà réalisé et qu’on continuera de faire après ce stage, en plus des recrues, la JSK fera un très bon parcours dans le championnat.

Et quel sera l’objectif ?
Je préfère ne pas parler d’objectif. Il ne faut pas trop mettre de pression sur les joueurs. La JSK est connue pour être une équipe qui joue les premiers rôles. C’est ce qu’on tâchera de respecter.

A la lecture de l’effectif de la JSK, on s’aperçoit de deux choses : richesse et jeunesse. Est-ce un avantage pour vous ?
Oui bien sûr. La richesse de notre effectif est un atout très important. Les joueurs devront redoubler d’efforts pour mériter une place de titulaire. Pour ce qui est de la jeunesse de l’effectif, nous avons une équipe qui possède une moyenne d’âge de 24 ans, c’est une très bonne chose. Avec ces jeunes, la JSK est assurée à l’avenir d’avoir une grande équipe avec le travail et le sérieux bien sûr.

Passons, si vous le voulez bien, au sujet de l’actualité, à savoir la participation de l’équipe nationale à la phase finale de la CAN. En tant qu’ancien international, comment voyez-vous les chances des Verts à quelques jours du 1er match contre le Malawi ?
Je crois que le fait d’être mondialiste peut constituer un atout psychologique pour les Verts. Mais je vous dirais, en connaissance de cause, que tout dépendra de l’état d’esprit avec lequel évolueront les joueurs. Je ne connais pas le degré de motivation des joueurs et de l’entraîneur national. Mais, à priori, nos chances de faire une bonne CAN sont grandes.

Après la polémique sur la venue de Lacen, une autre concernant les primes et les titularisations des uns et des autres a fait surface. Ne pensez-vous pas que cela risque d’influer négativement sur l’état d’esprit que vous venez d’évoquer ?
Si c’est vrai, cela sera difficile. Je pense qu’il faut placer l’intérêt de l’équipe au-dessus de toute autre considération. Il y a longtemps que l’équipe nationale n’a pas réalisé ce double exploit et cela serait vraiment dommage de gâcher tout ce qui a été construit. Jamais l’équipe nationale n’a, en effet, bien été prise en charge. L’implication du président de la République en est la preuve.

On dit, cependant, que l’histoire est un éternel recommencement. Vous avez vécu à une certaine époque où vous étiez international ce genre de problème lié aux primes et autres ?
La génération à laquelle j’ai appartenue a vécue elle aussi des problèmes, mais je vous assure qu’à l’époque de Ighil et Mehdaoui, les joueurs n’ont jamais eu de problème d’argent. Est-ce le fait que nous étions presque tous des joueurs du cru ? Je ne peux vous répondre avec exactitude. Sincèrement, il y a un espoir avec cette équipe. il faut se mobiliser derrière et oublions ces faux problèmes.

Donc, sous Ighil-Mehdaoui, on ne faisait pas de pression pour avoir des primes conséquentes comme les joueurs de l’équipe actuelle ?
On se contentait de ce qu’on nous donnait. On était des nationalistes. N’oubliez pas que la moyenne d’âge de l’équipe nationale en 1994 ne dépassait pas les 22 ans. C’est une très bonne équipe, qui a réalisé de très bons résultats, malheureusement, la conjoncture n’était pas sereine en Algérie durant cette période.

Revenons à une affaire qui a fait couler beaucoup d’encre à votre époque et qui a coûté l’élimination à la CAN de 1994 à Tunis, «l’affaire Karouf» si vous le voulez…
C’était une erreur administrative qui a coûté cher à l’équipe nationale l’élimination indirecte de la CAN. Sur le terrain, nous étions qualifiés. On s’est classé premier de notre groupe avec sept points d’avance. C’est toute une génération qui a raté cette Coupe d’Afrique. La polémique de l’époque était insupportable et a fait de moi un bouc émissaire.

Cette affaire vous a porté préjudice, n’est-ce pas ?
Malheureusement, je suis devenu un joueur gênant malgré le fait que sur le plan technique, personne n’avait à redire que j’avais ma place au sein de cette équipe nationale.

Donc, il est vrai que Rabah Madjer, qui venait d’être nommé sélectionneur national à la place du duo Ighil-Mehdaoui, a décidé de se passer de vos services suite à des injonctions ?
Rabah Madjer m’a convoqué pour deux stages. Juste après, j’ai été écarté suite à des recommandations, oui je le confirme. A ce jour, j’ignore les tenants et les aboutissants de cette triste affaire qui porte mon nom.

Revenons à l’équipe actuelle, et loin de tout ce qui se dit à droite et à gauche. A votre avis comment les coéquipiers de Ziani doivent-ils évoluer contre le Malawi ?
Il faut garder le même état d’esprit que celui avec lequel nous avons affronté l’Egypte au Soudan. Il faut mettre en valeur aussi la maturité qu’on a acquis avant les éliminatoires, c’est important. Il faut cependant jouer notre football et rentrer pour gagner, c’est tout.

Selon vous, la qualification au deuxième tour est-elle jouable ?
Bien sûr que c’est jouable. Nous avons des atouts à faire valoir. Tout à l’heure je vous ai dit que le fait qu’on soit mondialiste est un atout psychologique à exploiter à bon escient. Certes, le Mali est une bonne équipe, l’Angola est le pays organisateur, mais l’Algérie peut passer ce tour. L’équipe nationale est une équipe de défis.

Les adversaires des Verts ont joué des matchs amicaux et se sont préparés dans des pays chauds, contrairement à nous. Cela ne risque-t-il pas de peser sur la balance à la fin du 1er tour ?
Ecoutez, l’équipe nationale a atteint un seuil jamais égalé. On est classé 26e au monde. Cela n’est jamais arrivé. Il faut le capitaliser et c’est le rôle des responsables qui doivent faire un travail de sensibilisation. L’équipe nationale, en dépit d’un manque de préparation, peut faire appel à un excellent état d’esprit. Je vous ai dit que cette équipe aime relever les défis, c’est déjà une chose très positive.

Bon, à supposer que l’équipe nationale passe au second tour avec le cœur comme vous dites, est-ce qu’on peut espérer arriver au carré final ?
Si on passe le 1er tour, il y aura d’autres paramètres qui vont paraître. Il y auara par la suite le système d’élimination directe. Et à ce titre je pense que notre équipe montre de très bonnes dispositions. Oui je peux dire qu’on peut aller en demi-finale, ce n’est pas impossible.

Et si on rate la CAN, est-ce que cela ne risque pas de porter un grand coup au moral des joueurs en prévision de la Coupe du Monde ?
Vous l’avez bien dit, on ne le souhaite pas. Inchallah notre participation sera positive à la CAN.

Quel est votre favori pour la CAN ?
Je parlerai plutôt d’un trio : la Côte d’Ivoire, le Cameroun et l’Algérie.

Si on vous disait quoique fasse l’EN en CAN et en Coupe du Monde, une réforme du football national s’impose, idée partagée par presque tous les acteurs de ce sport, quel est votre avis là-dessus ?
Je crois que le problème de notre football se situe au niveau des mentalités. Il faut aller vite au professionnalisme et arrêter de tourner en rond. L’équipe et son excellent parcours doivent être la base d’une refonte du football. Oui je suis pour cette refonte de fond en comble.

Fergani, l’ex-capitaine des Verts, a crée une amical des anciens internationaux algériens. Qu’en pensez-vous de son initiative et en faites-vous partie ?
C’est une très bonne chose. Il y a beaucoup de joueurs qui souffrent en silence. C’est un cadre qui peut apporter. Je pense qu’il a déjà fait, aide et assistance. Bien sûr que je suis adhérent.

Vous êtes entrain de bien réussir votre conversion à première vue. Est-ce que vous envisagez d’aller loin dans votre métier ?
C’est un cursus pour moi. J’étais entraîneur des juniors et je me retrouve entraîneur de la JSK. Je vais monter graduellement les échelons. Je ne brûlerais pas les étapes. Le fait d’être à la JSK me permettra de m’aguerrir.

Pour terminer, vous direz quoi ?
Je n’ai pas apprécié la déclaration de Saâdane qui avait dit : «Le peuple doit rêver». Ce peuple croit en son équipe. Il n’est pas sorti dans les rues pour fêter une victoire, mais parce qu’il croit en cette équipe nationale. Autre chose, vous me donnez l’occasion de souhaiter un prompt rétablissement à Kamel Aouis. Je prie chaque jour pour lui. Que Dieu le guérisse et à l’occasion du nouvel an je souhaite une bonne année aux supporters de l’équipe nationale particulièrement et à tout le peuple algérien avec comme vœu : la renaissance du football algérien.

Planete-sport (05/01/2010)

Je vais mettre au frigo ce topic avec l'arrivée du nouvel entraineur .......