[25] Djamel BENLAMRI

Benlamri : «On doit être solidaires pour sortir la JSK de la crise»

Le défenseur central des Canaris pense que le problème n’est pas dans l’entraîneur. Tout en expliquant cette troisieme défaite consécutive par la malchance, il ajoute que les joueurs doivent travailler la main dans la main pour sortir la JSK de la crise dont elle se débat depuis le départ de Broos.

Comment expliquez cette énième défaite concédée devant l’ASMO ?
Que voulez-vous que je vous dise ? La chance n’a pas été de notre côté. On s’est procuré une multitude d’occasions, malheureusement on n’a pu concrétiser aucune d’entre elles. On est très déçus par cette défaite et on fera de notre mieux pour réagir dans les matches à venir.

Ne pensez-vous pas qu’avec l’arrivée du nouvel entraîneur François Ciccolini, la JSK remontera la pente ?
Le problème de la JSK n’est pas dans l’entraîneur. Comme je vous l’ai déjà dit, on a joué de la malchance.

Certains estiment que les joueurs manquent de motivation sur le terrain…
Non, ce n’est pas vrai. Ce n’est pas la volonté qui manque, mais les gens doivent savoir que ce n’est pas facile de jouer sans public. Le huis clos nous a totalement brisés. Autrement dit, ce n’est pas un problème de tactique. Il ne faut pas oublier qu’il y a de nouveaux joueurs dans l’équipe qui ne se sont pas encore acclimatés à leur nouvel environnement.

Que faut-il alors pour que la JSK surmonte cette difficile épreuve ?
Nous les joueurs, nous devons travailler la main dans la main afin de sortir l’équipe de cette crise. Le problème de l’équipe est d’ordre mental. Cette défaite est difficile à digérer, mais on ne doit pas perdre confiance.

Compétition (25/10/2014)

Solidaires, il faut passer a l'acte. Les titres, ça se gagne sur le terrain et non dans les journaux.
Secouez-vous! Vous jouez pour un grand club. Soyez dignes de la confiance placés en vous.
Chaque saison, vous sortez la même histoire: Le mental.
A un moment donné, il faut être des hommes et tourner la page ou plutôt honorer la mémoire d'Ébossé et jouer pour lui.

Il réintégrera en principe l’équipe aujourd’hui
Benlamri souffrant

Le défenseur Djamel Benlamri n’a pu réintégrer le groupe hier. Les responsables kabyles voulaient le récupérer la veille du déplacement de l’équipe à Alger, mais ils n’ont pas pu. Certains affirment que l’ex-défenseur des Sang et Or a eu un problème administratif, d’autres avancent qu’il est malade. Quoi qu’il en soit, il ne rejoindra l’équipe que la veille du clasico face au Mouloudia d’Alger. Un dirigeant que nous avons eu hier au téléphone a indiqué que la direction kabyle a eu des garanties pour récupérer Benlamri ce mercredi. Il faut dire qu’une folle rumeur a circulé hier à Tizi Ouzou selon laquelle le défenseur Benlamri ne participera pas à la rencontre de ce jeudi à cause d’un problème administratif. Mais le responsable de la JSK avec lequel on a eu une conversation hier nous a assuré que l’ancien défenseur du NAHD sera aujourd’hui avec le groupe en ajoutant qu’il est un peu malade.

Compétition (29/10/2014)

Sur notre site, MCA – JSK : Djamel Benlamri retenu par l’EN militaire

Pour lire l'article ==> http://js-kabylie.fr/index.php/informations/articles/3339-mca-jsk-djamel-benlamri-retenu-par-l-en-militaire

Tête-à-tête Ciccolini – Benlamri : Ce que vous devez savoir

À peine arrivé à la JSK, François Ciccolini s’est retrouvé dans l’obligation de prendre des décisions très difficiles quelques heures avant d’affronter le MCA à Bologhine. En effet, le technicien corse, et malgré l’importance de la rencontre, a pris la décision de ne pas convoquer deux cadres. Il s’agit de Mekkaoui et Benlamri. Avant la rencontre, tout le monde pensait que sans ces deux joueurs, la JSK s’inclinerait lourdement face au Doyen. Cependant, Ciccolini savait ce qu’il faisait et son équipe a dominé convenablement les Rouge et Vert. D’ailleurs, même les joueurs sur lesquels il a compté ont été à la hauteur à l’image de Raïah, Ziti, Khodja et Ferguene. À la fin de la partie, le Corse a eu une discussion avec Djamel Benlamri lequel s’est déplacé à Bologhine pour assister à la rencontre et encourager ses coéquipiers. Ciccolini en a profité pour discuter en tête-à-tête avec son défenseur. D’après nos informations, l’entraîneur kabyle a essayé de motiver son axial et le préparer psychologiquement pour le prochain match de championnat. Le Corse, et malgré le fait qu’il n’ait pas convoqué son défenseur, a quand même essayé de lui remonter le moral et le pousser à travailler davantage aux entraînements. De son côté, Djamel Benlamri a beaucoup apprécié les propos de son coach lequel lui a même fait savoir qu’il compterait sur ses services à l’avenir. Des propos qui ont encouragé Benlamri qui compte prouver à son entraîneur qu’il est capable d’assumer son rôle sur le terrain et prouver son talent.

Ciccolini à son joueur : «Sois fort, je compte sur toi»
Apparemment, Ciccolini est très habile sur le plan psychologique. Le Corse a réussi en l’espace de quatre jours à métamorphoser les joueurs lesquels étaient forts de caractère face au MCA. Juste après, c’était le tour de motiver Benlamri et le pousser à exploiter ses qualités sur le terrain. D’après nos sources, Ciccolini a déclaré à Benlamri qu’il doit être fort mentalement pour retrouver sa vraie forme : «Sois fort, je compte sur toi prochainement. Tu dois prouver que tu peux jouer à la JSK et apporter un plus. Je connais tes qualités et je suis sûr que t’es capable de relever ce défi.»

«Je connais tes qualités, si tu maintiens ton niveau tu joueras en Europe»
Par ailleurs, Ciccolini aurait promis à son joueur de le transférer en Europe s’il continue de travailler sérieusement et enchaîner avec de belles prestations d’ici la fin de la saison. Du moins, c’est ce que nous avons appris : «Je sais bien que tu renfermes d’énormes qualités. Donc, je te dis que si tu enchaînes avec de belles prestations et tu gardes ton niveau au top jusqu’à la fin de la saison j’essayerai de te transférer en Europe.»

Benlamri : «Ciccolini est un gagneur, j’aime sa méthode de travail»
Interrogé par nos soins, Djamel Benlamri apprécie déjà la méthode de travail de Ciccolini qui, selon lui, est un bosseur : «Sincèrement, j’ai beaucoup apprécié la méthode de travail de Ciccolini. Il sait motiver les joueurs. C’est un très bon parleur. Toutefois, c’est un gagneur qui aime son travail.»

Le Buteur (02/11/2014)

Benlamri : «Je ne suis pas Kabyle, mais je suis prêt à mourir pour la JSK»

Ces derniers temps, la JSK a traversé une période un peu difficile. Comme dans chaque club à travers la planète, lorsque les choses ne tournent pas rond, on pointe toujours les cadres de l’équipe et Benlamri n’a pas échappé à la règle. Après quelques jours de silence, le solide défenseur des Jaune et Vert sort de son silence pour tirer plusieurs affaires au clair, lui qui est connu pour son franc-parler, d’ailleurs, il répondait à nos questions sans faire le moindre calcul, mieux encore, il parle de certaines choses pour la première fois, lui qui a entamé l’été dernier sa troisième saison à la JSK. Entretien.

Pour commencer, on peut savoir pourquoi Benlamri n’a pas pris part au match de jeudi dernier ?
Contrairement à ce qui a été dit un peu partout, moi je ne suis pas un tricheur, j’ai toujours mouillé mon maillot et j’ai toujours joué sans faire le moindre calcul. Depuis que je suis à la JSK, je n’ai jamais fui mes responsabilités, alors ce n’est pas à quelques jours de la rencontre du MCA que je sors des histoires pour ne pas prendre part à ce match. Je n’ai pas pu prendre part au clasico pour la simple raison que j’ai été en équipe nationale militaire et je ne pouvais pas rejoindre l’équipe à la veille de la rencontre, il n’y a que cette raison qui m’a privé de la rencontre de jeudi dernier.

Le jour du match vous étiez présent à Bologhine…
Comme je vous l’ai déjà dit, j’étais en équipe nationale militaire, je n’ai pas pu rejoindre l’équipe ni mardi ni mercredi, le jour du match j’ai eu l’autorisation de quitter la caserne, j’ai jugé alors utile de me déplacer au stade afin de suivre la partie de mon équipe, même non concerné par le clasico, je ne pouvais pas laisser mes équipiers seuls.

Comment avez-vous suivi cette partie à partir du tunnel qui mène au vestiaire ?
J’aurais aimé être sur le terrain que de suivre le match en tant que supporter, croyez-moi que je ne pouvais pas me retenir surtout lorsque l’équipe a encaissé deux buts dès le départ. Dès que les attaquants adverses arrivaient dans notre zone, je me rertournais complètement pour ne pas regarder l’action. A la fin de la rencontre, je nageais dans le bonheur, j’ai félicité mes équipiers et je partageais aussi leur joie, c’est comme si j’ai joué ce match, moi je suis un supporter de la JSK avant que je ne sois un joueur de ce club.

A ce point vous êtes attaché à la JSK…
Croyez-moi, j’aime vraiment ce club. Moi je ne suis pas hypocrite, j’aime vraiment la JSK et les gens me connaissent bien, je dis toujours les choses en face sans faire de calculs, je n’ai peur de personne, je dis toujours la vérité.

C’est pour cette raison que les supporters et les dirigeants vous estiment beaucoup, non ?
Pour être franc avec vous, moi je ne suis pas Kabyle mais je suis prêt à mourir pour la JSK et je défie quiconque de dire le contraire. Certes, les Kabyles aiment beaucoup leur club mais il y a d’autres personnes qui ne sont pas de cette noble région mais qui aiment la JSK et moi je suis un vrai amoureux des couleurs jaune et vert. Je ne fais jamais de calculs, je mouille toujours mon maillot et je joue toujours pour la gagne, c’est ma devise et je ne changerai jamais cette mentalité.

Alors vous ne songez pas à quitter la JSK comme on l’annonce un peu partout…
Moi je songe à quitter la JSK ? C’est du n’importe quoi. Cette idée ne m’a jamais effleuré l’esprit. D’ailleurs, vous  me donnez une bonne occasion pour mettre les points sur les i concernant cette affaire. Moi aussi j’ai été surpris de lire ces trucs dans la presse, que compte parler à mes dirigeants pour leur demander mes papiers, je ne sais pas d’où on a ramené cette histoire. Alors pour mettre fin à toutes ces rumeurs, je ne quitterai jamais la JSK, pour que je quitte ce club, on doit me chasser, le jour où les responsables de la formation du Djurdjura ne voudront plus de moi, ce jour je quitterai la JSK mais pour le faire de mon propre gré, non.

Cependant, quelques équipes comptent bien vous contacter lors du prochain mercato hivernal…
Ecoutez, à chaque mercato, hivernal ou estival, j’ai toujours reçu des propositions mais je n’ai jamais négocié avec personne, je n’ai même pas étudié les propositions que j’ai reçues l’été passé, c’est la meilleure preuve pour démontrer à certaines personnes mal informées mon grand attachement à la JSK.

Puisque vous avez parlé de certaines personnes mal informées, on n’a pas hésité à vous pointer du doigt ces derniers temps, surtout lorsque l’équipe traversait une zone de turbulences…
Pourquoi on me pointe du doit ? Qu’est-ce que j’ai fait pour qu’on parle de moi dans le mauvais sens ? Moi, je mouille mon maillot et sur le terrain je ne fais pas de calculs, une fois sur le rectangle vert je pense uniquement à la victoire. Peut-être que cette mentalité n’a pas plu à certains, peut-être que la réussite de Benlamri dérange, peut-être que certains sont jaloux de moi parce que je suis très estimé par les supporters… Mais, moi, je n’accorde pas d’importance à toutes ces histoires, je répondrai sur le terrain.

A un certain moment, après les trois défaites de suite exactement, on n’a pas hésité à parler d’une lourde ambiance au sein du groupe et que quelques joueurs ne s’adressaient plus la parole…
Ecoutez, ces choses ne sont pas nouvelles dans le football. Dans les grands clubs du monde on a entendu parler de ces histoires. L’année passée, quelques éléments aussi ne s’adressaient pas la parole mais on a réalisé une belle saison pour la simple raison que sur le terrain on travaillait tous pour l’intérêt du club. Je pense qu’il n’y a pas le feu à la JSK, la preuve, l’équipe a gagné avec l’art et la manière à Bologhine jeudi dernier.

Mais à l’issue de la rencontre que vous avez perdue devant l’ASMO vous n’avez pas hésité à parler de la solidarité…
Dans une même  famille, on trouve des frères qui ne s’adressent pas la parole mais le soir, c’est tout le monde qui rentre à la maison pour passer la nuit sous le même toit. Parfois, c’est tout le monde qui se retrouve autour d’une même table alors je pense que même en football on doit avoir cette mentalité. On doit être solidaires entre nous sur le terrain, on doit toujours travailler la main dans la main pour le seul intérêt du groupe, sur le terrain, on doit être comme des frères, maintenant, en dehors du stade, chacun est libre de choisir ses amis.

Revenons à votre équipe, la victoire de jeudi dernier fera beaucoup de bien au groupe, non ?
Ah oui ! bien sûr, battre le Mouloudia avec l’art et la manière à Bologhine est une belle affaire que mes coéquipiers ont réalisée jeudi dernier, surtout après tout ce qu’on a enduré ces derniers temps et avec cette mauvaise série de trois défaites de suite. Les victoires font toujours du bien, d’ailleurs, avec les bons résultats, on oublie plusieurs choses qui perturbent l’équipe, pour moi, le football c’est les bons résultats. Avec les succès, on ne peut rien reprocher aux joueurs mais lorsque ça ne tourne pas rond, on commence à chercher les poux sur la tête d’un chauve.

Ziti et Rial ont réalisé un grand match lors du clasico dans l’axe de la défense, votre place n’est pas menacée…
Je suis très content pour eux. Croyez- moi, je ne fais pas une montagne pour une non-titularisation. D’ailleurs, pour le match contre l’ESS, je serai prêt à rester sur le banc, je vais aller plus loin aussi dans cette histoire rien que pour démontrer ma bonne foi. Je dirais aux gens qui veulent nuire au club et qui n’ont pas hésité à citer mon nom que Benlamri est prêt même à suivre les matchs de la JSK à partir de la tribune officielle avec un drapeau jaune et vert à la main, pourvu que l’équipe tourne bien et qu’elle gagne ses matchs. Moi je place toujours l’intérêt du club au- dessus des intérêts personnels.

A la JSK on mise sur une autre victoire devant l’ESS pour bien se relancer dans les affaires du championnat…
Exactement. A Bologhine, mes camarades ont réussi à provoquer le déclic, maintenant, on doit enchaîner avec un autre succès pour confirmer notre réveil mais aussi pour enregistrer notre vrai départ en championnat car pour moi, la JSK n’a pas encore dit son dernier mot pour ce qui concerne la course au titre. Je le redis encore une nouvelle fois, on a un bon groupe qui peut rivaliser avec n’importe quelle équipe de notre championnat.

Pour terminer, vous devez reprendre les entraînements avec le groupe hier soir, une explication avec l’entraîneur est au programme, non ?
Au moment où je vous parle, je suis à quelques minutes seulement de la ville de Tizi Ouzou. Je vais me présenter à l’entraînement pour reprendre avec le groupe et commencer la préparation pour le prochain rendez-vous de l’équipe en championnat mais je ne suis pas au courant de cette explication car à mon avis, je n’ai aucun problème ni avec l’entraîneur ni avec un autre membre de l’équipe.

Compétition (03/11/2014)

Benlamri menace de ne plus revenir: «Je ne suis pas un tricheur»

L’entrée des joueurs kabyles au stade a été quelque peu mouvementée, à cause des supporters venus demander vraisemblablement des explications, après ce qui s’est passé au vestiaire à la fin du match contre l’ESS lorsque le capitaine Rial s’est fait entendre. Juste après avoir exprimé leur soutien à Mekkaoui qu’ils ont encouragé, les supporters présents hier devant le stade s’en sont pris à l’axial Benlamri qui venait d’arriver avec quelques minutes de retard, en raison des embouteillages. A la grande surprise, Benlamri, qui se dirigeait vers le portail pour rentrer au stade, a été interpellé par les supporters qui lui en ont fait entendre des vertes et des pas mûres. Une attitude qui a vraiment affecté le joueur qui n’a rien compris. Voulant s’expliquer avec ces supporters pour leur faire savoir qu’il n’y était pour rien dans la situation actuelle et qu’il faisait de son mieux pour aider l’équipe à s’en sortir, Benlamri a fini par comprendre qu’il était ciblé. Devant les hostilités, Benlamri a rebroussé chemin. Les dirigeants ont réussi, certes, à le faire rentrer au stade, mais selon des informations, Benlamri, qui a été trop affecté par ce traitement, a menacé de ne plus revenir à Tizi.

Il a quitté le stade en pleurs
Suite aux injures dont il a été la cible, l’axial de la JSK a pris la décision de ne pas s’entraîner. Il a informé le manager général Idrès, qui a assisté à toute la scène, lui faisant savoir qu’il n’avait pas du tout le moral pour reprendre l’entraînement. Entouré des éléments du service de sécurité dépêchés sur les lieux, le joueur s’en est allé en pleurs surtout qu’il ne s’attendait vraiment pas à un tel traitement, après les moments difficiles que traverse son équipe depuis plus de deux mois.

Les dirigeants l’ont fait revenir à de meilleurs sentiments, mais…
Les dirigeants de la JSK, qui se trouvaient à l’intérieur du stade au moment où Benlamri était entouré par des supporters, se sont précipités sur les lieux pour calmer les esprits surchauffés des supporters et bien évidemment épargner à leur joueur cette lourde pression qui ne fera que compliquer davantage la situation. Les responsables kabyles ont, certes, fait revenir Benlamri à de meilleurs sentiments, lui qui est allé récupérer son équipement de sa voiture, mais on voyait bien qu’il était abattu et n’avait pas du tout le moral pour travailler.

Il a demandé à Ciccolini de le ménager pour la séance d’hier
Une fois à l’intérieur du stade, Benlamri a eu une discussion avec son entraîneur Ciccolini. Selon nos informations, Benlamri a tout d’abord présenté ses excuses pour être arrivé en retard à l’entraînement à cause des embouteillages sur l’axe Alger-Tizi puis a demandé gentiment d’être ménagé de la séance surtout qu’il avait le moral à zéro. Ciccolini, qui s’est montré compréhensif, a demandé au joueur de suivre l’entraînement à partir de la main cou

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«Je ne suis pas un tricheur, j’ai toujours donné le meilleur de moi-même pour ce grand club»
Très affecté par la réaction des supporters à son égard, Benlamri a tenu à nous révéler : «Franchement, je n’ai pas compris pourquoi ces supporters s’en sont pris à moi. Je venais d’arriver pour reprendre l’entraînement avec mes partenaires le plus normalement du monde. On m’a invectivé, ce qui m’a beaucoup blessé. C’est injuste, car je ne mérite pas un tel traitement. J’ai toujours mouillé le maillot. Sincèrement, je ne suis pas un tricheur, j’ai toujours donné le meilleur de moi-même pour ce grand club. La situation qu’on traverse est difficile, c’est de soutien dont on a le plus besoin.»

«Je n’assume pas seul la responsabilité de cette situation»
Benlamri n’arrivait toujours pas à comprendre pourquoi ce groupe de supporters s’en est pris à lui. «Je ne sais pas pourquoi toute cette méchanceté contre moi. Je pense avoir toujours mouillé le maillot sur le terrain. Je n’ai jamais rechigné à l’effort et Dieu seul sait comment je porte la JSK dans mon cœur. C’est vrai que la situation est difficile, mais à ce que je sache, je n’assume pas seul la responsabilité de cette situation», a tenu à ajouter Benlamri, visiblement abattu.

Le Buteur (11/11/2014)

JSK-Benlamri : «Si c’est moi le problème, qu’on me donne ma libération»

Affecté par les insultes dont il a été victime lors de la reprise des entraînements qui a eu lieu lundi après-midi, Djamel Benlamri boude toujours l’équipe. Il campe sur sa décision de ne plus remettre les pieds à la JSK.

Alors que tout le monde pensait que l’ex-pensionnaire des Sang et Or avait annoncé son intention de quitter l’équipe sous l’emprise de la colère, celui-ci est passé à l’acte puisqu’il a séché les deux séances d’entraînement d’hier. Certains proches du club ont pris attache avec lui dans la journée d’hier afin de tenter de le raisonner, mais en vain. Benlamri leur a clairement fait savoir qu’il ne compte pas reprendre. «Si c’est moi le problème, qu’on me donne ma libération», leur a-t-il dit entre autres.

«Je ne reviendrai plus à Tizi Ouzou»
Traité de tous les noms d’oiseaux par certains fans à son arrivée au stade du 1er-Novembre lundi dernier, le défenseur Benlamri est toujours inconsolable. S’il ne revient pas à de meilleurs sentiments, il risque de ne pas honorer son contrat le liant à la JSK. D’ailleurs, il a avoué à certains proches du club qu’il n’a nullement l’intention de reprendre avec ses équipiers. «Je ne reviendrai plus à la JSK. Certains supporters m’ont insulté et ont insulté même ma mère, ce que je ne leur pardonnerai jamais. J’ai toujours mouillé mon maillot, malgré ça, ils se sont injustement pris à moi. Maintenant si c’est moi le problème, qu’on me donne ma libération», leur a-t-il réaffirmé.

Vu que Benlamri poursuit son boycott
Le président Hannachi a tenté de le raisonner
Ne pouvant pas se permettre de perdre Benlamri,  l’un de ses meilleurs défenseurs, le président Hannachi l’a appelé au téléphone afin de lui demander de revenir. Il a usé de tout son tact pour le convaincre à reprendre les entraînements avec ses équipiers, mais malgré ça, l’ancien pensionnaire des Sang et Or n’est pas revenu à de meilleurs sentiments. La preuve, il a séché les deux séances d’entraînement d’hier. Il a beaucoup de respect pour son président, mais comme il a été affecté par toutes les insultes dont il a été victime lundi après-midi, Benlamri continue à boycotter son équipe. Il est utile de rappeler qu’il n’a pas pris part à la séance d’avant-hier, alors qu’il était présent au stade en signe de mécontentement par rapport tout ce qu’il a enduré. Il était le chouchou de tous les supporters, mais certains d’entre eux se sont retournés contre lui après le semi-échec concédé vendredi dernier face à l’ESS.

La JSK
Ayant toujours pris la défense de ses joueurs dans les moments difficiles, le président Hannachi a réaffirmé à Benlamri que la JSK a besoin de lui et qu’il n’ira nulle part. Il était l’un des premiers joueurs à avoir prolongé à la fin de l’exercice écoulé, alors qu’il était sollicité de partout. C’est dire que le président Hannachi tient toujours à son défenseur qui finira vraisemblablement par réintégrer le groupe dans les jours à venir. Sous contrat avec la JSK, l’ancien pensionnaire des Sang et Or ne peut opter pour une autre équipe sans l’autorisation du président Hannachi. Il fait toujours la tête en déclarant qu’il ne remettra plus les pieds à la JSK, mais il finira sûrement par revenir à de meilleurs sentiments.

Compétition (12/11/2014)

Benlamri déballe tout : «Je ne suis pas un voyou !»

Considéré comme l’un des piliers de la JSK, le défenseur Djamel Benlamri traverse une période très compliquée. L’ancien joueur du NAHD a été invectivé par de pseudo-supporters lors de la reprise de l’entraînement, lesquels l’ont insulté pendant plusieurs minutes le traitant de «voyou » qui n’aime pas la JSK. Des propos qui ont affecté le joueur qui a quitté Tizi en larmes, avant de jurer de ne plus y revenir. 48 heures plus tard, nous avons réussi à le joindre et il nous raconte tout avec détails. Interview !

Tout d’abord, on vous remercie de nous avoir accueillis ici au Club des Pins…
C’est moi qui vous remercie de vous être déplacés jusqu’ici pour moi.  Je suis à votre disposition.

Sans trop tarder, racontez-nous ce qui s’est passé avec les supporters lors de la reprise de l’entraînement…
Je n’arrive toujours pas à comprendre. Ce sont de pseudo-supporters qui se sont acharnés contre moi sans aucune raison valable. D’ailleurs, c’était la première fois que je voyais leurs visages. Ils m’ont accusé d’être la source des problèmes à la JSK, alors que c’est faux. Je suis un amoureux de cette équipe dont je défends les couleurs avec fierté. En quittant le stade, j’ai versé des larmes car je ne m’attendais à être traité de la sorte.

D’après les supporters, ils estiment que vous êtes un joueur autoritaire qui fait la pluie et le beau temps à la JSK…
Une autre preuve qu’ils ne me connaissent pas bien ! Je ne suis pas autoritaire et je ne fais que mon devoir, sans plus. Comment puis-je faire la pluie et le beau temps dans une équipe qui renferme des joueurs plus expérimentés, à l’image du capitaine Rial ou bien Delhoum ? C’est totalement faux ! Ce ne sont que des ragots.

Après cette période assez délicate, quand comptez-vous reprendre l’entraînement ?
Je ne sais pas encore. En ce moment, je n’ai aucune envie de reprendre, car je suis vraiment abattu. J’ai reçu un coup très dur car je ne m’attendais jamais à vivre une telle situation, notamment de la part des supporters. J’ai toujours été présent pour la JSK que j’aime.

Le président Hannachi vous a-t-il appelé pour vous remonter le moral et vous convaincre de revenir ?
Oui, le président Hannachi m’a appelé pour me motiver et me consoler. Il sait bien ce que je vaux et il sait que je ne suis pas un tricheur.

Ne craignez-vous pas une réaction de François Ciccolini, après avoir boudé l’entraînement ?
L’entraîneur connaît toute la vérité. D’ailleurs, il n’a pas aimé la réaction des supporters qui m’ont insulté alors que j’étais prêt à reprendre le travail le plus normalement du monde. Il a aussi essayé de me motiver en me conseillant de prendre du recul, à la condition que je sois encore plus fort à l’avenir.

Des supporters disent que vous êtes un voyou. Qu’avez-vous à leur dire ?
Si j’étais un voyou, je n’aurais jamais porté le maillot d’une aussi prestigieuse équipe comme la JSK. Ces personnes essayent à tout prix de me détruire et je ne sais pas pourquoi… Ce qui me fait mal, c’est le fait que ma mère ainsi que toute ma famille soient au courant de tout cela, alors que c’est faux. Croyez-moi, ça me touche vraiment. Je n’accepterai plus ça désormais.

Après avoir quitté le stade du 1er-Novembre en colère, avez-vous pensé à quitter la JSK ?
Certes, j’étais vraiment en colère et j’ai même versé des larmes car je me sentais trahi, mais je vous jure que je n’ai même pas pensé à quitter la JSK. J’adore cette équipe et je le dis encore une fois : en Algérie, je ne jouerais jamais pour un autre club. Je quitterai ce club le jour où ils n’auront plus besoin de moi.

Racontez-nous comment vous avez choisi la JSK…
J’étais en contact avec plusieurs équipes, mais j’ai directement choisi la JSK car il y avait en face un président que je respecte. C’est un vrai homme qui m’a toujours soutenu et je n’oublierai jamais ça. J’aurais pu opter pour une autre équipe et j’aurais touché beaucoup plus d’argent, mais je ne voulais pas.

Certaines personnes disent que vous et Mekkaoui formez un clan. Que pensez-vous de tout cela ?
Celui qui estime que nous sommes le mal de la JSK, Rebbi yahdih ! Mekkaoui et moi sommes des potes et on s’entend parfaitement bien. On a toujours été proches l’un de l’autre. Je crois qu’on n’aime pas nous voir amis. On essaye à tout prix de nous séparer. Ce que je peux dire, c’est que Zino est un bosseur et il est le meilleur à son poste. Aussi, si on était des voyous, on n'aurait jamais été retenus en Equipe nationale.

Aussi, les supporters disent que votre niveau est en chute libre depuis quelque temps, soit depuis le dribble de Belaïli lequel a inscrit le deuxième but lors du match face à l’USMA. Qu’en pensez-vous ?
Ce n’est pas vrai. Comment peut-on me juger alors qu’on joue souvent à huis clos ? Je suis très régulier et mon niveau est stable. Concernant le but de Belaïli, il n’est ni le premier ni le dernier à me dribbler. Je n’ai pas honte si un joueur me dribble car c’est ça le football. Des fois, on sort un grand match et des fois on fait des erreurs. Seulement, il faut apprendre à avancer et aller de l’avant.

Est-il vrai que le huis clos est l’une des causes des mauvais résultats ?
Tout à fait, ce n’est vraiment pas facile de jouer à huis clos. On a l’impression de jouer toutes les rencontres à l’extérieur. On traverse une période très difficile, et ce n’est pas le moment pour les supporters de semer la zizanie. On réussit des victoires à l’extérieur et on chute à domicile. C’est incroyable !

On vous accuse d’être des joueurs sans âme sur le terrain...
C’est absurde ! Ce n’est pas vrai ! Si on était des joueurs «froids», on n’aurait jamais décroché quatre victoires à l’extérieur, dont l’une face au Mouloudia. Les joueurs se battent vraiment et ça ne marche toujours pas bien. J’espère que tout cela sera bientôt réglé.

Ne pensez-vous pas que tout cela est dû à la mort d’Ebossé ?
On a essayé de tourner la page même si c’est difficile d’oublier Albert. Il nous manque toujours. Personnellement, j’ai toujours son image ici présente à chaque entraînement, dans les vestiaires et notamment lors des les matchs. Lorsqu’on perd un match ou qu’on rate un but, je me dis toujours que si Ebossé avait été là, on aurait certainement marqué ou gagné. Que Dieu ait son âme.

Selon certaines personnes, Benlamri est un voyou qui finira sa carrière sans réaliser ses rêves, comme ce fut le cas de plusieurs joueurs, à l’image de Meghraoui. Qu’avez-vous à répondre à ces gens ?
Je connais mes intérêts et je suis loin d’être bête. J’ai souffert pendant mon enfance et je connais bien la valeur de l’argent. Je suis conscient et ma carrière sera très riche, inch’Allah.

Ne pensez-vous pas qu’après tout cela, votre place en EN est en jeu ?
Non, car je n’ai rien fait. L’Equipe nationale est tout pour moi et je rêve d’en faire partie.

Que vous a dit Gourcuff, au juste ?
Gourcuff m’a redonné espoir et m’a fait savoir que je pourrais faire partie de l’EN A, donc, je travaille vraiment dur pour réaliser ce rêve.

Donc vous avez plus de chance, contrairement à l’époque de Vahid Halilhodzic…
C’est le jour et la nuit. Avec Halilhodzic, même si j’étais mille fois meilleur qu’actuellement, il ne m’aurait jamais retenu.

Savez-vous que Chenihi a été convoqué en EN A ?
Oui, je suis au courant et je suis très content pour lui, car il le mérite vraiment. C’est un très bon joueur. J’espère que je le rejoindrai bientôt.

Merci Djamel, pour cet entretien…
C’est moi qui vous remercie, je suis à votre disposition à chaque fois que vous me solliciterez.

Le Buteur (13/11/2014)

JSK : Benlamri sera de retour la semaine prochaine

Le défenseur kabyle, Djamel Benlamri, se sent de mieux en mieux après l’incident qui s’est produit à la reprise avec les supporters, dont certains l’avaient insulté. Choqué, voire abattu, par ce qu’il venait de vivre, Benlamri a décidé de prendre quelques jours de repos, histoire d’oublier ce qui venait de lui d’arriver. Et comme il nous l’a expliqué dans notre précédente édition, il n’a pas accepté ces insultes du moment qu’il a toujours donné le meilleur de lui-même sur un terrain. Bref, le plus important est que le joueur sera de retour aux entraînements au début de la semaine prochaine. C’est du moins ce qu’il nous a fait savoir. Toutefois, on ignore pour l’instant si le coach comptera sur lui lors du prochain derby face au MOB. Les solutions de rechange existent et tout dépendra de la forme de Benlamri à son retour au sein du groupe.

Il s’est entretenu au téléphone avec Hannachi
D’après la même source, Benlamri a eu une discussion récemment avec le président de club, Moh Cherif Hannachi. Le joueur a fait savoir à son président qu’il comptait revenir prochainement à Tizi Ouzou, tout en lui faisant la confidence qu’il a été très affecté par ce qui s’est produit à la séance de reprise.

Il est prêt à accepter n’importe quelle forme de sanction
En s’absentant lors de la première semaine d’entraînement, le défenseur kabyle sait qu’il risque d’être sanctionné et par le staff technique et par la direction du club. A ce sujet, Benlamri se dit prêt à accepter n’importe quelle forme de sanction. Ce qui est néanmoins certain c’est qu’à son retour, le joueur devra expliquer son absence à Ciccolini.

Il compte tourner une nouvelle page
Si Djamel Benlamri compte retourner à Tizi la semaine prochaine, c’est qu’il est bien décidé à tourner la page et reprendre le travail de la plus belle des manières. Ses partenaires se sont montrés solidaires et c’est ce qui lui a le plus remonté le moral. Benlamri tentera donc de se remettre au travail sans trop penser à cet incident. La prochaine rencontre face au MOB pourrait être celle du renouveau pour le joueur.

«Je sais que ces absences ne sont pas en ma faveur»
Interrogé sur ses absences aux entraînements, le défenseur kabyle nous dira : «Je suis conscient que ces absences ne sont nullement en ma faveur. En tant que professionnel, je dois m’entraîner car nous avons des matchs importants à préparer. Mais cette fois, c’est plus fort que moi. J’étais très affecté par ce qui m’est arrivé à Tizi et je n’ai pas eu le courage d’aller m’entraîner. J’ai même perdu le goût de jouer au foot.»

«J’accepterai les sanctions de la direction»
Quant à une probable sanction de la part de la direction, voire du staff, le défenseur kabyle nous dira en toute franchise : «Je sais que je risque d’être sanctionné. C’est la raison pour laquelle je dis que je suis prêt à accepter n’importe quelle sanction de la part de mes dirigeants. Je sais que cela va me pénaliser mais en tant que professionnel, je dois accepter cela.»

«L’important est que je retrouve le moral»
Il enchainera : «L’important à mes yeux est que je retrouve le moral, sans plus. Je dois gagner en confiance avant de retourner aux entraînements. Je ne suis pas un hypocrite. Je ne peux pas avoir le sourire alors qu’au fond je suis abattu. Je vais me reposer ce week-end avant de reprendre la semaine prochaine les entraînements. J’espère que je vais vite me remettre au travail car c’est ce qui compte le plus à mes yeux.»

Le Buteur (14/11/2014)

Benlameri: «J’ai décidé de revenir à mon équipe»

Ayant boycotté les entraînements après avoir été «intimidé» par des pseudo-supporters, le défenseur central, Djamel Benlameri, est rentré hier soir à Tizi Ouzou. L’ancien joueur du NAHD a en effet eu une discussion avec le président Hannachi avant de revenir à de meilleurs sentiments et décide enfin de réintégrer le groupe. Benlameri reprendra donc aujourd’hui  le travail et sera prêt pour le derby face au MOB. Interrogé par nos soins hier soir, Djamel dira : «J’ai décidé de reprendre les entraînements et revenir à mon équipe. Je vais me donner à fond pour reprendre ma place dans le onze.»

Le Buteur (15/11/2014)

JSK/Benlamri : «Tout est rentré dans l’ordre»

Contacté hier, Djamel Benlamri a affirmé que tout est rentré dans l’ordre. Il ajoute aussi qu’il est arrivé à surpasser ce qui lui est passé avec certains fans du club.

«Tout est rentré dans l’ordre», a déclaré Benlamri lors d’un entretien téléphonique. Le joueur en question s’est présenté à la séance d’entraînement d’hier matin lors de laquelle il a parlé avec l’entraîneur en chef, Ciccolini, mais aussi avec les autres membres du staff technique. Benlamri a exprimé son impatience de reprendre le travail. «Je veux retourner travailler avec mes coéquipiers. C’est un très valeureux métier que j’ai entre les mains dont je dois prendre soin», a-t-il dit. Après le match de la 10e journée jouée contre l’ESS, Benlamri Djamel a été visé par quelques supporters de la JSK qui l’ont insulté. Chose que le joueur n’a pas pu supporter et a carrément pris la décision de ne plus revenir travailler avec l’équipe. Contacté par nos soins dans la soirée d’hier, Benlamri nous a affirmé que tout est rentré dans l’ordre et qu’il reprendra avec le groupe dès aujourd’hui. Interroge à ce sujet, il déclare : «De telles choses ne peuvent que vous faire du mal. Ça pèse énormément sur le moral. Pourtant, j’ai toujours donné le meilleur de moi-même à la JSK depuis mon arrivée pour qu’à la fin de telles personnes viennent t’insulter. Ça m’a fait très mal.» Depuis cet incident qui s’est produit lundi passé, Benlamri ne s’est plus présenté aux entraînements. Cela a suscité beaucoup d’inquiétude au sein du club.

«J’ai eu le président au téléphone»
Le défenseur de la JSK a également parlé de la discussion qu’il a eue dans la journée d’hier avec le président du club Moh-Cherif Hannachi. Ce dernier a convaincu Benlamri que tout ce qui lui est arrivé n’est l’œuvre que de quelques personnes qui veulent mettre la stabilité de la JSK en péril. «Hannachi m’a dit de revenir aux entraînements. Il m’a également rassuré à propos de ce qui m’est arrivé lundi passé en me disant que ces personnes sont spécialement venues pour semer la pagaille. Ils ne sont que des envoyés de personnes qui veulent déstabiliser notre club. L’entretien que j’ai eu avec le président m’a soulagé.»

«Je n’ai pas de préférence entre les postes défensifs»
Outre cette altercation avec les supporters et les entraînements qu’il a séchés, Benlamri nous a affirmé qu’il se sent en bonne forme. «Je n’ai pas cessé de travailler depuis la semaine passée. Je me sens en forme et j’ai hâte de reprendre.» Interrogé sur le poste défensif où il préfère jouer, il dira : «Pourvu que l’équipe gagne, que je joue en tant que défenseur axial ou latéral droit, je n’ai pas de préférence entre les postes défensifs, j’ai un côté polyvalent qui me permet d’être très à l’aise là où on me met.» Voulant insister sur sa préférence entre les postes, il réplique : «Ça dépend des rencontres. Il y a des matchs où je plais dans tel ou tel poste, mais dans d’autres cas, ça ne passe pas. Donc, c’est pour cela que je dis que je n’ai pas de préférence, puisque d’un côté, je suis dans les deux, et d’un autre il y a certains facteurs qui font que les choses soient différentes.»

«Nos supporters nous manquent»
Benlamri a également parlé des mauvais résultats que réalise l’équipe à domicile et de l’importance que constitue la présence des supporters aux yeux des joueurs. Dans le même sillage, il dit : «Si vous voyez bien nos prestations lors des rencontres où il y a du monde dans le stade, vous remarquerez une grande différence même si ce public n’est pas le nôtre, mais dans le football il y a cette ambiance des tribunes qui fait que le footballeur est très à l’aise lui permettant de très bien jouer, je ne parle pas de l’apport de tes propres supporters. On ne se sent pas à l’aise sans eux. C’est dommage ! Sans cela, on aurait pu être sur un tout autre parcours.»

Benlamri se présente enfin au stade
Après avoir boudé l’équipe pendant 3 jours, Djamel Benlamri s’est présenté hier au stade du 1er-Novembre. Mais il l’a fait à la fin de l’entraînement, ce qui ne lui a pas permis de s’entraîner avec ses équipiers. Il a salué certains de ses partenaires et les membres du staff technique avant de rentrer chez lui. En tout, il ne s’est pas entraîné avec le groupe pendant 5 jours et cela sans compter les deux jours de repos dont ont bénéficié les joueurs à l’issue du semi-échec concédé vendredi dernier face à l’ASMO. Il a été certes victime de toutes sortes d’insultes de la part de certains fans lors de la séance de la reprise qui s’est déroulée, mais cela ne justifie pas pour autant son escapade. Il avait failli quitter le stade sur-le-champ avant qu’un proche du club n’intervienne pour lui demander de suivre l’entraînement à partir de la ligne de touche. Le président Hannachi avait fait l’impossible pour le conforter, mais Benlamri a boudé l’équipe pendant 3 jours avant qu’il ne décide enfin de se présenter au stade.

Le marteau et l’enclume
Même s’il reprend aujourd’hui les entraînements avec le groupe aujourd’hui, Benlamri devrait rejoindre l’équipe nationale militaire demain pour un stage de 3 jours. De ce fait, il ne devrait réintégrer le groupe que mardi après-midi ou mercredi. Le cas de Benlamri met l’entraîneur François Ciccolini dans une situation embarrassante. Il est confronté à un véritable dilemme ; d’un côté, s’il le titularise, il risquera de perdre la maîtrise du groupe, de l’autre, il lui sera difficile de se passer des services de l’une des pièces maîtresses de l’équipe. Le choix est difficile à faire, mais il réfléchira mille fois avant de prendre une quelconque décision. Il a toujours insisté sur la discipline en déclarant qu’avec lui, il n’y aura pas d’intouchable. Il a déjà écarté Mekkaoui pour avoir séché trois séances d’entraînement, mais le cas de Benlamri est un peu différent, surtout lorsqu’on sait qu’il ne s’est jamais retrouvé sur le banc depuis qu’il a rejoint l’équipe.

Compétition (15/11/2014)

JSK : Benlamri rejoue et met fin aux spéculations

Alors que son rendement a été jugé très moyen par certains «pseudo-supporters» qui se sont déplacés au 1er-Novembre la semaine passée, le défenseur central, Djamel Benlamri, qui a été sévèrement critiqué avant d’être insulté, a décidé de boycotter les entraînements et de rentrer chez lui. Un comportement qu’il n’a nullement accepté, notamment, surtout les insultes envers sa mère. Et pour le calmer, il a fallu l’intervention du président Hannachi qui a pris attache avec son joueur dans le but de le consoler et le motiver. L’ancien joueur du NAHD est revenu à de meilleurs sentiments en reprenant l’entraînement. Il a d’ailleurs participé au match d’hier matin contre les Espoirs en composant la charnière centrale avec Ali Rial. Le retour de Djamel soulage ainsi le premier responsable de la barre technique, après avoir récupéré l’une des pièces maîtresses en prévision du derby. Désormais, il ne reste que les blessés qui subissent des soins intensifs dans l’espoir de les remettre sur pied dans les prochaines heures. Il est utile de rappeler que seuls Moulay et Ferguène sont aptes à jouer en attaque, en attendant le retour de Kerrar, Khodja et Aïboud.

Il jouera dans l’axe face au MOB
Aligné au poste d’arrière droit face à l’Entente de Sétif, Benlamri, de l’avis de tous, a été crédité d’une prestation moyenne. D’ailleurs, selon une source bien informée, le joueur souhaiterait retrouver son poste dans l’axe central à partir de la prochaine rencontre. Apparemment, Ciccolini compte apporter quelques changements, notamment avec le retour de Ziti à droite et de Benlamri en défense. Néanmoins, Benamara et Mekkaoui sont en ballottage quant à une place sur le flanc gauche.

Le Buteur (16/11/2014)

JSK : Benlamri revient et rejoue !

Après cinq jours d’absence, le défenseur central des Jaune et Vert, Benlamri, a repris hier les entraînements. Mieux encore, ce dernier a joué le match amical que le coach a programmé contre les espoirs. Depuis lundi dernier, date de la reprise des entraînements des Canaris, Benlamri ne s’est plus présenté à Tizi Ouzou. Insulté par quelques supporters, l’ancien sociétaire du NAHD a été touché dans son amour-propre.

Abattu, le joueur  kabyle ne pouvait pas s’entraîner, mais sa longue absence aux entraînements de son équipe a irrité les supporters surtout que ces derniers n’ont pas hésité à le soutenir. Bref, Benlamri s’est présenté vendredi dernier au stade, il ne s’est pas entraîné, mais il s’est entretenu avec Ciccolini. Hier, le jeune et solide défenseur des Canaris a repris les entraînements. Après avoir raté pas moins de six séances d’entraînement, tout le monde s’attendait à voir Benlamri s’entraîner en solo. Il devait d’abord récupérer ses moyens physiques avant d’intégrer le groupe, mais le responsable du staff technique a surpris tout son monde en faisant jouer Benlamri hier durant toute la partie amicale qu’il a programmée contre les espoirs. Devant le MCA, le Corse avait mis Mekkaoui sur le banc de touche, car ce dernier avait raté trois séances d’entraînement, mais devant le MOB, Benlamri débutera la partie comme titulaire lui qui a raté pourtant pas moins de six séances d’entraînement. Vu le poids de ce joueur au sein de l’équipe, le staff technique de la formation du Djurdjura comptera sur les services du numéro 25 de la JSK à Béjaïa lors du big derby de la Kabylie. D’ailleurs, Ciccolini profitera de cette semaine qui précède la rencontre pour bien préparer son joueur pour ce grand rendez-vous.

Compétition (16/11/2014)

Je pense qu'il a régressé un peu,c'est un type très sensible et aime beaucoup la JSK,mais ce que lui est arrivé il y a 10 jours lors des entraînements à Tizi lui a coupé un peu les jambes,mais ce qu'il doit savoir que cette bande de pseudo supporters font partie d'un des complots que la JSK est en train de subir depuis la mort d'ebossé,car un vrai supporters de la JSK ne peut pas insulter un Belamri qui mouille toujours le maillot.

Benlamri : «Jouons avec hargne, le CRB ne nous fait pas peur !»

A deux jours du match face au CRB, l’axial Benlamri avoue que la concentration est de mise, et lui comme tous ses partenaires sont déterminés à réagir. La défaite face au MOB aura laissé des séquelles sur l’état psychologique du groupe kabyle appelé ce week-end à renouer avec la victoire.

Comment se déroule la préparation du match face au CRB à deux jours du rendez-vous ?
Nous préparons notre match dans la sérénité. On a besoin de ça pour une meilleure concentration. Je sais que la dernière défaite a fait mal pas uniquement aux supporters mais à nous aussi, nous ne l’avons pas digérée. L’heure n’est pas pour blâmer quiconque, on doit tous rester mobilisés et faire en sorte que la JSK retrouve vite sa vitesse de croisière et termine cette phase aller sur un bon rythme.

Peut-on comprendre que la défaite du MOB est oubliée et que l’équipe cherche le rachat ce samedi ?
Ça ne sert absolument à rien de rester sur cette défaite, à mon sens il faut vite tourner cette page et passer à autre chose. Il nous reste encore quatre matchs d’ici à la fin de la phase aller, en tout douze points en jeu, il faut faire tout pour récolter le maximum de points. Je reste confiant car on a un groupe capable de remonter en surface rapidement pourvu que la mobilisation soit de mise.

Le fait de savoir déjà que vous n’avez aucun droit à l’erreur face au CRB ne vous met-il pas sous pression avant le match ?
La pression existe tous les jours mais sous différentes formes. Nous essayons à chaque fois de nous éloigner de la pression inutile qui influe sur notre rendement le jour du match. Nous préparons le CRB comme tous les autres matchs qui sont passés avec l’objectif bien sûr de le remporter. Si on joue avec la même hargne qu’on nous connait, le CRB n’aura rien à espérer. Rassurez-vous, le groupe est conscient et on tâchera de se racheter.

Est-ce que le discours du président Hannachi, cette semaine, a eu son effet sur le groupe ?
Le président nous a parlé pour nous rappeler l’urgence de réagir. C’est vrai qu’il a été très déçu de la prestation du groupe face au MOB et il a jugé utile de nous parler pour remobiliser tout le monde. Oui, le message est reçu cinq sur cinq, tout le monde veut honorer ses engagements. Notre objectif à court terme c’est de remettre la JSK en haut du tableau avant la 15e journée. Il reste encore quatre journées, soit douze points en jeu, notre mission est de terminer sur la plus haute marche possible inch’Allah.

Pour finir, le sélectionneur national Gourcuff a programmé un stage pour les locaux la semaine prochaine, vous et deux de vos coéquipiers de la JSK êtes concernés, ça devrait vous motiver, n’est-ce pas ?
Oui, bien sûr, c’est toujours une bonne chose d’être convoqué en sélection. Nous devons à chaque fois répondre présent et donner le meilleur pour honorer la confiance qui est placée en nous par les responsables. Oui je le confirme, c’est une motivation et ça nous pousse à chaque fois à être toujours à la hauteur.

Le Buteur (27/11/2014)

JSK : Voici les dessous de l’affaire Benlamri

La non-titularisation du défenseur central, Djamel Benlamri, a été une grande surprise pour les supporters de la JSK. Dans un premier temps, on a cru que c’est l’entraîneur Ciccolini qui l’avait relégué sur le banc, préférant faire confiance au onze qui avait affronté le Mouloudia. Mais voilà que 24 heures seulement après ce match de championnat, il s’avère que la raison est tout autre. En effet, une source digne de foi nous a confié que c’est le joueur lui-même qui a demandé à ne pas être titularisé. L’affaire remonte même à lundi dernier, lorsque Benlamri a rencontré Hannachi et son entraîneur pour les mettre au courant de sa décision. Le défenseur central de la JSK a argumenté sa décision par sa méforme. Il a expliqué à Hannachi et à Ciccolini qu’il voudrait se faire tout petit ces derniers temps, avant de repartir sur de nouvelles bases. Il ne s’agit donc pas d’une raison technique, mais plutôt du souhait du joueur. Benlamri a demandé à être relégué sur le banc jusqu’à la fin de la phase aller. Mais après cette nouvelle défaite, il est fort probable qu’il soit titularisé le week-end prochain face au RCA.

Le Buteur (01/12/2014)

JSK – RCA : Djamel Benlamri suspendu
Le défenseur central de la JSK, Djamel Benlamri, ne pourra pas être aligné lors de la rencontre face au RC Arbâa à cause d’une suspension d’un match ferme suite à son quatrième carton jaune reçu lors de la dernière rencontre face au CRB lors de la 12ème journée.

En effet, Benlamri avait déjà trois cartons jaunes à son actif. Il avait déjà été averti contre l’USMA (2ème journée), le NAHD (5ème journée) et la JSS (6ème journée). L’avertissement reçu face au CRB est son quatrième.

Le staff technique de la JSK doit donc composer sans Benlamri.
Rédaction

JSK : Benlamri out face au RCA !

L’international de la JSK, Djamel Benlamri, n’est pas concerné par le match de cet après-midi face au RCA, pour cause de suspension. En effet, ce joueur a écopé de quatre cartons jaunes depuis le début de la saison et du coup, il est suspendu pour un match ferme. Son retour se fera la semaine prochaine, à l’occasion du match de coupe face au CRB Dar El Beïda, au stade du 20-Août, à huis clos.

Hannachi s’est longuement entretenu avec lui
Depuis le début de la semaine, l’axial Djamel Benlamri était en regroupement avec les militaires où il a même livré un match amical face à la sélection Olympique. Entre-temps, beaucoup de choses ont été dites sur lui et Mekkaoui, les annonçant sur le départ cet hiver au MCA. Benlamri est resté zain et lucide et n’a accordé aucune importance à ces informations infondées. A son retour à Tizi, il s’est entretenu avec Hannachi, qui a rassuré son joueur que la direction lui fait entièrement confiance et qu’il ne quittera jamais la JSK.

Le soutien des supporters le rassure
Sur le plan psychologique, on peut dire que l’axial de l’équipe se porte un peu mieux, notamment après avoir pris connaissance du soutien des supporters, lesquels s’opposent catégoriquement à son départ cet hiver. Il est conscient que les véritables supporters des Canaris et amoureux des couleurs connaissent sa valeur et le respectent pour tout ce qu’il a donné pour le club dans les moments difficiles. Il a toujours mouillé son maillot sans tricher, ce qui lui a valu les éloges de tous les spécialistes. S’il est considéré comme un cadre de l’équipe et jouit de l’estime du public, c’est parce qu’il a toujours fait preuve d’honnêteté, a déclaré un fervent supporter.

Ziti et Rial composeront la charnière centrale
L’axe de l’équipe souffrira de l’absence de cet élément. Toutefois, Ciccolini a déjà joué sans ce joueur, notamment lors de la précédente rencontre, en le laissant sur le banc. On croit savoir que c’est la paire axiale, Rial et Ziti, qui sera reconduite, alors que Raïah est pressenti à droite.

Le Buteur (05/12/2014)

JSK : Benlamri veut quitter la JSK au mercato

Il est évident que la JSK traverse une situation très difficile depuis déjà trois mois. Une autre équipe aurait été lanterne rouge du classement, après toute la période délicate que les joueurs endurent depuis le décès d’Albert Ebossé. Pour surmonter cette situation, il a fallu un grand travail psychologique, notamment avec les joueurs qui étaient tous atteints moralement. Du coup, renouer avec les victoires fut un très grand défi que les joueurs avaient du mal à relever. Pour preuve, plusieurs joueurs clés n’avaient pas le moral pour se donner à fond. D’ailleurs, la direction a même songé à en libérer, à l’image de Mourad Delhoum qui devrait récupérer bientôt ses papiers. Hier, une source bien informée nous a confié qu’un autre joueur-clé songerait à partir dès ce mercato. Il s’agit du défenseur Djamel Benlamri qui aurait pris la décision de résilier à son tour son contrat qui court jusqu’en 2016 et changer d’air. Une décision qui surprendra certainement les fans qui considèrent Benlamri comme étant une pièce maîtresse.

Ciccolini, l’une des raisons de sa décision
En essayant de creuser davantage pour connaître la raison qui a poussé Benlamri à vouloir quitter la JSK, nous avons appris que l’une des causes n’est autre que l’entraîneur en chef, François Ciccolini. Le Corse, comme tout le monde le sait, a déjà égratigné son joueur lors d’une intervention médiatique en le traitant de gamin. Toutefois, il faut dire que le rendement de Djamel a nettement baissé depuis quelque temps. Benlamri, qui est considéré comme l’un des meilleurs défenseurs en Algérie, ne joue plus régulièrement avec le nouvel entraîneur. Cela explique la raison de cette décision. Affaire à suivre.

Il devrait rencontrer Hannachi incessamment
A l’approche de l’ouverture du marché des transferts, la direction de la JSK est en train d’étudier plusieurs CV de joueurs étrangers, dans le but d’en recruter un ou deux. Toutefois, le président Hannachi doit aussi se focaliser sur les joueurs que la JSK renferme d’autant plus que l’un des cadres, à savoir Benlamri, souhaiterait partir. Du coup, le président kabyle devrait rencontrer son joueur incessamment, dans l’espoir de le rasséréner.

Le Buteur (09/12/2014)

lah ya ydradou qu'il part si il veux partir....et je voie que c'est pas le seul..le moral de l’équipe et au plus bas il et temps de libéré une partie et rajouté du sang neuve

JSK : Hannachi exige 2,5 milliards pour libérer Benlamri

A l’approche du mercato hivernal, du côté de la JSK, on annonce plusieurs joueurs sur le départ. Pour l’instant, la direction kabyle agit dans la discrétion, afin de ne pas perturber la sérénité du groupe. En championnat, les Canaris ont encore deux gros matchs à jouer face à l’USMH et au CSC ainsi que celui de Coupe d’Algérie dont l’entrée en lice est prévue le week-end prochain face au CRB Dar El Beïda. Pour le moment, aucun nom des joueurs qui partiront n’a été dévoilé. Pour rappel, il a été procédé à la résiliation des contrats de Delhoum et Hamroun. Ce dernier n’a même pas été qualifié. Par ailleurs, des rumeurs circulent ces derniers jours concernant l’éventuel départ de Benlamri cet hiver. Le joueur ne serait plus chaud à l’idée de continuer son aventure à la JSK pour des raisons qu’il n’a pas encore dévoilées. Une chose est sûre, depuis plusieurs semaines, Benlamri n’a plus le moral, après qu’il eut été malmené par un groupe de supporters qui l’ont invectivé. Un comportement inadmissible, indigne, qu’a déploré Benlamri. Depuis, son niveau a nettement baissé, lui qui n’a plus envie de poursuivre l’aventure avec la JSK. A en croire des indiscrétions, la direction kabyle n’est pas prête à laisser partir son joueur gratuitement. Ayant eu vent du désir du joueur de quitter le club cet hiver, surtout que des clubs  sont très intéressés par ses services, la direction kabyle aurait annoncé que Benlamri est intransférable, du moins en cette période de la saison. Maintenant si le joueur insiste à partir, sa lettre de libération coûtera pas moins de 2,5 milliards. Une somme que le joueur ne serait pas en mesure de verser pour pouvoir récupérer le document qui lui permettrait d’aller monnayer son talent ailleurs. Selon une source digne de foi, le CRB et le MCA seraient les deux clubs qui songent sérieusement à le recruter. Toutefois, on ne serait pas enclins à payer une telle somme. Du coup, Benlamri serait forcé à terminer le parcours à Tizi. Selon un dirigeant kabyle, le président Hannachi s’oppose catégoriquement au départ de son joueur, sauf s’il décroche un contrat à l’étranger. Par ailleurs, la même source annonce qu’un tête-à-tête entre Benlamri et son entraîneur Ciccolini sera programmé par Hannachi dans les meilleurs délais, afin de régler le différend qui existe entre les deux hommes, notamment depuis la dernière sortie médiatique du Corse qui a critiqué ses joueurs, en particulier Mekkaoui et Benlamri. A noter que pour la majorité des supporters kabyles, Benlamri est un joueur qui a du talent et qui a énormément donné pour ce club dans les moments les plus difficiles.

Le Buteur (10/12/2014)

JSk/Hannachi : «Benlamri est intransférable»

Même s’il est décidé à faire un grand nettoyage à la fin de la phase aller, le président Hannachi n’est pas disposé à laisser partir certains de ses cadres au mercato hivernal.

Comme nous l’avons rapporté précédemment, des titulaires indiscutables à l’image de Benlamri et Mekkaoui ne sont pas du tout chauds pour poursuivre leur aventure avec la JSK. Ces deux joueurs ont déjà fait part à l’entraîneur François Ciccolini de leur souhait de partir à la fin de la première manche du championnat, mais comme ils sont encore sous contrat, ils sont soumis à la libération pour quitter leur club employeur. Le président Hannachi a déjà confié à ses proches que Benlamri et Mekkaoui sont intransférables et il leur a réaffirmé la même chose ces derniers jours. «Benlamri et Mekkaoui n’iront nulle part. Ils resteront à la JSK», a-t-indiqué à ses collaborateurs. 

La situation qui prévaut au sein de la JSK depuis la mort d’Albert Ebossé n’encourage pas certains joueurs à rester, surtout ceux qui ont été insultés par les supporters après le semi-échec concédée face au champion d’Afrique. Les plus ciblés étaient Benlamri et Mekkaoui, lesquels ne comprennent pas l’acharnement d’une frange du public contre eux. Le président Hannachi a fait de son mieux pour les réconforter, mais il semble que ces deux joueurs ont perdu la joie de jouer. Ils traversent des moments très difficiles et malgré les encouragements de leurs responsables, ils craignent d’être désignés comme étant la source des problèmes à chaque fois que l’équipe concède des contreperformances.

Benlamri : «Hannachi ne me laissera jamais partir»
Le défenseur Djamel Benlamri ne sait plus à quel saint se vouer. Scandalisé par tout ce qui se dit sur lui, l’ex-pensionnaire des Sang et Or a perdu la joie de jouer. Il ne s’attendait pas à ce qu’il soit désigné comme la source des problèmes de la JSK par certains fans, lesquels lui avaient fait entendre des vertes et des pas mûres après le semi-échec face à l’ESS. Il avait boudé l’équipe pendant plusieurs jours avant de revenir à de meilleurs sentiments. Même s’il est toujours inconsolable par rapport à ce qu’il a vécu ces derniers jours, Benlamri a confié hier à certains proches du club que le président Hannachi ne le laissera jamais quitter la JSK tant qu’il est encore sous contrat. «Certaines personnes n’ont pas été tendres avec moi, mais le président Hannachi ne me laissera jamais partir. Il ne me remettra jamais ma lettre de libération, alors que je suis encore sous contrat avec le club», leur a-t-il affirmé hier.

Son salaire est de 75 millions de centimes dans son contrat
Selon une source autorisée, le salaire que perçoit Djamel Benlamri par mois est de 75 millions de centimes. C’est ce qui est mentionné dans son contrat. On ne sait pas s’il a eu droit ou pas à d’autres avantages, mais notre source avance que dans son contrat, il n’a droit qu’à une mensualité de 75 millions.

Compétition (10/12/2014)

JSK : Ciccolini-Benlamri, le bras de fer continue

Si certaines personnes prétendent que tout va bien à la JSK, c’est faux ! Les joueurs kabyles ne sont pas à l’aise depuis la nomination de François Ciccolini à la tête du staff technique. Le Corse, dès son arrivée, ne fait que diviser son groupe au point où plusieurs joueurs songent plus que jamais à partir. A ce rythme, l’entraîneur français risque de vider son équipe lors du prochain mercato hivernal. Après Mekkaoui, Mazari et plusieurs autres joueurs, voilà le cas du défenseur Djamel Benlamri qui refait surface. L’ancien joueur du NAHD, qui a déjà fait savoir à ses proches qu’il comptait quitter la JSK prochainement à cause de son différend avec Ciccolini, se trouve dans une impasse depuis quelque temps. En effet, l’axial kabyle n’arrive plus à expliquer son cas, lui qui n’entre plus dans les plans de l’entraîneur. Dernièrement, lors du match de Coupe d’Algérie, Benlamri, qui était annoncé titulaire, s’est retrouvé sur le banc des remplaçants. Alors que certaines personnes croyaient qu’il souffrait d’une blessure, il s’est avéré que le défenseur était apte à jouer. Une décision qui inquiète plus que jamais le joueur qui songe plus que jamais à réclamer ses papiers si la situation ne s’améliore pas.

Du statut de titulaire à celui de remplaçant
De l’avis de tous, Djamel Benlamri est l’un des meilleurs joueurs en Algérie. D’ailleurs, on lui a proposé des salaires faramineux, à l’instar du CSC qui lui a offert 350 millions/mois la saison écoulée. Ce solide axial, qui s’est engagé avec la JSK pour deux saisons avant de renouveler sans aucun problème son bail pour deux saisons supplémentaires, est devenu depuis quelque temps un joueur remplaçant qui n’entre plus dans les plans de l’entraîneur. Pour preuve, face au CRBDB, Benlamri n’a joué que huit minutes seulement. Une situation qui inquiète énormément le joueur qui n’est plus motivé.

Le défenseur a révélé à ses proches : «Ciccolini ne m’adresse même pas la parole»
Selon une source bien informée, le défenseur Benlamri a déclaré à ses proches que l’entraîneur Ciccolini ne lui adressait plus la parole et qu’il le marginalisait à chaque journée de championnat : «Je suis vraiment déçu. L’entraîneur veut me faire perdre l’envie de jouer au football. Il ne me parle pas et m’ignore. Je suis dégoûté.»

«Je n’étais pas blessé et j’étais prêt à débuter le match de coupe»
En allant encore plus loin, Benlamri a déclaré à l’un de ses proches qu’il n’était pas blessé lors du match face au CRBDB : «Faux, je n’étais pas blessé, c’est l’entraîneur qui ne voulait pas me faire jouer. Je ne sais même pas pourquoi.»

Le Buteur (16/12/2014)

Benlamri : «Face au MCEE, on joue gros !»

Le défenseur central de la JSK, Djamel Benlamri, se dit réjoui du point du nul arraché samedi dernier à Lavigerie. Il reste convaincu que ce n’est pas un si mauvais résultat face au leader du championnat. Toutefois, le joueur en question a mis l’accent sur la prochaine rencontre de coupe face au MCEE et l’a qualifiée de la plus importante depuis le début de saison.

Avec du recul, comment qualifiez-vous ce nul arraché face à l’USMH ?
Je pense que ce n’est pas un si mauvais résultat. Nous nous sommes bien débattus dans ce match. On mérite même la victoire. Mais même avec un nul, c’est une bonne chose. N’oublions pas aussi que nous avons affronté une très bonne équipe de l’USMH, qui se trouve en excellente forme. L’important dans ce genre de match est de ne pas perdre. Je pense que nous avons fait une bonne partie et que nous n’étions pas mauvais.

Pensez-vous pouvoir terminer la phase-aller sur une bonne note ?
Je l’espère. On sait que ce sera difficile, mais nous allons tout faire pour terminer sur une bonne note. Il nous reste un dernier match à domicile face au CSC. Je pense que si on termine la phase aller avec un succès, ce sera très bien pour nous, car cela nous permettra de bien entamer la phase retour du championnat.

Vous allez devoir préparer un match important face au MCEE pour le compte des 16es de finale de la coupe. Quel est votre commentaire ?
Nous allons jouer cette rencontre à l’extérieur. Chose qui compliquera davantage notre situation. Mais nous n’avons pas d’autre choix. Le tirage est ainsi fait. Le hasard a fait aussi qu’on affronte une équipe de Ligue 1 Mobilis. Ce sera donc une grosse affiche pour nous. Toutefois, nous sommes conscients que la coupe nous réserve toujours des surprises. Tôt ou tard, on aurait affronté une équipe de l’élite. Je pense que c’est à nous maintenant de nous montrer forts et d’aller créer l’exploit.

Vous avez pris part à la finale de la Coupe d’Algérie la saison passée. Pensez-vous que la JSK a une réputation à défendre ?
Je pense que même sans la finale perdue la saison dernière, nous avons une réputation à défendre. Pour cause, avant cette finale, la JSK a gagné la coupe mais aussi plein d’autres compétitions. C’est la raison pour laquelle je dirais que nous avons une réputation à défendre, car on porte un prestigieux maillot sur nos épaules. Tous les clubs nous attendent au tournant. Maintenant, c’est à nous de relever ce défi et d’aller décrocher cette qualification pour le prochain tour.

Comment le groupe a-t-il vécu le départ du coach ?
En tant que joueur, je refuse de commenter ce qui se passe au niveau du staff technique. Ce n’est pas du ressort des joueurs. J’estime que nous avons d’autres préoccupations. En prévision du prochain match de coupe, il est de notre devoir de réagir et de décrocher la qualification pour le prochain tour. Pour tout le reste, c’est à la direction de voir. Je pense que le président est le mieux placé pour répondre à cette question.

Le Buteur (23/12/2014)