Saison française, 2014 - 2015
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Re: Saison française, 2014 - 2015
Monaco pour recoller au groupe de tête
Monaco a une belle occasion de venir titiller le groupe de tête en recevant Reims, vendredi en ouverture de la 12e journée de Ligue 1.
L'ASM, qui reste sur deux victoires d'affilée, effectuerait une nette remontée au classement en cas de récidive face aux Rémois et serait propulsé à la 4e place avant les autres rencontres du week-end, samedi et dimanche.
Toujours sans son attaquant-vedette Dimitar Berbatov, touché aux adducteurs, le dauphin du Paris SG la saison dernière devrait tout de même retrouver l'un de ses cadres du milieu Jérémy Toulalan, victime d'une gastro-entérite et absent à Bastia (3-1), samedi. Joao Moutinho (entorse acromio-claviculaire), le défenseur Layvin Kurzawa (mollet) et l'attaquant Lucas Ocampos (genou) sont en revanche incertains.
Les Champenois, mal en point jusqu'à fin septembre, sont eux sur une bonne dynamique (3 matches sans défaite) et tenteront de s'éloigner encore un peu plus de la zone rouge.
A une semaine du clasico, cette 12e journée sera surtout marquée par le déplacement du PSG, toujours sans Zlatan Ibrahimovic mais avec le retour de suspension d'Edinson Cavani, à Lorient samedi, alors que le leader marseillais devra réagir contre Lens au Vélodrome après ses deux revers en trois jours (Lyon en championnat et Rennes en Coupe de la Ligue).
Le programme
Vendredi
Monaco - Reims
Samedi
Lorient - Paris SG
Guingamp - Bastia
Lille - Saint-Etienne
Metz - Caen
Montpellier - Evian-Thonon
Nice - Lyon
Dimanche
Nantes - Rennes
Bordeaux - Toulouse
Marseille - Lens
Fifa.com (30/10/2014)
Monaco a une belle occasion de venir titiller le groupe de tête en recevant Reims, vendredi en ouverture de la 12e journée de Ligue 1.
L'ASM, qui reste sur deux victoires d'affilée, effectuerait une nette remontée au classement en cas de récidive face aux Rémois et serait propulsé à la 4e place avant les autres rencontres du week-end, samedi et dimanche.
Toujours sans son attaquant-vedette Dimitar Berbatov, touché aux adducteurs, le dauphin du Paris SG la saison dernière devrait tout de même retrouver l'un de ses cadres du milieu Jérémy Toulalan, victime d'une gastro-entérite et absent à Bastia (3-1), samedi. Joao Moutinho (entorse acromio-claviculaire), le défenseur Layvin Kurzawa (mollet) et l'attaquant Lucas Ocampos (genou) sont en revanche incertains.
Les Champenois, mal en point jusqu'à fin septembre, sont eux sur une bonne dynamique (3 matches sans défaite) et tenteront de s'éloigner encore un peu plus de la zone rouge.
A une semaine du clasico, cette 12e journée sera surtout marquée par le déplacement du PSG, toujours sans Zlatan Ibrahimovic mais avec le retour de suspension d'Edinson Cavani, à Lorient samedi, alors que le leader marseillais devra réagir contre Lens au Vélodrome après ses deux revers en trois jours (Lyon en championnat et Rennes en Coupe de la Ligue).
Le programme
Vendredi
Monaco - Reims
Samedi
Lorient - Paris SG
Guingamp - Bastia
Lille - Saint-Etienne
Metz - Caen
Montpellier - Evian-Thonon
Nice - Lyon
Dimanche
Nantes - Rennes
Bordeaux - Toulouse
Marseille - Lens
Fifa.com (30/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Monaco - Un coup à jouer contre Reims
Monaco, 8e, qui reçoit Reims, 14e, vendredi en match avancé de la 12e journée de L1, a l'occasion en cas de victoire de revenir provisoirement à hauteur de Lyon et Saint-Etienne sur le podium.
Il existe parfois des rencontres qui, dans l'histoire d'une saison d'un club, permettent d'accrocher le bon wagon. Pour Monaco, dont le départ en championnat a été catastrophique, la réception de Reims en avant-première de la 12e journée ressemble à ce type de matches. Une victoire offrirait à l'équipe azuréenne la possibilité de venir enfin jouer dans la cour des grands, au niveau de Saint-Etienne et Lyon, et d'attendre tranquillement les résultats de la journée.
"Monaco revient, sourit le défenseur latéral droit Fabinho. On vient de gagner des matches importants. Pour continuer notre progression, pour viser les trois premières places en fin de championnat, on doit encore gagner contre Reims."
Depuis la défaite à Lyon (2-1), le 12 septembre, et la remise en cause d'une stratégie de pressing et de défense haut, jugée alors trop audacieuse selon de nombreux joueurs, Monaco a retrouvé un véritable équilibre. Ligue des champions comprise, l'équipe de Leonardo Jardim reste sur cinq victoires, trois matches nuls et une défaite (0-1, à domicile dans le derby contre Nice).
"Tout n'est pas encore bon"
"L'équipe progresse, commente sobrement l'entraîneur portugais du club du Rocher. C'est normal. Les joueurs avaient besoin de s'adapter. Mais on doit faire encore plus."
Jardim sait le moment décisif dans la saison et entend garder son groupe sous pression. "Je ne change pas de système, dit-il. J'ai l'équilibre. J'aime que chacun comprenne ce qui est demandé. Si tu changes toutes les semaines, c'est compliqué. J'ai vu les derniers matches de Reims. C'est une bonne équipe, qui joue très bien. Ce sera difficile. Il faudra faire un gros match pour gagner."
Selon lui, pas question d'estimer que l'élimination des Champenois contre Arles-Avignon en Coupe de la Ligue (2-3 a.p.) mardi soir puisse impacter les données de la rencontre.
"Un seul titulaire habituel a joué 120 minutes, glisse Jardim. Et ce qu'a vécu Reims peut avoir un côté positif pour nous, du fait d'un éventuel manque de confiance, comme un côté négatif, avec un groupe très motivé pour réaliser un résultat."
"Il faudra rester concentré, enchaîne Fabinho. Et tout donner pour gagner. Ces derniers temps, on est mieux. On a un peu plus de chance. Et on marque plus, comme à Bastia, où l'on a mis trois buts pour la première fois de la saison."
Si Monaco va mieux, c'est que son système défensif est plus performant. Mais comme toute médaille possède son revers, l'équipe reste en déficit de réalisme offensif. Toujours sans Berbatov, avec un Moutinho très incertain, il faudra toutefois marquer contre Reims pour gagner.
"Tout le monde reconnaît que l'on manque d'efficacité. Mais on se crée beaucoup de situations, insiste Jardim. Reste à travailler toujours pour progresser. En début de saison, tout n'était pas mauvais. Et si je suis satisfait aujourd'hui de l'évolution, tout n'est pas encore bon."
Fifa.com (30/10/2014)
Monaco, 8e, qui reçoit Reims, 14e, vendredi en match avancé de la 12e journée de L1, a l'occasion en cas de victoire de revenir provisoirement à hauteur de Lyon et Saint-Etienne sur le podium.
Il existe parfois des rencontres qui, dans l'histoire d'une saison d'un club, permettent d'accrocher le bon wagon. Pour Monaco, dont le départ en championnat a été catastrophique, la réception de Reims en avant-première de la 12e journée ressemble à ce type de matches. Une victoire offrirait à l'équipe azuréenne la possibilité de venir enfin jouer dans la cour des grands, au niveau de Saint-Etienne et Lyon, et d'attendre tranquillement les résultats de la journée.
"Monaco revient, sourit le défenseur latéral droit Fabinho. On vient de gagner des matches importants. Pour continuer notre progression, pour viser les trois premières places en fin de championnat, on doit encore gagner contre Reims."
Depuis la défaite à Lyon (2-1), le 12 septembre, et la remise en cause d'une stratégie de pressing et de défense haut, jugée alors trop audacieuse selon de nombreux joueurs, Monaco a retrouvé un véritable équilibre. Ligue des champions comprise, l'équipe de Leonardo Jardim reste sur cinq victoires, trois matches nuls et une défaite (0-1, à domicile dans le derby contre Nice).
"Tout n'est pas encore bon"
"L'équipe progresse, commente sobrement l'entraîneur portugais du club du Rocher. C'est normal. Les joueurs avaient besoin de s'adapter. Mais on doit faire encore plus."
Jardim sait le moment décisif dans la saison et entend garder son groupe sous pression. "Je ne change pas de système, dit-il. J'ai l'équilibre. J'aime que chacun comprenne ce qui est demandé. Si tu changes toutes les semaines, c'est compliqué. J'ai vu les derniers matches de Reims. C'est une bonne équipe, qui joue très bien. Ce sera difficile. Il faudra faire un gros match pour gagner."
Selon lui, pas question d'estimer que l'élimination des Champenois contre Arles-Avignon en Coupe de la Ligue (2-3 a.p.) mardi soir puisse impacter les données de la rencontre.
"Un seul titulaire habituel a joué 120 minutes, glisse Jardim. Et ce qu'a vécu Reims peut avoir un côté positif pour nous, du fait d'un éventuel manque de confiance, comme un côté négatif, avec un groupe très motivé pour réaliser un résultat."
"Il faudra rester concentré, enchaîne Fabinho. Et tout donner pour gagner. Ces derniers temps, on est mieux. On a un peu plus de chance. Et on marque plus, comme à Bastia, où l'on a mis trois buts pour la première fois de la saison."
Si Monaco va mieux, c'est que son système défensif est plus performant. Mais comme toute médaille possède son revers, l'équipe reste en déficit de réalisme offensif. Toujours sans Berbatov, avec un Moutinho très incertain, il faudra toutefois marquer contre Reims pour gagner.
"Tout le monde reconnaît que l'on manque d'efficacité. Mais on se crée beaucoup de situations, insiste Jardim. Reste à travailler toujours pour progresser. En début de saison, tout n'était pas mauvais. Et si je suis satisfait aujourd'hui de l'évolution, tout n'est pas encore bon."
Fifa.com (30/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Van der Wiel privé de clasico
L'arrière droit du Paris SG Gregory Van der Wiel a écopé jeudi de deux matches de suspension et sera donc indisponible contre Marseille le 9 novembre, tandis que l'entraîneur de Lille René Girard a été suspendu quatre matches.
Van der Wiel avait été exclu lors du match PSG-Bordeaux (3-0) de samedi dernier, tout comme le Girondin André Poko. La commission de discipline leur a infligé deux matches de suspension à chacun pour leurs cartons rouges.
René Girard avait été exclu dès la 40e minute de la défaite de Lille à Lyon (3-0) lors de la 9e journée pour avoir protesté auprès de l'arbitre au moment du premier but encaissé par son équipe.
Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1, Coupe de la Ligue, Coupe de France) ou par révocation du sursis. La sanction prend effet à partir du mardi 4 novembre 2014 à 0h00. Yeltsin Tejeda (Evian Thonon Gaillard), Jérémy Morel (Olympique de Marseille), André Ayew (Olympique de Marseille), Thiago Motta (Paris Saint-Germain), Djibril Sidibé (LOSC), Dragos Grigore (Toulouse FC)
Fifa.com (30/10/2014)
L'arrière droit du Paris SG Gregory Van der Wiel a écopé jeudi de deux matches de suspension et sera donc indisponible contre Marseille le 9 novembre, tandis que l'entraîneur de Lille René Girard a été suspendu quatre matches.
Van der Wiel avait été exclu lors du match PSG-Bordeaux (3-0) de samedi dernier, tout comme le Girondin André Poko. La commission de discipline leur a infligé deux matches de suspension à chacun pour leurs cartons rouges.
René Girard avait été exclu dès la 40e minute de la défaite de Lille à Lyon (3-0) lors de la 9e journée pour avoir protesté auprès de l'arbitre au moment du premier but encaissé par son équipe.
Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1, Coupe de la Ligue, Coupe de France) ou par révocation du sursis. La sanction prend effet à partir du mardi 4 novembre 2014 à 0h00. Yeltsin Tejeda (Evian Thonon Gaillard), Jérémy Morel (Olympique de Marseille), André Ayew (Olympique de Marseille), Thiago Motta (Paris Saint-Germain), Djibril Sidibé (LOSC), Dragos Grigore (Toulouse FC)
Fifa.com (30/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Cavani : "Ma situation est particulière"
L'attaquant uruguayen du Paris SG (D1), Edinson Cavani, auteur d'un modeste début de saison, assure que désormais "tout va bien" et explique que "sa situation est particulière" au PSG, dans un entretien au quotidien français Le Parisien/Aujourd'hui en France vendredi. "Je vais bien", assure le joueur. "Il y a eu un moment difficile, mais pas seulement pour moi, pour l'équipe. Les résultats n'étaient pas au rendez-vous", ajoute-t-il.
Concernant les critiques entendues ces dernières semaines, Edinson prévient : "Je suis prêt à recevoir des critiques (...) J'assume ma responsabilité et je fais tout pour retourner la situation. Mais il faut juger en général et pas seulement certains footballeurs."
Et d'expliquer : "Ma situation est un peu particulière. Je respecte les décisions du club et de l'entraîneur, mais j'ai la caractéristique de pouvoir jouer à différents postes et de pouvoir accomplir différentes missions. Je dois donc être fort dans ma tête et me dire qu'une fois je vais jouer à un poste et la fois d'après à un autre. C'est ce qui rend ma situation particulière, mais je travaille pour m'adapter."
L'Uruguayen, 27 ans, qui joue sur le côté pour laisser la place d'attaquant de pointe à Zlatan Ibrahimovic, rappelle : "quand un footballeur ne joue pas à son poste pendant un moment il perd le timing dans les déplacements. Ce premier point est fondamental."
Au sujet de "sa relation" avec l'attaquant suédois, Cavani se demande "pourquoi il y a tant de questions?". "Il n'y a aucun problème", affirme-t-il au quotidien, "j'ai la même relation avec lui qu'avec mes autres partenaires." Il avoue même "être meilleur" quand Ibahimovic est avec lui sur le terrain. "Nous sommes complémentaires. Il peut attirer des défenseurs sur lui et créer des espaces. Il met ses partenaires en valeur."
Fifa.com (31/10/2014)
L'attaquant uruguayen du Paris SG (D1), Edinson Cavani, auteur d'un modeste début de saison, assure que désormais "tout va bien" et explique que "sa situation est particulière" au PSG, dans un entretien au quotidien français Le Parisien/Aujourd'hui en France vendredi. "Je vais bien", assure le joueur. "Il y a eu un moment difficile, mais pas seulement pour moi, pour l'équipe. Les résultats n'étaient pas au rendez-vous", ajoute-t-il.
Concernant les critiques entendues ces dernières semaines, Edinson prévient : "Je suis prêt à recevoir des critiques (...) J'assume ma responsabilité et je fais tout pour retourner la situation. Mais il faut juger en général et pas seulement certains footballeurs."
Et d'expliquer : "Ma situation est un peu particulière. Je respecte les décisions du club et de l'entraîneur, mais j'ai la caractéristique de pouvoir jouer à différents postes et de pouvoir accomplir différentes missions. Je dois donc être fort dans ma tête et me dire qu'une fois je vais jouer à un poste et la fois d'après à un autre. C'est ce qui rend ma situation particulière, mais je travaille pour m'adapter."
L'Uruguayen, 27 ans, qui joue sur le côté pour laisser la place d'attaquant de pointe à Zlatan Ibrahimovic, rappelle : "quand un footballeur ne joue pas à son poste pendant un moment il perd le timing dans les déplacements. Ce premier point est fondamental."
Au sujet de "sa relation" avec l'attaquant suédois, Cavani se demande "pourquoi il y a tant de questions?". "Il n'y a aucun problème", affirme-t-il au quotidien, "j'ai la même relation avec lui qu'avec mes autres partenaires." Il avoue même "être meilleur" quand Ibahimovic est avec lui sur le terrain. "Nous sommes complémentaires. Il peut attirer des défenseurs sur lui et créer des espaces. Il met ses partenaires en valeur."
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Lorient n'est plus maître chez lui
Avec trois défaites de rang dans son enceinte du Moustoir, Lorient connaît son plus mauvais début de saison à domicile depuis sa remontée dans l'élite, au moment d'accueillir le Paris SG pour la 12e journée de Ligue 1, samedi.
Un nul (0-0) contre Nice pour débuter, lors de la 2e journée, une victoire probante (4-0) contre Guingamp à la quatrième, et depuis le trou noir. Le Moustoir, stade qui constituait autrefois une étape redoutée, même pour les gros du championnat, a vu Reims (0-1), Evian (0-2) et Saint-Étienne (0-1) venir, voir et vaincre contre les Merlus. Avec 4 points en 5 matches, Lorient n'avait jamais marqué aussi peu de points à domicile après 11 journées de championnat depuis sa remontée en L1, en 2006/2007.
Résultat, le club maintient tout juste la tête hors de l'eau, avec 10 points et une 17e place, la dernière avant la zone rouge, à la différence de buts. La saison passée à la même époque, le club était déjà 17e, avec 10 points également, mais à ceci près qu'ils avaient tous été acquis à domicile. Signe que le club du Morbihan est plus à l'aise loin de ses bases: il s'est qualifié mardi pour les huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue à Evian (2-1).
Déchet technique, inexpérience
"Cette qualif' obtenue à l'extérieur chez un club de Ligue 1 a remis du baume au coeur et permis de retrouver un vestiaire joyeux après le coup de sifflet final, et ça fait du bien", a commenté jeudi l'entraîneur Sylvain Ripoll.
Le principal problème du FCL réside dans la très grande irrégularité de son équipe, capable d'aller gagner solidement à Bastia 2-0 avant de faire un non-match total chez elle contre Saint-Étienne (0-1). "On n'arrive pas à avoir cette régularité qui fait qu'un match bascule du bon côté, a reconnu l'entraîneur. La régularité qui nous manque, elle est surtout sur le plan technique".
Les inconstances de son groupe sont également liées à son manque d'expérience, selon lui: "Il ne faut pas oublier non plus qu'on a une jeune équipe inexpérimentée, avec beaucoup de joueurs qui découvrent quasiment le niveau de la Ligue 1". Pour la venue de l'ogre parisien, il espère toutefois que ses joueurs sauront se montrer "à la hauteur de l'événement". "Une équipe dans notre situation a l'obligation de se sublimer chaque week-end, alors contre Paris encore plus. Pour rivaliser il faut faire un très, très gros match et espérer que eux n'en fassent pas un trop bon", a-t-il souligné.
Et même si Paris a eu du mal contre des équipes jouant très regroupées, Ripoll ne sacrifiera pas le jeu "à la Lorientaise": "Je ne fais pas partie des gens qui pensent qu'on peut passer tout un match à défendre". "Ce genre de match, pour ne pas avoir de regrets, il faut oser quand on peut le faire. Ça peut être par des attaques rapides, mais aussi garder le ballon quand on arrive à le prendre, parce que pendant ce temps là on ne court pas après", a-t-il conclu.
Fifa.com (31/10/2014)
Avec trois défaites de rang dans son enceinte du Moustoir, Lorient connaît son plus mauvais début de saison à domicile depuis sa remontée dans l'élite, au moment d'accueillir le Paris SG pour la 12e journée de Ligue 1, samedi.
Un nul (0-0) contre Nice pour débuter, lors de la 2e journée, une victoire probante (4-0) contre Guingamp à la quatrième, et depuis le trou noir. Le Moustoir, stade qui constituait autrefois une étape redoutée, même pour les gros du championnat, a vu Reims (0-1), Evian (0-2) et Saint-Étienne (0-1) venir, voir et vaincre contre les Merlus. Avec 4 points en 5 matches, Lorient n'avait jamais marqué aussi peu de points à domicile après 11 journées de championnat depuis sa remontée en L1, en 2006/2007.
Résultat, le club maintient tout juste la tête hors de l'eau, avec 10 points et une 17e place, la dernière avant la zone rouge, à la différence de buts. La saison passée à la même époque, le club était déjà 17e, avec 10 points également, mais à ceci près qu'ils avaient tous été acquis à domicile. Signe que le club du Morbihan est plus à l'aise loin de ses bases: il s'est qualifié mardi pour les huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue à Evian (2-1).
Déchet technique, inexpérience
"Cette qualif' obtenue à l'extérieur chez un club de Ligue 1 a remis du baume au coeur et permis de retrouver un vestiaire joyeux après le coup de sifflet final, et ça fait du bien", a commenté jeudi l'entraîneur Sylvain Ripoll.
Le principal problème du FCL réside dans la très grande irrégularité de son équipe, capable d'aller gagner solidement à Bastia 2-0 avant de faire un non-match total chez elle contre Saint-Étienne (0-1). "On n'arrive pas à avoir cette régularité qui fait qu'un match bascule du bon côté, a reconnu l'entraîneur. La régularité qui nous manque, elle est surtout sur le plan technique".
Les inconstances de son groupe sont également liées à son manque d'expérience, selon lui: "Il ne faut pas oublier non plus qu'on a une jeune équipe inexpérimentée, avec beaucoup de joueurs qui découvrent quasiment le niveau de la Ligue 1". Pour la venue de l'ogre parisien, il espère toutefois que ses joueurs sauront se montrer "à la hauteur de l'événement". "Une équipe dans notre situation a l'obligation de se sublimer chaque week-end, alors contre Paris encore plus. Pour rivaliser il faut faire un très, très gros match et espérer que eux n'en fassent pas un trop bon", a-t-il souligné.
Et même si Paris a eu du mal contre des équipes jouant très regroupées, Ripoll ne sacrifiera pas le jeu "à la Lorientaise": "Je ne fais pas partie des gens qui pensent qu'on peut passer tout un match à défendre". "Ce genre de match, pour ne pas avoir de regrets, il faut oser quand on peut le faire. Ça peut être par des attaques rapides, mais aussi garder le ballon quand on arrive à le prendre, parce que pendant ce temps là on ne court pas après", a-t-il conclu.
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Dernières mises en jambes avant le clasico
A une semaine du "clasico", le leader Marseille et son dauphin parisien s'offrent une ultime mise en jambes lors de la 12e journée de L1 en se frottant samedi et dimanche à deux équipes en grande difficulté, Lens et Lorient.
. L'OM pour chasser la crise de nerfs
Deux défaites en l'espace de trois jours, en championnat à Lyon et en Coupe de la Ligue à Rennes, ont soudainement crispé l'ambiance à Marseille. Le dernier épisode en date, une violente altercation à la Commanderie entre André-Pierre Gignac et le défenseur international ivoirien Brice Dja Djédjé, a encore un peu plus mis à mal la sérénité du groupe. Le meilleur buteur de L1 (10 réalisations) a indiqué vendredi sur son compte Twitter que l'incident était "clos", mais cet incident témoigne tout de même d'une certaine tension après un début de saison en fanfare et notamment une série historique de 8 victoires consécutives. Heureusement, l'adversaire qui se présentera au Vélodrome ne devrait pas trop faire souffrir les troupes de Marcelo Bielsa. Avant le grand choc au Parc des Princes contre l'ennemi parisien, Lens, 16e, apparaît comme le sparring-partner idéal pour se refaire une petite santé.
. Paris pour enchaîner
Après trois succès d'affilée, toutes compétitions confondues, l'atmosphère s'est au contraire apaisée chez le double champion de France avant un déplacement largement à sa portée à Lorient (17e). Le PSG ne ronronne plus et son infirmerie commence également à se vider, hormis le cas épineux de la superstar Zlatan Ibrahimovic, dont la mystérieuse blessure au talon n'est toujours pas guérie. Mais pour que les nuages disparaissent pour de bon avant les retrouvailles avec l'OM, Paris ne doit pas laisser filer son grand rival et doit au moins maintenir l'écart de quatre points qui le sépare de la tête du classement. Le retour de suspension d'Edinson Cavani, combiné au rétablissement complet d'Ezequiel Lavezzi, buteur face à Bordeaux (3-0) la semaine dernière quelques minutes après son entrée en jeu, va en tout cas éviter un nouveau casse-tête à Laurent Blanc pour composer sa ligne d'attaque.
. Lyon et Saint-Etienne pour rester au contact
L'OL, 3e à une petite longueur du PSG, va essayer de capitaliser sur sa belle victoire contre l'OM (1-0) à Nice, condamné au huis-clos partiel après les violences du match contre Bastia, le 18 octobre. La prestation de Yoann Gourcuff, en pleine renaissance avec trois buts en une semaine, sera encore particulièrement surveillée. Le club de Jean-Michel Aulas, de retour au premier plan et invaincu depuis le 12 septembre, a d'autant moins le droit à l'erreur que Saint-Etienne, 4e ex-aequo, va tenter de profiter des malheurs de Lille (11e), qui reste sur 3 défaites et dont l'entraîneur René Girard vient d'écoper de 4 matches d'interdiction de banc et de vestiaire d'arbitres. Juste derrière le duo OL-ASSE, Nantes, surprenant 5e, doit se méfier de Rennes (9e), qui a dominé coup sur coup Lille (en L1) et l'OM (en Coupe de la Ligue), tandis que Bordeaux, en net reflux (6e), espère une réaction contre Toulouse (12e), toujours aussi inconstant.
Le programme
Vendredi
Monaco - Reims
Samedi
Lorient - Paris SG
Guingamp - Bastia
Lille - Saint-Etienne
Metz - Caen
Montpellier - Evian-Thonon
Nice - Lyon
Dimanche
Nantes - Rennes
Bordeaux - Toulouse
Marseille - Lens
Fifa.com (31/10/2014)
A une semaine du "clasico", le leader Marseille et son dauphin parisien s'offrent une ultime mise en jambes lors de la 12e journée de L1 en se frottant samedi et dimanche à deux équipes en grande difficulté, Lens et Lorient.
. L'OM pour chasser la crise de nerfs
Deux défaites en l'espace de trois jours, en championnat à Lyon et en Coupe de la Ligue à Rennes, ont soudainement crispé l'ambiance à Marseille. Le dernier épisode en date, une violente altercation à la Commanderie entre André-Pierre Gignac et le défenseur international ivoirien Brice Dja Djédjé, a encore un peu plus mis à mal la sérénité du groupe. Le meilleur buteur de L1 (10 réalisations) a indiqué vendredi sur son compte Twitter que l'incident était "clos", mais cet incident témoigne tout de même d'une certaine tension après un début de saison en fanfare et notamment une série historique de 8 victoires consécutives. Heureusement, l'adversaire qui se présentera au Vélodrome ne devrait pas trop faire souffrir les troupes de Marcelo Bielsa. Avant le grand choc au Parc des Princes contre l'ennemi parisien, Lens, 16e, apparaît comme le sparring-partner idéal pour se refaire une petite santé.
. Paris pour enchaîner
Après trois succès d'affilée, toutes compétitions confondues, l'atmosphère s'est au contraire apaisée chez le double champion de France avant un déplacement largement à sa portée à Lorient (17e). Le PSG ne ronronne plus et son infirmerie commence également à se vider, hormis le cas épineux de la superstar Zlatan Ibrahimovic, dont la mystérieuse blessure au talon n'est toujours pas guérie. Mais pour que les nuages disparaissent pour de bon avant les retrouvailles avec l'OM, Paris ne doit pas laisser filer son grand rival et doit au moins maintenir l'écart de quatre points qui le sépare de la tête du classement. Le retour de suspension d'Edinson Cavani, combiné au rétablissement complet d'Ezequiel Lavezzi, buteur face à Bordeaux (3-0) la semaine dernière quelques minutes après son entrée en jeu, va en tout cas éviter un nouveau casse-tête à Laurent Blanc pour composer sa ligne d'attaque.
. Lyon et Saint-Etienne pour rester au contact
L'OL, 3e à une petite longueur du PSG, va essayer de capitaliser sur sa belle victoire contre l'OM (1-0) à Nice, condamné au huis-clos partiel après les violences du match contre Bastia, le 18 octobre. La prestation de Yoann Gourcuff, en pleine renaissance avec trois buts en une semaine, sera encore particulièrement surveillée. Le club de Jean-Michel Aulas, de retour au premier plan et invaincu depuis le 12 septembre, a d'autant moins le droit à l'erreur que Saint-Etienne, 4e ex-aequo, va tenter de profiter des malheurs de Lille (11e), qui reste sur 3 défaites et dont l'entraîneur René Girard vient d'écoper de 4 matches d'interdiction de banc et de vestiaire d'arbitres. Juste derrière le duo OL-ASSE, Nantes, surprenant 5e, doit se méfier de Rennes (9e), qui a dominé coup sur coup Lille (en L1) et l'OM (en Coupe de la Ligue), tandis que Bordeaux, en net reflux (6e), espère une réaction contre Toulouse (12e), toujours aussi inconstant.
Le programme
Vendredi
Monaco - Reims
Samedi
Lorient - Paris SG
Guingamp - Bastia
Lille - Saint-Etienne
Metz - Caen
Montpellier - Evian-Thonon
Nice - Lyon
Dimanche
Nantes - Rennes
Bordeaux - Toulouse
Marseille - Lens
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
OM - Cheyrou a résilié son contrat
Le milieu de terrain Benoît Cheyrou et l'Olympique de Marseille ont résilié le contrat qui les liait et le joueur est désormais libre de rejoindre un autre club, a annoncé vendredi l'OM.
"Benoît Cheyrou est libéré de son contrat avec l'Olympique de Marseille. Les deux parties ont résilié leur contrat sans autres commentaires", a indiqué l'OM sur son site internet.
Arrivé au club en 2007, l'ancien auxerrois de 33 ans faisait partie des cadres de l'OM lors des précédentes saisons. Mais, mis à l'écart par la direction du club, il s'entraînait depuis septembre avec l'équipe réserve.
Le départ de Cheyrou, "je trouve ça dommage (...) c'est sûrement une page qui se tourne", a réagi le défenseur Rod Fanni, un des autres cadres de l'équipe. "C'est quelqu'un dans le vestiaire qui a apporté le plus de trophées au club, on n'aime pas forcément ce genre de fin, c'est malheureux".
Pour Fanni, lui aussi un temps écarté du groupe professionnel en début de saison avant de le réintégrer, "chaque cas a sa vérité. Moi je ne suis pas dans le cas de Benoît. On a vécu des choses qui se sont ressemblées voire croisées, mais je ne veux pas juger ou donner mon avis".
Cheyrou a remporté le titre de champion de France 2010, trois coupes de la Ligue (2010, 2011 et 2012) et deux trophées des champions (2010 et 2011).
Le club "remercie le milieu de terrain pour son investissement et son parcours avec le maillot blanc pendant ces sept années", a précisé l'OM.
Fifa.com (31/10/2014)
Le milieu de terrain Benoît Cheyrou et l'Olympique de Marseille ont résilié le contrat qui les liait et le joueur est désormais libre de rejoindre un autre club, a annoncé vendredi l'OM.
"Benoît Cheyrou est libéré de son contrat avec l'Olympique de Marseille. Les deux parties ont résilié leur contrat sans autres commentaires", a indiqué l'OM sur son site internet.
Arrivé au club en 2007, l'ancien auxerrois de 33 ans faisait partie des cadres de l'OM lors des précédentes saisons. Mais, mis à l'écart par la direction du club, il s'entraînait depuis septembre avec l'équipe réserve.
Le départ de Cheyrou, "je trouve ça dommage (...) c'est sûrement une page qui se tourne", a réagi le défenseur Rod Fanni, un des autres cadres de l'équipe. "C'est quelqu'un dans le vestiaire qui a apporté le plus de trophées au club, on n'aime pas forcément ce genre de fin, c'est malheureux".
Pour Fanni, lui aussi un temps écarté du groupe professionnel en début de saison avant de le réintégrer, "chaque cas a sa vérité. Moi je ne suis pas dans le cas de Benoît. On a vécu des choses qui se sont ressemblées voire croisées, mais je ne veux pas juger ou donner mon avis".
Cheyrou a remporté le titre de champion de France 2010, trois coupes de la Ligue (2010, 2011 et 2012) et deux trophées des champions (2010 et 2011).
Le club "remercie le milieu de terrain pour son investissement et son parcours avec le maillot blanc pendant ces sept années", a précisé l'OM.
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Lens - Kombouaré : "On n'a pas peur"
Antoine Kombouaré, l'entraîneur de Lens, qui se déplace dimanche (21h00) à Marseille, "respecte l'OM mais n'a pas peur" du leader de L1 qui voudra réagir au Vélodrome après deux défaites consécutives, a-t-il affirmé vendredi en conférence de presse.
Marseille reste sur deux défaites consécutives (Lyon et Rennes), est-ce le bon moment pour l'affronter ?
L'OM reste un adversaire redoutable, une équipe sûrement vexée avec les deux défaites qu'elle vient de subir. Après, on parle bien de Marseille, qui est premier du championnat et intraitable à domicile. On s'attend à souffrir, à avoir des enragés face à nous, des mecs qui courent partout. Mais on a envie quand même de montrer notre meilleur visage. L'OM a quelques petits soucis et on essaiera de les exploiter. Il a un jeu qui demande beaucoup d'efforts.
Comment aborder ce match qui est un choc des extrêmes ?
On travaille, on est déterminé à prendre des points pour assurer le maintien en Ligue 1. Nous sommes des hommes, on veut être debout sur cette pelouse du Vélodrome et montrer le meilleur visage possible. Forcément, Marseille est archi-favori mais dans le foot tout est possible. Il faudra aller de l'avant et être efficace offensivement. J'attends surtout une grosse performance collective. Si on n'est pas soudé, on volera en éclat !
Ne craignez-vous pas trop de pression pour vos jeunes joueurs qui vont jouer dans un stade Vélodrome plein à craquer et devant les caméras de télévision ?
Personnellement, je n'en ai rien à cirer de jouer devant la France entière. Jouer au stade de la Licorne (à Amiens), ça me plaît. Mais c'est vrai que si j'ai une inquiétude, c'est au niveau émotionnel pour mes joueurs. Même si on a connu l'expérience du Stade de France, le Vélodrome c'est encore autre chose. Avec le staff et les joueurs, on a discuté pour préparer au mieux le match. Les joueurs savent qu'ils sont là pour jouer un match de foot et aller chercher des points. Tout ce qui concerne les médias ou la pression, on fait abstraction de tout ça. On fait tout pour dédramatiser la situation et se concentrer sur le terrain. Après je ne suis pas dans leur tête, on verra bien.
Lens est souvent meilleur lorsqu'il est en position d'outsider...
On n'a pas le choix, c'est le contexte qui se présente à nous. On fait partie des derniers et on affronte une équipe de haut de tableau. On respecte l'OM mais on n'a pas peur. Toute la saison, on fera figure de Petit Poucet car les autres sont meilleurs que nous. Mais on a envie de s'en sortir, on va les jouer tous ces matches.
Avez-vous des nouvelles de l'actionnaire majoritaire, Hafiz Mammadov, qui a jusqu'à ce vendredi soir minuit pour verser 2,5 millions d'euros afin que soit levée l'interdiction de recrutement ?
Comme dit Saint-Thomas, je ne crois que ce que je vois. Et aujourd'hui, je vois que je n'ai que 21 joueurs. C'est tout.
Fifa.com (31/10/2014)
Antoine Kombouaré, l'entraîneur de Lens, qui se déplace dimanche (21h00) à Marseille, "respecte l'OM mais n'a pas peur" du leader de L1 qui voudra réagir au Vélodrome après deux défaites consécutives, a-t-il affirmé vendredi en conférence de presse.
Marseille reste sur deux défaites consécutives (Lyon et Rennes), est-ce le bon moment pour l'affronter ?
L'OM reste un adversaire redoutable, une équipe sûrement vexée avec les deux défaites qu'elle vient de subir. Après, on parle bien de Marseille, qui est premier du championnat et intraitable à domicile. On s'attend à souffrir, à avoir des enragés face à nous, des mecs qui courent partout. Mais on a envie quand même de montrer notre meilleur visage. L'OM a quelques petits soucis et on essaiera de les exploiter. Il a un jeu qui demande beaucoup d'efforts.
Comment aborder ce match qui est un choc des extrêmes ?
On travaille, on est déterminé à prendre des points pour assurer le maintien en Ligue 1. Nous sommes des hommes, on veut être debout sur cette pelouse du Vélodrome et montrer le meilleur visage possible. Forcément, Marseille est archi-favori mais dans le foot tout est possible. Il faudra aller de l'avant et être efficace offensivement. J'attends surtout une grosse performance collective. Si on n'est pas soudé, on volera en éclat !
Ne craignez-vous pas trop de pression pour vos jeunes joueurs qui vont jouer dans un stade Vélodrome plein à craquer et devant les caméras de télévision ?
Personnellement, je n'en ai rien à cirer de jouer devant la France entière. Jouer au stade de la Licorne (à Amiens), ça me plaît. Mais c'est vrai que si j'ai une inquiétude, c'est au niveau émotionnel pour mes joueurs. Même si on a connu l'expérience du Stade de France, le Vélodrome c'est encore autre chose. Avec le staff et les joueurs, on a discuté pour préparer au mieux le match. Les joueurs savent qu'ils sont là pour jouer un match de foot et aller chercher des points. Tout ce qui concerne les médias ou la pression, on fait abstraction de tout ça. On fait tout pour dédramatiser la situation et se concentrer sur le terrain. Après je ne suis pas dans leur tête, on verra bien.
Lens est souvent meilleur lorsqu'il est en position d'outsider...
On n'a pas le choix, c'est le contexte qui se présente à nous. On fait partie des derniers et on affronte une équipe de haut de tableau. On respecte l'OM mais on n'a pas peur. Toute la saison, on fera figure de Petit Poucet car les autres sont meilleurs que nous. Mais on a envie de s'en sortir, on va les jouer tous ces matches.
Avez-vous des nouvelles de l'actionnaire majoritaire, Hafiz Mammadov, qui a jusqu'à ce vendredi soir minuit pour verser 2,5 millions d'euros afin que soit levée l'interdiction de recrutement ?
Comme dit Saint-Thomas, je ne crois que ce que je vois. Et aujourd'hui, je vois que je n'ai que 21 joueurs. C'est tout.
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
PSG - Ibrahimovic absent mais rassurant
L'entraîneur du PSG Laurent Blanc s'est montré vendredi optimiste au sujet de l'évolution de la blessure de Zlatan Ibrahimovic, blessé au talon depuis le 21 septembre, même si la star de l'attaque ne sera toujours pas du voyage à Lorient, samedi.
"Ca va beaucoup mieux, pas suffisamment pour qu'il s'entraîne collectivement et qu'il soit dans le groupe demain mais il y a quelques signes positifs, a déclaré Blanc. Hier, et avant-hier, c'est un des rares jours où il n'a ressenti aucune douleur. J'y vois un signe positif et lui-même est assez satisfait".
Interrogé sur la date de retour d'"Ibra" et surtout sur l'éventualité de le voir à l'oeuvre lors du "clasico" contre le leader de la Ligue 1, Marseille, le 9 novembre au Parc des Princes, Blanc est en revanche resté évasif.
"On a patienté quatre semaines, on peut patienter une semaine ou dix jours de plus, a-t-il expliqué. Il commence à trouver le temps long mais, tant qu'il y avait cette douleur, il ne pouvait travailler qu'à part et ne pouvait pas faire n'importe quoi. A partir du moment où il n'a plus de douleur, il peut commencer à travailler de façon plus intensive".
L'entraîneur des doubles champions de France, 2e de L1 à quatre points de l'OM, a également balayé tout doute sur la capacité d'Ibrahimovic à retrouver rapidement ses sensations.
"Il arrivera à se remettre au niveau rapidement parce qu'il a travaillé, a-t-il indiqué. Il a pu faire du vélo et des exercices qui ont maintenu son cardio et son niveau aérobie à un bon stade".
Fifa.com (31/10/2014)
L'entraîneur du PSG Laurent Blanc s'est montré vendredi optimiste au sujet de l'évolution de la blessure de Zlatan Ibrahimovic, blessé au talon depuis le 21 septembre, même si la star de l'attaque ne sera toujours pas du voyage à Lorient, samedi.
"Ca va beaucoup mieux, pas suffisamment pour qu'il s'entraîne collectivement et qu'il soit dans le groupe demain mais il y a quelques signes positifs, a déclaré Blanc. Hier, et avant-hier, c'est un des rares jours où il n'a ressenti aucune douleur. J'y vois un signe positif et lui-même est assez satisfait".
Interrogé sur la date de retour d'"Ibra" et surtout sur l'éventualité de le voir à l'oeuvre lors du "clasico" contre le leader de la Ligue 1, Marseille, le 9 novembre au Parc des Princes, Blanc est en revanche resté évasif.
"On a patienté quatre semaines, on peut patienter une semaine ou dix jours de plus, a-t-il expliqué. Il commence à trouver le temps long mais, tant qu'il y avait cette douleur, il ne pouvait travailler qu'à part et ne pouvait pas faire n'importe quoi. A partir du moment où il n'a plus de douleur, il peut commencer à travailler de façon plus intensive".
L'entraîneur des doubles champions de France, 2e de L1 à quatre points de l'OM, a également balayé tout doute sur la capacité d'Ibrahimovic à retrouver rapidement ses sensations.
"Il arrivera à se remettre au niveau rapidement parce qu'il a travaillé, a-t-il indiqué. Il a pu faire du vélo et des exercices qui ont maintenu son cardio et son niveau aérobie à un bon stade".
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Lyon - Lopes solide au poste
Déterminant dans la victoire sur Marseille (1-0) dimanche, le gardien franco-portugais Anthony Lopes paraît installé durablement dans les buts de l'Olympique lyonnais qui joue pour la 12e journée de Ligue 1 samedi à Nice, là où tout à commencé pour lui,
"Il a fallu son talent pour rester dans le match", a salué l'entraîneur, Hubert Fournier, après ses parades décisives dimanche face à André Ayew ou André-Pierre Gignac. La chance a aussi été de son côté sur un tir de Benjamin Mendy, qui a heurté le poteau. "De temps en temps, il faut avoir la baraka. Elle est venue au bon moment", a commenté Lopes après la rencontre.
Parce que le marché des gardiens est réduit, et si l'OL se maintient parmi les meilleurs du championnat, Lopes, 24 ans, pourrait bien n'être qu'au début d'un long bail à son poste, à l'image de Grégory Coupet, resté 11 ans et demi à Lyon (janvier 1997-2008, 519 matches), ou Yves Chauveau, 17 ans au total (1964-1975 et 1978-1982, 490 matches).
Natif de Givors (Rhône), Lopes, qui a surmonté sa déception de ne pas être allé au Brésil pour le Mondial avec le Portugal comme gardien N.3, a été formé à Lyon où il est arrivé à l'âge de 10 ans. "L'entraîneur des gardiens de la sélection (portugaise, ndlr) m'a félicité pour mon match contre l'OM", a-t-il confié dimanche, espérant y voir le signe d'un réel avenir international.
Des débuts cauchemardesques
Après avoir franchi toutes les étapes de la formation lyonnaise, qui ne "produit" pas seulement des attaquants mais aussi quelques gardiens comme Rémy Riou (Nantes), il a débuté comme professionnel il y a tout juste deux ans, le 31 octobre 2012 lors d'un déplacement cauchemardesque à Nice en 8e de finale de Coupe de la Ligue, perdu 3-1. Ce soir-là, la défense lyonnaise, inexistante, l'avait laissé livré à lui-même.
C'est un jour de derby contre Saint-Etienne (1-1), le 28 avril 2013, qu'il a vraiment endossé le costume de gardien numéro un. Il palliait au pied levé la grave blessure à un genou du titulaire, Rémy Vercoutre, qui avait succédé à l'international Hugo Lloris, transféré à Tottenham huit mois auparavant.
Blessé à son tour aux cervicales contre Guingamp, il y a un an, Lopes a finalement été officialisé comme titulaire au détriment de Vercoutre en janvier dernier par Rémi Garde, entraîneur du club à l'époque. A ce jour, il compte 71 matches en professionnel, dont cinq en Coupe de la Ligue et 18 en compétitions européennes.
Malgré une taille assez moyenne (1,84 m pour 81 kg), il fait preuve d'une très bonne présence sur sa ligne et affiche de gros progrès cette saison sur les sorties aériennes, qui restaient son gros point faible.
"Il a beaucoup progressé dans la concentration et en maturité", avait aussi souligné Hubert Fournier après le match gagné contre Lorient (4-0), le 26 septembre. Lors duquel il avait été, là aussi, déterminant alors que la marque en était encore à 1-0.
Fifa.com (31/10/2014)
Déterminant dans la victoire sur Marseille (1-0) dimanche, le gardien franco-portugais Anthony Lopes paraît installé durablement dans les buts de l'Olympique lyonnais qui joue pour la 12e journée de Ligue 1 samedi à Nice, là où tout à commencé pour lui,
"Il a fallu son talent pour rester dans le match", a salué l'entraîneur, Hubert Fournier, après ses parades décisives dimanche face à André Ayew ou André-Pierre Gignac. La chance a aussi été de son côté sur un tir de Benjamin Mendy, qui a heurté le poteau. "De temps en temps, il faut avoir la baraka. Elle est venue au bon moment", a commenté Lopes après la rencontre.
Parce que le marché des gardiens est réduit, et si l'OL se maintient parmi les meilleurs du championnat, Lopes, 24 ans, pourrait bien n'être qu'au début d'un long bail à son poste, à l'image de Grégory Coupet, resté 11 ans et demi à Lyon (janvier 1997-2008, 519 matches), ou Yves Chauveau, 17 ans au total (1964-1975 et 1978-1982, 490 matches).
Natif de Givors (Rhône), Lopes, qui a surmonté sa déception de ne pas être allé au Brésil pour le Mondial avec le Portugal comme gardien N.3, a été formé à Lyon où il est arrivé à l'âge de 10 ans. "L'entraîneur des gardiens de la sélection (portugaise, ndlr) m'a félicité pour mon match contre l'OM", a-t-il confié dimanche, espérant y voir le signe d'un réel avenir international.
Des débuts cauchemardesques
Après avoir franchi toutes les étapes de la formation lyonnaise, qui ne "produit" pas seulement des attaquants mais aussi quelques gardiens comme Rémy Riou (Nantes), il a débuté comme professionnel il y a tout juste deux ans, le 31 octobre 2012 lors d'un déplacement cauchemardesque à Nice en 8e de finale de Coupe de la Ligue, perdu 3-1. Ce soir-là, la défense lyonnaise, inexistante, l'avait laissé livré à lui-même.
C'est un jour de derby contre Saint-Etienne (1-1), le 28 avril 2013, qu'il a vraiment endossé le costume de gardien numéro un. Il palliait au pied levé la grave blessure à un genou du titulaire, Rémy Vercoutre, qui avait succédé à l'international Hugo Lloris, transféré à Tottenham huit mois auparavant.
Blessé à son tour aux cervicales contre Guingamp, il y a un an, Lopes a finalement été officialisé comme titulaire au détriment de Vercoutre en janvier dernier par Rémi Garde, entraîneur du club à l'époque. A ce jour, il compte 71 matches en professionnel, dont cinq en Coupe de la Ligue et 18 en compétitions européennes.
Malgré une taille assez moyenne (1,84 m pour 81 kg), il fait preuve d'une très bonne présence sur sa ligne et affiche de gros progrès cette saison sur les sorties aériennes, qui restaient son gros point faible.
"Il a beaucoup progressé dans la concentration et en maturité", avait aussi souligné Hubert Fournier après le match gagné contre Lorient (4-0), le 26 septembre. Lors duquel il avait été, là aussi, déterminant alors que la marque en était encore à 1-0.
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
PSG - Le duo Cavani-Lavezzi en attendant Ibra
Le retour de suspension d'Edinson Cavani à Lorient, samedi, et le rétablissement d'Ezequiel Lavezzi sont une aubaine à une semaine du clasico pour le PSG et Laurent Blanc, toujours orphelins de leur leader offensif Zlatan Ibrahimovic.
La semaine dernière, c'est un double champion de France totalement démuni en attaque qui avait accueilli Bordeaux au Parc des Princes. Le succès facile des Parisiens (3-0) avait finalement balayé les craintes préalables, le Brésilien Lucas, auteur d'un doublé, ayant pallié la pénurie dans un secteur privé d'"Ibra" et du "Matador" uruguayen. Mais le temps du bricolage est peut-être enfin terminé pour l'entraîneur du PSG.
Si le géant suédois, sur le flanc depuis le 21 septembre (talon), "va beaucoup mieux", comme l'a expliqué l'entraîneur parisien vendredi, il est encore trop tôt pour décider d'une date de reprise de la compétition. Le PSG doit donc toujours composer sans son joueur fétiche avant de débuter au Moustoir une séquence de trois rencontres qui se terminera par le grand rendez-vous contre le leader Marseille, le 9 novembre au Parc des Princes, juste après la réception de l'Apoël Nicosie, mercredi en Ligue des champions.
Mais cette absence de poids est bien la seule et dernière contrariété sur le plan offensif à laquelle doit faire face Blanc, qui peut de nouveau compter sur le duo Cavani-Lavezzi après avoir vu son infirmerie se vider de ses derniers éléments défensifs (Thiago Silva, David Luiz, Marquinhos).
L'Uruguayen va pouvoir reprendre sa place après avoir purgé sa suspension pour son exclusion polémique contre Lens au Stade de France (3-1), le 17 octobre. Certes, l'ex-meilleur buteur de la Serie A ne peut pas rivaliser avec Ibrahimovic en terme d'efficacité depuis son arrivée en France à l'été 2013.
Cavani bonifié par Lavezzi ?
Difficile toutefois pour Blanc et Paris de s'offrir le luxe d'aborder leur triptyque sans un joueur de sa classe. Son retour est évidemment une bonne nouvelle pour le dauphin de l'OM et pourrait être bonifié par celui de Lavezzi, son ancien compère à Naples entre 2010 et 2012.
Le vice-champion du monde argentin avait quitté ses coéquipiers le 24 septembre à Caen (2-0) pour des douleurs à la cuisse mais il a dignement fêté ses retrouvailles avec le terrain en inscrivant le 3e but face aux Bordelais, quelques minutes seulement après son entrée en jeu. Avec Lavezzi, Blanc possède désormais une variété supplémentaire de solutions en attaque.
"Il peut amener de la profondeur, des buts, je suis très content qu'il ait marqué ce but lors de sa rentrée contre Bordeaux, a déclaré Blanc vendredi. Il a connu des problèmes physiques, a eu un retour de Coupe du monde compliqué. Il démarre véritablement sa saison à partir de maintenant".
"Ezequiel, on le connaît, c'est un très bon joueur qui aime les espaces, qui peut jouer en pointe, sur un côté, a abondé dans le même sens le milieu Blaise Matuidi. Il est très mobile, ne lâche rien. Il apporte de la profondeur, il demande beaucoup de ballons et il entretient une belle entente avec Edinson."
En attendant de récupérer Ibrahimovic, le salut parisien va donc prioritairement passer en attaque par l'association entre Cavani et Lavezzi. Ils ont trois matches pour assurer un intérim crédible avant de laisser de nouveau le beau rôle au roi Ibra.
Fifa.com (31/10/2014)
Le retour de suspension d'Edinson Cavani à Lorient, samedi, et le rétablissement d'Ezequiel Lavezzi sont une aubaine à une semaine du clasico pour le PSG et Laurent Blanc, toujours orphelins de leur leader offensif Zlatan Ibrahimovic.
La semaine dernière, c'est un double champion de France totalement démuni en attaque qui avait accueilli Bordeaux au Parc des Princes. Le succès facile des Parisiens (3-0) avait finalement balayé les craintes préalables, le Brésilien Lucas, auteur d'un doublé, ayant pallié la pénurie dans un secteur privé d'"Ibra" et du "Matador" uruguayen. Mais le temps du bricolage est peut-être enfin terminé pour l'entraîneur du PSG.
Si le géant suédois, sur le flanc depuis le 21 septembre (talon), "va beaucoup mieux", comme l'a expliqué l'entraîneur parisien vendredi, il est encore trop tôt pour décider d'une date de reprise de la compétition. Le PSG doit donc toujours composer sans son joueur fétiche avant de débuter au Moustoir une séquence de trois rencontres qui se terminera par le grand rendez-vous contre le leader Marseille, le 9 novembre au Parc des Princes, juste après la réception de l'Apoël Nicosie, mercredi en Ligue des champions.
Mais cette absence de poids est bien la seule et dernière contrariété sur le plan offensif à laquelle doit faire face Blanc, qui peut de nouveau compter sur le duo Cavani-Lavezzi après avoir vu son infirmerie se vider de ses derniers éléments défensifs (Thiago Silva, David Luiz, Marquinhos).
L'Uruguayen va pouvoir reprendre sa place après avoir purgé sa suspension pour son exclusion polémique contre Lens au Stade de France (3-1), le 17 octobre. Certes, l'ex-meilleur buteur de la Serie A ne peut pas rivaliser avec Ibrahimovic en terme d'efficacité depuis son arrivée en France à l'été 2013.
Cavani bonifié par Lavezzi ?
Difficile toutefois pour Blanc et Paris de s'offrir le luxe d'aborder leur triptyque sans un joueur de sa classe. Son retour est évidemment une bonne nouvelle pour le dauphin de l'OM et pourrait être bonifié par celui de Lavezzi, son ancien compère à Naples entre 2010 et 2012.
Le vice-champion du monde argentin avait quitté ses coéquipiers le 24 septembre à Caen (2-0) pour des douleurs à la cuisse mais il a dignement fêté ses retrouvailles avec le terrain en inscrivant le 3e but face aux Bordelais, quelques minutes seulement après son entrée en jeu. Avec Lavezzi, Blanc possède désormais une variété supplémentaire de solutions en attaque.
"Il peut amener de la profondeur, des buts, je suis très content qu'il ait marqué ce but lors de sa rentrée contre Bordeaux, a déclaré Blanc vendredi. Il a connu des problèmes physiques, a eu un retour de Coupe du monde compliqué. Il démarre véritablement sa saison à partir de maintenant".
"Ezequiel, on le connaît, c'est un très bon joueur qui aime les espaces, qui peut jouer en pointe, sur un côté, a abondé dans le même sens le milieu Blaise Matuidi. Il est très mobile, ne lâche rien. Il apporte de la profondeur, il demande beaucoup de ballons et il entretient une belle entente avec Edinson."
En attendant de récupérer Ibrahimovic, le salut parisien va donc prioritairement passer en attaque par l'association entre Cavani et Lavezzi. Ils ont trois matches pour assurer un intérim crédible avant de laisser de nouveau le beau rôle au roi Ibra.
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Lyon - Gourcuff forfait
Le milieu offensif de l'Olympique lyonnais, Yoann Gourcuff a déclaré forfait pour le match Lyon-Nice pour des douleurs aux adducteurs, a annoncé l'OL vendredi.
Le joueur, blessé tout l'été pour soigner une blessure à une cheville qu'il s'était faite dans un choc avec le Stéphanois Renaud Cohade le 30 mars, puis des douleurs dorsales, avait fait son retour le 12 septembre dernier contre Monaco (2-1).
Avec le Breton, qui a marqué l'unique but du match contre Marseille, dimanche dernier à Gerland (1-0), l'OL était invaincu sur les sept dernières journées (5 victoires dont trois consécutives, 2 nuls).
Outre Gourcuff, titulaire sur les trois dernières rencontres, l'entraîneur Hubert Fournier doit également se passer de Jordan Ferri, victime d'une blessure musculaire derrière une cuisse et absent pour un mois environ, et de Maxime Gonalons, suspendu.
Ainsi, ce sont trois milieux de terrain sur quatre par rapport aux derniers matches qui ont permis à Lyon de remonter au classement, qui seront absent à Nice.
Fifa.com (31/10/2014)
Le milieu offensif de l'Olympique lyonnais, Yoann Gourcuff a déclaré forfait pour le match Lyon-Nice pour des douleurs aux adducteurs, a annoncé l'OL vendredi.
Le joueur, blessé tout l'été pour soigner une blessure à une cheville qu'il s'était faite dans un choc avec le Stéphanois Renaud Cohade le 30 mars, puis des douleurs dorsales, avait fait son retour le 12 septembre dernier contre Monaco (2-1).
Avec le Breton, qui a marqué l'unique but du match contre Marseille, dimanche dernier à Gerland (1-0), l'OL était invaincu sur les sept dernières journées (5 victoires dont trois consécutives, 2 nuls).
Outre Gourcuff, titulaire sur les trois dernières rencontres, l'entraîneur Hubert Fournier doit également se passer de Jordan Ferri, victime d'une blessure musculaire derrière une cuisse et absent pour un mois environ, et de Maxime Gonalons, suspendu.
Ainsi, ce sont trois milieux de terrain sur quatre par rapport aux derniers matches qui ont permis à Lyon de remonter au classement, qui seront absent à Nice.
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
PSG - Rabiot prolonge jusqu'en 2019
Le milieu Adrien Rabiot (19 ans), sans temps de jeu cette saison au Paris SG en raison d'un différend contractuel avec son employeur, a finalement prolongé son contrat jusqu'en 2019, a annoncé vendredi soir le club de la capitale.
"Je suis très content de rester un joueur du Paris Saint-Germain, ce club qui m'a fait devenir le joueur que je suis aujourd'hui, a déclaré le joueur sur le site du club. Je remercie le président d'avoir gardé les discussions ouvertes ces derniers mois ainsi que la direction sportive pour son soutien".
"Je suis heureux du renouvellement du contrat d'Adrien Rabiot, pour quatre saisons supplémentaires à partir de juin 2015 au Paris Saint-Germain", a commenté le président Nasser Al-Khelaifi. "C'est ici l'une des signatures les plus importantes pour l'avenir du club, il fait partie des grands joueurs de demain".
Rabiot, qui a déjà disputé 43 matches sous les couleurs parisiennes (dont 7 de Ligue des champions) à seulement 19 ans, était en fin de contrat en juin prochain et aurait donc été libre de s'engager pour un autre club dès janvier sans indemnités de transfert pour le PSG. Il y a quelques semaines, il avait ainsi révélé qu'un départ pour l'AS Rome avait failli se faire.
Le joueur ne parvenait pas à trouver un accord avec le PSG, ce qui l'a privé de temps de jeu cette saison. Rabiot et son entourage auraient revendiqué des prétentions salariales excessives.
"Avec Adrien on a fait beaucoup de choses, parce qu'on apprécie le joueur, le garçon, mais à un moment donné on ne peut plus aller plus loin, avait dit son entraîneur Laurent Blanc fin août. On a notre avis, je pense qu'il a grande opportunité au PSG, parce que c'est quelqu'un d'ici, il a les qualités pour être ici, (mais) son entourage n'est pas d'accord, il profite des conditions contractuelles. Je pense qu'il doit avoir des offres. Le PSG lui a fait une très belle offre mais visiblement ça ne l'intéresse pas, dommage, très dommage".
Rabiot connaît à Paris une forte concurrence au milieu, un secteur où évoluent également Matuidi, Thiago Motta, Verratti, Cabaye, Pastore et Chantôme.
Fifa.com (31/10/2014)
Le milieu Adrien Rabiot (19 ans), sans temps de jeu cette saison au Paris SG en raison d'un différend contractuel avec son employeur, a finalement prolongé son contrat jusqu'en 2019, a annoncé vendredi soir le club de la capitale.
"Je suis très content de rester un joueur du Paris Saint-Germain, ce club qui m'a fait devenir le joueur que je suis aujourd'hui, a déclaré le joueur sur le site du club. Je remercie le président d'avoir gardé les discussions ouvertes ces derniers mois ainsi que la direction sportive pour son soutien".
"Je suis heureux du renouvellement du contrat d'Adrien Rabiot, pour quatre saisons supplémentaires à partir de juin 2015 au Paris Saint-Germain", a commenté le président Nasser Al-Khelaifi. "C'est ici l'une des signatures les plus importantes pour l'avenir du club, il fait partie des grands joueurs de demain".
Rabiot, qui a déjà disputé 43 matches sous les couleurs parisiennes (dont 7 de Ligue des champions) à seulement 19 ans, était en fin de contrat en juin prochain et aurait donc été libre de s'engager pour un autre club dès janvier sans indemnités de transfert pour le PSG. Il y a quelques semaines, il avait ainsi révélé qu'un départ pour l'AS Rome avait failli se faire.
Le joueur ne parvenait pas à trouver un accord avec le PSG, ce qui l'a privé de temps de jeu cette saison. Rabiot et son entourage auraient revendiqué des prétentions salariales excessives.
"Avec Adrien on a fait beaucoup de choses, parce qu'on apprécie le joueur, le garçon, mais à un moment donné on ne peut plus aller plus loin, avait dit son entraîneur Laurent Blanc fin août. On a notre avis, je pense qu'il a grande opportunité au PSG, parce que c'est quelqu'un d'ici, il a les qualités pour être ici, (mais) son entourage n'est pas d'accord, il profite des conditions contractuelles. Je pense qu'il doit avoir des offres. Le PSG lui a fait une très belle offre mais visiblement ça ne l'intéresse pas, dommage, très dommage".
Rabiot connaît à Paris une forte concurrence au milieu, un secteur où évoluent également Matuidi, Thiago Motta, Verratti, Cabaye, Pastore et Chantôme.
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Saint-Etienne - Cohade absent quatre semaines
Le milieu de terrain Renaud Cohade sera absent au moins quatre semaines en raison d'une fracture à un coude lors du match avec Saint-Etienne contre Metz dimanche au stade Geoffroy-Guichard, a annoncé son club vendredi.
Le joueur s'était mal réceptionné durant la rencontre face aux Messins et sa blessure nécessite une immobilisation.
L'absence de Cohade s'ajoute à celles de l'arrière droit François Clerc et de l'attaquant Kevin Monnet-Paquet, touchés à une cheville, ce dernier contre Metz en fin de première période.
En revanche, les Verts retrouvent leur attaquant et buteur, Mevlüt Erding.
Fifa.com (31/10/2014)
Le milieu de terrain Renaud Cohade sera absent au moins quatre semaines en raison d'une fracture à un coude lors du match avec Saint-Etienne contre Metz dimanche au stade Geoffroy-Guichard, a annoncé son club vendredi.
Le joueur s'était mal réceptionné durant la rencontre face aux Messins et sa blessure nécessite une immobilisation.
L'absence de Cohade s'ajoute à celles de l'arrière droit François Clerc et de l'attaquant Kevin Monnet-Paquet, touchés à une cheville, ce dernier contre Metz en fin de première période.
En revanche, les Verts retrouvent leur attaquant et buteur, Mevlüt Erding.
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Monaco accroché par Reims
Monaco, tenu en échec à domicile par une bonne équipe de Reims (1-1) vendredi en ouverture de la 12e journée de L1, piétine encore en championnat et a mal préparé son déplacement à Lisbonne en Ligue des champions mardi.
Ce nul, logiquement obtenu par une équipe champenoise qui se rassure au passage maintient la formation de Leonardo Jardim engluée dans le peloton, avec 18 points. Il dénote aussi de nouveau le manque de réalisme des attaquants monégasques, incapables de convertir leurs nombreuses occasions, souvent intelligemment créées. Pas de bonne augure avant la Ligue des champions...
Sans Moutinho, tout juste remis de son entorse à l'épaule et économisé sur le banc, Jardim avait décidé d'innover. Dans un 4-3-3 avec Germain en pointe haute du milieu en soutien de Martial, avant-centre, il faisait confiance à Ferreira Carrasco pour animer le couloir gauche et à Bernardo Silva de l'autre côté.
Pour Reims, Jean-Luc Vasseur avait décidé d'aligner une équipe offensive, avec Fortes à droite, Diego à gauche et Charbonnier en soutien d'un Ngog inconsistant dans l'axe. C'est le Monégasque Martial qui allumait la première mèche sans cadrer (11). Fofana lui répliquait avec la même adresse de la tête à la suite d'un corner (14): Reims ne s'en laissait pas conter.
Et après un tir dévié de Germain passant de peu à côté (16), Reims payait rapidement ses prises de riques. A la suite d'une belle percée de Kondogbia, Germain centrait pour Silva, qui servait de l'autre côté le latéral gauche Elderson Echiejile, buteur (1-0, 20). L'international nigérian montrait ainsi qu'il était certainement mieux qu'une doublure de Kurzawa à ce poste.
Monaco trop inefficace
Peu affectés, les Champenois poursuivaient avec leurs intentions offensives, auxquelles se mêlaient régulièrement les latéraux Signorino et Conte.
Mais les plus belles opportunités demeuraient monégasques. Comme celle de Martial (29), qui contrôlait subtilement une ouverture de Ferreira Carrasco, mais dont la frappe enchaînée était trop peu appuyée. Puis Martial encore lui, jeune prodige formé à Lyon, peu en réussite mais si fort balle au pied, qui, sur une passe en profondeur de Germain, mystifiait son vis-à-vis avant de tomber sur un excellent Placide (35).
Dès la reprise, Monaco se créait une monumentale occasion. Après un coup-franc de Ferreira Carrasco, la remise dans l'axe d'Echiejile trouvait Germain. Seul au niveau du point de penalty, ce dernier ne parvenait pas à cadrer (47). Dans la foulée, Placide repoussait une tête de Carvalho (49).
Tour à tour, Traoré entré à la place de Martial (78) et Ferreira Carrasco (79) vendangeaient encore. A la suite de la frappe de ce dernier repoussée par Placide, Reims allait alors effectuer un modèle de contre: au terme d'une action Devaux-Charbonnier-De Preville, l'attaquant camerounais Benjamin Moukandjo égalisait de près (1-1, 80), renvoyant Monaco à son manque de réalisme.
Fifa.com (31/10/2014)
Monaco, tenu en échec à domicile par une bonne équipe de Reims (1-1) vendredi en ouverture de la 12e journée de L1, piétine encore en championnat et a mal préparé son déplacement à Lisbonne en Ligue des champions mardi.
Ce nul, logiquement obtenu par une équipe champenoise qui se rassure au passage maintient la formation de Leonardo Jardim engluée dans le peloton, avec 18 points. Il dénote aussi de nouveau le manque de réalisme des attaquants monégasques, incapables de convertir leurs nombreuses occasions, souvent intelligemment créées. Pas de bonne augure avant la Ligue des champions...
Sans Moutinho, tout juste remis de son entorse à l'épaule et économisé sur le banc, Jardim avait décidé d'innover. Dans un 4-3-3 avec Germain en pointe haute du milieu en soutien de Martial, avant-centre, il faisait confiance à Ferreira Carrasco pour animer le couloir gauche et à Bernardo Silva de l'autre côté.
Pour Reims, Jean-Luc Vasseur avait décidé d'aligner une équipe offensive, avec Fortes à droite, Diego à gauche et Charbonnier en soutien d'un Ngog inconsistant dans l'axe. C'est le Monégasque Martial qui allumait la première mèche sans cadrer (11). Fofana lui répliquait avec la même adresse de la tête à la suite d'un corner (14): Reims ne s'en laissait pas conter.
Et après un tir dévié de Germain passant de peu à côté (16), Reims payait rapidement ses prises de riques. A la suite d'une belle percée de Kondogbia, Germain centrait pour Silva, qui servait de l'autre côté le latéral gauche Elderson Echiejile, buteur (1-0, 20). L'international nigérian montrait ainsi qu'il était certainement mieux qu'une doublure de Kurzawa à ce poste.
Monaco trop inefficace
Peu affectés, les Champenois poursuivaient avec leurs intentions offensives, auxquelles se mêlaient régulièrement les latéraux Signorino et Conte.
Mais les plus belles opportunités demeuraient monégasques. Comme celle de Martial (29), qui contrôlait subtilement une ouverture de Ferreira Carrasco, mais dont la frappe enchaînée était trop peu appuyée. Puis Martial encore lui, jeune prodige formé à Lyon, peu en réussite mais si fort balle au pied, qui, sur une passe en profondeur de Germain, mystifiait son vis-à-vis avant de tomber sur un excellent Placide (35).
Dès la reprise, Monaco se créait une monumentale occasion. Après un coup-franc de Ferreira Carrasco, la remise dans l'axe d'Echiejile trouvait Germain. Seul au niveau du point de penalty, ce dernier ne parvenait pas à cadrer (47). Dans la foulée, Placide repoussait une tête de Carvalho (49).
Tour à tour, Traoré entré à la place de Martial (78) et Ferreira Carrasco (79) vendangeaient encore. A la suite de la frappe de ce dernier repoussée par Placide, Reims allait alors effectuer un modèle de contre: au terme d'une action Devaux-Charbonnier-De Preville, l'attaquant camerounais Benjamin Moukandjo égalisait de près (1-1, 80), renvoyant Monaco à son manque de réalisme.
Fifa.com (31/10/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Victoire impérative pour l'OM avant d'aller défier Paris
Marseille, stoppé dans son élan par Lyon, veut retrouver le goût de la victoire dimanche en recevant Lens pour la 12e journée, avant le choc de la Ligue 1 une semaine plus tard au Parc des Princes, face à son dauphin le Paris SG.
Après un revers (1-0) à Gerland il y a une semaine qui mettait un terme à une série de huit victoires d'affilée, Marseille a de nouveau chuté à Rennes (2-1) mercredi en 16e de finale de Coupe de la Ligue, avec une équipe, il est vrai, largement remaniée.
Le clasico, "j'avoue que j'y ai déjà pensé, mais je n'aime pas me projeter aussi loin", a réagi vendredi le défenseur Rod Fanni, qui profite des blessures et des suspensions pour retrouver une place de titulaire au côté de Nicolas Nkoulou.
"Le PSG, il y a eu beaucoup de blabla autour, c'est normal ça reste Paris. On a eu tendance à faire croire qu'ils n'allaient pas bien, mais comptablement ils sont là, j'aimerais bien que nous quand on n'est pas bien, on soit là. Il ne faut donc pas les prendre à la légère", a ajouté Fanni. En l'absence de Jérémy Morel, blessé à Lyon (plaie à un pied) et absent trois semaines et de Brice Dja Djédjé, suspendu après son carton rouge à Rennes, et remplacés poste pour poste par Fanni et Mario Lemina, Bielsa fera confiance aux titulaires habituels, face à des Lensois chez qui il connaît son compatriote, l'attaquant Pablo Chavarria.
Force mentale
"Je le connais, oui il a de la qualité, c'est un joueur qui peut déstabiliser, a expliqué Bielsa vendredi devant la presse. Il passe par le centre, il est efficace, c'est un gros travailleur." Leader depuis la 6e journée et sa victoire face à Rennes (3-0), Marseille, qui chute régulièrement face aux grosses cylindrées et n'a plus gagné au Parc des Princes depuis 2010 (3-0), peut-il dès lors rêver au sacre ?
"La capacité pour remporter le titre, oui, on l'a, assure Fanni, mais le mental il faut voir si on l'aura. Le chemin est encore très long. Il faudra montrer encore plus pour espérer."
"Jouer au foot, on sait tous le faire, mais c'est ce qu'il y a autour qui perturbe, l'entourage, les éloges... C'est là que je veux voir notre force mentale", souligne encore l'ancien Rennais et Niçois.
"Il y a des matches qui se gagnent de manière non méritée et d'autres qui se perdent alors qu'on mériterait de les gagner. L'important c'est ce que l'on obtient et pas ce que l'on mérite", a souligné Bielsa, pour qui le revers de l'OM à Gerland était immérité.
Et de rappeler qu'il sera bien temps de se projeter sur Paris: "Nous pensons d'abord au prochain match, il est difficilement possible de penser au match contre le PSG sans avoir joué Lens".
Fifa.com (01/11/2014)
Marseille, stoppé dans son élan par Lyon, veut retrouver le goût de la victoire dimanche en recevant Lens pour la 12e journée, avant le choc de la Ligue 1 une semaine plus tard au Parc des Princes, face à son dauphin le Paris SG.
Après un revers (1-0) à Gerland il y a une semaine qui mettait un terme à une série de huit victoires d'affilée, Marseille a de nouveau chuté à Rennes (2-1) mercredi en 16e de finale de Coupe de la Ligue, avec une équipe, il est vrai, largement remaniée.
Le clasico, "j'avoue que j'y ai déjà pensé, mais je n'aime pas me projeter aussi loin", a réagi vendredi le défenseur Rod Fanni, qui profite des blessures et des suspensions pour retrouver une place de titulaire au côté de Nicolas Nkoulou.
"Le PSG, il y a eu beaucoup de blabla autour, c'est normal ça reste Paris. On a eu tendance à faire croire qu'ils n'allaient pas bien, mais comptablement ils sont là, j'aimerais bien que nous quand on n'est pas bien, on soit là. Il ne faut donc pas les prendre à la légère", a ajouté Fanni. En l'absence de Jérémy Morel, blessé à Lyon (plaie à un pied) et absent trois semaines et de Brice Dja Djédjé, suspendu après son carton rouge à Rennes, et remplacés poste pour poste par Fanni et Mario Lemina, Bielsa fera confiance aux titulaires habituels, face à des Lensois chez qui il connaît son compatriote, l'attaquant Pablo Chavarria.
Force mentale
"Je le connais, oui il a de la qualité, c'est un joueur qui peut déstabiliser, a expliqué Bielsa vendredi devant la presse. Il passe par le centre, il est efficace, c'est un gros travailleur." Leader depuis la 6e journée et sa victoire face à Rennes (3-0), Marseille, qui chute régulièrement face aux grosses cylindrées et n'a plus gagné au Parc des Princes depuis 2010 (3-0), peut-il dès lors rêver au sacre ?
"La capacité pour remporter le titre, oui, on l'a, assure Fanni, mais le mental il faut voir si on l'aura. Le chemin est encore très long. Il faudra montrer encore plus pour espérer."
"Jouer au foot, on sait tous le faire, mais c'est ce qu'il y a autour qui perturbe, l'entourage, les éloges... C'est là que je veux voir notre force mentale", souligne encore l'ancien Rennais et Niçois.
"Il y a des matches qui se gagnent de manière non méritée et d'autres qui se perdent alors qu'on mériterait de les gagner. L'important c'est ce que l'on obtient et pas ce que l'on mérite", a souligné Bielsa, pour qui le revers de l'OM à Gerland était immérité.
Et de rappeler qu'il sera bien temps de se projeter sur Paris: "Nous pensons d'abord au prochain match, il est difficilement possible de penser au match contre le PSG sans avoir joué Lens".
Fifa.com (01/11/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Un PSG à réaction met la pression sur l'OM
Sérieusement bousculé à Lorient, le Paris SG a fini par l'emporter 2-1 lors de la 12e journée de Ligue 1 et revient à un point seulement du leader marseillais qui reçoit Lens dimanche, avant le "Clasico" dans une semaine.
Paris enchaîne ainsi une quatrième victoire de rang toutes compétitions confondues, la troisième en L1, et préserve son invincibilité depuis le début de la saison. En déplacement chez un mal classé (17e), les hommes de Laurent Blanc ne pouvaient revenir avec autre chose que les trois points, alors qu'une semaine cruciale s'annonce pour eux.
Mercredi, en Ligue des Champions, une victoire à domicile contre l'Apoel Nicosie pourrait sceller leur qualification pour les huitièmes de finale. Quatre jours plus tard, c'est donc Marseille qui se présentera sur la pelouse du Parc, pour le sommet incontesté du championnat. Dans l'optique de ces deux matches à enjeu, Blanc, qui alignait une défense remaniée Aurier-Thiago Silva-Marquinhos-Digne, avait aussi choisi de faire tourner dans l'entrejeu.
Matuidi et Verratti avaient été invités à débuter le match sur le banc, pour laisser place à Cabaye, qui a connu une première période cauchemardesque, multipliant les pertes de balle.
Dès la première minute, un crochet en position de dernier défenseur à vingt-cinq mètres de ses buts, intercepté par Jordan Ayew, avait offert à l'attaquant ghanéen un face-à-face, remporté par un Sirigu impeccable. Et heureusement pour les Parisiens que leur gardien était en forme, car avec un Thiago Motta lui aussi en demi-teinte, tout le secteur défensif parisien a été incapable d'endiguer les vagues lorientaises tout au long des 45 premières minutes.
Entrées décisives
Sirigu a encore été à la parade sur un coup franc d'Ayew à la 28e, puis sur une tête à bout portant du stoppeur Koné, à la 34e. Il ne pouvait en revanche rien faire sur le tir croisé de Guerreiro, idéalement servi par Ayew dans la surface de réparation (1-0, 42e). Le score semblait alors bien clément pour le PSG.
Le positionnement bien trop haut en première période des latéraux Aurier et Digne n'est sans doute pas étranger à l'impression de vulnérabilité de l'arrière-garde parisienne, alors que leur apport offensif, limité par l'imprécision de leurs centres, a été négligeable. Le grand mérite des hommes de Blanc aura été leur capacité à se ressaisir ensuite, retrouvant enfin de la densité au milieu, ce qui leur a permis de récupérer plus haut et de trouver enfin leurs attaquants dans de bonnes conditions.
Auparavant, le quatuor Lucas-Pastore-Lavezzi-Cavani n'avait quasiment rien produit de bon pendant l'heure où il a été aligné. C'est pourtant Cavani qui a une nouvelle fois démontré tout son opportunisme, en se trouvant au six mètres pour reprendre une déviation acrobatique de Thiago Motta, bien servi par une louche de Pastore (1-1, 61e).
Surtout, les entrées de Verratti (62e), Bahebeck (62e) et Matuidi (74e) ont été décisives et ont assis l'emprise parisienne sur la fin de match. Verratti est ainsi à créditer d'une très belle passe décisive pour Bahebeck, qui a prolongé de la tête pour dribbler Lecomte venu à sa rencontre et marquer dans un angle fermé (2-1, 68e), scellant une victoire laborieuse mais précieuse.
Fifa.com (01/11/2014)
Sérieusement bousculé à Lorient, le Paris SG a fini par l'emporter 2-1 lors de la 12e journée de Ligue 1 et revient à un point seulement du leader marseillais qui reçoit Lens dimanche, avant le "Clasico" dans une semaine.
Paris enchaîne ainsi une quatrième victoire de rang toutes compétitions confondues, la troisième en L1, et préserve son invincibilité depuis le début de la saison. En déplacement chez un mal classé (17e), les hommes de Laurent Blanc ne pouvaient revenir avec autre chose que les trois points, alors qu'une semaine cruciale s'annonce pour eux.
Mercredi, en Ligue des Champions, une victoire à domicile contre l'Apoel Nicosie pourrait sceller leur qualification pour les huitièmes de finale. Quatre jours plus tard, c'est donc Marseille qui se présentera sur la pelouse du Parc, pour le sommet incontesté du championnat. Dans l'optique de ces deux matches à enjeu, Blanc, qui alignait une défense remaniée Aurier-Thiago Silva-Marquinhos-Digne, avait aussi choisi de faire tourner dans l'entrejeu.
Matuidi et Verratti avaient été invités à débuter le match sur le banc, pour laisser place à Cabaye, qui a connu une première période cauchemardesque, multipliant les pertes de balle.
Dès la première minute, un crochet en position de dernier défenseur à vingt-cinq mètres de ses buts, intercepté par Jordan Ayew, avait offert à l'attaquant ghanéen un face-à-face, remporté par un Sirigu impeccable. Et heureusement pour les Parisiens que leur gardien était en forme, car avec un Thiago Motta lui aussi en demi-teinte, tout le secteur défensif parisien a été incapable d'endiguer les vagues lorientaises tout au long des 45 premières minutes.
Entrées décisives
Sirigu a encore été à la parade sur un coup franc d'Ayew à la 28e, puis sur une tête à bout portant du stoppeur Koné, à la 34e. Il ne pouvait en revanche rien faire sur le tir croisé de Guerreiro, idéalement servi par Ayew dans la surface de réparation (1-0, 42e). Le score semblait alors bien clément pour le PSG.
Le positionnement bien trop haut en première période des latéraux Aurier et Digne n'est sans doute pas étranger à l'impression de vulnérabilité de l'arrière-garde parisienne, alors que leur apport offensif, limité par l'imprécision de leurs centres, a été négligeable. Le grand mérite des hommes de Blanc aura été leur capacité à se ressaisir ensuite, retrouvant enfin de la densité au milieu, ce qui leur a permis de récupérer plus haut et de trouver enfin leurs attaquants dans de bonnes conditions.
Auparavant, le quatuor Lucas-Pastore-Lavezzi-Cavani n'avait quasiment rien produit de bon pendant l'heure où il a été aligné. C'est pourtant Cavani qui a une nouvelle fois démontré tout son opportunisme, en se trouvant au six mètres pour reprendre une déviation acrobatique de Thiago Motta, bien servi par une louche de Pastore (1-1, 61e).
Surtout, les entrées de Verratti (62e), Bahebeck (62e) et Matuidi (74e) ont été décisives et ont assis l'emprise parisienne sur la fin de match. Verratti est ainsi à créditer d'une très belle passe décisive pour Bahebeck, qui a prolongé de la tête pour dribbler Lecomte venu à sa rencontre et marquer dans un angle fermé (2-1, 68e), scellant une victoire laborieuse mais précieuse.
Fifa.com (01/11/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Le PSG attend l'OM, l'OL impressionne
Le Paris SG a fait l'essentiel à une semaine du choc contre Marseille en battant Lorient malgré une première période ratée, samedi lors de la 12e journée du Championnat de France, alors que Lyon a poursuivi sa remarquable série et que Bastia et Evian-Thonon sont en difficulté.
Paris s'approche, mais...
A une semaine du sommet du championnat face à Marseille, le Paris SG a mis la pression aux Provençaux, qui recevront Lens dimanche, en allant s'imposer 2-1 à Lorient. L'équipe de la capitale, toujours invaincue cette saison, revient ainsi provisoirement à un point du leader marseillais.
Le PSG a donc enregistré samedi sa troisième victoire consécutive en championnat, la quatrième toutes compétitions confondues. La statistique fait du bien avant une semaine importante, où les Parisiens recevront d'abord l'Apoel Nicosie mercredi en Ligue des Champions puis Marseille dimanche.
Mais la réaction de l'entraîneur parisien Laurent Blanc après la partie rappelle que la prestation parisienne en Bretagne a été loin d'être rassurante. "C'est une victoire acquise plus que dans la difficulté. Je pense sincèrement que ce soir la première mi-temps a été d'une faiblesse incroyable. Ca peut arriver, certes, mais quand on s'appelle le Paris SG c'est très difficile à accepter", a dit Blanc.
A la pause, les Parisiens étaient en effet menés 1-0 après un but de Guerreiro et 45 minutes nettement dominées par les Merlus.
La suite a été meilleure avec l'égalisation de Cavani, son troisième but en trois matches, et le but de la victoire, signé Bahebeck sur une belle ouverture de Verratti. Mais Paris devra faire mieux dans une semaine contre l'OM.
Et de quatre pour Lyon
L'OL a confirmé sa belle victoire de la semaine dernière contre Marseille et a surtout fait la preuve de sa forme actuelle en allant gagner à Nice (3-1). Les joueurs de Hubert Fournier en sont donc à quatre victoires d'affilée en championnat et six succès et deux nuls lors des huit derniers matches.
L'affaire était pourtant mal engagée avec un but de Grégoire Puel, fils de Claude Puel. Mais Malbranque puis l'incontournable Lacazette, auteur d'un doublé qui le ramène à hauteur de Gignac en tête du classement des buteurs (10 buts), ont inversé la vapeur et donné la victoire aux Gones.
Dans un duel de candidats au podium, Lille et Saint-Etienne se sont de leur côté séparés sur un match nul 1-1. Le Losc met au moins fin à sa triste série de trois défaites d'affilée mais aurait pu espérer mieux. Frey avait en effet ouvert le score pour son premier but en France. Mais Gradel a égalisé avant une affaire de penaltys. Ruffier a d'abord repoussé celui tiré par Origi avant qu'Enyeama ne fasse de même sur la frappe de Gradel.
Bastia et Evian s'enfoncent
En bas de tableau, ça se complique pour Evian-Thonon et pour le Bastia de Claude Makelele. Opposés à Guingamp, un vrai rival dans l'optique du maintien, les Corses se sont inclinés 1-0 (but contre son camp de Gillet) et se retrouvent 19e. Les Bretons ont eux bien réagi après le terrible 7-2 encaissé à Nice et remontent à la 16e place.
Evian-Thonon de son côté retrouve la lanterne rouge après son revers 2-0 à Montpellier, où l'ancien Eviannais Bérigaud et Mounier ont marqué. Lorient, battu par le PSG, est également relégable (18e).
Dans le dernier match de samedi, Metz a battu Caen 3-2 grâce à un doublé de Maïga et un penalty de l'ancien Bleu Malouda en fin de match.
Fifa.com (01/11/2014)
Le Paris SG a fait l'essentiel à une semaine du choc contre Marseille en battant Lorient malgré une première période ratée, samedi lors de la 12e journée du Championnat de France, alors que Lyon a poursuivi sa remarquable série et que Bastia et Evian-Thonon sont en difficulté.
Paris s'approche, mais...
A une semaine du sommet du championnat face à Marseille, le Paris SG a mis la pression aux Provençaux, qui recevront Lens dimanche, en allant s'imposer 2-1 à Lorient. L'équipe de la capitale, toujours invaincue cette saison, revient ainsi provisoirement à un point du leader marseillais.
Le PSG a donc enregistré samedi sa troisième victoire consécutive en championnat, la quatrième toutes compétitions confondues. La statistique fait du bien avant une semaine importante, où les Parisiens recevront d'abord l'Apoel Nicosie mercredi en Ligue des Champions puis Marseille dimanche.
Mais la réaction de l'entraîneur parisien Laurent Blanc après la partie rappelle que la prestation parisienne en Bretagne a été loin d'être rassurante. "C'est une victoire acquise plus que dans la difficulté. Je pense sincèrement que ce soir la première mi-temps a été d'une faiblesse incroyable. Ca peut arriver, certes, mais quand on s'appelle le Paris SG c'est très difficile à accepter", a dit Blanc.
A la pause, les Parisiens étaient en effet menés 1-0 après un but de Guerreiro et 45 minutes nettement dominées par les Merlus.
La suite a été meilleure avec l'égalisation de Cavani, son troisième but en trois matches, et le but de la victoire, signé Bahebeck sur une belle ouverture de Verratti. Mais Paris devra faire mieux dans une semaine contre l'OM.
Et de quatre pour Lyon
L'OL a confirmé sa belle victoire de la semaine dernière contre Marseille et a surtout fait la preuve de sa forme actuelle en allant gagner à Nice (3-1). Les joueurs de Hubert Fournier en sont donc à quatre victoires d'affilée en championnat et six succès et deux nuls lors des huit derniers matches.
L'affaire était pourtant mal engagée avec un but de Grégoire Puel, fils de Claude Puel. Mais Malbranque puis l'incontournable Lacazette, auteur d'un doublé qui le ramène à hauteur de Gignac en tête du classement des buteurs (10 buts), ont inversé la vapeur et donné la victoire aux Gones.
Dans un duel de candidats au podium, Lille et Saint-Etienne se sont de leur côté séparés sur un match nul 1-1. Le Losc met au moins fin à sa triste série de trois défaites d'affilée mais aurait pu espérer mieux. Frey avait en effet ouvert le score pour son premier but en France. Mais Gradel a égalisé avant une affaire de penaltys. Ruffier a d'abord repoussé celui tiré par Origi avant qu'Enyeama ne fasse de même sur la frappe de Gradel.
Bastia et Evian s'enfoncent
En bas de tableau, ça se complique pour Evian-Thonon et pour le Bastia de Claude Makelele. Opposés à Guingamp, un vrai rival dans l'optique du maintien, les Corses se sont inclinés 1-0 (but contre son camp de Gillet) et se retrouvent 19e. Les Bretons ont eux bien réagi après le terrible 7-2 encaissé à Nice et remontent à la 16e place.
Evian-Thonon de son côté retrouve la lanterne rouge après son revers 2-0 à Montpellier, où l'ancien Eviannais Bérigaud et Mounier ont marqué. Lorient, battu par le PSG, est également relégable (18e).
Dans le dernier match de samedi, Metz a battu Caen 3-2 grâce à un doublé de Maïga et un penalty de l'ancien Bleu Malouda en fin de match.
Fifa.com (01/11/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Nantes et Rennes dos à dos
Nantes et Rennes ont fait match nul dimanche (1-1), pour la 12e journée de Ligue 1, un résultat qui n'arrange ni l'un ni l'autre, au terme d'un match engagé et vivant.
Nantes, qui n'a plus battu Rennes à domicile depuis 2005, manque l'occasion de grimper d'un rang au classement en dépassant Saint-Étienne (4e), alors que Rennes, invaincu depuis 5 matches toutes compétitions confondues, reste dans la deuxième moitié du tableau (11e).
"On est déçu de ne pas avoir gagné (...) Les points qu'on a perdus là, il va falloir faire un gros match à Caen pour essayer de ramener les trois points de là-bas", a commenté après le match l'entraîneur nantais Michel Der Zakarian, dont l'équipe a globalement dominé mais stérilement.
Son homologue Rennais, Philippe Montanier, s'est montré légèrement plus positif, même si son équipe a mené et a subi deux ou trois décisions arbitrales discutables. "Quand on ne peut pas gagner, (...) il ne faut pas perdre et on continue à avancer, avec un point. Chaque point est précieux et la moindre avancée est profitable", a-t-il jugé.
Signe que les deux équipes se craignaient, les deux entraîneurs avaient pris des options plus défensives qu'à l'accoutumée. Pour densifier son milieu de terrain, l'entraîneur nantais Michel Der Zakarian avait placé Yacine Bammou seul en pointe, avec un trio Serge Gakpé-Jordan Veretout-Vincent Bessat derrière lui, plutôt que d'évoluer avec Etay Shechter en deuxième attaquant comme il le fait souvent à domicile.
De son côté, son homologue rennais, Philippe Montanier, qui avait fait tourner (2-1) contre Marseille, mercredi, en Coupe de la Ligue, avait remis pratiquement son onze titulaire, à l'exception de Paul-Georges Ntep, suspendu après son carton rouge contre l'OM. Il avait laissé le Polonais Kamil Grosicki sur le banc, lui préférant Benjamin André, défenseur de formation, au poste de milieu droit.
Armand contre son camp
Si les Canaris ont globalement eu le contrôle du match, ils ont eu du mal à mettre en vraiment danger la solide défense rennaise, et se sont même fait piéger d'entrée par le Brésilien Pedro Henrique qui a pris de vitesse ses gardes du corps pour tromper avec sang-froid Rémy Riou (0-1).
Les Nantais ont réagi, contraignant Benoît Costil à sortir des parades incroyables, comme sur une tête piquée de près signée Oswaldo Vizcarrondo sur corner (12e). Bammou, sur une bonne frappe de 20m déviée au-dessus par Costil, puis d'une tête sur la barre transversale (20e), a été une nouvelle fois l'attaquant le plus en vue.
Mais c'est finalement Sylvain Armand, l'ancien Nantais, qui a remis les deux équipes à niveau. A la 22e, en devançant Vizcarrondo sur un coup franc rentrant de Veretout, il a placé le ballon hors de portée de Costil de la tête (1-1, 22e).
Un peu plus tôt déjà, l'ancien Canari dans des conditions similaires, avait poussé son gardien à un arrêt de grande classe pour sortir sa tête de la lucarne gauche (11e).
Fifa.com (02/11/2014)
Nantes et Rennes ont fait match nul dimanche (1-1), pour la 12e journée de Ligue 1, un résultat qui n'arrange ni l'un ni l'autre, au terme d'un match engagé et vivant.
Nantes, qui n'a plus battu Rennes à domicile depuis 2005, manque l'occasion de grimper d'un rang au classement en dépassant Saint-Étienne (4e), alors que Rennes, invaincu depuis 5 matches toutes compétitions confondues, reste dans la deuxième moitié du tableau (11e).
"On est déçu de ne pas avoir gagné (...) Les points qu'on a perdus là, il va falloir faire un gros match à Caen pour essayer de ramener les trois points de là-bas", a commenté après le match l'entraîneur nantais Michel Der Zakarian, dont l'équipe a globalement dominé mais stérilement.
Son homologue Rennais, Philippe Montanier, s'est montré légèrement plus positif, même si son équipe a mené et a subi deux ou trois décisions arbitrales discutables. "Quand on ne peut pas gagner, (...) il ne faut pas perdre et on continue à avancer, avec un point. Chaque point est précieux et la moindre avancée est profitable", a-t-il jugé.
Signe que les deux équipes se craignaient, les deux entraîneurs avaient pris des options plus défensives qu'à l'accoutumée. Pour densifier son milieu de terrain, l'entraîneur nantais Michel Der Zakarian avait placé Yacine Bammou seul en pointe, avec un trio Serge Gakpé-Jordan Veretout-Vincent Bessat derrière lui, plutôt que d'évoluer avec Etay Shechter en deuxième attaquant comme il le fait souvent à domicile.
De son côté, son homologue rennais, Philippe Montanier, qui avait fait tourner (2-1) contre Marseille, mercredi, en Coupe de la Ligue, avait remis pratiquement son onze titulaire, à l'exception de Paul-Georges Ntep, suspendu après son carton rouge contre l'OM. Il avait laissé le Polonais Kamil Grosicki sur le banc, lui préférant Benjamin André, défenseur de formation, au poste de milieu droit.
Armand contre son camp
Si les Canaris ont globalement eu le contrôle du match, ils ont eu du mal à mettre en vraiment danger la solide défense rennaise, et se sont même fait piéger d'entrée par le Brésilien Pedro Henrique qui a pris de vitesse ses gardes du corps pour tromper avec sang-froid Rémy Riou (0-1).
Les Nantais ont réagi, contraignant Benoît Costil à sortir des parades incroyables, comme sur une tête piquée de près signée Oswaldo Vizcarrondo sur corner (12e). Bammou, sur une bonne frappe de 20m déviée au-dessus par Costil, puis d'une tête sur la barre transversale (20e), a été une nouvelle fois l'attaquant le plus en vue.
Mais c'est finalement Sylvain Armand, l'ancien Nantais, qui a remis les deux équipes à niveau. A la 22e, en devançant Vizcarrondo sur un coup franc rentrant de Veretout, il a placé le ballon hors de portée de Costil de la tête (1-1, 22e).
Un peu plus tôt déjà, l'ancien Canari dans des conditions similaires, avait poussé son gardien à un arrêt de grande classe pour sortir sa tête de la lucarne gauche (11e).
Fifa.com (02/11/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Bordeaux confirme sa suprématie régionale
Bordeaux a confirmé sa suprématie dans le derby de la Garonne en dominant pour la deuxième fois de la semaine Toulouse (2-1), avec notamment un but du revenant Marc Planus, dimanche lors de la 12e journée de L1.
Ce succès, mérité au regard du deuxième acte plus enjoué, permet aux Bordelais de conserver leur 4e place au classement alors que leur victime du jour reste en bas d'un ventre mou de tous les dangers (14e), la faute à une mauvaise série qui perdure.
Les Girondins avaient pris un ascendant psychologique mardi en Coupe de la Ligue (3-1) avec un schéma tactique qui avait perturbé les violets. En renouvelant son expérience à trois défenseurs centraux avec Planus en invité surprise pour la première fois titulaire cette saison, l'entraîneur girondin Willy Sagnol pensait faire de même face au onze de la ville rose.
Ce fût un peu moins convaincant qu'au Stadium même si l'espace d'un quart d'heure, ses hommes se procurèrent trois occasions dont deux vraiment franches par Sala (7) qui tirait au-dessus, et par Touré tout en vitesse qui dribblait Boucher mais était contré par Moubandjé bien revenu (9). Ca semblait facile pour les Girondins, un peu trop au goût du coach toulousain Alain Casanova qui sortait son défenseur Grigore, dépassé et pas loin du carton rouge (36), et rééquilibrait du même coup son bloc et les débats.
Bourde de Sertic
Mieux, le Téfécé, initialement en difficulté au niveau du hors-jeu, s'enhardissait réellement, se créant plusieurs situations dont une énorme par Ben Yedder, admirablement servi par Ninkov, qui frappait sur Carrasso (41).
Pour débloquer ce derby, la recette fût la même qu'il y a cinq jours, à part les protagonistes. Un coup de pied arrêté de Khazri, dévié de la tête par Touré et c'est Planus, seul au second poteau, qui poussait le ballon au fond des filets (1-0, 52).
C'était bien payé pour les Bordelais, qui remettaient le couvert par deux fois dans la foulée. D'abord sur un corner de Plasil, le novice Yambéré plaçait une tête sur le poteau (60). Puis trois minutes plus tard, après un premier renvoi toulousain suite à un nouveau corner, Plasil ajustait un centre au cordeau pour la tête smashée de Rolan qui doublait la mise (2-0).
Toulouse se rebiffait avec l'entrée en jeu de Braithwaite qui se signalait d'entrée en chipant un ballon à Sertic puis en servant Pesic pour une réduction du score redonnant du piment à la fin de match (68).
Le baroud visiteur fût toutefois un peu trop désordonné pour tromper une deuxième fois la vigilance de la défense des hommes de Sertic, qui faillit bien se rattraper de sa bourde en frappant un coup franc direct des 25 mètres sur le poteau de Boucher bien placé sur le coup (80).
Fifa.com (02/11/2014)
Bordeaux a confirmé sa suprématie dans le derby de la Garonne en dominant pour la deuxième fois de la semaine Toulouse (2-1), avec notamment un but du revenant Marc Planus, dimanche lors de la 12e journée de L1.
Ce succès, mérité au regard du deuxième acte plus enjoué, permet aux Bordelais de conserver leur 4e place au classement alors que leur victime du jour reste en bas d'un ventre mou de tous les dangers (14e), la faute à une mauvaise série qui perdure.
Les Girondins avaient pris un ascendant psychologique mardi en Coupe de la Ligue (3-1) avec un schéma tactique qui avait perturbé les violets. En renouvelant son expérience à trois défenseurs centraux avec Planus en invité surprise pour la première fois titulaire cette saison, l'entraîneur girondin Willy Sagnol pensait faire de même face au onze de la ville rose.
Ce fût un peu moins convaincant qu'au Stadium même si l'espace d'un quart d'heure, ses hommes se procurèrent trois occasions dont deux vraiment franches par Sala (7) qui tirait au-dessus, et par Touré tout en vitesse qui dribblait Boucher mais était contré par Moubandjé bien revenu (9). Ca semblait facile pour les Girondins, un peu trop au goût du coach toulousain Alain Casanova qui sortait son défenseur Grigore, dépassé et pas loin du carton rouge (36), et rééquilibrait du même coup son bloc et les débats.
Bourde de Sertic
Mieux, le Téfécé, initialement en difficulté au niveau du hors-jeu, s'enhardissait réellement, se créant plusieurs situations dont une énorme par Ben Yedder, admirablement servi par Ninkov, qui frappait sur Carrasso (41).
Pour débloquer ce derby, la recette fût la même qu'il y a cinq jours, à part les protagonistes. Un coup de pied arrêté de Khazri, dévié de la tête par Touré et c'est Planus, seul au second poteau, qui poussait le ballon au fond des filets (1-0, 52).
C'était bien payé pour les Bordelais, qui remettaient le couvert par deux fois dans la foulée. D'abord sur un corner de Plasil, le novice Yambéré plaçait une tête sur le poteau (60). Puis trois minutes plus tard, après un premier renvoi toulousain suite à un nouveau corner, Plasil ajustait un centre au cordeau pour la tête smashée de Rolan qui doublait la mise (2-0).
Toulouse se rebiffait avec l'entrée en jeu de Braithwaite qui se signalait d'entrée en chipant un ballon à Sertic puis en servant Pesic pour une réduction du score redonnant du piment à la fin de match (68).
Le baroud visiteur fût toutefois un peu trop désordonné pour tromper une deuxième fois la vigilance de la défense des hommes de Sertic, qui faillit bien se rattraper de sa bourde en frappant un coup franc direct des 25 mètres sur le poteau de Boucher bien placé sur le coup (80).
Fifa.com (02/11/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Marseille dans la douleur, Lyon dans le coup
Marseille a péniblement battu Lens 2-1 dimanche lors de la 12e journée de L1 et a ainsi conservé ses quatre points d'avance sur le Paris SG en tête du championnat à une semaine d'un Clasico qui s'annonce brûlant au Parc des Princes.
Marseille gagne, tout est prêt pour le Clasico
Il y aura d'abord la Ligue des Champions et la venue de l'Apoel Nicosie mercredi au Parc des Princes, mais tout est déjà prêt pour le sommet du championnat dimanche sur la pelouse du Paris SG: le double champion en titre, deuxième actuellement, recevra son grand rival Marseille, leader. Samedi, Paris n'avait pas brillé mais s'était imposé 2-1 à Lorient. Et dimanche, Marseille n'a pas brillé non plus et s'est lui aussi imposé 2-1, contre Lens.
Nkoulou avait pourtant mis l'OM sur de bons rails avec une ouverture du score dès la 10e minute. Mais le Belge Guillaume a égalisé pour Lens à un moment où Marseille souffrait avec une défense aux abois (31e). En deuxième période, les Provençaux ont repris l'avantage par Thauvin, bien servi par Gignac (61e). Mais à aucun moment ils n'ont semblé pleinement sereins, comme l'a montré l'énorme arrêt de Mandanda devant Touzghar au bout du temps additionnel.
Ils arriveront tout de même au Parc avec quatre points d'avance sur le PSG et quitteront donc Paris toujours dans la peau d'un leader, quel que soit le résultat. Mais ils devront faire sans Morel, Ayew et Romao, tous suspendus, le Togolais ayant été exclu dimanche. Dja Djédjé aussi pourrait être absent.
Bordeaux se relance avec Planus
Bordeaux n'allait pas très fort en championnat avec un seul point pris en trois matches et une sévère défaite face au Paris SG (3-0). Ils se sont remis dans le bon sens en battant Toulouse 2-1 avec pour détonateur le très inattendu Marc Planus.
"C'est beau, c'est une belle action, avec un beau but du mollet (rires). C'est bien pour moi", a de son côté réagi Planus, sorti immédiatement après son but. Bordeaux en profite pour remonter à la 4e place. Toulouse de son côté glisse dangereusement après un début de saison plutôt réussi. Les joueurs de Casanova sont désormais 14e, avec quatre points de marge seulement par rapport à la zone rouge.
Nantes piétine
Nantes voulait rester dans le premier quart du championnat, mais devra se contenter du premier tiers (6e). Un succès face à Rennes à la Beaujoire aurait en effet permis à Nantes de dépasser Saint-Etienne (5e), tenu en échec samedi à Lille (1-1).
Mais les joueurs de Michel Der Zakarian n'ont pu faire mieux qu'un match nul 1-1 contre ceux de Philippe Montanier. Les Rennais avaient d'ailleurs ouvert le score dès la 4e minute par Pedro Henrique au bout d'un contre ultra-rapide. Nantes a égalisé sur un but contre son camp de Sylvain Armand (21e).
Rennes de son côté ne parvient pas à s'extraire du ventre mou malgré huit points pris en quatre matches et glisse à la 11e place.
Fifa.com (02/11/2014)
Marseille a péniblement battu Lens 2-1 dimanche lors de la 12e journée de L1 et a ainsi conservé ses quatre points d'avance sur le Paris SG en tête du championnat à une semaine d'un Clasico qui s'annonce brûlant au Parc des Princes.
Marseille gagne, tout est prêt pour le Clasico
Il y aura d'abord la Ligue des Champions et la venue de l'Apoel Nicosie mercredi au Parc des Princes, mais tout est déjà prêt pour le sommet du championnat dimanche sur la pelouse du Paris SG: le double champion en titre, deuxième actuellement, recevra son grand rival Marseille, leader. Samedi, Paris n'avait pas brillé mais s'était imposé 2-1 à Lorient. Et dimanche, Marseille n'a pas brillé non plus et s'est lui aussi imposé 2-1, contre Lens.
Nkoulou avait pourtant mis l'OM sur de bons rails avec une ouverture du score dès la 10e minute. Mais le Belge Guillaume a égalisé pour Lens à un moment où Marseille souffrait avec une défense aux abois (31e). En deuxième période, les Provençaux ont repris l'avantage par Thauvin, bien servi par Gignac (61e). Mais à aucun moment ils n'ont semblé pleinement sereins, comme l'a montré l'énorme arrêt de Mandanda devant Touzghar au bout du temps additionnel.
Ils arriveront tout de même au Parc avec quatre points d'avance sur le PSG et quitteront donc Paris toujours dans la peau d'un leader, quel que soit le résultat. Mais ils devront faire sans Morel, Ayew et Romao, tous suspendus, le Togolais ayant été exclu dimanche. Dja Djédjé aussi pourrait être absent.
Bordeaux se relance avec Planus
Bordeaux n'allait pas très fort en championnat avec un seul point pris en trois matches et une sévère défaite face au Paris SG (3-0). Ils se sont remis dans le bon sens en battant Toulouse 2-1 avec pour détonateur le très inattendu Marc Planus.
"C'est beau, c'est une belle action, avec un beau but du mollet (rires). C'est bien pour moi", a de son côté réagi Planus, sorti immédiatement après son but. Bordeaux en profite pour remonter à la 4e place. Toulouse de son côté glisse dangereusement après un début de saison plutôt réussi. Les joueurs de Casanova sont désormais 14e, avec quatre points de marge seulement par rapport à la zone rouge.
Nantes piétine
Nantes voulait rester dans le premier quart du championnat, mais devra se contenter du premier tiers (6e). Un succès face à Rennes à la Beaujoire aurait en effet permis à Nantes de dépasser Saint-Etienne (5e), tenu en échec samedi à Lille (1-1).
Mais les joueurs de Michel Der Zakarian n'ont pu faire mieux qu'un match nul 1-1 contre ceux de Philippe Montanier. Les Rennais avaient d'ailleurs ouvert le score dès la 4e minute par Pedro Henrique au bout d'un contre ultra-rapide. Nantes a égalisé sur un but contre son camp de Sylvain Armand (21e).
Rennes de son côté ne parvient pas à s'extraire du ventre mou malgré huit points pris en quatre matches et glisse à la 11e place.
Fifa.com (02/11/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
L'OM reprend ses distances
Marseille, grâce à une victoire dans la douleur 2 à 1 face au 17e Lens, a conforté sa place de leader en reprenant ses distances avec ses poursuivants, le PSG et Lyon, respectivement à 4 et 5 points, dimanche en clôture de la 12e journée de Ligue 1.
Les Marseillais, qui restaient sur une défaite à Lyon (1-0) et sur une élimination sans gloire en 16e de finale de Coupe de la Ligue à Rennes (2-1), se devaient de réagir, à une semaine d'un appétissant clasico au Parc des Princes face aux Parisiens. Les Lensois, de leur côté, qui ne se sont plus imposés au Vélodrome depuis la saison 2006-07 (1-0), restaient sur une victoire en championnat à l'extérieur à Toulouse (2-0) mais aussi sur une élimination face à Créteil (2-0) mardi en Coupe de la Ligue.
En l'absence de Jérémy Morel, blessé à un pied et de Brice Dja Djédjé suspendu, c'est Rod Fanni qui était aligné dans l'axe au côté de Nicolas Nkoulou et Mario Lemina sur le côté droit. Devant un peu plus de 52 000 spectateurs, une belle recette pour la réception du 17e de L1, les Marseillais attaquaient pied au plancher. André Ayew ne pouvait qu'effleurer le centre de Benjamin Mendy ( mais deux minutes plus tard, la tête de Nicolas Nkoulou était cette fois décisive. L'international camerounais reprenait à bout portant un corner de Thauvin, dévié par un Lensois et, le bras levé vers le ciel, rendait ainsi hommage à son père décédé l'été dernier (1-0, 10).
Très timide, le Racing Club de Lens se faisait cependant violence et Valdivia, d'une belle frappe des 20 mètres, obligeait Mandanda à dégager des deux poings (18). Le match était alors débridé et Bourigeaud, qui assurait mal sa reprise d'un centre de la gauche, était tout près de tromper Mandanda.
Marseille à 10
L'OM, par excès de suffisance, n'affichait pas sa maîtrise habituelle et très logiquement, Lens égalisait par le jeune (19 ans) Baptiste Guillaume, qui profitait d'un bon travail de l'Argentin Chavarria pour inscrire son premier but en Ligue 1 (1-1, 31). "L'important c'est ce que l'on obtient et pas ce que l'on mérite": à la pause, les Marseillais avaient tout loisir de méditer cette réflexion de leur entraîneur Marcelo Bielsa car à l'issue d'une première période décousue, les partenaires de Gignac ne méritaient pas beaucoup mieux.
Heureusement, ils affichaient un tout autre visage en début de seconde période. Maladroit depuis plusieurs semaines, Florian Thauvin multipliait les tentatives, comme sur un coup franc direct tiré côté droit mais que Belon captait bien.
A l'heure de jeu, l'ancien Lillois était enfin récompensé: servi en retrait par Gignac, son tir du gauche trompait le gardien lensois (2-1, 60). Si l'OM avait bien repris les choses en main, il perdait cependant Romao à 15 minutes du terme, à la suite d'un 2e carton jaune. Mais les Olympiens, grâce à un Mandanda héroïque notamment sur un tête à tête avec Touzghar, tenaient bon.
Fifa.com (02/11/2014)
Marseille, grâce à une victoire dans la douleur 2 à 1 face au 17e Lens, a conforté sa place de leader en reprenant ses distances avec ses poursuivants, le PSG et Lyon, respectivement à 4 et 5 points, dimanche en clôture de la 12e journée de Ligue 1.
Les Marseillais, qui restaient sur une défaite à Lyon (1-0) et sur une élimination sans gloire en 16e de finale de Coupe de la Ligue à Rennes (2-1), se devaient de réagir, à une semaine d'un appétissant clasico au Parc des Princes face aux Parisiens. Les Lensois, de leur côté, qui ne se sont plus imposés au Vélodrome depuis la saison 2006-07 (1-0), restaient sur une victoire en championnat à l'extérieur à Toulouse (2-0) mais aussi sur une élimination face à Créteil (2-0) mardi en Coupe de la Ligue.
En l'absence de Jérémy Morel, blessé à un pied et de Brice Dja Djédjé suspendu, c'est Rod Fanni qui était aligné dans l'axe au côté de Nicolas Nkoulou et Mario Lemina sur le côté droit. Devant un peu plus de 52 000 spectateurs, une belle recette pour la réception du 17e de L1, les Marseillais attaquaient pied au plancher. André Ayew ne pouvait qu'effleurer le centre de Benjamin Mendy ( mais deux minutes plus tard, la tête de Nicolas Nkoulou était cette fois décisive. L'international camerounais reprenait à bout portant un corner de Thauvin, dévié par un Lensois et, le bras levé vers le ciel, rendait ainsi hommage à son père décédé l'été dernier (1-0, 10).
Très timide, le Racing Club de Lens se faisait cependant violence et Valdivia, d'une belle frappe des 20 mètres, obligeait Mandanda à dégager des deux poings (18). Le match était alors débridé et Bourigeaud, qui assurait mal sa reprise d'un centre de la gauche, était tout près de tromper Mandanda.
Marseille à 10
L'OM, par excès de suffisance, n'affichait pas sa maîtrise habituelle et très logiquement, Lens égalisait par le jeune (19 ans) Baptiste Guillaume, qui profitait d'un bon travail de l'Argentin Chavarria pour inscrire son premier but en Ligue 1 (1-1, 31). "L'important c'est ce que l'on obtient et pas ce que l'on mérite": à la pause, les Marseillais avaient tout loisir de méditer cette réflexion de leur entraîneur Marcelo Bielsa car à l'issue d'une première période décousue, les partenaires de Gignac ne méritaient pas beaucoup mieux.
Heureusement, ils affichaient un tout autre visage en début de seconde période. Maladroit depuis plusieurs semaines, Florian Thauvin multipliait les tentatives, comme sur un coup franc direct tiré côté droit mais que Belon captait bien.
A l'heure de jeu, l'ancien Lillois était enfin récompensé: servi en retrait par Gignac, son tir du gauche trompait le gardien lensois (2-1, 60). Si l'OM avait bien repris les choses en main, il perdait cependant Romao à 15 minutes du terme, à la suite d'un 2e carton jaune. Mais les Olympiens, grâce à un Mandanda héroïque notamment sur un tête à tête avec Touzghar, tenaient bon.
Fifa.com (02/11/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Le clasico est déjà lancé
Le clasico entre les deux rivaux historiques de la L1, Marseille et le PSG, le 9 novembre au Parc des Princes (21h00), s'annonce explosif, le leader et son dauphin, pourtant malmenés, n'ayant rien lâché ce week-end.
. Marseille : Retour au calme mais des absences de poids
Après deux accrocs en l'espace de trois jours (défaite en championnat à Lyon, élimination en Coupe de la Ligue à Rennes), l'OM de Marcelo Bielsa a repris ses bonnes habitudes face à Lens (2-1) et préservé ses quatre points d'avance sur le double champion de France. Même si les promus ont donné jusqu'au bout du fil à retordre aux Olympiens, sauvés in extremis par un geste décisif de Steve Mandanda, l'essentiel était de renouer avec le succès et de mettre en sourdine les tiraillements apparus au sein du vestiaire. L'altercation entre André-Pierre Gignac et Brice Dja Djédjé jeudi à la Commanderie n'a pas fait exploser le groupe et "l'incident est clos", comme l'avait lui-même expliqué vendredi le meilleur buteur de L1 (à égalité avec Alexandre Lacazette). Gignac et Florian Thauvin ont eu des échanges assez vifs sur la pelouse mais cela n'a pas empêché le premier d'offrir à l'international Espoirs le but de la victoire.
Autre point positif: pendant que Paris va forcément laisser des forces en Ligue de champions contre l'Apoël Nicosie, mercredi au Parc des Princes, les Marseillais auront tout le loisir de se reposer en vue du grand choc de dimanche. De quoi également offrir à Bielsa un délai de réflexion pour gérer les absences problématiques à Paris de Jérémy Morel, d'André Ayew et de Alaixys Romao, tous trois suspendus. Un quatrième titulaire pourrait aussi faire défaut si la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) décidait jeudi de sanctionner lourdement Dja Djédjé après son exclusion pour son altercation avec le Rennais Paul-George Ntep en Coupe de la Ligue. Mais la dynamique de ce début de saison agit telle une carapace à l'OM où ces défections n'ont pas l'air d'inquiéter outre mesure. "Le groupe est pétri de talents donc j'espère qu'on aura les joueurs qu'il faut, j'en suis sûr", a ainsi déclaré Gignac.
. Paris : L'inconnue Ibra
Hormis la 2e place en Ligue 1 et le petit retard sur l'OM, tout est en train de rentrer dans l'ordre au PSG après un début de saison poussif. Le 4e succès d'affilée, toutes compétitions confondues, a été conquis dans la douleur à Lorient (2-1) et Laurent Blanc, qui a évoqué l'une des premières périodes "les plus faibles techniquement" dans sa carrière de technicien, a dû sortir de ses gonds à la pause pour réveiller ses troupes. Mais la machine parisienne tient enfin le coup après une litanie de matches nuls (6) grâce au sursaut d'Edinson Cavani, auteur de 3 buts sur ses 3 dernières sorties, au retour en forme de Thiago Silva et aux arabesques du prodige Lucas, éteint à Lorient mais devenu soudainement décisif après un an et demi en dents de scie à Paris. "On a 24 points en 12 matches, ça fait deux points par match, on recommence à retrouver notre véritable niveau par rapport à l'année dernière", s'est félicité "le Président", qui peut aussi valider dès mercredi le billet pour les 8e de finale de C1.
Tous les voyants sont donc presque au vert et l'infirmerie est quasiment vide. Sauf que son ultime pensionnaire n'est pas n'importe qui. Zlatan Ibrahimovic manque toujours à l'appel depuis le 21 septembre en raison d'une blessure au talon. Blanc s'est voulu rassurant vendredi en expliquant que la superstar suédoise allait "beaucoup mieux" mais il n'a pas fourni de date précise pour son retour. Peut-il revenir pour le clasico? Difficile à dire mais l'entraîneur parisien a savamment entretenu le flou et un peu d'intox n'est pas à exclure à ce sujet avant les retrouvailles entre les deux frères ennemis du football français.
Blanc va surtout devoir passer la semaine à remonter le moral de Yohan Cabaye. L'international français est censé pallier la suspension du métronome parisien Thiago Motta contre l'OM. Problème: il traverse une très mauvaise période et sa prestation catastrophique au Moustoir n'augure rien de bon pour le clasico.
Fifa.com (03/11/2014)
Le clasico entre les deux rivaux historiques de la L1, Marseille et le PSG, le 9 novembre au Parc des Princes (21h00), s'annonce explosif, le leader et son dauphin, pourtant malmenés, n'ayant rien lâché ce week-end.
. Marseille : Retour au calme mais des absences de poids
Après deux accrocs en l'espace de trois jours (défaite en championnat à Lyon, élimination en Coupe de la Ligue à Rennes), l'OM de Marcelo Bielsa a repris ses bonnes habitudes face à Lens (2-1) et préservé ses quatre points d'avance sur le double champion de France. Même si les promus ont donné jusqu'au bout du fil à retordre aux Olympiens, sauvés in extremis par un geste décisif de Steve Mandanda, l'essentiel était de renouer avec le succès et de mettre en sourdine les tiraillements apparus au sein du vestiaire. L'altercation entre André-Pierre Gignac et Brice Dja Djédjé jeudi à la Commanderie n'a pas fait exploser le groupe et "l'incident est clos", comme l'avait lui-même expliqué vendredi le meilleur buteur de L1 (à égalité avec Alexandre Lacazette). Gignac et Florian Thauvin ont eu des échanges assez vifs sur la pelouse mais cela n'a pas empêché le premier d'offrir à l'international Espoirs le but de la victoire.
Autre point positif: pendant que Paris va forcément laisser des forces en Ligue de champions contre l'Apoël Nicosie, mercredi au Parc des Princes, les Marseillais auront tout le loisir de se reposer en vue du grand choc de dimanche. De quoi également offrir à Bielsa un délai de réflexion pour gérer les absences problématiques à Paris de Jérémy Morel, d'André Ayew et de Alaixys Romao, tous trois suspendus. Un quatrième titulaire pourrait aussi faire défaut si la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) décidait jeudi de sanctionner lourdement Dja Djédjé après son exclusion pour son altercation avec le Rennais Paul-George Ntep en Coupe de la Ligue. Mais la dynamique de ce début de saison agit telle une carapace à l'OM où ces défections n'ont pas l'air d'inquiéter outre mesure. "Le groupe est pétri de talents donc j'espère qu'on aura les joueurs qu'il faut, j'en suis sûr", a ainsi déclaré Gignac.
. Paris : L'inconnue Ibra
Hormis la 2e place en Ligue 1 et le petit retard sur l'OM, tout est en train de rentrer dans l'ordre au PSG après un début de saison poussif. Le 4e succès d'affilée, toutes compétitions confondues, a été conquis dans la douleur à Lorient (2-1) et Laurent Blanc, qui a évoqué l'une des premières périodes "les plus faibles techniquement" dans sa carrière de technicien, a dû sortir de ses gonds à la pause pour réveiller ses troupes. Mais la machine parisienne tient enfin le coup après une litanie de matches nuls (6) grâce au sursaut d'Edinson Cavani, auteur de 3 buts sur ses 3 dernières sorties, au retour en forme de Thiago Silva et aux arabesques du prodige Lucas, éteint à Lorient mais devenu soudainement décisif après un an et demi en dents de scie à Paris. "On a 24 points en 12 matches, ça fait deux points par match, on recommence à retrouver notre véritable niveau par rapport à l'année dernière", s'est félicité "le Président", qui peut aussi valider dès mercredi le billet pour les 8e de finale de C1.
Tous les voyants sont donc presque au vert et l'infirmerie est quasiment vide. Sauf que son ultime pensionnaire n'est pas n'importe qui. Zlatan Ibrahimovic manque toujours à l'appel depuis le 21 septembre en raison d'une blessure au talon. Blanc s'est voulu rassurant vendredi en expliquant que la superstar suédoise allait "beaucoup mieux" mais il n'a pas fourni de date précise pour son retour. Peut-il revenir pour le clasico? Difficile à dire mais l'entraîneur parisien a savamment entretenu le flou et un peu d'intox n'est pas à exclure à ce sujet avant les retrouvailles entre les deux frères ennemis du football français.
Blanc va surtout devoir passer la semaine à remonter le moral de Yohan Cabaye. L'international français est censé pallier la suspension du métronome parisien Thiago Motta contre l'OM. Problème: il traverse une très mauvaise période et sa prestation catastrophique au Moustoir n'augure rien de bon pour le clasico.
Fifa.com (03/11/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Bastia - Makelele limogé
Claude Makelele a été démis de ses fonctions d'entraîneur général du SC Bastia (SCB), a-t-on appris lundi auprès du club corse.
"Le comité directeur du SCB informe l'ensemble de ses supporters et ses partenaires qu'à compter de ce jour, M. Claude Makelele n'est plus l'entraîneur général du Sporting Club de Bastia", peut-on lire sur le site du club.
Arrivé durant l'intersaison, l'ancien bras droit de Laurent Blanc paye les mauvais résultats de son équipe, 19e du championnat avec dix points. Makelele ne sera resté que douze journées à la tête de l'équipe bastiaise.
Depuis l'instauration de la victoire à trois points en Ligue 1, jamais le SC Bastia n'avait connu un aussi mauvais départ. Avec seulement deux victoires au compteur dont une seule à domicile, le SCB ne pointe pourtant qu'à une longueur du premier non relégable.
En attendant l'arrivée d'un nouvel entraîneur, dont la venue pourrait être finalisée dans les prochaines heures, le groupe professionnel est confié à Ghislain Printant, le directeur du centre de formation et à Hervé Sekli, l'entraîneur des gardiens.
Les deux hommes dirigeront d'ailleurs la séance d'entraînement de lundi après-midi. Claude Makelele et les dirigeants bastiais se sont adressés aux joueurs du SC Bastia en début d'après-midi pour leur faire part de la décision. A noter que le sort de Didier Tholot, l'entraîneur adjoint de Claude Makelele, n'a pas encore été scellé mais il y a de fortes chances que lui aussi quitte le club corse rapidement.
Claude Makelele est le premier entraîneur de Ligue 1 limogé cette saison.
Fifa.com (03/11/2014)
Claude Makelele a été démis de ses fonctions d'entraîneur général du SC Bastia (SCB), a-t-on appris lundi auprès du club corse.
"Le comité directeur du SCB informe l'ensemble de ses supporters et ses partenaires qu'à compter de ce jour, M. Claude Makelele n'est plus l'entraîneur général du Sporting Club de Bastia", peut-on lire sur le site du club.
Arrivé durant l'intersaison, l'ancien bras droit de Laurent Blanc paye les mauvais résultats de son équipe, 19e du championnat avec dix points. Makelele ne sera resté que douze journées à la tête de l'équipe bastiaise.
Depuis l'instauration de la victoire à trois points en Ligue 1, jamais le SC Bastia n'avait connu un aussi mauvais départ. Avec seulement deux victoires au compteur dont une seule à domicile, le SCB ne pointe pourtant qu'à une longueur du premier non relégable.
En attendant l'arrivée d'un nouvel entraîneur, dont la venue pourrait être finalisée dans les prochaines heures, le groupe professionnel est confié à Ghislain Printant, le directeur du centre de formation et à Hervé Sekli, l'entraîneur des gardiens.
Les deux hommes dirigeront d'ailleurs la séance d'entraînement de lundi après-midi. Claude Makelele et les dirigeants bastiais se sont adressés aux joueurs du SC Bastia en début d'après-midi pour leur faire part de la décision. A noter que le sort de Didier Tholot, l'entraîneur adjoint de Claude Makelele, n'a pas encore été scellé mais il y a de fortes chances que lui aussi quitte le club corse rapidement.
Claude Makelele est le premier entraîneur de Ligue 1 limogé cette saison.
Fifa.com (03/11/2014)
Re: Saison française, 2014 - 2015
Bastia - Makelele : "Le SCB va s'en sortir"
Claude Makelele, démis lundi de ses fonctions d'entraîneur du SC Bastia (SCB), s'est dit persuadé que le club corse allait "s'en sortir".
Claude Makelele, quelle est votre réaction à ce limogeage ?
Ce sont les aléas du métier d'entraîneur et je les accepte. Je remercie le club de m'avoir fait confiance. Ça a été un plaisir d'entraîner cette équipe. Je suis persuadé qu'ils vont s'en sortir parce qu'il y a de la qualité. Je sais que le SCB restera en Ligue 1".
Comment cela s'est-il passé avec vos dirigeants ?
C'est une décision d'hommes. Ils m'ont expliqué leur choix et je le comprends. On apprend de ce genre de mésaventure et paradoxalement cela va me conforter dans ce métier. Je vais apprendre encore davantage.
Est-ce un échec pour vous ?
Pas du tout, bien au contraire. Pour moi, ce n'est que du positif dans la mesure où c'est un apprentissage. A l'avenir, je ne ferai pas les mêmes erreurs. Je n'épiloguerai pas sur ce point car il faudrait plus de temps. Cela doit rester personnel. Il faut tirer les conséquences de ce genre d'expérience et j'en tire des conséquences positives.
Fifa.com (03/11/2014)
Claude Makelele, démis lundi de ses fonctions d'entraîneur du SC Bastia (SCB), s'est dit persuadé que le club corse allait "s'en sortir".
Claude Makelele, quelle est votre réaction à ce limogeage ?
Ce sont les aléas du métier d'entraîneur et je les accepte. Je remercie le club de m'avoir fait confiance. Ça a été un plaisir d'entraîner cette équipe. Je suis persuadé qu'ils vont s'en sortir parce qu'il y a de la qualité. Je sais que le SCB restera en Ligue 1".
Comment cela s'est-il passé avec vos dirigeants ?
C'est une décision d'hommes. Ils m'ont expliqué leur choix et je le comprends. On apprend de ce genre de mésaventure et paradoxalement cela va me conforter dans ce métier. Je vais apprendre encore davantage.
Est-ce un échec pour vous ?
Pas du tout, bien au contraire. Pour moi, ce n'est que du positif dans la mesure où c'est un apprentissage. A l'avenir, je ne ferai pas les mêmes erreurs. Je n'épiloguerai pas sur ce point car il faudrait plus de temps. Cela doit rester personnel. Il faut tirer les conséquences de ce genre d'expérience et j'en tire des conséquences positives.
Fifa.com (03/11/2014)
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