[Entraineur] François CICCOLINI

JSK : Hannachi menace Ciccolini de résilier son contrat en cas d’insuffisance de résultats !

Comme il fallait s’y attendre, le président de la JSK, Mohand Cherif Hannachi, a convoqué, hier matin, son entraineur en chef, Ciccolini, et les autres membres du staff pour une réunion d’urgence au siège du club. La dernière défaite face au CRB, la deuxième de suite en cette fin de phase aller a relégué le club kabyle au fond du classement, ce qui a contraint le premier responsable à réunir son staff et demander des explications pour ces contreperformances qui ne font que compliquer la situation. Lors de cette réunion, le président a fait savoir à son employé qu’il n’est pas du tout content de sa sortie médiatique à travers laquelle il a attaqué quelques cadres de l’équipe, ce qui ne fera qu’envenimer la situation selon le premier responsable du club. En présence du manager général du club, Samy Idrès, qui a été le chef de la délégation de la JSK au stade du 20-Août-1955 pour le match qui a opposé la JSK au CRB, le président Hannachi a tout d’abord commencé par faire des reproches à son entraîneur en chef concernant ses attaques à travers la presse contre ses propres joueurs. Cette sortie médiatique du premier responsable à la barre technique à travers laquelle il s’est attaqué à ses joueurs, pour certains il a même dit qu’ils ne méritent pas de porter le maillot de la JSK, alors que c’est son employeur direct qui a procédé à leur recrutement l’été dernier, qualifiant leur venue de meilleure opération. Hannachi a catégoriquement signifié à son entraîneur en chef que ses déclarations à la presse, concernant les joueurs, s’il croit ainsi régler la situation, sont venues la compliquer.

Il lui a exprimé sa déception quant aux résultats enregistrés
Lors de la réunion d’hier avec Ciccolini, le président Hannachi a aussi soulevé l’insuffisance de résultats. Alors que tout le monde croyait que la JSK allait décoller suite à la victoire obtenue face au MCA à Bologhine, les Canaris ont raté l’occasion de confirmer face à l’ESS, concédant un match nul suivi de deux défaites consécutives face au MOB et, dernièrement, face au CRB. Hannachi a fait savoir à son employé que la situation est alarmante et que ça ne peut plus continuer ainsi. Après le match perdu face au MOB, Hannachi a pourtant réuni tout le monde, joueurs et staff technique pour faire le point et appeler à la mobilisation. Malheureusement, le discours n’a pas été entendu et l’équipe s’enlise au classement.

Obligation de réagir lors des trois prochains matchs
Par ailleurs, le président Hannachi a exigé de Ciccolini des résultats positifs. A trois journées de la fin de la phase aller, Hannachi exige de son entraîneur le maximum de points pour remonter la pente et terminer à une place en haut du classement, nous a confié une source crédible.

Probabilité de procéder à la résiliation de contrat en cas de mauvais résultats
Même s’il est peut-être encore trop tôt pour évoquer l’avenir de l’entraineur corse, sachant que le premier responsable du club n’a pas dit un mot concernant ce dossier, il n’en demeure pas moins que notre source a confié que, lors de la réunion Hannachi-Ciccolini d’hier au siège, les deux hommes sont convenus qu’en cas de mauvais résultats d’ici à la fin de la phase aller, il est fort probable que la direction kabyle procède à la résiliation du contrat avec son entraineur. Voilà donc ce qui devrait mettre encore une fois le technicien corse sous forte pression à moins d’une semaine d’un autre match pas du tout facile, face au RCA.

Le Buteur (02/12/2014)

JSK : Hannachi rappelle à l’ordre Ciccolini

Enervé par les déclarations tenues par Ciccolini sur Echourouk TV, le président Hannachi n’a pas hésité à lui dire ce qu’il a sur le cœur au cours de la réunion qu’il a tenue hier avec lui. Irrité déjà par l’insuffisance de résultats, le président de la JSK a saisi l’impair commis par son entraîneur lors de son passage sur Echourouk TV pour le rappeler à l’ordre.

D’après une source digne de foi, le président Hannachi a clairement affirmé à son entraîneur qu’il n’aurait pas dû parler de ses joueurs comme il l’a fait dans la soirée d’avant-hier sur Echourouk TV. Les propos tenus par le Corse à l’encontre de Delhoum, Mekkaoui, Benlamri, Kerrar et Meguehout ont irrité au plus haut point le président de la JSK qui sait parfaitement que les déclarations de son entraîneur ne feront que nuire à l’équipe. Il l’aurait même averti qu’en cas de récidive, il ne le lui pardonnera pas. Il estime que le linge sale doit se laver en famille et non pas sur les plateaux de télévisions. L’image de la JSK a été ébréchée par tout ce qui s’est passé depuis la disparition tragique d’Albert Ebossé et c’est pour cela que le président Hannachi a été courroucé par la dernière sortie médiatique de son entraîneur. Il lui aurait même déclaré que s’il avait des reproches à faire aux joueurs, il devrait le lui dire à lui et aux dirigeants, et non pas sur un plateau de télévision.

Une séparation à l’amiable au mercato en cas d’insuffisance de résultats
Mécontent des deux dernières défaites concédées par l’équipe face respectivement au MOB et au CRB, le président Hannachi aurait signifié à son entraîneur hier que s’il ne met pas fin à la série de mauvais résultats, il se séparera de lui à la fin de la phase aller. Cette mise en garde contre Ciccolini n’est pas une nouveauté puisque le président Hannachi avait exigé de lui d’assumer ses responsabilités après l’échec concédé devant le Mouloudia de Béjaïa. Et comme l’équipe a sombré encore une fois face au CRB, il lui aurait fait savoir que si l’équipe ne se ressaisit pas dans les trois matches à venir, il serait obligé de procéder à la résiliation de son contrat. Même Ciccolini a affirmé avant-hier soir sur Echourouk TV qu’il a le soutien de son président, force est de constater que le président de la JSK est déterminé à changer d’entraîneur dans le cas où l’équipe n’enregistre pas de bons résultats lors des matches restants, lui qui a poussé à la porte de sortie Hugo Broos, alors que l’équipe était leader, n’hésitera pas instant à faire débarquer Ciccolini surtout que ce dernier n’a pas respecté le règlement intérieur en critiquant ouvertement certains de ses joueurs. Le Corse est averti, car il sait désormais qu’il n’aura pas droit à l’erreur. Il ne lui reste qu’un joker, celui de forcer le destin en enchaînant trois bons résultats lors des trois matches à venir. Il faut reconnaître que le problème ne réside pas dans l’entraîneur uniquement. Cette situation dure depuis plusieurs années et il est temps de revoir plusieurs choses dans le club.

Compétition (02/12/2014)

Quand est-ce que ce cirque de limogeage des entraineurs va finir. Pour quoi c'est pas toi Mr. Hannachi qui devra reconnaitre pour une fois que tu n'es plus l'homme de la situation? Pour quoi c'est toujours les autres qui paient tes mauvais choix?
Encore une autre fois on nous sort Menad pour faire diversion puis on nous ramène un autre entraineur qui va partir dans 6 mois.

DÉGAGE HANNACHIIIIIIIIIIII. ON A MARRE DE TOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII.

melka a écrit:Quand est-ce que ce cirque de limogeage des entraineurs va finir. Pour quoi c'est pas toi Mr. qui devra reconnaitre pour une fois que tu n'es plus l'homme de la situation? Pour quoi c'est toujours les autres qui paient tes mauvais choix?
Encore une autre fois on nous sort Menad pour faire diversion puis on nous ramène un autre entraineur qui va partir dans 6 mois.

DÉGAGE HANNACHIIIIIIIIIIII. ON A MARRE DE TOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII.

La presse en rajoute beaucoup pour une simple raison.

Ciccolini a refusé de travailler avec Le Buteur et Compétition et a préféré se confier à une chaine TV. Ceci n'a pas été du gout de ces deux torchons alors ils passent au lynchage

Après plusieurs semaines de silence, il sort de son mutisme
Hannachi : “Laissons Ciccolini travailler en toute sérénité !”

Après plusieurs semaines de silence et de retrait de l’actualité sportive dictés par une santé quelque peu déficiente qui l’a contraint à se faire hospitaliser en France pour quelques jours, le président Hannachi a enfin décidé de sortir de son mutisme pour éclairer l’opinion publique sur tout ce qui touche à la situation actuelle de la JS Kabylie. Il est vrai que le club kabyle traverse une période très difficile et cela exige très certainement un redressement urgent et salutaire avant qu’il ne soit trop tard. “Il ne faut pas oublier que le décès tragique d’Ebossé  a été une véritable catastrophe pour la JSK qui n’a jamais pu se remettre d’un tel cauchemar. Non seulement nous avons perdu un excellent joueur et un être qui nous était très cher, mais voilà que la JSK doit faire face à plusieurs fronts puisque l’on continue à nous imposer un huis clos injuste et indéterminé, en tout cas jamais vu jusque-là dans les annales du football algérien, et comme un malheur ne vient jamais seul, il y a eu cette surprenante suspension des compétitions africaines émanant de la CAF”, dira Hannachi, qui n’omet pas de citer, “des gens malintentionnés qui continuent de tirer aussi sur l’ambulance sans aucun scrupule pour tenter de mettre la JSK à genoux pour des desseins revanchards et personnels”. Tout en reconnaissant que la situation de la JSK n’est guère brillante, Hannachi estime que, contrairement à tout ce qui se dit ici et là, la sérénité est de mise au sein de l’équipe et l’entraîneur corse François Ciccolini travaille avec sérieux et abnégation pour remettre l’équipe sur les rails.

“Il est vrai qu’il dérange quelque peu avec son franc-parler et sa grande rigueur, mais Ciccolini est un bosseur et un entraîneur compétent. Je suis régulièrement les entraînements au stade du 1er-Novembre et j’ai constaté de visu qu’il maîtrise aisément son sujet et applique des méthodes de travail appropriées. À aucun moment nous ne lui avons fait le moindre reproche et il est temps de laisser travailler tranquillement ce coach qui a des connaissances et surtout des principes à faire valoir dans tous les domaines”, dira encore Hannachi, qui ira même jusqu’à préciser que “Ciccolini n’a jamais été menacé par la direction de la JSK car il s’agit d’un technicien honnête et travailleur qui accomplit convenablement sa mission”.

Quant au cas Delhoum, Hannachi dira que “ce joueur est démobilisé depuis quelque temps. Donc, il a demandé effectivement à résilier son contrat et libre à lui de partir, mais il lui reste à négocier un accord financier pour obtenir sa libération”.

Par ailleurs, le président Hannachi s’est déclaré “très surpris par la réponse du tribunal arbitral du sport algérien qui a reçu le dossier de recours de la JSK depuis un mois et demi et qui vient de se déclarer finalement ‘incompétent’ tout en se référant à l’article 143 de la FAF qui stipule l’incompétence du TAS à statuer sur une sanction qui… dépasse les 6 mois !”.

Enfin, tout en affirmant que “la JSK n’a aucun contentieux avec la Fifa du fait que tous les litiges ont été réglés”, Mohand-Chérif Hannachi conclut que “les dirigeants de la JSK préparent activement le mercato pour renforcer l’effectif et redresser la situation pour rassurer les fidèles supporters qui doivent encourager davantage leur équipe favorite”.

Liberté (04/12/2014)

JSK/Benlamri, Mekkaoui : Ciccolini fait son mea culpa

Selon une source proche de la direction, l’entraîneur François Ciccolini a reconnu que ses propos tenus sur Echourouk TV à l’encontre de certains joueurs, notamment Benlamri et Mekkaoui étaient inadéquats.

Il aurait affirmé aux dirigeants qu’il n’a rien contre ces deux joueurs et qu’il souhaite même les aider dans ces moments difficiles.

Il leur a ajouté qu’ils ont d’énormes qualités et qu’ils peuvent revenir à leur meilleur niveau pour peu qu’ils se concentrent sur leur travail. Les deux joueurs traversent une période très difficile, surtout Mekkaoui qui n’a plus le moral pour jouer à cause d’un problème personnel. Les deux joueurs sont affectés par la déclaration de leur entraîneur, mais le président Hannachi les aurait appelés pour les rassurer. Ils devaient réintégrer le groupe hier après-midi, mais comme ils n’ont été libéré par l’entraîneur national qu’à 13h, ils ne s’entraîneront avec leurs équipiers qu’aujourd’hui avant d’accompagner l’équipe à Alger. Le cas qui suscite beaucoup d’interrogations, c’est celui de Meguehout qui s’entraîne le plus normalement du monde avec le groupe, malgré ses attaques contre son entraîneur. Les supporters se demandent si celui-ci sera convoqué ou pas pour le match de demain face au RCA. Au vu des accusations échangées entre Ciccolini et Meguehout, les gens trouveront sûrement à redire si le Corse le convoque dans la liste des 18. Ce qui est certain est qu’il a déjà perdu la maîtrise du groupe, car un autre entraîneur aurait exigé de ses responsables de le traduire devant le conseil de discipline.

Compétition (04/12/2014)

JSK : Ciccolini partant ?

Grâce à son poste d'entraîneur de la JSK, François Ciccolini s'est rappelé aux bons souvenirs des recruteurs français. L'actuel coach des Canaris, qui fait plus parler de lui pour ses «prouesses» loufoques en conférences d'après-match que pour ses coachings éclairés sur le banc, est déclaré de retour en France par France Football. Selon le site internet du magazine, le Corse, qui ne cumule en tout et pour tout que quelques mois de service à Bastia et à Tour, serait de retour dans le club bastiais en tant qu'adjoint de Ghislain Printant, toutes proportions gardées, cela étant dit, puisque l'info comprend un ton interrogatif. Ce qui est sûr, en revanche, c'est que Ciccolini ne fera pas de vieux os à la JSK. De plus en plus contesté au sein du vestiaire pour ses cafouillages et ses choix controversés (comme par exemple titulariser un joueur qui l'avait descendu en flammes la veille), cet entraîneur a perdu le très peu de crédit que l'opinion lui accordait, sous forme de wait and see. Il faut dire qu'on n'a pas attendu longtemps pour voir. Le constat est vraiment affligeant !

Le Buteur (14/12/2014)

JSK : Ciccolini adjoint de Printant à Bastia ?

François Ciccolini, l’actuel entraîneur de la JS Kabylie, pourrait atterrir dans le staff de Bastia en tant qu’adjoint de Ghislain Printant.

C’est du moins ce qu’a révélé France Football dans son édition électronique de vendredi dernier. Ayant porté le maillot du Sporting Club de Bastia dans les années 1980 avant de l’entraîner pendant 8 mois. Devant le refus de Ciccolini de répondre aux questions des journalistes à la fin de la rencontre de la coupe d’Algérie face à Dar El- Beïda, on a jugé utile de joindre une source proche du dossier qui nous a confirmé l’intention des responsables de Bastia de faire appel à Ciccolini pour renforcer la barre technique de leur équipe.

Pression
Jusqu’au moment où nous mettons sous presse, on ne peut pas avancer avec exactitude si Ciccolini quittera ou pas la barre technique de la JSK dans les jours à venir, mais ce qui est certain est qu’il est soumis à une terrible pression depuis la défaite concédée devant le MOB. Il a été convoqué à deux reprises par ses dirigeants pour s’expliquer sur les mauvais résultats enregistrés par l’équipe, mais depuis la victoire enregistrée devant le RCA pour le compte de la 13e journée du championnat, la pression a baissé un peu. Il sait néanmoins qu’à la moindre contre-performance, ses responsables pourraient se retourner contre lui. Il n’a plus la maîtrise du groupe puisque des joueurs qui ont remis ouvertement ses choix en cause se sont retrouvés titulaires sans que celui-ci s’explique sur les raisons qui l’ont poussé à lui faire appel. Si le départ de Ciccolini se confirme, cela n’arrangera pas les affaires de la JSK qui vit l’une des saisons les plus difficiles depuis son accession en Ligue 1.

Compétition (14/12/2014)

miskine...mais bien fait je lui et dit de pas venir...menad a montré l'exemple...mais lui apparemment a rien compris , allé hanachi continue encore quelque goute et le vase sera plein.....

j'espére qu’aucun entraineur n'acceptera d'entrainer la JSK , si il faut toucher le fond pour faire déraciner hanachi il faudra malheureusement se réjouir de notre malheurs

Cicollini aux proches du club : «Je reste à la JSK»

Refusant de s’exprimer dans la presse depuis qu’il a été rappelé à l’ordre par le président Hannachi, François Ciccolini, continue de faire parler de lui. Son mutisme ne fait qu’ouvrir la voie à toutes les supputations concernant son avenir.

Le magazine France Football a rapporté dans son édition électronique de vendredi dernier que l’actuel entraîneur de la JSK pourrait être nommé comme adjoint de Ghislain Printant à Bastia, mais d’après les aveux faits par le Corses aux proches du club kabyle, son retour à son ancienne équipe en tant qu’adjoint de Ghislain Printant n’est pas du tout envisageable. «Je reste à la JSK. Partir ne m’a jamais effleuré l’esprit», leur a-t-il dit après la qualification de son équipe pour les 1/16 de finale de la coupe d’Algérie.

«Je préfère poursuivre ma mission que de travailler comme adjoint à Bastia»
En dépit de la terrible pression à laquelle est soumis ces derniers jours, Ciccolini ne compte pas partir tant que la direction du club ne lui a pas signifié sa fin de mission. Lié à la JSK jusqu’à la fin de l’exercice actuel, le Corse veut aller jusqu’au bout de son contrat.

Il fait l’objet d’acerbes critiques depuis la défaite concédée devant le Mouloudia de Béjaïa, mais il ne semble pas pourtant perturbé par tout ce qui se dit sur lui. Il a d’ailleurs confié aux proches du club qu’il «préfère poursuivre son aventure avec les Canaris que de travailler à Bastia comme adjoint».

Pour trouver un accord avec le président Hannachi, Ciccolini a fait d’énormes concessions sur le plan financier. Il n’a pas enregistré les résultats espérés par les dirigeants, mais il faut reconnaître que sa mission n’est pas du tout facile. Malgré ça, ses responsables ne l’ont pas épargné après les deux défaites consécutives concédées respectivement face au MOB et au CRB.

«Aucun contact officiel avec Bastia»
L’information rapportée par France Football faisant état de l’intention des dirigeants de Bastia à faire appel à Ciccolini pour renforcer la barre technique de leur équipe a été différemment commentée par les supporters de la JSK. L’entraîneur Ciccolini a tenu néanmoins à démentir tout contact avec son ancienne équipe. «Je n’ai aucun contact avec Bastia. Je ne comprends pas pourquoi on m’annonce à Bastia, alors que je suis lié à la JSK», a indiqué Ciccoloni aux proches du club.

«Ce n’est pas facile de travailler avec la JSK»
N’ayant posé aucune condition particulière pour succéder à Broos au moment où certains entraîneurs sollicités par la direction du club ont décliné l’offre, Ciccolini ne s’attendait pas à ce qu’il soit sévèrement critiqué après quelques jours seulement de sa prise en main de l’équipe. «Ce n’est pas facile pour un entraîneur de travailler dans le championnat algérien. Même à la JSK, ce n’est pas facile, mais contrairement à ce qui se dit çà et là, je ne songe pas à partir», leur a-t-il ajouté.

Compétition (15/12/2014)

Il est démissionnaire

Sur notre site : François Ciccolini sur le départ

Pour lire l'article ==> http://www.js-kabylie.fr/index.php/informations/articles/3428-francois-ciccolini-sur-le-depart

Sachant comment Broos est parti il aurait dû ne pas venir. en 6 mois 4 entraineurs sont partis:, ait ajoudi, broos, karouf et ciccolini dans les prochains jours. Bravo  Hannachi et merci pour cette instabilité. Le clochard de Hannachi préfère garder ses chouchous an détriment du club.

ce qui m’étonne c'est la passivité des supporter.....j'etait sur que coccinelle allé partir en même pas 2 mois....c'est devenue une habitude a la JSK tout ceux qui croisent hanachi il font l'effort de le su porter mais il finissent par craqué il et insupportable ce type....on aurai du laisser les haddad prendre le club on aurai eu un bien meilleur sort

JS Kabylie : Sous pression depuis plusieurs semaines
Ciccolini claque la porte

Le coach des Canaris, François Ciccolini, a décidé de démissionner de son poste d’entraîneur en chef de la JSK.

C’est ce qu’il a affirmé, hier matin, aux responsables kabyles. Le technicien français a informé ces derniers qu’il ne pouvait plus continuer sa mission et qu’il avait pris la décision de partir. Il faut dire que la démission du Corse était en quelque sorte attendue pour plusieurs raisons. Les résultats n’ont pas suivi en plus du fait qu’il a perdu le contrôle du groupe lors des dernières semaines. Une guéguerre s’est même déclenchée, par médias interposés, entre lui et le milieu de terrain Ahmed Meguehout, vu que le Corse ne comptait pas sur les services de l’ex-Belouizdadi. Il avait même déclaré que le joueur n’avait pas le niveau pour évoluer à la JSK, et Meguehout lui avait rétorqué que lui n’avait pas le niveau pour driver la JSK. Ce ne fut qu’avec l’intervention du président Hannachi que le joueur a été titularisé lors des deux derniers matchs de l’équipe. Notons néanmoins que Meguehout n’était pas le seul à en vouloir à leur désormais ex-entraîneur. Le défenseur Djamel Benlamri et le portier Nabil Mazari sont également montés au créneau ces derniers jours. Benlamri a affirmé à l’un de ses proches que le coach ne lui adressait jamais la parole, alors que Mazari a tiré à boulets rouges sur le Corse. Il l’accuse de vouloir le saboter, en le marginalisant, et ce depuis qu’il a pris les rênes de l’équipe. Même le jeune Aiboud dit avoir été mis à l’écart par son coach en dépit de ses grandes capacités. Le joueur dit s’être toutefois comporté en professionnel pour ne pas perturber le groupe. Avec tous ces exemples, il est clair que le Corse avait véritablement perdu le contrôle de l’équipe. Avec toutes ces tensions et ces rapports conflictuels avec plusieurs joueurs, il était donc prévisible qu’il quitte son poste à un moment ou un autre. Ainsi donc, et avec le départ de Ciccolini, le feuilleton des entraîneurs continue à la JSK. Cette saison seulement, après treize matchs de championnat seulement et un tour en Coupe, trois entraîneurs se sont déjà succédé à la barre technique kabyle. Le premier fut le Belge Hugo Broos qui a débuté la saison après le limogeage d’Aït Djoudi. En dépit de ses bons résultats, il a été poussé par le président Hannachi vers la porte de sortie. Le chairman kabyle intervenait dans le travail du Belge, allant jusqu'à lui dicter la liste des joueurs à aligner face au NAHD. Une chose que Broos avait mal digérée si bien qu’il a annoncé sa démission avant même le début du match face au NAHD. Puis, ce fut le DTS Mourad Karouf qui a tout fait pour que le club enregistre de bons résultats. Cependant, ceux-ci n’ont pas joué en sa faveur et c’est Ciccolini qui a été nommé par les dirigeants, avant de démissionner, après quelques semaines seulement. Beaucoup de spécialistes estiment que le problème de la JSK n’est pas un problème d’entraîneurs mais celui des conditions de travail. D’ailleurs, l’ex-Canonnier des Canaris Djamel Menad a refusé de prendre l’équipe kabyle en déclarant qu’il n’accepterait jamais que quiconque intervienne dans son travail. Reste à savoir maintenant qui va succéder à Ciccolini. C’est ce que nous saurons dans les toutes prochaines journées. Par ailleurs l’équipe kabyle a effectué du biquotidien pour la journée d’hier. Les deux séances ont été consacrées au volet technique. Le staff technique kabyle a travaillé avec les défenseurs dans la matinée et avec les milieux de terrains et les attaquants dans l’après-midi. Côté effectif, seul le milieu de terrain Kamel Yesli ne s’est pas entraîné. Souffrant de douleurs à la cheville, l’émigré kabyle subit actuellement des soins. Sa participation face à l’USMH est incertaine. En revanche, le jeune attaquant Hamza Yedroudj a réintégré le groupe, hier. L’auteur d’un doublé lors du dernier match de Coupe d’Algérie face au CRBDEB s’est entraîné le plus normalement du monde avec ses camarades. Après avoir réalisé une excellente prestation en coupe, Yedroudj souhaite avoir sa chance en championnat. L’équipe s’entraînera encore trois fois avant de rallier la capitale, après-demain vendredi, en prévision du match du lendemain face à l’USMH à 14h30.

DDK (17/12/2014)

JS Kabylie : Ciccolini démissionne

Le technicien corse, François Ciccolini, ne poursuivra pas son aventure à la tête de la barre technique des Canaris.

Ayant d’abord déposé sa démission, hier, au siège du club, le technicien a consenti, suite à son rencontre avec le président Moh Cherif Hannachi, à poursuivre sa mission jusqu’à la fin du mois, c’est-à-dire terminer la phase aller, avec les deux matchs restant en championnat et celui des 16es de finale de la Coupe, avant que sa démission ne soit effective.

Pour ce qui est des raisons qui ont motivé sa décision, François Ciccolini aurait expliqué à Hannachi que la situation du club et ses démêlés avec certains joueurs cadres seraient en cause. Néanmoins, à en croire certaines indiscrétions, le Corse aurait reçu une offre d’un club français, Bastia en l’occurrence, pour intégrer le staff technique en tant qu’entraîneur-adjoint.

El-Watan (17/12/2014)

JSK : Ciccolini démissione, mais Hannachi le retient !

C’était prévisible, mais aujourd’hui c’est une certitude ! François Ciccolini quittera la JSK après le match de la dernière journée face au CSC. Du moins, c’est ce que nous avons appris hier matin, à l’issue de la séance d’entraînement. Le technicien corse, depuis le match de Coupe d’Algérie face au CRBDB, où il s’est accroché avec le préparateur physique, n’arrive plus à poursuivre sa mission à la tête du club. Qui sème le vent récolte la tempête. L’entraîneur en chef, pas très à l’aise moralement, s’est entretenu avec le président Hannachi, hier matin,  pour lui faire part de sa décision de quitter le club. Une nouvelle qui n’a nullement surpris le premier responsable du club qui lui a juste demandé de poursuivre sa mission jusqu’au 30 décembre. Pour la direction kabyle, il est difficile de trouver un entraîneur pour prendre l’équipe trois jours avant le match de l’USMH. D’après une source bien informée, Hannachi songeait déjà à se séparer de Ciccolini. La relation qu’entretient le Corse avec ses joueurs inquiétait énormément Hannachi, qui n’a jamais accepté d’avoir des conflits au sein de son équipe. 

Un comportement conflictuel
Quelques jours après son arrivée à Tizi Ouzou, Ciccolini avait déjà eu des différents avec certains joueurs cadres à la JSK. Tout a commencé avec Mekkaoui et Benlamri que le Corse avaient traité de gamins avant de s’en prendre au jeune Khoudja qui, pour lui, n’est qu’un remplaçant. Dernièrement, il s’est accroché verbalement avec son préparateur physique lors du match face au CRBDB. Des comportements qui expliquent sa relation «froide» avec les journalistes ainsi qu’avec ses propres joueurs. Le technicien français n’accepte pas de parler «tactique» ou «technique» avec les médias. Les Algériens qui connaissent bien cette discipline n’ont pas besoin d’être des spécialistes pour constater qu’avec cet entraîneur, la JSK ne pratique pas un beau football et les résultats en témoignent. Peut-être que cela est dû à plusieurs paramètres, mais la vérité est que l’équipe joue toujours sans âme. Il est important aussi de dire que Ciccolini est très mal conseillé du moment qu’il devait être mis au courant que le joueur algérien ne travaille jamais avec un coach qui ne le respecte pas.

Les récentes déclarations des joueurs, le cas Benlamri, les autres raisons
Tellement ils ne sont pas à l’aise avec lui, les joueurs n’ont plus le goût pour s’entraîner. Pour preuve, chaque jour, un joueur retient son souffle et critique son entraîneur. Dernièrement, Benlamri a déclaré à l’un de ses proches que Ciccolini va lui faire détester le football en le laissant souvent sur le banc des remplaçants. Hier, c’était le tour du gardien de but, Nabil Mazari. Connu pour son professionnalisme, le gardien numéro 2 a tiré à boulets rouges sur son entraîneur lequel n’a fait que diviser le groupe tout en marginalisant les autres. Des déclarations qui ont précipité le départ du Corse, qui, d’après nos sources, ne pourra pas continuer ainsi.

Il l’a déjà rappelé à l’ordre
Même s’ils ne le montrent pas, les joueurs de la JSK attendaient avec impatience le départ de François Ciccolini. Ce dernier qui n’a fait que diviser le groupe depuis son arrivée fin octobre dernier aurait dû utiliser une autre méthode pour réussir son expérience en Algérie. Malheureusement, ce n’était pas le cas. Hannachi qui a été vite mis au courant n’a pas trop tardé à le convoquer et le rappeler à l’ordre. Le chairman kabyle lui a demandé tout simplement d’éviter d’utiliser des mots qui pourraient blesser ses protégés d’autant plus que le joueur algérien a une forte personnaliste et ne se laisse pas faire facilement.

Il pourrait partir à n’importe quel moment
Même s’il s’est mis d’accord pour quitter la JSK après le match face au CSC, il n’est pas à écarter que Ciccolini pourrait partir bien avant. Dans le cas où la JSK s’inclinerait contre l’USMH, le coach pourrait être remercié juste après. Cela explique que son avenir à la JSK d’ici le mercato dépendra des résultats.

Il est utile de rappeler que Ciccolini avait demandé au président Hannachi d’assurer encore un dernier match soit face à l’USMH avant de prendre ses valises et rentrer chez lui. Chose que le président a refusée en lui demandant de rester jusqu’à la dernière journée.

Le Buteur (17/12/2014)

JSK : Ciccolini annonce sa démission, on parle de Charef

Les dirigeants kabyles ont d’ores et déjà entamé la recherche concernant l’identité du futur entraîneur de l’équipe pour la suite de la saison.

L’entraîneur corse de la JSK va quitter ses fonctions à l’issue de la prochaine rencontre qui mettra aux prises les Canaris avec la formation de l’USMH pour l’une des affiches de la 14e journée de Ligue 1 Mobilis. Les dirigeants se sont déjà lancés à la recherche du profil idoine pour remplacer le technicien français. Plusieurs noms ont été évoqués pour prendre le relais de l’ancien entraîneur d’Ajaccio. Parmi ces noms, on trouve celui de l’ancien entraîneur du Mouloudia d’Alger, Boualem Charef. Ce dernier est sans club depuis son départ du vieux club de la capitale et son nom a été évoqué dans l’entourage du club. L’ancien coach d’El-Harrach est un technicien qui ne badine pas avec la discipline et exige d’avoir les pleins pouvoirs.

Un profil qui ne cadre pas avec le président
Même si son nom a été évoqué, la probabilité de voir cette piste se concrétiser est infime. En effet, l’homme refuse tout bonnement qu’on s’immisce dans son travail et l’a prouvé. Ce que n’accepte généralement pas le président de la JSK qui aime avoir son mot à dire dans l’aspect technique. De plus, il a la mainmise et impose sa loi dans la désignation du onze de départ comme il l’avait lui-même assuré lorsque Broos était encore en poste, disant qu’il avait fait l’équipe et qu’il avait gagné. Deux caractères incompatibles qui font que la piste Charef n’a que très peu de chances de sortir du lot.

Cela s’est passé hier : Ciccolini annonce sa démission à Hannachi
L’entraîneur François Ciccolini a pris la décision de quitter la barre technique de la JS Kabylie. Il préfère partir de son propre gré que d’être poussé à la porte de sortie comme son prédécesseur Hugo Broos. Il a annoncé, en effet, hier, au président Hannachi sa décision de rentrer chez lui en Corse en présence du manager général Samy Idrès. L’entrevue entre Ciccolini et le président Hannachi s’est déroulé au siège du club, mais les deux hommes s’étaient entendus pour ne pas ébruiter l’information, malheureusement quelques minutes seulement après la sortie de Ciccolini du bureau de la JSK, un dirigeant n’a pas trouvé mieux que d’appeler les journalistes pour leur annoncer la démission de Ciccolini.

Le départ de l’entraîneur corse ne constitue nullement une surprise, vu qu’il est soumis à une terrible pression depuis le semi-échec concédé devant l’ESS. En plus des problèmes qu’il a eus avec certains de ses joueurs entre autres Benlamri, Mekkaoui et Meguehout, il a été convoqué par son employeur après la défaite concédée devant le Mouloudia de Béjaïa pour lui demander de ne plus s’attaquer aux joueurs dans la presse. Ciccolini a encaissé le coup sans réagir, mais depuis ce jour-là il a compris que ses jours étaient comptés même s’il affirme qu’il a le soutien de son président et qu’il n’a aucun problème avec lui.

Meguehout, Mekkaoui, Benlamri, des cas difficiles à gérer
La titularisation de Meguehout face au RCA a confirmé l’incapacité de Ciccolini à gérer son groupe. Traîné dans la boue par l’ex-pensionnaire du CRB qui est allé jusqu’à dire qu’il n’a pas le niveau pour entraîner la JSK, Ciccolini l’a fait jouer d’entrée face au RC Arba. Un autre entraîneur aurait demandé à ce que son joueur soit traduit devant le conseil de discipline, mais, lui, l’a titularisé, alors qu’il ne l’avait fait jouer que 20 minutes depuis sa prise en main de l’équipe. Certains se sont demandé s’il n’avait pas subi de pression pour le titulariser du moment qu’il avait affirmé 5 jours auparavant que Meguehout n’a pas actuellement le niveau pour jouer dans cette équipe. En plus de Meguehout, il avait eu d’autres accrocs avec Mekkaoui et Benlamri. Le premier a joué titulaire lors des deux derniers matches, alors que Benlamri a été laissé sur le banc face à Dar El-Beïda. Il avait déclaré à son entraîneur avant le match de coupe qu’il souffrait d’une légère blessure, mais comme celui-ci ne l’a pas fait jouer, il avait piqué une vive colère après le match comme nous l’avons rapporté d’ailleurs dans notre édition de lundi dernier. Ne maîtrisant plus son groupe, il n’a pas d’autre choix que de partir surtout que la direction ne l’a pas vraiment soutenu. Sinon, comment expliquer le fait que des joueurs critiquent leur entraîneur sans qu’aucun dirigeant daigne les rappeler à l’ordre.

Il sera sur le banc face à l’USMH
Même s’il a annoncé à son président qu’il ne peut plus poursuivre son aventure avec la JSK, François Ciccolini sera sur le banc ce samedi face à l’USMH. Malgré la terrible pression exercée sur lui depuis le semi-échec face à l’ESS, l’entraîneur corse ne veut pas laisser l’équipe sans entraîneur à quelques jours de son choc face à l’USMH, coleader du championnat. Aussi, il attend que son manager le rejoigne à Tizi Ouzou afin de résilier son contrat. Il sait qu’il ne peut pas rentrer chez lui sans résilier au préalable son contrat avec la direction kabyle. Il a tenu moins de deux mois avant d’être forcé à la démission, comme c’était le cas pour Broos qui a quitté l’équipe malgré la précieuse victoire arrachée devant le NAHD. Ne bénéficiant pas du soutien total de sa direction, il jette l’éponge à quelques jours de la fin de la phase aller.

Il dément pour Bastia En annonçant sa démission au président Hannachi, certains ont cru que François Ciccolini atterrira à Bastia comme adjoint de Ghislain Printant, mais l’intéresse nie tout accord  avec les responsables bastiais. Il a même confié à certains de ses proches hier qu’il n’ira pas à Bastia et qu’il a décidé de prendre du recul afin d’oublier tout ce qu’il a enduré depuis son arrivée à la JSK.

Hannachi lui a demandé de finir la phase aller
Pris de court par la décision de son entraîneur de quitter la JSK après le match face à l’USMH, le président Hannachi lui aurait demandé de finir la phase aller pour lui permettre de trouver un entraîneur capable de mener l’équipe à bon port. Il ne reste que trois matches, deux en championnat face respectivement à l’USMH et le CSC et celui de coupe face au MCEE avant la trêve hivernale et pour prendre tout son temps pour engager un autre entraîneur, le président Hannachi souhaite que Ciccolini termine la première manche du championnat.

Karouf
Pas du tout certain que Ciccolini drive l’équipe après le match face à l’USMH prévu ce samedi au stade du 1er-Novembre d’El-Harrach, le président Hannachi songe d’ores et déjà à faire appel à Mourad Karouf, lequel a déjà assuré l’intérim pendant plusieurs jours après le départ forcé de l’entraîneur belge Hugo Broos. C’est le retour à la case de départ pour l’équipe kabyle qui s’enfonce de plus en plus dans la crise.

Compétition (17/12/2014)

JSK : Ciccolini ne restera pas

Une autre secousse a frappé la maison kabyle au cours de ces derniers jours. En effet, l’entraîneur de la JSK François Ciccolini a décidé de démissionner de son poste d’entraîneur du club phare de la Kabylie.

C’est lors d’une réunion qui l’a regroupé avec son président Moh Cherif Hannachi, ainsi que d’autres dirigeants kabyles mardi dernier, que l’entraîneur corse a annoncé son départ, et les raisons sont plus au moins connues.

Il faut dire que si Ciccolini a décidé de provoquer cette réunion et d’informer son président bien à l’avance de son départ, c’est tout simplement pour lui permettre de prendre ses devants et chercher un successeur afin que la JSK ne se retrouve pas du jour au lendemain sans entraîneur. Jusque-là, Ciccolini n’a fait aucune déclaration concernant son départ, il n’a ni confirmé ni, infirmé cette information, ni même donné les raisons qui l’ont poussé à prendre cette décision.

Néanmoins, même si l’entraîneur kabyle n’a rien dit jusque-là, on croit savoir que ce dernier campe sur ses positions et ne changera pas d’avis. Il sera certes sur le banc demain face à l’USMH, mais ce sera bel et bien sa dernière rencontre à la tête des Canaris. Ciccolini pourrait même repartir en France plus tôt que prévu, c’est-à-dire dans les tout prochains jours tant la situation est devenue insoutenable. Il était question, dans un premier temps, qu’il fasse aussi le match de coupe d’Algérie, mais apparemment, ce ne sera plus le cas.

Le président de la JSK Moh Cherif Hannachi ne cesse de déclarer à la presse, au cours de ces deux derniers jours, qu’il restera, mais cela ne changera rien à la décision prise par l’entraîneur corse qui a par ailleurs bien signifié à son boss sa ferme décision.

Quant aux raisons qui l’ont poussé justement à démissionner, on croit savoir, en premier lieu, que c’est le comportement de certains joueurs qui font preuve, depuis plusieurs jours, d’un manque flagrant de professionnalisme, notamment lors des entraînements. Une situation qui, à la longue, a fait pourrir la vie du coach, que ce soit sur le terrain ou en dehors. Une situation que pensait pourtant pouvoir gérer le coach corse qui était venu animé d’une grande volonté pour redresser la barre, mais au final, il s’est rendu compte que les choses étaient beaucoup plus compliquées qu’il ne le pensait. Une situation donc pesante, difficile à gérer, mais surtout inexplicable à laquelle François Ciccolini ne veut plus faire face.

Pour ce qui est de sa relation avec le président, à ce niveau-là rien à signaler puisque d’après nos informations, les deux hommes entretiennent de bons rapports ; pour preuve, les propos du boss kabyle dans différents organes concernant à la fois ses compétences et son maintien à la tête de la barre technique kabyle. Mais cela ne changera rien puisque François Ciccolini quittera bel et bien son poste d’entraîneur de la JSK après près de deux mois seulement d’exercice.

Compétition (19/12/2014)

vous ete serieux avec charef??? 7acha khlikat rabi.......il a fini dernier au MCA , le bouricot de classe avec un grand B avec tout les moyen qu'il a  eux et les choix qu'il a voulue lui même comme joueur les plus payer le MCA patauge dans le dernier des classement et qui et bon pour la L2...et sa grâce a charef...et vous voulez le ramener a la JSK ??? mabrouk alina la L2.....

Ciccolini annonce son départ aux joueurs
«C’est ma dernière séance et mon dernier match»

A la fin de la séance d’entraînement d’hier, l’entraîneur de la JSK a réuni ses joueurs pour leur annoncer son départ. Dans son discours, le coach des Canaris, qui a fait ses adieux aux joueurs, n’a pas omis de leur demander de gagner le prochain match face à l’USMH afin de continuer la suite du parcours avec plus de sérénité. Arrivé avant la 9e journée à la JSK avec qui il avait affronté le MCA pour son premier match officiel avec les Canaris, Ciccolini n’aura dirigé que six rencontres avant de plier bagage et rentrer en Corse. Agacé par le comportement de certains joueurs qui ne lui auraient pas montré le respect qu’il souhaitait avoir, François Ciccolini aurait également manqué de soutien de la part des dirigeants qui n’auraient pas fait grand-chose pour améliorer l’atmosphère entre lui et les joueurs qui lui ont mené la vie dure. Malgré ses rapports quelque peu tendus avec quelques-uns de ses joueurs, le coach corse de la JSK a tout de même tenu à annoncer son départ aux joueurs. «Je dois vous informer que c’est fini pour moi et que je vais partir après le match contre l’USMH. C’est ma dernière séance d’entraînement avec vous, bon vent pour tout le monde et bonne chance»n leur a-t-il lancé à l’issue de la séance d’entraînement d’hier avant de demander à ses poulains de lui gagner ce dernier match, ce qui lui permettra de partir sur une bonne note. «Je veux que vous gagniez ce match face à l’USMH. Remporter cette rencontre est important pour la JSK, c’est aussi important pour la suite du parcours et le moral de l’équipe. Je veux voir de vrais guerriers dans ce match et que vous le gagniez. Il faut donner le meilleur de vous-mêmes, mouiller le maillot et être volontaires, il faudra puiser dans vos ressources pour y parvenir. Sachez qu’en remportant cette rencontre, vous pourrez réaliser un bon parcours, donc c’est à vous de montrer ce que vous avez dans le ventre et aller chercher cette victoire», dira Ciccolini qui drivera son dernier match et qui veut lui aussi partir avec le sentiment du devoir accompli en remportant son dernier match avec la JSK avant de rentrer chez lui. L’entraîneur kabyle, qui a dirigé sa dernière séance, dirigera donc son dernier match aujourd’hui pour quitter le club kabyle où il ne sera resté que deux mois en Algérie.

Compétition (20/12/2014)

Sur notre site, USMH 0 – JSK 0 : Déclaration de François Ciccolini sur Radio Chaine 2

Pour lire l'article ==> http://www.js-kabylie.fr/index.php/informations/articles/3441-usmh-0-jsk-0-declaration-de-francois-ciccolini-sur-radio-chaine-2

Ciccolini : «Mon avenir, il faut voir avec le président Hannachi»

A la fin du match, l’entraîneur corse s’est exprimé sur le résultat de parité qui a sanctionné les débats face aux Harrachis qui concèdent leur premier match nul de la saison. Ciccolini, qui a annoncé son départ aux joueurs et certains responsables du club avant le déplacement à Alger, la veille du match, n’a pas confirmé l’information : «Non, pour l’instant, rien n’est encore décidé concernant mon avenir à la tête de la barre technique, il faut voir avec le président Hannachi.»

«L’avenir du club est plus important que le mien»
Prié de donner plus de détails sur ce dossier, l’entraîneur français s’est juste limité à révéler que la décision finale n’a pas été encore prise et que seul le président est habilité à en parler. Ciccolini ajoutera : «Je respecte énormément les Kabyles qui sont comme nous d’ailleurs, mais je tiens à vous informer que l’avenir du club est plus important que le mien.»

«C’est un bon point de pris à Lavigerie !»
A propos du match nul et du précieux point ramené par son équipe face à une équipe de l’USMH déterminée à s’emparer du fauteuil de leader en solo avec trois points d’avance, Ciccolini a déclaré : «C’est un bon point de pris face à une solide équipe de l’USMH. On a montré de belles choses cet après-midi, malheureusement et je le dis toujours, on a manqué de chance et de réalisme devant le but. Je constate que le manque d’expérience nous désavantage. Je dois toutefois dire que la JSK possède des joueurs de qualité capables de relever le défi.»

Le Buteur (21/12/2014)

JSK/Ciccolini : «Mon avenir, il faut demander à Hannachi»

L’entraîneur François Ciccolini n’a pas voulu confirmer son départ à l’issue de la rencontre face à l’USMH.

Il semblait même gêné par la question concernant sa démission, alors que la veille du match, il avait annoncé à ses joueurs sa décision irrévocable de quitter la barre technique de la JSK après le match face à l’USMH, leader du championnat. «Mon avenir, il faut demander au président Hannachi», à l’adresse des nombreux journalistes lui demandant s’il ne reviendra pas sur sa démission après le nul enregistré devant l’USMH. Il a ajouté qu’il n’a rien décidé pour le moment, mais sa réponse n’a convaincu personne surtout que dans les vestiaires, il a annoncé à certains responsables qu’il a pris la ferme décision de rentrer chez lui.

«J’ai beaucoup de respect pour les Kabyles»
Sa décision de rentrer chez lui deux mois seulement après son arrivée à la JSK n’a pas altéré l’estime qu’il porte pour les supporters kabyles. En refusant de confirmer son départ, Ciccolini souhaite quitter la JSK par la grande porte. «Je respecte beaucoup les Kabyles, car ils sont comme les Corses», a-t-il poursuivi. Malgré tous les problèmes auxquels est confronté depuis le semi-échec concédé devant l’ESS, le Corse garde une bonne image des supporters kabyles qui ne comprennent toujours pas les raisons qui ont poussé la direction à le forcer à la démission. 

«On a fait une belle deuxième mi-temps et on méritait ce nul»
Sur le nul enregistré devant l’USMH, l’entraîneur des Canaris affirme : «On a débuté timidement la rencontre, mais on a fait une belle deuxième mi-temps. On s’est créé quelques occasions nettes de scorer, mais le manque d’expérience et de lucidité ne nous a pas permis de les concrétiser. On  ne méritait amplement ce nul devant une bonne équipe de l’USMH. »

«Ces jeunes sont l’avenir de l’équipe»
Ayant décidé de donner la chance à certains jeunes lors de ces derniers jeunes à l’image de Yedroudj et Ihadadjen, Ciccolini pense qu’ils ont d’énormes qualités. «Ces jeunes sont l’avenir de l’équipe», a-t-il conclu.

Il rentrera aujourd’hui chez lui
Refusant de confirmer ou d’infirmer son départ aux gens des médias, l’entraîneur François Ciccolini a annoncé aux proches du club au coup de sifflet final qu’il ne reviendra pas sur sa décision de quitter la barre technique. «C’est bon, je m’en vais. Ma décision de partir est irrévocable et je n’ai nullement l’intention d’y revenir», leur a-t-il dans les vestiaires quelques minutes seulement après avoir livrés ses impressions d’après match aux journalistes présents au stade du 1er-Novembre d’El Harrach. D’après une source proche de la direction, il rentrera chez lui en France aujourd’hui. Il n’a tenu que deux mois avant de jeter l’éponge comme son prédécesseur, à savoir Hugo Broos à cause des interférences de Hannachi dans le volet technique.

Compétition (21/12/2014)

Sur notre site : François Ciccolini résilie son contrat avec la JSK

Pour lire l'article ==> http://www.js-kabylie.fr/index.php/informations/articles/3443-francois-ciccolini-resilie-son-contrat-avec-la-jsk