[?] Chamsseddine NESSAKH

S'il s'en va , c'est vraiment une grosse perte pour la JSK!

Dégage Hannachi a écrit:S'il s'en va , c'est vraiment une grosse perte pour la JSK!

Il restera! Il est en négociation avec le nouveau futur président. Un contrat de 5 ans avec options de transfert en Europe. Il aime la JSK mais Muhuc i s-darwec tout le monde!

JSK : Hannachi-Nessakh, l’explication

Le latéral gauche, Chamseddine Nessakh, a dû s’expliquer avec son président, hier matin, avant d’effectuer sa séance d’entraînement. Il semble bien que le premier responsable du club n’ait pas apprécié la dernière sortie médiatique de son joueur qui estime que son président ne l’a pas estimé à sa juste valeur, ce qui risque de le pousser à changer d’air d’ici au mois de juin prochain. En fin de contrat, Nessakh songe sérieusement à quitter le club. Toutefois, le joueur a eu, hier matin, l’occasion de s’expliquer en tête à tête avec Hannachi. Le boss kabyle a tenté de savoir les raisons qui l’ont poussé à déclarer dans les médias qu’il était mécontent. La discussion n’a duré que quelques minutes avant que le joueur ne soit autorisé à reprendre avec le groupe. On ignore toutefois si ce n’est que partie remise ou si c’est définitivement le clash entre Nessakh et Hannachi. Réponse dans les prochains jours.

Le buteur (28/03/2012)

Les supporters peuvent lui faire changer d'avis peut-etre! L'ennemi de mon ennemi....est mon ami.

Karouf aux supporters
«C’est Hannachi qui a refusé que je fasse jouer Nessakh»

Ce n’est un secret pour personne que l’ancien Asémiste Chemseddine Nessakh est de plus en plus proche de la porte de sortie à la JSK. Il aimerait bien continuer dans le club qui l’a rendu célèbre, mais il se trouve qu’il se sent tout simplement indésirable et n’attend que la fin de la saison pour plier bagage.

Récemment, on vous a raconté ce qu’il a dû endurer suite au match de coupe perdu à Bologhine face à l’USMA. Ce jour-là, il avait donné l’accolade à la fin du match à son ex-entraîneur, Meziane Ighil, et les dirigeants kabyles n’ont pas apprécié cela. Il était déjà dans leur collimateur et cette sortie de n’a fait que l’enfoncer.
A la mi-temps du même match, sentant un grand besoin de renfort sur le plan offensif, suite à la domination usmiste, Karouf avait ordonné à Nessakh et à Tedjar de s’échauffer pour les aligner dès l’entame de la seconde mi-temps, avant de se rétracter en n’alignant que l’ancien Paciste. Cela a intrigué plus d’un, mais il était déjà évident que la décision est venue d’en haut, et par téléphone.

Le vrai coach, c’est lui
Sentant la hogra qu’est en train de vivre leur meilleur joueur, quelques supporters n’ont pas manqué de demander des explications au premier responsable de la barre technique kabyle. Ils voulaient comprendre pourquoi Chemseddine ne joue pas. L’entraîneur Mourad Karouf leur a fait savoir que c’est le président Hannachi qui lui a demandé de ne pas le faire jouer. «Je voulais le faire jouer, car il est le meilleur à son poste, mais Hannachi n’a pas voulu», leur a-t-il dit. Refusant de renouveler son contrat, Nessakh a été injustement écarté par le président Hannachi, alors que l’équipe a besoin de lui.

Compétition (04/04/2012)

Nessakh titulaire face au CSC

Le défenseur de la JSK, Chemseddine Nessakh, sera de la partie lors du prochain match comptant pour la 25e journée de championnat. Ainsi, après avoir déclaré forfait lors des derniers matches de son équipe, Nessakh reprendra du service.

Son retour permettra à l’équipe de retrouver son rythme de croisière, car, en plus du fait qu’il est défenseur, il contribue beaucoup en attaque. En d’autres termes, Nessakh ne se contente pas de jouer derrière, il a tendance à monter d’un cran en appuyant les attaquants. De plus, il a inscrit plusieurs buts en faveur de son équipe. En somme, le retour de Nessakh confortera aussi bien la défense que l’attaque des Kabyles.

Les supporters ont exigé son retour
Nombreux sont les supporters de la JSK qui voient en l’incorporation de Nessakh une nécessité, notamment avec le recul qu’a pris le club en termes de résultats. Ainsi, d’après la majeur partie des fans kabyles, Nessakh pourra apporter un plus. Ils estiment que son absence a provoqué une cassure chez les joueurs, car le jeu des Kabyles s’articule entièrement autour de lui ces derniers temps. Soucieux de l’avenir de leur équipe qui vit des moments délicats, les fans ont exprimé leur souhait de voir Nessakh reprendre sa place de titulaire en défense.

Saïb : «Je me demande pourquoi il ne jouait pas»
Comme tout le monde le sait, le défenseur de la JSK Chems Eddine Nessakh ne fait plus partie des choix tactiques de l’entraîneur en chef, en l’occurrence Mourad Karouf. En effet, cela fait un bon moment déjà qu’il ne joue plus sous le maillot jaune et vert. Cela n’est pas sans faire réagir l’ex-joueur et entraîneur des Canaris, Moussa Saïb. De ce fait, l’ancien Auxerrois ne comprend pas le pourquoi de la mise à l’écart de ce joueur, sachant qu’il est l’un des éléments indiscutables dans la maison kabyle. Ainsi, au vu de la situation que vit le club, Nessakh est capable d’apporter un plus, d’autant plus que l’équipe a bien besoin de ses services, lui qui a tendance à jouer en qualité de polyvalent. En somme, c’est en connaissance de cause que Saïb parle de Nessakh, car il l’a déjà entraîné à la JSK l’été dernier, avant qu’il ne soit débarqué de son poste d’entraîneur par Hannachi. «Connaissant bien Nessakh, il est le genre de joueur qui peut apporter le plus attendu à l’équipe, notamment dans la situation actuelle que vit le club. Donc, il est temps de le faire jouer. Je me demande pourquoi il ne joue pas, je pense qu’il a toutes les qualités requises.»

Compétition (11/04/2012)

Nessakh titulaire 42 jours après !

A moins de six journées de la fin de la saison, le président kabyle ne s’est pas encore entretenu avec les joueurs en fin de contrat. Les supporters de la JSK espèrent voir parmi ces éléments, un, qui selon eux, est important pour lui renouveler son bail. Il s’agit de l’arrière gauche, Chamseddine Nessakh. Ce dernier, qui était l’un des meilleurs joueurs de la JSK en ce début de saison, traverse ces derniers jours des moments difficiles, du moment qu’il a perdu sa place de titulaire. Les rares fois où il a été incorporé, il ne jouait que les dernières minutes du match. Avant-hier et comme on s’y attendait, le coach kabyle a jugé utile de compter de nouveau sur son arrière latéral gauche, à la place de Abderezak Bitam qui avait déjà occupé ce poste à plusieurs reprises cette saison. De l’avis de tout le monde, l’ex-joueur de l’ASMO a occupé convenablement son poste, même s’il a eu des difficultés pour aller au terme de la partie.

«J’ai terminé difficilement la partie»
Afin de connaître ses impressions quant à son retour à la compétition en tant que titulaire après 42 jours, Chamseddine Nessakh nous a révélé qu’il attendait ce moment avec impatience pour retrouver son poste de titulaire, même s’il a trouvé des difficultés pour aller au terme de la rencontre. A ce sujet, il dira : «Sincèrement, c’est toujours un plaisir de retrouver la compétition, surtout en tant que titulaire. Je pense avoir tenu mon rôle convenablement sur le terrain. Le plus important, c’est que nous avons réussi à revenir avec un précieux point, qui nous permettra de reprendre confiance et aborder les matchs restants avec sérénité.»

«Je ne suis pas contre de renouveler, mais…»
Profitant de notre entretien avec Nessakh, nous avons jugé utile de lui demander s’il compte toujours prolonger son contrat avec la JSK. L’Oranais, qui s’est montré optimiste, nous a révélé qu’il était prêt à s’asseoir à la table des négociations avec Hannachi, et qu’il n’écarte pas l’idée de poursuivre son aventure avec le club kabyle : «Pour être clair, je ne vais pas écarter l’idée de prolonger mon contrat avec la JSK. Seulement, je tiens à dire que la balle n’est pas dans mon camp.»

Le Buteur (16/04/2012)

Il a été l’auteur du 1er but
Nessakh «Un bon test avant Saïda»

A la fin du match amical disputé hier après-midi face aux Issers, nous nous sommes entretenus avec le latéral gauche Chamseddine Nessakh, afin d’en savoir davantage sur l’état physique des joueurs. Nessakh nous a fait savoir que cette rencontre fut bénéfique pour le groupe, du moment que la JSK ne jouera pas ce week-end. Une façon de garder le rythme de la compétition, à une semaine du match face au MCS.

Comment vous êtes-vous senti dans ce match face aux Issers ?
Parfaitement bien. Une semaine après le match face au CSC, je pense que ce test nous a permis de constater que sur le plan physique, nous sommes au top, même si nous sommes en fin de saison. C’est important de retrouver sa confiance, à quelques jours de la reprise du championnat face au MCS. J’espère seulement que notre prestation a satisfait le staff. Il va falloir confirmer lors de notre prochaine sortie.

Pensez-vous que c’est une manière de rester dans le bain de la compétition ?
Nul doute que rien ne remplace la compétition officielle. Mais ce n’est pas une manière aussi de minimiser les bienfaits d’un match amical. Je pense que le fait d’avoir affronté un adversaire durant 90 minutes, même à titre amical ; est une bonne chose. L’engagement et la motivation ne sont pas les mêmes qu’à l’entraînement. Maintenant, il est clair que nous sommes beaucoup plus préoccupés par notre façon de jouer que du résultat final.

Tactiquement, y a-t-il encore des choses à revoir ?
Il y a toujours des choses à revoir tactiquement. D’ailleurs, c’est pour ces raisons que le staff programme ce genre de match. Nous avons corrigé certaines lacunes concernant le placement. Je reste convaincu qu’on sera meilleurs face au MCS, d’autant que nous avons suffisamment de temps pour nous préparer. Chacun d’entre nous devra améliorer son jeu pour espérer réaliser de bons résultats.

Vous avez disputé 60 minutes lors desquelles vous avez inscrit un superbe but et délivré une passe décisive…
Tout à fait. Ce qui m’a le plus satisfait, c’est de n’avoir ressenti aucune fatigue, contrairement au match du championnat face au CSC lors duquel j’avais eu du mal à terminer le match.

De nombreux observateurs sont unanimes à penser qu’une victoire lors du prochain match face au MCS vous mettra définitivement à l’abri. Partagez-vous cet avis ?
Il est vrai que mathématiquement parlant, il nous manque que ces 3 points face à Saïda pour sauver notre tête. Mais croyez-moi, nous ne raisonnons pas de cette manière. Sachez qu’on ne se contentera pas seulement des 3 points, mais bien plus que ça. Notre objectif est de gagner le maximum de match lors de nos cinq dernières sorties. Il s’agit tout de même de la JSK et nous sommes dans l’obligation de nous ressaisir pour espérer gagner des places au classement, car ce grand club mérite tous les honneurs.

Il vous reste trois matchs à domicile. Pensez-vous que les 9 points sont possibles ?
Bien évidemment qu’on est capables de gagner nos 3 matchs qui se joueront à la maison. Je vous dirais même plus, nous n’avons plus le droit à l’erreur. A mon avis, si on arrive à empocher les 9 points ainsi que 2 nuls à l’extérieur, ce sera magnifique. On jouera à fond nos derniers matchs. Le plus important est d’être conscients de la situation et de ne surtout pas douter de nos moyens.

Une rumeur a circulé affirmant que vous avez prolongé à la JSK. Qu’en est-il au juste ?
Non, je n’ai rien signé pour l’instant. Je n’écarte pas la possibilité de prolonger mon contrat d’une saison à la JSK. Je vais attendre jusqu’à la fin de la saison pour décider.
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Un autre contact a eu lieu dernièrement
Un accord aurait été trouvé entre la direction et Nessakh
Comme tout le monde le sait, plusieurs joueurs de la JSK seront en fin de contrat dès le mois de juin prochain. L’ex-Asémiste, Nessakh, figure lui aussi parmi cette longue liste et plusieurs informations l’ont donné comme étant sur le départ l’été prochain. Dans ce sens, une source digne de foi nous a confié que la direction kabyle aurait trouvé un accord avec l’Oranais qui, en principe, ne devrait pas tarder à rempiler pour une nouvelle aventure chez les Canaris. La même source nous a ajouté que l’accord trouvé est d’une durée d’une année. Un proche du joueur nous a même confirmé que Nessakh, qui n’a à aucun moment négocié avec une autre équipe cette saison, est disposé à rester et sa seule condition est que son salaire et autres primes soient revus à la hausse, une exigence que la direction actuelle ne devrait pas refuser au joueur qui apporte un plus considérable à l’équipe.

Le Buteur (20/04/2012)

JSK : Hannachi-Nessakh, dernier virage des négociations

Comme annoncé dans nos précédentes éditions, la direction du club semble beaucoup plus préoccupée par le prolongement des contrats des cadres de l’équipe que par le mouvement d’opposition mené par Iboud, Abdeslam, Amara et M. Yousfi. Même s’il y aura pas mal de départs cet été, le premier responsable du club, Mohand-Cherif Hannachi, compte entamer les négociations avec certains piliers de l’équipe, à l’image de Rial et Remache. Une source proche de la direction nous a fait savoir que dès son retour de France, le boss kabyle compte relancer les pourparlers avec… Nessakh. Pourtant, annoncé partant, Hannachi semble changer de position vis-à-vis de son latéral gauche. Une fois à Tizi, Hannachi rencontrera le joueur à la Résidence pour aborder le dernier virage des négociations. Pour rappel, les deux hommes se sont déjà rencontrés il y a quelques semaines de cela, sans pour autant qu’ils trouvent un accord. Nessakh avait demandé une revalorisation de son salaire avant la fin de la saison, chose que Hannachi a refusée. Il a expliqué à son interlocuteur qu’il devait attendre la fin du championnat pour pouvoir renégocier son salaire et prolonger d’une saison supplémentaire.

Nessakh : «Dès qu’il rentre de France, je négocierai avec lui»
Afin d’en savoir davantage sur ce nouveau tête-à-tête décisif entre Hannachi et lui, nous avons interrogé le concerné qui nous déclare : «Tout d’abord, je tiens à dire que je n’ai signé aucun contrat cette saison. Je suis libre de tout engagement en juin prochain. Toutefois, je devrais rencontrer le président Hannachi dès son retour de France afin de négocier une nouvelle fois. Je donne la priorité à la JSK. J’aimerais bien trouver un accord avec le président pour prolonger mon contrat. Je n’écarte pas l’idée de rester une saison de plus, mais je demande à ce qu’on m’estime à ma juste valeur. Pour l’instant, je ne peux en dire plus. J’attendrai la semaine prochaine pour en savoir davantage.»

Le Buteur (21/04/2012)

Une source de la direction l’a révélé
Nessakh accepte de rempiler

Alors qu’ils sont nombreux les joueurs kabyles en fin de contrat et que beaucoup seront sollicités à rempiler et figurent sur la liste secrète de Hannachi, une source de la direction nous a confié que le premier joueur qui a officiellement donné son accord est le latéral gauche, Chemseddine Nessakh. En fin de contrat dès le mois de juin, Nessakh se retrouve libre de tout engagement. Plusieurs formations n’ont pas cessé de lui faire les yeux doux et la JSK réussi à convaincre le natif d’Oran à prolonger encore son aventure en Kabylie. Pour rappel, Nessakh reste l’une des priorités pour la saison prochaine et cette saison, il a été approché plusieurs fois par les Kabyles.

Il a exigé une saison renouvelable
Selon toujours les mêmes informations recueillies à propos du prolongement du contrat de Nessakh à la JSK, nous avons appris que le joueur a accepté de rempiler pour une seule saison renouvelable, alors que les dirigeants avaient émis le vœu de le garder encore pour deux autres saisons.

Son statut sera revalorisé
L’une des principales conditions imposées par Nessakh à ses dirigeants en vue de rempiler est la revalorisation de son statut. Considéré comme étant une pièce maîtresse, Nessakh a donc trouvé une oreille attentive et ses exigences seront satisfaites jusqu’au dernier centime. A lui de confirmer encore plus.

Le Buteur (30/04/2012)

Ce gars: s'il n'est pas kabyle, il en a le coeur!

Dégage Hannachi a écrit:Ce gars: s'il n'est pas kabyle, il en a le coeur!

Je me souviens quand il disait qu'il était prêt a passer une saison blanche avec l'ASMO pour pouvoir jouer a la JSK. Malheureusement il est tombe dans un milieu pourri.

Il sait surtout qu'il a du talent et il veut s'en servir.
Malheureusement, tout ce qu'il a vécu dans le club cette année pourrait l'inciter à aller voir ailleurs.

Sollicité pour prolonger, le latéral gauche parle des négociations
Nessakh «Je ne demande pas une somme exorbitante, qu’on m’estime seulement à ma juste valeur !»

A l’approche de la fin de saison, le président Hannachi a procédé aux négociations avec les cadres de l’équipe en fin de contrat. C’est le cas du latéral gauche, Chamseddine Nessakh, qui a récemment rencontré son président pour un second round de négociations. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, Nessakh affiche clairement ses intentions, en accordant la priorité à la JSK, à condition que Hannachi l’estime à sa juste valeur.

Il paraît que vous avez donné votre accord de principe pour rempiler. Pouvez-vous nous en dire davantage ?
Il y a une part de vérité dans ce que vous venez de me dire. Je n’ai pas fermé la porte au dialogue à mes dirigeants. Je suis ouvert à toute proposition de la part du président Hannachi. Toutefois, je n’ai rien signé jusque-là, contrairement à ce qui a été rapporté par certains. Je ne peux d’ailleurs signer ni un précontrat ni autre tant que nous n’avons pas évoqué certains paramètres importants des négociations.

Faites-vous allusion à l’aspect financier ?
L’aspect financier est l’un des points importants des négociations, mais il n’y a pas que cela. Je ne vous cache pas que j’ai passé des moments difficiles cette saison, et je ne suis pas prêt à revivre un tel scénario. En tous les cas, pour prouver ma bonne foi, je suis prêt à oublier ce qui s’est passé et tourner la page, à condition qu’on m’estime à ma juste valeur. Je ne demande pas une somme exorbitante au président, qu’on me donne juste ce que je mérite. Je ne fais jamais dans le chantage, et mes dirigeants le savent.

Avez-vous rencontré le président Hannachi depuis son retour de France ?
On a brièvement discuté après le match du MC Saïda. Il est vrai que la victoire par 4 buts à 0 nous a remis en confiance. Mais je ne vous cache que je n’ai pas parlé en détail sur mon cas avec le président. Je pense qu’on aura l’occasion de discuter sur mon contrat dans les prochains jours. Je ne m’impatiente pas.

Savez-vous que la JSK voudrait vous garder pour une saison supplémentaire ?
Je sais qu’on souhaite me garder, et c’est tout à mon honneur. Un club aussi prestigieux que la JSK ne se refuse pas. Moi aussi, je suis conscient. Je ne me prends pas la tête et j’essaye de rester le plus modeste possible. La stabilité reste la priorité pour chaque joueur. Je n’ai pas mal progressé depuis ma venue à la JSK et je souhaite poursuivre l’aventure. J’espère seulement que je trouverai un accord lors des négociations.

Donneriez-vous la priorité à la JSK ?
Il est clair que je donne la priorité à la JSK, car je ne suis pas un ingrat. Lorsque je suis venu de l’ASMO, très peu de gens me connaissaient à l’époque. Aujourd’hui, la JSK m’a permis de briller. Rien que pour ça, je suis prêt à prolonger mon contrat sans le moindre souci. A présent, le président Hannachi sait ce que je demande. J’espère qu’il se montrera compréhensif avec moi, et je ferai des concessions de ma part. Mais il va falloir que, du côté de ma direction, on fasse de même.

Avez-vous des offres pour la saison prochaine ?
Les offres, ce n’est pas ce qui manque. J’ai déjà été contacté par l’ESS, le CABBA, le CSC et l’USMA. Mais je ne vous cache que je n’ai pour l’instant rien décidé. Je préfère, d’abord, discuter avec le président Hannachi. Je pense que la balle est dans le camp des responsables. J’attendrai la fin de la saison pour en savoir davantage sur ma situation.

Le Buteur (03/05/2012)

Nessakh : «La JSMB m’a approché, mais…»

En fin de contrat avec son club, la JSK, le latéral gauche kabyle se voit la cible de plusieurs formations de la Ligue 1. Il ne se passe pas un jour où il n’est pas approché directement ou indirectement par d’autres clubs à la recherche d’un renfort de qualité pour la saison prochaine. Pas plus loin qu’avant-hier, l’Oranais a été contacté par les dirigeants de la JSMB à la fin du derby. Nous l’avons sollicité pour connaître tout ce qui a été dit. Entretien.

D’abord qu’avez-vous retenu de ce match que vous avez perdu face à la JSMB ?
Nous sommes stupéfaits de perdre de la sorte. L’arbitre de la rencontre a été vicieux. En accordant un penalty imaginaire à la JSMB, il a influé sur le rendement d’ensemble. Je dirai même que c’est l’erreur qui a gâché ce derby. Je vous invite à revoir les images télé pour constater que Khellili n’a commis aucune faute sur le joueur béjaoui pour siffler le penalty. C’est énervant de perdre de la sorte. Néanmoins, dans l’ensemble, je dirai que nous avons joué le derby avec moins de pression que d’habitude, surtout après que nous ayons assuré notre maintien face au NAHD.

Il vous reste encore un dernier match à jouer face à l’ASO ce samedi et c’est les vacances ; comment allez-vous le préparer ?
Nous ne sommes pas encore en vacances. C’est vrai que les jeux sonts faits. En d’autres termes, on connaît le champion, en l’occurrence l’ESS que je félicite à l’occasion, et les trois clubs qui rétrograderont en Ligue 2, à une journée de la fin. Néanmoins, nous allons préparer ce dernier match normalement dans l’espoir de terminer la saison avec une victoire à domicile devant nos supporters. C’est une saison très particulière pour nous. J’espère que la JSK ne revivra plus ces moments difficiles et qu’elle retrouvera très vite son véritable statut.

Sur le plan personnel, vous êtes parmi les joueurs qui seront en fin de contrat au mois de juin prochain ; plusieurs clubs s’intéressent à vous et beaucoup d’encre a coulé vous concernant. Quelle est votre propre version ?
Pour l’instant, je ne pense pas trop à ce sujet et je me limite uniquement à jouer jusqu’à la dernière journée du championnat. Je ne veux pas mélanger les dossiers, j’ai un contrat à honorer avec la JSK. Concernant les contacts, je peux vous rassurer qu’ils sont nombreux, mais je n’ai encore pris aucune décision à propos de mon avenir.

Les responsables de la JSMB vous ont approché ; peut-on savoir ce qui a été dit ?
Oui, je vous le confirme, les responsables de la JSMB m’ont approché à la fin du match et m’ont proposé de venir à Béjaïa la saison prochaine. D’abord l’intérêt de la JSMB m’honore beaucoup, émanant d’un club de la trempe de la JSMB qui mérite le respect. Le challenge n’est pas des moindres puisque l’équipe béjaouie vise chaque année un titre et pourra même participer à une compétition africaine la saison prochaine, mais ce que vous devriez savoir c’est que je n’ai réservé aucune réponse à mes interlocuteurs car, comme je vous l’ai déjà annoncé dans un précédent entretien, j’accorde la priorité à la JSK. Je m’explique : pour l’instant, je n’ai encore pas rencontré le président Hannachi, je dois d’abord le voir, la balle est dans son camp. L’ASMO m’a formé et la JSK m’a permis de briller, il est donc normal que je donne la priorité à la JSK.

Avez-vous déjà rencontré le président Hannachi ?
Pas encore. En principe, la rencontre aura lieu dans les prochaines heures. D’ailleurs, tant que je ne l’ai pas encore rencontré, je ne peux pas en dire plus à ce propos.

Liberté (17/05/2012)

Chamseddine Nessakh,le «Chouchou» d’Oran !

Pour former un athlète de haut niveau, les nombreux chercheurs dans le domaine du sport sont unanimes à dire qu’il faut au moins 8 ans de formation, soit 2 cycles olympiques. La raison est toute simple, l’athlète ou le joueur doit prendre le temps de développer ses qualités physiques, techniques et psychologiques pour s’adapter à l’effort, une fois arrivé à la catégorie seniors. Mais, parfois, on trouve des athlètes qui défient cette notion théorique. Il s’agit de joueurs qui bénéficient des qualités innées qui leur permettent de prendre de l’avance sur les autres joueurs du même âge. C’est le cas de Chamseddine Nessakh, l’actuel arrière gauche de la JSK. Sa forme époustouflante depuis le début de saison nous a incités à aller à la découverte de ce joueur talentueux, afin de découvrir son secret. C’est avec une grande hospitalité que nous avons été accueilli chez la famille Nessakh, pour rencontrer ses frères et sa maman qui nous a longuement parlé de son fils dont elle est fière aujourd’hui.

Chez les Nessakh, le foot est une histoire de famille
Arrivé dans le quartier La route de Tlemcen où réside Chamseddine, nous avons été accueillis par son frère Karim qui lui aussi était footballeur professionnel à l’ASMO puis au RCK. Une fois chez lui, nous avons rencontré 3 autres frères à lui et son meilleur ami d’enfance qui sont tous des mordus de la balle ronde. Alors qu’on venait tout juste d’entamer la discussion, on a senti une grande simplicité chez la famille Nessakh, qui nous parlait des débuts de Chamseddine. Avant même d’en savoir davantage sur la vie de leur jeune frère, on a tout de suite constaté que chez les Nessakh, le foot est, d’abord, une histoire de famille.

Coureur de sprint, gardien de but, arrière gauche, milieu et attaquant, la polyvalence dès son jeune âge
Comme tous les footballeurs du monde, Chamseddine Nessakh a goûté au plaisir du ballon rond dès son jeune âge dans son quartier. C’est sur le terrain qui se trouve à deux pas de la maison familiale que l’actuel arrière gauche de la JSK a fait ses premiers pas. Toutefois, le foot n’a pas été la première discipline pour Chamseddine. Il y a eu l’athlétisme avant. Et oui, Chouchou, comme le surnomment ses proches, était un coureur de sprint. Toutefois, cela n’a pas duré longtemps, puisque quelques mois plus tard, il a rejoint les catégories jeunes de l’ASMO. Là aussi, Chamsou est passé par plusieurs postes. Il a débuté comme gardien de but, son entraîneur de l’époque ayant constaté que son joueur avait une bonne technique. C’est à ce moment-là qu’il l’a aligné comme arrière gauche, puis milieu récupérateur, puis ailier gauche et même parfois comme attaquant de pointe. Entre l’athlétisme et les différents postes de jeu occupés, on comprend mieux aujourd’hui le secret de la polyvalence du joueur.


Slimani, l’entraîneur qui a constitué le tournant de sa carrière
Les chances de briller ne se présentent pas tous les jours. Pour un joueur, il se peut que ça se joue sur un seul match. Chamseddine Nessakh n’a pas raté cette rencontre qui aura été le tournant de sa carrière. A cette époque-là, Chamseddine jouait chez les cadets et l’entraîneur des seniors, Slimani, était à la tête des seniors. Lors d’un match de préparation entre les deux catégories, Slimani a décelé un talent certain chez ce jeune latéral gauche qui se battait comme un lion sur le terrain. A la pause, il l’a aligné avec les seniors, mais avant, Slimani lui avait glissé deux mots qui ont métamorphosé le joueur qui avait à peine 17 ans. Chamseddine s’en souvient comme si c’était hier : «Slimani m’avait dit : ‘‘Ecoute mon fils, tu vas jouer la seconde mi-temps avec les seniors. Et si tu joues bien, tu sera convoqué au prochain match de championnat face au CABBA’’». C’est ce qui s’est passé. En se déplaçant à Bordj, Nessakh a eu la chance de jouer la seconde période. Dès son entrée sur le terrain, Chamseddine a provoqué un penalty pour son équipe. C’est à ce moment-là que sa carrière sportive a pris une autre dimension.

Il signe à la JSK en juin, mais joue jusqu’en décembre à l’ASMO
Dès son premier contact de la JSK à l’été 2009, Nessakh n’a pas hésité un seul instant à rejoindre le club kabyle. Toutefois, il lui restait six mois de contrat avec l’ASMO. Au début, les dirigeants oranais étaient tombés d’accord avec leurs homologues kabyles sur le montant du transfert du joueur. Pour preuve, Nessakh s’était même déplacé à Alger pour signer son contrat et encaisser sa première tranche de la prime de signature. Mais contre toute attente, les dirigeants oranais ont changé d’avis et refusé de transférer leur joueur. L’argent a, donc, été restitué. Chamseddine a été contraint d’aller jusqu’au terme de son contrat, avant de signer un nouveau contrat à la JSK d’une durée de 2 ans et demi. Un choix que le joueur ne regrette pas, estimant que le club kabyle lui a donné la chance de prendre part à la plus prestigieuse des compétitions africaines, la Ligue des champions, et de gagner la Coupe d’Algérie, après l’avoir gagnée en juniors avec l’ASMO.

Sa prochaine destination, probablement la France
En fin de contrat à la JSK au mois de juin prochain, le latéral gauche Chamseddine Nessakh a refusé de trop s’étaler sur la question, estimant que ce n’était pas encore le moment de parler de son probable départ du club kabyle. Toutefois, il n’a pas caché le vœu d’embrasser une carrière professionnelle, comme tout joueur ambitieux. Faut-il préciser que Nessakh préfère le championnat français, en affirmant que la Ligue 1 ou 2 serait un excellent tremplin pour lui. Même s’il a quelques touches de l’Hexagone, Nessakh préfère temporiser quelque peu, afin de mieux se concentrer sur sa mission à la JSK. Toutefois, il ne serait pas contre l’idée de partir en France, en cas de contacts sérieux lors du prochain mercato hivernal, ce qui arrangerait les deux parties, à savoir la JSK et lui.
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­­­­«Je séchais les cours au primaire pour aller jouer au foot !»

Certains vous considèrent comme faisant partie des meilleurs arrières gauche du championnat. Pensez-vous que c’est le cas ?
Pour ma première saison à la JSK, la concurrence avec Oussalah m’a empêché de m’imposer en force, contrairement à la saison qui a suivi. Maintenant, qu’on dise que je suis l’un des meilleurs arrières gauche du championnat me réjouit. Toutefois, je sais que je peux donner encore plus. Je dois maintenir mon niveau pour être régulier et pour percer davantage.

La JSK vous a recruté comme arrière gauche, mais par la suite, on a découvert que vous êtes un joueur très offensif. Où vous sentez-vous le plus à l’aise ?
Je me sens à l’aise sur le couloir gauche. Dans le football moderne, il n’y a plus d’arrière gauche type. Ma force est d’attaquer et de défendre sans souci.

Mais on ne vous sentait pas à l’aise avec Saïb. Est-ce vrai ?
Tout à fait. Le problème avec Saïb, c’est qu’il n’arrêtait pas de me faire des remarques. Au moindre geste technique ou une talonnade sur le terrain, il me grondait. Il me demandait de jouer simple. Je lui ai dit que de tels gestes techniques existent bel et bien en Europe, pourquoi ne pas jouer librement alors ? Il a mal apprécié ma remarque, et depuis, le courant ne passait plus.

Quel est l’entraîneur qui vous a le plus marqué entre Geiger, Belhout, Ighil et Saïb ?
C’est Belhout, car c’était le seul entraîneur qui me donnait le plus de liberté dans le jeu. Ighil aussi m’a marqué par sa force de caractère. Je n’oublie pas aussi que tout comme Belhout, lui aussi m’a fait confiance.

Parlons du parcours de la JSK. Quelles sont les raisons qui ont fait que vous avez raté votre saison ?
Je dirais que nous avons raté notre première moitié de saison. La raison principale, c’est le fait d’avoir joué la phase aller sans préparation physique. La Coupe de la CAF nous a été fatale. On a entamé cette compétition africaine sans la moindre préparation. C’est la raison pour laquelle je dirais que le manque de préparation a été la seule raison qui explique notre parcours difficile en championnat.

Votre contrat prendra fin au mois de juin prochain. En toute franchise, accepteriez-vous l’idée de prolonger ?
Avant toute chose, je tiens à dire que je n’oublierai jamais tout ce que la JSK a fait pour moi. Toutefois, je pense qu’il faudra que je discute avec le président pour décider de mon avenir.

Quels sont vos objectifs ?
Il est clair que mon souhait est de porter un jour les couleurs de la sélection. Je me bats aussi au quotidien pour décrocher un contrat professionnel en Europe, car cela donnera une autre dimension à ma carrière.

Revenons à votre enfance. Racontez-nous vos débuts dans le monde du football ?
Comme tous les enfants du monde, j’ai commencé à jouer dans mon quartier. On me surnommait le surdoué. Par la suite, j’ai eu la chance d’être gardien de but chez les benjamins de l’ASMO. Voyant que j’utilisais beaucoup mes jambes pour un gardien, l’entraîneur de l’époque m’a fait jouer au milieu, puis arrière, ensuite en attaque.

Votre polyvalence a, donc, débuté à 12 ans ?
Exact. J’avais même fait de l’athlétisme. Par la suite, j’ai fait toutes mes classes à l’ASMO, jusqu’en seniors.

Pourquoi avoir choisi la JSK ?
Je savais que ce club allait me donner l’opportunité de briller. Je me rends compte que je ne me suis pas trompé et j’ai vu juste.

Mais apparemment, vous avez eu beaucoup de mal à poursuivre votre scolarité...
J’étais nul. Parfois, je faisais des bêtises juste pour que l’enseignante me renvoie de la classe afin d’aller jouer au foot.

Regrettez-vous cela ?
Non, du moment que j’exerce un métier qui me passionne beaucoup. De plus, j’ai eu une enfance difficile. Ce n’est pas facile de vivre dans une famille nombreuse de 14 filles et garçons sans père. Il m’était très difficile d’avoir une scolarité stable.

Qu’est-ce que vous regrettez le plus dans la vie ?
C’est de ne pas avoir connu mon père. Lorsqu’il est décédé, j’étais très jeune.

Si vous n’étiez pas footballeur, quel métier auriez-vous exercé ?
Probablement maçon (sourire). Non, sérieux, je vois mal ma vie sans le football. Ça aurait été la galère pour moi.

Heureux de votre vie jusque-là ?
Très heureux. Je remercie au quotidien Dieu de m’avoir permis d’être footballeur. Beaucoup de jeunes de mon âge n’ont pas eu cette chance.
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Nessakh Zahra (Maman) : «Lorsque Chouchou était en 6e année primaire, le directeur m’avait dit de le laisser jouer au foot»
Lors de notre virée à son domicile, nous avons eu une longue discussion avec la maman Nessakh qui nous a parlé de l’enfance de Chamseddine. Elle nous a même raconté ce que le directeur de l’école primaire, que fréquentait son fils lui a dit, après les résultats de la 6e. En parlant de son plus jeune garçon, elle nous dira : «Chamseddine a eu une enfance calme. Pour preuve, je ne l’ai jamais frappé. Il n’avait qu’une seule occupation depuis qu’il était jeune, à savoir jouer au football. D’ailleurs, le directeur de l’école primaire qu’il fréquentait m’avait dit : «Ya Hadja, votre fils aime beaucoup le foot, c’est un surdoué. Laissez-le jouer au foot. Même si je m’étais résigné à l’idée qu’il fasse carrière dans le football, l’important est qu’il aime ce qu’il fait. La maman privilégie toujours les études, mais parfois, lorsqu’il y a le talent, il faut le laisser s’exprimer.»

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Karim Nessakh : : «J’essaye d’éviter à mon frère les erreurs que j’ai commises durant ma carrière»
L’ex-joueur de l’ASMO et du RCK, Karim Nessakh, est visiblement le meilleur conseiller de Chamseddine, vu son passé footballistique. Il nous a fait savoir qu’il essaye toujours d’orienter son jeune frère afin qu’il embrasse une brillante carrière de footballeur. Il dira : «J’essaye de donner à mon jeune frère les meilleurs conseils, afin qu’il ne commette pas les mêmes erreurs que moi. Le jour où il a eu le contact de la JSK, je lui ai fait savoir qu’en Algérie, il ne trouvera pas mieux. Il réussit actuellement une bonne saison et c’est à la JSK de le considérer à sa juste valeur.»
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Ce qu’il n’a jamais déclaré aux médias
­­­Le jour où il a assommé Belhout à la suite d’un tir
Parmi les anecdotes qu’il nous a racontées, nous en avons choisi quelques-unes. Lors de l’interview, Chamseddine s’est rappelé le jour où il a mis à terre son entraîneur Rachid Belhout, sans le vouloir bien sûr. Se trouvant dans le rond central, Nessakh a lancé un boulet de canon en direction du but. Belhout, qui se trouvait par hasard à l’entrée des 18 mètres, a reçu le ballon en plein visage et s’est retrouvé K-O. Il a fallu l’intervention des joueurs pour l’aider à se relever. Nessakh a bien évidement présenté ses excuses sous le regard de ses partenaires qui ont beaucoup ri.
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L’accident de la route qui a failli mettre fin à sa carrière
Victime d’un accident de la route alors qu’il était un adolescent, l’actuel arrière gauche de la JSK, Chamseddine Nessakh, a failli mettre fin à son rêve de jouer au football. Il s’en est sorti avec une fracture au poignet et une sévère blessure à la jambe. Aujourd’hui, Nessakh en garde l’un de ses plus mauvais souvenirs.
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A 10 ans, il est tombé d’un arbre d’une hauteur de plus de 4 mètres
Lors de notre balade avec Chamseddine dans son quartier, nous avons été invités à visiter le terrain où il a fait ses débuts dans le monde du football. Là aussi, Chouchou, comme le prénomment ses amis, a pas mal d’anecdotes. Il s’est rappelé sa chute du sommet d’un arbre d’une hauteur de plus de 4 mètres. Chamseddine avait à peine 10 ans. Heureusement pour lui qu’il s’en était sorti avec une simple fracture à la main.
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Il garde en mémoire le tacle de Rafik Halliche qui lui a déboîté l’épaule
Les blessures, Nessakh en a connues ! Après deux accidents dont il a été victime, alors qu’il était très jeune, Chouchou a contracté une autre, plus sévère celle-là, quelques années plus tard, mais cette fois sur un terrain de football. Et c’est l’actuel défenseur de Fulham, Rafik Halliche, qui en est le principal responsable. Ce jour-là, l’ASMO jouait un match de préparation face au NAHD. Lors d’un duel sur le côté gauche, Halliche avait violemment taclé Nessakh qui s’était mal réceptionné sur la pelouse. Bilan : déboîtement de l’épaule. Nessakh garde toujours une séquelle de cette blessure.
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Une «hadja» avec la maman, c’est son souhait le plus cher
Décidément, Chamseddine est un joueur pétri de qualités et avec un gros cœur comme ça. Pour preuve, Nessakh nous a révélé que son souhait le plus cher est d’accompagner sa mère à La Mecque pour faire le pèlerinage et accomplir ainsi le 5e pilier de l’Islam. Nessakh attend seulement le moment pour le faire, car en étant signataire avec un club de l’élite, il ne peut se permettre de s’absenter pour une si longue durée.
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3 matchs par jour à 17 ans, qui dit mieux ?
lC’est ce qui s’appelle avoir le foot dans le sang. En évoquant son enfance, Chamseddine nous a relaté ses débuts dans le monde du football avec beaucoup d’humour. IL nous dira qu’il lui arrivait de jouer 3 matchs par jour lorsqu’il était en 1re année juniors à l’ASMO.
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Ne jamais goûter à un gâteau qu’il a préparé !
S’il est doué sur le rectangle vert, Chamseddine ignore tout de l’art culinaire. Pour preuve, le jour où il a voulu faire plaisir à sa sœur en lui préparant une tamina (un gâteau à base de semoule et de miel, ndlr), il l’a expédié en urgence à l’hôpital pour problème gastrique. Chamseddine nous a raconté cette anecdote en riant jusqu’aux larmes. Depuis ce jour-là, sa famille lui a interdit de franchir la porte de la cuisine, sauf pour manger bien sûr !
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L’origine du surnom Chouchou
Depuis qu’il évoluait dans les catégories jeunes à l’ASMO, Nessakh a toujours porté ce surnom de Chouchou. Finalement, Chamseddine a hérité ce surnom de son frère aîné Karim qui jouait en seniors, à l’époque de Daham et Ammour. Chamsou était alors le petit Chouchou, un surnom qui le suit jusqu’à aujourd’hui.
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Il s’est offert une Scenic avec la prime de signature de la JSK
A 21 ans, Chamseddine s’est permis de s’acheter sa première voiture de type Renault Scenic, grâce à la première tranche de la prime de signature de la JSK. Sans le cacher, Nessakh nous a fait savoir qu’il a encaissé la somme de 70 millions de centimes. ­­­­­

Le Buteur (18/05/2012)

JSK : Hannachi fait une offre à Nessakh

Comme annoncé par nos soins dans nos précédentes éditions, le président Hannachi s’est attaqué au dossier du renouvellement du contrat des éléments dits cadres. Après avoir pris attache avec le latéral droit Belkacem Remache mercredi dernier, le boss kabyle s’est entretenu par téléphone avec le latéral gauche Chamseddine Nessakh. C’est dans l’après-midi que le premier responsable du club a fait son offre au joueur, en attendant de connaître sa réponse. Même si l’on ignore le montant exact qui lui a été proposée, tout porte à croire que Hannachi a fait une énorme faveur à son joueur. On parle d’une offre très intéressante qui ne devrait pas laisser le joueur indifférent. Il semblerait que Hannachi a décidé de tourner une nouvelle page après avoir eu un différend avec son joueur au mois de mars dernier. Pour rappel, Hannachi avait demandé à Nessakh de prolonger son contrat, chose que le natif d’Oran aurait refusé. Depuis, les relations entre les deux hommes étaient devenues quelque peu froides. Mais depuis hier après-midi, tout porte à croire que Nessakh a retrouvé le moral, après que son président l’eut considéré à sa valeur juste.

Le joueur rendra sa réponse dans les prochaines heures
Tout comme Remache, Nessakh n’a toujours pas rendu de réponse à son président. Comme à son habitude, Hannachi accorde un temps de réflexion à ses joueurs, afin qu’ils étudient l’offre à tête reposée. Désormais, la balle a changé de camp. C’est Nessakh qui devra rendre une réponse dans les prochaines heures à son président. Joint par nos soins, hier après-midi, le joueur nous a fait savoir que la réponse ne tardera pas à se faire, sans pour autant nous livrer plus de détails sur l’offre de Hannachi.

Il souffre de douleurs aux adducteurs
Apparemment, Nessakh ne sera pas concerné par ce dernier match de la saison face à l’ASO. Et pour cause, le joueur souffre de douleurs aux adducteurs. D’ailleurs, il devait s’entretenir avec le médecin du club dans la soirée d’hier, avant de regagner Oran. Nessakh aura le week-end pour trancher définitivement sur son avenir à la JSK.
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Nessakh «Je rendrai ma réponse dans peu de temps»
Pour sa part, le latéral gauche Chamseddine Nessakh nous dira : «Je n’ai pas encore rencontré le président, mais on a eu une discussion au téléphone. On ne s’est pas longuement entretenus. Pour ma part, je lui donnerai ma réponse dans les prochaines heures. Tout devrait être définitivement fixé dans peu de temps. Je dois juste prendre un temps de réflexion, avant de trancher. Mais je l’ai déjà déclaré par le passé, il est clair que ma priorité va à la JSK. Je suis même prêt à faire des concessions. Désormais, je pense que les choses s’éclaircissent davantage. Ce qui est certain, c’est que la décision finale sera rendue ces jours-ci.»

«Je ressens des douleurs aux adducteurs»
A propos de sa blessure, Nessakh ajoutera : «J’ai ressenti des douleurs aux adducteurs lors du match face à la JSMB. Malheureusement, ces douleurs n’ont toujours pas disparu. J’ai avisé le staff médical de ma blessure. Je rallierai Oran ce soir où j’effectuerai des soins. Ce qui est sûr, c’est que je ne pourrai pas jouer le match face à l’ASO.»

Le Buteur (18/05/2012)

Pas de rendez-vous Hannachi-Nessakh
Voulant faire renouveler son arrière gauche, Chemseddine Nessakh, avant la fin du championnat, le président Mohand-Chérif Hannachi doit encore attendre quelques jours avant de négocier avec lui. Le joueur se trouve à Oran et même s’il a rassuré, il y a quelques jours de cela, le président de la JSK, Nessakh pourrait partir. Mais on n’est pas encore là, puisque tout dépendra de son entrevue avec Hannachi qui a du mal même à convaincre ses cadres à rempiler. Pourtant, il a déclaré dernièrement que d’ici le 26 mai, il bouclera le recrutement. Mais force est de constater qu’il n’arrive même pas à arracher aux joueurs leur accord de principe.

Compétition (19/05/2012)

Nessakh : «J’ai fait une contre-offre au président et j’attends sa réponse»

Se trouvant à son domicile à Oran, la latéral gauche Chamseddine Nessakh nous a fait savoir qu’il n’a toujours pas pris de décision concernant son avenir à la JSK, estimant que la balle est dans le camp du président Hannachi, après lui avoir fait une contre-offre.

Qu’en est-il des négociations avec la JSK ?
Pour l’instant, les choses sont au point mort. Je me suis entretenu deux fois avec le président Hannachi le week-end dernier, mais sans pour autant trouver un accord. Il m’a fait son offre et j’ai pris le temps de l’étudier. Je l’ai appelé une nouvelle fois pour lui demander de revoir l’offre à la hausse, mais depuis, aucune réponse ne m’a été donnée.

Sous entendez-vous par là que l’offre de Hannachi ne vous a pas convaincu ?
J’estime que Hannachi ne m’a pas estimé à ma juste valeur. J’avais dit à plusieurs reprises que j’étais prêt à faire des concessions sur le plan financier, mais pas à n’importe quel prix. Je n’ai pas demandé la lune pour que le président refuse de m’augmenter. J’estime que j’ai accompli convenablement mon rôle à la JSK et on doit se montrer reconnaissant à mon égard.

Que comptez-vous faire maintenant ?
J’attends la réponse de Hannachi. Pour ma part, j’ai fait une contre-offre à Hannachi, et c’est à lui de m’appeler pour me rendre la réponse. Je ne vous cache pas que je privilégie la stabilité plus que tout, mais les dirigeants doivent se montrer compréhensifs avec moi. Je n’ai pas demandé une somme colossale. Et je ne pense pas que la somme que j’ai exigée sois exagérée.

Avez-vous négocié avec d’autres clubs ?
Non. Je vous fais savoir que je ne négocierai avec aucun autre club, tant que Hannachi ne m’aura pas donné sa réponse finale. S’il me donne ce que je demande et qu’on trouve un accord, je signerai aujourd’hui. Dans le cas contraire, si je me rends compte que la JSK m’ignore, j’irai voir ailleurs. Mais pour l’instant, j’attends pour prouver ma bonne foi.

Le Buteur (21/05/2012)

Il va partir !

Il a surement eu une tres bonne offre meme s'il affirme qu'il n'a pas encore négocié!

Toujours pas d’accord entre Nessakh et Hannachi

Considéré comme l’un des meilleurs joueurs à son poste, l’arrière gauche Chemseddine Nessakh n’a toujours pas renouvelé son contrat. Il a certes rassuré le président Hannachi, il y a quelques jours de cela, en lui disant qu’il est prêt à rempiler. Mais jusqu’au jour d’aujourd’hui, il ne l’a pas encore fait. Il n’y a qu’une seule explication à son hésitation de rempiler, à savoir celle relative à l’aspect financier. Le président Mohand-Chérif Hannachi lui a fait dernièrement une proposition financière, mais vu que le joueur temporise, cela confirme qu’il n’est pas du tout satisfait de l’offre qui lui a été faite. Même si Hannachi a quadruplé son salaire, l’enfant d’Oran espère avoir plus. Il sait que certains joueurs perçoivent une mensualité de plus de 150 millions de centimes et c’est pour cela qu’il négocie serré.

Nessakh a fait une contre-proposition à Hannachi
Même si on ignore le montant exact proposé par le président Hannachi à son arrière gauche, on croit savoir que ce dernier lui a fait une contre-proposition. Nessakh a eu droit à une augmentation conséquente par rapport à ce qu’il a touché cette saison, mais malgré ça, il estime que son président ne l’a pas estimé à sa juste valeur. Bien que les deux hommes n’aient pas encore trouvé un accord, il serait hasardeux d’avancer quoi que ce soit sur l’issue des négociations. Les dirigeants kabyles affirment qu’ils finiront par trouver un accord avec Nessakh, lequel n’écarte pas l’idée de rempiler même si certaines personnes parlent de plus en plus de son éventuel départ de la JSK.

Nessakh tranchera aujourd’hui ou demain
D’après l’un de ses proches, Nessakh pourrait trancher sur son avenir aujourd’hui ou demain. Il se trouve actuellement chez lui à Oran, mais il est fort probable qu’il poursuive les négociations avec le président Hannachi aujourd’hui ou demain.

Compétition (21/05/2012)

Il partira après ce qu'il a enduré cette année !

Je ne crois pas que ce soit un gars rancunier.

En plus les supporters l'apprécient beaucoup