Eliminatoires Coupe du monde 2014

Zone Europe : Les grands attendus au tournant



Deux anciens champions du monde, l'Angleterre et la France, le tenant du titre espagnol et un néophyte, le Monténégro, seront au sommet de l'affiche de la sixième journée des qualifications de la Zone Europe pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014.

Les vainqueurs des chocs Monténégro-Angleterre (Groupe H) et France-Espagne (Groupe I) prendront en effet une sérieuse option comptable et psychologique sur la route du Brésil.

Les 15 autres rencontres de ce mardi 26 mars 2013 devraient notamment permettre à l'Italie (Groupe B), l'Allemagne (Groupe C) et les Pays-Bas (Groupe D) de poursuivre sereinement leur chemin vers l’Amérique du Sud, respectivement contre Malte, le Kazakhstan et la Roumanie.

L'affiche
France - Espagne, Groupe I, Stade de France, Saint-Denis

Pour la première fois depuis 2008, l'Espagne doute. Pourtant, les chiffres parlent pour elle : 49 matches consécutifs sans défaite dans les qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA et une invincibilité de 24 rencontres dans des matches officiels viennent s'ajouter au record de longévité de Vicente Del Bosque avec 69 matches sur le banc qui n'a perdu que deux matches depuis 2008. Mais les deux nuls concédés à domicile contre la France et la Finlande ont placé le favori en position d'outsider. Si "l'Espagne est maîtresse de son destin", comme le souligne Del Bosque, elle doit quand même venir s'imposer au Stade de France pour le rester. Pour cela, la Roja devra faire preuve de plus de réalisme en attaque car contre la Finlande elle n'a jamais su concrétiser une domination outrancière.

Les retours de Xabi Alonso et Xavi vont stabiliser le milieu et le probable recentrage de David Villa, moins décisif sur l’aile, devrait apporter plus de punch. En fait, la situation des champions du monde n'est pas sans rappeler celle du FC Barcelone, grand pourvoyeur de la sélection, avant la victoire au match retour de Ligue des champions de l'UEFA contre l'AC Milan (4:0). Dans la même temps, la France continue de grandir depuis son match nul décroché en Espagne en octobre, et montre des ressources intéressantes avec l'arrivée de Raphaël Varane en défense, ou du successeur annoncé de Patrick Vieira au milieu, Paul Pogba. Si Karim Benzema retrouve le chemin des filets après 929 minutes de vaines tentatives, et que Mathieu Valbuena continue à se montrer décisif, la France pourrait causer de gros problèmes à une formation talentueuse qui ne veut pas évoquer un possible déclin.

Les autres rencontres

Groupe A
Serbie - Ecosse
Pays de Galles - Croatie
Belgique - ARY Macedoine

La Belgique et la Croatie sont toujours au coude à coude en tête à égalité de points (13) et la première place du groupe se jouera vraisemblablement le 11 octobre prochain à Zagreb. En attendant la Belgique devra confirmer face à la Macédoine sa victoire à l'extérieur du 22 mars (2:0), alors que les hommes d’Igor Štimac devront essayer de faire aussi bien que la Belgique au Pays de Galles (2:0).

Groupe B
Arménie - République tchèque
Danemark - Bulgarie
Malte - Italie

Le déplacement de l'Italie nouvelle vague à Malte ne devrait pas poser de gros problèmes à Mario Balotelli et ses coéquipiers. En revanche, le déplacement de la Bulgarie, elle aussi invaincue, au Danemark s'annonce plus indécis les deux formations étant en forme. La Danemark vient de s'imposer avec la manière en République tchèque (3:0), alors que la Bulgarie a soigné sa différence de buts contre Malte (6:0). Si le Danemark reste maître chez lui, il se relancera pour les barrages tandis que dans le cas contraire, la Bulgarie pourra encore viser la première place.

Groupe C
Allemagne - Kazakhstan
République d'Irlande - Autriche

La Suède exempte, l'Allemagne devrait en profiter pour creuser l'écart face au Kazakhstan et confirmer sa place de co-meilleure attaque de la Zone Europe avec la Bosnie-Herzégovine (18 buts). A noter que le milieu de terrain de Dortmund Sven Bender a été rappelé pour pallier l'absence de Bastian Schweinsteiger, suspendu.

Groupe D
Estonie - Andorre
Turquie - Hongrie
Pays-Bas - Roumanie

Battus 1:4 au match aller, les Roumains ne se font pas trop d'illusion pour leur déplacement aux Pays-Bas face à un grand spécialiste des matches de qualification qui réalise une nouvelle fois un parcours sans faute. De son côté, la Hongrie, qui s'était imposée 3:1 à l'aller, pourrait profiter du calendrier pour prendre une option sur la seconde place si elle revient victorieuse de Turquie, décevante, qui totalise déjà trois défaites.

Groupe E
Tenue en échec à Chypre (0:0) dans un match décalé, la Suisse conserve la tête du groupe avec deux points d'avance sur l'Albanie et l'Islande. Aucun match n'est au programme dans ce groupe le 26 mars.

Groupe F
Azerbaïdjan - Portugal
Irlande du Nord - Israël

Après le nul au forceps arraché en Israël (3:3), le Portugal n'a plus le droit de perdre le moindre point avant le match à six points contre la Russie, le 6 septembre prochain. Le déplacement en Azerbaïdjan n'a rien de périlleux sur le papier, sauf que le Portugal est aujourd'hui en proie au doute et, en outre, il sera privé de Cristiano Ronaldo suspendu et de Nani, blessé. De son côté, Israël, emmené par Tömer Hemed, deuxième meilleur de la Zone Europe avec six buts en quatre rencontres, ira chercher sa troisième victoire en Irlande du Nord pour rester à la hauteur des Lusitaniens.

Groupe G
Aucune rencontre programmée dans ce groupe avant le 7 juin 2013.

Groupe H
Pologne - Saint-Marin
Ukraine - Moldavie
Monténégro - Angleterre

Depuis qu'elle a été tenue en échec en Pologne le 17 octobre dernier, l'Angleterre compte deux points de retard sur le Monténégro avant leur double confrontation. Pour se préparer à la première manche, l'Angleterre a effectué un bon match d'entrainement à Saint-Marin (8:0), alors que le Monténégro a dû batailler ferme pour s'imposer de justesse en Moldavie (1:0). Lors des qualifications pour l'UEFA EURO 2012, les deux équipes s’étaient déjà retrouvées dans le même groupe et n'avaient pu se départager (0:0, 2:2). Le Monténégro est actuellement sur une série de cinq victoires et un nul.

Le joueur à suivre
Capitaine du Monténégro, Mirko Vucinic, 29 ans, est aussi l'âme de cette équipe. Premier buteur de l'histoire de cette sélection lors du premier match officiel contre la Hongrie (2:1) le 24 mars 2007, il a été de tous les combats et totalise 13 buts en 34 sélections. Ce joueur puissant, doté d'une frappe lourde, peu à son aise dans les joutes aériennes malgré sa taille (1m86) est également un meneur d'hommes rompu à toutes les ficelles des surfaces de réparation après 13 saisons en Série A. Il sera le danger numéro un pour l'Angleterre.

La stat
126 - Comme le nombre de sélectons que totalisera Gianluigi Buffon au soir du match contre Malte. Il rejoindra ainsi Paolo Maldini et pourra se lancer à la poursuite de Fabio Cannavaro (136 capes). "Ces records ne comptent pas", estime Buffon avant d'ajouter cependant : "Cela serait quand même exceptionnel d'arriver à 150".

Entendu...
"J’aime le collectif, pas la gloire personnelle. On a tous envie d’y aller, à la Coupe du Monde, envie de réaliser le rêve des Belges. C’est une mission" - Marc Wilmots, sélectionneur de la Belgique

Fifa.com (25/03/2013)

Zone Amérique du Sud : Chocs des extrêmes et extrême urgence



La confrontation entre le Chili et l'Uruguay sera incontestablement la grande affiche de la douzième journée des qualifications sud-américaines pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Dans les autres rencontres, l'Argentine et la Colombie seront en déplacement en Bolivie et au Venezuela respectivement. Enfin, l'Équateur accueillera le Paraguay à Quito. FIFA.com présente ces quatre rencontres.

L'affiche
Chili-Uruguay, 26 mars, 20h30 (heure locale), Estadio Nacional (Santiago)

À l'issue des premières journées de ces qualifications, on aurait difficilement imaginé retrouver le Chili et l'Uruguay à la sixième et la quatrième place respectivement après 11 journées. Mais la réalité est là et elle force une constatation : ces deux équipes que l'on voyait facilement terminer parmi les quatre premiers et empocher ainsi une qualification automatique pour le Brésil ont aujourd'hui sérieusement besoin de points.

Côté statistiques, la Celeste n'a plus perdu à Santiago en qualifications depuis 1996, pour un bilan d'une victoire et deux nuls. Dans ce tournoi préliminaire, elle reste sur cinq matches sans victoire, et trois défaites de suite en déplacement, pour un total de 11 buts encaissés. La situation de la Roja est aussi préoccupante, sinon plus. Sa dernière victoire à domicile remonte à novembre 2011, lorsqu'elle avait dominé le Paraguay (2:0). Pour ne rien arranger, elle ne pourra pas compter sur Alexis Sánchez, suspendu après avoir reçu un avertissement de trop.

Les autres rencontres
Le duel entre l'avant-dernier et le leader de ces qualifications sud-américaines devrait avoir un favori évident, à ceci près que la Bolivie n'a plus perdu depuis trois matches contre l'Argentine : un succès historique 6:1 de la Verde à La Paz en 2009, suivi de deux scores de parité, 1:1 les deux fois, en 2011, en Copa América et dans la présente compétition préliminaire. L'équipe dirigée par Alejandro Sabella, qui a perdu son seul match dans ce tournoi qualificatif loin de ses bases, reste sur une impressionnante série de huit matches sans défaite, avec un bilan de deux nuls et six victoires, les trois dernières de façon consécutive. Seul bémol pour l'Albiceleste : Gonzalo Higuaín, meilleur buteur de ces qualifications, sera absent pour cause de suspension.

Actuellement deuxième au classement, la Colombie se rendra au Venezuela sans la faveur des statistiques. En qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA™, les Cafeteros ne l'ont en effet emporté qu'une seule fois en six tentatives sur le sol vénézuélien, 2:0 en 1996. La Colombie devra en outre se passer de Mario Yepes, suspendu. À Puerto Ordaz, elle n'en tentera pas moins de poursuivre sur sa bonne série de quatre victoires consécutives, dont trois devant son public. La Vinotinto, en revanche, n'a plus gagné chez elle depuis novembre 2011, après quoi elle a concédé un nul et une défaite. Elle occupe aujourd'hui la place de barragiste, qu'elle pourrait perdre en cas de nouvelle contre-performance devant son public.

Exempt à l'occasion de la dernière journée et aujourd'hui classé troisième, l'Équateur retrouve la compétition à domicile face au Paraguay. Dans son Estadio Olímpico Atahualpa de Quito, la sélection emmenée par Reinaldo Rueda est intraitable. Elle y a gagné ses cinq matches à ce jour dans ces qualifications, avec un bilan de neuf buts marqués, pour un seul encaissé. La tâche s'annonce donc compliquée pour l'Albirroja. Ses six dernières visites en Équateur dans les qualifications mondialistes ont produit cinq défaites et un nul, 1:1 en 2009, dont certains joueurs toujours présents en sélection paraguayenne se souviennent. Les hommes de Gerardo Pelusso viennent de se rassurer en allant chercher le point du match nul à Montevideo, mettant ainsi fin à une série de cinq défaites d'affilée en déplacement.

Le joueur à suivre
Felipe Caicedo (ECU)

À 24 ans, l'attaquant du Lokomotiv Moscou est devenu un élément important du secteur offensif équatorien. Il l'a démontré en marquant quatre fois, dont trois sur penalty, lors des trois matches qu'il a disputés dans ces qualifications. Avec un total de 180 minutes passées sur le terrain, Caicedo - suspendu lors du dernier match de l'Équateur au Venezuela - tourne donc à une moyenne d'un but toutes les 45 minutes.

Le saviez-vous ?
Lors de ses quatre derniers matches, la Colombie a marqué 14 buts, soit autant que sur la totalité des qualifications pour Afrique du Sud 2010. L'équipe emmenée par José Pekerman est la première sélection colombienne à enregistrer quatre victoires consécutives dans les qualifications mondialistes depuis le passage de la compétition au format actuel. Le précédent record, de trois victoires successives, avait été établi à deux reprises par la sélection dirigée par Hernán Gómez dans les qualifications pour France 1998.

Entendu…
"Personne n'a oublié ce qui s'est passé la dernière fois. Ce fut un coup très dur pour nous tous et nous voulons changer l'image que nous avions laissée à cette occasion." - Lionel Messi, attaquant de l'Argentine, à propos de la défaite 1:6 subie par l'Argentine lors de sa dernière visite à La Paz dans les qualifications mondialistes.

Le programme
26 mars
Equateur - Paraguay
Bolivie - Argentine
Venezuela - Colombie
Chili - Uruguay

Fifa.com (25/03/2013)

Allemagne, Götze : "J'en veux toujours plus"



Jeune, créatif, technique et polyvalent : Mario Götze incarne parfaitement les valeurs du nouveau football allemand, que ce soit sous le maillot de la Mannschaft ou du Borussia Dortmund. Matthias Sammer le présente comme "l'un des plus grands talents de l'histoire de l'Allemagne". Felix Magath le décrit comme "un champion comme on n'en voit qu'une fois par siècle". Malgré son jeune âge, le joueur de 20 ans fait l'unanimité.

Le 22 mars dernier, Götze a signé son quatrième but en 21 sélections avec l'Allemagne, à l'occasion du net succès (3:0) remporté sur le Kazakhstan dans les qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA 2014™. L'attaquant en a profité pour prouver qu'il était aussi à l'aise dans un rôle de faux numéro neuf, qu'à son habituel poste de meneur de jeu. FIFA.com a rencontré le prodige allemand pour évoquer en sa compagnie sa progression, ses ambitions et son rêve de jouer au Brésil en 2014.

Mario Götze, finalement, quel est votre poste préféré ?
En principe, je préfère évoluer au centre, dans un rôle de numéro 10. C'est là que j'ai joué le plus de matches avec le Borussia Dortmund. Mais je peux aussi rendre de services sur l'aile, à gauche ou à droite, ou même en pointe. Les différences ne sont pas si importantes. Je me sens à l'aise partout. J'ai eu l'occasion d'évoluer à plusieurs postes dans ma jeunesse. Les éducateurs du Borussia Dortmund insistent beaucoup là-dessus. Aujourd'hui, ça me vient sans doute plus facilement.

Appréciez-vous également les systèmes sans véritable avant-centre ?
Tout à fait. Face à un adversaire qui fait le choix d'une stratégie très défensive, cela peut être intéressant. Dans un tel système, les joueurs permutent beaucoup. Cela peut semer la confusion dans la défense. C'est un peu plus compliqué pour moi sur les longs ballons aériens mais j'essaye de ne pas trop y penser ! (rires) Le football a changé, un peu partout dans le monde. Désormais, les joueurs jeunes et techniques ont leur place dans toutes les équipes. C'est positif. Tous les pays ont intérêt à compter des footballeurs polyvalents dans leurs rangs.

Après avoir connu une deuxième moitié de saison 2011/12 et un UEFA EURO 2012 décevants, quel regard portez-vous sur votre saison ?
Je n'étais pas en forme au moment d'aborder l'Euro. Je n'étais pas encore tout à fait remis de ma blessure à l'aine et je n'avais pas disputé la finale de la Coupe d'Allemagne. J'ai connu six mois difficiles. C'est la raison pour laquelle je me suis concentré sur la nouvelle saison. Le plus important pour moi est d'être en bonne santé et en pleine forme. C'est l'objectif que je me suis fixé. J'ai beaucoup travaillé après ma blessure car je voulais revenir encore plus fort. Pour le moment, les résultats de l'équipe sont corrects, exception faite de la Coupe d'Allemagne. Individuellement, j'en veux toujours plus : plus de buts, plus de passes décisives, plus de temps de jeu.

Pensez-vous que le Borussia Dortmund a trop misé sur la Ligue des champions de l'UEFA cette saison ?
Franchement, je ne crois pas que nous aurions pu mieux jouer en Ligue des champions. En Coupe d'Allemagne, nous avons perdu contre le Bayern (1:0 à Munich). Ce sont des choses qui arrivent. En Bundesliga, nous sommes bien partis pour décrocher une nouvelle qualification pour la Ligue des champions. Bien entendu, l'écart qui nous sépare de la première place ne peut pas nous satisfaire. Il faut reconnaître que les Bavarois réussissent une superbe saison. De notre côté, nous avons perdu des points en route.

La rivalité entre le Bayern et Dortmund fait-elle l'objet de discussions en équipe nationale ?
De temps en temps, on se chambre un peu mais il n'y a rien de méchant. En sélection, les clubs passent au second plan.

Comment expliquez-vous que votre équipe semble plus à l'aise en Ligue des champions de l'UEFA ?
Ces deux dernières années, nous n'avons pas livré de prestations époustouflantes sur la scène européenne. C'est la raison pour laquelle nous voulions absolument montrer aux équipes de notre groupe, le Real Madrid, Manchester City et l'Ajax Amsterdam, ce dont nous étions vraiment capables. La qualification a toujours été notre objectif. Individuellement, nous étions tous très motivés.

Michael Zorc, le directeur sportif du Borussia Dortmund, veut vous offrir un contrat jusqu'à vos 35 ans. Que comptez-vous lui répondre ?
Je ne veux fermer aucune porte. Des clubs comme le Real Madrid, le FC Barcelone ou Manchester United ont un certain attrait. Découvrir d'autres championnats pourrait me permettre de progresser. Mais je n'y pense pas pour l'instant. Je suis très heureux à Dortmund. Tout se passe bien. Il n'y a pas lieu de s'inquiéter ça.

L'Allemagne n'a plus remporté de grande compétition internationale depuis l'UEFA EURO 1996. Berti Vogts, qui était sélectionneur à l'époque, a déclaré que l'Allemagne serait favorite de la Coupe du Monde de la FIFA 2014™. Êtes-vous d'accord ?
La phase finale n'aura lieu que dans un an. Pour le moment, nous devons déjà gagner notre billet. Mais il ne fait aucun doute que l'Allemagne est une équipe ambitieuse. Si nous participons à une compétition, c'est pour la gagner.

En cas de qualification, vous disputeriez votre deuxième tournoi FIFA après la Coupe du Monde U-17 de la FIFA 2009 au Nigeria. Cette expérience a-t-elle contribué à votre progression ?
C'était un tournant ! Peu de temps auparavant, nous avions disputé l'Euro U-17 en Allemagne. C'était la première fois que nous passions à la télévision ou que nous étions sollicités par les médias. Ça m'a marqué. Auparavant, je ne connaissais des équipes comme l'Argentine et le Brésil que pour les avoir vues à la télévision. Ces tournois permettent à de jeunes joueurs d'acquérir rapidement une grande expérience internationale. À cette étape de leur développement, c'est très important.

Le charme du métier de footballeur réside-t-il aussi, selon vous, dans la possibilité de découvrir d'autres pays et d'autres cultures ?
Effectivement, ça y contribue. Dès notre plus jeune âge, nous nous sommes retrouvés au contact de joueurs issus d'autres milieux et d'autres cultures. C'est intéressant.

La Coupe du Monde de la FIFA™ aura lieu l'année prochaine au Brésil. Qu'est-ce que cela vous inspire ?
Tout le monde en rêve. La plus grande compétition de la planète va avoir lieu dans un grand pays de football comme le Brésil. C'est magique !

Fifa.com (25/03/2013)

Espagne, Cazorla : "Nous ne pouvons pas échouer"



"Nous jouons beaucoup." Cette phrase de Santi Cazorla a pris un nouveau sens depuis le faux pas inattendu de l'Espagne contre la Finlande. Si elle veut reprendre la tête du Groupe I et s'assurer du seul billet directement qualificatif de la poule pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, la Roja doit absolument s'imposer à Saint-Denis le 26 mars prochain.

Cette pression supplémentaire n'incommode toutefois pas outre mesure le milieu de terrain espagnol d'Arsenal, qui évoque pour FIFA.com ce rendez-vous capital des qualifications européennes, ainsi que sa vie en Premier League anglaise. "À ce niveau, l'exigence est toujours maximale. L'obligation de gagner, nous y sommes habitués", explique-t-il.

Certes, mais le prochain adversaire des champions du monde en titre à Saint-Denis ne sera pas le premier venu. La France de Didier Deschamps avait en effet tenu la dragée haute à l'Espagne en octobre dernier, égalisant dans le temps additionnel par l'intermédiaire d'Olivier Giroud. "Nous avions bien joué dans ce match", argumente Cazorla. "Ce qui nous a manqué a été de concrétiser plus d'occasions. Aujourd'hui, c'est de l'histoire ancienne", ajoute-t-il.

Plus de marge d'erreur
Le scénario de cette rencontre face aux Tricolores a beaucoup ressemblé à celui du 22 mars dernier contre la Finlande. La Roja a commencé sur les chapeaux de roues en dominant outrageusement mais, après avoir ouvert le score, s'est montée coupable d'un certain relâchement. Au Stade de France, il n'y aura plus de marge d'erreur. "La France est aujourd'hui une des meilleures équipes du monde. Elle possède dans ses rangs beaucoup de jeunes de très grande qualité. Chaque match contre la France est extrêmement difficile et celui-là ne fera pas exception. Nous irons là-bas pour gagner et nous espérons y arriver", annonce Santi.

S'ils ne parviennent pas à battre les Français, les joueurs de Vicente Del Bosque ne seront alors plus maîtres de leur destin pour obtenir la qualification directe pour la Coupe du Monde de la FIFA™. Il faudrait alors commencer à songer à se frayer un chemin pour le Brésil en passant par les barrages. Mais Cazorla ne conçoit pas un seul instant que les champions du monde en titre puissent être absents en 2014 pour défendre leur couronne. "Je ne l'envisage pas, car j'ai confiance dans la grande équipe que nous avons", affirme-t-il avec conviction.

Depuis que Luis Aragonés l'a fait débuterdans la préparation de l'UEFA EURO 2008, Cazorla fait partie des joueurs régulièrement appelés en sélection. Double champion d'Europe, il avait cependant manqué l'Afrique du Sud en raison d'une blessure. Ce qui explique qu'il n'imagine pas une seconde manquer la Coupe du Monde de la FIFA 2014™. "Je ne veux pas louper un deuxième Mondial consécutif, surtout dans un pays qui vit le football de façon aussi intense que le Brésil", ajoute le natif des Asturies.

La présente saison est très spéciale pour le milieu de terrain. Après avoir joué un rôle secondaire dans le triomphe de l'Espagne lors du dernier UEFA EURO, il est devenu un rouage essentiel dans les qualifications européennes pour Brésil 2014. Il a disputé tous les matches de l'Espagne dans le tournoi préliminaire à ce jour. Mais c'est en dehors de la sélection que Cazorla a vécu le plus grand changement dans sa vie professionnelle, avec son passage de Malaga à Arsenal en août 2012. "C'est une grande expérience, fascinante à vivre. Je me suis vite habitué. Les gens et mes coéquipiers m'ont beaucoup aidé."

La légion étrangère espagnole
Les statistiques confirment son adaptation rapide. À ce jour, Cazorla totalise 11 buts en championnat, dont un triplé face à Reading. Pas mal pour un milieu. Le style de jeu de la Premier League semble lui convenir à merveille. "Ici, il y a plus de matches où le ballon va sans arrêt d'un camp à l'autre et où il est impossible de fermer tous les espaces comme en Espagne ou en Italie. Cela favorise le jeu du milieu de terrain. Le rythme anglais me plaît", explique-t-il.

Cazorla est l'un des derniers représentants en date du groupe de plus en plus nombreux des Espagnols basés à l'étranger. L'expatriation présente l'avantage de leur faire découvrir d'autres styles de football. Mais elle a aussi ses inconvénients. "Je crois que c'est négatif pour l'Espagne et pour la Liga que des grands joueurs comme Nacho Monreal, Mikel Arteta, David Silva et bien d'autres évoluent à l'étranger. Cela fait baisser le niveau du championnat d'Espagne et le public espagnol ne peut plus voir ces joueurs de manière régulière", regrette-t-il.

Effectivement, pour la première fois dans l'histoire de la sélection, la majorité des joueurs convoqués par Del Bosque contre la Finlande et la France évoluent dans des championnats étrangers. Ce 26 mars, Cazorla et ses 23 coéquipiers, à l'exception de Silva, suspendu et de Jordi Alba, blessé contre la Finlande, auront un défi de taille et un objectif clair : "Nous n'avons pas le droit d'échouer si nous voulons reprendre la tête du groupe", conclut-il.

Fifa.com (25/03/2013)

Zone CONCACAF : Un clasico sous tension



Mardi 26 mars, le stade Azteca de Mexico sera le cadre d'un choc qui s'annonce palpitant. Le Mexique et les Etats-Unis se retrouvent pour une nouvelle édition du clasico le plus disputé de la région. Les Mexicains courent toujours après un premier succès dans ce tour final, tandis que les Américains se sont rassurés en dominant le Costa Rica.

Pendant ce temps, les Ticos effectueront leur première sortie à domicile, face à la Jamaïque. Pour son premier déplacement, le Honduras devra quant à lui négocier un périlleux voyage au Panama, toujours invaincu après deux journées. FIFA.com se penche sur le programme de la prochaine journée des qualifications de la CONCACAF.

L'affiche
Mexique - États-Unis
Les duels entre les deux géants de la région font souvent des étincelles, surtout lorsqu'ils se déroulent dans l'ambiance électrique de l'Azteca. Dans toute l'histoire des qualifications pour l'épreuve suprême, El Tri n'a perdu qu'une fois dans son antre fétiche. Toutefois, les Américains s'y sont imposés pour la première fois en août, en amical. Certains joueurs qui ont pris part à ce succès historique (1:0), comme Geoff Cameron et DaMarcus Beasley, seront sur le terrain pour tenter de renouveler l'exploit.

Les hommes de Jürgen Klinsmann abordent donc la revanche de la finale de la Gold Cup de la CONCACAF 2011 aisément remportée par le Mexique avec le vent en poupe. Malgré le froid et la neige, les Américains ont su puiser dans leurs réserves pour venir à bout du Costa Rica le 22 mars dernier dans le Colorado. Ce résultat a eu pour effet de faire taire les critiques, au moins provisoirement. "Nous sommes restés unis et nous avons fait le nécessaire", confiait le capitaine Clint Dempsey à l'issue de la rencontre. "Avec un peu de chance, nous continuerons sur notre lancée au Mexique."

De leur côté, les Mexicains cherchent encore leurs marques dans ce tournoi "Hexagonal". Le nul concédé au Honduras n'est certainement pas de nature à leur redonner confiance. Après le doublé Javier Hernandez, José Manuel de la Torre a sans doute cru que son équipe tenait enfin son premier succès, dans la chaleur de San Pedro Sula. Malheureusement pour lui, les Honduriens ont marqué à deux reprises en trois minutes pour partager les points. Cette nouvelle contre-performance a de quoi inquiéter, après le nul vierge concédé à domicile face à la Jamaïque en ouverture. Les champions olympiques et de la CONCACAF doivent absolument l'emporter face aux États-Unis pour se relancer. "Un point, c'est toujours mieux que rien", a lâché le sélectionneur mexicain, sans parvenir à masquer son mécontentement. "Mais nous n'avons toujours pas gagné et il nous faut maintenant gérer le stress."

Les autres rencontres
Forte de ses deux nuls contre le Mexique et le Panama, la Jamaïque n'a pas encore goûté à la victoire ni à la défaite. En l'absence du défenseur Nyron Nosworthy, blessé, les Reggae Boyz vont devoir gérer un déplacement compliqué à San José. De son côté, le Costa Rica n'a toujours pas gagné et reste sur une défaite aux États-Unis. Les Ticos pourront cependant compter sur l'efficacité d'Alvaro Saborio, meilleur buteur de l'histoire du Real Salt Lake. Associé à l'inspiration de Bryan Ruiz et au soutien sans faille du public du stade national, cet atout offensif pourrait faire la différence face à un adversaire déterminé.

La dernière affiche de la journée mettra aux prises le Honduras et le Panama. Les Catrachos tenteront de négocier au mieux leur premier match à l'extérieur, après deux performances convaincantes devant leurs supporters. Grâce aux efforts de Roger Espinoza en milieu de terrain et aux buts de Carlo Costly et Jerry Bengtson, les Honduriens ont battu les États-Unis et arraché le nul au Mexique. Ils auraient cependant tort de s'attendre à une victoire facile dans la capitale panaméenne. Les joueurs de Julio Dely Valdes restent sur deux nuls consécutifs et proposent un football dynamique, à base de passes courtes. En somme, les Canaleros possèdent toutes les qualités requises pour surprendre.

Entendu…
"Nous n'avons aucune raison de nous inquiéter. Après deux journées, nous avons pris des points. Tant que l'on obtient des résultats, on reste dans la course. Il suffit de consulter le classement pour voir que nous restons proches des équipes de tête" - Donovan Ricketts, gardien de but de la Jamaïque

La stat
2 400 - Comme l'altitude, en mètres, à laquelle s'élève le stade Azteca, qui reste à ce jour la seule enceinte à avoir accueilli deux finales de Coupe du Monde de la FIFA™, en 1970 et 1986. Ce chiffre obsède toutes les équipes qui s'y produisent, plus encore que les 100 000 places de ses tribunes. Les Américains ont préparé leur déplacement en disputant leur match contre le Costa Rica dans le Colorado, à plus de 1 500 mètres.

Le programme
26 mars
Costa Rica - Jamaïque
Mexique - États-Unis
Panama - Honduras

Fifa.com (25/03/2013)

France : Un défi majeur pour les Bleus



L'équipe de France de Didier Deschamps fait face à un défi majeur: dominer des champions du monde et d'Europe espagnols en plein doute pour prendre une sérieuse option sur une qualification directe pour le Mondial-2014, mardi au Stade de France.

Leaders du groupe I avec deux points d'avance sur la Roja, les Bleus ne pouvaient pas rêver d'une meilleure conjoncture avant de se frotter à ce qui se fait de mieux sur la planète football.

Au moment de débuter cette campagne, personne n'aurait osé imaginer les Tricolores tenir le haut du pavé avant cette confrontation majuscule aux faux airs de finale, mais la soirée de vendredi est venue bousculer la hiérarchie pour leur plus grand bonheur.

Le nul concédé à domicile par l'Espagne contre la Finlande (1-1), conjugué au succès français face à la Géorgie (3-1), est ainsi tombé à point nommé, et voilà les Bleus tout près d'un ticket pour le Brésil en cas d'exploit. Même un match nul serait bon à prendre et les maintiendrait dans une position avantageuse à trois journées de la fin des éliminatoires.

Depuis sa nomination à la tête de l'équipe de France après l'Euro-2012, Deschamps, fidèle à sa légende, est accompagné par cette petite étoile qui ne l'a quasiment jamais quitté au cours de sa carrière et a su insuffler à ses troupes cette culture de la gagne acquise lors de ses années passées en Italie.

Résultat, son bilan dans la poule ne souffre d'aucune contestation à mi-parcours (3 victoires, 1 nul) alors que l'Espagne patine et n'a pas retrouvé la flamme qui lui a permis de surclasser tous ses adversaires depuis cinq ans.

Le point ramené de Madrid en octobre 2012 (1-1) avait déjà prouvé qu'à défaut de posséder des joueurs de classe internationale (hormis Ribéry), les Bleus avaient à leur tête un tacticien hors pair capable de déjouer tous les pronostics.

Confiance à Benzema
Reste à savoir si cette équipe est en mesure de rééditer cette performance et de faire déjouer la grande Espagne une seconde fois. L'effet de surprise ne jouera plus au Stade de France et le nouveau rapport de forces établi dans le groupe I sonne comme un sérieux avertissement pour les stars espagnoles, déjà échaudées par le nul concédé au stade Vicente-Calderon.

Revanchardes et surtout dos au mur, les troupes de Vicente Del Bosque, privé de Jordi Alba (blessé) et de David Silva (suspendu), ont débarqué en France avec une seule volonté, repartir avec un succès pour laver l'affront et rester maître de leur avenir.

Mais Deschamps est lui bien décidé à refaire le coup de Madrid. Après avoir joué la carte de l'offensive contre la Géorgie (4-4-2 et un duo Benzema-Giroud en attaque), le sélectionneur va revenir à une formule plus rationnelle qui devrait se rapprocher de celle entrevue en seconde période en Espagne, un milieu renforcé avec le désormais indispensable Valbuena à la baguette.

Deschamps devrait en revanche renouveler sa confiance au malheureux Benzema, en plein doute depuis le début de saison et totalement improductif vendredi. Même s'il n'a plus marqué de but en équipe de France depuis le 5 juin 2012, l'attaquant du Real Madrid jouit encore d'un statut privilégié en bleu, la faute à une faible concurrence et au manque d'alternative crédible à son poste.

Mais les sifflets entendus contre les Géorgiens ont montré que la patience du public avait ses limites et celle de Deschamps ne sera pas non plus infinie, Giroud, auteur de sa 3e réalisation en 16 sélections vendredi et buteur en Espagne, attendant sagement son heure sur le banc.

Le patron des Bleus devrait par contre se montrer moins conservateur en défense. Après son baptême du feu réussi face à la Géorgie, le jeune Varane (19 ans) pourrait bien se voir accorder une nouvelle chance aux côtés de Sakho. Si le duo parvient à résister à la furia espagnole, il sera assurément très difficile à déloger. Un destin dont rêve secrètement l'équipe de France.

Fifa.com (25/03/2013)

Casillas présent pour France-Espagne



Le gardien de l'Espagne Iker Casillas, non retenu pour le match en France mardi des qualifications du Mondial-2014 en raison d'une fracture à une main, sera toutefois présent à Saint-Denis pour supporter les siens, a annoncé lundi la Fédération espagnole.

"Le gardien arrivera lundi soir à l'hôtel où est rassemblée la Roja pour apporter son expérience et son soutien au groupe", a ajouté la Fédération.

Non retenu en raison d'une fracture au premier métacarpien de la main gauche survenue à la mi-janvier avec le Real Madrid, Casillas sera remplacé dans le but par l'habituel N.2 de la sélection, Victor Valdes, du FC Barcelone.

Bien que Casillas ait reçu le feu vert médical de son club la semaine dernière, les délais étaient trop justes pour qu'il puisse jouer.

Pour être sûre de se qualifier directement sans passer par les barrages, l'Espagne, actuellement 2e du groupe I à deux longueurs derrière la France, devra absolument l'emporter.

Fifa.com (25/03/2013)

Del Bosque : "L'Espagne sait jouer ce type de match"



L'Espagne a l'expérience nécessaire et "sait jouer" le type de match qui l'attend mardi face à la France en qualifications au Mondial-2014, estime son sélectionneur Vicente Del Bosque qui prévoyait dès le tirage au sort la "difficulté maximale" que représenteraient les Bleus.

L'équipe de France vous avait-elle surpris en octobre ?
Dans ce match, on avait vu les deux visages de la France. On avait été supérieurs en première mi-temps, avec une France bien organisée. En deuxième mi-temps, ils ont été meilleurs, ils ont rompu leurs positions figées et ont un peu perdu leur respect à notre égard. Le match s'est ouvert et ils ont décroché le nul in extremis.

La France peut-elle avoir le ballon ?
La France a une grande sélection, un bon groupe, avec des joueurs complémentaires, des joueurs physiques et d'autres avec des qualités, rapides, qui ont une vision de jeu, des qualités individuelles, qui sont Benzema, Ribéry, Valbuena, Cabaye. Ils ont aussi des joueurs très forts derrière, et des latéraux puissants, Evra ou Clichy, et Jallet. Après le tirage au sort, on savait qu'on aurait une difficulté maximale qui serait la France, c'est la réalité, et on se retrouve dans cette réalité aujourd'hui. Mais on a nous aussi une équipe qui a des qualités, qui a de l'expérience, qui sait jouer ce type de match.

Les deux derniers buts encaissés sont venus du côté droit, n'avez-vous pas envie d'y replacer Sergio Ramos ?
Ramos, il est bien où il est. Arbeloa, et je ne le dis pas pour lui donner confiance, a toujours fait un bon marquage sur Ribéry, toujours, que ce soit à l'Euro ou au match aller. Et on n'a pas besoin de faire de changement quand on a une charnière Piqué-Ramos, la meilleure du monde, ou une des meilleures du monde.

Les attaquants développent-ils une certaine anxiété à force de buter sur les défenses regroupées, comme celle de la Finlande ?
Quand on a une domination aussi absolue, qu'on récupère aussi rapidement les ballons, qu'on joue au bord de leur surface quasiment tout le temps et qu'on n'arrive pas à gagner, ça nous préoccupe. L'attaquant doit se dire qu'il doit rester tranquille, patient, qu'il faut ouvrir le jeu. C'est ce que l'orthodoxie commande et ça permet d'évacuer le stress. Ils n'ont pas su se le dire vendredi. Mais je ne crois pas qu'on verra ça demain (mardi), ce sera un match beaucoup plus ouvert que contre la Géorgie et la Finlande. On aimerait bien que la France se retranche dans sa surface de réparation parce qu'on aurait alors beaucoup de chances de gagner.

Vous n'avez pas su protéger votre but d'avance lors des deux derniers matches, est-ce un problème de fatigue ou de confiance ?
C'était différent. La France est davantage montée, on s'est ouvert un peu plus, sans doute que c'était plus de la fatigue. Contre la Finlande, on a toujours joué dans leur camp, ce n'était pas un problème de fatigue mais de deuxième ou troisième but qui n'est pas arrivé. On a beaucoup confiance en notre possibilités.

Fifa.com (25/03/2013)

Espagne : Sergio Ramos, jeune centenaire



Le défenseur central de l'équipe d'Espagne Sergio Ramos, devenu vendredi à 26 ans le plus jeune joueur d'Europe à atteindre les 100 sélections, va de nouveau affronter la France, une habitude pour lui, lors d'un match crucial mardi en qualifications au Mondial-2014.

Déjà buteur à l'aller, à Vicente-Calderon (1-1), le stoppeur du Real Madrid commence en effet à être un vieil habitué des matches contre les Bleus.

Parmi les 100 sélections que le champion du monde et double champion d'Europe a fêtées vendredi lors d'un match au goût amer contre la Finlande (1-1), il compte ainsi déjà quatre Espagne-France à son actif, le bilan se répartissant en deux victoires, un nul et une défaite.

D'ailleurs, interrogé récemment par le journal Marca sur le match qu'il souhaiterait rayer de sa mémoire parmi les 100 capes qu'il détient désormais, Ramos n'avait pas hésité: l'Espagne-France des 8e de finale du Mondial-2006, où le jeune défenseur central, alors encore sous la férule de son mentor Luis Aragones, avait subi la loi de Zidane et compagnie (défaite 3-1).

"C'était mon premier Mondial et mon premier grand match. Heureusement, nous avons pu leur rendre la monnaie de leur pièce plus tard", confiait Ramos au quotidien espagnol en faisant allusion aux quarts du dernier Euro-2012, où l'Espagne, sur sa route vers le titre, avait éliminé les Bleus (2-0).

Mardi, le joueur d'origine andalouse, associé en sélection au Barcelonais Gerard Piqué, entame donc un autre chapitre de ses confrontations contre la France.

Admirateur de Hierro
Et cette fois-ci, le Merengue pourrait retrouver sur le terrain non pas un, mais deux partenaires de club face à lui.

Car outre Benzema, que Ramos a défendu lundi des critiques que l'ancien Lyonnais reçoit actuellement pour ses prestations en sélection, l'Espagnol devrait aussi être opposé à celui avec qui il a pris l'habitude de partager la charnière centrale madrilène: Raphaël Varane.

"Il fait preuve d'un très bon rendement. Il n'a aucune faiblesse et a montré une progression impressionnante", commentait-il récemment à l'égard de son alter ego de 19 ans.

Mais si Varane a pu exploser à ce point cette saison avec le Real, l'assurance dégagée par Ramos n'y est pas étrangère.

D'un calme impérial dans l'axe, doté de qualités athlétiques impressionnantes, le joueur natif de Camas, près de Séville, s'est en effet imposé en l'espace de deux ans comme l'un des hommes forts du Real et de la Seleccion.

Initialement arrière droit, son replacement dans l'axe à l'initiative de son entraîneur de club José Mourinho,peut être considéré comme un franc succès. A ce poste, cet admirateur de Fernando Hierro, ancien central du Real et de la Roja, donne effectivement sa pleine mesure.

A ses qualités physiques évidentes et à son sens du but - 9 réalisations en rouge, essentiellement à l'issue de corners, comme par exemple contre la France à l'aller - le Madrilène joint en outre une force de caractère hors du commun.

Sa "panenka" face au Portugal lors des tirs au but en demi-finale de l'Euro-2012 (0-0 a.p., 4-2 t.a.b. pour l'Espagne), après son penalty manqué avec le Real face au Bayern en demi-finale de la dernière Ligue des Champions, avait ainsi marqué les esprits.

Son seul défaut serait peut-être une certaine propension à se déconcentrer, comme en attestent certains des buts encaissés sur coups de pied arrêtés cette saison avec le Real. En 8e de finale aller contre Manchester United (1-1), Ramos avait par exemple perdu son duel direct avec Welbeck, se voyant ensuite directement montré du doigt par Mourinho.

Mais le jeune centenaire a prouvé qu'il avait le cuir épais et la mentalité nécessaire pour rebondir.

Fifa.com (25/03/2013)

Allemagne : Gündogan d'entrée pour remplacer Schweinsteiger



Le sélectionneur allemand Joachim Löw a annoncé lundi que le milieu de terrain de Dortmund Ilkay Gündogan serait titularisé mardi face au Kazakhstan, à Nuremberg, en éliminatoire du Mondial-2014, pour palier l'absence de Bastian Schweinsteiger, suspendu.

"Ilkay jouera, c'est clair", a déclaré le sélectionneur lors d'une conférence de presse, louant "le pas de géant" effectué par la milieu de terrain défensif ces derniers mois.

"Il a déjà le top niveau international. Et il a toutes les prédispositions pour devenir un joueur de classe mondiale", a ajouté Löw.

Né à Gelsenkirchen, ville de Schalke, de parents turcs, c'est pourtant dans le nord de la Bavière, à Nuremberg justement, qu'il fait ses débuts en Bundesliga en 2009, après avoir été acheté 50.000 euros par le club de la ville à Bochum.

Deux ans plus tard, il est transféré pour 4,5 millions d'euros, 90 fois plus, à Dortmund, et sa valeur est aujourd'hui estimée à près de 20 millions d'euros, alors qu'on murmure que Barcelone, entre autres, aurait un oeil sur lui.

"C'est super de pouvoir jouer à la maison. J'ai passé d'excellentes années là-bas et je dois beaucoup au club et à la ville", a déclaré Gündogan lors de la conférence de presse.

Il ne compte pour le moment que 2 sélections, mais "lors des matches qu'il a joué avec nous, nous avons été très satisfaits de ce qu'il a fait. Il était très présent, a accéléré le jeu, délivré les bonnes passes et très bien occupé son poste", a détaillé Löw.

Vainqueur vendredi dernier 3 à 0 à Astana contre ce même Kazakhstan, l'Allemagne pourrait faire un grand pas vers la première place du groupe si elle l'emporte mardi soir.

Elle occupe la tête du groupe C de qualification pour le Mondial brésilien, avec 13 points, soit 5 de plus que la Suède (, tenue en échec 0-0 chez elle par l'Eire (3e avec 7 points, comme l'Autriche) vendredi et qui est exempté de match mardi.

L'Allemagne compte toutefois un match en plus que ses trois principaux poursuivants.

Fifa.com (25/03/2013)

Zone Afrique : L'Egypte pour creuser l'écart, l'Algérie pour recoller



Déjà en tête de son groupe de qualifications pour le Mondial-2014, l'Egypte a l'occasion mardi face au modeste Zimbabwe de creuser encore un peu plus l'écart, alors que dans le groupe H, l'Algérie peut passer en tête en cas de victoire contre le Bénin.

Sept fois vainqueur de la CAN, l'Egypte n'a participé que deux fois à la Coupe du Monde, la dernière en 1990.

Avec la réception du Zimbabwe, qui ne compte qu'un point en deux matches, les Pharaons peuvent poursuivre leur sans-faute dans le groupe G et prendraient cinq points de marge sur la Guinée en cas de victoire mardi à Alexandrie.

Un seul autre match est au programme mardi dans la zone Afrique et il met aux prises l'Algérie et le Bénin dans le groupe H.

Dans un groupe serré, les joueurs de Vahid Halilhodzic visent une victoire qui leur permettrait de rejoindre le Mali avec six points et de prendre la tête à la différence de buts.

Fifa.com (25/03/2013)

Allemagne, Löw : "L'Espagne sera forcément au Mondial"



Le sélectionneur allemand, Joachim Löw, a exprimé lundi sa certitude que l'Espagne, tenante du titre, sera présente au Mondial-2014 au Brésil, alors qu'elle joue un match décisif en vue de la première place de son groupe de qualification mardi soir en France.

"L'Espagne est sous pression, mais l'Espagne sera forcément au Mondial", a jugé Löw lors d'une conférence de presse à la veille du match de la Mannschaft face au Kazakhstan, à Nuremberg, dans le cadre du groupe C des éliminatoires.

Championne d'Europe et du monde en titre, l'Espagne affrontera au même moment la France à Paris, alors qu'elle compte deux points de retard sur les Bleus, après son petit faux-pas à domicile (1-1) contre la Finlande, vendredi.

En cas de défaite la Roja serait distancée de 5 points, avec trois matches à jouer dans le groupe I. Seule l'équipe qui arrive première du groupe est directement qualifiée. Celle qui est deuxième doit disputer un barrage supplémentaire.

"Soit ils vont corriger cela immédiatement, soit, s'ils ne remportent pas le groupe, ils s'imposeront quoiqu'il arrive lors du barrage. Quand elle en a vraiment besoin, l'Espagne sait toujours faire jouer sa classe", a assuré Löw.

Le sélectionneur allemand a également une nouvelle fois affirmé l'ambition de l'Allemagne de remporter la Coupe du monde au Brésil.

"Sur une échelle humaine, c'est incroyablement difficile de remporter un titre en Amérique du sud, c'est certain. Mais nous ferons tout pour pouvoir jouer le titre".

Le directeur sportif de la Mannschaft, Oliver Bierhoff, avait estimé dimanche que cela "relevait de l'impossible" pour une équipe européenne de gagner le Mondial-2014.

"Il a dit qu'a priori c'est pratiquement impossible pour une équipe européenne de gagner (...) A priori. Mais a priori, personne ne s'attendait non plus à ce que la Grèce gagne l'Euro en 2004", a ajouté Löw à ce sujet.

Il a appelé son équipe à faire preuve "d'humilité, car nous ne sommes pas encore qualifiés et il n'est pas très approprié de parler de ce qui se passera dans un an et demi", mais il est "persuadé que l'Allemagne se qualifiera et partira alors comme l'un des favoris au Brésil".

Fifa.com (25/03/2013)

Zone Océanie : Les Kiwis barragistes, journée sans enjeu



La Nouvelle-Zélande a d'ores et déjà décroché le billet attribué au vainqueur de la zone Océanie pour un barrage qualificatif au Mondial-2014, et la 6e et dernière journée prévue mardi est donc sans enjeu.

La Nouvelle-Zélande affrontera en barrage par matches aller-retour l'équipe classée quatrième de la zone Concacaf (Amérique du Nord). Le vainqueur de ce barrage participera au Mondial brésilien.

Mardi, les deux derniers matches se dérouleront pour l'honneur, entre la Nouvelle-Calédonie et Tahiti d'une part et entre les Iles Salomon et la Nouvelle-Zélande d'autre part.

Le programme :

Mardi
Nouvelle-Calédonie - Tahiti à Nouméa
Iles Salomon - Nouvelle-Zélande à Honiara

Fifa.com (25/03/2013)

France, Deschamps : "L'Espagne ne s'attend pas à une partie de plaisir"



L'Espagne "n'a pas de doute mais elle ne s'attend pas non plus à une partie de plaisir", a assuré lundi le sélectionneur de l'équipe de France Didier Deschamps avant le match des éliminatoires du Mondial-2014 entre les deux équipes mardi.

Del Bosque pense qu'à l'aller la France a bien joué quand elle a arrêté de respecter l'Espagne. Qu'en pensez-vous ?
Le respect, on l'a avant, après. Pendant, on livre bataille. Avant le match aller, l'Espagne avait beaucoup plus de certitudes que nous. C'était logique. On a été capable de la malmener aussi. Il y a les circonstances car des joueurs sont sortis et ils ont modifié leur schéma de jeu. Le respect, ce n'est pas de la crainte ou être intimidé. Quand vous les jouez, vous savez les forces qu'il y a en face.

Après son nul, la pression est-elle sur l'Espagne ?
L'Espagne a plus d'obligation de gagner après son nul contre la Finlande.

La France est-elle plus forte qu'avant le match aller ?
Plus forte, je ne sais pas. Qu'au match aller, au delà du plaisir et de l'émotion donnés, on ait eu quelques convictions supplémentaires, oui. Mais on est dans le même cas de figure. On doit être à notre maximum. Et si l'Espagne peut ne pas y être, ce dont je doute, ça nous arrangerait

Selon vous, Del Bosque est-il inquiet ?
Inquiet non. Il ne peut pas l'être car il n'a pas à l'être quand on est sélectionneur de l'Espagne. Mais je pense qu'il ne s'attend pas non plus à une partie de plaisir. Il sait qu'il y a de la qualité en face mais ce n'est pas pour ça qu'il a des doutes.

Benzema a-t-il toujours votre soutient malgré sa mauvaise passe ?
Je ne vais pas dire si oui ou non il jouera. La seule chose que je peux dire, c'est que je lui fais pleinement confiance. Il n'y a aucune discussion possible sur ses qualités. Après, il peut y avoir différentes périodes dans une carrière.

Allez-vous demander à Ribéry d'insister sur le côté où la Roja vient d'encaisser ses derniers buts ?
Il n'a pas besoin d'appuyer. Le but encaissé contre la Finlande n'est pas que de la responsabilité d'Arbeloa. Quand il y a but, il y a des erreurs en général. L'important est d'utiliser nos forces et évidemment qu'on en a sur notre côté gauche. Mais peut-être pas plus qu'à droite.

Le défi physique peut-il encore être l'un des clés du match ?
C'est un des domaines incontournables du football de haut niveau. Il y a un rapport de forces et il peut changer en cours de match. Quand Silva sort après 15 minutes à l'aller, le milieu n'est plus le même. Del Bosque a plusieurs solutions, moi aussi.

Pour un tel match, pensez-vous privilégier le physique ou l'expérience ?
Tout entre dans ma réflexion et ça reste dans ma tête. L'expérience c'est important, mais il y a aussi les qualités techniques, physiques. Certains ont tout ça, voire plus. Malgré le respect que j'ai pour la Géorgie, ce n'est plus le même rapport de forces. Ce n'est pas parce qu'il y a des jeunes qu'ils n'ont droit qu'à la Géorgie.

Même diminué, le retour de Xavi change-t-il quelque chose ?
Xavi n'était pas là vendredi mais on va retrouver le coeur du milieu, ce coeur qui a si bien fonctionné pendant l'Euro avec Xabi Alonso et Busquets. Ces trois-là sont très forts, habitués à jouer ensemble. Au moins deux ne seront pas fatigués car ils n'ont pas joué vendredi. Ça change la donne par rapport à l'aller car le milieu avait rapidement été recomposé et inhabituel.

Est-ce aussi plus simple de jouer sans Alba en face ?
Ca peut. Évidemment que ce n'est pas anodin dans les forces de l'Espagne. Quand on voit ce qu'il est capable de faire offensivement sur le flanc alors qu'il est défenseur. Même si Monreal a beaucoup de qualités, il n'a pas le même profil.

A part bien défendre, que faut-il faire ?
Bien utiliser le ballon quand on l'aura pour les obliger à défendre aussi. Le scénario sera plus ou moins le même qu'à l'aller. Je suis convaincu qu'il est inutile de lutter pour avoir la possession de balle. On ne va pas jouer le match nul. Si on l'a, on le prendra. Ce qui compte, ce sont nos intention et la conviction. Parfois le résultat est injuste mais c'est la loi du sport.

Fifa.com (25/03/2013)

Hongrie : Les Magyars veulent renouer avec la gloire



Le 22 mars dernier, la déception était palpable côté hongrois au coup de sifflet final. Malgré leurs efforts, les Magyars venaient de concéder le point du nul (2:2) à la Roumanie dans les derniers instants. "Nous avons pris un coup sur la tête. L'ambiance était vraiment très lourde dans le vestiaire. Malheureusement, la victoire nous a échappé sur une faute de concentration", résume l'attaquant Balazs Dzsudzsak au micro de FIFA.com.

Actuellement deuxième du Groupe D derrière les Pays-Bas, l'équipe entraînée par Sándor Egervári peut encore espérer disputer les barrages. Le gardien Gabor Kiraly essaye donc de positiver : "Si l'on veut voir le bon côté des choses, on peut dire que les Roumains restent derrière nous. Mais évidemment, nous sommes conscients d'avoir laissé passer une bonne occasion de prendre le large au classement."

Le bilan de la Hongrie dans cette campagne de qualification est toutefois loin d'être négatif. Mardi 26 mars, elle se déplacera en Turquie, tandis que ses rivaux roumains se produiront à Amsterdam, sur le terrain de l'intraitable leader néerlandais. Pour conserver un temps d'avance, Kiraly et ses coéquipiers devront donc ramener au moins un point d'Istanbul. Le match aller à Budapest s'étant soldé sur une victoire des locaux (3:1), l'optimisme est de mise dans le camp hongrois. "Un nul nous permettrait de rester dans la course mais nous avec déjà battu les Turcs et nous avons très envie de renouveler l'exploit. Le résultat contre la Roumanie nous place dans l'obligation de prendre des points en déplacement. Autant commencer dès maintenant", estime Dzsudzsak.

Eldorado brésilien
Ce retour remarqué au premier plan de la Hongrie, Kiraly estime qu'elle le doit à ses vertus collectives : "Pour moi, une équipe est comme un puzzle. Pour voir l'image apparaître, il faut que toutes les pièces soient à la bonne place et s'emboîtent correctement. C'est notre cas en ce moment. Au niveau du courage et de la mentalité, je pense que nous soutenons la comparaison avec n'importe quel adversaire".

Il est encore trop tôt pour affirmer que ces qualités suffiront à porter la Hongrie vers sa première phase finale de Coupe du Monde de la FIFA™ depuis 1986, mais l'attaquant du Dynamo Moscou fera tout ce qui est en son pouvoir pour mener son équipe au Brésil, animé par une motivation supplémentaire : "À Anzhi Makhachkala, j'ai eu l'occasion de jouer aux côtés de Roberto Carlos. Il m'a beaucoup parlé de son pays. Le Brésil est vraiment le temple du football. Après avoir entendu ses anecdotes, je suis encore plus motivé à l'idée d'offrir à la Hongrie sa première qualification depuis 28 ans."

Cette motivation, le pays tout entier l'entretient. "Les Hongrois sont avec nous. Nous en avons encore eu la preuve lors du dernier match", confie Kiraly. "Même en jouant à huis clos, nous avons ressenti la passion et l'enthousiasme de nos concitoyens pendant tout le match". De son côté, Dzsudzsak estime qu'il est grand temps de récolter les fruits des efforts et du travail accomplis par le football hongrois : "Tout le monde attend que nous franchissions le pas. Nos supporters croient en nous et nous avons très envie de leur faire plaisir. Une participation à la Coupe du Monde nous ferait énormément de bien. Un tel exploit serait d'une ampleur comparable à la qualification de la Hongrie pour la finale de la Coupe du Monde 1954."

Fifa.com (25/03/2013)

Mènessou veut mener le Bénin au bout



"Tant qu’une équipe est disciplinée, il ne peut rien lui arriver." Le postulat est signé Manuel Amoros, sélectionneur du Bénin depuis janvier 2012. Le défenseur Arsène Mènessou ne peut que confirmer. "Tant que nous respecterons sa volonté de rigueur, nous aurons des résultats. J’en suis convaincu", annonce-t-il au micro de FIFA.com. Depuis le début de la campagne qualificative africaine pour la Coupe du monde de la FIFA, Brésil 2014, les résultats donnent raison au défenseur international comme à son entraîneur.

Leader du Groupe H après deux journées - "et encore, sans les incidents face au Rwanda nous devrions être à six points", rumine encore Mènessou -, les Ecureuils surprennent peut-être les pronostics mais pas les premiers intéressés. "Nous sommes dans la continuité de ce que nous avons prouvé lors des qualifications pour la CAN 2013", analyse le défenseur de La Louvière Centre, en troisième division belge. "Nous y avions montré de belles choses. Il ne nous a manqué que la réussite et un brin de chance. Le groupe est inchangé à part quelques jeunes qui se font leur place et nous continuons de récolter les fruits du rassemblement de juin dernier, quand nous sommes restés ensemble un mois."

Redescendu d’un échelon dans la hiérarchie en Belgique après une saison blanche à l’AS Eupen, pour cause de problèmes administratifs, Mènessou a accepté de revoir ses prétentions à la baisse dans le seul but de se relancer, retrouver du temps et la confiance qui va avec. Cette confiance, Manuel Amoros comme son prédécesseur Edmé Codjo ne lui ont jamais retirée, même dans les moments les plus difficiles. "Heureusement que j’avais la sélection pour garder un goût du haut niveau et ne pas disputer que des matches amicaux", nous explique l’ancien pensionnaire du Real Saragosse.

A la porte de l'histoire
Toujours performant sous le maillot de l’équipe nationale, il est bien placé pour savoir que rien n’est jamais acquis… ou perdu. Absent de la CAN depuis 2010 et jamais qualifié pour la Coupe du Monde de la FIFA™, le Bénin frappe à la porte de son histoire. Dans l’embrasure, le rêve brésilien passe par deux prestations de patron face à l’Algérie, le 26 mars à Blida et le 6 juin à Cotonou. "Etre leader du groupe nous permet de ne pas douter, d’être solide mentalement et d’aborder ces échéances avec confiance", développe l’ancien élève du centre de formation du Havre. "Mais nous savons à quoi nous attendre face à une équipe en quête de rachat."

Décevants à la CAN en Afrique du Sud en début d’année, les Fennecs jouent déjà très gros sur leur pelouse. "Le public va nous mettre beaucoup de pression mais eux aussi l’auront car ils doivent se faire pardonner", reconnaît Mènessou. "Ils ont l’avantage d’avoir passé du temps ensemble avant et pendant la CAN et ils voudront faire tomber l’équipe à battre", ajoute-t-il, conscient que lui et ses camarades vont "devoir être encore plus vigilants que d’habitude." Pendant une semaine chez lui à Marseille, Manuel Amoros a pu insister sur les consignes tactiques pendant le stage d’avant-match. "Il connaît les compétitions de haut niveau et il sait comment préparer ce genre de rencontre. Il nous montre la voie à suivre et nous la respectons à la lettre", nous confie le défenseur international.

"L’Algérie dispose de grosses armes offensives mais en défense, elle est prenable", juge Mènessou. "Il ne va pas falloir les regarder jouer sinon on va se prendre une rafale d’attaques et on ne fera que subir. Nous ne devons pas être frileux et trop les attendre mais au contraire jouer notre jeu. C’est un gros challenge mais nous sommes prêts", conclut le Béninois avec ambition. L’ambition, un sentiment qui n’est pas incompatible avec la discipline.

Fifa.com (26/03/2013)

Iniesta-Ribéry, les chiffres des petits génies



Avant le match au sommet France-Espagne, décisif sur la route de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014, FIFA.com se penche sur les chiffres de deux acteurs-clés du duel : le Français Franck Ribéry et l'Espagnol Andrés Iniesta.

Taille
Iniesta : 1m70
Ribéry : 1m70
En 2012, avant le match du Bayern Munich à Lille en Ligue des champions de l'UEFA, Ribéry explique que selon lui, les Nordistes l'ont laissé partir quand il était plus jeune car il était "trop petit pour eux". Il fera regretter cette décision aux Dogues en participant activement aux deux victoires munichoises (1:0 et 6:1) contre le LOSC. Iniesta n'a jamais connu ce genre de problème à Barcelone, et ce grâce à Johann Cruyff. Quand le Néerlandais qui avait brillé avec les Blaugrana dans les années 1970 est revenu au Camp Nou en tant qu'entraîneur l'année suivante, il a convaincu les dirigeants qu'une petite taille n'était pas rédhibitoire dans un grand club. Romario, Sergi, Albert Ferrer, Ivan de la Peña, Deco, Xavi, Iniesta et Lionel Messi sont autant d'exemples qui lui ont donné raison.

Buts internationaux
Iniesta : 11 en 79 sélections
Ribéry : 12 en 72 sélections
"Je ne marque pas assez de buts." Telle avait été la réponse d'Iniesta quand on lui avait demandé quel était son principal point faible plus tôt dans sa carrière. Depuis, la réponse a certainement changé. Iniesta est en effet devenu un milieu offensif qui trouve régulièrement le chemin des filets mais surtout, qui a pris l'habitude d'inscrire des buts capitaux. On se souvient notamment de son égalisation sur une frappe enroulée dans les derniers instants de la rencontre à Stamford Bridge, qui avait permis à Barcelone d'arracher le nul (1:1) et de se qualifier au détriment de Chelsea pour la finale de la Ligue des champions de l'UEFA 2009. C'est également lui qui a marqué le seul but de la finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010™. Ribéry possède cependant une meilleure moyenne de buts par match en sélection (0,17, contre 0,14 pour Iniesta).

Passes décisives en 2011/12 (en club)
Iniesta : 13 en 46 apparitions (0,28 par match)
Ribéry : 26 en 50 apparitions (0,52 par match)
Ribéry a terminé meilleur passeur de la dernière Bundesliga (20 ballons décisifs en 32 matches) devant Juan Arango, Shinji Kagawa et Toni Kroos. Même chose dans la Ligue des champions de l'UEFA 2011/12 (5 en 14 matches), à égalité avec Karim Benzema, Nicolas Gaitan, Kaka et Lionel Messi. Au cours de la même saison en Liga, Iniesta a adressé neuf passes décisives. Seuls Mesut Özil, Lionel Messi, Angel di Maria, Jesus Navas, Cristiano Ronaldo et Dani Alves ont fait mieux. Dans le même exercice en Ligue des champions de l'UEFA, il a donné un seul ballon décisif.

Clubs
Iniesta : 1
Ribéry : 7
Barcelone a repéré Iniesta à l'âge de 12 ans lorsqu'il évoluait pour Albacete dans un tournoi de jeunes. Le géant catalan a immédiatement engagé la petite merveille. Le natif de Fuentealbilla n'a cependant pas oublié son premier club. En 2011, il a renfloué Albacete, qui évoluait alors en troisième division espagnole, à hauteur de 420 000 euros. Ribéry rejoint le LOSC à l'âge de 13 ans, mais le club nordiste ne souhaite pas le conserver. Il fait donc ses débuts professionnels dans sa ville natale de Boulogne, alors pensionnaire de quatrième division française. Il porte ensuite les couleurs d'Alès puis de Brest, avant de signer en 2004, à l'âge de 21 ans, à Metz, qui fait alors partie de l'élite française. Ribéry suscite rapidement la comparaison avec une légende du club lorrain, Robert Pires. En désaccord avec les dirigeants messins au sujet d'une renégociation de contrat légitime, Ribéry s'exile à Galatasaray, où il est prêté. Le grand club stambouliote s'attache définitivement ses services pour deux millions d'euros, mais Ribéry choisit vite d'aller voir ailleurs. En 2005, il signe à Marseille et deux ans plus tard, prend la direction du Bayern Munich pour plus de 25 millions d'euros.

Titres majeurs (à l'exception des compétitions à un seul match)
Iniesta : 15
Ribéry : 8
Le seul titre notable remporté par le Français de 29 ans avant de rejoindre le Bayern est la Coupe de Turquie gagnée avec Galatasaray en 2005. À cette occasion, il avait ouvert le score et donné un ballon décisif dans une finale largement dominée par Gala contre Fenerbahçe (5:1). Quant au Catalan âgé de 28 ans, il compte à son palmarès une Coupe du Monde de la FIFA™, deux UEFA EUROS, trois Ligues des champions de l'UEFA et cinq championnats d'Espagne.

Les face-à-face
Iniesta : 3 victoires, 2 nuls, 0 défaite
Ribéry : 0 victoire, 2 nuls, 3 défaites
Ribéry a marqué son premier but avec les Bleus lors de la victoire 3:1 sur l'Espagne en huitième de finale d'Allemagne 2006. Ce jour-là à Hanovre, Iniesta était sur le banc des remplaçants et n'était pas entré en jeu. En 2010, les deux joueurs se sont retrouvés face à face au Stade de France en amical. Iniesta avait donné un ballon décisif à David Villa et l'Espagne l'avait emporté 2:0. Le Barcelonais a ensuite joué un rôle décisif dans la victoire 2:0 de la Roja sur les Bleus en quart de finale de l'UEFA EURO 2012, mais Ribéry a ensuite pris sa revanche en déposant un ballon millimétré sur la tête d'Olivier Giroud pour l'égalisation française à 1:1 dans les derniers instants de la première confrontation entre les deux équipes dans les qualifications pour Brésil 2014. En demi-finale aller de la Ligue des champions de l'UEFA 2008/09, Iniesta a encore été à la baguette lors de la démonstration du Barça contre le Bayern de Ribéry (4:0). Ce dernier avait marqué le seul but bavarois au match retour (1:1).

Numéros de maillot
Iniesta : 8 avec Barcelone et 6 avec l'Espagne
Ribéry: 7 avec le Bayern Munich et la France
Iniesta a d'abord porté le numéro 34 puis le 24 avec les Catalans, avant d'hériter de la tunique floquée du numéro 8 de Ludovic Giuly avant le coup d'envoi de la saison 2007/08. Avec l'Espagne, Iniesta a porté le même numéro lors de la Coupe du Monde U-20 de la FIFA, Émirats Arabes Unis 2003. Mais ce numéro étant celui de Xavi chez les seniors espagnols, Iniesta a opté pour le 6. Ribéry a choisi le numéro 10 à Metz, avant de se voir remettre le 28 à Galatasaray. À Marseille, il endosse le numéro 7, qu'il conservera au Bayern. En équipe de France, il a d'abord arboré le 22, avant d'harmoniser les choses en passant au 7.

Fifa.com (26/03/2013)

Océanie
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Iles Salomon 2 - 1 Nouvelle-Zélande ........ Tim Payne (3', 88')
FIN : Nouvelle Calédonie 1 - 0 Tahiti ............ Cesar Lolohea (85')


Europe, Groupe 1
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Serbie - Ecosse
20h45 : Belgique - Rép. de Macédoine
20h45 : Pays de Galles - Croatie

Europe, Groupe 2
Mardi 26 mars 2013 :
17h00 : Arménie - Rép. Tchèque
20h15 : Danemark - Bulgarie
20h45 : Malte - Italie

Europe, Groupe 3
Mardi 26 mars 2013 :
20h45 : Allemagne - Kazakhstan
20h45 : Irlande - Autriche

Europe, Groupe 4
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Estonie - Andorre
19h30 : Turquie - Hongrie
20h30 : Pays-Bas - Roumanie

Europe, Groupe 6
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Azerbaïdjan - Portugal
20h45 : Irlande du Nord - Israël

Europe, Groupe 8
Mardi 26 mars 2013 :
20h00 : Ukraine - Moldavie
20h45 : Pologne - Saint-Marin
21h00 : Montenegro - Angleterre

Europe, Groupe 9
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : France - Espagne

Afrique, Groupe G
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Egypte - Zimbabwe

Afrique, Groupe H
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Algérie - Bénin

Amérique du Sud
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : Bolivie - Argentine
22h00 : Equateur - Paraguay

Mercredi 27 mars 2013 :
00h30 : Chili - Uruguay
01h00 : Venezuela - Colombie

Asie (4ème tour), Groupe A
Mardi 26 mars 2013 :
MIT : Corée du Sud 0 - 0 Qatar
14h00 : Ouzbékistan - Liban

Asie (4ème tour), Groupe B
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Australie 2 - 2 Oman ....................... Tim Cahill (52'); Brett Holman (86') /// Abdulaziz Al Muqbali (7'); Mile Jedinak csc (50')
15h00 : Jordanie - Japon

Amérique du Nord
Mercredi 27 mars 2013 :
03h00 : Panama - Honduras
03h00 : Costa Rica - Jamaique
03h30 : Mexique - Etats-Unis

Europe, Groupe 1
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Serbie - Ecosse
20h45 : Belgique - Rép. de Macédoine
20h45 : Pays de Galles - Croatie

Europe, Groupe 2
Mardi 26 mars 2013 :
17h00 : Arménie - Rép. Tchèque
20h15 : Danemark - Bulgarie
20h45 : Malte - Italie

Europe, Groupe 3
Mardi 26 mars 2013 :
20h45 : Allemagne - Kazakhstan
20h45 : Irlande - Autriche

Europe, Groupe 4
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Estonie - Andorre
19h30 : Turquie - Hongrie
20h30 : Pays-Bas - Roumanie

Europe, Groupe 6
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Azerbaïdjan - Portugal
20h45 : Irlande du Nord - Israël

Europe, Groupe 8
Mardi 26 mars 2013 :
20h00 : Ukraine - Moldavie
20h45 : Pologne - Saint-Marin
21h00 : Montenegro - Angleterre

Europe, Groupe 9
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : France - Espagne

Afrique, Groupe G
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Egypte - Zimbabwe

Afrique, Groupe H
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Algérie - Bénin

Amérique du Sud
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : Bolivie - Argentine
22h00 : Equateur - Paraguay

Mercredi 27 mars 2013 :
00h30 : Chili - Uruguay
01h00 : Venezuela - Colombie

Asie (4ème tour), Groupe A
Mardi 26 mars 2013 :
75' : Corée du Sud 1 - 1 Qatar ................... Lee Keun-Ho (60') /// Al Khalfan (64')
14h00 : Ouzbékistan - Liban

Asie (4ème tour), Groupe B
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Australie 2 - 2 Oman ....................... Tim Cahill (52'); Brett Holman (86') /// Abdulaziz Al Muqbali (7'); Mile Jedinak csc (50')
15h00 : Jordanie - Japon

Amérique du Nord
Mercredi 27 mars 2013 :
03h00 : Panama - Honduras
03h00 : Costa Rica - Jamaique
03h30 : Mexique - Etats-Unis

Océanie
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Iles Salomon 2 - 1 Nouvelle-Zélande ........ Tim Payne (3', 88')
FIN : Nouvelle Calédonie 1 - 0 Tahiti ............ Cesar Lolohea (85')

Europe, Groupe 1
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Serbie - Ecosse
20h45 : Belgique - Rép. de Macédoine
20h45 : Pays de Galles - Croatie

Europe, Groupe 2
Mardi 26 mars 2013 :
17h00 : Arménie - Rép. Tchèque
20h15 : Danemark - Bulgarie
20h45 : Malte - Italie

Europe, Groupe 3
Mardi 26 mars 2013 :
20h45 : Allemagne - Kazakhstan
20h45 : Irlande - Autriche

Europe, Groupe 4
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Estonie - Andorre
19h30 : Turquie - Hongrie
20h30 : Pays-Bas - Roumanie

Europe, Groupe 6
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Azerbaïdjan - Portugal
20h45 : Irlande du Nord - Israël

Europe, Groupe 8
Mardi 26 mars 2013 :
20h00 : Ukraine - Moldavie
20h45 : Pologne - Saint-Marin
21h00 : Montenegro - Angleterre

Europe, Groupe 9
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : France - Espagne

Afrique, Groupe G
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Egypte - Zimbabwe

Afrique, Groupe H
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Algérie - Bénin

Amérique du Sud
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : Bolivie - Argentine
22h00 : Equateur - Paraguay

Mercredi 27 mars 2013 :
00h30 : Chili - Uruguay
01h00 : Venezuela - Colombie

Asie (4ème tour), Groupe A
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Corée du Sud 2 - 1 Qatar ................... Lee Keun-Ho (60'); Heung-Min Son (90') /// Al Khalfan Ibrahim (64')
01' : Ouzbékistan 0 - 0 Liban

Asie (4ème tour), Groupe B
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Australie 2 - 2 Oman ....................... Tim Cahill (52'); Brett Holman (86') /// Abdulaziz Al Muqbali (7'); Mile Jedinak csc (50')
15h00 : Jordanie - Japon

Amérique du Nord
Mercredi 27 mars 2013 :
03h00 : Panama - Honduras
03h00 : Costa Rica - Jamaique
03h30 : Mexique - Etats-Unis

Océanie
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Iles Salomon 2 - 1 Nouvelle-Zélande ........ Tim Payne (3', 88')
FIN : Nouvelle Calédonie 1 - 0 Tahiti ............ Cesar Lolohea (85')

Europe, Groupe 1
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Serbie - Ecosse
20h45 : Belgique - Rép. de Macédoine
20h45 : Pays de Galles - Croatie

Europe, Groupe 2
Mardi 26 mars 2013 :
MIT : Arménie 0 - 0 Rép. Tchèque
20h15 : Danemark - Bulgarie
20h45 : Malte - Italie

Europe, Groupe 3
Mardi 26 mars 2013 :
20h45 : Allemagne - Kazakhstan
20h45 : Irlande - Autriche

Europe, Groupe 4
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Estonie - Andorre
19h30 : Turquie - Hongrie
20h30 : Pays-Bas - Roumanie

Europe, Groupe 6
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Azerbaïdjan - Portugal
20h45 : Irlande du Nord - Israël

Europe, Groupe 8
Mardi 26 mars 2013 :
20h00 : Ukraine - Moldavie
20h45 : Pologne - Saint-Marin
21h00 : Montenegro - Angleterre

Europe, Groupe 9
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : France - Espagne

Afrique, Groupe G
Mardi 26 mars 2013 :
18h00 : Egypte - Zimbabwe

Afrique, Groupe H
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Algérie - Bénin

Amérique du Sud
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : Bolivie - Argentine
22h00 : Equateur - Paraguay

Mercredi 27 mars 2013 :
00h30 : Chili - Uruguay
01h00 : Venezuela - Colombie

Asie (4ème tour), Groupe A
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Corée du Sud 2 - 1 Qatar ................... Lee Keun-Ho (60'); Heung-Min Son (90') /// Al Khalfan Ibrahim (64')
FIN : Ouzbékistan 1 - 0 Liban .................... Server Djeparov (63')

Asie (4ème tour), Groupe B
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Australie 2 - 2 Oman ....................... Tim Cahill (52'); Brett Holman (86') /// Abdulaziz Al Muqbali (7'); Mile Jedinak csc (50')
FIN : Jordanie 2 - 1 Japon ....................... Khalil Bani Attiah (45'); Ahmad Ibrahim (60') /// Shinji Kagawa (69')

Amérique du Nord
Mercredi 27 mars 2013 :
03h00 : Panama - Honduras
03h00 : Costa Rica - Jamaique
03h30 : Mexique - Etats-Unis

Océanie
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Iles Salomon 2 - 1 Nouvelle-Zélande ........ Tim Payne (3', 88')
FIN : Nouvelle Calédonie 1 - 0 Tahiti ............ Cesar Lolohea (85')

Europe, Groupe 1
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Serbie - Ecosse
20h45 : Belgique - Rép. de Macédoine
20h45 : Pays de Galles - Croatie

Europe, Groupe 2
Mardi 26 mars 2013 :
46' : Arménie 0 - 0 Rép. Tchèque
20h15 : Danemark - Bulgarie
20h45 : Malte - Italie

Europe, Groupe 3
Mardi 26 mars 2013 :
20h45 : Allemagne - Kazakhstan
20h45 : Irlande - Autriche

Europe, Groupe 4
Mardi 26 mars 2013 :
01' : Estonie 0 - 0 Andorre
19h30 : Turquie - Hongrie
20h30 : Pays-Bas - Roumanie

Europe, Groupe 6
Mardi 26 mars 2013 :
01' : Azerbaïdjan 0 - 0 Portugal
20h45 : Irlande du Nord - Israël

Europe, Groupe 8
Mardi 26 mars 2013 :
20h00 : Ukraine - Moldavie
20h45 : Pologne - Saint-Marin
21h00 : Montenegro - Angleterre

Europe, Groupe 9
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : France - Espagne

Afrique, Groupe G
Mardi 26 mars 2013 :
01' : Egypte 0 - 0 Zimbabwe

Afrique, Groupe H
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Algérie - Bénin

Amérique du Sud
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : Bolivie - Argentine
22h00 : Equateur - Paraguay

Mercredi 27 mars 2013 :
00h30 : Chili - Uruguay
01h00 : Venezuela - Colombie

Amérique du Nord
Mercredi 27 mars 2013 :
03h00 : Panama - Honduras
03h00 : Costa Rica - Jamaique
03h30 : Mexique - Etats-Unis

Océanie
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Iles Salomon 2 - 1 Nouvelle-Zélande ........ Tim Payne (3', 88')
FIN : Nouvelle Calédonie 1 - 0 Tahiti ............ Cesar Lolohea (85')

Asie (4ème tour), Groupe A
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Corée du Sud 2 - 1 Qatar ................... Lee Keun-Ho (60'); Heung-Min Son (90') /// Al Khalfan Ibrahim (64')
FIN : Ouzbékistan 1 - 0 Liban .................... Server Djeparov (63')

Asie (4ème tour), Groupe B
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Australie 2 - 2 Oman ....................... Tim Cahill (52'); Brett Holman (86') /// Abdulaziz Al Muqbali (7'); Mile Jedinak csc (50')
FIN : Jordanie 2 - 1 Japon ....................... Khalil Bani Attiah (45'); Ahmad Ibrahim (60') /// Shinji Kagawa (69')

Europe, Groupe 1
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Serbie - Ecosse
20h45 : Belgique - Rép. de Macédoine
20h45 : Pays de Galles - Croatie

Europe, Groupe 2
Mardi 26 mars 2013 :
50' : Arménie 0 - 1 Rép. Tchèque ................. Matej Vydra (47')
20h15 : Danemark - Bulgarie
20h45 : Malte - Italie

Europe, Groupe 3
Mardi 26 mars 2013 :
20h45 : Allemagne - Kazakhstan
20h45 : Irlande - Autriche

Europe, Groupe 4
Mardi 26 mars 2013 :
05' : Estonie 0 - 0 Andorre
19h30 : Turquie - Hongrie
20h30 : Pays-Bas - Roumanie

Europe, Groupe 6
Mardi 26 mars 2013 :
05' : Azerbaïdjan 0 - 0 Portugal
20h45 : Irlande du Nord - Israël

Europe, Groupe 8
Mardi 26 mars 2013 :
20h00 : Ukraine - Moldavie
20h45 : Pologne - Saint-Marin
21h00 : Montenegro - Angleterre

Europe, Groupe 9
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : France - Espagne

Afrique, Groupe G
Mardi 26 mars 2013 :
05' : Egypte 0 - 0 Zimbabwe

Afrique, Groupe H
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Algérie - Bénin

Amérique du Sud
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : Bolivie - Argentine
22h00 : Equateur - Paraguay

Mercredi 27 mars 2013 :
00h30 : Chili - Uruguay
01h00 : Venezuela - Colombie

Amérique du Nord
Mercredi 27 mars 2013 :
03h00 : Panama - Honduras
03h00 : Costa Rica - Jamaique
03h30 : Mexique - Etats-Unis

Océanie
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Iles Salomon 2 - 1 Nouvelle-Zélande ........ Tim Payne (3', 88')
FIN : Nouvelle Calédonie 1 - 0 Tahiti ............ Cesar Lolohea (85')

Asie (4ème tour), Groupe A
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Corée du Sud 2 - 1 Qatar ................... Lee Keun-Ho (60'); Heung-Min Son (90') /// Al Khalfan Ibrahim (64')
FIN : Ouzbékistan 1 - 0 Liban .................... Server Djeparov (63')

Asie (4ème tour), Groupe B
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Australie 2 - 2 Oman ....................... Tim Cahill (52'); Brett Holman (86') /// Abdulaziz Al Muqbali (7'); Mile Jedinak csc (50')
FIN : Jordanie 2 - 1 Japon ....................... Khalil Bani Attiah (45'); Ahmad Ibrahim (60') /// Shinji Kagawa (69')

FIFA : Communiqué au sujet du match États-Unis - Costa Rica



Le 24 mars 2013, la FIFA a reçu une lettre par e-mail et par fax de la part de la Fédération costaricaine de football au sujet de la rencontre de qualification à la Coupe du Monde de la FIFA 2014™ disputée le 22 mars entre les États-Unis et le Costa Rica.

La FIFA a étudié le contenu de la lettre et, compte tenu des dispositions de l’article 14, paragraphe 4 du règlement de la Coupe du Monde de la FIFA 2014™, elle a confirmé que le Costa Rica n’avait pas satisfait aux conditions établies par le règlement s’agissant de la procédure de réclamation officielle.

Par conséquent, le résultat du match disputé le 22 mars ne change pas et est considéré comme valable.

Fifa.com (26/03/2013)

Europe, Groupe 1
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Serbie - Ecosse
20h45 : Belgique - Rép. de Macédoine
20h45 : Pays de Galles - Croatie

Europe, Groupe 2
Mardi 26 mars 2013 :
85' : Arménie 0 - 2 Rép. Tchèque ................. Matej Vydra (47', 81')
20h15 : Danemark - Bulgarie
20h45 : Malte - Italie

Europe, Groupe 3
Mardi 26 mars 2013 :
20h45 : Allemagne - Kazakhstan
20h45 : Irlande - Autriche

Europe, Groupe 4
Mardi 26 mars 2013 :
40' : Estonie 0 - 0 Andorre
19h30 : Turquie - Hongrie
20h30 : Pays-Bas - Roumanie

Europe, Groupe 6
Mardi 26 mars 2013 :
40' : Azerbaïdjan 0 - 0 Portugal
20h45 : Irlande du Nord - Israël

Europe, Groupe 8
Mardi 26 mars 2013 :
20h00 : Ukraine - Moldavie
20h45 : Pologne - Saint-Marin
21h00 : Montenegro - Angleterre

Europe, Groupe 9
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : France - Espagne

Afrique, Groupe G
Mardi 26 mars 2013 :
40' : Egypte 0 - 0 Zimbabwe

Afrique, Groupe H
Mardi 26 mars 2013 :
20h30 : Algérie - Bénin

Amérique du Sud
Mardi 26 mars 2013 :
21h00 : Bolivie - Argentine
22h00 : Equateur - Paraguay

Mercredi 27 mars 2013 :
00h30 : Chili - Uruguay
01h00 : Venezuela - Colombie

Amérique du Nord
Mercredi 27 mars 2013 :
03h00 : Panama - Honduras
03h00 : Costa Rica - Jamaique
03h30 : Mexique - Etats-Unis

Océanie
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Iles Salomon 2 - 1 Nouvelle-Zélande ........ Tim Payne (3', 88')
FIN : Nouvelle Calédonie 1 - 0 Tahiti ............ Cesar Lolohea (85')

Asie (4ème tour), Groupe A
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Corée du Sud 2 - 1 Qatar ................... Lee Keun-Ho (60'); Heung-Min Son (90') /// Al Khalfan Ibrahim (64')
FIN : Ouzbékistan 1 - 0 Liban .................... Server Djeparov (63')

Asie (4ème tour), Groupe B
Mardi 26 mars 2013 :
FIN : Australie 2 - 2 Oman ....................... Tim Cahill (52'); Brett Holman (86') /// Abdulaziz Al Muqbali (7'); Mile Jedinak csc (50')
FIN : Jordanie 2 - 1 Japon ....................... Khalil Bani Attiah (45'); Ahmad Ibrahim (60') /// Shinji Kagawa (69')