[Débat] Moh Cherif Hannachi (Président) [Part 2]

JSK : Le président Hannachi hospitalisé

Le président de la JSK Mohand-Chérif Hannachi a été évacué ce mercredi en urgence au CHU Nédir Mohamed de Tizi-Ouzou. De sources hospitalières, Il souffre de contusions cérébrales à la suite d'une chute qui s'est produite chez lui.

Toujours selon les mêmes sources, c'est en sautant pour passer d'un endroit à un autre chez lui que le président de la JSK s'était mal reçu après son saut. Dans sa chute, sa tête a heurté un mur. Il a été évacué au CHU où il est gardé en observation.

Interrogé le Professeur Ziri, le PDG du CHU de Tizi-Ouzou, nous a indiqué que le patient a subi tous les examens nécessaires (scanner, radio et autres bilans) qui n'ont rien révélé de grave.

"Son état ne nécessite pas une grosse préoccupation, il est conscient et il est bien pris en charge par nos équipes médicales" nous dira le Professeur Ziri.

Il est à noté que la nouvelle de l'hospitalisation de Hannachi a vite fait le tour des chaumières en Kabylie. La Rédaction de El Watan s'associe à tous les fans du club pour lui souhaiter un prompt rétablissement.



>>>Source<<<

Le general MuhEch s'est saoule la gueule apres tous les derniers scandals. La derniere goute venait de Hadi Jesus apres qu'il ait opte pour le fric.

Hannachi a fait un saut au bureau…
Pour la première fois depuis son retour à Tizi, le président Moh Cherif Hannachi a fait un saut, hier matin, au siège du club. Renseignement pris, le boss kabyle est allé régler quelques affaires qui étaient en suspens depuis son hospitalisation à Paris.

… Il est reparti quelques minutes plus tard
Toutefois, Hannachi n’a pas trop tardé au bureau, puisque il est reparti quelques minutes plus tard. D’après certains proches du club, Moh Cherif Hannachi n’est toujours pas en mesure d’assurer la présidence à plein temps, comme il le faisait par le passé. Les médecins lui ont conseillé une reprise progressive.

Le Buteur (29/01/2013)

Le Lapin saute toujours !!!!

Il veut une autre victoire : Hannachi remotive ses troupes

Le retour du président de la JSK au pays était quelque part un porte- bonheur pour les joueurs qui ont réussi à renouer avec la victoire samedi dernier, après deux défaites de suite en championnat. D’ailleurs, Hannachi a fait un crochet vendredi matin à l’hôtel Amraoua, où il a rencontré ses joueurs à quelques minutes seulement de la rencontre JSK- JSS. Bref, à la veille de la rencontre de son équipe devant le MCO, le premier responsable des Canaris a adressé un message aux joueurs, où il leur a demandé de faire le maximum afin de réaliser un bon résultat à Oran. De retour au pays après une hospitalisation à Paris, le numéro un des Jaune et Vert a décidé de reprendre les choses en main, lui qui veut surtout enchaîner une deuxième victoire demain, afin d’améliorer le classement de l’équipe.

Il voulait faire le déplacement à Oran
Selon un dirigeant kabyle, Hannachi, qui souhaite une victoire de son équipe demain devant le MCO, voulait faire le déplacement à Oran rien que pour soutenir et encourager les joueurs. Toutefois, les proches du président kabyle lui ont déconseillé de se déplacer, lui qui vient juste de rentrer au pays après une hospitalisation à Paris.

Après les divergences avec les membres du CA
Khouas-Hannachi, le clash
Après avoir eux quelques problèmes avec les membres du CA, le DG de la SSPA/JSK, Khouas en l’occurrence, s’est accroché mercredi dernier avec le premier responsable du club. Si les autres membres du CA ont fermé les yeux sur quelques anomalies, Hannachi, qui était de retour au pays la semaine passée, n’a pas pu rester les bras croisés après avoir remarqué plusieurs choses qui ne tournaient pas rond au sein de son équipe, lui qui a défendu toujours les intérêts de son équipe sans faire de calculs. Selon les témoignages d’un dirigeant qui était présent au moment de la conversation qui a eu lieu entre les deux hommes, Hannachi n’a pas hésité à hausser le ton avec son DG dont les jours à la JSK sont désormais comptés.

Compétition (01/02/2013)

Hannachi de retour aux affaires du club

Ayant été forcé au repos total pendant quelques jours pour des raisons médicales, le président de la SSPA-JSK, Mohand Cherif Hannachi, reprend progressivement les choses en main notamment la gestion des affaires courantes du club. Ainsi, comme nous l’avons rapporté dans notre édition d’hier, les responsables de la firme Fiat en Algérie se sont déplacés avant-hier à Tizi pour s’entretenir avec les dirigeants kabyles à propos des dernières modalités à accomplir concernant le partenariat. Après une virée sur la pelouse où le DG en personne a fait connaissance des joueurs et membres du staff technique, la délégation officielle a rejoint le siège du club pour rencontrer Hannachi.

Tout est fin prêt, reste la cérémonie officielle
Selon les informations que nous avons recueillies d’un proche du club, la rencontre entre Hannachi et les représentants de Fiat a été fructifiée par plusieurs accords qui visent à permettre à la JSK de mieux se porter à l’avenir. Selon les informations en notre possession, le projet de partenariat est désormais réglé sur tous ses paramètres et ne reste que la cérémonie officielle pour annoncer la nouvelle à la famille de la JSK via les médias.

Elle aura lieu après le match de l’ASO
A propos de la date exacte de la tenue de la cérémonie officielle qu’abritera le siège du club le plus titré en Algérie, on croit savoir d’une source digne de foi qu’elle aura lieu juste après le match que jouera la JSK la semaine prochaine à domicile face à l’ASO.

Le DG de Fiat assistera à la rencontre
Par ailleurs, on a appris aussi que le directeur général de la firme Fiat en Algérie en l’occurrence, Lotfi Admane, a promis au président Hannachi de venir régulièrement rendre visite aux joueurs qu’il souhaite encourager et motiver dans l’optique de voir la JSK revenir en haut du classement le plus vite possible. D’ailleurs, il aurait promis de venir assister au match qui opposera le week-end prochain la JSK à l’ASO.

La commande pour les panneaux publicitaire sera passée cette semaine
Afin de rendre beaucoup plus effectif le partenariat avec le nouveau sponsor Fiat, les représentants de ladite firme de commun accord avec les dirigeants kabyles, il a été convenu de faire passer en début de semaine la commande d’acquisitions de panneaux publicitaires qui seront placés aux abords de la pelouse avant la prochaine sortie des Kabyle à Tizi.

Selon les échos qui me parviennent :
Hannachi serait entrain de chercher un investisseur pour reprendre la JSK à partir de la fin de l'actuelle saison. On parle d'un homme grand d'affaire kabyle......

rachid_as a écrit:Selon les échos qui me parviennent :
Hannachi serait entrain de chercher un investisseur pour reprendre la JSK à partir de la fin de l'actuelle saison. On parle d'un homme grand d'affaire kabyle......

il va regretter Heddad

Hannachi annonce : «Je quitterai la JSK à la fin de la saison»

Comme tout le monde le sait, le président Hannachi, qui est rentré au pays il y a quelques jours, ne se déplace désormais plus au stade. La preuve, il a raté le match face à la JSS, avant de faire l’impasse sur celui face au MCO. Le premier responsable du club kabyle qui s’est rendu, avant-hier, au siège du journal Echourouk et a suivi une mi-temps du match des quarts de finale de la CAN, a tenu à évoquer plusieurs sujets relatifs à son état de santé ainsi que sur son avenir à la tête du club kabyle. C’est ainsi que le premier responsable kabyle révélera : «Sincèrement, il se pourrait que je ne me déplace plus au stade, même la saison prochaine. Je ne vous cache pas que je suis très fatigué et je pense vraiment à quitter la JSK à la fin de la saison. J’ai 63 ans et je suis au service de ce grand club depuis 50 ans. Il est grand temps pour moi de céder ma place.»

«J’ai encore besoin de deux mois de repos total pour me rétablir»
Au sujet de son état de santé, Hannachi dira : «Comme vous le savez, je ne me déplace plus au stade. D’après les médecins, je dois m’astreindre à un repos total de deux mois, afin d’éviter tout risque de rechute.»

«Je retournerai bientôt en France pour effectuer un autre contrôle»
Poursuivant ses déclaration, le premier responsable du club phare du Djurdjura a révélé qu’il retournera en France dans les prochains jours, pour passer un autre contrôle et poursuivre les soins qu’il avait débutés, il y a quelques semaines : «Je vais retourner en France dans les prochains jours pour passer un autre contrôle médical et poursuivre les soins que j’avais entamés dernièrement.»

Le Buteur (05/02/2013)

JSK : Hannachi compte se retirer

De retour de Paris où il a été hospitalisé, le président de la JSK n’a pas repris d’une manière officielle le travail au niveau de son équipe.

Certes, il a fait quelques crochets au siège de son club, mais il n’a pas suivi les deux dernières rencontres de son équipe en championnat. Il n’a assisté à aucune séance d’entraînement depuis son retour au pays, alors qu’il est connu par son grand attachement au club. Le président des Canaris était tout le temps proche de ses joueurs, lui qui assistait à toutes les rencontres de l’équipe à Tizi Ouzou ou ailleurs. Il supervisait souvent les entraînements se rendait aux lieux de mise aux vert des joueurs. Cependant, depuis son retour au pays, le numéro un de la JSK préfère se reposer et prendre uniquement les nouvelles de l’équipe. Au départ, c’est les médecins qui lui ont conseillé de ne pas reprendre le travail et de bien se reposer. Ces derniers jours, Mohand-Chérif Hannachi veut prendre un peu de recul, lui qui a passé deux difficiles saisons. D’ailleurs, selon une source crédible, il a confié à quelques proches qu’il compte se retirer des affaires du club et sérieusement. La fatigue, la maladie, l’âge et les mauvais résultats de l’équipe cette saison en championnat l’ont poussé à songer à se retirer des affaires du club, car il ne pourra pas subir à l’avenir une autre pression de la part des supporters. Reste à savoir maintenant la réaction des membres du CA qui ont déjà refusé sa démission.

Compétition (05/02/2013)

Pour rencontrer les sponsors :
Hannachi a fait une grande tournée hier à Alger

Bien qu’il soit très fatigué, le président de la JSK multiplie ces derniers jours les déplacements à Alger. Soucieux d’assurer un bon fonctionnement à son équipe sur le plan financier, surtout en cette période de vaches maigres, le boss de la JSK a fait une grande tournée hier à Alger. Selon ses proches, Hannachi a rencontré plusieurs représentants des sponsors de son équipe. Il voulait débloquer la situation sur le plan financier, surtout que, ces derniers temps, les joueurs commencent à s’impatienter concernant leur dû, eux qui n’ont pas été payés depuis presque cinq mois maintenant. La résiliation du contrat avec Peugeot a beaucoup pesé dans sur le budget du club, et les dirigeants des Jaune et Vert ont mis beaucoup de temps pour remplacer ce sponsor par Fiat. Bref, avec cette tournée de Hannachi à Alger, les caisses du club devraient être renflouées dans les prochains jours.

Compétition (08/02/2013)

Il a porté bonheur à son équipe après son retour de Paris :
L’absence de Hannachi démotivera-t-elle les joueurs ?

Lors de son hospitalisation en France, son équipe a perdu deux matchs de suite en championnat. De retour au pays à la veille de la rencontre de la JSK devant la JSS, Hannachi a fait un crochet à l’hôtel Amraoua quelques heures avant le début de la rencontre. La présence de Hannachi a motivé les joueurs qui ont réussi à battre la JSS, renouant ainsi avec la victoire. Mieux encore, les camardes de Rial ont enchaîné avec un match nul ramené d’Oran et avec une autre victoire à Tizi Ouzou devant l’ASO. Quelque part, le retour de Hannachi a porté bonheur à l’équipe. Néanmoins, ce dernier est reparti en France pour un contrôle médical à la veille de derby. Reste à savoir maintenant si l’absence de Hannachi démotivera les joueurs, lui qui a su toujours motiver les joueurs dans ce genre de rencontres.

Compétition (16/02/2013)

Yeddar itt karic
Yemmut itt karic

Il revient sur la fusillade qui attend Sir San Jack Costaud dans ses journaux favoris is itt cufun aqandur!

inas-n ay afrux
i haddaden ubwal
ugad nni iruhen
negh wigi mazal
JSKabylie
Yubitt u hamal
inas-n ay afrux

Hannachi : «L’avenir de Sandjak ? On verra…»

Depuis la chute dont il avait été victime à son domicile le 9 janvier dernier, Mohand Cherif Hannachi n’avait plus fait d’apparition publique. Même lors de son hospitalisation en France, il ne recevait que sa famille proche. C’est dire que sa réapparition publique hier à l’hôtel Sheraton où il a participé à l’assemblée générale élective de la FAF a constitué un événement. On peut même dire que le patron de la JSK a été sollicité autant sollicité par les médias que l’a été le président réélu de la FAF, Mohamed Raouraoua. Comme de bien entendu, l’actualité brûlante du club kabyle, avec notamment ce qui est convenu d’appeler «les affaires Maïza et Bellakhdar» et le conflit latent entre l’entraîneur, Nacer Sandjak, et certains dirigeants, a été au cœur des questions qui lui ont été posées.

«Maïza et Bellakhdar ont été sanctionnés, on ne va quand même pas les fusiller !»
Sur les cas de Maïza et Bellakhdar, Hannachi n’est pas d’accord avec les proportions que l’affaire a prises. «Ils ont fauté, certes, mais cela n’est pas resté impuni. Le Conseil d’administration s’est réuni, a examiné les fautes disciplinaires dont ils ont été auteurs et a prononcé des sanctions à leur encontre : une sportive, avec une suspension pour un match pour chacun, et une financière. Qu’est-ce qu’on peut leur faire de plus ? On ne va quand même pas les fusiller ! Ils ont fauté, ils ont été sanctionnés, ils ont payé et la page doit être tournée», a-t-il affirmé, tout en estimant que «l’affaire ne doit pas prendre des dimensions démesurées».

«Son rapport ne nous est parvenu que mercredi, et de France !»
Dans la foulée, il ne manque pas de charger Sandjak coupable, selon lui, de ne pas avoir appliqué la procédure prévue en pareil cas. «L’entraîneur est tenu de présenter un rapport concernant tout manquement à la discipline. Or, il n’a envoyé aucun rapport lorsque l’incident s’était produit. Ce n’est qu’hier (mercredi, ndlr) que nous avons reçu ce rapport et dites-vous bien qu’il a été envoyé de France ! Qu’est-ce que ça veut dire ? Alors qu’il ne vienne pas crier sur tous les toits que rien n’a été fait», a-t-il clamé avec colère.

«Jamais un dirigeant ne s’est immiscé dans son travail»
Le président de la JSK réfute les accusations à peine voilées de sabotage proférées par Sandjak à l’encontre des dirigeants de clubs : «Depuis qu’il est en poste, Sandjak a bénéficié de tous les moyens. Plus même : jamais un dirigeant ne s’est immiscé dans son travail. Je dis bien JAMAIS ! Je ne vois pas de quelle entrave il est en train de parler.» Et d’ajouter : «A la JSK, nous travaillons tous pour l’intérêt du club et il n’y a pas de saboteur. L’objectif de tous est de mettre l’équipe dans les meilleures conditions et d’œuvrer dans son intérêt.»

«Il se plaint trop dans la presse, comme si la JSK était minée par les problèmes»
Les attaques de Hannachi envers l’entraîneur ne s’arrêtent pas là. Il lui reproche également de trop s’afficher dans les médias ces derniers temps. «Il se plaint beaucoup dans la presse et il évoque essentiellement des problèmes. A l’écouter, la JSK est un club miné par les problèmes. Il n’a pas le droit d’agir ainsi. Quand il y a des problèmes à exposer, il y a un cadre organisé pour le faire. Il n’y a pas de problème à la JSK. Les joueurs sont à jour dans leurs salaires et nous avons 80 milliards de centimes dans notre compte. Très peu de clubs sont dans une pareille situation. Donc, il ne faut pas parler de problème, quand il n’y en a pas», a-t-il martelé.

«Je suis malade, je ne peux pas beaucoup parler, mais il ne faut pas que les gens en profitent !»
Le président du club kabyle en avait beaucoup sur le cœur et ça se voyait. Il faut dire que cela fait plus de deux mois qu’il ne s’était plus exprimé dans les médias. D’ailleurs, il reconnaît lui-même qu’il ne peut plus faire face aux médias comme auparavant. «Je suis malade, je suis toujours en convalescence, les médecins m’interdisent de trop parler, mais il ne faut pas que les gens en profitent !» En plus clair, il ne faut pas profiter de son absence pour prendre des décisions à sa place. L’allusion faite à Nasser Sandjak est on ne peut plus claire.

«Le recrutement de Maïza était justifié»
Questionné sur le recrutement de Adel Maïza durant le mercato, lequel s’était fait contre l’avis de Nacer Sandjak, le patron de la JSK s’est expliqué : «Deux défenseurs centraux étaient partis en sélection pour participer à la CAN (Belkalem et Rial, ndlr). Il m’en restait deux, dont un, Khelili, qui était blessé à ce moment-là. Si Benalmri s’était blessé à son tour, nous nous serions retrouvés pendant un mois sans défenseur central de métier. Qu’aurions-nous fait ? C’est vous dire que le recrutement de Maïza était amplement justifié car il visait à pallier ces absences.»

«Il faut trouver des solutions»
Ayant évoqué des conditions de travail devenues difficiles, Sandjak a laissé planer le doute sur son avenir et des informations ont même fait état de la possibilité qu’il quitte ses fonctions, après le match face au CR Belouizdad ce week-end. Questionné à ce sujet, Hannachi s’est montré évasif : «Est-ce qu’il continuera ou est-ce qu’il partira ? Je ne le sais pas. On verra… En tout cas, il faut trouver des solutions», s’est-il contenté de répondre. Peut-être qu’un bon résultat face au CRB et une discussion franche aplaniront les différends.
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Les présidents ont demandé de ses nouvelles, Ghrib en tête
Pour sa première apparition publique depuis l’accident dont il a été victime, Mohand Hannachi a fait l’objet de l’attention de tous les présidents de club présents à l’AG élective de la FAF. Ils l’ont tous salué en demandant de ses nouvelles, avec mention spéciale pour Omar Ghrib, coordinateur du MC Alger, qui est resté un long moment avec lui.
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Ouaked et Boukhari confirmés
Comme annoncé dans une précédente édition, Rachid Ouaked et Saïd Boukhari retrouvent la JS Kabylie. Ils réintègrent le comité directeur pour apporter leur expérience au club. Boukhari retrouve le poste de secrétaire général, alors que Ouaked a toujours été un dirigeant actif.

Le Buteur (08/03/2013)

JSK-Hannachi répond à Sandjak : «Faudra-t-il fusiller Belakhdar et Maïza pour que Sandjak soit satisfait ?»

Présent hier à l’hôtel Sheraton lors de l’assemblée générale élective de la FAF, le président de la JSK, Mohand Chérif Hannachi, a tenu à répondre, par le biais de la presse, à son entraîneur Nacer Sandjak. Le boss kabyle a profité de l’occasion pour aborder plusieurs autres sujets, entre autres le transfert de Belkalem et le mercato d’hiver dernier.

Hannachi a commencé par parler du sujet qui intéresse le plus l’opinion publique, à savoir l’affaire Maïza-Belakhdar. A ce propos, le boss kabyle n’a pas hésité une seconde pour bombarder Nacer Sandjak. «Je trouve que cet entraîneur s’exprime trop dans la presse, notamment depuis que cette affaire Belakhdar-Maïza a vu le jour», dira-t-il avec une ère contrarié. Les dires de Mohand Chérif ont laissé comprendre que pour la direction kabyle, l’affaire Maïza - Belakhdar est classée, contrairement à ce qu’avance Sandjak. «On a traité cette affaire en tant que responsables et on a pris les décisions qui s’imposaient en se basant sur le règlement intérieur du club. La direction n’a pas fermé les yeux, bien au contraire. On a pris nos responsabilités et on a traité l’affaire avec beaucoup de sérieux. Maïza comme Belakhdar d’ailleurs ont été sanctionnés. Affaire classée», lancera Hannachi.

«Ils se sont excusés, ont accepté les sanctions, passons à autre chose»
Toujours à propos de cette affaire, qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive, Hannachi, vraisemblablement très furieux contre les dernières déclarations de Sandjak, ajoutera avec beaucoup d’ironie : «En dépit de ce qu’ils ont fait, Maïza et Belakhdar ont reconnu avoir fauté et ils le regrettent. Ils ont demandé pardon aux dirigeants et aux supporters et ils ont accepté les sanctions qu’on leur a infligées. Que veut-il (Sandjak) de plus ? Faut-il que je les fusille pour qu’il soit satisfait ? Je pense qu’on a trop parlé de cette affaire qui ne valait pas vraiment la peine, de grâce, passons à autre chose.»

«On a attendu son rapport 10 jours, il a fini par l’envoyer de France…»
Il faut dire que Hannachi est furieux contre Sandjak, sinon comment expliquer tout cet acharnement sur un entraîneur qu’il a fait lui-même venir. «Pour traiter cette affaire, il nous fallait le rapport du coach. On l’a donc exigé. On a attendu 10 jours et quand on a vu que le coach n’a rien envoyé, on l’a traité en se basant sur les données qu’on avait et les témoignages des gens présents lors de l’incident. On a pris les décisions qui s’imposaient. Quand Sandjak a envoyé le rapport, lequel je le précise n’a pas été remis en main propre, puisqu’il l’a envoyé à partir de France, on avait déjà clos le dossier. On ne va pas tout de même rouvrir le dossier et le traiter à nouveau !», explique Moh Chérif.

«Il y a un léger mieux, mais ça reste insuffisant…»
Sur les derniers résultats «positifs» de son équipe et qui ont coïncidé avec l’arrivée de Sandjak, Hannachi a fait en sorte de minimiser le travail effectué par son entraîneur en affichant une grimace qui en dit long sur son mécontentement. «C’est vrai que la JSK joue mieux depuis quelque temps. Les résultats enregistrés le prouvent clairement. J’avoue que c’est mieux que lorsque Fabbro était à la tête de l’équipe, mais je dois dire que ça reste insuffisant. On espérait voir mieux que ça, surtout après le recrutement qu’on a effectué en début de saison et lors du mercato hivernal.» Il faut dire que c’est la première fois que Hannachi s’attaque avec une telle virulence à son entraîneur. Aller jusqu’à enlever le mérite de Sandjak dans le retour en force des Canaris en championnat est tout simplement un retrait de confiance, surtout un appel clair à son entraîneur de plier bagage.

«Maïza n’est pas là pour éliminer Belkalem»
Avec deux défenseurs centraux internationaux, Belkalem et Rial, et deux autres internationaux espoirs, Khelili et Benlamri, beaucoup furent étonnés de voir la JSK recruter un cinquième défenseur central et pas des moindres en la personne de Adel Maïza. Ce dernier a quitté l’USMA parce qu’il ne jouait pas. Il est donc clair que sa signature à la JSK était sous la condition d’être titulaire. Sa révolte était donc inévitable après le retour de Rial et Belkalem d’Afrique du Sud. Certains ont expliqué ce recrutement par une volonté du président de se venger de Belkalem en le mettant sur le banc et en lançant Maïza à sa place. Bien sûr, Sandjak a choisi Belkalem et Rial et a mis Maïza, un joueur qu’il n’a pas approuvé, sur le banc, faussant ainsi les calculs du président, de Yarichène et autres frères Benchohra. «Maïza est un défenseur expérimenté. S’il a été recruté, c’est à cause de ses qualités et pas autre chose. Vous savez très bien que Belkalem et Rial sont partis la CAN, il nous fallait donc un remplaçant qui soit en mesure de tenir la baraque, c’est pourquoi on a fait appel à Adel. Je dois vous dire qu’en aucun cas, on a pensé remplacer Belkalem. Adel n’a pas été recruté pour éliminer Belkalem», et d’ajouter : «Vous allez me dire que nous avons Benlamri, mais vous savez tous que Djamel est jeune et impulsif. Il prend beaucoup de cartons jaunes et même rouges. Je ne regrette pas de l’avoir recruté et je reste convaincu qu’il sera d’un très bon apport à notre équipe.»

«Belkalem m’a juré qu’il n’a rien signé avec l’OL»
Appelé à donner son avis sur les informations donnant Belkalem signataire d’un précontrat avec le club français, l’OL, Hannachi a été catégorique. «J’ai eu une discussion très franche avec Essaid au cours de laquelle il m’a assuré qu’il n’a rien signé avec ce club. Essaid est un enfant du club et on sera très content pour lui si jamais il réussit à décrocher un contrat en Europe. La JSK a toujours aidé ses enfants et on fera de même avec Belkalem. Mais je le redis, Belkalem m’a affirmé qu’il n’a rien signé. Je préfère croire mon joueur», nous dira Hannachi. On rappelle que Belkalem sera en fin de contrat en juin prochain, et la JSK ne pourra pas être partie prenante dans cette transaction. On ne voit donc pas le but et l’intérêt de Hannachi à aller demander à son joueur des détails de cette affaire, comme on ne voit pas ce qui pourra pousser le joueur à parler à son président d’un sujet qui ne concerne ni de loin ni de près ce dernier, puisque de toutes façons, Belkalem ne restera pas à la JSK, surtout après ce qui s’était passé entre lui et la direction en début de saison. Ça bien sûr, si la rencontre entre Belkalem et Hannachi a bel et bien eu lieu…

Compétition (08/03/2013)

Hannachi : “Raouraoua doit nous aider durant ce mandat”

Le président de la JS Kabylie, Moh-Chérif Hannachi, a indiqué que “le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, est l’homme idéal pour présider de nouveau la Fédération algérienne de football. Il a beaucoup apporté au football et personne ne peut le nier. Je suis satisfait pour le nouveau mandat qu’il vient de décrocher, je lui demande de se pencher durant ce second mandat sur la situation des clubs professionnels en Algérie ; tout le monde sait que l’État a décidé d’aider quatre clubs, je les félicite.

Raouraoua doit réclamer aux pouvoirs publics que nous sommes aussi concernés par cette aide, il faut qu’on lorgne de notre côté, nous sommes tous des clubs algériens et méritons d’êtres soutenus”, nous dira-t-il.

Et d’évoquer la situation de la JSK : “Sandjak a bénéficié de tous les moyens, jamais un dirigeant ne s’est immiscé dans son travail. Je dis bien jamais, nous ne l’avons pas fait avec les autres pour qu’on le fasse avec lui, on respecte chaque entraîneur qui vient à la JSK. Je ne vois pas de quelle entrave il est en train de parler, on travaille tous pour l’intérêt du club et il n’y a pas de saboteur”, fait-il savoir. Et d’enchaîner : “Je ne comprends pas pourquoi Sandjak parle souvent à la presse et ne parle que des problèmes, si on se fie à lui, la JSK est un club miné par les problèmes. Il n’a pas le droit d’agir ainsi. S’il y a réellement des problèmes, nous sommes un club structuré, il peut le faire avec les membres, je dis bien qu’il n’y a pas de problèmes à la JSK.

Les joueurs sont à jour en ce qui concerne le paiement de leur salaire, où sont donc les problèmes qu’il évoque ?” s’est il interrogé. Abordant le cas des joueurs Belakhdar et Maïza, Hannachi s’explique : “Je suis d’accord avec lui, les deux joueurs ont fauté, mais ne sont pas restés impunis. Le conseil d’administration s’est réuni et a pris en compte cela, on a prononcé des sanctions sportives à leur encontre et une suspension d’un match pour chacun”, conclut Hannachi.

Liberté (09/03/2013)

Mohand-Chérif Hannachi, Président de la JSK : “Je déplore l'attitude de Sandjak”

Rencontré en marge de l'assemblée générale élective de la FAF, jeudi dernier à l'hôtel Sheraton-Club des Pins, le président de la Jeunesse sportive de Kabylie, semblait remonté contre l'attitude son entraîneur, Nasser Sandjak, notamment pour ce qui concerne l'affaire d'indiscipline du duo Maïza-Belakhdar, qui continue à faire du bruit au sein des médias. Il a répondu sans ambages à nos questions pour que les supporters du club phare du Djurdjura puissent connaître sa position par rapport à cette question et d'autres points encore touchant à son équipe.

Tout d'abord, comment se porte Hannachi sur le plan santé ?
Dieu merci, mon état de santé s'améliore progressivement. Je suis toujours sous traitement… les comprimés m'accompagnent désormais dans mon quotidien (rire). J'ai traversé une période difficile après ma convalescence en France. Il n'est pas facile pour un homme actif comme moi de se voir contraindre de rester au repos et d'observer les recommandations du médecin. Mais je m'y fais parce que rien ne remplace la santé.

On vous souhaite encore une fois un prompt rétablissement…
Merci beaucoup à vous. Je tiens d'ailleurs, à cette occasion, à présenter mes remerciements à tous ceux qui m'ont apporté leur soutien durant ma convalescence et qui n'ont pas cessé de le faire. Comme vous le savez, c'est dans les moments difficiles que l'on reconnaît les siens.

Beaucoup de bruit a été fait autour de l'affaire des joueurs Maïza et Belakhdar qui ont été responsables d'actes d'indiscipline envers leur entraîneur, parce qu'il ne les a pas alignés face à l'USMA. Que pensez-vous de cette histoire ?
Un président de club ne peut jamais se réjouir d'une telle chose. C'est clair ! Seulement, je n'ai pas trop aimé la manière dont cela a été traité par la presse qui, je crois, en a trop fait. Mais là, j'ouvre une parenthèse pour dire que c'est l'entraîneur Nasser Sandjak qui leur a facilité la tâche et qui est, à mon sens, à l'origine du fait que cette affaire qui est en train de faire les choux gras de la presse.

Comment cela ?
Franchement, je déplore vivement son attitude. Chaque jour, il s'étale sur les colonnes des journaux en faisant des déclarations, qui n'apporteront rien de bon à l'équipe. À la JSK, il y a un président et des dirigeants. Lorsqu'un problème survient, on doit le régler au sein des structures du club et pas en balançant tout ce qui se passe en club à tout le monde, comme il le fait. À l'entendre, on croirait que la JSK est un club à problèmes… un club de quartier même. Il aurait été plus raisonnable de sa part d'agir seulement à l'intérieur du club.

Selon nos informations, il vous a appelé à plusieurs reprises sans que vous daignez lui répondre, et n'aurait pas trouvé d'interlocuteur pour régler ce problème d'indiscipline. Pourquoi ne lui répondez-vous pas lorsqu'il vous appelle ?
Comme tout le monde le sait, je suis malade et je me soigne. Le médecin m'a recommandé de rester loin de toute pression, qui pourrait m'être néfaste au vu de mon état de santé. Même le portable, je le ferme le plus souvent parce que le médecin me l’a demandé. Regardez, il est fermé (ll nous le montre). Cela fait un bon moment que je ne vais plus au stade ni à l'entraînement d'ailleurs, à cause cela. Il y a des dirigeants sur place qui s'occupent de l'équipe. Sandjak n'avait qu'à les saisir dès le départ en rédigeant un rapport sur cette affaire comme le veut l'usage, afin d'amener la commission de discipline à faire son travail. Il ne l'a fait qu'après dix jours, lorsqu'on le lui a demand.

D'accord, seulement, d'après vous, Maïza et Belakhdar ne méritaient-ils pas une sanction exemplaire après leur comportement ? Sandjak n'avait-il pas le droit de veiller à la discipline du groupe ?
Personne ne dit le contraire. Belakhdar et Maïza n'avaient pas à remettre en question les choix du coach. La commission de discipline les a sanctionnés, en les suspendant pour un match, en plus d'une sanction financière. Malgré cela, Sandjak a continué à parler. Que veut-il ? Qu'on les passe à la guillotine ? Certes, c'est le premier responsable technique de l'équipe, mais ce n'est pas à lui de faire la loi au sein du club. Qu'il se contente de n'assumer que ses prérogatives, ni plus ni moins. Personne ne cautionne l'indiscipline au sein de la JSK, pas seulement Sandjak.

Il dit que vous avez recruté Maïza sans qu'il ne soit consulté…
Maïza est un excellent joueur. Après le départ de Rial et de Belkalem à la CAN pour un long mois, on se devait de renforcer l'axe défensif de notre équipe. C'est pourquoi on l'a fait venir.

Mais, vous aviez déjà Khelili et Benlamri, non ?
C'est exact, mais qu'allions nous faire si l'un de ces deux joueurs s'était blessé ou en cas de suspension ?

Cela dit, à présent la venue de Maiza constitue un vrai casse-tête pour le coach depuis le retour de la paire Belkalem-Rial …
Tous les joueurs qui portent le maillot de la JSK sont-là pour défendre les couleurs du club. Il s'agit de professionnels qui sont payés pour se mettre au service du club. Ce n'est pas aux joueurs de décider de faire partie ou non de l'équipe. C'est du ressort de l'entraineur de composer son onze et tout le monde doit respecter ses choix. C'est la règle du football.

Des informations font part du non paiement des salaires des joueurs depuis cinq mois. Qu'en est-il au juste ?
Je démons formellement ces informations infondées. Nos joueurs sont payés jusqu'au dernier centime et je suis en train de leur préparer les salaires du mois de mars. Nous n'avons pas de problèmes financiers à la JSK.
Le club dispose de 80 milliards. Montrez-moi le club qui en a autant en ce moment.

Nombreux sont ceux qui estiment que la JSK n'est plus ce qu'elle était en tout point de vue. Votre avis ?
La JSK restera la JSK, quoi qu'en disent certains. Nous demeurons un club très sérieux et très bien organisé sur tous les plans. Je suis bien placé pour le savoir. Cela fait 50 ans à présent que je suis dans le football depuis que j'ai signé ma première licence en étant enfant. Gérer un club n'a jamais était une mince affaire, et moi, je me suis toujours donné à fond pour défendre les intérêts de la JSK. Il est difficile de rester toujours au sommet. Cela est le cas de grands clubs européens aussi. Les joueurs ont changé et l'environnement n'est plus le même. Ce que je déplore, c'est le fait que ceux qui parlent beaucoup ne sont même pas capables de ramener un centime au club. Ils ne font que parler dans le vide. J'ai toujours dit que celui qui est capable de servir la JSK, de défendre ses intérêts et de lui assurer son avenir sera le bienvenu. Malheureusement, dans la réalité, ceux qui parlent trop, on ne les voit jamais lorsqu'il s'agit de passer à l'action.

Vous parliez du titre à l'intersaison après avoir assuré le recrutement, mais c'est encore une fois une saison ratée pour la JSK. Votre sentiment ?
Je le reconnais bien. Personnellement, j'agis toujours dans le sens d'amener la JSK vers le positif. Nous avons fait de notre mieux durant l'intersaison pour avoir une équipe qui aille à la conquête du titre de champion. Hélas, le football n'étant pas une science exacte, la réalité du terrain ne nous donne pas toujours raison. Cela a marché moyennement pour notre équipe jusque-là. Que voulez-vous que je vous dise ? Je suis moi-même déçu de cette situation.

Malgré votre relation tendue avec Sandjak, ce dernier réalise pour le moment de bons résultats qui ont permis à l'équipe de remonter au classement. Va-t-il pour autant poursuivre sa mission à la JSK ?
Notre équipe a réagi un peu tardivement pour obtenir de bons résultats. Sandjak réalise des résultats positifs, notamment lors des cinq derniers matches, mais pour le reste, je ne sais pas encore ce qu'il en adviendra. On verra ça incessamment. Je dis qu'il doit cesser de trop parler dans les médias et se consacrer plutôt sur son travail. Parce que cela nuit au club. On dirait qu'il n'y a que des problèmes au sein de l'équipe. Ce qui n'est pas le cas, même si comme ça peut arriver dans une équipe de foot, un joueur qui ne joue pas pète les plombs ! Dans l'ensemble, nos joueurs sont des fils de famille. J'informe, pour terminer, des retours au sein de l'équipe dirigeante du club de Saïd Boukhari en tant que secrétaire général du club et de Mustapha Ouaked.

Une dernière question : la plupart de ceux qui connaissent le club estiment que le mal de la JSK se trouve au sein de votre entourage…
Quel entourage ? Je travaille avec ceux qui mettent la main à la poche et qui se mettent au service de la JSK lorsque le club a besoin d'eux et non pas avec ceux qui ne font que parler et critiquer dans le vide, comme je vous l'ai dit tout à l'heure. Que ceux qui disent cela viennent aider le club !

El-Moudjahid (10/03/2013)

mes amis c'est le mement que ce hennachi quitte la tete de la jsk , parceque la jsk et grande et la jsk merite un tres grand president ,

juba1 a écrit:mes amis c'est le mement que ce hennachi quitte la tete de la jsk , parceque la jsk et grande et la jsk merite un tres grand president ,

Bienvenu à toi @Juba1 !

JSK-Hannachi : «Les caisses sont vides et Sandjak doit patienter»

Le séjour du président Hannachi à l’étranger n’a duré finalement que deux jours. Il est rentré en effet au pays avant-hier.

Même s’il a décidé de prendre du recul pour ne se consacrer qu’à sa santé, il fait des mains et des pieds pour trouver l’argent nécessaire non seulement pour régulariser la situation financière de ses joueurs, mais aussi de son entraîneur. Mais toutes ses tentatives de renflouer les caisses du club sont restées vaines. On a appris même d’une source autorisée qu’un sponsor, dont on se taira le nom, a refusé carrément de lui venir en secours en cette période des vaches maigres. Le hic est que le maillot du club est toujours floqué par le sigle de ce sponsor qui a beaucoup aidé la JSK ces dernières années. Mais pour des raisons qu’on ignore pour le moment, ce sponsor reste indifférent aux appels incessants du président Hannachi. Résultat, les joueurs n’ont pas encore perçu les primes des matches gagnés lors de la phase aller, et cela sans parler des salaires. Idem pour Sandjak qui devra percevoir les trois dernières mensualités de son contrat en ce mois de mars. En tout, la direction lui doit plus de 700 millions de centimes. Hannachi, qui ne sait plus où se donner de la tête, a confié à ses collaborateurs que les caisses du club sont vides et que Sandjak doit patienter jusqu’à ce que l’argent des autres sponsors rentre dans les caisses. L’un des actionnaires de la SSPA/JSK qui a toujours mis la main à la poche pour payer les joueurs à l’intersaison ou durant la première manche du championnat n’est pas du tout disposé à payer les joueurs et l’entraîneur en cette phase retour. Bien que le président Hannachi ait déclaré dernièrement que la JSK est à l’abri de tout besoin, la réalité est autre. C’est pour cela qu’il compte sur la compréhension de son entraîneur. Dans le contrat de ce dernier, il est mentionné noir sur blanc qu’il empochera les trois derniers mois de son contrat avant la fin mars. Mais comme le président Hannachi est en mauvais terme avec son entraîneur, il chargera sûrement l’un de ses collaborateurs pour annoncer la nouvelle à Sandjak. La situation financière du club ne prête pas à l’optimisme. La preuve, les deux médecins limogés par le président Hannachi la semaine dernière n’ont même touché leur argent. Pourtant, le salaire de chacun d’eux ne dépassait pas 10 000 DA. Afin de subvenir à tous les besoins du club, le président de la JSK doit trouver d’autres sponsors, ce qui n’est pas évident en ce moment.

Compétition (12/03/2013)

Quel miracle !

On est passé de 80 milliard à 0 centime en l'espace de deux déclarations !!

hannachi president ? c'est de l'importe quoi

JSK : Le fossé se creuse entre Hannachi et Yarichène

Le président de section, Yazid Yarichène, se fait de plus en plus rare dans l’entourage du club kabyle. Après s’être éclipsé pendant des semaines, Yarichène a refait une brève apparition le 4 mars dernier, à l’occasion du match amical opposant le NRB Réghaïa à la JSK. Par la suite, il n’a plus donné signe de vie. Contrairement à ses habitudes, Yarichène n’assiste même plus aux entraînements de son équipe. Une absence bizarre qui n’a pas laissé indifférents certains dirigeants du club. Aux yeux de plusieurs observateurs, ces absences à répétition ont creusé l’écart entre lui et le président Moh Cherif Hannachi. On sait déjà que les deux hommes se sont accrochés verbalement il y a des mois, mais les relations avaient repris par la suite. Mais pour cette fois, il semblerait que le courant ne passe plus.

Il lui reproche d’avoir été absent lors de l’affaire Maïza et Belakhdar
On l’aura compris, Hannachi reproche à son président de section son manque de disponibilité pour le club, surtout lors des conflits. Aux yeux de certains, le boss kabyle n’a pas apprécié que Yarichène ne se soit pas impliqué dans l’affaire Belakhdar et Maïza. Tout le monde sait que le défenseur kabyle a quitté le club 48h avant le match de l’USMA. Au moment des faits, Yarichène devait être sur place. Sa présence aurait peut-être apaisé la tension. S’il avait eu ses dirigeants à côtés de lui, Maïza aurait peut-être changé d’avis.

La venue de Ouaked lui a fait de l’ombre
L’autre indice de taille qui révèle tout le malaise entre Yarichène et Hannachi est la nomination de Mustapha Ouaked comme premier responsable de la catégorie des seniors. Certains affirment même qu’il a été nommé officiellement comme président de section à la place de Yarichène. Il est clair que la venue de Ouaked a fait de l’ombre à l’ex-bras droit de Hannachi, qui, rappelons-le, était chargé du recrutement l’été dernier et lors du mercato hivernal.

Le Buteur (22/03/2013)

ya si barzidane , depuis des année et des année la jsk était un exemple pour les club algérien , et un cauchemar pour les équipes africain , et la jsk de l'poque ce fait respecte par tous les club d'afrique avec des joueur de valeur et de nif , monsieur barzidane cette jsk que tu entrain de brisie veut un changement , et en demande pour quoi tu ataché comme ça a cette pauvre jsk qui veut respire de l'aire naturel , est ce que tu es conssiont monsieur barzidane que la jsk et entrain de disparu? reviens a la raison monsieur barzidane tu entrain de jouer le maintien depuis des année avec des jouer de niveau bat et qui entrain de sallire la dignité de la kabylie , en te demande de laisse la jsk au investiseure de la kabylie qui peuve rendre la jsk a ca place , MONSIEUR BERZIDANE NE ME DIT PAS QUE TU VA MOURIR SI TU QUITTE LA JSK COMME UN POISSON DONS L'EAU et vive la kabylie

Hannachi : «Ne vous inquiétez pas : vous serez tous régularisés dans les prochains jours»

Les Canaris, qui poursuivent leur préparation du match du MCA, semblent déterminés à réaliser une belle performance le week-end prochain au stade du 5-Juillet. C’est, du moins, ce qui se dégage de l’ambiance qui anime les joueurs depuis plusieurs jours aux entraînements. Les supporters attendent beaucoup de leur équipe, notamment en cette fin de saison où il est question d’arracher une place en haut du tableau à défaut d’un titre. A en croire une source digne de foi, le président de la SSPA-JSK, Mohand Cherif Hannachi, qui mesure l’importance du rendez-vous a jugé nécessaire de rencontrer ses joueurs à quelques jours du clasico. Selon nos informations, Hannachi a tenu à parler aux joueurs sur plusieurs choses, non sans les rassurer sur leur situation financière. Après Ouaked et Boukhari, Hannachi a tenu le même langage envers ses joueurs qu’il a rassurés : « J’ai constaté ces derniers jours que certains d’entre vous sont inquiets concernant l’argent. D’abord, il faut que vous sachiez qu’à la JSK on n’a pas pour habitude de ne pas payer nos joueurs. Ne vous inquiétez-pas : vous serez tous régularisés au dernier centime, dans les prochains jours», a-t-il déclaré aux joueurs.

« Concentrez-vous sur le reste du parcours. On a encore une fin de saison ardue »
Et afin de remobiliser son groupe en prévision des six matches qui restent à jouer d’ici la baissée du rideau du championnat, on a également appris que le président Hannachi est revenu sur le sujet en disant : «Je vous appelle à vous concentrer au maximum sur le reste du parcours. Nous avons encore six matches à jouer d’ici la dernière journée, la fin de saison est ardue et chaque point récolté aura son importance au décompte final. Vous devriez donc faire preuve de beaucoup de détermination sur le terrain, être assidus aux entraînements. Votre mission consiste à récolter le maximum de points et de notre part, votre droit ne sera pas mis de côté. »

« J’attends de vous une bonne réaction face au MCA »
Avant de rebrousser chemin et laisser au staff technique le soin de reprendre les entraînements, à une semaine d’un grand match qui polarise déjà toute l’attention, Hannachi évoque le clasico et dira à ce propos : « Vous avez encore une semaine de travail avant le match du MCA. Vous devez bien travailler car le match est capital et son résultat ne doit pas nous échapper. On doit bien gérer notre sortie ; faites plaisir à nos supporters qui souhaitent au même titre que nous, de voir la JSK terminer sur une place sur le podium. »


Il fait des visites régulières au stade de 50000 places
Selon une source digne de foi, on a appris que le président de la SSPA-JSK, Mohand Cherif Hannachi, effectue depuis quelques jours des visites régulièrement sur le chantier du nouveau complexe de 50000 places afin de s’enquérir lui aussi de l’état d’avancement des travaux. Pour rappel, il y a quelques jours, le wali de Tizi Ouzou est revenu du chantier sceptique de voir le projet livré le mois d’avril 2014. Selon lui, la cadence est ralentie et les effectifs sont insuffisants pour un tel projet d’une grande envergure.

Le Buteur (01/04/2013)

JSK-Hannachi : «Je veux un grand match samedi»

Le président Hannachi devait se rendre hier à Paris où il devra séjourner pendant quelques jours avant de regagner le pays. Mais avant son départ, il a remis une lettre au secrétaire de la section football, Saïd Boukhari, afin de la lire aux joueurs.

Si la semaine dernière, il a reçu quelques éléments dans son bureau, cette fois, il s’est adressé à tous les joueurs. Le président Hannachi innove en matière de communication, puisqu’il a chargé Boukhari de transmettre son message aux joueurs. Ces derniers, qui s’attendaient à ce qu’il vienne à eux pour leur expliquer la situation que traverse le club, n’en revenaient pas lorsque Boukhari les a appelés à une réunion pour leur annoncer que le président Hannachi l’a chargé de leur lire la lettre qu’il lui a remise avant son départ en France.

«Ne vous inquiétez pas pour votre argent, vous l’aurez dès que l’argent des sponsors rentrera dans les caisses»
Le premier point abordé au cours de la réunion est la crise financière qui secoue le club depuis le début de la phase retour. Le président Hannachi a fait savoir à ses joueurs qu’ils seront payés dès que la situation financière du club le permettra. Le secrétaire de la section football, Saïd Boukhari, a promis, il y a quelques jours de cela, aux équipiers de Mokdad qu’ils percevront leur argent au mois d’avril. Toutefois, vu que les caisses du club sont vides, la direction n’a pas tenu ses engagements. Et pour éviter des tensions à quelques semaines du baisser du rideau, Hannachi a chargé Boukhari de rassurer les joueurs. «Ne vous inquiétez pas pour votre argent. Vous serez payés dès que les caisses du club seront renflouées par l’argent des sponsors. C’est la première fois que la JSK est confrontée à cette situation, mais la direction tiendra ses engagements. La cause de ce retard est due au non renflouement des caisses du club par l’argent des sponsors. Personne d’entre vous ne sera lésé», leur a-t-il annoncé.

«J’ai pris du recul, car mon état de santé ne me permet pas de supporter la pression»
Depuis qu’il a rendu visite aux joueurs à l’hôtel Amraoua, juste après son retour de Paris, le président Hannachi ne les a pas rencontrés. Il n’a reçu que quelques-uns dernièrement dans son bureau. Mais vu que les joueurs commençaient à s’impatienter pour leur argent et que la plupart d’entre eux ont souhaité le rencontrer pour faire le point avec lui, le président Hannachi a estimé qu’il est indispensable de leur expliquer son absence aux entraînements et aux matches de l’équipe. Il n’a assisté à aucune rencontre de son équipe depuis le début de la phase retour. Cela a intrigué plus d’un, d’autant que le président Hannachi s’est déplacé le 16 mars dernier jusqu’à Aïn Témouchent pour assister à la rencontre de l’équipe nationale des U20 face au Bénin. «J’ai pris du recul, car mon état de santé ne me permet pas de supporter la pression. J’ai besoin de repos et c’est pour cela que je ne viens plus au stade», leur a-t-il expliqué. Son argument n’a pas vraiment convaincu les joueurs, lesquels préfèrent s’entretenir directement avec lui sur leur dû que de passer par Boukhari qui n’est qu’un employé du club.

«Vous devez réussir un grand match face au MCA»
Redoutant que son équipe ne réussisse pas une belle fin de saison comme il le souhaite, le président Hannachi demande à ses joueurs de garder leur concentration jusqu’à la fin du championnat. «La saison n’est pas encore terminée. Je compte sur votre motivation et votre détermination pour que l’équipe enregistre de bons résultats lors des matches restants. Le match face au MCA est important pour la suite du parcours et vous devez réussir un grand match pour prouver que la JSK se porte bien. J’ai confiance en vous, car je sais que vous avez les moyens pour réussir un bon résultat», leur a-t-il demandé.

Le match de ce samedi sera celui de la revanche pour les Canaris. Battus à deux reprises par le Doyen cette saison, les poulains de Sandjak sont déterminés à prendre leur revanche. Ils n’ont pas encore oublié la défaite concédée à Tizi Ouzou et l’élimination en coupe d’Algérie. Le président Hannachi, qui ambitionne toujours de finir l’exercice actuel parmi les cinq premiers, ne veut pas que son équipe rate le clasico face au MCA. C’est une question de prestige et comme le match sera retransmis en direct sur le petit écran, Hannachi ne veut pas d’une autre déception surtout que l’équipe reste sur une contre-performance à domicile. Il a tenté de motiver son groupe à sa manière en s’adressant à eux à 72 heures de la rencontre face au Mouloudia d’Alger. Reste maintenant à savoir si son discours aura l’effet escompté ou pas.

Compétition (04/04/2013)