[Débat] Moh Cherif Hannachi (Président) [Part 2]

JSK-Hannachi : Etait-ce le bon moment pour faire ces déclarations ?

Tout le monde aura remarqué la sortie médiatique du président kabyle Moh-Chérif Hannachi. Il a rassuré les joueurs mécontents en leur assurant que Sandjak ne sera pas maintenu à son poste.

Cette sortie inattendue à la veille d’un match important face au MCA n’a pas été du goût de certains qui ont vu dans les déclarations du président une sorte de pique envers le coach, un défi et une affirmation. En effet, on assure côté kabyle que le président n’attend que la fin de saison pour se séparer de son entraîneur. D’ailleurs, Hannachi trouve que le seul moyen pour faire baisser le vent de contestation est de se séparer de son coach afin de ne pas voir les joueurs plier bagage et partir sous d’autres cieux. Il faut dire que les problèmes entre certains joueurs et l’entraîneur ont eu de fâcheuses conséquences sur le groupe. Ces affaires Belakhdar et Maïza sans oublier la mise à l’écart de Bouchouk ont fait réagir les responsables qui ont décidé de réagir et ne pas rester les bras croisés d’autant plus que l’équipe s’est fixé comme objectif de finir parmi les équipes de tête.

Hannachi a pris partie avec ses joueurs
Tout le monde sait qu’entre Sandjak et Hannachi, ce n’est pas le grand amour. Depuis quelques semaines, le président ne cesse de critiquer les méthodes de son entraîneur, remettant en cause ses décisions d’accorder beaucoup de repos aux joueurs. Avec sa sortie d’hier, Hannachi prend partie avec ses joueurs et lâche encore un peu plus son entraîneur alors que la saison n’est pas encore finie. La question qui se pose est la suivante : pourquoi Hannachi a-t-il choisi ce moment pour sortir de telles déclarations ? Ne pouvait-t-il pas attendre la fin de saison ou bien seulement la fin du match face au MCA ? En tous les cas, ce n’est pas la meilleure manière d’encourager son équipe.

Compétition (07/04/2013)

JSK : Hannachi au pied du mur

Le président Hannachi n’a certainement pas oublié l’engagement pris à la fin du mois de novembre dernier en déclarant sur une chaîne de télévision que si Sandjak ne trouve pas de solutions, c’est lui qui partira.

A ce moment, c’était le grand amour entre lui et Sandjak. Mais moins de cinq mois plus tard, il le limoge à partir de Paris. Le président de la JSK ne doit pas avoir la mémoire courte, car il s’est engagé devant de nombreux supporters à partir en cas d’incapacité de Sandjak à trouver les solutions. Mais comme il fallait s’y attendre, l’ex-coach de Noisy-le-Sec a été débarqué de son poste pour insuffisance de résultats, alors que lui commence d’ores et déjà à parler de la saison prochaine. Le président Hannachi qui a l’art de dire une chose et son contraire tentera évidemment de se justifier encore une fois en réaffirmant qu’il s’est trompé sur son entraîneur. Même si Sandjak a failli dans sa mission, il faut admettre que le président de la JSK est l’unique responsable de la situation actuelle. C’est lui qui a fait le recrutement d’intersaison et c’est lui qui a promis le titre aux supporters kabyles avant l’entame du championnat. Mais au lieu d’assumer les responsabilités de l’échec, le président Hannachi usera de faux arguments comme à son habitude pour faire porter le chapeau aux autres. Le changement tant réclamé par le public n’aura pas lieu. Il continuera à faire appel à des figurants pour faire accroire que la JSK dispose d’un vrai conseil d’administration. Mais la réalité est autre. D’ailleurs, c’est le retour à la case départ. Il débarque Sandjak de son poste pour avoir la mainmise sur l’équipe. La direction refuse de voir la réalité en face. Il faudra une thérapie de choc pour que la JSK se relève. Le président Hannachi se trouve dos au mur. Il collectionne les échecs ces dernières années et c’est le club qui en pâtit d’une année à l’autre. La situation devient de plus en plus intenable et si les dirigeants n’œuvrent pas pour changer les choses, c’est l’image de la JSK qui se dégradera davantage. Les dirigeants n’ont pas tiré les leçons de leurs erreurs précédentes et c’est le club phare de la Kabylie qui en paye les frais.

Les supporters en colère contre Hannachi
La décision de la direction de faire limoger le coach Nacer Sandjak n’est pas du goût des supporters kabyles. En effet, les supporters sont très en colère contre la direction qui, selon eux, est derrière tous les problèmes que vit le club. «Cette direction ne cesse de bricoler en limogeant un entraîneur derrière l’autre. Sandjak est un entraîneur qui fait du bon boulot et je ne sais pas pourquoi on le limoge alors qu’il a réussi à ramener la stabilité alors que le club a joué le maintien deux saisons de suite», nous a déclaré un chauffeur de taxi. Un étudiant en droit ira dans le même sens. « La gestion catastrophique des dirigeants a conduit le club vers la dérive. Pour preuve, hier seulement on jouait les coupes d’Afrique et aujourd’hui on fait la fête car on a battu la JS Saoura avec tout notre respect à ce club. C’est pour vous dire que la JSK est devenue un club quelconque » a-t-il déclaré. En outre, les supporters reprochent à la direction le bricolage en changeant à chaque fois l’entraîneur et les joueurs, ce qui a créé l’instabilité. En plus de cela, les fans accusent la direction d’être derrière les cas disciplinaires vu qu’elle n’était pas sévère avec les joueurs qui commettent des fautes graves à l’instar de Belakhdar qui s’est accroché avec son entraîneur lors du match face à l’USMA devant les caméras de la télévision même. En résumé, le limogeage de Sandjak n’est pas passé inaperçu chez les fans qui ont exprimé leur soutien à l’ex-sélectionneur national.

Ils sont très déçus de la situation de la JSK
Si les fans sont décidés à monter au créneau et s’attaquer à la direction, c’est que cela démontre leur grande déception. En effet, la situation critique de la JSK a touché les fans qui ont réagi en réclamant même le départ des dirigeants. Ces derniers, selon eux, ne méritent pas de diriger un grand club comme la JSK qui était l’un des meilleurs clubs en Afrique, il y a quelques années seulement de cela.

Ils comptent boycotter l’équipe
Ce n’est un secret pour personne, la JSK a perdu la majorité de ses supporters vu le parcours catastrophique de l’équipe ces dernières années. En dépit des résultats enregistrés par Sandjak, l’équipe a réussi à récupérer une partie de ses fans, mais il semble que cela ne va pas perdurer. En effet, selon les discussions des fans, ces derniers comptent boycotter l’équipe lors des prochaines confrontations. Ainsi, c’est le club qui sera le grand perdant en attendant que les choses s’améliorent comme le souhaitent les vrais amoureux du club.

Compétition (09/04/2013)

JSK : Hannachi est déjà à la recherche d’un entraîneur

Le président Hannachi pense d’ores et déjà à la saison prochaine. 72 heures après le renvoi de Sandjak, la direction songe à recruter un entraîneur étranger capable de mener la JSK vers d’autres consécrations.

Plusieurs entraîneurs ont déjà été proposés, mais les dirigeants n’ont pris aucune décision pour l’instant. Ils ont le temps devant eux pour choisir le coach qui convient à la JSK. Mais ce n’est pas l’unique raison, car il faut souligner que les caisses du club sont vides et que tant que la direction ne dispose pas de moyens financiers, elle ne peut engager des pourparlers avec des entraîneurs susceptibles de succéder à Sandjak. L’empressement de la direction à engager un entraîneur avant la fin du championnat est dicté par son souci de réussir son intersaison. Il décidera lui-même des postes à pourvoir et des joueurs à libérer. La saison dernière, le président Hannachi avait fait son recrutement avant même d’engager un coach. Résultat, l’équipe n’a toujours pas assuré son maintien à cinq journées du baisser de rideau, et ce, malgré les milliards déboursés par la direction.

Il refuse Geiger
Le premier entraîneur à être proposé au président Hannachi par ses proches collaborateurs est Alain Geiger. Bien que ce dernier ait réalisé de bons résultats avec les Canaris en Champions League africaine avant de remporter le doublé avec l’ESS, le président de la JSK ne veut plus de lui. Il aurait confié à ses proches que Geiger ne répond pas au profil qu’il recherche. Le coach suisse est sans club depuis plus d’une année et il se dit prêt à revenir dans le cas où la direction le sollicite. Les supporters l’estiment beaucoup, mais le président Hannachi ne veut plus de lui. On ne sait même pas ce qu’il lui reproche. Ce qui est certain, c’est que Geiger ne laisse jamais personne s’immiscer dans son travail.

Il veut un entraîneur d’envergure comme Roger Lemerre
Persuadé qu’avec un grand entraîneur, il gagnera aisément le championnat, le président Hannachi s’est lancé le défi d’engager un coach d’envergure. La direction s’abstient de citer le moindre nom, mais elle confirme néanmoins qu’elle a été destinataire de plusieurs CV. Le salaire de Sandjak était de 220 millions par mois et le président Hannachi affirme qu’il peut assurer les services d’un grand entraîneur étranger pour moins de 30 000 euros par mois. Mais ce refrain revient à chaque fois que l’équipe va mal. Ce n’est pas évident que la direction recrute un entraîneur de renom, surtout lorsqu’on sait que les caisses du club sont vides.

Compétition (11/04/2013)

JSK-Hannachi l’a décidé : Pas de nouvel entraîneur cette saison

Amrouche reste en poste
Alors que ces derniers jours plusieurs noms d’entraîneurs ont été cités du côté de la JSK, le premier responsable du club n’est pas pressé pour nommer un successeur à Sandjak. Encore mieux et c’est à présent officiel, le bosse de la JSK a décidé de ne pas recruter un nouveau coach cette saison. Amrouche donc terminera la saison à la tête de la barre technique des Kabyles. Il faut dire que la décision de boss des canaris est murement réfléchie d’autant plus que les caisses du club sont actuellement vides. En fait Moh Cherif Hannachi préfère attendre la fin de la saison pour engager un entraîneur pour le prochain exercice d’autant plus que son équipe n’a rien à perdre et rien à gagner lors des cinq matchs restants du championnat.

Certes, quelques membres du CA ont voulu engager un entraîneur dès maintenant afin de bien préparer la saison prochaine, cependant, Hannachi a imposé son veto pour reporter la venue de l’entraîneur à la fin de la saison. D’ailleurs, et selon ses proches, Hannachi veut engager un grand entraîneur étranger et l’engagement de cet entraîneur de renom exige beaucoup de moyens sur le plan financier alors que la JSK traverse, ces derniers temps, une période de vaches maigres. C’est la principale raison d’ailleurs qui a poussé Hannachi à prendre tout son temps pour engager un nouvel entraîneur. Là aussi quelques noms ont été cités, pour l’instant le président de la JSK n’a toujours pas réfléchis quand au nom de celui qui prendra en main l’équipe la saison prochaine.

Compétition (12/04/2013)

Hannachi tire à nouveau sur Sandjak
«Il n’a aucun mérite dans les bons résultats de l’équipe»

Après une absence qui a duré plusieurs semaines, en raison du conflit l’opposant à son ex coach Nacer Sandjak, le président Hannachi a assisté, hier, à la séance d’entraînement de son équipe. C’est à partir tunnel qu’il a suivi l’entraînement pendant une demi-heure, avant de quitter les lieux. Intervenant, hier, sur les ondes de la chaîne 3 de la radio nationale, le chairman kabyle estime que son équipe travaille dans de bonnes conditions et que c’était l’ex entraineur, Nacer Sandjak, qui avait créé la zizanie au sein du groupe. « Le groupe travaille dans une grande sérénité, preuve en est, la bonne ambiance qui a caractérisé la séance dirigée par Amrouche et Kherroubi. Tous les joueurs, à part les blessés, étaient présents. C’est pour vous dire que tout marche bien au sein club. C’est l’ex entraineur qui est responsable des cas disciplinaires, car il a semé la zizanie dans l’équipe en créant le régionalisme. Il était le maître à bord et c’est lui qui assume tout ce que le club a vécu », a déclaré le chairman kabyle. En dépit des bons résultats enregistrés par Nacer Sandjak, Hannachi a surpris plus d’un en déclarant que la JSK n’a pas progressé. « Il n’a rien fait pour le club et l’équipe n’a pas progressé. Il n’a aucun mérite, c’est plutôt les autres clubs qui ont régressé, ce qui a permis à la JSK d’enregistrer ces résultats », a ajouté Hannachi. Abordant le sujet du nouvel entraineur, Hannachi a affirmé que sa préoccupation pour le moment est de réunir l’argent nécessaire pour faire venir un technicien de renom. « Ma préoccupation, c’est de ramener de l’argent pour engager un grand entraineur, de la trempe de Roger Lemerre. Pour cette raison, j’ai eu une discussion avec le P/APW ainsi que le wali. On a aussi besoin des grands investisseurs de la région pour que le club ait les ressources nécessaires pour engager un grand entraîneur », a conclu Hannachi.

Repos aujourd’hui, reprise demain
Les Canaris se sont entraînés, hier, au stade du 1er novembre. Cette séance a été légère avec un sixte et des jeu pré-sportifs au menu. Coté effectif, le défenseur Djamel Benlamri et le milieu de terrain Madani Camara étaient absents, vu qu’ils souffrent respectivement de blessures à l’épaule et aux adducteurs pour l’ivoirien. Les Jaune et Vert ont bénéficié d’une journée de repos, aujourd’hui, afin de récupérer après les grands efforts fournis depuis la séance de reprise de mardi dernier. La reprise aura lieu demain dimanche pour préparer le match face à l’USMBA prévu le 19 avril prochain. Amrouche aura devant lui 5 journées pour préparer cette confrontation. Les Jaunes et Vert misent sur une victoire lors de ce match pour se racheter du dernier faux-pas concédé face au MCA.

DDK (13/04/2013)

Hannachi : “Je me suis trompé sur sandjak”

Le président de la JSK, Moh-Cherif Hannachi, est intervenu hier matin sur les ondes de la radio Chaîne III pour parler de l’actualité de son club notamment après le départ de l’entraîneur, Nacer Sandjak. Cependant, d’emblée, le boss kabyle est revenu sur son état de santé. “Oui ça va. Tout va pour le mieux. Je me suis remis, seulement tout les quinze jours, je dois partir en France pour un contrôle médical”, a-t-il dit. Et de poursuivre concernant l’état de l’équipe après le départ de Sandjak : “J’ai assisté à l’entraînement tout à l’heure (hier, ndlr). Tout le monde était là sauf les joueurs qui ont été retenus en sélection nationale A’. Amrouche et son adjoint travaillent le plus normalement du monde”, a ajouté Hannachi qui a reconnu avoir fait une erreur en recrutant l’Italien Fabbro en début de saison. “Je me suis trompé sur lui, sincèrement. Ce sont des journalistes qui me l’ont proposé après son bon passage au MCA. Sous ses ordres, la JSK n’a récolté que 23 points. C’est pourquoi nous avons décidé de nous séparer de lui. Il a fait un mauvais parcours. Idem pour Sandjak qui nous a fait perdre beaucoup de points. Nous avons glané avec lui 19 points seulement, ce qui fait que nous n’avons pas atteint nos objectifs. Il a demandé à partir et nous avons négocié une séparation à l’amiable. Pour tout vous dire, cela fait deux mois que je n’ai pas parlé avec lui”. Et d’évoquer encore les cas d’indiscipline qu’a enregistré son équipe depuis quelques temps : “Cela est dû à la mauvaise gestion du groupe. Lorsque l’entraîneur ne peut pas diriger son équipe, il faut s’attendre à tout. Ce n’est pas à moi de régler des cas pareils. Pour moi, Sandjak n’a rien fait”, a-t-il souligné et de poursuivre : “C’est lui qui parlait régulièrement avec la presse de la situation de l’équipe. ça lui arrive même de dire qu’il est le maître à bord. Il faut que ça change. C’est lui qui a porté également sur la place publique les différends qui existaient entre lui et certains joueurs.” En outre, le premier responsable du club kabyle a réitéré son intention de se retirer définitivement de la gestion de la JSK à la fin de la saison en estimant qu’il est trop fatigué et qu’il faudra du coup laisser la place à d’autres dirigeants pour assurer la relève.

“Boukhari est le mieux indiqué pour présider la JSK”
“Je suis sincèrement fatigué et je songe sérieusement à me retirer à la fin de cette saison comme l’ont déjà fait beaucoup de présidents de club à l’image de Serrar et Allik. J’ai envie de me consacrer à ma famille. Les dirigeants qui sont avec moi sont aussi fatigués. Cela devra se faire pour bientôt. J’estime que M. Boukhari est le mieux indiqué pour me succéder. C’est lui le meilleur pour le moment”, a-t-il indiqué.

Concernant la situation financière de son équipe, le président Hannachi n’est pas allé par trente-six chemins pour faire le constat, non pas seulement concernant son club particulièrement mais les déboires que vivent pratiquement l’ensemble des équipes de Ligue 1 et 2. “J’ai fait et je suis en train de faire mon possible pour payer mes joueurs. Il me reste deux mois à régulariser avant la fin de la saison. J’ai eu à débourser 1,7 milliard de centimes du 13 au 30 mars pour payer tous les frais de la JSK. On peut ramener des entraîneurs comme Roger Lemerre avec les gens de la région et l’ouverture du capital. Il n’y a aucun club qui n’a pas de recette d’un million de dinars depuis l’entame de la saison. Il faut qu’on trouve une solution, c’est une région où il existe des industriels”, et d’enchaîner : “l’État doit aider tous les clubs. On est tous des Algériens. Pour tout vous dire, on n’a trouvé aucune aide de la part des pouvoirs publics. Ce n’est pas possible que des clubs bénéficient de l’apport de sociétés étatiques alors que d’autres non. Allez demander aux autres présidents de club comment va la santé de leur équipe en matière de financement. Il faudra, à mon sens, équilibrer les forces en permettant à toutes les équipes d’être prises en charge financièrement, soit par une société étatique ,soit par des grands sponsors”.

Liberté (13/04/2013)

Hannachi : «C’est bon, je suis fatigué et je ne peux plus continuer»

Avec tout ce que la JSK traverse ces derniers temps, le président Hannachi a déclaré publiquement qu’il était fatigué et qu’il ne pouvait plus continuer : «C’est bon, je suis fatigué et je ne peux plus continuer. J’ai beaucoup donné à la JSK, mais je suis malade. Que tout le monde sache que je resterai toujours derrière l’équipe, même si je ne suis plus le président de la JSK. Je ne la laisserai jamais tomber.»

«Boukhari et Idrés sont les plus qualifiés pour me remplacer»
Dans le cas où le président Hannachi quitterait la présidence de la JSK, il demandera à Boukhari et Idrés de le remplacer. Selon lui, ces deux hommes, qui connaissent parfaitement le club, sont les plus aptes à prendre le relais : «Boukhari et Idrés sont les plus aptes à me remplacer.»

«Les entraînements se déroulent dans de meilleures conditions»
Avant de conclure, le chairman kabyle a encensé Arezki Amrouche qui assurera le rôle d’entraîneur en chef par intérim jusqu’à la fin de la saison : «Les entraînements se déroulent dans de meilleures conditions. Amrouche, qui connaît bien le groupe, n’aura aucune difficulté à maîtriser tout le monde. Il nous reste encore cinq matchs à livrer, il faudra qu’on soit à la hauteur.»

«Je n’ai plus adressé la parole à Sandjak durant deux mois»
Comme l’a déclaré déjà Sandjak, il n’a pas eu l’occasion de rencontrer son président depuis très longtemps. Le président kabyle a affirmé, hier, n’avoir plus vu son entraîneur depuis environ deux mois : «Je n’ai pas rencontré Sandjak depuis deux mois. Je le redis encore une fois, il accordait beaucoup de repos aux joueurs.»
La direction de la JSK, et comme tout le monde le sait, a souvent reproché à Sandjak le fait d’accorder aux joueurs 48 heures de repos. Malgré l’explication que Sandjak nous a donnée lors de la conférence de presse, Hannachi persiste à dire : «Je le redis encore une fois, il accordait beaucoup de repos aux joueurs. Je n’avais jamais vu ça.»

«Il ne pouvait plus gérer son groupe»
Depuis la nomination de Sandjak à la tête de l’équipe, plusieurs cas d’indiscipline ont été signalés auprès de la direction de la JSK. Après l’affaire Bellakhdar et Maïza, l’arrière gauche Mekaoui et le défenseur Khelili se sont violemment accrochés en plein entraînement. selon Hannachi, le seul responsable de ces dérapages n’est autre que Sandjak qui ne pouvait plus gérer convenablement son groupe : «Nasser Sandjak ne pouvait plus gérer son groupe. Il ne pouvait plus maîtriser son équipe. Cela a provoqué plusieurs cas d’indiscipline enregistrés au cours de ces dernières semaines.»

«On n’a jamais évoqué le sujet du futur entraîneur»
Au lendemain du limogeage de Nasser Sandjak, plusieurs entraîneurs ont été proposés au président Hannachi, entre autres l’ex-coach, Alain Geiger. Profitant de son passage en direct à la radio, le premier responsable de la JSK dira : «Une fois qu’on s’est séparé de Sandjak, je me suis réuni avec les membres du conseil d’administration pour parler de l’avenir de l’équipe. Mais en aucun cas, nous n’avons parlé d’un nouvel entraîneur. Amrouche terminera la saison, après on verra.»

«Avec l’ouverture du capital, la JSK pourrait recruter un entraîneur de la trempe de Lemerre»
Les supporters de la JSK rêvent encore d’une équipe qui domine le championnat national et retrouve les compétitions continentales. Seulement, pour y arriver, il faudra d’abord un bon entraîneur, capable d’atteindre les objectifs du club. Selon Hannachi, avec l’ouverture du capital, la JSK pourrait recruter un grand entraîneur : «Avec l’ouverture du capital, la JSK pourrait recruter un entraîneur de la trempe de Roger Lemerre. De l’avis de tout le monde, il est temps pour le club de retrouver son lustre d’antan.»

«On a dépensé 1,7 milliard pour régulariser tout le monde»
Il y a quelque temps, nous avons rapporté dans ces mêmes colonnes que les joueurs de la JSK devaient percevoir leur dû après le match contre le CRB. Seulement, aucun d’entre eux n’a touché le moindre centime, jusqu’à la veille du match face au CSC. Selon le président Hannachi, le club a déjà dépensé 1,7 milliard pour régulariser tout le monde : «On a dépensé 1,7 milliard pour régulariser tout le monde. Aujourd’hui, mis à part les deux mois de salaire que les joueurs devraient toucher prochainement, le club n’est pas endetté.»

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Hannachi présent à l’entraînement d’hier
C’est ce qui s’appelle du tac au tac ! Aussitôt Sandjak limogé de son poste d’entraîneur en chef, le président Moh Cherif Hannachi refait son apparition aux entraînements. Après une éclipse de plusieurs semaines, le boss kabyle était de retour hier matin où il a suivi l’intégralité de l’entraînement à partir de la ligne de touche. Beaucoup pensent que la présence de Hannachi révèle une fois de plus tout le désaccord qu’il y avait entre lui et Sandjak. D’ailleurs, le désormais ex-entraîneur de la JSK a déclaré que cela fait 3 mois qu’il n’a pas rencontré Hannachi, ni au bureau ni aux entraînements. Les proches du boss nous ont fait savoir que Moh Cherif Hannachi sera de plus en plus proche de l’équipe pour ce qui reste des 5 derniers matchs du championnat, puisqu’il sera présent chaque jour à l’entraînement aux côtés de ses joueurs.

Le Buteur (13/04/2013)

Hannachi : «Sandjak n’a aucun mérite dans les résultats enregistrés»

Le premier responsable du club phare de Kabylie, Moh-Cherif Hannachi, est intervenu hier matin sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale.

Il est revenu sur plusieurs points concernant son club qui vit d’énormes problèmes ces derniers temps, entre autres les cas disciplinaires et le problème d’argent. Il n’a pas mâché ses mots envers son ancien entraîneur qu’il a limogé depuis quelques jours en l’accusant de beaucoup de choses. Il a parlé également du problème d’argent qui secoue son club, des cas disciplinaires ainsi que du futur patron de la barre technique. Pour entamer, Hannachi a parlé de la séance d’entraînement d’hier à laquelle il a assisté après une absence qui a duré des semaines. «L’équipe s’entraîne dans une bonne ambiance sous la houlette d’Amrouche et de Kheroubi. Ces derniers maîtrisent le groupe et font du bon boulot. Mis à part les blessés, c’est tout le groupe qui était présent. C’est vous dire qu’il y a une grande sérénité au sein de l’équipe», a déclaré Hannachi.

«Sandjak a créé la zizanie au sein du groupe»
Tout en montrant sa satisfaction des conditions de travail du groupe avec Amrouche et Kheroubi, Hannachi n’a pas raté l’occasion de tirer à boulets rouges sur son ex-entraîneur, Nacer Sandjak, qu’il a limogé après la défaite concédée devant le MCA. «Il a semé la zizanie au sein du club en créant du régionalisme. Il était le maître à bord et il est le seul responsable des cas disciplinaires enregistrés au sein de l’équipe. Il a eu toutes les prérogatives. C’est vous dire qu’il est seul responsable de tout ce qui est arrivé», a ajouté Hannachi.

«Il n’a aucun mérite dans les résultats enregistrés»
En dépit de la montée au classement avec les bons résultats enregistrés dès que Sandjak a pris l’équipe, Hannachi estime que l’équipe n’a pas progressé et c’est les autres équipes qui ont aidé la JSK dans les résultats enregistrés et que Sandjak n’a aucun mérite. «Il n’a aucun mérite dans les résultats enregistrés par l’équipe. Ce n’est pas la JSK qui a progressé sous sa houlette, c’est le niveau des autres équipes qui a régressé, ce qui a permis au club d’améliorer ses résultats. Fabbro a perdu 20 points et lui 19 points, ce qui est trop pour un club qui veut jouer les premiers rôles. C’est pour ça que je dis, il n’a aucun mérite dans les bons résultats enregistrés», estime le chairman kabyle.

«Je n’ai contacté aucun entraîneur»
Beaucoup de noms ont été cités pour prendre la barre technique des Canaris après le limogeage de Nacer Sandjak. Cependant, Hannachi a révélé qu’il n’a contacté personne pour le moment. «Je n’ai contacté aucun entraîneur pour le moment. Ma préoccupation est de ramener de l’argent. Pour cela, j’ai rencontré le président d’APC et le wali également. On a besoin même des investisseurs de la région pour qu’on puisse engager un grand entraîneur de la trempe de Roger Lemerre», a-t-il souligné.

«L’Etat ne doit pas faire de différence entre les clubs»
Toujours dans le contexte argent, Hannachi estime que l’Etat doit aider tous les clubs et les traiter de la même manière. «L’Etat doit aider tous les clubs sur un pied d’égalité. Ce n’est pas normal que des entreprises prennent 4 clubs seulement. Il faut que ces entreprises prennent tous les clubs, que ce soit en investissement ou bien en sponsoring», a conclu Hannachi.

Compétition (13/04/2013)

Tout d'abord sachez que je n'ai aucun lien de parenté ou de relation avec l'ex-entraîneur Sandjak et j'ai été atterré par son coaching face au MCA. Ceci étant dit, dans compétition de ce jour(13-04), le sieur Hannachi a balayé d'un revers de main le travail accompli par cet entraîneur en minimisant les résultats obtenus("Sandjak n'a aucun mérite dans les résultats.... c'est les autres équipes qui ont régressé.....ETC"). Cette mauvaise foi d'un président à cours d'arguments est une insulte envers les entraîneurs et les équipes qui ont perdu ou fait match nul avec la JSK. En se dédouanant constamment de ses propres erreurs et en reportant la faute sur les autres d'où la valse des dirigeants et entraîneurs, il a perdu le peu d'estime qu'il lui restait auprès de la majorité des fidèles supporters du porte-drapeau de la Kabylie. S'il avait reconnu son échec, j'aurais été le premier à saluer son courage et a lui trouver des circonstances atténuantes en sa qualité d'enfant du Club. Son entêtement à se maintenir contre toute logique,mérite une réponse claire le 19 AVRIL, à savoir "DEGAGE!".

Il a affiché son intention de se retirer de la JSK une nouvelle fois avant-hier
La fuite en avant de Hannachi

Comme à ses habitudes, le président Hannachi ne cesse d’aborder son départ de la JSK en dépit qu’il n’a jamais tenu sa promesse. Avant-hier et lors de son intervention sur les ondes de la Chaîne III, Hannachi a affirmé qu’il est fatigué et qu’il compte se retirer des affaires du club phare de Kabylie. «C’est bon, je ne peux plus continuer ma mission car je suis fatigué. J’ai beaucoup donné a la JSK mais, actuellement, je suis malade, ce qui ne me permet pas d’assurer ma mission. J’aiderai le club même si je me retire de sa présidence. Il y a Idris et Boukari qui sont les mieux placés pour gérer les affaires du club », a déclaré avant-hier Hannachi sur les ondes de la Chaîne III. Cependant, cette déclaration s’ajoute aux précédentes dont lesquelles Hannachi annonçait sa démission sans bien sûr tenir sa parole. « Ce match face au MCA sera le dernier match pour moi. J’aurais souhaité terminer avec une victoire », a déclaré également le président Hannachi à l’issue de la défaite de son équipe au match aller face au vieux club algérois. Sans oublier sa déclaration dans laquelle il a déclaré que si Sandjak ne réussit pas a trouver les solutions, ce sera lui qui partira cette fois. « Si Sandjak ne trouve pas les solutions, ce sera moi qui partirai cette fois», avait déclaré Hannachi le 26-11-2012. En d’autres termes, Hannachi continue sa fuite en avant et ce qui est sûr, c’est qu’il ne cédera jamais sa place volontairement et ses multiples déclarations dans ce sens sans tenir sa promesse en sont la meilleure preuve

Les gens ne le croient plus
Les déclarations de Hannachi disant à chaque fois qu’il laissera sa place sans tenir sa promesse lui ont fait perdre tout simplement sa crédibilité et les supporters ne l’écoutent plus. En effet, les gens ne le croient plus et savent bien qu’il parle pour parler pour gagner du temps. « Hannachi quitter la JSK ? Cela relève de l’impossible. Je suis sûr que mis à part il est gravement malade ou bien sans la pression des supporters, cela relève de l’impossible que Hannachi quitte la présidence », nous dira un étudiant supporters de la JSK. L’avis de ce jeune étudiant n’est qu’un exemple parmi d’autres des supporters de la JSK qui estiment tout simplement qu’il faut pousser Hannachi vers la porte de sortie, sinon il ne quittera jamais le club.

Compétition (14/04/2013)

Hannachi l’a confié à des proches «3 départs cet été, ce sera le maximum !»

Le moins que l’on puisse dire est qu’il y aura très peu de départs cet été. Déjà, 2 joueurs seulement sont en fin de contrat. Cela concerne le défenseur central Essaïd Belkalem et le milieu récupérateur Hamza Ziad. Tous les autres ont signé un contrat de 2 saisons jusqu’en 2014. Maintenant que le président Hannachi a ce privilège, il en profitera pour apporter un changement minimum dans l’effectif en prévision de la saison prochaine. C’est d’ailleurs ce qu’il a déclaré récemment à ses proches : «Il y aura très peu de départs cet été. Aucun joueur sous contrat ne quittera le club, sauf celui qui ne veut pas jouer à la JSK. 3 départs, ce sera le maximum.» Aux yeux de nombreux observateurs, le fait de maintenir l’ensemble de l’effectif pour une saison supplémentaire sera une excellente chose pour le club, qui a connu de nombreux changements ces 3 dernières années.

«Encore 2 à 3 joueurs à recruter, pas plus»
Pour ce qui est des joueurs à recruter, là aussi le club ne peu pas se permettre des folies sur le plan financier. Hannachi dira aux dirigeants : «Si on parvient à recruter 2 à 3 joueurs de qualité, ce sera suffisant. Les joueurs recrutés seront ciblés». D’après la même source, le club kabyle est toujours à la recherche d’un attaquant efficace et d’un meneur de jeu qui épaulera Mokdad dans l’animation du jeu. Pour ce qui est du compartiment défensif, aucun changement ne sera apporté, notamment dans l’axe central. Avec Rial, Maïza et Benlamri, le club n’a aucun souci à se faire. Il est aussi fort probable que le jeune Hikem intègre définitivement les seniors au même titre que Fergane et Rayeh.

Il a assisté à l’enterrement de Kermali
Abdelhamid Kermali, décédé samedi, à l'age de 82 ans, a été inhumé hier, à Sétif. L’ancien sélectionneur de l’équipe nationale a été enterré en la présence de plusieurs personnalités sportives et politiques. En plus du wali de la Wilaya de Sétif, des présidents de club, et autres anciennes gloires du sport et du football algérien, ont tenu à lui rendre un dernier hommage en l'accompagnant juste après la prière d'Al Dohr à sa dernière demeure. Parmi les présents, nous avons remarqué la présence du président de la JSK, Mohand Chérif. Très populaire, ce dernier a eu quelques discussions avec les supportes de l’Entente, qui en ont profité pour lui poser quelques questions relatives à la période très difficile que traverse le club kabyle depuis quelque temps. Pour leur répondre, Hannachi s’est contenté de dire : «Actuellement, c’est l’Entente qui occupe la première place du classement. J’espère que ce sera notre tour la saison prochaine.»

«Si Boukhari acceptera de me remplacer, je partirai !»
Très déçu par rapport à la situation critique que traverse la JSK depuis quelque temps, les supporters Kabyles comptent organiser une marche de protestation le 20 avril prochain, qui coïncide avec le printemps berbère. Du coup, le premier responsable du club, Mohand Chérif Hannachi, s’est réuni avec les dirigeants du club, hier soir, à Alger, pour les prévenir et les mettre au courant des intentions des fans qui, désormais, n’acceptent plus de voir leur équipe favorite lutter pour le maintien chaque saison. Donc, selon le président, les responsables du club doivent rester attentifs pour convaincre les inconditionnels. A la Suite des moments délicats que vit la JSK depuis le match nul concédé à domicile contre le CSC et la défaite face au Mouloudia, le président Hannachi songe sérieusement à se retirer, notamment si le secrétaire de l’équipe, Saïd Boukhari, accepterai de prendre le relais. A ce sujet, il dira : «Je suis vraiment déçu par la période critique que la JSK connaît depuis quelque temps. On ne voulait pas que ce soit ainsi, mais dommage. Je tiens à dire que si le secrétaire Boukhari acceptera de prendre ma place, je partirai en fin de saison. Ce dernier possède suffisamment de compétences lui permettant de gérer le club.»

«Sandjak a quitté la JSK de son propre gré»
Revenant sur le départ de Nasser Sandjak, qui a été annoncé partant le lendemain de la défaite face au Mouloudia (3-1), le président Hannachi a tenu, encore une fois, à expliquer que l’ex-coach de Noisy-le-Sec a quitté la JSK de son propre gré : «On a tourné la page de Nasser Sandjak, qui n’a pas été limogé. Il a quitté le club de son propre gré.»

«Il percevra son argent bientôt»
Avant de conclure, le président de la JSK, s’est expliqué à propos de l’argent de Nasser Sandjak, dont le contrat a été résilié à l’amiable : «On s’est mis d’accord avec Sandjak. Son contrat a été résilié à l’amiable et il touchera son argent très prochainement.»

Le Buteur (15/04/2013)

JSK-Hannachi : «Si Boukhari prend le club je partirai tout de suite»

Intervenant hier soir au cours de l’émission Studio Foot d’Echourouk TV, le président Hannachi a réitéré son intention de partir, en arguant qu’il est très fatigué.

Mais le président Hannachi n’est pas prêt à céder sa place à n’importe qui, puisqu’il conditionne son départ par l’acceptation de son secrétaire Saïd Boukhari à lui succéder. Cela relève bien sûr de l’utopie, mais le président Hannachi y croit. «Je suis fatigué, très fatigué même. Si Boukhari accepte, je suis prêt à partir tout de suite», a-t-il annoncé.

«Sandjak est parti, car il n’était pas capable d’entraîner l’équipe»
Alors que tout le monde sait que Nacer Sandjak a été poussé à la sortie en raison de la pression terrible exercée sur lui, le président Hannachi continue à dire que c’est Sandjak qui voulait partir. «Après le match face au MCA, il voulait partir. Il voulait me rencontrer, mais je l’avais orienté vers Yazid Yarichène. La séparation s’est faite à l’amiable. Il est parti, car il n’était pas capable d’entraîner l’équipe. J’avoue que je me suis trompé sur lui.»

«Sandjak et les joueurs seront payés lorsque l’argent rentrera»
Comme nous l’avons rapporté dans nos différentes éditions, Nacer Sandjak n’a pas encore touché son argent. D’ailleurs, le président Hannachi l’a confirmé hier soir dans son intervention sur Echourouk TV. «Sandjak et les joueurs seront payés lorsque les caisses du club seront renflouées. A la JSK, on n’a jamais lésé personne.»

Il est utile de rappeler que le chèque de garantie que devait remettre la direction à son désormais ancien entraîneur se trouve chez un notaire à Alger, avec lequel la direction a l’habitude de travailler.

«Demandez à Belkalem ce qui s’est passé pendant et à la fin de la mi-temps face au MCA»
Questionné sur le cas de Belkalem qui ne cesse de défrayer la chronique ces derniers jours, notamment après son expulsion face au MCA, le président Hannachi a éludé la question pour éviter de polémiquer encore avec son défenseur international. «Vous dites qu’il est sous pression, demandez-lui de vous dire ce qui s’est passé pendant et à la fin de la première mi-temps face au MCA.»

«Je n’ai parlé d’aucun entraîneur après le départ de Sandjak»
Bien que les CV des entraîneurs ne cessent d’atterrir sur son bureau depuis le départ de Sandjak, le président Hannachi précise qu’il n’a pas encore tranché sur la question de la barre technique. «Je n’ai parlé d’aucun entraîneur. Actuellement, il y a Amrouche auquel j’accorde mon entière satisfaction, et tout ce qui se dit ça et là n’est que de la pure spéculation», confiera Hannachi, avant d’ajouter que les présidents de clubs tiendront une réunion le 16 de ce mois à l’APN pour parler du professionnalisme.

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Il veut céder sa place à Boukhari : La dernière trouvaille de Hannachi
La dernière sortie médiatique du président Hannachi sur Echourouk TV a laissé tous les fans de la JSK pantois. Intervenant hier soir sur cette chaîne, plus précisément au cours de l’émission Studio Foot, Hannachi n’a pas trouvé mieux que d’user d’un autre stratagème pour faire croire aux gens qu’il est prêt à partir. En effet, il a confié qu’il est disposé à céder sa place pour peu que Saïd Boukhari, le revenant secrétaire de l’équipe seniors, accepte de le remplacer. Cette trouvaille du président de la JSK a fait rire plus d’un. Personne ne doute des compétences de Boukhari, mais de là à lui confier la présidence du club, cela relève d’un discours démagogique. Est-il logique de céder sa place à son employé ? Bien sûr, non. S’il avait cité le nom de Yazid Yarichène, un actionnaire du club, auquel la direction doit près de 10 milliards de centimes, la pilule aurait été facile à avaler. Mais de là à annoncer que si Boukhari accepte de gérer le club, il partira tout de suite, c’est presque une blague. Il sait parfaitement que Boukhari ne dira jamais oui. Au lieu de voir la réalité en face, le président Hannachi continue à trouver des échappatoires à chaque fois qu’il se sent acculé. Le hic dans tout cela, il n’y a pas si longtemps, il critiquait ce même Boukhari en compagnie de ses dirigeants, et aujourd’hui, il veut le placer à la tête du club. Le président Hannachi a toujours recouru à des subterfuges pour se maintenir à son poste, mais comme les supporters ne veulent plus le croire, il a innové cette fois en évoquant la carte de Boukhari qui n’a été informé du départ de Sandjak qu’à la dernière minute.

Une marche le 18 avril pour demander le départ de Hannachi
Les supporters des Jaune et Vert multiplient les appels ces derniers jours sur les réseaux sociaux pour demander à tous les fans de répondre et en masse à l’appel de la marche qui devrait avoir lieu jeudi prochain à Tizi Ouzou. En effet, un groupe de supporters a jugé utile d’organiser une marche pour réclamer le départ de Hannachi de la présidence de la JSK. Ces derniers temps, les supporters kabyles n’ont pas cessé de demander le départ de Mohand-Chérif Hannachi, mais, tous les moyens déployés par les supporters et toutes les demandes des supporters n’ont pas réussi à faire bouger Hannachi de son siège de la présidence. Même par le passé, les supporters kabyles ont organisé une marche pour demander le départ du président kabyle et ce dernier est resté toujours dans son poste. Bref, les supporters de la JSK veulent tenter une nouvelle fois leur coup avec une marche, et ils veulent réussir cette marche. Pour cette raison, ils n’ont pas cessé d’appeler les supporters à venir en masse jeudi prochain à 9H à l’université de Hesnaoua, point de départ de cette marche pour marcher jusqu’au siège de la wilaya en traversant bien sûr la route du stade 1er-Novembre. Certes, au départ, cette marche était prévue pour samedi prochain, c'est-à-dire pour le 20 avril, mais pour plusieurs raisons, cette marche a été avancée pour le 18 du même mois, c'est-à-dire pour la veille de la rencontre JSK-USMBA. Reste à savoir maintenant s’il y aura du monde lors de cette marche et si les autorités locales laisseront les supporters marcher pour demander le départ de Hannachi.

Alors que les caisses du club ne sont pas vides : Le président tarde à payer les joueurs
Selon une source autorisée, la situation financière de la JSK n’est pas aussi alarmante que le prétendent certains dirigeants. D’ailleurs, une personne proche de la direction actuelle nous a indiqué que la JSK dispose actuellement de près de 10 milliards, mais elle ne comprend pas les raisons ayant poussé les responsables du club à ressasser à chaque fois que les caisses sont vides. Les dirigeants de la SSPA ont ouvert un compte à la BDL, alors que celui du CSA est domicilié toujours à la BNA. Mais si les caisses du club ne sont pas à sec comme veulent le faire croire certains dirigeants, d’aucuns se demandent à quoi rime tout ça ? Ce qui est certain, les joueurs attendent avec impatience de percevoir leur argent. La direction leur doit deux mensualités ainsi que les primes de matches. Pour régulariser tous les joueurs ainsi que les autres employés du club, le président Hannachi aura besoin au moins de 7 milliards de centimes. Cette somme est disponible dans les caisses du club, selon les dires de notre source. Mais la question qui mérite d’être posée est de savoir pourquoi le président de la JSK tarde-t-il à régulariser ses joueurs.

L’apport de Nedjma est de 9 milliards de centimes
La direction actuelle a toujours évité de divulguer l’apport de ses sponsors. Notre interlocuteur, qui a tenu à préciser que la situation n’est pas aussi catastrophique qu’on le laisse entendre, révèle que, par exemple, l’apport de Nedjma est de 9 milliards de centimes par saison. Le contrat signé entre la direction de la JSK et l’operateur de téléphonie mobile stipule que la somme de 9 milliards de centimes sera débloquée en trois tranches. Autrement dit, tous les 4 mois, la direction recevra 3 milliards de centimes de la part de son principal sponsor. Elle a reçu la première tranche au mois de janvier et la deuxième tranche est prévue à la fin de ce mois ou au début du mois de mai. C’est pour cela que le président Hannachi a demandé à ses joueurs de patienter jusqu’à ce que les caisses du club soient renflouées.

L’argent de Fiat est déjà consommé
L’accord avec Fiat a été signé dans la discrétion la plus totale. Aucune cérémonie de signature n’a été organisée par la direction pour annoncer la venue de ce nouveau sponsor. L’apport de Fiat, comme nous l’avons déjà rapporté, est de 5 milliards de centimes. L’argent de ce sponsor est rentré dans les caisses du club depuis bien longtemps. A noter qu’il est le deuxième principal sponsor du club après Nedjma.

Il a peur de la marche du 18 : Hannachi convoque en urgence son bureau
Hier, au moment où nous mettions sous presse, on a appris que le président kabyle a convoqué son bureau en urgence. Ayant été informé que les supporters veulent organiser une grande marche pour exiger son départ de la présidence du club, Hannachi a réuni ses dirigeants pour essayer de trouver les bonnes solutions pour cette histoire de marche. Cependant, aucune information n’a été filtrée sur ce qui s’est passé lors de cette réunion et sur les décisions qui ont été prises par le bureau de Hannachi concernant cette marche.

Pour encourager la formation : Hannachi ne paye pas les entraîneurs
Le premier responsable du club kabyle n’a pas cessé de déclarer ces derniers temps que la politique du club se basera désormais sur la formation. Hannachi n’a pas hésité à déclarer que l’inauguration du nouveau stade de Tizi Ouzou sera assurée par une grande équipe de la JSK composée des joueurs formés au club. Comment ose-t-on parler de la formation, alors qu’on ne peut même pas assurer les salaires des entraîneurs des jeunes catégories. Oui, les entraîneurs des jeunes catégories de la JSK ne sont pas payés depuis le début de la saison et ils ne seront pas payés avant la fin de cette saison. L’entraîneur des espoirs doit toucher chaque fin de mois un salaire de 25 000 DA, celui des juniors 20 000 DA et celui des cadets 15 000 DA. En balançant ces chiffres, on comprend vite que la direction du club kabyle n’est pas appelée à assurer le salaire de Mourinho, mais juste des petits salaires, des Smig quoi. Encore des humiliations et des scandales à la JSK, alors qu’à l’époque du grand Jumbo-Jet, les Salah Yousfi et Moh Younsi ont formé des grands joueurs pour le club et ils étaient très bien considérés par leurs dirigeants. Aujourd’hui, des entraîneurs acceptent de travailler durant toute la saison sans toucher le moindre sou, et c’est tout à fait normal et logique qu’ils ne peuvent pas former un joueur ni assurer les bons résultats.

Compétition (15/04/2013)

Quand Hannachi jette l’argent par les fenêtres
10 000 € pour un Sud-Américain qui n’est même pas venu

Si le président Hannachi n’arrive même pas à payer ses joueurs en ce moment, c’est à cause de sa gestion approximative. Même s’il n’arrête pas de dire que la JSK n’est pas bien nantie financièrement, cela n’est qu’un leurre. Au vu des sommes astronomiques déboursées à l’intersaison et au dernier mercato hivernal, la direction aurait pu bâtir une équipe capable de jouer aisément le titre. Malheureusement, l’argent dont disposait la direction n’a pas été utilisé à bon escient. Comme le confirme la somme de 10 000 euros déboursée par les dirigeants afin de faire venir un joueur sud-américain au mois de janvier dernier, mais, finalement celui-ci n’a pas donné signe de vie. Le billet d’avion de ce joueur et celui de son manager ont coûté 10 000 euros à la direction de la JSK. Ce fameux joueur que les dirigeants ont présenté comme une perle rare devait rejoindre Alger à partir du Brésil. Mais ils se sont fait arnaquer et ils ne sont rendu compte qu’à la clôture du marché des transferts. Ils n’ont même pas pu se faire rembourser les billets d’avion.

Elié Moisés part avec 45 millions de centimes
La JSK, qui a touché le fond ces trois dernières années, a connu des scandales en cascade cette saison. Mais le plus intrigant est que la direction actuelle estime avoir fait preuve d’un grand professionnalisme. Au lieu de faire son mea-culpa et reconnaître publiquement ses échecs, elle tente de berner encore une fois le public kabyle en promettant monts et merveilles pour la saison prochaine. Au registre des scandales de la saison actuelle, en plus du joueur sud-américain auquel la direction a envoyé deux billets d’avion, les dirigeants ont fait venir l’Ivoirien Elié Moisés sans se renseigner sur lui au préalable. Ils lui ont fait signer un contrat de deux saisons. Ils n’ont découvert l’arnaque qu’après que les supporters eurent crié au scandale sur les réseaux sociaux. En plus du billet d’avion, il a été hébergé à l’hôtel le Rocher et la direction lui a remis l’équivalent de 45 millions de centimes en euros. Il a bien profité de son séjour à Boumerdès et «grâce» à l’amateurisme de la direction, il est reparti avec un peu d’argent pour qu’il accepte de résilier son contrat.

Compétition (16/04/2013)

20 avril 2012 – 20 avril 2013 : Hannachi toujours au pouvoir

La date du 20 avril restera un symbole pour les Kabyles et l’une de leurs grandes fiertés. C’est une date historique pour une région historique. Toutefois, pour les supporters de la JSK, cette date signifie aussi d’autres choses.

En plus du printemps berbère et du printemps noir, le président Hannachi a fait une promesse le 20 février de l’année 2012 de quitter ses fonctions à la tête du club kabyle deux mois après cette déclaration, c'est-à-dire le 20 avril 2012. Hannach avait même parlé d’une feuille de route. Pour un rappel, l’histoire a commencé après le limogeage de Meziane Ighil. Les supporters qui demandaient le départ de Hannachi calmement avant le départ d’Ighil n’ont pas hésité à organiser un grand sit-in devant le siège du club au milieu du mois de février. Plus grave encore, un grand rassemblement des supporters a été organisé devant le portail de stade 1er-Novembre quelques jours après ce sit-in. Environ 3 000 supporters ont demandé ce jour-là le départ de Hannachi. Paniqué, le numéro un des Jaune et Vert n’a pas trouvé un autre moyen pour calmer les supporters et évacuer leur pression que d’intervenir le lendemain de ce rassemblement sur les ondes de ma radio locale. « J’ai tracé une feuille de route que je vais respecter à la lettre et d’ici deux mois, je quitterai mes fonctions, je pars avant le 20 avril. » Deux mois après ces déclarations, Hannachi est resté dans son poste. Il continuait à présider la JSK en pensant même à la nouvelle saison, puisque, c’est lors de ce mois d’avril 2012 que le président kabyle a promis le titre aux fans du club. « Je vais monter une grande équipe, une équipe qui offrira le titre au public de la JSK la saison prochaine. » Cette déclaration a calmé les esprits et les supporters ont laissé le président travailler sans lui faire une grande pression. Toutefois, l’équipe que Hannachi avait montée pour gagner le titre a raté tous les objectifs tracés au départ. Pis encore, c’est la saison de tous les scandales et de toutes les humiliations. On aura tout vu cette année avec Hannachi. Or, ce dernier est toujours en poste, une année après la date que lui-même avait fixée pour son départ. Une année après cette date, Hannachi déclare toujours qu’il est fatigué et qu’il veut quitter le club alors que les supporters sont montés une nouvelle fois au créneau pour demander le départ de leur président. En résumé, une année après la date fixée pour son départ, Hannachi est toujours au pouvoir, il a même commencé à préparer la nouvelle saison…

Hannachi promet un grand entraîneur avant la fin de ce mois
Selon une source crédible, le numéro un des Jaune et Vert a étudié ces derniers jours les CV de plusieurs entraîneurs étrangers. Selon toujours la même source, Hannachi a choisi un entraîneur parmi les nombreux coachs que les managers lui ont proposés. Hannachi avait même déclaré à ses proches qu’il va nommer un grand entraîneur à la tête de l’équipe première avant la fin de ce mois. Au moment où le président kabyle a sollicité l’aide des pouvoirs publics pour engager un entraîneur de renom et au moment où une crise financière secoue le club, Hannachi veut engager un grand entraîneur étranger. Pis encore, au moment où Hannachi déclare haut et fort qu’il est fatigué et qu’il ne pourra plus continuer à gérer le club, il est en train de négocier avec un entraîneur étranger. Reste à savoir maintenant si cet entraîneur que Hannachi convoite est un entraîneur de renom ou tout simplement un coach de seconde zone, comme c’était toujours le cas.

Il veut garder Amrouche pour la saison prochaine
Par ailleurs, le président des Jaune et Vert a déclaré à ses proches collaborateurs qu’il est très satisfait du travail que Rezki Amrouche est en train de réaliser depuis qu’il a pris les choses en main. Pour récompenser son jeune entraîneur, Hannachi compte garder Amrouche dans le staff technique de la saison prochaine. Une bonne nouvelle donc pour l’ancien défenseur du Club Africain.

Les supporters n’ont pas répondu à l’appel de la marche
Hier, les supporters de la JSK n’ont pas marché comme prévu. Ils étaient une quarantaine à se regrouper devant le portail de l’université Mouloud Mammeri vers 9h. Comme les fans des Canaris n’ont pas répondu à l’appel de cette marche, les quelques supporters qui étaient sur place ont quitté les lieux quelques minutes après leur regroupement. Au moment où les supporters de la JSK n’ont pas cessé de lancer des appels sur les réseaux sociaux pour organiser une grande marche afin de demander le départ du président Hannachi, le public kabyle n’était pas présent. Les raisons de cette absence ne sont pas liées au souhait des supporters de voir Hannachi toujours à la tête de la JSK, au contraire, ces derniers comptent toujours éjecter Hannachi de son poste. Toutefois, et selon le témoignage de plusieurs supporters, ces derniers ont été déstabilisés par les dates annoncées pour cette matche. Après le 20, les supporters ont été appelés à marcher le 18 avant de sortir une autre date, celle du 19. Et comme il n’y avait pas d’initiateurs ou des organisateurs pour cette matche, les choses n’ont pas tourné rond hier. Cependant, sur les réseaux sociaux, les fans des Canaris continuent toujours à demander le départ de Hannachi.

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Pourquoi Hannachi veut licencier Guillou et Tahi ?
Ces derniers jours, de fortes rumeurs circulent à la JSK concernant le licenciement de Guillou et de Samir Tahi. A la JSK, il n’y a jamais de fumée sans feu. Quelque part, le président kabyle veut vraiment liquider ces deux personnes. D’ailleurs, ces derniers temps, Hannachi n’a pas cessé de parler à ses proches collaborateurs sur ces deux personnes. Toutefois, une question se pose d’elle-même, pourquoi Hannachi veut limoger ces deux personnes qui ont participé aux sacres du club ? Difficile à répondre à la question vu que Boukhari et Tahi n’ont jamais terni l’image du club comme l’ont fait certains dirigeants ou certains proches du club.

Après Boukhari qui a travaillé avec lui pendant 18 ans il veut licencier deux personnes qui ont servi le club pendant 16 ans…
Hannachi n’a pas hésité en mai 2011 à sacrifier son bras droit, Said Boukhari, en l’occurrence, après 18 ans de bons et loyaux services rendus à la JSK. Aujourd’hui, le président kabyle veut liquider deux hommes qui ont travaillé avec lui pendant 16 ans. Cela veut tout dire…

Compétition (19/04/2013)

Hannachi : «Moi, j’ai assuré mon rôle de président de la SSPA, ce sont les entraîneurs qui m’ont trahi»

Le président de la SSPA, Mohand-Cherif Hannachi, a tenu à réagir à propos de ce qui se dit quant à sa façon de gérer le club kabyle. Critiqué par les supporters du club, il rétorque : «Je ne comprends pas pourquoi on s’acharne ainsi sur le club. La JSK vit certes des moments difficiles, mais je pense que cela ne justifie pas autant de polémique. En tant que premier responsable de la SSPA, j’ai assumé mes fonctions en recrutant les meilleurs joueurs. Nous avions mis les moyens nécessaires à la disposition de l’équipe, malheureusement j’ai le regret de vous dire que ce sont les entraîneurs qui m’ont trahi. Et voilà aujourd’hui dans quelle situation on se retrouve.»

«Jamais je ne casserai le club !»
Et de poursuivre : «Cela fait des années que je suis à la JSK et jamais je n’ai lésiné sur les moyens pour offrir au club les moyens qu’il faut pour travailler. Je pense avoir tout donné jusqu’à laisser de côté ma famille. Je ne casserai jamais le club qui nous est très cher et je n’accepterai pas qu’on vienne tenter de nous déstabiliser !»

«Nous n’avons pas limogé Sandjak, c’est lui qui a demandé à partir»
Revenant sur le dernier remaniement de son staff technique, Hannachi insiste : «Je le dis et je le répète, nous n’avons pas limogé Sandjak. C’est lui-même qui a demandé à rencontrer les dirigeants du club à Alger pour leur exprimer son vœu de partir.»

«A l’APN, on nous a promis de prendre en charge les préoccupations des SSPA»
Evoquant son dernier déplacement à l’Assemblée populaire nationale où il a pris part aux travaux de projets de loi portant sur la promotion du sport, Hannachi révèle : «Nous étions ravis de figurer parmi les invités à l’APN pour parler de la situation du sport national et du football en particulier. On a pu livrer notre point de vue sur le quotidien difficile que vivent les clubs de notre pays et j’ai pu constater une réelle volonté de la part des responsables de prendre en charge nos préoccupations.»

«Les cadets de la JSK vont nous faire honneur»
Avant de terminer, Hannachi évoque la finale de la Coupe d’Algérie que disputera le week-end prochain la JSK dans sa catégorie cadette face à l’ESS : «Franchement, je suis content que nos cadets aient atteint ce dernier tour, c’est un honneur pour la JSK. Je suis optimiste qu’ils nous feront honneur.»

Le Buteur (20/04/2013)

JSK-Hannachi : «Le recrutement nous a coûté les yeux de la tête»

Le président Moh Chérif Hannachi a accordé un entretien au site du club au cours duquel il réaffirme qu’il a fait un recrutement de qualité à l’intersaison.

«J’ai recruté les meilleurs joueurs du championnat. Le recrutement nous a coûté les yeux de la tête. Les gens qui connaissent le football, à l’image de Ghrib, affirment que la JSK dispose d’un bon effectif. A Sétif par exemple, les gens n’arrêtaient pas de me demander de garder les joueurs, car ils savent que la JSK fera parler d’elle à l’avenir.»

«J’ai fait mon travail, car j’ai recruté les meilleurs joueurs»
Malgré le parcours mitigé réalisé par la JSK cette saison, le président Hannachi croit toujours qu’il dispose d’un équipe complète. «J’ai fait mon travail, car j’ai recruté les meilleurs joueurs. La JSK possède de très bons joueurs, malheureusement, les deux entraîneurs qui ont pris les rênes de l’équipe ont perdu 39 points. Avec Fabbro, on dominait nos adversaires, mais on perdait, et avec Nacer, les joueurs ne tenaient pas physiquement. Il leur accordait trop de repos. Je dis et je le répète, on a une très bonne équipe.»

«On m’a dit à Sétif que ces joueurs vont faire quelque chose l’an prochain»
Le président Hannachi croit dur comme fer que l’effectif actuel fera parler de lui la saison prochaine. Il compte garder pratiquement tous les joueurs, à l’exception de ceux qui n’ont pas donné satisfaction. «Vous savez ce qu’on m’a dit à Sétif, ces joueurs vont faire quelque chose l’année prochaine. Les Sétifiens m’ont dit aussi de garder cet effectif, car ils savent qu’on a une bonne équipe.»

«Les joueurs m’ont promis de terminer la saison en force»
Après le départ de Sandjak, le président Hannachi s’est entretenu avec ses joueurs afin de les motiver à donner le meilleur d’eux-mêmes pour terminer la saison en force. «Cela fait longtemps que je n’ai pas vu l’équipe. J’ai assisté à la séance dirigée par Amrouche et les joueurs m’ont promis de faire le maximum pour terminer l’exercice en beauté.»

«On a été à la hauteur lors de notre passage à l’APN»
Invité par la commission de la jeunesse et des sports de l’APN en compagnie d’autres présidents, Hannachi a indiqué qu’ils étaient à la hauteur. «J’ai répondu par exemple à la question relative à la reprise de certains clubs par Sonatrach. Je leur ai dit que les SPA en Algérie, personne n’a de bénéfices. Il y a des sorties d’argent et pas de rentrées. Si les commissaires aux comptes déposent des plaintes contre les présidents de clubs, ce sera difficile pour tout le monde. Je leur ai aussi ajouté qu’on n’est pas responsables des supporters. A Tizi Ouzou, il y a les services de sécurité à l’extérieur et à l’intérieur du stade. Les dirigeants sont soit dans les vestiaires ou dans la tribune officielle. Excepté un match où il y a eu des grabuges, le public a toujours été correct.»

«On a toujours fait plaisir à nos fans»
Tout en rendant hommage à l’équipe cadette qualifiée pour la finale de la coupe d’Algérie, le président de la JSK a avoué qu’il a toujours fait de son mieux pour faire plaisir aux supporters. «A la JSK, on ne triche pas. On a toujours voulu faire plaisir aux fans», a-t-il conclu.

Compétition (20/04/2013)

[b]

Hannachi : «Les plus grands saboteurs de la JSK : deux de ses anciens joueurs»

Dans son intervention sur la chaîne Echourouk, le président Moh Cherif Hannachi est revenu sur l’actualité du club kabyle, à commencer par le limogeage de Nacer Sandjak. Le boss a bien évidemment fait son analyse sur les contre-performances de cette saison. Outre les résultats de son équipe, il a évoqué plusieurs points, entre autres le cas Belkalem, la Coupe d’Afrique, la Coupe arabe ainsi que le mouvement d’opposition qui secoue à nouveau le club.

«La JSK est un club stable et tranquille»
Face au mouvement d’opposition qui refait surface, le président Moh Cherif Hannachi affirme, une nouvelle fois, qu’il n’y a pas le feu à la JSK. Il dira dans un premier temps : «La JSK est club stable et tranquille. On travaille d’arrache-pied pour le remettre sur les rails et il n’a jamais été question de le délaisser. Il y a toujours des hommes à la tête de ce club et on fera de notre mieux pour satisfaire nos supporters.»

Par la suite, Hannachi s’est attaqué à une partie des anciens joueurs qui critiquent sa gestion. Il déclare à ce sujet : «Désolé de le dire, mais les plus grands saboteurs de la JSK sont deux de ses anciens joueurs. Il y a des gens qui ne veulent que du mal au club. En tant que président de la JSK, il est de mon droit de dénoncer ces personnes pour l’intérêt de ce club, car je dois préserver l’équipe. Ce n’est pas en faisant du mal que les choses vont s’arranger.»

«La JSK reviendra en force dans un futur proche»
Même si le club joue le maintien durant trois saisons de suite, Hannachi reste optimiste pour que la JSK retrouve les sommets, comme cela a toujours été le cas : «Je ne perds jamais espoir de voir la JSK au sommet de l’Afrique. Je sais que le club reviendra en force dans un futur proche. Il faut donner du temps à cette équipe de se préparer. Nous avons effectué un recrutement de qualité. Malheureusement, nous avons perdu trop de points, ce qui nous a été fatal.»

«Content pour le MOB qui retrouve l’élite»
S’exprimant sur l’accession du MOB, le président de la JSK affiche sa satisfaction : «Je suis très heureux pour le MOB qui retrouve l’élite. Ce club a connu des hauts et des bas, avant de remonter en Ligue 1. C’est une bonne chose pour la Kabylie qui a maintenant trois clubs parmi l’élite. Je félicite les responsables du MOB pour cette consécration, en leur souhaitant d’autres réussites dans un futur proche.»

«La saison prochaine, on jouera inch’Allah le championnat»
Comme ce fut le cas avant l’entame de chaque saison, le président Hannachi, qui faisait des recrutements de qualité, promettait souvent le titre du championnat aux supporters. Hier, le premier responsable de l’équipe kabyle a fait savoir que la JSK renferme un bon effectif, lequel aura son mot à dire la saison prochaine : «En recrutant Sandjak, j’ai failli et je demande pardon aux supporters. Seulement, je tiens à dire que nous avons un bon effectif qui aura son mot à dire la saison prochaine. Cette fois-ci, je dirais plutôt qu’on jouera inch’Allah le titre, la saison prochaine. Par le passé, je disais qu’on va remporter le championnat.»

«On a recruté Bouchouk sur demande de Sandjak»
L’ex-entraîneur de la JSK, Nacer Sandjak, aurait été derrière la venue de deux joueurs, Mohamed Chalali et Saïd Bouchouk. Alors que le premier a été souvent titularisé, le second ne faisait partie du 11 rentrant qu’occasionnellement. Cela a poussé le président Hannachi à réagir, en disant : «Je me demande pourquoi Sandjak ne faisait pas jouer Bouchouk, alors que c’était lui qui l’avait réclamé. Heureusement que Chalali avait eu de la chance de disputer plusieurs matchs sous sa coupe.»

«Comment ose-t-il dire qu’il a été marginalisé, alors que les membres du CA lui payaient des dîners à Alger ?»
Lors de la conférence de presse qu’il a animée à l’hôtel Emir, 48 heures après avoir accepté de céder sa place à Arezki Amrouche, Nacer Sandjak a déclaré publiquement qu’il s’est retrouvé seul, juste après avoir accepté de prendre l’équipe en main. En répliquant, le président Hannachi, qui n’a pas mâché ses mots, lui répondra : «Comment ose-t-il dire qu’il a été délaissé, alors qu’il rencontrait toujours les membres du conseil d’administration qui lui payaient même son diner ? Cela est une preuve qui montre que Sandjak n’a jamais été seul.»

«Sandjak touchait 220 millions par mois, comment voulez-vous qu’on se contente du maintien ?»
D’après l’ex-entraîneur de Noisy-le-Sec, les dirigeants de la JSK ne voulaient plus le garder, après avoir assuré le maintien. Seulement, le boss kabyle estime que lorsque Sandjak a quitté le navire kabyle, il restait encore cinq journées. Du coup, le maintien n’a jamais été assuré : «Il a déclaré qu’il a été mis fin à ses fonctions, après avoir assuré le maintien. C’est faux ! D’ailleurs, il n’a pas assuré le maintien, du moment qu’il reste encore cinq journées. Toutefois, trouvez-vous logique de payer un entraîneur à 220 millions par mois pour qu’il assure juste le maintien ? Je ne pense pas !»

«Marginaliser de très bons joueurs, comme Sedkaoui, Mekkaoui, Maïza et Bellakhdar, c’est du n’importe quoi !»
L’une des raisons qui ont poussé la direction de la JSK à se séparer de Nacer Sandjak, c’est la relation tendue qu’il entretenait avec la majorité des joueurs. Selon Hannachi, marginaliser des joueurs talentueux, comme Sedkaoui, Mekkaoui, Maïza et Bellakhdar, c’est du n’importe quoi : «Qu’attendez-vous d’un entraîneur qui marginalise la moitié de l’effectif. Sedkaoui, Mekkaoui, Bellakhdar et Maïza sont de très bons joueurs, mais Sandjak ne comptait jamais sur eux. Ainsi, je tiens à dire qu’un joueur comme Maïza, qu’on connaît tous, possède des qualités qui lui permettent d’évoluer dans d’autres postes que la défense, mais…»

«Nous allons garder le même effectif, la saison prochaine»
A quatre journées de la fin de la saison, on pense déjà à la saison prochaine. Convaincu que la JSK renferme un effectif riche qui aura son mot à dire le prochain exercice, le président kabyle s’est contenté de dire que la JSK ne recrutera que deux joueurs au maximum, lors de la période des transferts : «On a une bonne équipe et je suis convaincu que nos joueurs seront à la hauteur la saison prochaine. Donc, je ne compte pas apporter trop de changements. Nous allons nous contenter de deux joueurs au maximum, juste pour renforcer l’équipe. Et si on tombe sur un joueur africain de qualité (il a cité N’jeng), on le recrutera.»

«Les libérés ? On n’a pas encore pris de décision»
Concernant les joueurs qui ne seront pas retenus la saison prochaine, Hannachi s’est montré discret, en ajoutant : «Pour les libérés, on n’a pas encore pris de décision. On attend d’abord la fin de la saison pour pouvoir trancher tranquillement.»

«Bellaïli et Djabou méritent une place en EN»
Avant de conclure, le président de la JSK n’a pas manqué l’occasion d’encenser les deux joueurs évoluant en Tunisie, Abdelmoumen Djabou et Youcef Bellaïli. Selon lui, les deux Algériens méritent vraiment une place en Equipe nationale : «Bellaïli est un très bon joueur que je voulais même recruter il y a quelque temps. Même Djabou est exceptionnel. Ils méritent tous les deux une place en Equipe nationale.»

Le Buteur (22/04/2013)

Affaire Belkalem, le président kabyle lâche une bombe
«Qu’il déclare ce qu’il veut, il est lié par un contrat jusqu’au mois de décembre !»

A un mois et demi de la fin du championnat, et au moment où le joueur déclare qu’il est en fin de contrat, le président Moh Cherif Hannachi lâche une bombe qui risque de faire éclater une nouvelle polémique concernant Belkalem. En effet, le président de la JSK nous apprend que son joueur ne sera pas libre cet été : «Beaucoup pensent que Belkalem sera libre cet été, or c’est faux. Il est toujours lié au club, puisqu’il n’a pas signé de licence lorsqu’il était convalescent. Je n’ai jamais voulu le déclarer, mais maintenant que le moment est venu, les supporters de la JSK doivent connaître la vérité. Belkalem est lié avec la JSK par un contrat jusqu’en décembre prochain. Pour le reste, il est libre de déclarer ce qu’il veut.»

«Lui et Raouraoua sont au courant»
Moh Cherif Hannachi a même affirmé que le joueur ainsi que le président de la fédération, en l’occurrence Mohamed Raouraoua, sont au courant de cette information qui a été gardée au secret jusque-là : «Je ne suis pas le seul à être au courant que Belkalem n’est pas libre, puisque le joueur lui-même le sait. Le président de la fédération Raouraoua est, lui aussi, au courant. Il y a une réglementation à suivre et nous sommes dans les règles.»

«Au moment où il devait signer sa licence, il se trouvait à Aspetar»
Pour mieux expliquer les raisons qui font que Belkalem ne soit pas libre de tout engagement, Hannachi s’est appuyé sur le fait que le joueur n’a pas signé sa demande de licence la saison qui a suivi le CHAN : «Au moment où il devait signer sa demande de licence, Belkalem se trouvait à Aspetar où il effectuait sa rééducation. Ce n’est que vers le mois de janvier qu’il a réintégré le groupe et il a eu par la suite une licence. Le club n’a pas bénéficié de ses services durant la phase aller du championnat et cela personne ne peut le nier.»

«Il a touché 650 millions cette saison»
En abordant la question des salaires, le boss a tenu à mettre les choses au clair en divulguant certaines vérités à ce sujet. Pour la première fois, Hannachi a dévoilé le montant du salaire qu’a perçu l’international algérien depuis le coup d’envoi de la saison : «Celui qui affirme que Belkalem joue gratuitement à la JSK est loin de la réalité. Nous sommes un club professionnel et nous tenons à payer nos joueurs conformément au contrat signé avec le club. Belkalem touche bel et bien ses mensualités au même titre que le reste de ses partenaires. Nous lui avons versé jusque-là 650 millions depuis le début de la saison. Je ne comprends pas pourquoi on prétend qu’il joue gratuitement.»

«Il lui reste quatre mois de salaire, il sera payé jusqu’au dernier centime»
Et de poursuivre : «Jusqu’au jour d’aujourd’hui, Belkalem a été payé et nous n’avons pas fait dans le deux poids deux mesures. Il lui reste quatre mois de salaire. Il sera payé jusqu’au dernier centime. C’est aussi le cas de l’ensemble des joueurs. Ils savent qu’ils toucheront prochainement le reste de leurs mensualités, bien avant la fin de la saison.»

Participation africaine
«Sans le sabotage de certains, on aurait pu atteindre la finale de la Ligue des champions»
En évoquant la compétition africaine, le président Hannachi est revenu sur la dernière participation de la JSK en Ligue des champions lors de l’édition de 2010. Le boss estime que son équipe aurait pu atteindre la finale, malheureusement elle a été sabotée. Il dira à ce sujet : «Je reste convaincu qu’on aurait pu réaliser un bien meilleur résultat en 2010 en Ligue des champions. Je le dis sans avoir peur, on a été sabotés cette année-là par certains, que ce soit lors des matchs aller ou retour. Sinon pourquoi on a interdit aux responsables de s’asseoir sur le banc.»

«Coupe arabe ou Coupe d’Afrique, l’important est de briller en compétition internationale»
Quant à la probable participation de son équipe à la Coupe arabe la saison prochaine, Hannachi livre son point de vue : «A mes yeux, il n’y a pas une grande importance entre la Coupe arabe et la Coupe d’Afrique. Ce qui compte le plus, c’est de briller à nouveau en compétition internationale. On a besoin de renouer avec la participation africaine ou arabe. Je reste convaincu que nous avons les moyens de retrouver cette prestigieuse compétition, car cela fait partie des traditions de la JSK.»

Futur entraîneur
«Il sera connu cette semaine»
Afin de garder la stabilité et la sérénité dans le groupe, Mohand-Chérif Hannachi a préféré garder Arezki Amrouche à la tête de l’équipe jusqu’à la fin de saison, alors que des CV de plusieurs autres entraîneurs pleuvent de partout sur le bureau du boss. Au moment où nous mettons sous presse, aucune décision n’a été prise, mais à en croire une source fiable, le futur entraîneur de la JSK sera connu cette semaine : «Pour le moment, on n’a rien décidé à propos du futur entraîneur. Il se pourrait qu’il soit étranger ou local. L’essentiel, c’est que nous allons le choisir dans le courant de cette semaine.»

«Fabbro et Sandjak ont fait perdre 39 points à la JSK»
Interrogé sur cette valse d’entraîneurs, le président Hannachi rétorque : «Je ne le répéterai jamais assez, ce sont les entraîneurs qui m’ont piégé cette saison. Ce sont eux les principaux responsables de cette situation. Lorsque vous perdez autant de points, il est impossible de jouer le haut du tableau. Fabbro et Sandjak nous ont fait perdre 39 points cette saison, entre les matchs à domicile et ceux joués à l’extérieur. C’est ça notre problème.»

Le Buteur (22/04/2013)

Hannachi : «Belkalem est sous contrat jusqu’à décembre 2013»

Invité hier à l’émission Studio Foot d’Echourouk TV, le président Moh- Chérif Hannachi a fait une révélation de taille au moment où il s’apprêtait à rejoindre le studio de la chaîne en déclarant que son international défenseur, Saïd Belkalem, en l’occurrence, ne sera pas libre au mois de juin.

Cette révélation risque d’être mal prise par l’enfant de Mekla, lequel croit que son contrat avec la JS Kabylie expirera à la fin du championnat. «Ce que les gens ne savent pas est que Belkalem est encore sous contrat. Durant sa longue période de convalescence après sa blessure avec l’équipe nationale A’, il n’a pas signé de licence avec la JSK. Il se soignait à Aspetar et ce n’est qu’après son rétablissement qu’il a signé une licence au mois de décembre. De ce fait, il ne sera pas libre au mois de juin et il ne le sera qu’en décembre 2013», a argumenté le président de la JSK. Sollicité par plusieurs clubs, Belkalem ne pourra pas partir sans l’accord de sa direction, si ce qu’a révélé, hier, le président Hannachi est vrai.

«Belkalem le sait, car le président de la FAF le lui a dit»
Toujours d’après les propos du président de la JSK, Belkalem est au courant de sa situation avec son club. «Belkalem sait qu’il est sous contrat avec la JSK jusqu’à décembre 2013. Le président de la FAF le lui a dit.»

«Il a pris 650 millions de centimes et il ne reste que 4 mensualités»
Poursuivant ses révélations, le président Hannachi dément que son international défenseur joue gratuitement. «Je vous informe que Belkalem a déjà pris 650 millions de centimes et il ne lui reste que 4 mensualités à percevoir. Dire qu’il joue gratuitement, c’est totalement faux.»

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Hannachi : «Sandjak avait un salaire de 220 millions et c’est un membre du CA qui lui payait ses dîners»
Le président Hannachi ne rate aucune occasion pour descendre en flammes son désormais ancien entraîneur, à savoir Nacer Sandjak. Bien que ce dernier soit parti depuis plusieurs jours, le président de la JSK fait le maximum pour tenter de lui nuire. Au cours de l’émission Studio Foot d’Echourouk TV, il a rajouté une couche en affirmant que Sandjak percevait un salaire de 220 millions de centimes et que c’était un membre du conseil d’administration qui lui payait à chaque fois ses dîners. «On avait mis à sa disposition deux appartements. Il touchait une mensualité de 220 millions de centimes par mois et malgré ça, c’était un membre du CA qui lui payait ses dîners», a-t-il confié. L’entraîneur Sandjak ne va certainement pas apprécier même s’il sait que la direction actuelle fera tout pour porter atteinte à sa réputation.

«Il avait insisté pour qu’on recrute Bouchouk pour ne pas le faire jouer par la suite»
Le président de la JSK tient toujours rancune à son désormais ex-coach. Il a tenu à se défendre concernant le recrutement opéré au dernier mercato hivernal en soulignant par exemple que c’est Sandjak qui avait insisté pour que la direction engage l’attaquant Saïd Bouchouk. «C’était Sandjak qui avait tout fait pour qu’on ramène Bouchouk pour qu’il le laisse sur le banc par la suite.»

«Il ne faisait pas aussi jouer Belakhdar, Bouaïcha et Mekaoui»
Toujours remonté contre Sandjak qu’il tient responsable du parcours mitigé enregistré par l’équipe en cette phase retour, Hannachi se dit surpris par les choix de son ancien coach. «En plus de Bouchouk, il ne faisait pas jouer Belakhdar, Bouaïcha et Mekaoui. Ces joueurs ont des qualités, mais Sandjak ne composait pas avec eux.»

«Depuis deux semaines, on est tranquilles»
Le président Hannachi avoue qu’après le départ de Sandjak, une ambiance bon enfant règne au sein de l’équipe. «Maintenant, on est tranquilles. Il n’y a pas le feu à la JSK. Au contraire, tout baigne dans l’huile et les joueurs sont animés d’une grande volonté pour terminer la saison en beauté. Je crois en eux et je suis convaincu que la JSK reviendra en force.»

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Hannachi : «On tranchera sur le futur entraîneur dans 15 jours»
En abordant ses projets pour la saison prochaine notamment la question relative au futur entraîneur, Hannachi a indiqué qu’il tranchera sur le sujet dans deux semaines. «Effectivement, j’ai reçu plusieurs CV, mais je n’ai rien décidé pour le moment. Je trancherai sur la question du futur entraîneur dans une quinzaine de jours», précisera Hannachi. Au sujet de savoir si le futur entraîneur de la JSK sera un étranger, Hannachi confie : «Ce ne sera pas forcement un étranger. Mais au risque de me répéter, je n’ai rien décidé.»

«On recrutera un ou deux joueurs à l’intersaison»
Persuadé que la JSK dispose d’un effectif de haut niveau, le président Hannachi compte juste le renforcer avec un ou deux joueurs. «Je dis et je le répète, on a une bonne équipe, mais Fabbro et Sandjak ont perdu 39 points. C’est à cause d’eux que l’équipe se retrouve au milieu du tableau. Pour la saison prochaine, je garderai l’ensemble de l’effectif et je le renforcerai seulement avec un ou deux joueurs», a-t-il dit. Concernant ses priorités, le président Hannachi n’a pas souhaité s’étaler sur le sujet.

«Il y a des gens dont des anciens joueurs qui veulent casser la JSK»
Au moment où la plupart des supporters estiment que si la JSK va mal, c’est à cause de la gestion approximative de la direction actuelle, le président Hannachi trouve toujours le moyen pour faire porter le chapeau à d’autres. Il a déclaré en effet hier sur Echourouk TV que si la JSK va mal, c’est à cause de certaines gens qui veulent la casser. Il a même accusé deux anciens joueurs sans les citer de vouloir créer la zizanie au sein de l’équipe. «La JSK évolue devant des gradins vides, car certaines personnes dont deux anciens joueurs font tout pour saboter le club. Tous les moyens sont bons pour eux pour arriver à leurs fins. Ils appellent même à des marches sur les réseaux sociaux, mais ils n’atteindront jamais leur but. Je leur dirais que la JSK se porte bien.»

«Je n’ai pas contacté Medane»
Le nom de Hakim Medane revient avec insistance ces derniers jours dans l’entourage du club. Mais le président Hannachi a démenti tout contact avec son ancien manager. «Je n’ai pas contacté Medane», a-t-il souligné. Il faut dire qu’à chaque fois que l’équipe va mal, les proches de Hannachi annoncent le retour de Hakim Medane.

«Notre objectif est d’avoir une grande équipe»
Le plus intrigant dans les déclarations de Hannachi, c’est qu’un jour il annonce son départ et l’autre jour, il parle de ses projets pour 2015. Sur son objectif, le président Hannachi n’a pas hésité un seul instant à dire que son ambition est d’avoir une grande équipe d’ici deux ans. «Avec le nouveau stade, on doit avoir une grande équipe dans les deux années à venir. On ne peut pas se permettre de ne pas être à la hauteur. »

Ce qu’il a rajouté
-En 2010, la CAF et … nous ont cassés en Champions League en refusant aux deux présidents des deux clubs de s’assoir sur le banc. Cet aveu veut tout dire.
-Il faut avoir un effectif riche pour la coupe d’Afrique.
-Pour les libérés, on verra à la fin du championnat.
-Je félicite le MOB pour son accession. C’est un plaisir d’avoir trois clubs de la région en D1.

La direction a payé Belkalem à la mi-avril
N’ayant pas trouvé d’accord avec son international défenseur lorsqu’il l’a reçu dans son bureau, le président Hannachi a instruit ses dirigeants, il y a près de 10 jours de cela, de verser la somme de 650 millions de centimes à son joueur. C’est pour cela qu’il y a eu tout cet imbroglio sur le cas de Belkalem.

Compétition (22/04/2013)

JSK : Hannachi veut un attaquant de la trempe de N’jeung

Quelques semaines seulement avant la fin de la saison, les dirigeants de la JSK pensent d’ores et déjà à l’exercice prochain. L’objectif sera toujours le même : jouer sur plusieurs fronts et, pourquoi pas, remporter le 15e trophée qui fuit la maison kabyle depuis 2008. En effet, le président Hannachi, qui s’est précipité pour se séparer de Nasser Sandjak, après l’amère défaite concédée contre le Mouloudia d’Alger (voire d’autres raisons que tout le monde connaît), a annoncé dernièrement que plusieurs CV d’entraîneurs lui ont été proposés. Mais, jusqu’à présent, aucune décision n’a été prise. Une réunion entre le boss et les membres du conseil d’administration sera programmée au cours de la semaine pour prendre une décision finale. Le moins que l’on puisse dire c’est que le prochain coach de la JSK sera connu cette semaine et qu’il sera choisi par Mahieddine Khalef. Par ailleurs, le premier responsable kabyle a récemment déclaré que la JSK ne recrutera pas plus de deux joueurs. La priorité va, comme à chaque saison, à l’attaque. Selon nos échos, Hannachi rêve de tomber sur un attaquant de la trempe de N’jeung, l’ex-centre avant de la JSMB. «Recruter un vrai attaquant africain a toujours été une priorité. Tomber sur un centre avant de la trempe de N’jeung serait génial», a-t-il dit. Convaincu que la JSK renferme un effectif riche qui aura son mot à dire la saison prochaine, le chairman kabyle aurait décidé de garder la même équipe, se contentant de libérer deux, voire trois joueurs seulement.

Le nouvel entraineur de la JSK sera connu dans les prochains jours
Hannachi compte sur Khalef pour la décision finale !
Le président de la SSPA-JSK, Mohand Cherif Hannachi, a confirmé dans sa dernière sortie médiatique que la désignation du nouvel entraineur, qui viendra en succession de Nasser Sandjak, ne saura tarder à se faire. Il a même laissé entendre que le dossier est officiellement ouvert par la direction, et le nom du nouveau patron de la barre technique sera connu dans les prochains jours. Selon des indiscrétions, on croit savoir que le président Mohand Cherif Hannachi ne sera pas seul, cette fois, dans la décision de nommer un nouvel entraineur. A ce propos, il a confié que plusieurs CV d’entraineurs étrangers sont déjà sur son bureau. Selon une source proche du bureau de la JSK, Hannachi compte cette fois s’appuyer sur un homme de confiance, fin connaisseur du domaine technique et qui n’est autre que l’ancien sélectionneur et entraineur du Jumbo-JET, Mahieddine Khalef. Ce dernier qui malgré son recul des affaires du club kabyle, est resté toujours branché sur l’actualité du club et n’hésitera pas à intervenir pour livrer son point de vue surtout qu’il s’agit là d’une décision très importante et sensible. Ne souhaitant pas rater son choix parmi les offres de services qui ne cessent de tomber au quotidien, Hannachi s’est engagé, selon toujours ses propos, à ramener un entraineur de gros calibre, un entraineur que son entourage ne veut pas être celui qui va assurer l’intersaison et partir juste après et promet aux supporters kabyles que la JSK jouera le titre la saison prochaine.

Le Buteur (23/04/2013)