Inter-Saison [2013-2014]

Officiel : Aouedj pour deux ans à la JSK
Le milieu de terrain du MCO, Sid Ahmed Aouedj (22 ans, né le 2 juillet 1991 à Oran),  vient de parapher son contrat de deux ans à la JSK. Après avoir négocié il y a presque deux semaines avec Yazid Yarichène, président de la section football, et régler son cas avec son désormais ex-club auprès de la Ligue Nationale de Football, le jeune champion du monde militaire officialise sa venue à la JSK. Il devient la troisième recrue officielle de la JSK après Chibane (JSMC) et Madi (NAHD). Lors du championnat 2012/2013, il a inscrit 7 buts pour 25 matchs joués dont 16 comme titulaire.
Dalil

Après Ziad, Boulaïncer, Bouchouk et Khelili
Challali officiellement libéré

C’est à un départ massif des joueurs de la JSK que l’on assiste en cette intersaison. Après Ziad, Boulaincer, Bouchouk et Khelili, c’est au tour de l’attaquant Mohamed Chalali de quitter le club dans les toutes prochaines journées.

En effet, le manager du joueur a rencontré le président Hannachi, dans l’après-midi d’avant-hier, et les deux hommes n’ont pas trouvé de terrain d’entente. Alors que l’agent a demandé que le salaire du joueur soit revu à la hausse, Hannachi lui a répondu que le club n’avait pas les moyens de payer 14 000 euro/ mois, le montant réclamé. Ainsi donc c’est la fin de l’aventure de Chalali avec le club phare de Kabylie, 6 mois seulement après son arrivée. Un autre rendez-vous est par ailleurs prévu entre le manager de Challali et le président Hannachi, pour les tous prochains jours, afin de négocier la lettre de libération du joueur. Selon ses proches, ce dernier choisira sa prochaine destination d’ici 15Jours et restera probablement en Algérie. Le club phare de Kabylie aura ainsi libéré 5 de ses éléments, et ce ne serait pas encore fini. Il court le bruit de l’éventuel départ de Camara, Asselah et Mokdad. Le président Hannachi serait notamment prêt à céder ce dernier, exigeant du club qui le voudrait de payer sa lettre de libération. Si la direction kabyle semble s’être décidée à libérer tout ce beau monde, elle n’arrive, en revanche, toujours pas à faire venir les joueurs qu’elle convoite. En effet, mis à part Chibane et Madi qui ont signé, les Gharbi, Belkaroui et Derrag, pour ne citer que ceux-là, ont eux préféré s’engager ailleurs. Cette situation agace et inquiète les fans kabyles qui souhaiteraient que les dirigeants du club rattrapent tout ce retard, afin d’éviter au club de ne jouer que les seconds rôles comme c’est le cas depuis trois saisons maintenant.

Gourmi  et Zerara ont négocié hier avec Hannachi
Les deux milieux de terrain Toufik Zerara et Khaled Gourmi ont négocié, hier, avec le président Hannachi. Cependant, le trio n’est parvenu à aucun accord. Selon une source autorisée, c’est le volet financier qui constitue le point de désaccord entre Hannachi et les deux joueurs. En effet, les propositions de Hannachi n’ont convaincu ni Zerara ni Gourmi, chacun des deux ayant fait sa propre proposition. Nous attendrons les prochaines heures pour savoir lequel des deux camps aura convaincu l’autre.

Bouaïcha veut récupérer ses papiers
Le milieu de terrain Djamel Bouaicha est très en colère, du fait qu’il ne sait toujours pas ce qu’il va advenir de lui. Annoncé libéré, le joueur n’a toujours pas réussi à avoir ses papiers. S’étant déplacé avant-hier et hier à Tizi-Ouzou, l’ex-pensionnaire du PAC n’a pas pu rencontrer Hannachi, pour la simple raison que le téléphone de Hannachi était éteint. Joint hier après-midi, Bouaïcha n’a pas mâché ses mots : « je ne comprends rien et je suis dégoûté par cette situation. Je me suis déplacé jusqu’à Tizi-Ouzou à deux reprises, en vain. Si on a décidé de me libérer, qu’on me donne mes papiers. J’ai des propositions et je veux les négocier. Tant que je n’ai pas récupéré mes papiers, je ne peux rien faire », nous a-t-il déclaré.

DDK (19/06/2013)

JSK : 150 millions à Gourmi

Comme nous l’avons annoncé dans notre précédent numéro, l’international A’, Khaled Gourmi, qui est rentré de France, hier matin, après quelques jours de repos, a rencontré le premier responsable de la SSPA/JSK, Mohand-Cherif Hannachi. Les deux hommes sont rentrés directement dans le vif du sujet, car le contact a commencé, faut-il le rappeler, depuis plusieurs semaines. Ainsi, le président kabyle a, selon une source crédible, fait sa proposition financière, en lui rappelant l’intérêt assez particulier que lui porte la JSK pour l’enrôler cet été. Selon certaines informations, on croit savoir que le montant proposé par Hannachi avoisine les 150 millions de centimes par mois et quelques mensualités d’avance. Concernant le challenge sportif, Hannachi a également expliqué à Gourmi le projet que compte mener la JSK la nouvelle saison, celui de renouer avec les titres.

Gourmi a fait son offre, ça coince !
Pour sa part, le joueur le plus sollicité cet été par de nombreuses équipes, après avoir pris connaissance de la proposition du président Hannachi, a jugé utile d’en faire la sienne. En d’autres termes, l’offre de Hannachi ne l’a pas emballé. Se fiant aux propos du joueur (voir déclarations), les deux offres se rapprochent, néanmoins, les négociations n’ont pas abouti. Ainsi, les deux parties ont prévu une deuxième rencontre.

Un 2e round de négociations dans 48 heures
Après la rencontre, les deux hommes se sont donné rendez-vous pour se revoir dans deux jours, afin de reprendre les négociations et voir s’il y a possibilité de s’entendre. Ainsi, durant ce temps-là, il se pourrait que le joueur change d’avis en optant pour une autre équipe, sachant qu’il est convoité par plusieurs clubs.

Boulhabib et Haddad risquent de barrer la route à la JSK
Comme révélé par nos soins, la JSK n’est pas le seul club à être sur les traces du jeune milieu de terrain Gourmi. En effet, le CSC et l’USMA, pour ne citer que ces deux formations, le courtisent depuis plusieurs jours. Selon nos informations, le président Boulhabib du CSC devait le rencontrer hier soir. D’après nos échos, son offre dépasse largement celle de la JSK, ce qui laisse supposer que le joueur sera fixé bien avant de rendre sa réponse à Hannachi.

«Hannachi m’a fait sa proposition, et moi la mienne, réponse dans 48h»
Joint par nos soins, le milieu de terrain Gourmi nous dira : «Comme je vous l’avais dit, j’ai rencontré le président de la JSK ce matin à Alger. Nous avons donc parlé de plusieurs points inhérents à ma venue à la JSK cet été. De son côté, Hannachi m’a fait une offre. Quant à moi, j’ai fait la mienne. En principe, dans quarante-huit heures, on va se revoir pour décider.»

«Les deux propositions se rapprochent et je n’ai pas fermé la porte du dialogue»
Aussi, le joueur nous a ajouté : «Je vous assure que les deux propositions se rapprochent. C’est pour cette raison qu’on s’est donné au moins deux jours de réflexion. Par ailleurs, je ne vous cache pas que d’autres clubs m’ont fait d’autres propositions et je n’ai fermé la porte à personne.»

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Hannachi contacte officiellement Zerara
Après un premier contact, le président Moh Cherif Hannachi a pris à nouveau attache avec Toufik Zerara pour lui proposer l’idée de rejoindre le club kabyle cet été. Le joueur était très clair dans son discours, puisqu’il a exprimé le vœu de venir, à condition de trouver un accord avec son agent. A en croire certaines sources, le président Hannachi aurait même fait une offre au joueur. Même si ça parle de 170 millions/mois, rien n’a été conclu entre le président et l’agent du joueur. Par ailleurs, les responsables du club kabyle ont invité l’agent du joueur à venir négocier sur place, histoire d’avoir une meilleure idée sur l’offre financière.

Il reçoit des offres quotidiennement
Comme nous l’avons déjà rapporté, Zerara reçoit quotidiennement des offres de la part du CSC, de l’USMA, l’ESS et la JSMB. Ces quatre clubs ont tous fait une offre, probablement supérieure à celle de la JSK. Ce qu’il faut toutefois savoir, c’est que Zerara prendra pour le moment tout son temps avant de trancher, c’est du moins ce que le joueur nous a confié dans sa déclaration.

«Le président m’a appelé, mais je n’ai pas encore négocié»
De son côté, le joueur nous a confirmé l’appel de Hannachi. Il nous dira : «J’ai discuté avec le président Hannachi au téléphone. Il m’a fait part de son idée de me voir jouer à la JSK. Je lui ai fait savoir que cette idée m’intéressait. Par la suite, je l’ai orienté vers mon agent qui s’occupe de mes contacts. S’il y a une offre intéressante, je signerai à la JSK. Pour l’instant, je n’ai pas encore négocié, car j’ai d’autres offres.»

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La décision a été prise

Aucun joueur sous contrat ne sera contacté
Le recrutement à la JSK a débuté, avant même la fin du championnat. Du moment que le club ne jouait pour aucun objectif, les dirigeants kabyles, qui avaient ciblé plusieurs joueurs, avait ouvert le marché des transferts par le recrutement de Youcef Chibane et Aymen Madi. Depuis, plusieurs joueurs ont été annoncé proches de la JSK, mais aucun d’entre eux n’a officiellement paraphé son contrat. Lorsque nous avons demandé au président Hannachi de nous donner des explications, il a tenu à dire : «Mis à part un seul joueur, la JSK n’a jamais fait de proposition à qui que ce soit.» La méthode est simple, le joueur qui espère augmenter sa cote n’aura qu’à utiliser la JSK pour devenir la cible d’autres clubs. Pour ne pas tomber encore une fois dans le piège, les responsables kabyles ont pris la décision de ne contacter que les joueurs libres de tout engagement. Du coup, tous les joueurs liés avec leurs clubs respectifs ne seront plus approchés.

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La piste Limane toujours d’actualité
Malgré le fait que les responsables de la JSK aient décidé de compter sur le gardien de but, Mohamed Amara, qui sera promu en seniors, à partir de la saison prochaine, nous avons appris d’une source généralement bien informée que les collaborateurs du président Hannachi suivent de très près la piste du gardien de but harrachi, Limane. Toutefois, il faut dire qu’aucune offre ne sera proposée au keeper, du moment qu’il n’a pas encore récupéré sa lettre de libération. Autrement dit, les négociations pourraient débuter, une fois le joueur officiellement libre.

Sa libération coûtera 500 millions
Pour qu’il soit libre, Houssem Limane, le gardien de but que suit la JSK depuis quelques temps, devrait racheter sa lettre de libération. Seulement, nous avons appris que la direction de l’USMH lui a fixé la somme de 500 millions pour pouvoir être libre. Un montant que le joueur ne pourra jamais verser, lui qui n’a pas touché de salaire depuis 5 mois. Renseignement pris, le keeper est capable de ramener seul sa lettre de sortie, avant de choisir librement sa prochaine destination.

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Salif Ballo, le Malien que  la JSK veut enrôler, sera la semaine prochaine à Tizi
Comme nous l’avons rapporté dans notre édition d’hier, l’entraîneur kabyle a supervisé quelques vidéos d’attaquants africains proposés cet été à la JSK. On a appris d’une source sûre que la piste du jeune international Salif Ballo tiendrait la route. Selon une source proche du dossier recrutement, Salif Ballo est en contact permanent avec le président de la SSPA/JSK, et c’est le joueur qui intéresse beaucoup la JSK.

Il a évolué au Turan Tauz en Azerbaïdjan
Concernant sa carrière, ce joueur vient de terminer la saison au club Turan Tauz, du championnat d’Azerbaïdjan, classé à la 9e place. A travers ses statistiques, Sali Ballo a marqué onze buts sur les sept matchs qu’il a joués durant le précédent exercice, un volume de jeu loin de la moyenne.

Hannachi a tranché : une invitation lui parviendra dans les prochaines heures
Lors de sa dernière intervention au Buteur, le président Hannachi a clairement annoncé que la JSK est sur la piste d’un seul attaquant africain, lequel devra recevoir une invitation dans les prochaines heures. En principe, il est attendu pour la semaine prochaine. Une source crédible nous a révélé que ce joueur ne subira pas de tests.

Aït Djoudi l’a supervisé et a donné son OK avant de partir au Maroc
Aussi, le nouvel entraîneur kabyle, Aït Djoudi, a, dès qu’il a donné son accord de principe pour prendre en main l’équipe première pour la nouvelle saison, été mis au parfum des principaux axes retenus pour le recrutement. C’est ainsi qu’il a visualisé certaines vidéos du joueur, avant de se rendre au Maroc. Aït était satisfait globalement de lui et aurait même donné son accord pour lui adresser une invitation.

Fiche technique
Nom : Ballo
Prénom : Salif
Date de naissance :
22 août 1988 au Mali
Poste : milieu offensif/
 attaquant

Le Buteur (19/06/2013)

Négociations aujourd’hui entre Aït Djoudiet le MAS de Fès

Comme nous l’avons annoncé dans notre précédente édition, l’entraîneur kabyle, Aït Djoudi, s’est déplacé au Maroc, avant-hier soir. Il devrait rencontrer les responsables du MAS de Fès, le président Merouane Benani, pour la résiliation de son contrat à l’amiable et rentrer au pays. En arrivant à Fès, Aït Djoudi a pris rendez-vous avec lui ce matin pour négocier sa lettre de libération. Pour rappel, Aït Djoudi est toujours sous contrat avec le club marocain de Fès pour une nouvelle année, et son retour demeure tributaire de l’accord qu’il devra trouver avec nos voisins.



«On essayera de trouver un accord»
Joint par nos soins, Azzedine Aït Djoudi nous a fait savoir qu’il a pris attache avec le président de la formation du MAS de Fès. Un rendez-vous était organisé pour discuter de tout ce qui a trait à sa demande de résiliation. À ce propos, il nous confie : «Effectivement, je suis au Maroc pour rencontrer les dirigeants du MAS de Fès. Le rendez-vous est pris avec le président du club lui-même pour ce mercredi, afin d’essayer de trouver un accord.» Aït est très attendu à la JSK pour débuter sa mission, sachant qu’il ne reste que deux semaines pour la reprise des entraînements.

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Idrès contacte Berchiche
Si ce n’était que des touches au départ, la piste Berchiche devient de plus en plus crédible, du moins depuis l’appel de Samy Idrès il y a moins d’une semaine de ça. En effet, l’actuel président du CSA a contacté officiellement le défenseur du MCEE, pour lui faire une offre. De son côté, Berchiche n’a pas écarté l’idée de revenir à la JSK cet été, du moment qu’il souhaite se rapprocher de son domicile familial. Après deux saisons à El Eulma, Berchiche a exprimé à plusieurs reprises le souhait de changer d’air. Pour l’instant, les négociations avancent dans la discrétion la plus totale, sur demande du joueur qui a refusé de s’exprimer.
Le joueur a parlé à Hannachi au téléphone
D’après la même source d’information, Berchiche a parlé une ou deux fois au président Moh Cherif Hannachi. La dernière fois que les deux hommes se sont parlé est le jour où Idrès a appelé le joueur. Dans son discours, Hannachi n’a pas caché son souhait de voir le joueur revenir une nouvelle fois à la JSK. De son côté, Berchiche s’est dit prêt à ouvrir une nouvelle page après le différend avec le boss. Ce qui est certain, c’est que les deux parties sont tombées d’accord pour un nouveau contrat au club.
S’il obtient sa libération du MC El Eulma,il signera à la JSK
Toutefois, il ne reste qu’un seul détail à régler avant le retour de Berchiche à la JSK, c’est bien la lettre de libération du joueur. A ce sujet, Hannachi fut très clair sur la question. Il a demandé au joueur de ramener sa lettre de libération et de venir signer au club. A l’heure actuelle, Berchiche négocie sa libération avec les dirigeants eulmis, même si cette opération est loin d’être réglée. Affaire à suivre…

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On parle de Salem Gaci comme futur adjoint de Aït Djoudi
Selon des indiscrétions, l’entraîneur kabyle, Azzedine Aît Djoudi, sera assisté par Salem Gaci en sa qualité d’entraîneur-adjoint, avec qui il a déjà exercé au NAHD, notamment. Notre source nous a confié que le président Hannachi a rencontré Salem Gaci, avant-hier à Tizi, pour évoquer la question. Pour rappel, le président de la JSK avait annoncé à maintes reprises que c’est Mourad Karouf qui sera l’adjoint d’Aït Djoudi, et aux dernières nouvelles, l’intéressé ne pourrait revenir, du moins pour l’instant, et ce, pour des raisons personnelles. 

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Voici à quoi ressemblera le nouveau staff
Si Aït Djoudi résilie officiellement son contrat avec la direction du MAS de Fès, le nouveau staff de la JSK pour la nouvelle saison sera connu dans les 48 heures qui suivront le retour d’Aït Djoudi à Tizi. D’après nos sources, le nouveau staff est quasiment installé et il ne reste qu’à officialiser les choses. D’après la même source, c’est le président Hannachi qui a décidé de mettre fin aux rumeurs sur les noms des personnes qui travailleront avec le nouvel entraîneur en chef. De ce fait, l’ex-sélectionneur olympique sera l’entraîneur en chef de la JSK. Il sera assisté de Mourad Karouf au poste d’adjoint, ainsi que d’Omar Hamenad au poste d’entraîneur des gardiens. Quant à Gaci, on croit savoir qu’il occupera soit le poste de second assistant, ou de superviseur pour l’équipe senior, comme l’a souhaité Azzedine Aït Djoudi.

Le programme du stage estival tracé
Le désormais nouvel entraîneur de la JSK, Azzedine Aït Djoudi a exprimé le vœu d’effectuer deux stages de préparation cet été. Le premier débutera deux jours après le début du mois de Ramadhan en Tunisie. La délégation séjournera durant une dizaine de jours pour un stage purement physique, par la suite, l’équipe rentrera à nouveau à Alger, avant de s’envoler à Hammam Bourguiba juste après le mois sacré du Ramadhan. Ce second stage s’étalera sur une dizaine de jours et sera consacré au volet technico-tactique, où l’équipe disputera plusieurs matchs amicaux avant de disputer le premier match de championnat.

Le Buteur (19/06/2013)

Aït Djoudi rencontrera aujourd’hui Bennani


Se trouvant à Fès depuis lundi soir, Azzedine Aït Djoudi ne rencontrera finalement le président du MAS, Merouane Bennani, qu’aujourd’hui. L’entrevue était prévue hier, mais comme Bennani avait un empêchement de dernière minute, elle a été ajournée à aujourd’hui. Si Aït Djoudi trouve un accord avec son employeur, il devra rentrer au pays demain afin de signer son contrat avec la JSK.
 
Qui a conseillé Salif Ballou à la JSK ?
Opérant dans le championnat d’Azerbaïdjan, plus précisément au sein de l’équipe de Turan Tovuz, Salif Ballou sera à coup sûr engagé par le président Hannachi. L’entraîneur Azzedine Aït Djoudi a visionné dernièrement les cassettes du joueur et n’a pas hésité à donner son accord pour son recrutement. Une invitation lui sera envoyée incessamment. Sa venue à Tizi Ouzou est prévue à la fin de ce mois.

Compétition (19/06/2013)

Hannachi fait son offre à Gourmi

Le milieu de terrain Khaled Gourmi ne s’est pas entendu sur le plan financier avec le président Hannachi lors des négociations qui ont eu lieu hier.

En effet, la proposition du président kabyle au milieu de terrain de l’ESS n’a pas plu à ce dernier. D’ailleurs, en jugeant que Hannachi ne l’a pas estimé à sa juste valeur, Gourmi a fait lui-même sa proposition au président  kabyle. Toutefois, les deux parties se sont quittées sans qu’aucun accord ne soit trouvé. Ainsi donc, après plusieurs journées de pourparlers avant le rendez-vous d’hier, Hannachi n’a pas réussi pour le moment à convaincre Gourmi d’endosser le maillot jaune et vert.

Ayant réussi seulement à faire venir Madi et Chibane, Hannachi mise sur Gourmi pour renforcer l’effectif, néanmoins, le volet financier constitue  le point de désaccord entre les deux hommes.

Une rencontre dans les prochaines 48h
Les deux hommes ont convenu de se rencontrer à nouveau après que chacun d’eux ait fait sa proposition. En d’autres termes, aussi bien Hannachi que Gourmi, ils sont encore ouverts à toute proposition éventuelle et sont prêts à en discuter.

En résumé, on ne sait pas si Hannachi est prêt à revoir sa proposition à la hausse pour convaincre Gourmi, et si ce dernier est prêt à faire des concessions pour tenter de trouver un accord. Tout sera clair dans les prochaines heures et les supporters attendent pour savoir si Gourmi viendra à la JSK ou s’il choisira un autre club.

Gourmi : «Hannachi doit faire un effort pour me convaincre»

Le milieu de terrain Khaled Gourmi que nous avons joint hier après-midi nous a affirmé qu’il n’a pas trouvé un accord avec le président Hannachi. Il nous a fait savoir qu’il a fait sa proposition et que la balle maintenant est dans le camp de Hannachi.

- Vous avez rencontré le président Hannachi, mais il semble que vous n’avez pas trouvé un terrain d’entente…
- Effectivement, j’ai discuté avec le président Hannachi sur mon probable recrutement à la JSK et on a abordé plusieurs sujets. Toutefois, on n’a pas trouvé de terrain d’entente. Il m’a fait une proposition, et moi, j’ai fait la mienne.

- Donc, le point de désaccord est d’ordre financier ?
- Exactement. On ne sait pas entendus sur la somme qu’il m’a proposée et c’est pour cette raison que j’ai fait la mienne. Cependant, on s’est mis d’accord pour se revoir dans les prochaines 48h, et en principe, je donnerai ma réponse définitive.

- Et quelles sont les chances de vous voir endosser le maillot jaune et vert la saison prochaine ?
- La balle est dans le camp de Hannachi. Je veux qu’on m’estime à ma juste valeur, et si cela se concrétise, je signerai sans le moindre problème. J’ai fait ma proposition et j’espère qu’on trouvera un terrain d’entente. Tout sera clair dans les deux prochains jours.

Compétition (19/06/2013)

JSK-Zerrara : «Oui, j’ai rencontré Hannachi, mais je n’ai rien décidé»

Auteur d’une belle saison avec la JSMB, Zerrara fait l’objet de plusieurs convoitises en cette intersaison. En plus de l’ESS et du CSC qui font le maximum pour l’enrôler, la JSK fait de lui sa première priorité. La JSMB ne veut pas le lâcher aussi.

- Un dirigeant de la JSK nous a confié que vous avez rencontré ce matin le président Hannachi, qu’en est-il au juste ?
- Absolument. J’ai rencontré le président Hannachi et il m’a fait part de l’intérêt qu’il me porte.

- Comment s’est passé ce premier rendez-vous avec le président de la JSK ?
- Les choses se sont bien passées. J’ai fait savoir au président Hannachi que c’est mon manager qui s’occupe des négociations. Il l’a d’ailleurs appelé pour entamer les pourparlers avec lui.

- On croit savoir que vous faites partie des priorités de Hannachi pour la saison prochaine ?
- C’est flatteur pour moi. J’avoue, néanmoins, que je n’ai rien décidé.

- On sait que plusieurs formations sont sur vos traces, avez-vous une préférence pour l’une d’elles ?
- Ce qui compte pour moi, c’est le challenge sportif. C’est vrai que j’ai reçu plusieurs offres, mais je n’ai rien décidé. La JSK est un grand club, mais je veux prendre tout mon temps avant de trancher. D’ailleurs, je n’ai rien promis à Hannachi lorsque je l’ai rencontré.

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Hannachi a négocie hier avec Zerrara
Comme nous l’avons rapporté dans l’une de nos précédentes éditions, le président Hannachi fait du recrutement de Zerrara sa première priorité en cette intersaison. Il l’a rencontré, d’ailleurs, hier, en lui disant qu’il le veut coûte que coûte dans son effectif. En tant que professionnel, Zerrara a orienté le président Hannachi vers son agent, tout en lui assurant qu’il sera honoré de porter le maillot des Jaune et Vert, s’il trouve un accord avec lui. C’est ce que nous a confié un responsable kabyle qui a ajouté que l’intérêt que porte le président Hannachi au milieu gauche de la JSMB ne date pas d’aujourd’hui. Le président de la JSK avait chargé il y a quelques semaines de cela le secrétaire de l’équipe seniors, Saïd Boukhari, pour entamer les pourparlers avec Zerrara, mais pour des raisons qu’on ignore, le président Hannachi a attendu plusieurs jours avant de prendre le relais. D’après toujours notre interlocuteur, le président de la JSK a fait son offre au milieu de la JSMB. La proposition de Hannachi est en-deçà des attentes du joueur, mais comme les deux hommes se sont promis de se revoir encore une fois, il n’est pas à écarter qu’ils trouvent un accord, surtout que l’un comme l’autre est prêt à faire des efforts pour parvenir à un accord. Si le président Hannachi parvient à finaliser avec lui, il calmera un peu les supporters qui ne cessent d’exiger un recrutement de qualité. Mais pour engager Zerrara, le président Hannachi doit mettre le paquet, car ce joueur fait partie des meilleurs éléments de notre championnat.

Compétition (19/06/2013)

Dernière minute : Aït Djoudi ne pourra pas entrainer la JSK.
Selon des sources proches du MAS de Fès (Division 1, Maroc), l’entraineur Azzedine Aït Djoudi ne serait pas parvenu à un accord avec les dirigeants du club marocain pour une séparation à amiable. Le président Bennani aurait exigé de l’entraineur algérien de lui restituer douze mois de salaire pour obtenir sa libération, chose qu’Aït Djoudi ne peut satisfaire. On ignore si les deux parties auraient prévu une autre réunion ou pas.

Une chose est sûre, Aït Djoudi s’éloigne de la JSK et la direction du club kabyle doit se mettre à nouveau à la recherche d’un autre entraineur. Le sort de Aomar Hamened, qu’Aït Djoudi voulait comme entraineur des gardiens de buts est aussi scellé. Le président Hannachi ne veut pas de lui. A quelques semaines de la reprise, la JSK est toujours sans entraineur.
Rédaction

JS Kabylie : Afin de lui accorder sa lettre de libération
Le MAS exige 8 mois de salaire à Aït Djoudi

Le MAS de Fès ne semble pas prêt à libérer son entraîneur algérien, Azzedine Aït Djoudi, annoncé officiellement de retour à la JS Kabylie. Parti au Maroc, avant-hier, pour négocier la résiliation de son contrat avec le MAS de Fès, club avec lequel il est encore lié jusqu’en 2014, Aït Djoudi s’est vu exiger, lors de son tête-à-tête, hier matin, avec le président Merouane Bennani, le payement de 8 mois de salaires contre le fameux sésame. Les deux hommes devaient se revoir, dans la soirée d’hier, afin de trouver un compromis qui arrangerait les deux parties, surtout qu’Aït Djoudi s’est déjà mis d’accord avec la direction de la JSK pour prendre les rênes de la barre technique. Toutefois, Aït Djoudi aurait conditionné son retour aux affaires de la JSK par la venue d’Aomar Hamenad, comme  entraineur des gardiens de buts, faute de quoi il pourrait renoncer à son projet.

DDK (20/06/2013)

JSK : Aouedj, 3e recrue kabyle !

C’est désormais officiel, Sid Ahmed Aouedj jouera bel et bien à la JSK ! C’est dans la matinée d’hier que tout a été conclu entre le joueur et la direction, avant de présenter le joueur à la presse en début de soirée. Pisté par le CSC depuis des semaines, Aouedj a fini par opter pour la JSK. Après Chibane et Madi, les dirigeants du club kabyle ont réussi la première grosse opération, depuis le coup d’envoi du marché des transferts. Toutefois, il faut dire que les responsables du club kabyle ont eu beaucoup à faire pour conclure la transaction. Et pour cause, le joueur, qui a déposé son dossier au niveau de la commission des litiges, n’était pas certain d’obtenir sa lettre de libération. En outre, d’autres formations sont entrées en contact direct avec le joueur pour s’attacher ses services. Les dirigeants du CSC lui ont même proposé 200 millions/mois avec une avance de 8 mois. Ça n’a pas été facile de convaincre le joueur de faire des concessions sur le plan financier et d’opter pour la JSK. Maintenant que c’est fait, Hannachi peut se pencher sur les cas Gourmi et Zerara qui sont en négociations très avancées avec la direction.

C’est Hannachi qui a récupérésa lettre  de libération
C’est le président Hannachi, en personne, qui s’est déplacé dans la matinée d’hier au siège de la Ligue pour récupérer la lettre de libération de Aouedj. Dès qu’il l’a reçue, le président a contacté le joueur pour le mettre au courant. C’est à ce moment-là que Aouedj a quitté Oran pour rejoindre la capitale, afin d’officialiser les choses. D’après la même source, le secrétaire du club a préparé une demande de licence du joueur, pour compléter le dossier. Aouedj devra pour la même occasion préparer son dossier médical, avant la reprise des entraînements prévue le 1er juillet prochain.

«Je suis à la JSK pour donner une autre dimension à ma carrière»

Maintenant que le présent Hannachi a récupéré votre lettre de libération, peut-on dire que vous êtes officiellement à la JSK ?
Oui. J’ai même reçu une copie de ma lettre de libération. Je suis heureux d’avoir opté pour un aussi grand club que la JSK. Maintenant que cela s’est fait, je suis vraiment soulagé. Cette histoire de lettre de libération m’a beaucoup préoccupé. J’étais vraiment sous pression depuis une semaine, car je ne savais plus quoi faire.

Pourquoi avoir choisi la JSK, alors que vous aviez d’autres contacts ?
Avant tout, je dois dire que c’est une question de mektoub. Aussi, je dois dire que j’ai choisi ce club, car je sais que la JSK donnera une autre dimension à ma carrière. Ce n’est d’ailleurs pas la seule raison puisque le projet sportif dont le président m’a parlé m’a convaincu. Les dirigeants veulent jouer le haut du tableau à partir du prochain exercice. Je veux participer à ce nouveau projet. En plus, la JSK reste le club le plus titré d’Algérie. C’est un honneur de porter les couleurs de ce prestigieux club.

Peut-on avoir plus de détails sur les modalités du contrat ?
Je préfère que ça reste entre les dirigeants et moi. Tout ce que je peux vous dire à ce sujet, c’est que tout s’est déroulé dans de bonnes conditions. On s’est entendus sur tous les points et je suis à présent convaincu de mon choix.

Quel est à présent votre objectif ?
C’est celui de jouer les premiers rôles et de gagner des titres. Je sais que la JSK est un club qui donnera une autre dimension à ma carrière. Je veux réussir. Maintenant, il va falloir réaliser une grande saison à la JSK et, pourquoi pas, décrocher un contrat professionnel en Europe.

La venue d’Aït Djoudi a-t-elle pesé dans votre choix ?
Oui, beaucoup même. C’est un énorme plaisir de travailler de nouveau avec Aït Djoudi. C’est lui qui m’a permis de découvrir le haut niveau, en me donnant ma chance en sélection. Je suis très heureux de le retrouver. J’espère percer davantage sous sa coupe à la JSK. En tous les cas, savoir que c’est lui l’entraîneur a été motivant pour moi.

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Hannachi : «Deux autres joueurs signeront demain»
Moh-Chérif Hannachi était particulièrement soulagé de boucler le dossier Aouedj. «Nous n’avons jamais douté. On est restés sereins malgré tout ce qui a été dit à son sujet. Aouedj est un joueur de qualité qui apportera, j’en suis certain, un plus à l’équipe. Deux autres joueurs signeront demain.»

Le Buteur (20/06/2013)

Zerara donne son OK

Les choses avancent dans le bon sens pour le milieu de terrain, Toufik Zerrara. Déjà, le contact entre le joueur et le président Mohand-Cherif Hannachi est permanent. Avant son retour en France, hier, le joueur a de nouveau parlé au boss Kabyle. Les deux hommes sont tombés d’accord, mais sans pour autant entamer les négociations. Le joueur a fait savoir à Hannachi qu’il va l’attendre en France en compagnie de son agent dans le cas où ils trouveraient un accord commun. L’important aux yeux des dirigeants est que le joueur semble d’accord pour venir à la JSK. Maintenant, il ne reste plus qu’à entamer les choses sérieuses, du moment que l’agent de Zerara reste ouvert à toute proposition.

Il ne reste qu’à trouver un accord sur le montant du salaire
D’après la même source, Hannachi n’a pas abordé l’aspect financier en détail. Toutefois, le boss Kabyle a fait une première offre à Zerara qui tournerait autour de 160 à 180 millions/mois. A l’heurte actuelle, le joueur veut prendre son temps car il reçoit des offres au quotidien, notamment du CSC et de l’USMA. Les deux clubs en question ont proposé une somme faramineuse, supérieure à celle de la JSK. Par contre, le joueur sait que le challenge sportif chez les Canaris est beaucoup plus intéressant, du moment que le club kabyle reste l’un des clubs les plus titrés d’Algérie.

« Ma famille m’encourage à opter pour la JSK »
Joint par nos soins, Toufik nous dira : «La JSK ne se refuse pas. C’est d’ailleurs ce que j’ai dit au président Hannachi lorsqu’il m’a parlé à nouveau. Les membres de ma famille m’encouragent pour venir à la JSK, car c’est un grand club. Je n’espère qu’une chose, que le président trouve un accord avec mon agent. Leur projet m’intéresse, car les responsables veulent relancer le club vers le sommet.»

«Maintenant, c’est entre Hannachi et mon agent»
Avant d’ajouter : «Au risque de me répéter, c’est maintenant entre mon agent et le président. Je suis actuellement en France où je passe mes vacances, après le match annulé face à la Lybie. Pour le moment, je n’attends qu’un signe de mon agent. Si les deux parties trouvent un accord sur l’ensemble des modalités du contrat, je signerais les yeux fermés.»

Le Buteur (20/06/2013)

Le MAS bloque Aït Djoudi !

L’entraîneur Aït Djoudi n’entraînera finalement pas la JSK, la saison prochaine. C’est en tout cas ce qui ressort de la rencontre tenue hier soir entre Aït Djoudi et les responsables du MAS de Fès, à leur tête le président Merouane Bennani, qui ont refusé catégoriquement le départ de leur entraîneur algérien qui a encore une année de contrat à honorer avec le club marocain.

Des négociations très serrées et une augmentation de salaire prévue
Selon les informations qui ont filtré de la rencontre entre Aït Djoudi et les responsables du MAS de Fès, on croit savoir que les négociations étaient très serrées. Les Marocains ont fait savoir à Aït Djoudi qu’ils n’accepteront pas aussi facilement son départ, sachant que tous les moyens ont été mis à sa disposition durant tout l’exercice écoulé et qu’une augmentation assez conséquente de son salaire, en prévision de la deuxième année, est envisagée par la direction du MAS.

Bennani aurait souhaité un préavis de départ de deux mois
Aussi, l’autre détail qui a été abordé au cours de cette rencontre, c’est que le président Merouane Bennani a refusé qu’Aït Djoudi annonce son départ de cette manière inattendue qui aura surpris tous les supporters. Merouane Bennani a estimé qu’Aït Djoudi aurait dû avertir son président en lui faisant part de son départ, au moins deux mois avant.

Le MAS exigé à Aït Djoudi de rembourser une année de salaire
Étant encore lié sous contrat d’une autre année, on savait que le départ d’Aït Djoudi du MAS n’allait pas se faire facilement. Au départ, Aït Djoudi allait se désister de trois mensualités seulement pour obtenir sa lettre de libération, finalement la suite s’est avérée beaucoup plus complexe, dès lors qu’Aït Djoudi a été sommé de rembourser douze mois de salaire pour pouvoir être libre. Voilà donc une condition qu’Aït Djoudi ne pouvait honorer.

Le WAC et El Jadida l’ont attendu jusqu’à la fin des négociations
Selon une personne très proche d’Aït Djoudi au Maroc, on a appris qu’au moment où il était en négociations avec les dirigeants du MAS de Fès, deux clubs ont officiellement réitéré leur intérêt de le voir prendre la barre technique la saison prochaine, à savoir le WAC et El Jadida. Les responsables des deux formations guettaient la moindre information de la réunion pour contacter l’entraîneur algérien.

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Aït Djoudi : «Les dirigeants du MAS de Fès ont refusé de me remettre ma lettre libération»
Contacté par nos soins dans la soirée d’hier, l’entraîneur Aït Djoudi nous a confirmé que les négociations menées pour obtenir sa lettre de libération ne lui permettront pas de pouvoir s’engager avec la JSK. A ce propos, il nous dira : «Je viens de terminer la réunion avec les responsables du MAS de Fès, je vous assure que les négociations n’ont pas été très faciles. Je leur ai bien entendu fait savoir que je souhaitais rentrer au pays et reprendre la JSK, ma seconde famille, qui a sollicité mes services. Malheureusement, ils ont insisté pour que je reste en refusant de me remettre ma lettre de libération.»

«Le MAS a exigé un préavis de deux mois et le remboursement d’une année de salaires»
Au sujet des conditions imposées par les responsables du MAS, Aït Djoudi dira : «Les responsables du MAS m’ont fait savoir que j’aurais dû leur présenter un préavis de deux mois, autrement dit, je devais les tenir informés de mon départ deux mois avant. Aussi, pour ce qui concerne l’aspect financier, on a également exigé de moi le remboursement d’une année de salaires», dira Aït Djoudi.

Le Buteur (20/06/2013)

Gourmi trop gourmand !

Comme nous l’avons rapporté dans notre précédente édition, le président de la JSK, Mohand Cherif Hannachi, a rencontré mardi matin le milieu de terrain Khaled Gourmi, à Alger. C’était la première rencontre depuis l’ouverture du marché estival et durant laquelle le joueur a été annoncé en grande pompe à Tizi. De retour de France où il a passé quelques jours de vacances auprès des siens, après un stage bloqué avec la sélection des A’, Gourmi a pris connaissance au cours de cette entrevue avec le premier responsable de la JSK de la proposition des Kabyles. Aussi, Hannachi a réitéré à Gourmi l’intérêt que lui portait la JSK pour renforcer ses rangs pour la saison prochaine.

Parallèlement, Gourmi a également fait part de sa proposition et les deux hommes se sont séparés non sans se donner rendez-vous, pour trancher. D’après certaines indiscrétions, les exigences de Gourmi seraient excessives. Cela dit, la piste Gourmi est toujours d’actualité, sachant qu’une seconde rencontre est prévue entre Hannachi et le joueur pour étudier la possibilité de trouver un accord.

Le CSC et l’USMA guettent la moindre occasion pour l'avoir
Il n’y a pas que la JSK qui souhaite enrôler Gourmi. En effet, deux autres clubs, le CSC et l’USMA, sont également sur ses traces et les dirigeants guettent la moindre occasion pour détourner le joueur. Une chose est sûre, en cas d’échec des négociations, le CSC et l’USMA sauteront sur l’occasion, surtout que ces deux clubs sont capables de le convaincre de jouer chez eux.

La piste Yakouya toujours d’actualité
Toujours dans le cadre des nombreuses pistes annoncées à la JSK cet été, on croit savoir que le jeune attaquant gabonais, Lionel Yakouya, qui évolue à l’US Bitam, intéresse beaucoup les responsables de la JSK. Selon nos informations, les dirigeants du club gabonais seront à Alger ce samedi, afin de rencontrer les responsables de l’ESS et finaliser le transfert de leur élément Ondo. Par la même occasion, on a appris qu’une autre rencontre avec les dirigeants de la JSK est prévue afin de trancher quant à la piste Yakouya.

Le manager du Capverdien Manich prévoit de rencontrer Aït Djoudi ce samedi
Selon des indiscrétions, le manager du jeune attaquant capverdien, Manich, a prévu de rencontrer l’entraîneur de la JSK, Aït Djoudi, samedi prochain, afin de discuter sur l’éventualité d’un recrutement de l’attaquant Manich cet été.

Pas de prospection chez les jeunes cet été
Contrairement à ce qui se faisait habituellement où le club kabyle organisait des journées de prospection de jeunes talents pour toutes ses catégories jeunes, cette saison, les responsables des jeunes catégories ont préféré reconduire les mêmes effectifs pour la saison prochaine. La JSK, à travers son site web officiel, vient de communiquer les listes des joueurs qui composent les jeunes catégories U21, U19, U17, U16. Les joueurs sont donc invités à constituer leur dossier qu’ils déposeront au siège du club. Par ailleurs et pour ce qui est de l’encadrement technique, seule la catégorie des U21 possède un entraîneur, à savoir Kherroubi, les autres techniciens seront installés incessamment. Ce qui laisse comprendre que les hommes qui étaient en poste la saison dernière ne seront pas rappelés.

La direction confirme l’envoi d’une invitation à Salif Ballo
L’attaquant malien Salif Ballo ne va pas tarder à rallier Tizi Ouzou, avons-nous appris d’une source de la direction. On a appris qu’une invitation a été envoyée au joueur qui devrait en principe entamer les démarches administratives pour l’obtention de son visa d’entrée en Algérie. Selon toujours les informations recueillies à propos de la venue de Salif Ballo, ce dernier ne subira pas des tests, du moment qu’il a retenu l’attention des responsables qui l’ont supervisé à travers quelques vidéos. Il négociera directement son recrutement ici à Tizi, en présence de son manager qui l’accompagnera durant son séjour.

Le Buteur (20/06/2013)

JSK : Le MAS bloque Aït Djoudi

Le retour d’Aït Djoudi à la JSK risque de ne pas avoir lieu. Et pour cause, son employeur Merouane Bennani, le président du MAS de Fès, exige de lui le remboursement d’une année de salaire. Evidemment, cette exigence ne sera pas satisfaite par Aït Djoudi. N’importe quel entraîneur refusera de payer, bien sûr, une somme aussi astronomique pour avoir son bon de sortie.

SI AVANT son départ à Fès, Aït Djoudi n'arrêtait pas d'affirmer qu'il ne trouvera aucune peine pour récupérer sa lettre de libération, il a vite déchanté puisque lors de sa première rencontre avec Merouane Bennani qui a eu lieu mardi soir, celui-ci lui a rappelé qu'il est encore sous contrat et qu'il n'a nullement l'intention de le laisser partir même pour entraîner l'équipe de sa région. Aït Djoudi a fait de son mieux pour lui faire changer d'avis en lui disant entre autres que c'est toute la Kabylie qui le réclame et qu'il ne pourra jamais tourner le dos à la JSK. Les arguments avancés par l'entraîneur kabyle n'ont pas eu l'effet escompté. Et pour mettre un terme aux discussions, Bennani a exigé de lui de rembourser une année de salaire, s'il tient vraiment à partir. Cette condition a refroidi Aït Djoudi surtout que la situation qui prévaut actuellement à la JSK ne l'encourage nullement à faire un tel sacrifice.

Il lui a demandé pourquoi il n'a pas déposé un préavis de démission
En plus d'avoir exigé le remboursement d'une année de salaire, le président Bennani a affirmé à son interlocuteur qu'il aurait dû l'aviser de son départ en déposant un préavis de démission deux mois avant qu'il ne décide de quitter le MAS de Fès. Son équipe est qualifiée à la phase des poules de la coupe de la CAF et il n'a pas le temps de commencer à chercher un entraîneur. Si le président du MAS de Fès continue à camper sur sa position, Aït Djoudi ne viendra pas à la JSK. Le président Bennani a tous les atouts entre ses mains et c'est pour cela qu'il n'est pas inquiet malgré l'annonce par la presse algérienne du départ d'Aït Djoudi du MAS de Fès.

Un 3e round des négociations prévu pour aujourd'hui
Malgré toutes les tentatives d'Aït Djoudi de convaincre son président de lui remettre sa lettre de libération, celui-ci s'est montré inflexible. Il l'a rencontré à deux reprises depuis qu'il est à Fès, mais sans réussir à lui faire changer d'avis. Un troisième round de négociations est prévu pour aujourd'hui et si Aït Djoudi ne trouve pas un accord avec Bennani, on peut dire que sa venue à la JSK risque de tomber à l'eau.

Il regagnera Tizi demain
Quelle que soit l'issue de ses négociations avec son président, Aït Djoudi regagnera la ville de Tizi Ouzou ce vendredi. S'il ne revient pas avec sa lettre de libération, la direction de la JSK se retrouvera dans une situation très embarrassante.

Compétition (20/06/2013)

JSK : Aït Djoudi refuse le chantage !

Parti au Maroc pour négocier sa lettre de libération avec les dirigeants du MAS de Fès, club avec lequel il est encore lié par contrat pour une nouvelle année, l’entraîneur kabyle, Aït Djoudi, s’est vu bloqué par le président du MAS, Merouane Bennani. En effet, c’est dans la soirée d’avant-hier qu’une rencontre a eu lieu entre les deux parties et à l’issue de laquelle il a été décidé de maintenir Aït Djoudi comme entraîneur en chef du MAS, une décision que le concerné dans toute cette affaire a confirmé. Néanmoins, il semblerait qu’en dépit de tout ce qui se dit en ce moment du côté de Fès et toutes ces affirmations de leurs dirigeants concernant le maintien d’Aït Djoudi à la barre technique, ce dernier selon une source digne de foi, refuse toute forme de chantage et menace de jeter l’éponge. Selon les informations recueillies à propos de ce dossier, Aït Djoudi campe sur ses positions et veut rentrer au pays, ce qui, selon ses proches, laisse les chances de le voir entraîner la JSK intactes.

Les dirigeants du MAS sont catégoriques et ne comptent pas le lâcher
Pour leur part, les dirigeants du MAS sont, le moins que l’on puisse dire, catégoriques. Selon eux, Aït Djoudi est parti pour une nouvelle saison avec eux et qu’après la réunion tenue mercredi soir, plusieurs décisions ont été prises dont une révision importante du salaire de l’entraîneur en chef.

Vers une solution à l’amiable
Par ailleurs, au vu de plusieurs paramètres, il n’est pas à écarter qu’une solution à l’amiable soit trouvée et cela permettrait aux deux parties de se séparer sans provoquer le moindre clash, ni gâcher cette grande relation qui unit Aït Djoudi aux responsables du MAS de Fès qui ont toujours été à ses côtés en permanence durant le précédent exercice, ce qui lui a valu une troisième place en championnat marocain, qualificative à la coupe de la CAF.

Voici ce qu’il a confié à ses proches :
« J’ai dit que je rentrais en Algérie et je ne reviendrai pas sur ma décision »
Vraisemblablement, l’entraîneur kabyle est décidé plus que jamais à rentrer au pays et reprendre du service dans le championnat local. Aït Djoudi a confié à ses proches qu’il ne comptait pas revenir sur sa décision et qu’il rentrait au pays.

Au lendemain de la réunion tenue avec l’entraîneur Aït Djoudi à Fès…
Réda Zaïm, secrétaire général du MAS de Fès, déclare : «Aït Djoudi reste avec nous !»
Dans une déclaration audio recueillie sur le site officiel du club marocain, le MAS de Fès, hier, le secrétaire général de cette formation, Réda Zaïm, a confirmé les décisions qui ont sanctionné la réunion tenue mardi, 19 juin, dans la soirée, avec l’entraîneur en chef de l’équipe première, Azzedine Aït Djoudi. En effet, le SG a déclaré qu’Aït Djoudi va rester pour une autre année dans ce club. L’orateur a annoncé une fois encore qu’Aït Djoudi va être présent au tournoi organisé en Arabie Saoudite : «Nous avons tenu une réunion de travail entre les membres dirigeants du MAS de Fès et l’entraîneur en chef Aït Djoudi. Je tiens à annoncer que ce dernier restera au sein de ce club. Aït Djoudi nous a remis la liste des joueurs qu’il compte prendre avec lui en Arabie Saoudite, et nous allons reprendre les entraînements le 24 juin prochain en sa présence».

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Deux clubs marocains l’ont contacté officiellement
La JSK risque de perdre Salif Ballo
Comme rapporté par nos soins, la JSK est sur les traces de l’attaquant malien Salif Ballo. Les dirigeants kabyles qui ont supervisé le joueur en question à travers certaines vidéo ont été satisfaits, notamment Ait Djoudi qui avait donné son OK avant de se rendre au Maroc. Une invitation devait être envoyée au joueur afin de pouvoir entamer les démarches administratives pour rentrer en Algérie et négocier son recrutement avec la JSK. Entre-temps, d’autres clubs sont entrés en lice pour le joueur qu’ils veulent enrôler cet été. Selon une source crédible, deux clubs marocains ont contacté officiellement le joueur, dont un lui a même fait une proposition financière. Aussi, la même source nous a confié que si la JSK n’accélère pas la démarche en invitant le joueur à négocier à Alger, elle risque tout simplement de perdre le joueur en question, qui constitue la cible de plusieurs clubs.


Le Buteur (21/06/2013)

Dernière minute : Selon France Football, Belkalem signe à l'Udinese
L'international algérien Essaïd Belkalem s'est engagé ce vendredi avec l'Udinese pour cinq ans. Suivi par plusieurs clubs de Ligue 1, l'international algérien de 24 ans était en fin de contrat avec la JS Kabylie. Reste à connaître les intentions des dirigeants italiens qui pourraient faire de Belkalem le successeur du Marocain Benatia, en partance pour la Roma. Mais le règlement italien qui limite à deux le nombre de transferts hors de l'Union Européenne pourrait pousser le joueur vers Grenade. Le club espagnol est également la propriété de la famille Pozzo, déjà patronne de l'Udinese et de Watford.

Nous y reviendrons.

Rédaction

JSK : Aït Djoudi décidé à entraîner la JSK

C’est hier matin que le dernier round des négociations entre Aït Djoudi et le président du MAS a eu lieu. Dernier résultat de ces négociations, les responsables du club marocain refusent toujours de laisser partir Aït Djoudi.

Le président Bennani n’a rien voulu savoir concernant le départ de son entraîneur. Néanmoins, Aït Djoudi ne l’entend pas de cette oreille, lui qui est décidé apparemment plus que jamais à entraîner la JSK cette année. Même s’il n’a pas pu récupérer sa lettre de libération à l’amiable comme il l’a souhaité au départ, Aït Djoudi ne compte pas revenir sur sa décision, lui qui a tout réglé avec Hannachi. Certes, à la JSK, les responsables du club sont très inquiets concernant la position des dirigeants marocains, eux qui ne veulent pas revenir à la case départ concernant l’affaire de l’entraîneur. Néanmoins, Aït Djoudi, et à partir du Maroc, a tenu à rassurer ses responsables par téléphone, en leur déclarant haut et fort qu’il sera l’entraîneur de l’équipe pour la saison prochaine.

Il a jeté l’éponge hier soir afin d’avoir le bon de sortie
Pour avoir sa libération et quitter ses fonctions d’entraîneur du MAS, Aït Djoudi a utilisé une nouvelle carte. Il a informé les dirigeants de l’équipe du MAS de Fès, hier soir, de sa décision de quitter la barre technique de l’équipe première. «Je ne peux plus continuer à diriger l’équipe et à travailler ici, je ne suis plus l’entraîneur de MAS», a déclaré Aït Djoudi aux responsables du MAS. Il espère toutefois que les responsables de cette formation changent leur position, car, selon lui, ils ne pourront pas lui forcer la main pour entraîner leur équipe.

Pour lui, la parole n’a pas de prix
Pour Aït Djoudi, la parole n’a pas de prix. «J’ai donné ma parole à Hannachi et je ne reviendrai jamais sur ma parole quel que soit le prix», a déclaré hier soir Aït Djoudi à ses proches. Certes, les responsables du MAS ont proposé une augmentation de salaire à leur entraîneur, mais, ce dernier a tout refusé, lui qui, dans sa tête, est l’entraîneur de la JSK.

Il sera de retour aujourd’hui au pays  et il animera une conférence de presse lundi
C’est aujourd’hui qu’Aït Djoudi devrait rentrer au pays. Une fois à Tizi Ouzou, l’entraîneur de la JSK ou du MAS rencontrera dans un premier temps le président Hannachi afin de tirer plusieurs points au clair avant d’animer une conférence de presse lundi prochain.

Aït Djoudi : «J’entraînerai la JSK quel que soit le prix»
Hier soir, plusieurs amis d’Aït Djoudi ont pris attache avec lui afin d’avoir les dernières nouvelles concernant cette histoire de libération que les responsables marocains refusent de signer. Certes, dans ses réponses, Aït Djoudi était clair avec ses interlocuteurs, en leur expliquant que le président du MAS n’a pas voulu lui signer le fameux bon de sortie, mais, Aït Djoudi a rassuré toutes les personnes qui ont pris attache avec lui concernant son avenir à la JSK. «Moi, je ne vais pas revenir sur ma parole. J’entraînerai la JSK quel que soit le prix. Je suis confiant et optimiste en même temps. Dans ma tête, je suis l’entraîneur de la JSK», déclarait Aït Djoudi à ses proches et à ses amis.

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Composition du staff technique
Aït Djoudi impose ses hommes
En plus de l’affaire de libération d’Aït Djoudi qui a fait les unes des journaux ces derniers jours, une autre affaire à la JSK a fait naitre une polémique. C’est l’histoire de la composition du staff technique d’Aït Djoudi. Ce dernier a d’ailleurs précisé, à maintes reprises, que c’est à lui de désigner ses adjoints et il n’acceptera jamais de travailler avec des personnes qu’il n’a pas choisis. Sur ce plan, Aït Djoudi a imposé son veto et Hannachi a fini par céder à la suite de l’insistance de son entraîneur.

Hamenad, entraîneur des gardiens
Pour le poste d’entraîneur des gardiens qui a fait un grand bruit ces derniers jours, Omar Hamenad est la seule personne qu’Aït Djoudi acceptera. Hamened, de son côté, est prêt à revenir travailler à la JSK et Hannachi qui n’était pas chaud au départ pour l’engager a fini par changer d’avis à la suite de l’insistance de son entraîneur.

Karouf et Gaci, ses deux adjoints
Karouf ne sera pas le seul adjoint d’Aït Djoudi. Ce dernier a même appelé Gaci pour lui demander de le suivre. Néanmoins, Karouf sera le premier adjoint et Gaci le second. Pour rappel, Gaci a travaillé avec Aït Djoudi en EN et au NAHD.

Abdelaziz, préparateur physique
Enfin, pour le poste de préparateur physique, Aït Djoudi a fait appel à Mohamed Abdelaziz, lui aussi a travaillé avec lui en EN. Voilà les conditions de départ d’Aït Djoudi à Hannachi. Ce dernier qui a donné carte blanche à son entraîneur ne pouvait rien dire par la suite.

Compétition (21/06/2013)

JSK : Faly Balou la semaine prochaine à Tizi

Comme annoncé dans nos colonnes, la direction kabyle est intéressée par les services de l’attaquant malien, Faly Balou.

Un attaquant qu’elle veut recruter en prévision de la saison prochaine. A cet effet, le joueur en question devrait rejoindre Tizi Ouzou au cours de la semaine prochaine afin de parapher un contrat avec le club phare de Kabylie. Selon nos informations, cet attaquant malien signera son contrat sans passer par les essais. N’ayant pas pu recruter des attaquants de métier de notre championnat,  le président Hannachi mise sur la piste africaine. Le Malien Faly Balou, pourrait être la première recrue africaine s’il concrétise avec la formation du Djurdjura. Reste à savoir maintenant s’il signera pour le club phare de Kabylie ou bien les responsables kabyles changeront d’avis, c’est ce qu’on saura ultérieurement.

Hannachi à la recherche des oiseaux rares
En optant pour le recrutement d’un attaquant africain, le président Hannachi est à la recherche des oiseaux rares, vu qu’on ne trouve pas d’attaquants de métier dans notre championnat. En plus qu’il n’y a pas des attaquants de métier comme avant. La crise financière qui secoue la JSK pousse le président Hannachi à vouloir recruter des joueurs africains. En résumé, le chairman kabyle est à la recherche d’oiseaux rares en attendant de parvenir à renforcer l’équipe par de grands attaquants, ce qui est très difficile.

Il aura du mal à remplacer les attaquants libérés
Même si la venue de Faly Balou se concrétise, les dirigeants kabyles trouveront toutes les peines du monde pour avoir de bons attaquants. En effet, ce Malien n’est pas sûr de réussir, même s’il signe, en plus que le club a perdu trois attaquants. En fait, les responsables ont libéré Boulaincer et Bouchouk, en attendant Chalali qui attend d’avoir sa lettre de libération. Trois attaquants qui possèdent des qualités et qui seront certainement très difficile à remplacer. Une chose est sûre, c’est que Hannachi pourrait regretter le fait de les avoir libérés, surtout si le club ne trouve pas des attaquants à la hauteur, ce qui sera un vrai casse-tête pour le coach du club

Compétition (21/06/2013)

Hannachi devait rencontrer Gourmi, hier soir
 
C’est hier en soirée que le Chairman kabyle devait rencontrer le joueur Gourmi avec son manager dans un hôtel à Alger, et ce, pour finaliser avec ce dernier.
 
Après le recrutement d’Aouadj
Tizi soulagée, en attendant d’autres joueurs
Ce n’est un secret pour personne, les supporters kabyles sont très inquiets pour leur équipe, qui n’a pas encore  fait un recrutement judicieux. Cependant, la signature d’Aouadj avant-hier les a soulagés un peu. Les fans estiment que l’ex-attaquant du MCO pourrait apporter un plus, en attendant l’arrivée d’autres joueurs. Contrairement aux années précédentes, le président Hannachi a du mal à recruter de grands joueurs, vu que le club souffre sur le plan financier. Très dégoûtés, vu que leur club favori n’a pas réussi à recruter les joueurs ciblés, les fans kabyles ont commencé à perdre l’espoir de voir leur équipe jouer les premiers rôles la saison prochaine. Néanmoins, la signature de l’attaquant Oranais les a soulagés et ils attendent la signature d’autres joueurs lors des prochaines journées.  
Certes, le recrutement d’Aouadj a soulagé les amouruex des Jaune et Vert, toutefois, ils attendent à ce que les dirigeants recrutent de grands joueurs lors des prochaines journées. En d’autres termes, les supporters ne seront contents que lorsqu’ils verront le président Hannachi recruter de grands joueurs, ce qui permettra à l’équipe d’être plus forte la saison prochaine. La balle est donc dans le camp des dirigeants, à leur tête le président Hannachi, pour faire un recrutement judiceux lors des prochains jours, afin de satisfaire les supporters qui sont dégoûtés de voir leur équipe jouer les seconds rôles lors des dernières années.

Mission difficile pour Hannachi
Certes, la demande des supporters d’avoir de grands joueur est légitime, cependant la mission de Hannachi sera très rude vu que le club n’a pas les ressources financières suffisantes pour faire venir des vedettes avec des milliards. Reste à savoir maintenant si le président Hannachi réussira à ramener de grands joueurs pour calmer les fans, c’est ce qu’on saura dans les jours à venir.
K. A.                                                                  
…et on reparle d’Alain Michel                                                              
Selon une source autorisée, on croit savoir que le nom de l’ex-entraîneur du MCA, Alain Michel, a été évoqué par les responsables kabyles pour driver le club phare de Kabylie, si Aït Djoudi n’arrive pas à avoir sa lettre de libération du club marocain, le MAS de Fès. Selon une source proche de la direction, les responsables kabyles comptent se réunir avec le coach Aït Djoudi pour lui demander des explications concernant cette histoire de lettre de libération. Voulant éviter toute mauvaise surprise au cas où Aït Djoudi ne parvient pas à ramener ses papiers, vu que la préparation de l’intersaison est dans quelques jours, les responsables kabyles comptent enrôler Alain Michel. Ainsi donc, on attendra le retour d’Aït Djoudi du Maroc pour voir si ce dernier officialisera son retour à la JSK ou si c’est le technicien français qui prendra la barre technique des Jaune et Vert, et qui succédera à Nacer Sandjak, limogé depuis plusieurs semaines.

Zerrara dès demain à Alger                                                                  
Le milieu de terrain, Toufik Zerrara, sera dès demain, samedi, à Alger. Se trouvant en France, Zerrara ralliera le pays et décidera pour quel club il optera, en prévision de la saison prochaine. Ayant déjà négocié avec le président Hannachi, Zerrara n’a pas rendu une réponse définitive. En principe il rendra sa réponse aux dirigeants kabyles dans les tout prochains jours et les supporters kabyles attendent avec impatience de savoir si Zerrara endossera le maillot Jaune et Vert ou s’il optera pour une autre formation de notre championnat.

Compétition (21/06/2013)

Aït Djoudi est rentré, avant-hier, du Maroc
«Le MAS de Fès refuse de me libérer»

Le coach Aït Djoudi n’a pas trouvé d’accord avec les responsables du MAS de Fès concernant sa lettre de libération, après les négociations qu’il a eu, en deux reprises, avec les dirigeants du club marocain.

Parti au Maroc mardi passé, Ait Djoudi est rentré en Algérie, avant-hier soir, sans avoir en main son bon de sortie, les négociations n’ayant pas abouti. En effet, les dirigeants du club marocain ont refusé catégoriquement de lâcher leur entraîneur en dépit des tentatives de ce dernier de les convaincre. Ils lui ont exigé de payer une année de salaire, tout en lui reprochant de ne pas avoir avisé le club de sa volonté de partir deux mois à l’avance, comme le stipule le contrat. Pour sa part, Ait Djoudi s’est défendu en informant ses dirigeants qu’il doit de l’argent au club et qu’on ne l’a pas encore payé. De plus, il les a informés que c’est  toute une région qui veut son retour à la JSK, une sollicitation qu’il ne pourrait refuser.  Intervenant, hier, sur les ondes de la chaîne une et de la chaîne trois de la radio nationale, l’ex sélectionneur de l’EN olympique a affirmé que pour lui, le MAS de Fès fait partie du passé et que son aventure est finie avec ce club. « J’ai discuté avec les dirigeants marocains à deux reprises, pour une séparation à l’amiable. Toutefois, les négociations ont échoué et le MAS refuse catégoriquement de me libérer. Certes, je devais leur donner un préavis de démission deux mois à l’avance, mais il reste que je dois au club des arriéré de salaires, en plus des primes de matchs et de la prime de la troisième place, ce qui est l’équivalent de six mois de salaires. J’ai fait un écrit, le 1er juin dernier, aux responsables du club, leur demandant de me régulariser, ce qui n’a pas été pas le cas. Pour moi, le MAS de Fès, c’est fini. Je ne vais pas rencontrer les dirigeants car dans ma tête je suis parant », a déclaré Ait Djoudi. Ainsi donc, c’est le flou total concernant cette affaire, en attendant ce qu’apporteront les prochaines heures. Ait Djoudi pourra-t-il entraîner la JSK sans le fameux document de sortie ? L’insistance d’Ait Djoudi pour avoir sa libération finira-t-elle par payer ? Deux questions qui tiennent en haleine tous les supporters Kabyles.

Gourmi devait négocier hier soir
Le milieu de terrain Khaled Gourmi devait négocier, hier soir, avec le président Hannachi. N’ayant pas trouvé d’accord lors du premier round des négociations, Hannachi et Gourmi se sont donnés un autre rendez-vous. Intéressé de jouer à la JSK la saison prochaine, Gourmi nous a affirmé qu’il signera sans le moindre souci s’il trouve un terrain d’entente avec le président Hannachi. Ainsi donc, après la signature d’Aouedj lors des précédentes journées, d’autres joueurs peuvent signer au cours de la semaine en cours, vu que quelques jours seulement nous séparent de la date de reprise des entraînements prévue pour le 1 juillet prochain.

Djebbari va bloquer le transfert d’Aouedj
Le président du MC Oran, Youssef Djebbari, a fait savoir que son club s’est déjà opposé au transfert de son attaquant, Sid Ahmed Aouedj, au profit de la JS Kabylie, après la résiliation de son contrat par la fédération algérienne de football (FAF), pour non-paiement par le MCO de plusieurs mois de salaires. « On compte user de tous les moyens juridiques afin d’annuler la décision de la FAF à propos de Aouedj, et par là même, bloquer son transfert vers la JSK, car ce joueur est encore lié au MCO jusqu’à juin 2014 », a affirmé, hier, le nouveau président mouloudéen dans une déclaration à l’APS. Voila une autre affaire qui risque de chambouler les plans de recrutement du président de la JSK, lui qui n’a réussi, jusque-là, à ne faire signer aucun joueur de renom.                       

DDK (22/06/2013)

Il est rentré jeudi soir de Fès où il a rencontré les dirigeants du MAS
Aït Djoudi : “Dans mon esprit, je suis déjà à la JSK”

Après avoir séjourné durant trois jours au Maroc où il a rencontré, comme prévu, les dirigeants du Maghreb de Fès pour négocier une séparation à l’amiable, l’entraîneur Azzedine Aït Djoudi est finalement rentré à Tizi Ouzou, jeudi en cours de soirée, pour confirmer sa volonté d’entraîner coûte que coûte cette saison le club de son enfance, la Jeunesse sportive de Kabylie.

Certes, au cours de son séjour au royaume chérifien, Aït Djoudi s’était heurté à la réticence des dirigeants du MAS qui s’obstinent à le garder encore pour l’année prochaine, mais voilà que le technicien kabyle ne l’entend pas de cette oreille et compte bien signer son retour à la barre technique de la JSK. Contacté par nos soins hier matin à Tizi Ouzou où il réside avec toute sa famille, Azzedine Aït Djoudi a confirmé toutes les difficultés rencontrées auprès des dirigeants du MAS pour pouvoir se libérer, lui qui a signé, l’an dernier, un contrat de deux ans au profit du club fassi, mais il considère que son club employeur a failli aux termes de son contrat du fait qu’il n’aurait pas été payé durant plusieurs mois. “C’est vrai que j’ai rencontré le président du MAS que je respecte beaucoup et que celui-ci ne veut pas me lâcher, mais dites-vous bien que je vais faire valoir mes droits de libération car je n’ai pas été payé depuis plusieurs mois”, dira Azzedine Aït Djoudi qui a été même jusqu’à nous révéler qu’il a déjà transmis une mise en demeure de régularisation financière le 4 juin dernier, mais en vain.

“Certes, nous avons réussi un bon parcours avec le MAS de Fès puisque nous avons terminé 3es en championnat, derrière le Raja de Casablanca et les FAR de Rabat, et c’est légitime de la part des dirigeants fassis de vouloir me garder dans leur effectif,  mais ils doivent bien savoir que j’ai décidé de revenir chez moi, à Tizi Ouzou, où mon club de toujours, la JSK, a besoin de mes services. Pour moi, c’est un appel du cœur et dans mon esprit, je suis déjà à la JSK”, dira encore Aït Djoudi qui ne désespère pas, en tout cas, pour régler cette affaire dans les jours à venir, lui qui s’est déclaré à son retour du Maroc “satisfait du recrutement de l’attaquant oranais Aouedj au profit de la JSK”, et ce, en attendant l’arrivée d’autres nouveaux joueurs, notamment l’attaquant malien, Safy Balou, qui évolue en Azerbaïdjan et qui est attendu en principe cette semaine à Tizi Ouzou.

Liberté (22/06/2013)

JSK : Dossier Zerara, toujours en négociation

Les négociations avec l’international algérien des A’, Toufik Zerara, se poursuivent depuis quelques jours, mais aucun accord n’a pour l’instant été trouvé entre les dirigeants de la JSK et l’agent du joueur. D’après nos sources, la direction a fait une nouvelle offre au joueur et attend sa réponse définitive. Une information confirmée par ses proches, lesquels affirment que l’offre financière des Canaris est intéressante. D’après la même source, c’est au cours de la semaine que tout devrait être réglé. Zerara, qui ira en vacances ces jours-ci, donnera son accord final au plus tard jeudi prochain. S’il décide de tenter une nouvelle expérience avec la JSK, il se déplacera à Alger pour finaliser et signer son contrat, avant de repartir. Pour le moment, les pourparlers avancent dans le bon sens, et tout reposera sur le montant du salaire et la durée du contrat.

Le joueur motivé à venir
De son côté, Toufik est très emballé par l’idée de tenter une expérience à la JSK, c’est du moins ce qu’il a déclaré à ses proches. Après une excellente saison à la JSMB, Zerara cherche désormais un club où il pourra rester sur cette courbe ascendante et, pourquoi pas, décrocher une convocation en EN. D’après nos sources, le joueur est quasi certain que la JSK pourrait lui donner cette opportunité, pour la simple raison que le club est très médiatisé en Algérie. Aussi, le fait que plusieurs cadres expérimentés aient été maintenus dans l’effectif est déjà un atout. Avec Maroci, Sedkaoui, Mokdad et Aouedj, Zerara ne pourrait que s’épanouir.

Le discours des dirigeants l’a convaincu
Comme nous l’avons déjà annoncé, le président Moh-Cherif Hannachi s’est adressé à deux reprises à Zerara pour lui expliquer le projet sportif du club, et réussir à le convaincre. Il ne reste qu’à tout éclaircir sur le côté financier, avant de conclure. D’après l’agent du joueur, les choses avancent dans le bon sens, mais aucune promesse n’a été faite. Zerara tranchera cette semaine sur son avenir. En attendant, les proches de Hannachi restent optimistes de pouvoir conclure la transaction.

«Je déciderai cette semaine de mon avenir»
Joint par nos soins, hier matin, Toufik Zerara, qui s’apprête à aller passer quelques jours de vacances, après une saison intense, nous dira : «Je me trouve maintenant en France. Je profite de ces moments pour passer quelque temps avec ma famille. Je passerai quelques jours de vacances, et à mon retour, je déciderai de mon avenir. Les pourparlers se poursuivent entre les dirigeants et mon agent. De mon côté, je suis intéressé par la JSK, car le projet du président Hannachi me séduit. Le club est réputé et ne se refuse pas. Je pense que tout sera tiré au clair d’ici jeudi prochain.»

«Si je viens à Alger, c’est pour signer»
Par la suite, Toufik nous a fait savoir que s’il rentrait en Algérie, c’est uniquement pour signer son contrat. En d’autres termes, il ne viendra qu’une fois son agent aura trouvé un accord final avec un club preneur. Il ajoutera dans la foulée : «Je ne rentrerai pas à Alger maintenant. Si je viens, ce sera uniquement pour signer mon contrat. Comme je viens de le dire, je demanderai l’avis de mon agent, avant de trancher».
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Taïba Food Company-JSK, bientôt la signature
Comme nous l’avons annoncé précédemment, le président Hannachi est sur le point de signer un nouveau partenariat avec la SARL Taïba Food Company, connue sur le marché algérien sous le nom commercial Ramy. Les responsables de la société spécialisée dans la fabrication des jus de fruit en Algérie ont émis le vœu de bénéficier d’un espace publicitaire au stade du 1er-Novembre de Tizi Ouzou, au même titre que les autres sponsors officiels de la JSK, entre autres, Nedjma et Fiat. Après Sacomas qui vient de finaliser les choses avec le boss kabyle, une seconde société est sur le point de s’engager avec le club. D’après la même source d’information, le président Hannachi prévoit de rencontrer prochainement les actionnaires de Taïba Food Company pour la signature du contrat. Toutefois, rien n’a filtré sur les modalités du contrat entre TFC et la SSPA/JSK. Il faudra attendre le jour de la signature pour en savoir davantage sur la durée et le montant que versera la société au club du Djurdjura.
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La piste du Capverdien Maniche toujours d’actualité
Il semblerait que la piste de l’attaquant capverdien, Maniche, est toujours d’actualité. Pour preuve, pas plus tard que mercredi dernier, le président Hannachi a visualisé de nouveau les vidéo du joueur, mais sans pour autant donné son accord final. Toutefois, et d’après la même source, le boss des Jaune et Vert est toujours en contact avec l’agent du joueur, lequel a fait connaitre ses  exigences financières. Si Hannachi donne son feu vert, le joueur viendra à Alger au cours de la semaine.

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Hannachi devrait finaliser avec Sacomas cette semaine
Comme rapporté par nos soins, le président Hannachi qui avait rendez-vous mercredi dernier avec les responsables d’une société située à Azzefoun, a rencontré le directeur général de la société Sacomas, laquelle pourrait sponsoriser la JSK à partir de la saison prochaine. La société qui a déjà promis au président Hannachi d’assurer les frais de tout un stage, après le mois de Ramadhan, pourrait devenir l’un des sponsors importants du club kabyle très prochainement. D’après des échos, le boss kabyle devrait finaliser avec la société Sacomas cette semaine.
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Mohamed Yacine en route vers  le MCEE
Après un passage de trois jours à la JSK, le jeune Mohamed Yacine qui n’a pas été retenu après avoir subi des tests, devrait finaliser prochainement son transfert au profit du Mouloudia d’El Eulma. Le meneur de jeu avait déjà déclaré qu’il va faire de son mieux pour réussir en Ligue 1, et prouver aux responsables kabyles qu’ils ont eu tort de ne pas l’engager.

Le Buteur (22/06/2013)

Aït Djoudi : «J’ai pris ma décision, j’entraînerai la JSK la saison prochaine»

Après une longue période de suspense, la JSK tient désormais son nouvel entraîneur. Il s’agit d’un technicien qui a déjà drivé l’équipe par le passé, avec laquelle il avait réussi à remporter le championnat en 2008. Azzedine Aït Djoudi est le coach de la JSK. Ce dernier qui a été récemment contacté par le président Hannachi, en personne, ne pouvait pas décliner l’offre de son club préféré malgré le fait qu’il soit toujours sous contrat avec le MAS de Fès. En effet, Azzedine Aït Djoudi s’est envolé cette semaine pour le Maroc, pour rencontrer les dirigeants du MAS de Fès et trouver un arrangement à l’amiable qui lui permettrait de driver la JSK sans le moindre problème. Malheureusement, les Marocains ne veulent pas en démordre et Aït Djoudi n’a pas réussi à trouver un terrain d’entente avec eux. Malgré leur insistance, le technicien a déjà pris la décision de rentrer en Algérie et prendre en main la JSK, à partir du 1er juillet prochain. Lors de son intervention hier matin, sur les ondes de la Chaîne I, Aït Djoudi dira : «Effectivement, je me suis envolé à destination du Maroc, pour rencontrer les dirigeants de Mas de Fès et essayer de trouver un terrain d’entente à propos de ma libération. Je me suis réuni à deux reprises avec les dirigeants, mais sans trouver la moindre solution. Il faut dire que c’est le statu quo».

«Je n’ai pas pu m’entretenir avec le président du MAS»
Lors des premières négociations, l’entraîneur Azzedine Aït Djoudi a eu affaire aux dirigeants seulement. «Je tiens à vous dire que lors des négociations, je n’ai eu affaire qu’aux dirigeants. Le président du club, lui, était retenu par des obligations. Je n’ai pas pu le voir.»

«Je devais percevoir mes salaires le 1er juin dernier»
Que les supporters de la JSK se rassurent, Azzedine Aït Djoudi a pris sa décision : il drivera le club kabyle la saison prochaine. En effet, ce qui rassure l’ex-sélectionneur de l’EN espoir, c’est le fait qu’il n’ait pas perçu ses salaires avant le 1er juin dernier, comme prévu. D’ailleurs, c’est ce qu’il a expliqué aux auditeurs hier matin : «Pour que vous soyez au courant de tout ce qui se passe, je me suis arrangé avec les responsables marocains pour que je perçoive mes salaires le 1er juin. Au moment où je vous parle, je n’ai pas perçu le moindre centime. Donc, j’ai le doit de résilier mon contrat et choisir librement ma prochaine destination».

«Le club me doit  6 mois de salaires»
L’autre raison qui a poussé Azzedine Aït Djoudi à choisir la JSK, c’est sa situation financière avec le club marocain, qui ne lui a pas versé le moindre salaire depuis 6 mois : «Je n’ai pas touché le moindre centime depuis un bon bout temps. Le club me doit l’équivalent de six mois de salaires, si on compte les primes de matchs et celle de la troisième place décrochée en fin de saison. Donc, j’ai le droit de résilier mon contrat et opter pour une autre formation. J’ai pris la décision de prendre en main la JSK dès cet été, je ne ferai jamais machine arrière».

 «Si j’ai décidé de rentrer en Algérie c’est pour des raisons familiales»
 Loin du volet financier, Azzedine Aït Djoudi avait décidé de rentrer en Algérie pour des raisons familiales : «Si j’ai décidé de rentrer en Algérie, c’est pour des raisons familiales. Je ne peux plus continuer au Maroc. Comme je viens de vous dire, j’ai pris la décision de coacher le club kabyle».

«Je suis prêt à rembourser deux mois de salaire pour résilier mon contrat»
Apparemment, Azzedine Aït Djoudi ne compte pas laisser filer l’occasion d’entraîner la JSK et revivre les bons moments avec son club favori : «Les deux réunions avec les responsables marocains furent très chaudes, mais pour entraîner la JSK, je suis prêt à rembourser deux mois de salaires et obtenir ma libération. Le fait que les Marocains veulent à tout prix me garder, prouve que l’entraîneur algérien a la cote à l’étranger».

«J’ai une clause dans mon contrat qui me permet de quitter le club en déposant un préavis deux mois avant mon départ»
Si Aït Djoudi a décidé d’entraîner la JSK la saison prochaine, c’est qu’il a eu des garanties d’être officiellement libre prochainement. «J’ai protégé mes arrières en prévoyant une clause dans mon contrat qui me permet de résilier mon contrant en déposant juste un préavis au niveau de la direction deux mois avant mon départ. Au pire des cas, je rembourserai deux mois de salaires pour être libre de tout engagement.»

«Je suis rentré en Algérie et je suis actuellement à Tizi Ouzou»
Après quelques jours passés au Maroc, Azzedine Aït Djoudi est de retour en Algérie, il se trouve actuellement à Tizi Ouzou : «Le fait que je n’aie pas perçu mes salaires joue en ma faveur. Cela pourrait me faciliter la tâche pour être libre de tout engagement. Je suis de retour en Algérie et je suis actuellement à Tizi Ouzou».

«Je ne serai pas présent lors de la reprise au Maroc, le 24 juin»
En conclusion, le désormais nouvel entraîneur de la JSK a déclaré : «Le président m’avait demandé d’assurer la reprise, mais je tiens à dire que je ne serai pas présent à l’entraînement de l’équipe du MAS prévu le 24 juin prochain. Ma décision est prise, j’entraînerai la JSK.»

Le Buteur (22/06/2013)

JSK : La clause qui bloque Aït Djoudi

L’entraîneur Azzedine Aït Djoudi n’a pu convaincre la direction du MAS de Fès de lui accorder sa lettre de libération.

Cela ne fera que compliquer son cas, d’autant que son président Merouane Bennani n’est pas prêt à le lâcher. S’étant déplacé à Fès dans le but de trouver un terrain d’entente avec ses responsables, le nouvel entraîneur de la JSK a été contraint de rentrer à Tizi Ouzou sans avoir réglé sa situation. Son employeur n’a rien voulu savoir. Selon lui, il aurait dû déposer un préavis de démission deux mois avant la fin de l’exercice comme il est stipulé dans le contrat signé par les deux parties. Aït Djoudi lui a répliqué que s’il a décidé de quitter le MAS de Fès en ce mois de juin, c’est pour des raisons familiales. Malgré ça, son président a apposé un niet catégorique. Aït Djoudi, qui n’est pas né de la dernière pluie, sait que même s’il est lié pour une autre saison avec le MAS de Fès, il peut toujours trouver une faille lui permettant d’entraîner la JSK sans attendre le OK du président Bennani. Il s’est entendu avec lui pour renégocier son contrat à la fin de la première saison et il aurait exigé un salaire astronomique pour poursuivre son aventure avec le MAS de Fès. Rien n’a filtré sur les deux réunions qu’il a tenues avec son président, mais selon les échos qui nous sont parvenus, Aït Djoudi aurait demandé le double du salaire qu’il percevait la saison dernière. Ses dirigeants n’auraient pas accepté ses conditions, ce qui les obligerait à le laisser partir malgré leur souhait de le garder la saison prochaine.

Jusqu’à hier, c’est toujours le statu quo. Sa direction lui a payé ses deux derniers mois de salaire, mais elle lui doit plusieurs primes dont celle de la troisième place. Aït Djoudi, qui a saisi officiellement sa direction au début du mois de juin pour qu’elle le paye, est très confiant quant à l’issue de cette affaire. On ne sait pas si la direction du MAS de Fès va saisir la FIFA ou pas, mais si elle le fait, Aït Djoudi risque de se retrouver dans une situation très délicate.

Réunion Hannachi-Aït Djoudi aujourd’hui
Afin de faire le point sur le recrutement, l’entraîneur Azzedine Aït Djoudi tiendra une réunion de travail avec le président Hannachi aujourd’hui au siège du club. Aït Djoudi réglera aussi quelques détails concernant sa venue à la JSK. Il a donné son accord de principe au président Hannachi, mais il n’a pas encore négocié son salaire. Le président Hannachi va certainement lui proposer une mensualité alléchante, car, suite à l’insistance des dirigeants marocains à le garder, il doit l’estimer à sa juste valeur. Il aura probablement droit à un salaire supérieur à 160 millions de centimes par mois. Aït Djoudi profitera aussi de sa réunion avec Hannachi pour trouver un accord concernant le retour de Hamenad. Le nouvel entraîneur n’a pas l’intention de travailler sans Hamenad et Gaci.

Aït Djoudi : «Même sans le bon de sortie de Fès, j’entraînerai la JSK»
L’entraîneur Azzedine Aït Djoudi est rentré à Tizi Ouzou sans sa lettre de libération. Le président de MAS de Fès, Merouane Bennani, s’oppose catégoriquement à son départ. Deux rencontres n’ont pas permis au deux hommes de trouver un terrain d’entente. L’un comme l’autre campe sur sa position. Raison pour laquelle, ils ont décidé de ne pas se réunir dans la journée de jeudi comme prévu. Meme s’il n’a pas eu le bon de sortie de sa direction, Aït Djoudi a réaffirmé hier sur les ondes de la chaine 1 qu’il est bel et bien l’entraîneur de la JSK. «Effectivement, je n’ai pas trouvé un accord avec mes responsables. Je leur ai fait savoir que pour des raisons familiales, je dois retourner en Algérie, mais ils n’ont rien voulu savoir. Je me suis entendu sur tout avec le président Hannachi et même si je n’ai pas eu mon bon de sortie, je suis l’entraîneur de la JSK», a annoncé hier Aït Djoudi sur les ondes de la chaine 1.

«J’ai dit à Bennani que je dois rentrer en Algérie  pour des raisons familiales»
N’arrêtant pas de dire qu’il ne trouvera aucune peine pour récupérer sa lettre de libération, Aït Djoudi a beau essayer de convaincre son employeur Merouane Bennani, mais en vain. Il est allé jusqu’à lui dire que s’il a décidé de laisser tomber le MAS de Fès, c’est pour être auprès de sa famille. Mais cela n’a pas infléchi le président Merouane Bennani, lequel lui a rétorqué qu’il n’a pas le temps pour chercher un entraîneur. «J’ai dit à mon président que si je rentre en Algérie, c’est pour des raisons familiales. Il n’a pas pris en compte mon cas. Moi aussi, j’ai decidé de ne pas rester au MAS de Fès quoi qu’il arrive», soulignera Aït Djoudi.

«Le MAS de Fès me doit l’équivalent de 6 mois de salaire en primes»
Même s’il n’a pas respecté le contrat le liant au MAS de Fès en décidant de rentrer en Algérie pour entraîner la JSK, Aït Djoudi estime qu’il ne risque rien. «Le MAS de Fès me doit l’équivalent de 6 mois de salaire en primes. J’aurais aimé que la séparation se fasse à l’amiable, malheureusement mes dirigeants n’ont pas voulu me laisser partir. Ils n’ont pas laissé d’autre choix que de rentrer sans leur bon sortie.»

«La rencontre que je devais avoir avec mon président jeudi dernier, a été annulée»
Le séjour d’Aït Djoudi à Fès ne s’est pas passé comme il le souhaitait. Il espérait après deux réunions infructueuses convaincre son président à lui remettre sa lettre de libération avant de regagner la ville de Tizi Ouzou, mais la troisieme entrevue qu’il devait avoir avec lui jeudi dernier a été carrément annulée. «Je devais rencontrer mon président jeudi dernier afin de tenter de trouver une solution, mais l’entrevue n’a pas eu lieu. On s’est réuni à deux reprises, mais sans parvenir à un accord.»

«Bennani m’a donné rendez-vous pour la reprise des entraînements»
Croyant qu’il tient son entraîneur en refusant de lui remettre son bon de sortie, le président Merouane Bennani lui a donné rendez-vous pour la reprise des entraînements qui aura lieu le 24 de ce mois. «Je comptais sur sa compréhension pour rentrer au pays, mais Bennani m’a donné rendez-vous pour la reprise des entraînements prévue pour le 24 de ce moi. Cependant, ma décision est prise puisque j’ai décidé à entraîner la JSK quoi qu’il arrive», a conclu Aït Djoudi.

Compétition (22/06/2013)

Hannachi accepte les conditions d’Aït Djoudi

Le président Hannachi compte tout faire pour mettre le coach Aït Djoudi dans les meilleures conditions possibles. En effet, il veut le mettre à l’aise pour bien entamer sa mission. En acceptant toutes ses conditions, notamment son staff technique, il compte aussi lui accorder carte blanche. A la recherche d’un entraîneur depuis le limogeage de Nacer Sandjak, le choix de Hannachi est tombé sur Aït Djoudi qui connaît bien la maison. Afin d’éviter tout problème, surtout après tout ce que le club phare de la Kabylie eut vécu la saison écoulée, Hannachi a accepté les conditions de son entraîneur. Ce dernier, sans doute, ne trouvera aucune excuse à l’avenir vu que son employeur a accepté ses exigences afin de travailler dans les meilleures conditions.

Il le consultera même pour le recrutement
En plus d’avoir accepté le staff technique avec qui Aït Djoudi veut travailler, le président Hannachi compte le consulter dans l’opération recrutement. C’est ce qu’il a confirmé lors de l’une de ses déclarations. Ayant comme objectif que la JSK retrouve son meilleur niveau, il veut travailler en collaboration avec son nouvel entraîneur. En d’autres termes, on s’attend à ce qu’Aït Djoudi ait toutes les prérogatives sur le plan technique, ce qui lui permettra d’accomplir sa tâche convenablement. Sans doute, Aït Djoudi ne lésinera jamais sur les efforts pour bâtir une grande équipe capable de gagner des titres, comme ça été le cas en 2004 où il a remporté le titre de champion d’Algérie après un excellent travail.

Aït Djoudi veut refaire le coup de 2004
Même si sa tâche ne sera pas de tout repos, le nouvel entraîneur des Jaune et Vert compte relever le défi et, pourquoi pas, gagner des titres. Ayant réussi à gagner le titre en 2004, l’ex-entraîneur de l’EN olympique veut refaire le coup. Ayant eu la confiance de son président qui a accepté toutes ses conditions, Aït Djoudi fera tout pour que la JSK retrouve la place qu’elle mérite après les résultats catastrophiques enregistrés les dernières années.

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Zerrara, ce qui reste à faire
La venue du milieu gauche, Toufik Zerrara, à la JSK, est  tributaire de l’offre du président Hannachi. Ce dernier lui a déjà fait sa première proposition, mais il devra encore faire un effort sur le plan financier pour le convaincre à signer. Très sollicité en cette intersaison, Zerrara est emballé pour jouer à la JSK pour peu que la direction kabyle l’estime à sa juste valeur. Le président Hannachi lui aurait proposé 150 millions de centimes, alors que le CSC lui a fait une offre de 200 millions de centimes par mois et l’ESS 190 millions. Auteur d’une belle saison avec la JSMB, Zerrara est l’un des meilleurs joueurs de notre championnat à son poste. Les dirigeants de la formation de la Soummam veulent le garder, mais faute de moyens financiers, ils assistent impuissants à son départ.

Hannachi insiste sur lui, mais
N’ayant réussi à recruter qu’un seul joueur d’expérience jusqu’à maintenant, le président Hannachi insiste sur Zerrara pour sauver son recrutement. Il ne lui reste que ce joueur et c’est pour cela qu’il tente tant bien que mal de trouver un accord avec lui. Il est en train de négocier serré avec son agent, mais jusqu’à hier aucun accord n’a été trouvé. Selon une source proche de la direction, le président Hannachi aurait fait une deuxième offre à Zerrara en lui proposant un salaire de 170 millions de centimes par mois. Cet élément a fait ses preuves avec la JSMB et les supporters ne veulent pas que le président Hannachi le perde pour une raison ou une autre.

Il rendra sa réponse à Hannachi dans 48 heures
Si le président Hannachi revoit encore à la hausse son offre, Zerrara signera sans nul doute à la JSK. Les dirigeants du CSC et de l’ESS font des mains et des pieds pour l’enrôler, mais le joueur accorde sa priorité à la JSK. Natif de la région, le désormais ancien pensionnaire de la JSMB souhaite porter le maillot des Jaune et Vert à condition bien sûr d’être estimé à sa juste valeur. La balle est dans le camp du président Hannachi, car le joueur a montré sa disposition à jouer à la JSK. Reste maintenant à savoir si la direction kabyle va répondre favorablement aux exigences du joueur.

La JSK perd Gourmi
Le milieu de terrain Khaled Gourmi ne sera pas canari pour la saison prochaine. En effet, il aurait  paraphé un contrat  hier avec l’ESS avec qui il continuera son parcours, en dépit des efforts de Hannachi de le convaincre d’opter pour la JSK. Ainsi, Hannachi perd un joueur derrière l’autre après Derrag, Gharbi, Belkaroui pour ne citer que ceux-là. Misant sur Gourmi pour renforcer son milieu de terrain, Hannachi a perdu un autre pari. Il ne lui reste que quelques journées avant l’entame de la préparation pour sauver son recrutement.

Merbah ou Berchiche pour remplacer Belkalem
Après le départ de Belkalem, la direction kabyle compte recruter un défenseur pour le remplacer. Les dirigeants kabyles sont en contact avec Berchiche et même avec Merbah. L’un d’entre eux sera le remplaçant de Belkalem s’il trouve un terrain d’entente avec les dirigeants, bien sûr.

Compétition (22/06/2013)