Intenational Friendlies

L'Italie neutralisée par Haïti



L'Italie a concédé le nul 2-2 à Haïti dans les dernières minutes d'un match amical de préparation à la Coupe des Confédérations (15-30 juin au Brésil), mardi à Rio de Janeiro.

Les Azzurri avaient ouvert le score dès la première minute par Giaccherini (au bout de 19 secondes, record de rapidité en équipe d'Italie) et doublé la mise par Marchisio (27e), avant que les Caribéens ne reviennent en fin de partie grâce à Saurel (80e s.p.), sur un penalty obtenu par Jean-Eudes Maurice, et Peguero (90e).

Le sélectionneur de l'Italie Cesare Prandelli avait aligné une équipe de remplaçants, à cinq jours de l'entrée en lice de son équipe dans la Coupe des Confédérations, dimanche contre le Mexique.

Fifa.com (12/06/2013)

L'Espagne fait plier l'Eire après le repos





L'Espagne, championne du monde et double championne d'Europe en titre, s'est imposée contre l'Eire 2 à 0 (mi-temps: 0-0), mardi à New-York, en match amical de préparation à la Coupe des Confédérations qui s'ouvre samedi au Brésil (15-30 juin).

Les deux buts ont été inscrits après la pause par les remplaçants Roberto Soldado (69e) et Juan Mata (88e), évoluant respectivement à Valence et Chelsea.

Jusque-là, le onze de départ aligné par le sélectionneur Vicente del Bosque, composé de huit joueurs du Barça (Victor Valdés, Piqué, Jordi Alba, Sergio Busquets, Xavi, Andrés Iniesta, Pedro et David Villa), n'avait rien montré d'alléchant aux 40 000 spectateurs présents dans l'enceinte des Yankees, la franchise de baseball de New-York.

Les Irlandais ont eu plusieurs fois l'occasion de revenir au score mais le gardien madrilène Iker Casillas, également entré en cours de seconde mi-temps à la place de Victor Valdés, s'est distingué par deux superbes parades.

L'Espagne, déjà victorieuse samedi contre Haïti à Miami (2-1), a donc préparé de la meilleure des manières la Coupe des Confédérations, où elle débutera dimanche contre l'Uruguay, à Recife.

Fifa.com (12/06/2013)

L'Egypte bat l'Ouganda



A El Gouna (Egypte), l'Egypte a battu l'Ouganda 3 à 0 (mi-temps: 1-0)

Buts
Hassan Mahgoub Koka (22'), Mohamed Salah (57'), Ibrahim Salah (83')

Fifa.com (14/08/2013)

Suède 4 - Norvège 2
Ibrahimovic fait encore le numéro



L'attaquant de la Suède Zlatan Ibrahimovic a inscrit trois des quatre buts de son équipe en amical contre la Norvège (4-2), mercredi à Solna.

C'était opération portes ouvertes dans la défense centrale norvégienne, et le buteur du Paris SG en a bien profité.

Il lui suffisait d'une minute et une poignée de secondes pour ouvrir le score, d'une frappe à ras de terre. Et à la 29e minute, complètement démarqué dans l'axe, il plaçait un petit ballon piqué hors de portée du gardien (2-0).

Pour les Norvégiens, amateurs du jeu en contre, cela devenait très compliqué. Mais en jouant plus haut, ils mettaient leurs voisins en difficulté.

Ils profitaient d'un cadeau de la défense, une faute grossière dans la surface sur Abdellaoue, qui transformait le penalty (2-1, 38e). Puis Johansen égalisait grâce à une frappe déviée par le tibia d'un défenseur (43e).

La Suède obtenait la victoire grâce à un coup franc direct de son capitaine, tout en puissance (58e), et une superbe frappe de 30 mètres de Svensson (75e).

Offensivement, elle était dans un bon soir, se procurant une multitude d'occasions. Mais les coéquipiers d'Ibrahimovic devront montrer plus de consistance défensivement s'ils veulent aller au Mondial brésilien.

Le 6 septembre, ils défient à Dublin un rival pour la deuxième place du groupe C, l'Eire.

Fifa.com (14/08/2013)

Zambie 1 - Sénégal 1
Zambie et Sénégal dos à dos



A Saint-Leu-la-Forêt (région parisienne), la Zambie et le Sénégal ont fait match nul 1 à 1(mi-temps: 1-1).

Buts
Zambie: Jacob Mulenga (2)
Sénégal: Dame N'Doye ( 8 )

Fifa.com (14/08/2013)

Turquie 2 - Ghana 2
Turquie et Ghana se neutralisent



A Istanbul, la Turquie et le Ghana ont fait match nul 2 à 2 (mi-temps: 2-0)

Buts
Turquie: Burak Yilmaz (8 ), Umut Bulut (28)
Ghana: Asamoah Gyan (61, 75)

Fifa.com (14/08/2013)

Bosnie 3 - USA 4
Les Etats-Unis battent la Bosnie



A Sarajevo, les Etats-Unis ont battu le Bosnie 4 à 3 (mi-temps: 0-2).

Buts
Bosnie : Dzeko (8, 90), Ibisevic (29)
Etats-Unis : E. Johnson (55), Altidore (60, 84 csc, 86)

Fifa.com (14/08/2013)

Italie 1 -Argentine 2
Même sans Messi, l'Argentine bat l'Italie



L'Argentine a battu l'Italie (2-1) dans le "match du pape François", mercredi à Rome, et montré de jolies choses malgré l'absence de son étoile, Lionel Messi, grâce à la classe d'Angel Di Maria.

Les absents n'ont pas toujours tort. L'Argentine a moins souffert du forfait de Leo Messi que l'Italie de celui de Mario Balotelli, également blessé, pour ce match qui ferait une crédible finale de Coupe du monde le 13 juillet prochain.

Si l'"Albiceleste" s'est rassurée sur son potentiel en cas d'absence de son génie, l'Italie a semblé aussi peu concernée que d'habitude par l'amical du mois d'août. Hommage au pape argentin Jorge Mario Bergoglio ou non, il s'agit de la septième défaite aoûtienne de l'Italie en douze ans!

L'Argentine a déroulé un jeu offensif assez sûr avec son 4-3-3. Le Madrilène Di Maria a été excellent en vice-Messi, exploitant les courses du trio d'attaque 100% italien, avec le néo-Napolitain Gonzalo Higuain, auteur du premier but (20), flanqué de Rodrigo Palacio (Inter Milan) à gauche et Erik Lamela (AS Rome) à droite.

Palacio a failli doubler la mise sur un service en or de Di Maria (45), et Ever Banega, entré à la place de Lamela à la pause, a tout de suite creusé l'écart (49) sur une excellente passe d'Higuain.

En revanche la défense semble le point faible de l'équipe d'Alejandro Sabella dans l'optique du Mondial-2014. Elle a souffert face à une Italie pourtant moyenne offensivement, contrairement à son habitude depuis l'ère Cesare Prandelli.

L'erreur de De Rossi
Sans Super Mario, le sélectionneur avait opté pour un milieu à cinq au service de Pablo Osvaldo. Mais les "seconds choix" de Prandelli ont plombé l'Italie en disputant un match médiocre. Emanuele Giaccherini n'a que trop rarement servi Osvaldo.

Osvaldo a failli dans son rôle de pointe, mais tout de même donné la passe décisive à Lorenzo Insigne, qui a réduit le score d'une délicieuse lucarne (76).

Seul le troisième membre du trio offensif de départ, Antonio Candreva, a réussi de bonnes choses. Après un départ timide, l'arpenteur du côté droit de la Lazio Rome a placé quelques incursions dangereuses, et donné de bons centre à Claudio Marchisio (32) puis Osvaldo (43).

Prandelli avait également choisi de placer le milieu de la Roma Daniele De Rossi en défense centrale, en l'absence d'Andrea Barzagli, blessé, une expérience déjà tentée, et de titulariser Marco Verratti dans l'entre-jeu, pour commencer à préparer la succession d'Andrea Pirlo, à la retraite internationale après le Mondial-2014.

Mais le premier but argentin est venu d'une erreur des deux hommes. Higuain a exploité une relance complètement ratée de De Rossi, placé dans une situation difficile par une remise du Parisien Verratti. Les changements en seconde période ont donné un peu plus de jus à l'Italie, avec Lorenzo Insigne à gauche et Alessandro Diamanti à droite, auteur d'un bon coup franc (67), et réveillé un stade qui dormait.

Federico Marchetti, entré dans le but à la place de Gianluigi Buffon (54), a lui confirmé son statut de numéro deux, devant le Parisien Salvatore Sirigu, en sauvant un but une minute plus tard sur une double parade devant Palacio et Higuain, puis devant Maxi Rodrgiuez (90).

Fifa.com (14/08/2013)

Allemagne 3 - Uruguay 3
L'Allemagne tenue en échec par le Paraguay



L'Allemagne a surmonté un début de match catastrophique pour arracher le match nul 3-3 (mi-temps: 2-3) face au Paraguay, dernier des qualifications sud-américaines au Mondial-2014, en match amical mercredi soir à Kaiserslautern.

L'Allemagne a eu la main-mise sur le ballon mais a péché défensivement, ce dont a profité une équipe paraguayenne d'une incroyable efficacité en première période.

Le sélectionneur Joachim Löw n'a pas trouvé la stabilité défensive qui lui avait déjà fait défaut lors de la tournée américaine début juin lorsque l'Allemagne avait concédé 5 buts en deux matches (4-2 contre l'Equateur puis 3-4 contre les Etats-Unis). Plutôt inquiétant à trois semaines de la réception de l'Autriche pour la reprise des qualifications au Mondial-2014 dans un groupe C dont l'Allemagne est leader avec 5 points d'avance sur la Suède.

Löw avait pourtant récupéré la majorité de ses cadres, dont les légionnaires Özil et Khedira, déplorant toutefois les absences de Schweinsteiger et Götze, qui récupèrent de blessures, et de Kroos, devenu papa mercredi.

Le onze allemand a vécu un premier quart d'heure cauchemardesque en encaissant deux buts: lancé à la limite du hors-jeu, Nunez crucifiait Neuer (9) tandis que Pittoni profitait d'un mauvais contrôle de Khedira pour doubler la mise d'une belle volée (0-2, 13). Gündogan mettait fin aux sifflets du public en réduisant la marque (1-2, 18) avant de céder sa place (douleurs dorsales) à Lars Bender (28), trois minutes avant l'égalisation de Müller (2-2, 31).

Sous les sifflets
La Mannschaft, par Reus et Klose, tentait en vain de faire la différence avant la pause, ce que parvenait à faire l'adversaire grâce à Samudio laissé seul au deuxième poteau (2-3, 45+1).

Sorti sous des sifflets, le onze allemand revenait avec des velléités offensives, Klose laissant sa place à Gomez (54e) avec le compteur-buts toujours bloqué à 67, à une longueur du record de Gerd Müller.

La défense paraguayenne supportait le pressing constant jusqu'à l'égalisation de Lars Bender (75), qui signait son 4e but en sélection depuis le premier à l'Euro-2012 contre le Danemark.

Soulagée, la Mannschaft dominait le dernier quart d'heure sans toutefois trouver le chemin de la victoire. Le Paraguay a offert de beaux débuts à son nouveau sélectionneur Victor Genes.

Fifa.com (14/08/2013)

Suisse 1 - Brésil 0
La Suisse s'offre le luxe de battre le Brésil



La Suisse s'est offert le luxe de battre le Brésil 1 à 0 en match amical mercredi soir à Bâle, grâce à un but contre son camp de Daniel Alves en début de seconde période.

Si la Seleçao a dominé la Nati par sa maîtrise technique, elle a fait preuve aussi de dilettantisme surtout en seconde période, et permis à la Suisse de faire sensation en mettant fin à une série de 11 matches sans défaite des Auriverde.

Les vainqueurs de la Coupe des Confédérations refusaient visiblement de se faire une montagne de cette rencontre sur les bords du Rhin, pour laquelle le sélectionneur Luiz Felipe Scolari avait fait appel quasiment à la même équipe qui avait écrasé l'Espagne (3-0) au Maracana le 30 juin.

L'erreur de Daniel Alves a été l'illustration d'un certain manque de concentration. A la 48e minute, un centre de Seferovic trouvait la tête du défenseur brésilien, qui a envoyé directement le ballon dans la lucarne de Jefferson. La Suisse a bien failli doubler la mise dans les secondes suivantes alors que le gardien brésilien s'emmêlait les pieds sur un ballon en retrait.

Trio infernal
Pourtant, le début de soirée n'avait pas été vraiment tranquille pour le gardien suisse Diego Benaglio, qui avait dû repousser plusieurs tirs du trio infernal, Neymar, Hulk et Oscar.

Dès la troisième minute de jeu, les Brésiliens, avec un tir de Hulk, l'attaquant du Zenith Saint-Petersbourg, avaient déjà mis en alerte le capitaine suisse. Si les attaquants faisaient le pressing, la défense montrait parallèlement des signes de faiblesse, se laissant facilement transpercée par Shaquiri, la jeune carte maîtresse de l'équipe suisse, qui s'est offert de belles occasions, sans cependant les concrétiser.

Menés au score sur cet étrange but, les Brésiliens n'ont ensuite guère cherché à redoubler d'efforts pour éviter la défaite et laissé les Suisses occuper leur moitié de terrain.

Fifa.com (14/08/2013)

Belgique 0 - France 0
La France tient le choc en Belgique



Après 3 défaites d'affilée, l'équipe de France a ramené un nul de son déplacement de rentrée en Belgique (0-0), mercredi à Bruxelles, et a mis fin à sa série noire juste avant les échéances décisives sur la route du Mondial-2014.

A défaut de ranimer totalement la flamme, les Bleus peuvent au moins se féliciter d'avoir tenu le choc face aux Diables rouges, devenus de véritables épouvantails sur la scène européenne.

De quoi aborder plus sereinement deux rendez-vous cruciaux sur le chemin du Brésil (déplacements en Géorgie et au Belarus, les 6 et 10 septembre) et d'effacer quelque peu la désagréable impression laissée par la tournée sud-américaine, conclue par deux revers cuisants en Uruguay (1-0) et au Brésil (3-0), début juin.

Le bilan de Didier Deschamps reste négatif en 2013 (1 succès, 4 défaites, 1 nul) et son chantier est loin d'être achevé, un an après sa prise de fonctions, mais une défaite de plus aurait sans doute plombé pour de bon le moral de ses troupes au moment de jouer leur avenir en septembre et octobre.

Le danger aurait été de sombrer contre une talentueuse formation belge emmenée par le prodige Eden Hazard et des éléments de la trempe de De Bruyne, Witsel ou Fellaini. Mais les Bleus ont finalement passé le test sans trop trembler, hormis sur un tir croisé de De Bruyne (38e), un tir au-dessus de Pocognoli (47e), un énorme raté de Lukaku, seul devant le but vide (60e) et une reprise de Mirallas (73e).

La défense, objet de toutes les attentions avec le retour d'Abidal plus d'un an après sa dernière apparition en équipe de France et une 2e opération au foie, a globalement répondu présent.

Le Monégasque a certes laissé l'essentiel de la sale besogne à Koscielny, véritable patron de l'arrière-garde française, mais cette association est forcément appelée à durer dans les semaines qui viennent, Varane se remettant de sa blessure au genou et Sakho étant barré au Paris SG par une féroce concurrence.

Benzema toujours muet
La titularisation des deux jeunes Guilavogui (22 ans) et Kondogbia (20 ans) au milieu était aussi une manière pour Deschamps de préparer le voyage en Géorgie où Matuidi, Cabaye et Pogba seront suspendus. Les deux joueurs ont eu de sacrés clients en face d'eux et ont souvent couru après le ballon mais n'ont pas commis d'erreurs grossières, prenant date pour septembre.

Mais le gros point noir de l'équipe de France reste son animation offensive. Le retour de Ribéry, ménagé en juin au terme d'une fabuleuse saison avec le Bayern Munich (triplé Ligue des champions, Championnat, Coupe), aurait pu réveiller l'attaque mais la nouvelle défaillance de Benzema a réduit tous les espoirs tricolores à néant.

Le joueur du Real Madrid n'a plus marqué depuis le 5 juin 2012 et s'enfonce dans le doute, tout comme la France, qui reste désormais sur 4 rencontres sans but. L'autre temps fort du match aura été le retour de Nasri en bleu depuis ses écarts de conduite à l'Euro-2012. Deschamps l'avait laissé sur le banc au coup d'envoi.

Entré à la 63e minute en remplacement de Payet, le joueur de Manchester City n'a pas apporté grand chose. Mais difficile pour le sélectionneur, en ces temps de disette, de se passer d'un élément de sa trempe et de son expérience. Les derniers résultats et ce court voyage l'ont montré: la France n'a plus de marges sur ses adversaires.

Fifa.com (14/08/2013)

Angleterre 3 - Ecosse 2
L'Angleterre inquiétée par l'Ecosse



L'Angleterre, menée à deux reprises par une vaillante équipe d'Ecosse, a finalement arraché la victoire 3 à 2 grâce à un but de la tête de Rickie Lambert après l'heure de jeu, mercredi soir au stade de Wembley.

"Je rêvais (de marquer) toute ma vie. Cela est tellement important pour moi. J'ai essayé de rester cool toute la semaine, mais au fond de moi-même, je voulais hurler (de joie). C'était vraiment merveilleux", a réagi Lambert, qui effectuait ses débuts avec la sélection aux Trois Lions.

Les Anglais, qui ont aligné d'entrée leur buteur Wayne Rooney pourtant privé de compétition d'avant saison à Manchester United, ont été cueillis à froid par un but de James Morrison dès la 11e minute, au grand bonheur des quelque 20.000 supporteurs de la "Tartan Army".

Et les hommes de Roy Hodgson ont dû attendre près de la demi-heure de jeu pour égaliser par Theo Walcott, sans pour autant calmer l'ardeur offensive des Ecossais.

Ainsi, Kenny Miller a redonné l'avantage aux siens peu après la reprise pour mettre en doute l'armada anglaise et gâcher la fête du 150e anniversaire de la création de la Fédération anglaise de football.

Cette fois, Danny Welbeck n'a laissé que quatre minutes aux Ecossais pour rêver d'exploit grâce à une tête piquante (53e). Et c'est aussi de la tête que Lambert, 31 ans et qui ne jouait même pas en D2 jusqu'en 2011, a donné la victoire aux Anglais (70e).

Les deux nations ne s'étaient plus affrontées depuis 14 ans.

Fifa.com (14/08/2013)

Equateur 0 - Espagne 2
L'Espagne tient son rang



L'Espagne s'est imposée 2-0 sur la pelouse de l'Equateur mercredi en match amical à Guayaquil, débutant parfaitement la saison qui doit la mener jusqu'à la défense de son titre de championne du monde en juin prochain au Brésil.

La rencontre, présentée en Equateur comme "le match du siècle", a permis à l'attaquant de Manchester City Alvaro Negredo et au joueur d'Arsenal Santi Cazorla, tous deux buteurs, de marquer des points en l'absence de certains cadres espagnols blessés ou laissés au repos.

Profitant de la revue d'effectif conduite par le sélectionneur Vicente Del Bosque, Negredo a ébloui le stade Monumental en ouvrant le score d'une splendide talonnade (25e minute) après un centre aux six mètres de Cazorla.

Ce dernier, très en vue, a doublé la mise à l'heure de jeu d'une frappe à ras de terre à l'entrée de la surface, sur une passe décisive de l'ailier du FC Barcelone Cristian Tello, dont c'était la première sélection. Le score aurait même pu être plus lourd pour l'Equateur si David Silva (3e) ou Andres Iniesta (22e) n'avaient pas tour à tour trouvé les montants équatoriens.

Mis à part une frappe détournée par le gardien Iker Casillas juste avant la pause, la "Roja" n'a été que peu bousculée par l'Equateur, même si elle a affiché une certaine fébrilité dans le jeu aérien. Elle aurait même pu se faire rejoindre sur une tête d'Enner Valencia expédiée sur le poteau (61e).

Avec ce succès, les Espagnols peuvent aborder sereinement leur match en Finlande le 6 septembre en qualifications pour la Coupe du monde. La "Seleccion" est en tête du groupe I de la zone Europe avec un point d'avance sur la France.

Ce match amical a par ailleurs donné lieu à une minute d'applaudissements en mémoire de l'attaquant international équatorien Christian "Chucho" Benitez, décédé d'un infarctus fin juillet à l'âge de 27 ans.

Fifa.com (14/08/2013)

Portugal 1 - Pays-Bas 1
Le Portugal peine à convaincre



Un but de Cristiano Ronaldo, à quelques minutes du coup de sifflet final, a permis à l'équipe du Portugal d'arracher in extremis un match nul contre les Pays-Bas, lors d'un match amical mercredi soir à Faro (sud), qui a révélé quelques lacunes.

Pour ce match, qui devait être le dernier grand test avant la reprise en septembre de la campagne de qualification pour le Mondial-2014, le sélectionneur Paulo Bento avait été privé de cinq joueurs en raison de blessures. Ces absences avaient contraint l'entraîneur à réorganiser l'équipe à la dernière minute.

Dès l'entame de la rencontre, les hommes de Bento ont eu du mal à trouver leurs repères, ce qui permet aux Pays-Bas d'ouvrir le score sans grande difficultés dès la 17e minute, avec un but de Kevin Strootman.

Dix minutes plus tard, le Portugal manque d'égaliser, grâce à un tir puissant de Ruben Micael qui rase le poteau gauche de la cage de Vorm, le gardien néerlandais. A la 36e minute, l'attaquant vedette Cristiano Ronaldo parvient même à marquer, mais le but est annulé pour hors-jeu.

Bonne nouvelle
En seconde mi-temps, l'équipe du Portugal rentre plus agressive et déterminée, encouragée par un stade archi-comble, avec quelque 30.000 spectateurs. Les Portugais se créent plusieurs occasions, mais ne parviennent pas à concrétiser. Il faudra attendre la 87e minute pour que le Portugal égalise, grâce une nouvelle fois à Ronaldo qui transforme un corner de Veloso.

L'équipe lusitanienne, qui avait pris provisoirement la tête du groupe F en juin dernier après s'être imposé 1 à 0 face à la Russie, est à présent concentrée sur la campagne de qualification pour le Mondial 2014 au Brésil, qui reprend le 6 septembre prochain face à l'Irlande du Nord.

La bonne nouvelle pour le Portugal vient de Belfast mercredi soir où la Russie, qui avait l'occasion de reprendre la tête du groupe, s'est incliné 1 à 0 face à l'Irlande du Nord. L'équipe de Ronaldo, qui compte encore un match de plus que les Russes, reste donc pour l'instant en tête de sa poule.

Fifa.com (14/08/2013)

Afrique du Sud 2 - Burkina Faso 0
L'Afrique du Sud bat le Burkina Faso



L'Afrique du sud a battu le Burkina Faso 2 à 0 (mi-temps: 1-0) en match amical samedi au FNB stadium à Johannesburg.

Buts:
Siphiwe Tshabalala (22), Luyolo Nomandela (90)

Fifa.com (17/08/2013)

Brésil 6 - Australie 0
Le Brésil s'amuse contre l'Australie




Le Brésil a battu l'Australie 6 à 0 (mi-temps: 3-0) en match amical, samedi au stade Nacional de Brasilia grâce notamment à un doublé de Jô et un but de Neymar.

Buts
Jô (8', 34'), Neymar (35'), Ramires (58'), Pato (72'), Luiz Gustavo (83')

Fifa.com (07/09/2013)

Le Japon s'impose face au Ghana en amical



Le Japon a battu le Ghana 3 à 1 (mi-temps: 0-1) en match amical, mardi, à Yokohama.

Buts

Kagawa (50'), Endo (64'), Honda (72') pour le Japon
Acheampong (24') pour le Ghana

Fifa.com (10/09/2013)

Espagne 2 - Chili 2
L'Espagne arrache le nul contre le Chili



Les champions du monde et d'Europe en titre espagnols ont eu besoin d'une réalisation tardive de l'ailier de Manchester City Jesus Navas pour arracher le nul (2-2) contre le Chili, mardi à Genève.

L'attaquant chilien Eduardo Vargas, prêté par Naples au Gremio, a montré qu'il méritait sans doute une nouvelle chance en Europe en inscrivant un doublé en première mi-temps, permettant à son équipe de se détacher à deux reprises au score.

Menés une première fois, les Espagnols ont d'abord répondu par Roberto Soldado, qui évolue aussi depuis cet été en Angleterre, à Tottenham, symbole de l'exportation de plus en plus importante des joueurs ibériques, puis par Navas, dans les arrêts de jeu du match.

Ayant évité de peu le premier revers de l'histoire de l'Espagne contre le Chili, le sélectionneur Vincente del Bosque a félicité ses adversaires du jour: "Je n'ai pas été surpris par leur qualité", a souligné l'ancien entraîneur du Real Madrid.

"Ils ont été beaucoup plus actifs, et un cran au-dessus de nous. Nous aurions pu mettre plus d'intensité au début mais je suis satisfait de notre fin de match", a-t-il déclaré.

"Nous avons eu l'occasion d'utiliser ce match pour tester des joueurs qui ont moins eu de temps de jeu ces derniers temps", s'est félicité del Bosque en référence notamment à Soldado, Nacho Monreal et Javi Garcia.

"Je suis très satisfait de cette performance. Le résultat n'est pas l'essentiel", a indiqué pour sa part Jorge Sampaoli, le sélectionneur argentin du Chili, dont l'équipe est en bonne position pour se qualifier pour le Mondial-2014.

Fifa.com (10/09/2013)

Brésil 3 - Portugal 1
 Le Brésil de Neymar trop fort pour le Portugal
 
 

Emmené par un Neymar impressionnant, buteur et passeur décisif, le Brésil a confirmé sa grande forme actuelle en battant nettement (3-1) le Portugal, privé de Cristiano Ronaldo, en match amical dans la nuit de mardi à mercredi à Boston.

Le Portugal avait pourtant ouvert la marque par Raul Meireles (17e), qui a profité d'un cadeau de Maicon, inattentif sur une passe en retrait de la tête.

Mais Neymar est ensuite entré en scène avec un corner parfaitement tiré, repris victorieusement de la tête par son capitaine Thiago Silva, d'une détente exceptionnelle (23e). Le nouvel attaquant de Barcelone s'est ensuite chargé tout seul du deuxième but au bout d'une course de trente mètres où il a éliminé quatre défenseurs (34e).

Et Neymar est encore impliqué sur le troisième but: il lance Maxwell sur l'aile gauche, et le latéral parisien, qui est en train de se faire une place au sein de la Seleçao, offre un centre parfait à Jô (49e).

Après avoir écrasé l'Australie 6-0, le Brésil a donc confirmé sa montée en puissance à neuf mois du Mondial qu'il organisera à domicile. Les Auriverde ont remporté huit de leurs neuf derniers matches (une défaite 1-0 contre la Suisse en amical), inscrivant 26 buts. La Corée du Sud et la Zambie, leurs deux prochains adversaires en amical, le 12 octobre à Séoul et le 15 octobre à Pékin, sont prévenus.

Quant au Portugal, il doit encore travailler pour décrocher son billet pour le Brésil. La victoire mardi de la Russie contre Israël en éliminatoires a en effet repoussé l'équipe de Paulo Bento à la deuxième place du groupe F, à une longueur des Russes.

Les Portugais ont encore deux matches, contre Israël et le Luxembourg, pour tenter de refaire leur retard.

Fifa.com (11/09/2013)

France 6 - Australie 0
La France, barragiste, se fait plaisir



L'équipe de France a connu une soirée parfaite, vendredi au Parc des Princes, avec une qualification pour les barrages du Mondial-2014 et un large succès en amical contre l'Australie (6-0) grâce notamment à un doublé d'Olivier Giroud et une démonstration de Franck Ribéry.

La sentence est officiellement tombée 25 minutes après le coup d'envoi dans l'enceinte parisienne après la victoire de la République Tchèque à Malte 4 à 1: les Bleus sont désormais mathématiquement assurés de terminer parmi les 8 meilleurs 2e de la zone Europe et de participer à la séance de rattrapage prévue les 15 et 19 novembre.

Orgie offensive
Mais pour que la fête soit encore plus belle, les troupes de Didier Deschamps se sont offerts une orgie offensive en écrasant des Socceroos déjà qualifiés pour la phase finale de la Coupe du monde au Brésil. Un penalty très généreux transformé par Ribéry (8e), deux buts de Giroud (17e, 27e), une réalisation de Yohan Cabaye (29e), une reprise en demi-volée de Mathieu Debuchy (47e) et un but de Karim Benzema (50e, son premier depuis le 5 juin 2012) ont eu raison d'un adversaire d'un niveau très faible et plus doué pour le rugby que le football.

Malgré les carences évidentes de l'Australie, cette victoire, la première par 6 buts d'écart depuis le déplacement aux Féroé le 14 octobre 2007, est toujours bon à prendre pour une équipe de France à la recherche de certitudes et va sûrement regonfler un moral au plus bas il y a tout juste un mois.

Après la grosse frayeur vécue par les Bleus au Belarus (succès 4-2 après avoir été menés deux fois au score, le 10 septembre en qualifications du Mondial-2014), le retour au Parc des Princes s'est déroulé sans accroc même si la qualité de l'adversaire oblige à relativiser la portée du résultat.

Benzema libéré
La France se frottera assurément à des nations bien plus huppées en novembre mais difficile pour elle de bouder son plaisir après les avanies connues en cette année 2013 (2 victoires, 2 nuls, 4 défaites avant la réception de l'Australie). En proie à de grosses difficultés offensives, les Bleus viennent de marquer 10 buts en 2 rencontres, ce qui devrait déjà suffire à contenter le sélectionneur avant un dernier rendez-vous pré-barrages, mardi contre la Finlande au Stade de France en clôture du groupe I des qualifications du Mondial-2014.

Celui qui doit également avoir un grand sourire se nomme Giroud. Avec ses deux buts, qui portent son total à 5 réalisations en 23 sélections, le joueur d'Arsenal, encore une fois préféré à Karim Benzema dans le onze de départ, a été le grand gagnant de la rencontre. Déjà titulaire au Belarus aux dépens du Madrilène, le Gunner n'a pas raté l'occasion de marquer les esprits.

Mais le match restera aussi comme celui de la libération pour Benzema, qui a suppléé Giroud à la pause. Le joueur du Real Madrid, conspué à son entrée en jeu, a mis fin à une disette de 1222 minutes en sélection et a du coup regagné les faveurs du public, qui a scandé en choeur "Il a marqué" avant de lui réserver une belle ovation.

La France a aussi bénéficié de l'apport d'un grand Ribéry. Outre son 15e but en 77 capes, le Bavarois a montré pourquoi il était un candidat plus que naturel pour le Ballon d'Or avec 3 passes décisives et une maîtrise technique au-dessus du lot.

Si on ajoute au tableau la belle prestation de Samir Nasri, titularisé pour la première fois depuis son Euro-2012 mouvementé, c'est un sans-faute qu'ont réalisé les Bleus avant de passer bientôt aux choses sérieuses.

Fifa.com (11/10/2013)

Brésil 2 - Zambie 0
Les Brésiliens toujours en jambes



Le Brésil a confirmé sa bonne forme, et celle de son attaquant vedette Neymar, auteur d'une passe décisive, en battant 2 à 0 la Zambie en match amical mardi à Pékin, peaufinant ainsi sa préparation au Mondial qu'il organisera en 2014.

Le score aurait pu être nettement plus lourd en faveur de la Seleçao de Luis Felipe Scolari qui, malgré plusieurs occasions nettes dès le début du match, a dû attendre la seconde période pour marquer par Oscar (58) puis Dede (65).

Neymar a fait montre de tout son talent dès la 2e minute en frappant la transversale sur coup franc. Le jeune Brésilien, recrue vedette du Barça, s'est montré dangereux à maintes reprises grâce à ses accélérations et ses dribbles magistraux. C'est lui qui, sur un coup de pied arrêté, a offert le deuxième but à Dede, qui a marqué de la tête.

Le premier but avait été marqué quelques minutes auparavant par Oscar, entré à la mi-temps, qui a trompé le gardien zambien d'un magnifique tir lobé.

Le Brésil réalise ainsi un sans-faute pour sa tournée asiatique de matches amicaux, après avoir battu 2 à 0 la Corée du Sud samedi à Séoul.

Vainqueur de la Coupe des confédérations en battant en finale l'Espagne, championne d'Europe et du monde en titre, il n'a connu depuis qu'un petit faux pas, défait par la Suisse 1-0.

Fifa.com (15/10/2013)

Belgique 0 - Colombie 2
La Colombie et Falcao dominent la Belgique



La Colombie a dominé la Belgique 2 à 0 grâce à des buts de Radamel Falcao et Victor Ibarbo jeudi à Bruxelles au terme d'un match entre deux nations montantes qui ambitionnent d'être les bonnes surprises de la prochaine Coupe du monde.

Alors que début 2011, ces deux équipes n'émargeaient pas au top-50 mondial, elles tutoient aujourd'hui les sommets (la Colombie est 4e au classement Fifa, la Belgique 5e) et voient arriver le Mondial brésilien avec gourmandise.

Et dans cette optique, la Colombie, plus expérimentée et plus solide, a marqué des points sans jamais s'affoler face à des Diables Rouges certes maîtres du ballon mais rarement dangereux.

"On a pris une claque", a estimé le Belge Kevin Mirallas.

Sous les yeux de José Mourinho, l'entraîneur de Chelsea notamment venu observer ses joueurs (Hazard et De Bruyne), Falcao a trompé le gardien Simon Mignolet sur un service de son équipier monégasque James Rodriguez à la 51e minute.

A la 67e, le joueur de Calgari Victor Ibarbo a doublé la mise d'une demi-volée, quelques instants après être entré en jeu.

Cadres absents
La Belgique privée de plusieurs cadres (Kompany, Van Buyten, Courtois) avait pourtant dominé la première période se créant quelques occasions notamment par Christian Benteke (6e, 25e, 40e) sans pour autant affoler le gardien Faryd Mondragon. Le même Benteke avait continué à être menaçant en début de deuxième période.

Mais les Diables Rouges, désireux de faire le jeu à domicile, ont éprouvé des difficultés face aux contre-attaques souvent tranchantes des Sud-américains.

Si Marouane Fellaini puis Dries Mertens ont manqué de réussite en trouvant le cadre du but adverse (76e et 83e), les Belges ont globalement manqué de percussion.

Disciplinés défensivement, les hommes de José Pekerman ont laissé peu d'espace à Eden Hazard et ses équipiers.

Mardi, la Belgique recevra le Japon tandis que la Colombie se rendra à Amsterdam affronter les Pays-Bas, une autre équipe qualifiée pour le Mondial-2014.

Fifa.com (14/11/2013)

Italie 1 - Allemagne 1
Pas de vainqueur entre Italie et Allemagne



L'Italie et l'Allemagne n'ont pas réussi à se départager (1-1) dans un grand classique rythmé seulement en première période, mardi en match amical à Milan. Déjà qualifiés pour le Mondial brésilien, les deux géants du football européen se sont donné rendez-vous pour cet été, où ils pourraient se retrouver dans le même groupe, l'Italie n'étant pas tête de série.

Ignazio Abate (28) a répondu à l'ouverture du score de Mats Hummels ( dans une rencontre où seuls les défenseurs ont marqué. L'Allemagne n'a pas pris sa revanche de la demi-finale de l'Euro-2012 (2-1), et Mario Balotelli, qui avait ce jour-là signé un doublé, n'a pas renouvelé sa performance, malgré quelques coups de rein et l'extase du public de San Siro à chaque fois qu'il touchait le ballon.

La "Mannschaft" a gagné aux points en touchant trois fois les montants, par Sami Khedira (18), André Shurrle (32) et encore Höwedes à la dernière seconde du match (90+2) pour un ultime frisson. Cesare Prandelli alignait une Italie attendue, avec Pablo Osvaldo aux côtés de Balotelli, Giuseppe Rossi, le meilleur buteur de Serie A, étant forfait à cause d'une angine, et le Parisien Thiago Motta au poste de Daniele De Rossi, ménagé pour un orteil blessé.

Lahm comme au Bayern
L'Allemagne étant plus surprenante avec Philipp Lahm aligné devant la défense, comme au Bayern Munich avec "Pep" Guardiola. Marcel Jansen occupait le poste d'arrière-droit, et Benedikt Höwedes jouait à gauche de la défense. Devant, Joachim Löw, pour sa 100e à la tête de la "Mannschaft", avait choisi Mario Götze dans un rôle de numéro 9 très mobile, et André Schurrle à gauche de l'attaque. Mesut Özil n'est entré qu'en seconde période, à la place de Götze à l'heure de jeu, et a repris son rôle habituel d'animateur, Marco Reus entrant (à la place de Shurrle) pour occuper la pointe de l'attaque.

Après un début très saignant, notamment de Balotelli, l'Italie s'est fait surprendre sur corner par une tête d'Hummels sur corner. Mais la "Nazionale" a égalisé grâce à un pupille de San Siro, Ignazio Abate, l'arrière-droit de l'AC Milan, pour son premier but avec l'Italie, après un une-deux avec un autre défenseur, Leonardo Bonucci. L'Italie a aussi eu une balle de 2-1, mais Balotelli et Riccardo Montolivo se sont gênés et Montolivo a frappé trop mollement (57).

L'Italie reste sur trois nuls consécutifs, au Danemark et contre l'Arménie (2-2 à chaque fois) avant mardi, mais ce qui compte, c'est de gagner au Mondial.

Fifa.com (15/11/2013)

Angleterre 0 - Chili 2
L'Angleterre piquée par le Chili de Sanchez



L'Angleterre, complètement relâchée après s'être qualifiée pour le Mondial en octobre, s'est fait surprendre (2-0) vendredi en amical par un Chili joueur dont il faudra se méfier en juin au Brésil. Comme Salas en 1998, Sanchez a inscrit un joli doublé.

Avec cet affrontement, l'idée d'Hodgson était d'abord de faire l'inventaire de son propre magasin pour évaluer la fraîcheur de certains éléments, mais également de se frotter à une adversité sud-américaine à laquelle ses hommes sont moins habitués. Et de ce côté-là, le sélectionneur anglais, qui s'évaluera mardi plus classiquement face à l'Allemagne, doit être satisfait. Car les Chiliens lui ont donné des motifs de réflexion jusqu'à l'été avec leur jeu typique à base de possession de balle et de passes courtes qui convient à merveille à ces manieurs de ballon qui excellent aussi pour gagner du temps.

Autant par choix que par contrainte suite aux forfaits de joueurs comme Gerrard ou Carrick, les Anglais alignaient une équipe expérimentale pour rivaliser. Mais en offrant une 1re sélection à Forster, Lallana et Rodriguez en même temps, Hodgson a peut-être été trop gourmand. Si le remplaçant de Hart n'a pas déjoué dans le but, les deux agitateurs de Southampton ont eux fait preuve de trop de nervosité et empêché l'équipe de trouver Rooney.

Mais malgré l'incapacité des Chiliens à défendre en bloc pour pouvoir jouer les contre-attaques à fond, les Anglais, auteurs de bien trop de fautes directes, n'ont pas réussi à transformer une seule occasion. Grâce à l'excellent Sanchez, auteur de son 9e et 10e but en neuf matches, les Chiliens y sont eux parvenus à leur 1er et dernier essai (7, 90). Le marquage un peu lâche de Baines, aussi décevant qu'il avait été rafraichissant il y a un mois contre la Pologne, les a bien aidés à débloquer la rencontre.

Le remplaçant de Cole ainsi que le Mancunien Jones, qui jouaient tous deux gros en vue d'une place de titulaire, n'ont d'ailleurs pas marqué beaucoup de points. Cela permet donc au 3e de la zone Amsud d'enchaîner un 10e match sans défaite dans une série qui comprend également deux nuls (2-2), contre l'Espagne en septembre et en mars contre un Brésil qu'il retrouvera mardi.

A l'arrêt contre le Chili depuis 1953, c'est-à-dire quatre matches, l'Angleterre voit elle s'arrêter une série d'invincibilité qui courait depuis dix rencontres et une année. Pour sa 100e sélection, Lampard, capitaine d'un soir, devait espérer mieux.

Fifa.com (15/11/2013)

Argentine 0 - Equateur 0
L'Argentine concède le nul face à l'Equateur



L'Argentine, privée de Lionel Messi blessé, a concédé le match nul (0-0) face à l'Equateur, vendredi à East Rutherford, près de New York, à l'issue d'un match amical rugueux entre ces deux équipes déjà qualifiées pour le Mondial-2014 au Brésil.

Les dix dernières minutes ont ainsi été émaillées de trois cartons jaunes côté équatorien: Jaime Ayovi (81), Walter Ayovi (85) et Fernando Gaiboir (90). Auparavant, l'Argentin Facundo Roncaglia avait été averti (32).

C'est en toute fin de partie (88e) que Maxi Rodriguez a offert à l'Argentine la meilleure occasion du match en reprenant de volée un centre de Rodrigo Palacio, mais le ballon s'écrasait sur le cadre du but défendu par Alexander Dominguez.

Les deux sélectionneurs ont profité de ce match sans enjeu pour faire tourner leur effectif et tenter différents schémas tactiques, notamment en défense.

L'Equatorien Reynaldo Rueda a ainsi fait débuter en sélection Fernando Gaibor (Emelec) et le jeune latéral de 19 ans Leonel Ramirez (Fortuna Düsseldorf/GER).

La tournée de préparation de ces deux équipes aux Etats-Unis se poursuit mardi: l'Argentine, championne du monde 1978 et 1986, jouera contre la Bosnie-Herzégovine à Saint-Louis (Missouri), tandis que l'Equateur affrontera le Honduras à Houston (Texas).

Fifa.com (16/11/2013)