International -News
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Re: International -News
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Re: International -News
El Mouloudia a égalé la Hchicha (4-0)
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Le bricolage ne fonctionne pas à ce niveau !!
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Re: International -News
des personnes comme Ghrib ou Hannachi sont présidents des deux plus prestigieux clubs en Algérie ...
idir321- Messages : 5698
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Re: International -News
Tout le système est aussi pourri comme eux ! l'Angerie, grandeur nature !idir321 a écrit:des personnes comme Ghrib ou Hannachi sont présidents des deux plus prestigieux clubs en Algérie ...
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Re: International -News
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Re: International -News
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Re: International -News
Khedira : "Je peux encore progresser"
L'Interview de la Semaine de FIFA.com accueille aujourd'hui un véritable surdoué, en la personne de Sami Khedira. Le jeune milieu de terrain international nous parle de sa première saison au Real Madrid, de ses objectifs à court terme, de ses relations avec Cristiano Ronaldo et José Mourinho, ainsi que de son rôle au sein de l'équipe dirigée par Joachim Löw.
Sami Khedira, avec le recul, quels sont les principaux problèmes que vous avez eu à affronter en arrivant à Madrid ?
Je ne parlerais pas de problèmes. Évidemment, je n'avais aucune idée de ce qui m'attendait en Espagne. C'était la première fois que je quittais Stuttgart, ma ville natale. Je laissais derrière moi ma famille et mes amis. Néanmoins, j'avais très envie de relever ce nouveau défi. La perspective de rejoindre le Real Madrid et de travailler avec José Mourinho m'excitait beaucoup. Finalement, tout s'est parfaitement passé. J'ai été très bien accueilli. Je me suis tout de suite senti chez moi dans ce club. C'est important de se sentir à l'aise, pour pouvoir donner le meilleur de soi-même sur le terrain.
Comment se passe votre vie à Madrid ?
Cette ville est très grande et très ouverte sur le monde. La vie quotidienne est très différente de que j'ai pu connaître en Allemagne. Ici, on dort beaucoup moins la nuit. Il m'arrive souvent de veiller jusqu'à une ou deux heures du matin. En échange, on fait la sieste. C'est très agréable. Dans l'ensemble, l'ambiance est plus calme, plus sereine, plus détendue. Les Espagnols essayent de profiter de chaque jour. Le Real Madrid est un club très ambitieux mais si le travail est bien fait, on nous laisse l'occasion de nous relaxer.
Sur le plan sportif, vous n'avez eu aucune difficulté à vous imposer au Real dès votre arrivée. On imagine que vous êtes satisfait.
Effectivement, je suis très content de moi. Dans un premier temps, j'ai dû m'adapter à un nouveau système et comprendre ce que l'entraîneur attendait de moi. Les choses se sont passées très simplement. Cela m'a permis d'être titulaire d'entrée et de conserver ma place. Je suis satisfait de ce que j'ai accompli jusqu'à présent mais je sais que je peux faire encore mieux. J'ai l'intention de continuer ma progression. Je veux peser davantage sur le jeu de mon équipe, en club comme en sélection.
Pour ce faire, vous devez évoluer dans un environnement positif. Quels sont les joueurs dont vous vous sentez le plus proche au Real ?
Quand je suis arrivé en Espagne, je savais à peine dire hola. Les premiers jours, Rafael van der Vaart m'a énormément aidé. Il est venu spontanément vers moi parce qu'il parlait à la fois espagnol et allemand. Quand il est parti, Jerzy Dudek s'est rapproché de moi. Je pouvais également discuter en anglais avec Cristiano Ronaldo. Il m'a souvent proposé de m'aider, sur le terrain comme en dehors.
Vous avez mentionné Cristiano Ronaldo. Quel genre d'homme est-il ?
Il faut apprendre à connaître les gens, avant de les juger. Tout le monde sait que Cristiano est le meilleur footballeur du monde, avec Messi. Tout le monde lui réclame sans cesse une photo ou un autographe. Cela peut être un peu usant, à la longue. Sur le terrain, c'est un joueur spectaculaire mais certains préfèrent voir en lui un provocateur. Je peux néanmoins vous affirmer que, dans les vestiaires, il ne se comporte pas comme une diva. Il est toujours très poli et très respectueux de ses interlocuteurs. Cristiano est quelqu'un de très serviable mais aussi de très ambitieux. Il veut toujours gagner. Pour le reste, je crois qu'il essaye simplement de mener une vie normale, dans la mesure du possible.
Votre entraîneur José Mourinho possède également une forte personnalité. Comment le décririez-vous ?
Dès notre première conversation, j'ai tout de suite senti que nous pourrions faire du bon travail ensemble. Un an plus tard, je n'ai plus aucun doute à ce sujet. Il fait preuve de beaucoup de gentillesse mais il est aussi obsédé par la victoire. Il ne vit que pour le football. Malgré la pression énorme qu'il subit parfois, il n'a jamais eu un mot de travers en notre présence. C'est un entraîneur qui discute beaucoup avec ses joueurs. Nous parlons de football mais aussi des choses de la vie. Je n'avais encore jamais connu une telle relation avec un entraîneur. Il trouve toujours le ton juste pour s'adresser à ses joueurs. C'est pour cette raison qu'il est si populaire au sein du groupe.
Malgré ses indéniables qualités, il n'a pas réussi à briser l'hégémonie du FC Barcelone.
Nous avons débuté la saison avec l'ambition de remporter trois titres. Si je suis venu au Real Madrid, c'est aussi dans l'intention d'enrichir mon palmarès. À ce titre, la Ligue des champions constitue un objectif important. Nous n'avons pas rempli nos objectifs. En championnat, nous n'étions pas si éloignés du Barça. Nous avons perdu en demi-finale de la Ligue des champions mais nous avons gagné la Coupe d'Espagne. Dans l'ensemble, le bilan reste satisfaisant, même si nous avons conscience que nous devrons faire encore mieux cette saison. Le précédent exercice marquait le début d'un cycle : nous avions un nouvel entraîneur, une nouvelle philosophie, beaucoup de nouveaux joueurs… Je suis convaincu que nous aurions remporté plus de titres, si Barcelone n'avait pas été dans une telle forme. Désormais, nous devons être capables de donner la réplique au Barça. Nous travaillons dur pour cela, à chaque entraînement. Tout est une question de détails et d'automatismes à trouver.
Dans cette optique, le Real Madrid a recruté plusieurs nouveaux joueurs, dont Nuri Sahin, qui évolue au même poste que vous. Comment envisagez-vous cette concurrence ?
Je ne sais pas si on peut vraiment parler de concurrence. Je pense plutôt que nous allons ajouter une nouvelle corde à notre arc. En début de saison dernière, nous avions cinq milieux défensifs dans l'équipe. À la fin, il n'en restait que trois. Pour un club comme le Real, qui joue beaucoup de matches, ce n'est pas assez. Nous avions besoin de nous renforcer dans ce secteur. Nuri est un joueur fantastique, qui possède des qualités exceptionnelles. Pour gagner le titre, il faut disposer d'un effectif très riche. De ce point de vue, l'arrivée de Nuri est une très bonne nouvelle pour nous.
Parlons un peu de l'équipe nationale. Joachim Löw semble avoir décidé de confier les clés du jeu au duo que vous formez avec Bastian Schweinsteiger.
Personnellement, ça me convient tout à fait. Depuis la Coupe du Monde, notre jeu collectif a beaucoup progressé, en dépit du fait que nous n'avons eu que peu de temps pour travailler ensemble. Je pense que nous sommes très complémentaires. Nous avons tous les deux une bonne lecture du jeu et nous amenons une certaine intelligence tactique. Pour le moment, tout se passe au mieux. L'équipe nationale dispose d'un vaste réservoir de talents, particulièrement au poste de milieu défensif.
Vous avez repris la place de Michael Ballack. Quel effet cela fait-il de succéder à l'ancien capitaine ?
C'est un processus naturel. Un jour, un jeune prendra ma place. À un certain moment, les performances finissent par baisser. C'est humain. J'ai beaucoup de respect pour Michael, qui a longtemps été l'un des fers de lance du football allemand, notamment à l'étranger. Je me suis souvent inspiré de son exemple. Son sens du but était véritablement extraordinaire. J'ai beaucoup appris en l'observant.
Quelles qualités un milieu de terrain défensif moderne doit-il posséder, selon vous ?
Aujourd'hui, un numéro six doit savoir tout faire. Il doit être capable de bien défendre et de faire jouer ses partenaires. À ce poste, il faut se montrer performant dans les duels et posséder une certaine qualité de passe. Il faut aussi bien sentir les coups en attaque et participer au jeu de son équipe. C'est le mélange de toutes ces qualités qui fait pour moi le milieu de terrain idéal.
Fifa.com (01/08/2011)
L'Interview de la Semaine de FIFA.com accueille aujourd'hui un véritable surdoué, en la personne de Sami Khedira. Le jeune milieu de terrain international nous parle de sa première saison au Real Madrid, de ses objectifs à court terme, de ses relations avec Cristiano Ronaldo et José Mourinho, ainsi que de son rôle au sein de l'équipe dirigée par Joachim Löw.
Sami Khedira, avec le recul, quels sont les principaux problèmes que vous avez eu à affronter en arrivant à Madrid ?
Je ne parlerais pas de problèmes. Évidemment, je n'avais aucune idée de ce qui m'attendait en Espagne. C'était la première fois que je quittais Stuttgart, ma ville natale. Je laissais derrière moi ma famille et mes amis. Néanmoins, j'avais très envie de relever ce nouveau défi. La perspective de rejoindre le Real Madrid et de travailler avec José Mourinho m'excitait beaucoup. Finalement, tout s'est parfaitement passé. J'ai été très bien accueilli. Je me suis tout de suite senti chez moi dans ce club. C'est important de se sentir à l'aise, pour pouvoir donner le meilleur de soi-même sur le terrain.
Comment se passe votre vie à Madrid ?
Cette ville est très grande et très ouverte sur le monde. La vie quotidienne est très différente de que j'ai pu connaître en Allemagne. Ici, on dort beaucoup moins la nuit. Il m'arrive souvent de veiller jusqu'à une ou deux heures du matin. En échange, on fait la sieste. C'est très agréable. Dans l'ensemble, l'ambiance est plus calme, plus sereine, plus détendue. Les Espagnols essayent de profiter de chaque jour. Le Real Madrid est un club très ambitieux mais si le travail est bien fait, on nous laisse l'occasion de nous relaxer.
Sur le plan sportif, vous n'avez eu aucune difficulté à vous imposer au Real dès votre arrivée. On imagine que vous êtes satisfait.
Effectivement, je suis très content de moi. Dans un premier temps, j'ai dû m'adapter à un nouveau système et comprendre ce que l'entraîneur attendait de moi. Les choses se sont passées très simplement. Cela m'a permis d'être titulaire d'entrée et de conserver ma place. Je suis satisfait de ce que j'ai accompli jusqu'à présent mais je sais que je peux faire encore mieux. J'ai l'intention de continuer ma progression. Je veux peser davantage sur le jeu de mon équipe, en club comme en sélection.
Pour ce faire, vous devez évoluer dans un environnement positif. Quels sont les joueurs dont vous vous sentez le plus proche au Real ?
Quand je suis arrivé en Espagne, je savais à peine dire hola. Les premiers jours, Rafael van der Vaart m'a énormément aidé. Il est venu spontanément vers moi parce qu'il parlait à la fois espagnol et allemand. Quand il est parti, Jerzy Dudek s'est rapproché de moi. Je pouvais également discuter en anglais avec Cristiano Ronaldo. Il m'a souvent proposé de m'aider, sur le terrain comme en dehors.
Vous avez mentionné Cristiano Ronaldo. Quel genre d'homme est-il ?
Il faut apprendre à connaître les gens, avant de les juger. Tout le monde sait que Cristiano est le meilleur footballeur du monde, avec Messi. Tout le monde lui réclame sans cesse une photo ou un autographe. Cela peut être un peu usant, à la longue. Sur le terrain, c'est un joueur spectaculaire mais certains préfèrent voir en lui un provocateur. Je peux néanmoins vous affirmer que, dans les vestiaires, il ne se comporte pas comme une diva. Il est toujours très poli et très respectueux de ses interlocuteurs. Cristiano est quelqu'un de très serviable mais aussi de très ambitieux. Il veut toujours gagner. Pour le reste, je crois qu'il essaye simplement de mener une vie normale, dans la mesure du possible.
Votre entraîneur José Mourinho possède également une forte personnalité. Comment le décririez-vous ?
Dès notre première conversation, j'ai tout de suite senti que nous pourrions faire du bon travail ensemble. Un an plus tard, je n'ai plus aucun doute à ce sujet. Il fait preuve de beaucoup de gentillesse mais il est aussi obsédé par la victoire. Il ne vit que pour le football. Malgré la pression énorme qu'il subit parfois, il n'a jamais eu un mot de travers en notre présence. C'est un entraîneur qui discute beaucoup avec ses joueurs. Nous parlons de football mais aussi des choses de la vie. Je n'avais encore jamais connu une telle relation avec un entraîneur. Il trouve toujours le ton juste pour s'adresser à ses joueurs. C'est pour cette raison qu'il est si populaire au sein du groupe.
Malgré ses indéniables qualités, il n'a pas réussi à briser l'hégémonie du FC Barcelone.
Nous avons débuté la saison avec l'ambition de remporter trois titres. Si je suis venu au Real Madrid, c'est aussi dans l'intention d'enrichir mon palmarès. À ce titre, la Ligue des champions constitue un objectif important. Nous n'avons pas rempli nos objectifs. En championnat, nous n'étions pas si éloignés du Barça. Nous avons perdu en demi-finale de la Ligue des champions mais nous avons gagné la Coupe d'Espagne. Dans l'ensemble, le bilan reste satisfaisant, même si nous avons conscience que nous devrons faire encore mieux cette saison. Le précédent exercice marquait le début d'un cycle : nous avions un nouvel entraîneur, une nouvelle philosophie, beaucoup de nouveaux joueurs… Je suis convaincu que nous aurions remporté plus de titres, si Barcelone n'avait pas été dans une telle forme. Désormais, nous devons être capables de donner la réplique au Barça. Nous travaillons dur pour cela, à chaque entraînement. Tout est une question de détails et d'automatismes à trouver.
Dans cette optique, le Real Madrid a recruté plusieurs nouveaux joueurs, dont Nuri Sahin, qui évolue au même poste que vous. Comment envisagez-vous cette concurrence ?
Je ne sais pas si on peut vraiment parler de concurrence. Je pense plutôt que nous allons ajouter une nouvelle corde à notre arc. En début de saison dernière, nous avions cinq milieux défensifs dans l'équipe. À la fin, il n'en restait que trois. Pour un club comme le Real, qui joue beaucoup de matches, ce n'est pas assez. Nous avions besoin de nous renforcer dans ce secteur. Nuri est un joueur fantastique, qui possède des qualités exceptionnelles. Pour gagner le titre, il faut disposer d'un effectif très riche. De ce point de vue, l'arrivée de Nuri est une très bonne nouvelle pour nous.
Parlons un peu de l'équipe nationale. Joachim Löw semble avoir décidé de confier les clés du jeu au duo que vous formez avec Bastian Schweinsteiger.
Personnellement, ça me convient tout à fait. Depuis la Coupe du Monde, notre jeu collectif a beaucoup progressé, en dépit du fait que nous n'avons eu que peu de temps pour travailler ensemble. Je pense que nous sommes très complémentaires. Nous avons tous les deux une bonne lecture du jeu et nous amenons une certaine intelligence tactique. Pour le moment, tout se passe au mieux. L'équipe nationale dispose d'un vaste réservoir de talents, particulièrement au poste de milieu défensif.
Vous avez repris la place de Michael Ballack. Quel effet cela fait-il de succéder à l'ancien capitaine ?
C'est un processus naturel. Un jour, un jeune prendra ma place. À un certain moment, les performances finissent par baisser. C'est humain. J'ai beaucoup de respect pour Michael, qui a longtemps été l'un des fers de lance du football allemand, notamment à l'étranger. Je me suis souvent inspiré de son exemple. Son sens du but était véritablement extraordinaire. J'ai beaucoup appris en l'observant.
Quelles qualités un milieu de terrain défensif moderne doit-il posséder, selon vous ?
Aujourd'hui, un numéro six doit savoir tout faire. Il doit être capable de bien défendre et de faire jouer ses partenaires. À ce poste, il faut se montrer performant dans les duels et posséder une certaine qualité de passe. Il faut aussi bien sentir les coups en attaque et participer au jeu de son équipe. C'est le mélange de toutes ces qualités qui fait pour moi le milieu de terrain idéal.
Fifa.com (01/08/2011)
Re: International -News
L'Espagne championne d'Europe
L'Espagne a remporté le Championnat d'Europe des moins de 19 ans de football en battant la République tchèque 3 à 2 après prolongation, lundi soir à Chiajna, un peu plus d'un mois après le titre européen des Espoirs.
C'est la première fois dans l'histoire du football européen qu'un pays est champion d'Europe dans ces deux catégories d'âge au cours de la même année.
L'Espagne est aussi championne du monde et d'Europe en titre chez les seniors.
Buts
Espagne : Artenetxe (85'), Alcacer (108', 114')
République tchèque : Krejcl (51'), Lacha (97')
Fifa.com (01/08/2011)
L'Espagne a remporté le Championnat d'Europe des moins de 19 ans de football en battant la République tchèque 3 à 2 après prolongation, lundi soir à Chiajna, un peu plus d'un mois après le titre européen des Espoirs.
C'est la première fois dans l'histoire du football européen qu'un pays est champion d'Europe dans ces deux catégories d'âge au cours de la même année.
L'Espagne est aussi championne du monde et d'Europe en titre chez les seniors.
Buts
Espagne : Artenetxe (85'), Alcacer (108', 114')
République tchèque : Krejcl (51'), Lacha (97')
Fifa.com (01/08/2011)
Re: International -News
Quand les artistes du ballon se rencontrent !
En vacances après une Copa America en demi-teinte, Lionel Messi multiplie les apparitions lors de rencontres de charité organisées outre-Atlantique. La nuit dernière, le double Ballon d’Or a notamment évolué aux côtés d’un ancien pensionnaire du Barça : Romario. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’entre deux artistes, la compréhension est naturelle.
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Re: International -News
Van der Sar célèbre son jubilé
Le gardien de but néerlandais de Manchester United, Edwin van der Sar, a fait ses adieux au public mercredi soir à l'Arena de l'Ajax d'Amsterdam à l'occasion de son jubilé, célébré en compagnie de plusieurs stars internationales et devant 53.000 supporteurs.
"Je souhaite remercier toutes les personnes qui sont dans le stade (...), merci pour ce soutien pendant toutes ces années", a déclaré Edwin van der Sar devant le public du club dont il défendu les couleurs à ses débuts, lors d'une soirée retransmise en direct par la télévision publique néerlandaise.
Le grand portier néerlandais (1,97 m) avait pour l'occasion sélectionné sa "Dream Team", composée notamment de Wayne Rooney, Ryan Giggs, Dirk Kuyt, Edgar Davids et Rio Ferdinand, qui a disputé un match d'une heure face à l'équipe actuelle de l'Ajax d'Amsterdam.
Edwin van der Sar, 40 ans, est sorti du terrain à quelques minutes de la fin du match, remporté 2-1 par la "Dream Team" grâce à des buts de Louis Saha et Dennis Bergkamp, et a été longuement ovationné par un stade comble qui s'est alors levé d'un seul homme.
"Les fans de l'Ajax remercient Edwin van der Sar", pouvait-on par exemple lire sur une banderole déployée dans les tribunes.
"Le meilleur gardien..."
Plus tôt dans la soirée s'étaient affrontées deux équipes "historiques" dont Edwin van der Sar avait défendu les cages: l'Ajax d'Amsterdam de 1995, qui avait remporté la Ligue des champions cette année-là, et l'équipe nationale néerlandaise de 1998, demi-finaliste de la Coupe du monde en France.
Patrick Kluivert, Marc Overmars, Frank Rijkaard et les frères de Boer (Frank et Ronald), notamment, ont porté mercredi soir les couleurs de l'Ajax tandis que Dennis Bergkamp et Giovanni van Bronckhorst, entre autres, ont revêtu la vareuse "Oranje".
Au palmarès du portier néerlandais figurent notamment deux Ligues des champions, avec l'Ajax donc en 1995 et avec Manchester United en 2008, quatre Championnats d'Angleterre et quatre Championnats des Pays-Bas.
"Il est peut-être le meilleur gardien de but que Manchester United ait jamais eu, mais je dis peut-être car nous avons aussi eu Peter Schmeichel", a soutenu Sir Bobby Charlton, une des légendes du club anglais, présent mercredi soir à Amsterdam et interrogé par la télévision publique néerlandais.
Edwin van der Sar détient en outre le record d'invincibilité en Premier League avec 1311 minutes sans encaisser un but lors de la saison 2010-2011 et le record du nombre de sélections en équipe nationale (130 avec les Pays-Bas).
Passé par l'Ajax (1990-1999), la Juventus Turin (1999-2001), Fulham (2001-2005) et Manchester United (2005-2011), Edwin van der Sar avait disputé son dernier match officiel le 28 mai à Wembley lors de la finale de la Ligue des champions perdue face au FC Barcelone.
Fifa.com (03/08/2011)
Le gardien de but néerlandais de Manchester United, Edwin van der Sar, a fait ses adieux au public mercredi soir à l'Arena de l'Ajax d'Amsterdam à l'occasion de son jubilé, célébré en compagnie de plusieurs stars internationales et devant 53.000 supporteurs.
"Je souhaite remercier toutes les personnes qui sont dans le stade (...), merci pour ce soutien pendant toutes ces années", a déclaré Edwin van der Sar devant le public du club dont il défendu les couleurs à ses débuts, lors d'une soirée retransmise en direct par la télévision publique néerlandaise.
Le grand portier néerlandais (1,97 m) avait pour l'occasion sélectionné sa "Dream Team", composée notamment de Wayne Rooney, Ryan Giggs, Dirk Kuyt, Edgar Davids et Rio Ferdinand, qui a disputé un match d'une heure face à l'équipe actuelle de l'Ajax d'Amsterdam.
Edwin van der Sar, 40 ans, est sorti du terrain à quelques minutes de la fin du match, remporté 2-1 par la "Dream Team" grâce à des buts de Louis Saha et Dennis Bergkamp, et a été longuement ovationné par un stade comble qui s'est alors levé d'un seul homme.
"Les fans de l'Ajax remercient Edwin van der Sar", pouvait-on par exemple lire sur une banderole déployée dans les tribunes.
"Le meilleur gardien..."
Plus tôt dans la soirée s'étaient affrontées deux équipes "historiques" dont Edwin van der Sar avait défendu les cages: l'Ajax d'Amsterdam de 1995, qui avait remporté la Ligue des champions cette année-là, et l'équipe nationale néerlandaise de 1998, demi-finaliste de la Coupe du monde en France.
Patrick Kluivert, Marc Overmars, Frank Rijkaard et les frères de Boer (Frank et Ronald), notamment, ont porté mercredi soir les couleurs de l'Ajax tandis que Dennis Bergkamp et Giovanni van Bronckhorst, entre autres, ont revêtu la vareuse "Oranje".
Au palmarès du portier néerlandais figurent notamment deux Ligues des champions, avec l'Ajax donc en 1995 et avec Manchester United en 2008, quatre Championnats d'Angleterre et quatre Championnats des Pays-Bas.
"Il est peut-être le meilleur gardien de but que Manchester United ait jamais eu, mais je dis peut-être car nous avons aussi eu Peter Schmeichel", a soutenu Sir Bobby Charlton, une des légendes du club anglais, présent mercredi soir à Amsterdam et interrogé par la télévision publique néerlandais.
Edwin van der Sar détient en outre le record d'invincibilité en Premier League avec 1311 minutes sans encaisser un but lors de la saison 2010-2011 et le record du nombre de sélections en équipe nationale (130 avec les Pays-Bas).
Passé par l'Ajax (1990-1999), la Juventus Turin (1999-2001), Fulham (2001-2005) et Manchester United (2005-2011), Edwin van der Sar avait disputé son dernier match officiel le 28 mai à Wembley lors de la finale de la Ligue des champions perdue face au FC Barcelone.
Fifa.com (03/08/2011)
Re: International -News
Blatter peiné par le décès de Matsuda
Le Président de la FIFA, Joseph S. Blatter, a écrit à Junji Ogura, son homologue à la Fédération japonaise de football, pour exprimer sa tristesse après le décès de Naoki Matsuda.
Le défenseur de 34 ans est décédé ce matin, deux jours après avoir été victime d'un arrêt cardiaque durant un entraînement avec son club de Matsumoto Yamaga (troisième division nipponne). Figure emblématique des Samouraïs bleus qui avaient atteint les huitièmes de finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2002™ co-organisée par le Japon, Matsuda avait participé aux quatre matches de la sélection nipponne dans le tournoi.
En apprenant que Matsuda avait perdu son courageux combat pour la vie, Blatter a immédiatement exprimé ses condoléances : "C'est avec une grande tristesse que je vous écris aujourd'hui après avoir été informé du décès de Naoki Matsuda, le légendaire défenseur de l'équipe nationale du Japon".
"Au nom de la FIFA et de la grande famille du football mondial, je tiens à exprimer mes condoléances à la communauté du football japonais et, avant tout, aux proches et aux amis de Naoki Matsuda. Toute la communauté du football est à leurs côtés."
Fifa.com (04/08/2011)
Le Président de la FIFA, Joseph S. Blatter, a écrit à Junji Ogura, son homologue à la Fédération japonaise de football, pour exprimer sa tristesse après le décès de Naoki Matsuda.
Le défenseur de 34 ans est décédé ce matin, deux jours après avoir été victime d'un arrêt cardiaque durant un entraînement avec son club de Matsumoto Yamaga (troisième division nipponne). Figure emblématique des Samouraïs bleus qui avaient atteint les huitièmes de finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2002™ co-organisée par le Japon, Matsuda avait participé aux quatre matches de la sélection nipponne dans le tournoi.
En apprenant que Matsuda avait perdu son courageux combat pour la vie, Blatter a immédiatement exprimé ses condoléances : "C'est avec une grande tristesse que je vous écris aujourd'hui après avoir été informé du décès de Naoki Matsuda, le légendaire défenseur de l'équipe nationale du Japon".
"Au nom de la FIFA et de la grande famille du football mondial, je tiens à exprimer mes condoléances à la communauté du football japonais et, avant tout, aux proches et aux amis de Naoki Matsuda. Toute la communauté du football est à leurs côtés."
Fifa.com (04/08/2011)
Re: International -News
Le tournoi d'ouverture débute sans River Plate
Le championnat d'Argentine, dont le tournoi d'ouverture commence vendredi, s'annonce plus ouvert que jamais en l'absence du club mythique de River Plate, relégué en deuxième division après 80 ans parmi l'élite.
La saison dernière, le "cataclysme" représenté par la descente de River avait d'ailleurs complètement éclipsé le titre du Velez Sarsfield.
Cette saison, le championnat d'Argentine ne sera pas uniquement orphelin du seul River: d'autres clubs historiques comme Huracan, Quilmes ou Gimnasia La Plata sont aussi descendus, remplacés par les promus Atletico Rafaela, Union de Santa Fe et San Martin de San Juan.
Face à autant de "monstres sacrés" passés aux oubliettes, la Fédération argentine de football (AFA) avait un temps pensé à fusionner les deux premières divisions, avant de se raviser face aux résistances des supporteurs et des dirigeants du football argentin.
Le tournoi d'ouverture s'annonce donc relativement "ouvert", même si Boca Juniors et Estudiantes, auteurs des plus gros recrutements à l'intersaison, sont sans doute ceux qui peuvent le plus prétendre au titre.
Avec Riquelme, sans Palermo
Boca reprend ainsi la saison avec son fleuron Juan Roman Riquelme mais sans son avant-centre Martin Palermo, parti à la retraite. Côté transferts, le club de Buenos Aires a attiré l'attaquant Dario Cvitanich et les gardiens Agustin Orion et Sebastian Sosa.
De son côté, Estudiantes s'est attaché les services du portier paraguayen Justo Villar, qui a brillé lors de la dernière Copa America, et du Colombien Carlos Carbonero. Il enregistre aussi les retours de championnats européens de l'attaquant Mauro Bioseli et du milieu Mariano Gonzalez.
Enfin, le Velez Sarsfield, champion en titre, s'est renforcé avec l'arrivée de l'attaquant uruguayen Santiago Silva.
Le championnat argentin débute vendredi soir avec Banfield-Atletico Rafaela et Union-Argentinos Juniors, suivis le samedi de All Boys-Belgrano, Arsenal-Colon et Godoy Cruz-Velez Sarsfield.
Dimanche, Old Boys-Estudiantes, Olimpo-Boca, San Lorenzo-Lanus et Tigre-Racing Club sont au programme.
Le match entre Independiente, vainqueur de la dernière Copa Sudamericana, et San Martin de San Juan a en revanche été reporté en raison du récent déplacement de l'Independiente au Japon, où le club a perdu la Coupe Suruga aux tirs aux buts (2-2; 4-2) contre le club nippon de Jubilo Iwata.
Fifa.com (04/08/2011)
Le championnat d'Argentine, dont le tournoi d'ouverture commence vendredi, s'annonce plus ouvert que jamais en l'absence du club mythique de River Plate, relégué en deuxième division après 80 ans parmi l'élite.
La saison dernière, le "cataclysme" représenté par la descente de River avait d'ailleurs complètement éclipsé le titre du Velez Sarsfield.
Cette saison, le championnat d'Argentine ne sera pas uniquement orphelin du seul River: d'autres clubs historiques comme Huracan, Quilmes ou Gimnasia La Plata sont aussi descendus, remplacés par les promus Atletico Rafaela, Union de Santa Fe et San Martin de San Juan.
Face à autant de "monstres sacrés" passés aux oubliettes, la Fédération argentine de football (AFA) avait un temps pensé à fusionner les deux premières divisions, avant de se raviser face aux résistances des supporteurs et des dirigeants du football argentin.
Le tournoi d'ouverture s'annonce donc relativement "ouvert", même si Boca Juniors et Estudiantes, auteurs des plus gros recrutements à l'intersaison, sont sans doute ceux qui peuvent le plus prétendre au titre.
Avec Riquelme, sans Palermo
Boca reprend ainsi la saison avec son fleuron Juan Roman Riquelme mais sans son avant-centre Martin Palermo, parti à la retraite. Côté transferts, le club de Buenos Aires a attiré l'attaquant Dario Cvitanich et les gardiens Agustin Orion et Sebastian Sosa.
De son côté, Estudiantes s'est attaché les services du portier paraguayen Justo Villar, qui a brillé lors de la dernière Copa America, et du Colombien Carlos Carbonero. Il enregistre aussi les retours de championnats européens de l'attaquant Mauro Bioseli et du milieu Mariano Gonzalez.
Enfin, le Velez Sarsfield, champion en titre, s'est renforcé avec l'arrivée de l'attaquant uruguayen Santiago Silva.
Le championnat argentin débute vendredi soir avec Banfield-Atletico Rafaela et Union-Argentinos Juniors, suivis le samedi de All Boys-Belgrano, Arsenal-Colon et Godoy Cruz-Velez Sarsfield.
Dimanche, Old Boys-Estudiantes, Olimpo-Boca, San Lorenzo-Lanus et Tigre-Racing Club sont au programme.
Le match entre Independiente, vainqueur de la dernière Copa Sudamericana, et San Martin de San Juan a en revanche été reporté en raison du récent déplacement de l'Independiente au Japon, où le club a perdu la Coupe Suruga aux tirs aux buts (2-2; 4-2) contre le club nippon de Jubilo Iwata.
Fifa.com (04/08/2011)
Re: International -News
Match d'adieux de Van der Sar
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Re: International -News
adsm a écrit:Match d'adieux de Van der Sar
Un bel hommage à l'image de la grande carrière qu'il a eu !
Re: International -News
Jarolim prend la tête d'Al Ahli
L'entraîneur tchèque Karel Jarolim, qui était à la tête du champion de Slovaquie, le Slovan Bratislava, va rejoindre le club saoudien d'Al Ahli, a indiqué le quotidien sportif tchèque Sport vendredi sur son site internet.
"J'ai reçu une offre très lucrative d'Arabie saoudite, une de celles qu'un entraîneur ne reçoit pas tous les jours... Je devrais partir la semaine prochaine", a déclaré Jarolim, 54 ans, à Sport.
Jarolim, ancien entraîneur de Strasbourg (France) et du Slavia Prague, avait rejoint le Slovan l'automne dernier, qu'il a mené au titre de champion de Slovaquie. En revanche, le club slovaque a été éliminé au 2e tour préliminaire de la Ligue des champions par l'Apoël Nicosie mercredi.
Fifa.com (06/08/2011)
L'entraîneur tchèque Karel Jarolim, qui était à la tête du champion de Slovaquie, le Slovan Bratislava, va rejoindre le club saoudien d'Al Ahli, a indiqué le quotidien sportif tchèque Sport vendredi sur son site internet.
"J'ai reçu une offre très lucrative d'Arabie saoudite, une de celles qu'un entraîneur ne reçoit pas tous les jours... Je devrais partir la semaine prochaine", a déclaré Jarolim, 54 ans, à Sport.
Jarolim, ancien entraîneur de Strasbourg (France) et du Slavia Prague, avait rejoint le Slovan l'automne dernier, qu'il a mené au titre de champion de Slovaquie. En revanche, le club slovaque a été éliminé au 2e tour préliminaire de la Ligue des champions par l'Apoël Nicosie mercredi.
Fifa.com (06/08/2011)
Re: International -News
Décès de Klötzer
L'ancien entraîneur allemand Kuno Klötzer, vainqueur d'une Coupe européenne en 1977 avec Hambourg, est décédé samedi à l'age de 89 ans, a-t-on appris à Berlin en marge du match de Bundesliga entre le Hertha Berlin et Nuremberg.
Klötzer a entrainé une pléiade d'équipes allemandes durant une carrière entamée en 1953 à Dusseldorf et terminée à Duisbourg en 1982. Mais il a connu sa plus grande réussite à Hambourg, avec lequel il a remporté la Coupe d'Allemagne en 1976 et la Coupe des vainqueurs de Coupe l'année suivante, en battant en finale le club belge d'Anderlecht (2-0).
Fifa.com (06/08/2011)
L'ancien entraîneur allemand Kuno Klötzer, vainqueur d'une Coupe européenne en 1977 avec Hambourg, est décédé samedi à l'age de 89 ans, a-t-on appris à Berlin en marge du match de Bundesliga entre le Hertha Berlin et Nuremberg.
Klötzer a entrainé une pléiade d'équipes allemandes durant une carrière entamée en 1953 à Dusseldorf et terminée à Duisbourg en 1982. Mais il a connu sa plus grande réussite à Hambourg, avec lequel il a remporté la Coupe d'Allemagne en 1976 et la Coupe des vainqueurs de Coupe l'année suivante, en battant en finale le club belge d'Anderlecht (2-0).
Fifa.com (06/08/2011)
Re: International -News
Toshack, nouveau sélectionneur de la Macédoine
Le Gallois John Toshack, ancien entraîneur du Real Madrid, a été nommé dimanche nouveau sélectionneur de l'équipe de Macédoine de football, avec pour difficile objectif de la qualifier pour le Mondial-2014, a indiqué dimanche la Fédération macédonienne (FFM).
"Je suis très reconnaissant envers la FFM qui m'a choisi pour être le manageur de l'équipe nationale. Les gens (de la FFM) ont été très gentils, ouverts, et m'ont donné l'impression qu'on allait pouvoir travailler ensemble pour atteindre des sommets jamais atteints dans le football macédonien", a déclaré Toshack sur la BBC.
Toshack, 62 ans, qui a notamment entraîné la Real Sociedad et le Real Madrid, a occupé le poste de sélectionneur du Pays de Galles de 2004 à 2010. Il remplace le Macédonien Mirsad Jonuz qui était en place depuis deux saisons.
La Macédoine, qui ne s'est jamais qualifiée pour une phase finale de Coupe du monde ou de Championnat d'Europe, affrontera en qualifications pour le Mondial-2014 la Serbie, la Croatie, la Belgique, l'Ecosse et le Pays de Galles, dans une poule qui s'annonce explosive.
La Macédoine est actuellement 5e (sur 6) du groupe B des qualifications à l'Euro-2012 avec seulement 4 points en six matches, à 9 longueurs de la Slovaquie, la Russie et l'Irlande.
Fifa.com (07/08/2011)
Le Gallois John Toshack, ancien entraîneur du Real Madrid, a été nommé dimanche nouveau sélectionneur de l'équipe de Macédoine de football, avec pour difficile objectif de la qualifier pour le Mondial-2014, a indiqué dimanche la Fédération macédonienne (FFM).
"Je suis très reconnaissant envers la FFM qui m'a choisi pour être le manageur de l'équipe nationale. Les gens (de la FFM) ont été très gentils, ouverts, et m'ont donné l'impression qu'on allait pouvoir travailler ensemble pour atteindre des sommets jamais atteints dans le football macédonien", a déclaré Toshack sur la BBC.
Toshack, 62 ans, qui a notamment entraîné la Real Sociedad et le Real Madrid, a occupé le poste de sélectionneur du Pays de Galles de 2004 à 2010. Il remplace le Macédonien Mirsad Jonuz qui était en place depuis deux saisons.
La Macédoine, qui ne s'est jamais qualifiée pour une phase finale de Coupe du monde ou de Championnat d'Europe, affrontera en qualifications pour le Mondial-2014 la Serbie, la Croatie, la Belgique, l'Ecosse et le Pays de Galles, dans une poule qui s'annonce explosive.
La Macédoine est actuellement 5e (sur 6) du groupe B des qualifications à l'Euro-2012 avec seulement 4 points en six matches, à 9 longueurs de la Slovaquie, la Russie et l'Irlande.
Fifa.com (07/08/2011)
Re: International -News
Neymar : "Les responsabilités font partie du football"
La coupe iroquoise et son costume tiré à quatre épingles résument parfaitement les contrastes du personnage. Neymar est un gamin rusé qui sait donner le tournis aux défenses et du plaisir aux spectateurs. C'est aussi un international brésilien de 19 ans obligé de prendre ses responsabilités comme avant-centre attitré d'une équipe quintuple championne du monde.
À trois ans du coup d'envoi de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, le prodige de Santos a eu un avant-goût de ce qui l'attendra pour son baptême du feu dans l'épreuve suprême du football mondial. Il a en effet participé au tirage au sort préliminaire en présence de légendes du foot brésilien comme Ronaldo, Zagallo ou encore Cafu. Pour l'anecdote, ce trio totalise à lui seul huit couronnes mondiales. Confortablement assis à côté de ses coéquipiers Paulo Henrique Ganso et Lucas, dans la Marina da Glória de Rio de Janeiro, Neymar ne paraît pas impressionné outre mesure.
Au Brésil, quand on parle de la Coupe du Monde de la FIFA 2014™, le nom de la jeune révélation du Santos surgit presque automatiquement. De façon prématurée ? Dans l'entretien qu'il a accordé à FIFA.com, Neymar met les choses au point. Il évoque également la possibilité d'une confrontation entre Santos et Barcelone, en fin d'année en Coupe du Monde des Clubs de la FIFA.
Monter sur scène pour participer au tirage au sort préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA 2014™, c'est déjà un peu participer au tournoi, non ?
Oui, cela m'a fait très plaisir de participer à ce tirage au sort pour les qualifications. Ce fut une joie immense, d'autant que ça se passait dans mon pays, en compagnie de légendes comme Ronaldo, Cafu, Zico et d'autres.
Vous venez de disputer votre premier tournoi officiel avec les A, en l'occurrence la Copa América. Vous attendiez-vous à rencontrer autant de difficultés ?
Contre le Brésil, la plupart des équipes nationales jouent comme ça, regroupées derrière, à attendre de pouvoir placer une contre-attaque. C'est vrai que c'est compliqué pour nous, mais nous allons devoir apprendre à jouer contre ce type d'adversaires. Nous devons absolument travailler pour nous habituer à ce genre de situation et ne plus nous faire surprendre.
Même si le résultat final n'a pas été à la hauteur des attentes, vous avez dû tirer des enseignements positifs de ce tournoi pour la suite de votre carrière en Seleção…
Oui, j'ai beaucoup appris. L'expérience que j'ai emmagasinée pendant ce tournoi va me servir pour la suite de ma carrière. Quand vous faites vos premiers pas à ce niveau, tout est nouveau. Cela explique d'ailleurs les difficultés que j'ai eues, mais je vais m'habituer peu à peu.
N'avez-vous pas parfois l'impression que les gens oublient votre âge et celui de certains de vos coéquipiers en Seleção ? Pour un groupe aussi jeune, les attentes ne sont-elles pas un peu trop élevées ?
Oui, c'est vrai, mais en même temps, les responsabilités font partie du football. Nous devons apprendre à vivre avec. Cela va se faire progressivement et si Dieu le veut, en 2014, nous aurons une équipe suffisamment forte pour gagner le titre.
Parlons un peu de Santos. Racontez-nous votre but incroyable contre Flamengo…
L'action commence sur le couloir gauche. Je dribble deux joueurs, je fais un une-deux avec Borges, je dribble un troisième joueur, un quatrième et je marque. C'est un beau but. Je suis surtout heureux de l'avoir marqué à domicile, à la "Vila", car c'est là que j'ai débuté. Ce fut un moment merveilleux pour moi. Sur le coup, je n'ai pas vraiment réalisé que c'était un but assez exceptionnel. C'est en le renvoyant que j'ai compris.
C'est ce type d'action et de match qui fait que Santos de votre génération est aussi fort. Pensez-vous pouvoir maintenir ce niveau jusqu'à la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2011 et une éventuelle confrontation avec Barcelone ?
Écoutez, jouer Barcelone n'est pas simple. Il n'y a pas de recette miracle. Il va falloir prier avant d'entrer sur le terrain (rires).
On a pu s'apercevoir ces dernières années que les équipes qui ont réussi à battre Barcelone sont celles qui ont joué très défensivement, en faisant attention à chaque détail, quitte à sacrifier des joueurs très talentueux. Pensez-vous que Santos puisse faire jeu égal avec le Barça ?
Tout ce que je sais, c'est que nous allons jouer notre football habituel. Mais avant de penser à Barcelone, il faut se concentrer sur le match qui précède, qui sera lui aussi très compliqué. Évidemment, nous avons tous envie de jouer la finale, si possible contre Barcelone. C'est la meilleure équipe du monde, avec dans ses rangs le meilleur joueur du monde. Mais cela ne nous empêchera pas de rester fidèles à notre football.
Fifa.com (08/08/2011)
La coupe iroquoise et son costume tiré à quatre épingles résument parfaitement les contrastes du personnage. Neymar est un gamin rusé qui sait donner le tournis aux défenses et du plaisir aux spectateurs. C'est aussi un international brésilien de 19 ans obligé de prendre ses responsabilités comme avant-centre attitré d'une équipe quintuple championne du monde.
À trois ans du coup d'envoi de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, le prodige de Santos a eu un avant-goût de ce qui l'attendra pour son baptême du feu dans l'épreuve suprême du football mondial. Il a en effet participé au tirage au sort préliminaire en présence de légendes du foot brésilien comme Ronaldo, Zagallo ou encore Cafu. Pour l'anecdote, ce trio totalise à lui seul huit couronnes mondiales. Confortablement assis à côté de ses coéquipiers Paulo Henrique Ganso et Lucas, dans la Marina da Glória de Rio de Janeiro, Neymar ne paraît pas impressionné outre mesure.
Au Brésil, quand on parle de la Coupe du Monde de la FIFA 2014™, le nom de la jeune révélation du Santos surgit presque automatiquement. De façon prématurée ? Dans l'entretien qu'il a accordé à FIFA.com, Neymar met les choses au point. Il évoque également la possibilité d'une confrontation entre Santos et Barcelone, en fin d'année en Coupe du Monde des Clubs de la FIFA.
Monter sur scène pour participer au tirage au sort préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA 2014™, c'est déjà un peu participer au tournoi, non ?
Oui, cela m'a fait très plaisir de participer à ce tirage au sort pour les qualifications. Ce fut une joie immense, d'autant que ça se passait dans mon pays, en compagnie de légendes comme Ronaldo, Cafu, Zico et d'autres.
Vous venez de disputer votre premier tournoi officiel avec les A, en l'occurrence la Copa América. Vous attendiez-vous à rencontrer autant de difficultés ?
Contre le Brésil, la plupart des équipes nationales jouent comme ça, regroupées derrière, à attendre de pouvoir placer une contre-attaque. C'est vrai que c'est compliqué pour nous, mais nous allons devoir apprendre à jouer contre ce type d'adversaires. Nous devons absolument travailler pour nous habituer à ce genre de situation et ne plus nous faire surprendre.
Même si le résultat final n'a pas été à la hauteur des attentes, vous avez dû tirer des enseignements positifs de ce tournoi pour la suite de votre carrière en Seleção…
Oui, j'ai beaucoup appris. L'expérience que j'ai emmagasinée pendant ce tournoi va me servir pour la suite de ma carrière. Quand vous faites vos premiers pas à ce niveau, tout est nouveau. Cela explique d'ailleurs les difficultés que j'ai eues, mais je vais m'habituer peu à peu.
N'avez-vous pas parfois l'impression que les gens oublient votre âge et celui de certains de vos coéquipiers en Seleção ? Pour un groupe aussi jeune, les attentes ne sont-elles pas un peu trop élevées ?
Oui, c'est vrai, mais en même temps, les responsabilités font partie du football. Nous devons apprendre à vivre avec. Cela va se faire progressivement et si Dieu le veut, en 2014, nous aurons une équipe suffisamment forte pour gagner le titre.
Parlons un peu de Santos. Racontez-nous votre but incroyable contre Flamengo…
L'action commence sur le couloir gauche. Je dribble deux joueurs, je fais un une-deux avec Borges, je dribble un troisième joueur, un quatrième et je marque. C'est un beau but. Je suis surtout heureux de l'avoir marqué à domicile, à la "Vila", car c'est là que j'ai débuté. Ce fut un moment merveilleux pour moi. Sur le coup, je n'ai pas vraiment réalisé que c'était un but assez exceptionnel. C'est en le renvoyant que j'ai compris.
C'est ce type d'action et de match qui fait que Santos de votre génération est aussi fort. Pensez-vous pouvoir maintenir ce niveau jusqu'à la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2011 et une éventuelle confrontation avec Barcelone ?
Écoutez, jouer Barcelone n'est pas simple. Il n'y a pas de recette miracle. Il va falloir prier avant d'entrer sur le terrain (rires).
On a pu s'apercevoir ces dernières années que les équipes qui ont réussi à battre Barcelone sont celles qui ont joué très défensivement, en faisant attention à chaque détail, quitte à sacrifier des joueurs très talentueux. Pensez-vous que Santos puisse faire jeu égal avec le Barça ?
Tout ce que je sais, c'est que nous allons jouer notre football habituel. Mais avant de penser à Barcelone, il faut se concentrer sur le match qui précède, qui sera lui aussi très compliqué. Évidemment, nous avons tous envie de jouer la finale, si possible contre Barcelone. C'est la meilleure équipe du monde, avec dans ses rangs le meilleur joueur du monde. Mais cela ne nous empêchera pas de rester fidèles à notre football.
Fifa.com (08/08/2011)
Re: International -News
Genk - Vercauteren vers Al-Jazira
L'entraîneur belge du RC Genk, Frank Vercauteren, devait signer lundi un contrat de deux ans en faveur du club d'Al-Jazira aux Emirats arabes unis, rapporte le quotidien flamand Het Belang van Limburg.
Selon le journal, Frank Vercauteren (54 ans) est le successeur d'Alejandro Sabella qui a récemment quitté Al-Jazira pour devenir le sélectionneur national de l'Argentine.
L'entraîneur du champion de Belgique sortant devrait parapher un contrat de deux ans en faveur d'Al-Jazira qui appartient au sheik Mansour bin Zayed Al Nahyan, également le propriétaire de Manchester City.
La direction du RC Genk n'a encore fait aucun commentaire, renvoyant à un communiqué de presse en fin de journée. Le départ de son entraîneur serait un coup dur pour le club belge qui doit affronter Maccabi Haïfa en barrages de la Ligue des Champions la semaine prochaine.
Fifa.com (08/08/2011)
L'entraîneur belge du RC Genk, Frank Vercauteren, devait signer lundi un contrat de deux ans en faveur du club d'Al-Jazira aux Emirats arabes unis, rapporte le quotidien flamand Het Belang van Limburg.
Selon le journal, Frank Vercauteren (54 ans) est le successeur d'Alejandro Sabella qui a récemment quitté Al-Jazira pour devenir le sélectionneur national de l'Argentine.
L'entraîneur du champion de Belgique sortant devrait parapher un contrat de deux ans en faveur d'Al-Jazira qui appartient au sheik Mansour bin Zayed Al Nahyan, également le propriétaire de Manchester City.
La direction du RC Genk n'a encore fait aucun commentaire, renvoyant à un communiqué de presse en fin de journée. Le départ de son entraîneur serait un coup dur pour le club belge qui doit affronter Maccabi Haïfa en barrages de la Ligue des Champions la semaine prochaine.
Fifa.com (08/08/2011)
Re: International -News
Hamren, le travailleur de l'ombre
À une époque où les entraîneurs sont souvent plus connus que leurs joueurs, Erik Hamren fait figure d'exception. Le sélectionneur suédois de 54 ans n'est certes pas un débutant mais notre homme a réalisé l'essentiel de sa carrière en Scandinavie, loin des projecteurs. Toutefois, la reconnaissance du grand public n'est peut-être plus très loin.
L'intéressé assure à qui veut l'entendre que la notoriété n'exerce aucun attrait sur lui. Il n'en reste pas moins que son excellent travail à la tête des Blågult n'est pas passé inaperçu. En poste depuis le mois de juin 2010, le successeur de Lars Lagerback s'est attelé à la tâche avec son enthousiasme coutumier. L'ancien entraîneur de Rosenborg a tout d'abord renouvelé le groupe, avant d'imposer sa marque et son style de jeu. Deux opérations qui, de l'aveu même de son prédécesseur, étaient devenues nécessaires.
Des buts et début contrasté
La Suède compte aujourd'hui trois points de retard sur les Pays-Bas dans les qualifications pour l'UEFA EURO 2012. Néanmoins, la sélection nordique a trouvé le chemin des filets à 20 reprises en six sorties, ce qui contraste singulièrement avec les 13 buts inscrits sur l'ensemble des préliminaires pour la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010™.
Dès demain, mercredi 10 août 2011, Hamren et ses joueurs affronteront la Russie en amical, avant de se rendre en Hongrie le 2 juin pour une rencontre capitale. Au milieu de cette actualité chargée, le Suédois confie à FIFA.com que le travail ne fait que commencer.
"Dans l'ensemble, je suis satisfait des progrès réalisés. Nous avons apporté quelques modifications et nous savions qu'il faudrait du temps pour procéder aux différents réglages," assure-t-il. 'Nous avons disputé six matches et nous en avons gagné cinq. C'est plutôt encourageant. Je crois que les prochains mois vont être très intéressants. À nous de faire en sorte que l'issue nous soit favorable."
"Il nous reste cependant beaucoup à apprendre. Nous sommes encore loin de notre meilleur niveau. Pour le moment, les résultats sont au rendez-vous, à l'exception de la rencontre face aux Pays-Bas (1:4). Parfois, le contenu de nos matches a été satisfaisant ; d'autres fois, il a laissé à désirer. Nous devons maintenant trouver une certaine régularité dans nos performances. Nous travaillons dur pour cela à l'entraînement," enchaîne le technicien suèdois.
Le retour de Zlatan
Personne n'incarne mieux cette quête d'excellence que Zlatan Ibrahimovic. Présenté comme un égoïste complaisant par ses détracteurs, l'attaquant de l'AC Milan s'est mué en un véritable meneur d'hommes depuis que Hamren l'a convaincu de sortir de sa retraite internationale. En récompense, le sélectionneur lui a même confié le brassard de capitaine.
Dès son retour en équipe nationale, le Milanais s'était dit conquis par le discours ambitieux de Hamren et par la perspective d'évoluer au sein d'un groupe rajeuni. Pour le nouvel homme fort du football suédois, la présence d'un joueur de ce calibre a sans doute représenté une première victoire, avant même que sa première sortie officielle. De son côté, Ibrahimovic s'est montré à la hauteur de sa réputation, inscrivant cinq buts en autant de sorties dans les préliminaires de l'Euro. En l'espace de quelques mois, il s'est imposé comme un véritable modèle pour les jeunes, à en croire le sélectionneur.
"Le retour de Zlatan a tout changé", confirme Hamren. "C'est un joueur exceptionnel. La Suède ne peut en aucun cas se passer d'un attaquant de sa trempe. Il a été très bon à chacune de ses sorties et je dois dire qu'il joue également un rôle très positif auprès des joueurs les moins expérimentés. Une nouvelle génération commence à s'installer en sélection. Par son attitude, Zlatan met ses partenaires en confiance. Il donne vraiment le bon exemple."
Il n'en fallait pas moins pour oublier une campagne de qualification pour Afrique du Sud 2010 désastreuse. Troisième derrière le Portugal et le Danemark, la Suède n'a remporté que cinq de ses dix matches. Ce parcours sans relief a été très mal vécu par des supporters habitués aux grands rendez-vous internationaux. En effet, les Blågult ont disputé quatre des cinq dernières éditions de l'épreuve suprême et n'ont plus manqué l'Euro depuis 1996.
Le Brésil en tête
Le premier objectif de Hamren est donc de redorer le blason suédois. Le technicien a récemment assisté au Tirage au sort préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Visiblement, la présence de l'Allemagne et de la République d'Irlande dans son groupe de qualification n'a pas entamé son enthousiasme : "Nous n'étions pas du voyage en 2010 mais les Suédois ont envie de faire à nouveau la fête avec le reste du monde. C'est très important pour nous."
"Nous nous sommes rendus à Rio pour assister au tirage au sort et nous y avons passé de très bons moments. Le Brésil est un pays fantastique. Cette Coupe du Monde s'annonce extraordinaire.Nous avons cet objectif en tête, bien entendu," annonce Hamren, "nous essayons de construire une équipe capable de disputer la Coupe du Monde même si, pour le moment, l'Euro occupe l'essentiel de nos pensées. L'idéal serait de se qualifier pour les deux compétitions. C'est en tout cas notre ambition."
Si la Suède venait à retrouver les hautes sphères du football mondial, il y a fort à parier que Hamren ne tarderait pas à sortir de son relatif anonymat.
Fifa.com (09/08/2011)
À une époque où les entraîneurs sont souvent plus connus que leurs joueurs, Erik Hamren fait figure d'exception. Le sélectionneur suédois de 54 ans n'est certes pas un débutant mais notre homme a réalisé l'essentiel de sa carrière en Scandinavie, loin des projecteurs. Toutefois, la reconnaissance du grand public n'est peut-être plus très loin.
L'intéressé assure à qui veut l'entendre que la notoriété n'exerce aucun attrait sur lui. Il n'en reste pas moins que son excellent travail à la tête des Blågult n'est pas passé inaperçu. En poste depuis le mois de juin 2010, le successeur de Lars Lagerback s'est attelé à la tâche avec son enthousiasme coutumier. L'ancien entraîneur de Rosenborg a tout d'abord renouvelé le groupe, avant d'imposer sa marque et son style de jeu. Deux opérations qui, de l'aveu même de son prédécesseur, étaient devenues nécessaires.
Des buts et début contrasté
La Suède compte aujourd'hui trois points de retard sur les Pays-Bas dans les qualifications pour l'UEFA EURO 2012. Néanmoins, la sélection nordique a trouvé le chemin des filets à 20 reprises en six sorties, ce qui contraste singulièrement avec les 13 buts inscrits sur l'ensemble des préliminaires pour la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010™.
Dès demain, mercredi 10 août 2011, Hamren et ses joueurs affronteront la Russie en amical, avant de se rendre en Hongrie le 2 juin pour une rencontre capitale. Au milieu de cette actualité chargée, le Suédois confie à FIFA.com que le travail ne fait que commencer.
"Dans l'ensemble, je suis satisfait des progrès réalisés. Nous avons apporté quelques modifications et nous savions qu'il faudrait du temps pour procéder aux différents réglages," assure-t-il. 'Nous avons disputé six matches et nous en avons gagné cinq. C'est plutôt encourageant. Je crois que les prochains mois vont être très intéressants. À nous de faire en sorte que l'issue nous soit favorable."
"Il nous reste cependant beaucoup à apprendre. Nous sommes encore loin de notre meilleur niveau. Pour le moment, les résultats sont au rendez-vous, à l'exception de la rencontre face aux Pays-Bas (1:4). Parfois, le contenu de nos matches a été satisfaisant ; d'autres fois, il a laissé à désirer. Nous devons maintenant trouver une certaine régularité dans nos performances. Nous travaillons dur pour cela à l'entraînement," enchaîne le technicien suèdois.
Le retour de Zlatan
Personne n'incarne mieux cette quête d'excellence que Zlatan Ibrahimovic. Présenté comme un égoïste complaisant par ses détracteurs, l'attaquant de l'AC Milan s'est mué en un véritable meneur d'hommes depuis que Hamren l'a convaincu de sortir de sa retraite internationale. En récompense, le sélectionneur lui a même confié le brassard de capitaine.
Dès son retour en équipe nationale, le Milanais s'était dit conquis par le discours ambitieux de Hamren et par la perspective d'évoluer au sein d'un groupe rajeuni. Pour le nouvel homme fort du football suédois, la présence d'un joueur de ce calibre a sans doute représenté une première victoire, avant même que sa première sortie officielle. De son côté, Ibrahimovic s'est montré à la hauteur de sa réputation, inscrivant cinq buts en autant de sorties dans les préliminaires de l'Euro. En l'espace de quelques mois, il s'est imposé comme un véritable modèle pour les jeunes, à en croire le sélectionneur.
"Le retour de Zlatan a tout changé", confirme Hamren. "C'est un joueur exceptionnel. La Suède ne peut en aucun cas se passer d'un attaquant de sa trempe. Il a été très bon à chacune de ses sorties et je dois dire qu'il joue également un rôle très positif auprès des joueurs les moins expérimentés. Une nouvelle génération commence à s'installer en sélection. Par son attitude, Zlatan met ses partenaires en confiance. Il donne vraiment le bon exemple."
Il n'en fallait pas moins pour oublier une campagne de qualification pour Afrique du Sud 2010 désastreuse. Troisième derrière le Portugal et le Danemark, la Suède n'a remporté que cinq de ses dix matches. Ce parcours sans relief a été très mal vécu par des supporters habitués aux grands rendez-vous internationaux. En effet, les Blågult ont disputé quatre des cinq dernières éditions de l'épreuve suprême et n'ont plus manqué l'Euro depuis 1996.
Le Brésil en tête
Le premier objectif de Hamren est donc de redorer le blason suédois. Le technicien a récemment assisté au Tirage au sort préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Visiblement, la présence de l'Allemagne et de la République d'Irlande dans son groupe de qualification n'a pas entamé son enthousiasme : "Nous n'étions pas du voyage en 2010 mais les Suédois ont envie de faire à nouveau la fête avec le reste du monde. C'est très important pour nous."
"Nous nous sommes rendus à Rio pour assister au tirage au sort et nous y avons passé de très bons moments. Le Brésil est un pays fantastique. Cette Coupe du Monde s'annonce extraordinaire.Nous avons cet objectif en tête, bien entendu," annonce Hamren, "nous essayons de construire une équipe capable de disputer la Coupe du Monde même si, pour le moment, l'Euro occupe l'essentiel de nos pensées. L'idéal serait de se qualifier pour les deux compétitions. C'est en tout cas notre ambition."
Si la Suède venait à retrouver les hautes sphères du football mondial, il y a fort à parier que Hamren ne tarderait pas à sortir de son relatif anonymat.
Fifa.com (09/08/2011)
Re: International -News
Klinsmann veut relever le défi américain
L'Allemand Jürgen Klinsmann, qui avait conduit son pays à la 3e place du Mondial-2006 à domicile, va diriger pour la première fois mercredi face au Mexique la sélection des Etats-Unis, un pays qu'il connaît bien et apprécie.
Nommé à la fin du mois de juillet, l'Allemand de 47 ans n'a pas caché son enthousiasme et sa volonté de faire progresser le football aux Etats-Unis. "C'est un grand moment pour moi personnellement et je suis très fier d'être associé à ce projet", a-t-il dit devant la presse en prenant ses fonctions.
"Il s'agit de faire aller de l'avant l'équipe US, c'est exaltant", a ajouté celui qui en tant que joueur a remporté le Mondial-90 et l'Euro-96.
Marié à une Américaine, Klinsmann s'était installé en Californie dès la fin de sa carrière sportive en 1998 et vit toujours à Los Angeles. "C'est important de comprendre la culture (d'un pays). Cela m'a pris des années", a-t-il déclaré.
Sa carrière d'entraîneur également a été très marquée par les Etats-Unis. Quand il dirigeait la sélection allemande, il avait été contraint sous la pression populaire de venir vivre en Allemagne alors qu'il avait initialement prévu de rester à Los Angeles.
Puis, arrivé à la tête du Bayern Munich, il avait fait appel à des préparateurs américains et avait utilisé des méthodes de management inspirées de son expérience américaine. Sans grand succès, puisqu'il avait été licencié par le club bavarois avant même la fin de sa première saison.
Aujourd'hui, le technicien allemand va avoir pour tâche de maintenir la sélection américaine au haut niveau mondial (six participations consécutives au Mondial), voire de lui faire passer un échelon (quart de finaliste en 2002, huitième de finaliste en 1994 et 2010).
Confiance à Bradley
"Il faut construire sur ce qui existe déjà et le 'soccer' américain a fait déjà un long chemin. Il veut grandir et on ne peut pas l'arrêter", a expliqué l'ancien sélectionneur de la Mannschaft.
"C'est très frappant de parler avec des entraîneurs étrangers de la façon dont les choses ont évolué aux Etats-Unis. Ils sont admiratifs des progrès du +soccer+", a-t-il ajouté.
Dès sa prise de poste, l'ancien grand buteur (Stuttgart, Inter Milan, Monaco, Tottenham, Sampdoria, Bayern Munich...) a constitué sa première sélection pour la rencontre face au Mexique, mercredi à Philadelphie.
"L'un de mes objectifs est de créer de la concurrence à chaque poste, a-t-il souligné. Il y a des joueurs établis et aussi d'autres qui auront leur chance."
"Nous allons observer chaque joueur pendant le temps du camp d'entraînement, même s'il est court. Et nous aurons un match excitant contre le Mexique", a-t-il assuré.
Outre les cadres Landon Donovan (46 buts, 146 sélections), que Klinsmann a d'ailleurs déjà dirigé au Bayern Munich, Tim Howard ou Carlos Bocanegra, "Klinsi" n'a pas hésité à faire appel au milieu de terrain de Monchengladbach, Michael Bradley. Ce dernier, pilier de la sélection n'est autre que le fils de Bob Bradley, l'ex-sélectionneur évincé...au profit de Klinsmann.
Fifa.com (09/08/2011)
L'Allemand Jürgen Klinsmann, qui avait conduit son pays à la 3e place du Mondial-2006 à domicile, va diriger pour la première fois mercredi face au Mexique la sélection des Etats-Unis, un pays qu'il connaît bien et apprécie.
Nommé à la fin du mois de juillet, l'Allemand de 47 ans n'a pas caché son enthousiasme et sa volonté de faire progresser le football aux Etats-Unis. "C'est un grand moment pour moi personnellement et je suis très fier d'être associé à ce projet", a-t-il dit devant la presse en prenant ses fonctions.
"Il s'agit de faire aller de l'avant l'équipe US, c'est exaltant", a ajouté celui qui en tant que joueur a remporté le Mondial-90 et l'Euro-96.
Marié à une Américaine, Klinsmann s'était installé en Californie dès la fin de sa carrière sportive en 1998 et vit toujours à Los Angeles. "C'est important de comprendre la culture (d'un pays). Cela m'a pris des années", a-t-il déclaré.
Sa carrière d'entraîneur également a été très marquée par les Etats-Unis. Quand il dirigeait la sélection allemande, il avait été contraint sous la pression populaire de venir vivre en Allemagne alors qu'il avait initialement prévu de rester à Los Angeles.
Puis, arrivé à la tête du Bayern Munich, il avait fait appel à des préparateurs américains et avait utilisé des méthodes de management inspirées de son expérience américaine. Sans grand succès, puisqu'il avait été licencié par le club bavarois avant même la fin de sa première saison.
Aujourd'hui, le technicien allemand va avoir pour tâche de maintenir la sélection américaine au haut niveau mondial (six participations consécutives au Mondial), voire de lui faire passer un échelon (quart de finaliste en 2002, huitième de finaliste en 1994 et 2010).
Confiance à Bradley
"Il faut construire sur ce qui existe déjà et le 'soccer' américain a fait déjà un long chemin. Il veut grandir et on ne peut pas l'arrêter", a expliqué l'ancien sélectionneur de la Mannschaft.
"C'est très frappant de parler avec des entraîneurs étrangers de la façon dont les choses ont évolué aux Etats-Unis. Ils sont admiratifs des progrès du +soccer+", a-t-il ajouté.
Dès sa prise de poste, l'ancien grand buteur (Stuttgart, Inter Milan, Monaco, Tottenham, Sampdoria, Bayern Munich...) a constitué sa première sélection pour la rencontre face au Mexique, mercredi à Philadelphie.
"L'un de mes objectifs est de créer de la concurrence à chaque poste, a-t-il souligné. Il y a des joueurs établis et aussi d'autres qui auront leur chance."
"Nous allons observer chaque joueur pendant le temps du camp d'entraînement, même s'il est court. Et nous aurons un match excitant contre le Mexique", a-t-il assuré.
Outre les cadres Landon Donovan (46 buts, 146 sélections), que Klinsmann a d'ailleurs déjà dirigé au Bayern Munich, Tim Howard ou Carlos Bocanegra, "Klinsi" n'a pas hésité à faire appel au milieu de terrain de Monchengladbach, Michael Bradley. Ce dernier, pilier de la sélection n'est autre que le fils de Bob Bradley, l'ex-sélectionneur évincé...au profit de Klinsmann.
Fifa.com (09/08/2011)
Re: International -News
Petrovic et la Serbie voient déjà loin
Vladimir Petrovic nourrit de grandes ambitions pour la Serbie. Le sélectionneur a lui-même eu la chance de disputer deux phases finales de Coupe du Monde de la FIFA™. Aujourd'hui, il espère permettre à ses joueurs de goûter à cette expérience magnifique.
L'ancien milieu de terrain n'a cependant rien d'un doux rêveur. Dans le circuit depuis 15 ans, le technicien serbe sait mieux que quiconque qu'un entraîneur doit obtenir des résultats avant d'évoquer une quelconque stratégie à long terme.
Intronisé successeur de Radomir Antic deux journées après le début des qualifications pour l'UEFA EURO 2012, Petrovic ne bénéficiera d'aucun passe-droit. Au terme de la sixième levée, le bilan reste mitigé : deux victoires, deux nuls et deux défaites. L'Italie semble désormais hors de portée, ce qui signifie que la Serbie va devoir batailler avec la Slovénie pour tenter d'arracher une place de barragiste.
Cette situation délicate n'a pas empêché Petrovic de se rendre à Rio de Janeiro, pour assister au Tirage au sort préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Affable comme à son habitude, le Belgradois n'est pourtant pas assuré d'être présent sur la ligne de départ. Pour conserver la confiance de ses dirigeants, il lui faudra faire le plein de points dans les mois à venir.
"Je suis très content d'avoir fait le voyage à Rio", confie-t-il à FIFA.com. "La Coupe du Monde est vraiment une épreuve très spéciale. Néanmoins, je dois avouer que j'ai encore du mal à me projeter aussi loin dans l'avenir, alors que nous sommes en plein milieu des qualifications pour l'EURO. Comme tout le monde, j'attends cette Coupe du Monde brésilienne avec impatience. Mais je sais que mon destin dépendra en grande partie de nos résultats dans les prochains mois. Il en va de même pour la majorité de mes collègues européens."
Entrée en matière difficile
Comme il le reconnaît lui-même, Petrovic n'a pas connu des débuts très réussis à la tête de la sélection serbe. En guise d'entrée en matière, l'ancien entraîneur de l'Étoile Rouge a concédé une inquiétante défaite à domicile contre l'Estonie. Quelques jours plus tard, des incidents survenus dans les tribunes ont mis un terme prématuré au match contre l'Italie, à Gênes. La victoire des Azzurri sur tapis vert n'a pas facilité les choses, pas plus que les points perdus en Estonie.
Néanmoins, la Serbie reste à trois longueurs de la Slovénie, avec un match en retard. En outre, la victoire 2:1 sur l'Irlande du Nord semble de bon augure pour la suite. Ce succès porte en effet la marque d'une nouvelle génération de joueurs. "Nous n'avons pas eu la partie facile", reconnaît Petrovic. "J'essaye de mettre en place un groupe capable de s'inscrire dans la durée. Plusieurs internationaux ont fait leurs adieux à la sélection. Des jeunes ont pris leurs places et, si tout va bien, ils seront encore là dans quatre ans pour disputer la Coupe du Monde."
Et d'ajouter : "L'équipe affiche une moyenne d'âge de 26 ans. Ça me semble raisonnable. Je pense que ce groupe peut durer plusieurs années, d'autant que d'autres jeunes seront appelés à le renforcer par la suite. Mais le plus important reste la qualification. J'ai beaucoup d'idées que je souhaiterais mettre en place. Cela dit, je sais pertinemment que je n'aurais pas l'occasion de les développer si les résultats ne sont pas au rendez-vous. Cela fait partie du métier d'entraîneur."
Cette situation délicate ne l'empêche pas de rêver. En cas de qualification pour l'UEFA EURO 2012, Petrovic verrait son contrat automatiquement prolongé. Il lui arrive donc de s'imaginer dans les stades brésiliens. Vétéran des éditions 1974 et 1982 de l'épreuve suprême, l'ancien international retrouverait avec plaisir une compétition qu'il affectionne particulièrement. "Pour les joueurs, les entraîneurs, les supporters, il n'y a rien de plus beau qu'une Coupe du Monde. J'ai eu la chance d'en disputer deux en tant que joueur.Aujourd'hui, j'aimerais vivre cette expérience depuis le banc de touche. Si j'y parviens, je pourrai dire que j'ai vraiment réussi un exploit exceptionnel."
"Tous les matches seront compliqués"
"Je pense que ceux qui n'ont pas connu ça au moins une fois dans leur carrière ont vraiment manqué quelque chose", poursuit-il. "Il faut avoir vécu une Coupe du Monde pour comprendre de quoi je parle. C'est une expérience magnifique de représenter son pays dans la plus grande compétition de la planète."
Brillante lors des qualifications, la Serbie a déçu en phase finale de l'édition 2010. Sa présence au Brésil est encore loin d'être acquise. Les Beli Orlovi ont hérité d'un groupe équilibré, au sein duquel la Croatie, la Belgique, l'Écosse, l'ARY Macédoine et le Pays de Galles auront tous une carte à jouer. Le sélectionneur estime qu'il s'agit là de "l'une des poules les plus relevées".
À en croire Petrovic, aucun favori ne se distingue clairement : "Le football évolue constamment. Il me semble difficile de désigner dès aujourd'hui les favoris de 2014. Je ne pourrais même pas vous dire qui sortira de ce groupe ! C'est normal, les équipes changent et évoluent au fil du temps. En revanche, je peux d'ores et déjà vous affirmer que tous les matches seront très compliqués. Au final, un point ou même un but pourrait faire toute la différence."
Fifa.com (10/08/2011)
Vladimir Petrovic nourrit de grandes ambitions pour la Serbie. Le sélectionneur a lui-même eu la chance de disputer deux phases finales de Coupe du Monde de la FIFA™. Aujourd'hui, il espère permettre à ses joueurs de goûter à cette expérience magnifique.
L'ancien milieu de terrain n'a cependant rien d'un doux rêveur. Dans le circuit depuis 15 ans, le technicien serbe sait mieux que quiconque qu'un entraîneur doit obtenir des résultats avant d'évoquer une quelconque stratégie à long terme.
Intronisé successeur de Radomir Antic deux journées après le début des qualifications pour l'UEFA EURO 2012, Petrovic ne bénéficiera d'aucun passe-droit. Au terme de la sixième levée, le bilan reste mitigé : deux victoires, deux nuls et deux défaites. L'Italie semble désormais hors de portée, ce qui signifie que la Serbie va devoir batailler avec la Slovénie pour tenter d'arracher une place de barragiste.
Cette situation délicate n'a pas empêché Petrovic de se rendre à Rio de Janeiro, pour assister au Tirage au sort préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Affable comme à son habitude, le Belgradois n'est pourtant pas assuré d'être présent sur la ligne de départ. Pour conserver la confiance de ses dirigeants, il lui faudra faire le plein de points dans les mois à venir.
"Je suis très content d'avoir fait le voyage à Rio", confie-t-il à FIFA.com. "La Coupe du Monde est vraiment une épreuve très spéciale. Néanmoins, je dois avouer que j'ai encore du mal à me projeter aussi loin dans l'avenir, alors que nous sommes en plein milieu des qualifications pour l'EURO. Comme tout le monde, j'attends cette Coupe du Monde brésilienne avec impatience. Mais je sais que mon destin dépendra en grande partie de nos résultats dans les prochains mois. Il en va de même pour la majorité de mes collègues européens."
Entrée en matière difficile
Comme il le reconnaît lui-même, Petrovic n'a pas connu des débuts très réussis à la tête de la sélection serbe. En guise d'entrée en matière, l'ancien entraîneur de l'Étoile Rouge a concédé une inquiétante défaite à domicile contre l'Estonie. Quelques jours plus tard, des incidents survenus dans les tribunes ont mis un terme prématuré au match contre l'Italie, à Gênes. La victoire des Azzurri sur tapis vert n'a pas facilité les choses, pas plus que les points perdus en Estonie.
Néanmoins, la Serbie reste à trois longueurs de la Slovénie, avec un match en retard. En outre, la victoire 2:1 sur l'Irlande du Nord semble de bon augure pour la suite. Ce succès porte en effet la marque d'une nouvelle génération de joueurs. "Nous n'avons pas eu la partie facile", reconnaît Petrovic. "J'essaye de mettre en place un groupe capable de s'inscrire dans la durée. Plusieurs internationaux ont fait leurs adieux à la sélection. Des jeunes ont pris leurs places et, si tout va bien, ils seront encore là dans quatre ans pour disputer la Coupe du Monde."
Et d'ajouter : "L'équipe affiche une moyenne d'âge de 26 ans. Ça me semble raisonnable. Je pense que ce groupe peut durer plusieurs années, d'autant que d'autres jeunes seront appelés à le renforcer par la suite. Mais le plus important reste la qualification. J'ai beaucoup d'idées que je souhaiterais mettre en place. Cela dit, je sais pertinemment que je n'aurais pas l'occasion de les développer si les résultats ne sont pas au rendez-vous. Cela fait partie du métier d'entraîneur."
Cette situation délicate ne l'empêche pas de rêver. En cas de qualification pour l'UEFA EURO 2012, Petrovic verrait son contrat automatiquement prolongé. Il lui arrive donc de s'imaginer dans les stades brésiliens. Vétéran des éditions 1974 et 1982 de l'épreuve suprême, l'ancien international retrouverait avec plaisir une compétition qu'il affectionne particulièrement. "Pour les joueurs, les entraîneurs, les supporters, il n'y a rien de plus beau qu'une Coupe du Monde. J'ai eu la chance d'en disputer deux en tant que joueur.Aujourd'hui, j'aimerais vivre cette expérience depuis le banc de touche. Si j'y parviens, je pourrai dire que j'ai vraiment réussi un exploit exceptionnel."
"Tous les matches seront compliqués"
"Je pense que ceux qui n'ont pas connu ça au moins une fois dans leur carrière ont vraiment manqué quelque chose", poursuit-il. "Il faut avoir vécu une Coupe du Monde pour comprendre de quoi je parle. C'est une expérience magnifique de représenter son pays dans la plus grande compétition de la planète."
Brillante lors des qualifications, la Serbie a déçu en phase finale de l'édition 2010. Sa présence au Brésil est encore loin d'être acquise. Les Beli Orlovi ont hérité d'un groupe équilibré, au sein duquel la Croatie, la Belgique, l'Écosse, l'ARY Macédoine et le Pays de Galles auront tous une carte à jouer. Le sélectionneur estime qu'il s'agit là de "l'une des poules les plus relevées".
À en croire Petrovic, aucun favori ne se distingue clairement : "Le football évolue constamment. Il me semble difficile de désigner dès aujourd'hui les favoris de 2014. Je ne pourrais même pas vous dire qui sortira de ce groupe ! C'est normal, les équipes changent et évoluent au fil du temps. En revanche, je peux d'ores et déjà vous affirmer que tous les matches seront très compliqués. Au final, un point ou même un but pourrait faire toute la différence."
Fifa.com (10/08/2011)
Re: International -News
Independiente remporte la première manche
Le club argentin Independiente a battu les Brésiliens d'Internacional Porto Alegre 2 à 1 (mi-temps: 1-1) en finale aller de la Super-Coupe sud-américaine (Recopa Sudamericana), équivalent de la Super-Coupe d'Europe en Amérique du Sud, mercredi à Buenos Aires.
La Recopa Sudamericana oppose chaque année, depuis 1989, le vainqueur de la Coupe Libertadores (en 2010: Internacional) à celui de la Coupe Sud-américaine (en 2O10: Independiente).
Le match retour aura lieu à Porto Alegre, le 24 août.
Fifa.com (11/08/2011)
Le club argentin Independiente a battu les Brésiliens d'Internacional Porto Alegre 2 à 1 (mi-temps: 1-1) en finale aller de la Super-Coupe sud-américaine (Recopa Sudamericana), équivalent de la Super-Coupe d'Europe en Amérique du Sud, mercredi à Buenos Aires.
La Recopa Sudamericana oppose chaque année, depuis 1989, le vainqueur de la Coupe Libertadores (en 2010: Internacional) à celui de la Coupe Sud-américaine (en 2O10: Independiente).
Le match retour aura lieu à Porto Alegre, le 24 août.
Fifa.com (11/08/2011)
Re: International -News
Mutu exclu à vie de la sélection
L'attaquant roumain Adrian Mutu a été exclu à vie de la sélection nationale de football après avoir passé une soirée arrosée deux jours avant le match amical contre Saint-Marin, a annoncé le sélectionneur Victor Piturca.
Gabriel Tamas, défenseur du club anglais de West Bromwich, qui l'accompagnait, a écopé de la même sanction, a déclaré Piturca tard mercredi soir, à l'issue de la rencontre remportée par la Roumanie 1 à 0.
"Les deux ont été définitivement exclus de l'équipe nationale", a-t-il souligné.
"Avec moi, les règles sont strictes et ils auraient dû le savoir. Je suis désolé car nous avons perdu deux joueurs de valeur", a-t-il ajouté.
Selon les médias, les deux footballeurs, qui n'en sont pas à leur premier exploit du genre, avaient fait la fête lundi soir après avoir quitté l'hôtel de Rimini où logeait la sélection.
"Nous comprenons la décision de Piturca", a déclaré Mutu, tout en laissant entendre qu'il la considérait comme exagérée, puisqu'il s'agissait "seulement" d'une heure de retard par rapport aux consignes du sélectionneur.
Mutu et Tamas seront donc absents des matches contre le Luxembourg (le 2 septembre en déplacement) et la France (le 6 septembre à Bucarest), en qualifications pour l'Euro-2012 (groupe D).
Mutu, 32 ans, jadis surnommé le "brillant" et qui porte depuis juin le maillot du modeste club de 1re division italienne de Cesena, après avoir quitté la Fiorentina, a enchaîné frasques et sanctions ces dernières années.
En 2004, à Chelsea en Premier League, il avait été suspendu deux ans pour consommation de cocaïne. Sept ans plus tard, il doit toujours verser 17,2 millions d'euros de dédommagements au club.
En janvier 2010, il avait été contrôlé positif à la sibutramine et suspendu neuf mois par la Fiorentina.
Revenu en octobre, il avait été impliqué quelques jours plus tard dans une bagarre dans un bar, et avait failli être chassé du club italien à l'hiver pour son comportement à l'entraînement.
Fifa.com (11/08/2011)
L'attaquant roumain Adrian Mutu a été exclu à vie de la sélection nationale de football après avoir passé une soirée arrosée deux jours avant le match amical contre Saint-Marin, a annoncé le sélectionneur Victor Piturca.
Gabriel Tamas, défenseur du club anglais de West Bromwich, qui l'accompagnait, a écopé de la même sanction, a déclaré Piturca tard mercredi soir, à l'issue de la rencontre remportée par la Roumanie 1 à 0.
"Les deux ont été définitivement exclus de l'équipe nationale", a-t-il souligné.
"Avec moi, les règles sont strictes et ils auraient dû le savoir. Je suis désolé car nous avons perdu deux joueurs de valeur", a-t-il ajouté.
Selon les médias, les deux footballeurs, qui n'en sont pas à leur premier exploit du genre, avaient fait la fête lundi soir après avoir quitté l'hôtel de Rimini où logeait la sélection.
"Nous comprenons la décision de Piturca", a déclaré Mutu, tout en laissant entendre qu'il la considérait comme exagérée, puisqu'il s'agissait "seulement" d'une heure de retard par rapport aux consignes du sélectionneur.
Mutu et Tamas seront donc absents des matches contre le Luxembourg (le 2 septembre en déplacement) et la France (le 6 septembre à Bucarest), en qualifications pour l'Euro-2012 (groupe D).
Mutu, 32 ans, jadis surnommé le "brillant" et qui porte depuis juin le maillot du modeste club de 1re division italienne de Cesena, après avoir quitté la Fiorentina, a enchaîné frasques et sanctions ces dernières années.
En 2004, à Chelsea en Premier League, il avait été suspendu deux ans pour consommation de cocaïne. Sept ans plus tard, il doit toujours verser 17,2 millions d'euros de dédommagements au club.
En janvier 2010, il avait été contrôlé positif à la sibutramine et suspendu neuf mois par la Fiorentina.
Revenu en octobre, il avait été impliqué quelques jours plus tard dans une bagarre dans un bar, et avait failli être chassé du club italien à l'hiver pour son comportement à l'entraînement.
Fifa.com (11/08/2011)
Re: International -News
L'Allemagne jubile, le Brésil fébrile
Joachim Low est un sélectionneur gâté: pour la rentrée des classes, il a trouvé en Mario Götze un "magicien" pour mener sa Mannschaft à la victoire (3-2) sur le Brésil en match amical mercredi à Stuttgart, la première en 18 ans face la Seleçao.
De prestige certes, ce succès offre cependant des perspectives radieuses sur la route des qualifications à l'Euro-2012, où l'Allemagne caracole en tête, et au-delà... Alors que le Brésil n'a toujours pas trouvé l'assurance digne de sa mission: accueillir son premier Mondial en 2014.
"Götzinho a enchanté l'Allemagne", titrait Bild, sous le charme comme tout le pays des exploits de Götze, le blondinet de Dortmund qui, à 19 ans, a ouvert son compteur en sélection sur un but digne d'un Messi auquel il est souvent comparé.
"Je suis heureux d'avoir pu joué un rôle dans cette victoire" commentait en toute modestie le héros du soir, vanté par son sélectionneur pour "sa vision de jeu exceptionnelle" et sa capacité "à trouver une solution à tous les problèmes".
Mais au-delà des exploits de Götze, Low était "ravi d'avoir désormais autant d'options". Lui qui s'était passé des Madrilènes Özil et Khedira, faisait notamment référence à Schürrle (20 ans), entré en fin de match pour inscrire le 3e but, et Kroos (21 ans), auteur d'un gros match en milieu de terrain aux côtés d'un Schweinsteiger retrouvé (but sur penalty et passe décisive sur le 3e).
Réservoir incroyable
Avec sur le banc Grosskreutz (22 ans) et Ilkay Gündogan (20 ans), partenaires de Götze à Dortmund, l'Allemagne a un réservoir incroyable, d'autant que Müller et Gomez, certes silencieux mercredi, ont déjà montré leur classe internationale à 21 et 24 ans.
"On a échoué en 2008 (2e de l'Euro) et en 2010 (3e du Mondial). Alors il faut travailler encore et encore", prévient toutefois Löw, dont le palmarès est de 48 victoires en 69 matches depuis son arrivée aux commandes en août 2006. Avec un impressionnant total de 166 buts marqués pour seulement 52 encaissés.
La Mannschaft a envoyé un message fort à ses prochains adversaires des qualifications, l'Autriche (2 septembre), la Turquie (7 octobre) et la Belgique (11 octobre), qu'elle a déjà battus à l'aller. Et à l'Espagne, tenante du titre et reine du monde qui s'est inclinée mercredi en match amical en Italie (2-1).
"L'Allemagne a un grand jeu collectif et de la qualité dans toutes les lignes. C'est l'une des équipes qu'on peut prendre en exemple pour s'améliorer", estimait le Barcelonais Dani Alves.
Pour le sélectionneur brésilien Mano Menezes, rentré bredouille de la Copa America (éliminé en quarts par le Paraguay), l'horizon ne s'éclaircit pas vraiment. Inconstants face à l'Allemagne, ses Auriverde ont gagné un seul match depuis qu'il a succédé à Dunga après le Mondial-2010. De son propre aveu, son équipe a même été inférieure à l'adversaire "pour la première fois".
La "progression" vantée par Menezes reste lente. Mais il demeure persuadé qu'avec le temps, les Neymar, Pato et Ganso vont confirmer leur talent pour prétendre à une sixième étoile, un sixième titre de champion du monde pour le Brésil.
Fifa.com (11/08/2011)
Joachim Low est un sélectionneur gâté: pour la rentrée des classes, il a trouvé en Mario Götze un "magicien" pour mener sa Mannschaft à la victoire (3-2) sur le Brésil en match amical mercredi à Stuttgart, la première en 18 ans face la Seleçao.
De prestige certes, ce succès offre cependant des perspectives radieuses sur la route des qualifications à l'Euro-2012, où l'Allemagne caracole en tête, et au-delà... Alors que le Brésil n'a toujours pas trouvé l'assurance digne de sa mission: accueillir son premier Mondial en 2014.
"Götzinho a enchanté l'Allemagne", titrait Bild, sous le charme comme tout le pays des exploits de Götze, le blondinet de Dortmund qui, à 19 ans, a ouvert son compteur en sélection sur un but digne d'un Messi auquel il est souvent comparé.
"Je suis heureux d'avoir pu joué un rôle dans cette victoire" commentait en toute modestie le héros du soir, vanté par son sélectionneur pour "sa vision de jeu exceptionnelle" et sa capacité "à trouver une solution à tous les problèmes".
Mais au-delà des exploits de Götze, Low était "ravi d'avoir désormais autant d'options". Lui qui s'était passé des Madrilènes Özil et Khedira, faisait notamment référence à Schürrle (20 ans), entré en fin de match pour inscrire le 3e but, et Kroos (21 ans), auteur d'un gros match en milieu de terrain aux côtés d'un Schweinsteiger retrouvé (but sur penalty et passe décisive sur le 3e).
Réservoir incroyable
Avec sur le banc Grosskreutz (22 ans) et Ilkay Gündogan (20 ans), partenaires de Götze à Dortmund, l'Allemagne a un réservoir incroyable, d'autant que Müller et Gomez, certes silencieux mercredi, ont déjà montré leur classe internationale à 21 et 24 ans.
"On a échoué en 2008 (2e de l'Euro) et en 2010 (3e du Mondial). Alors il faut travailler encore et encore", prévient toutefois Löw, dont le palmarès est de 48 victoires en 69 matches depuis son arrivée aux commandes en août 2006. Avec un impressionnant total de 166 buts marqués pour seulement 52 encaissés.
La Mannschaft a envoyé un message fort à ses prochains adversaires des qualifications, l'Autriche (2 septembre), la Turquie (7 octobre) et la Belgique (11 octobre), qu'elle a déjà battus à l'aller. Et à l'Espagne, tenante du titre et reine du monde qui s'est inclinée mercredi en match amical en Italie (2-1).
"L'Allemagne a un grand jeu collectif et de la qualité dans toutes les lignes. C'est l'une des équipes qu'on peut prendre en exemple pour s'améliorer", estimait le Barcelonais Dani Alves.
Pour le sélectionneur brésilien Mano Menezes, rentré bredouille de la Copa America (éliminé en quarts par le Paraguay), l'horizon ne s'éclaircit pas vraiment. Inconstants face à l'Allemagne, ses Auriverde ont gagné un seul match depuis qu'il a succédé à Dunga après le Mondial-2010. De son propre aveu, son équipe a même été inférieure à l'adversaire "pour la première fois".
La "progression" vantée par Menezes reste lente. Mais il demeure persuadé qu'avec le temps, les Neymar, Pato et Ganso vont confirmer leur talent pour prétendre à une sixième étoile, un sixième titre de champion du monde pour le Brésil.
Fifa.com (11/08/2011)
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