International -News
5 participants
Page 19 sur 40
Page 19 sur 40 • 1 ... 11 ... 18, 19, 20 ... 29 ... 40
Re: International -News
rachid_as a écrit:L'Allemagne jubile, le Brésil fébrile
Joachim Low est un sélectionneur gâté: pour la rentrée des classes, il a trouvé en Mario Götze un "magicien" pour mener sa Mannschaft à la victoire (3-2) sur le Brésil en match amical mercredi à Stuttgart, la première en 18 ans face la Seleçao.
De prestige certes, ce succès offre cependant des perspectives radieuses sur la route des qualifications à l'Euro-2012, où l'Allemagne caracole en tête, et au-delà... Alors que le Brésil n'a toujours pas trouvé l'assurance digne de sa mission: accueillir son premier Mondial en 2014.
"Götzinho a enchanté l'Allemagne", titrait Bild, sous le charme comme tout le pays des exploits de Götze, le blondinet de Dortmund qui, à 19 ans, a ouvert son compteur en sélection sur un but digne d'un Messi auquel il est souvent comparé.
"Je suis heureux d'avoir pu joué un rôle dans cette victoire" commentait en toute modestie le héros du soir, vanté par son sélectionneur pour "sa vision de jeu exceptionnelle" et sa capacité "à trouver une solution à tous les problèmes".
Mais au-delà des exploits de Götze, Low était "ravi d'avoir désormais autant d'options". Lui qui s'était passé des Madrilènes Özil et Khedira, faisait notamment référence à Schürrle (20 ans), entré en fin de match pour inscrire le 3e but, et Kroos (21 ans), auteur d'un gros match en milieu de terrain aux côtés d'un Schweinsteiger retrouvé (but sur penalty et passe décisive sur le 3e).
Réservoir incroyable
Avec sur le banc Grosskreutz (22 ans) et Ilkay Gündogan (20 ans), partenaires de Götze à Dortmund, l'Allemagne a un réservoir incroyable, d'autant que Müller et Gomez, certes silencieux mercredi, ont déjà montré leur classe internationale à 21 et 24 ans.
"On a échoué en 2008 (2e de l'Euro) et en 2010 (3e du Mondial). Alors il faut travailler encore et encore", prévient toutefois Löw, dont le palmarès est de 48 victoires en 69 matches depuis son arrivée aux commandes en août 2006. Avec un impressionnant total de 166 buts marqués pour seulement 52 encaissés.
La Mannschaft a envoyé un message fort à ses prochains adversaires des qualifications, l'Autriche (2 septembre), la Turquie (7 octobre) et la Belgique (11 octobre), qu'elle a déjà battus à l'aller. Et à l'Espagne, tenante du titre et reine du monde qui s'est inclinée mercredi en match amical en Italie (2-1).
"L'Allemagne a un grand jeu collectif et de la qualité dans toutes les lignes. C'est l'une des équipes qu'on peut prendre en exemple pour s'améliorer", estimait le Barcelonais Dani Alves.
Pour le sélectionneur brésilien Mano Menezes, rentré bredouille de la Copa America (éliminé en quarts par le Paraguay), l'horizon ne s'éclaircit pas vraiment. Inconstants face à l'Allemagne, ses Auriverde ont gagné un seul match depuis qu'il a succédé à Dunga après le Mondial-2010. De son propre aveu, son équipe a même été inférieure à l'adversaire "pour la première fois".
La "progression" vantée par Menezes reste lente. Mais il demeure persuadé qu'avec le temps, les Neymar, Pato et Ganso vont confirmer leur talent pour prétendre à une sixième étoile, un sixième titre de champion du monde pour le Brésil.
Fifa.com (11/08/2011)
adsm- Messages : 19445
Date d'inscription : 05/11/2009
Age : 77
Localisation : Diguendin diguenda
Re: International -News
Italie vs Espagne
adsm- Messages : 19445
Date d'inscription : 05/11/2009
Age : 77
Localisation : Diguendin diguenda
Re: International -News
Bulgarie : Matthaüs prolonge à la tête de la sélection
L'Allemand Lothar Matthaüs va prolonger de deux ans son contrat d'entraîneur de l'équipe nationale bulgare et tentera de la qualifier pour le Mondial-2014, a annoncé jeudi le président de la Fédération bulgare de football Borislav Mihaylov.
"Matthaüs sera entraîneur de la sélection deux ans de plus", a indiqué M. Mihaylov à des journalistes, précisant que le document sera paraphé dans les prochains jours.
Engagé à l'automne 2010 après le début catastrophique des Bulgares en éliminatoires de l'Euro-2012, le champion du monde 1990 a remis l'équipe à flot, mais les chances de qualifications sont très minces. La Bulgarie compte 6 points de retard sur les deux équipes de tête (Angleterre et Monténégro), à trois matches de la fin. Les Bulgares recevront les Anglais le 2 septembre.
Dans la course à la qualification au Mondial-2014, les hommes de Matthaeus seront opposés dans le groupe B à l'Italie, le Danemark, la République Tchèque, l'Arménie et Malte.
Fifa.com (11/08/2011)
L'Allemand Lothar Matthaüs va prolonger de deux ans son contrat d'entraîneur de l'équipe nationale bulgare et tentera de la qualifier pour le Mondial-2014, a annoncé jeudi le président de la Fédération bulgare de football Borislav Mihaylov.
"Matthaüs sera entraîneur de la sélection deux ans de plus", a indiqué M. Mihaylov à des journalistes, précisant que le document sera paraphé dans les prochains jours.
Engagé à l'automne 2010 après le début catastrophique des Bulgares en éliminatoires de l'Euro-2012, le champion du monde 1990 a remis l'équipe à flot, mais les chances de qualifications sont très minces. La Bulgarie compte 6 points de retard sur les deux équipes de tête (Angleterre et Monténégro), à trois matches de la fin. Les Bulgares recevront les Anglais le 2 septembre.
Dans la course à la qualification au Mondial-2014, les hommes de Matthaeus seront opposés dans le groupe B à l'Italie, le Danemark, la République Tchèque, l'Arménie et Malte.
Fifa.com (11/08/2011)
Re: International -News
Costa Rica : Le sélectionneur La Volpe quitte son poste
L'Argentin Ricardo La Volpe a annoncé vendredi qu'il quittait, après 11 mois de service, son poste de sélectionneur du Costa Rica, après un accord mutuel avec la Fédération costaricaine de football (FCF).
Le président de la FCF, Eduardo Li, a assuré que cette décision avait été prise d'un commun accord et sans avoir à verser, de part et d'autre, une compensation financière.
Le sélectionneur du Costa Rica restait sur plusieurs échecs lors de récents matches amicaux et en Copa America en juillet en Argentine (élimination au 1er tour).
La Volpe avait succédé en septembre 2011 à Ronald Gonzalez, avec pour objectif de qualifier l'équipe nationale pour le Mondial-2014 au Brésil.
Le Costa Rica avait déjà échoué à se qualifier pour le Mondial-2010 en Afrique du Sud.
Depuis le début de sa carrière d'entraîneur en 1983, La Volpe, 59 ans, a dirigé de nombreux clubs mexicains ainsi que sa sélection nationale (2002 à 2006), et les clubs argentins de Boca Juniors et Velez Sarsfield.
Fifa.com (13/08/2011)
L'Argentin Ricardo La Volpe a annoncé vendredi qu'il quittait, après 11 mois de service, son poste de sélectionneur du Costa Rica, après un accord mutuel avec la Fédération costaricaine de football (FCF).
Le président de la FCF, Eduardo Li, a assuré que cette décision avait été prise d'un commun accord et sans avoir à verser, de part et d'autre, une compensation financière.
Le sélectionneur du Costa Rica restait sur plusieurs échecs lors de récents matches amicaux et en Copa America en juillet en Argentine (élimination au 1er tour).
La Volpe avait succédé en septembre 2011 à Ronald Gonzalez, avec pour objectif de qualifier l'équipe nationale pour le Mondial-2014 au Brésil.
Le Costa Rica avait déjà échoué à se qualifier pour le Mondial-2010 en Afrique du Sud.
Depuis le début de sa carrière d'entraîneur en 1983, La Volpe, 59 ans, a dirigé de nombreux clubs mexicains ainsi que sa sélection nationale (2002 à 2006), et les clubs argentins de Boca Juniors et Velez Sarsfield.
Fifa.com (13/08/2011)
Re: International -News
Camacho, nouveau sélectionneur de la Chine
L'Espagnol Jose Antonio Camacho, ancien entraîneur du Real Madrid et de la sélection nationale espagnole, est devenu dimanche sélectionneur de l'équipe de Chine, a annoncé la Fédération chinoise de football.
Camacho, 56 ans, succède à Gao Hongbo, à la tête de la sélection chinoise
depuis mai 2009 et qui n'avait pu la qualifier pour le Mondial 2010 en Afrique du sud. La Chine n'a participé qu'à un seul Mondial, en 2002, organisé par la Corée du sud et le Japon.
Camacho, qui avait conduit l'Espagne à l'Euro 2000, en Belgique et Pays-Bas, et au Mondial 2002, a signé un contrat de trois ans dimanche au cours d'une cérémonie à Pékin, a précisé la fédération.
Camacho avait été limogé en février par le club espagnol d'Osasuna, menacé de relégation à l'époque et finalement 9e de la Liga. L'ancien défenseur international du Real des années 1980 en était devenu l'entraîneur en 2004, après avoir dirigé l'Espanyol Barcelone, le FC Séville et le Benfica Lisbonne.
"Bien que le niveau actuel du football chinois ne soit pas très élevé, il a un gros potentiel de développement", a-t-il déclaré.
La Fédération chinoise a déjà défini sa mission: "assurer activement la préparation de l'équipe nationale pour les qualifications au Mondial 2014", a souligné son vice-président, Wei Di.
La Chine est actuellement invaincue en cinq matches amicaux face au Honduras, l'Ouzbékistan, la Corée du Nord et la Jamaïque. Elle rencontrera Singapour le 2 septembre pour son premier match des qualifications.
Fifa.com (14/08/2011)
L'Espagnol Jose Antonio Camacho, ancien entraîneur du Real Madrid et de la sélection nationale espagnole, est devenu dimanche sélectionneur de l'équipe de Chine, a annoncé la Fédération chinoise de football.
Camacho, 56 ans, succède à Gao Hongbo, à la tête de la sélection chinoise
depuis mai 2009 et qui n'avait pu la qualifier pour le Mondial 2010 en Afrique du sud. La Chine n'a participé qu'à un seul Mondial, en 2002, organisé par la Corée du sud et le Japon.
Camacho, qui avait conduit l'Espagne à l'Euro 2000, en Belgique et Pays-Bas, et au Mondial 2002, a signé un contrat de trois ans dimanche au cours d'une cérémonie à Pékin, a précisé la fédération.
Camacho avait été limogé en février par le club espagnol d'Osasuna, menacé de relégation à l'époque et finalement 9e de la Liga. L'ancien défenseur international du Real des années 1980 en était devenu l'entraîneur en 2004, après avoir dirigé l'Espanyol Barcelone, le FC Séville et le Benfica Lisbonne.
"Bien que le niveau actuel du football chinois ne soit pas très élevé, il a un gros potentiel de développement", a-t-il déclaré.
La Fédération chinoise a déjà défini sa mission: "assurer activement la préparation de l'équipe nationale pour les qualifications au Mondial 2014", a souligné son vice-président, Wei Di.
La Chine est actuellement invaincue en cinq matches amicaux face au Honduras, l'Ouzbékistan, la Corée du Nord et la Jamaïque. Elle rencontrera Singapour le 2 septembre pour son premier match des qualifications.
Fifa.com (14/08/2011)
Re: International -News
Blanc : "Le talent ne suffit pas"
Un fiasco à solder, un blason à redorer, une qualification à assurer… Il y a un an, Laurent Blanc prenait la tête d’une équipe de France en chantier. Séduisants et conquérants, les Bleus ont bien changé en 12 mois. A l’évidence, ce retour en grâce est marqué du sceau de son sélectionneur.
Car s’il aime les défis, Laurent Blanc est surtout un gagneur. Après une carrière exemplaire de joueur jalonnée de multiples titres nationaux, continentaux et mondiaux, le Président s’est offert une reconversion parfaite. Sur le banc de Bordeaux, il est nommé meilleur entraîneur de Ligue 1 dès sa première année (2007/08) avant d’offrir le sacre l’année suivante. Le costume de patron tricolore semblait être fait pour lui.
"Ce qui m’importe, c’est uniquement de me qualifier pour l’Euro", répète-t-il à l’envi. "C’est uniquement ce qu’on demande à un sélectionneur !" Laurent Blanc est donc en train de remplir sa mission : la France est première de son Groupe D qualificatif pour l'UEFA EURO 2012, bien placée pour décrocher son sésame. Au micro de FIFA.com, Laurent Blanc revient sur cette première année à la tête des Bleus.
M. Blanc, un an après votre arrivée à la tête de l’équipe de France, pensez-vous connaître les clefs du métier de sélectionneur ?
Certainement pas. Mais je ne pense pas que cela soit possible non plus. La durée de vie d’un sélectionneur n’est jamais très longue, comme celle d’un entraîneur d’ailleurs. Certes, il y a des sélectionneurs avec davantage d’expérience que moi. Mais ce n’est pas de connaître le job sur le bout des ongles qui m’intéresse. Ce qui m’importe, c’est uniquement de me qualifier pour l’Euro. Et cela ne sert à rien de connaître le travail si vous ne qualifiez pas votre équipe ! C’est uniquement ce qu’on demande à un sélectionneur. La chose la plus importante est de bien travailler et d’appliquer ce que l’on veut mettre en place.
Après avoir passé un an à la tête de l’équipe de France, êtes-vous en mesure de comparer le poste de sélectionneur et celui d’entraîneur de club ?
Ces deux postes n’ont rien à voir. Ce sont deux métiers différents. Lorsque vous prenez un club, vous avez à disposition vos joueurs quasiment tous les jours. Vous pouvez les faire progresser, communiquer, parler, échanger, dialoguer. Pour un sélectionneur c’est pratiquement impossible. Prenons un exemple concret. Pour le match face au Chili, les joueurs arrivent à une heure de l’après midi le lundi, nous jouons le mercredi soir à 21h00. Que voulez-vous voulez mettre en place en ce court laps de temps ? Hormis les faire récupérer et essayer de leur dicter une certaine philosophie de jeu et de vie, on ne peut pas faire beaucoup plus. Il faut avoir du temps. Le métier de sélectionneur est plus difficile que le métier d’entraîneur : on demande à un entraineur comme à un sélectionneur de gagner, mais l’entraineur a un plus de temps pour remplir sa mission.
Êtes-vous frustré par cela ?
C’est la réalité. Tous les sélectionneurs sont logés à la même enseigne. Après il faut avoir la chance d’avoir une équipe compétitive le plus vite possible. Ce n’est pas notre cas, cela met un peu de temps. Rien n’est facile. Nous sommes dans une période de construction, où nous ne faisons plus partie des meilleures équipes européennes, voir mondiales. Et c’est compliqué.
Vous avez dit récemment qu’un noyau se dégageait. Vous considérez-vous dans les temps ?
Je confirme qu’un noyau se dégage. Mais je ne me suis pas mis de date butoir. La seule échéance importante pour tout le groupe, pour la fédération et pour les gens qui aiment le football est l’Euro. La construction d’une équipe prend beaucoup de temps. Parfois ça prend même tellement de temps que vous n’avez pas eu le temps d’en former une ! (rires) Nous essayons d’avancer étape par étape. Nous sommes en train de créer un noyau certes, mais la chose la plus importante est de gagner des matches. Car cela fait accélérer les choses.
Qui compose ce noyau ?
Il se compose de cinq-six joueurs. Si l’on se penche sur les convocations depuis le début de mon mandat, on s’aperçoit qu’il y a quelques joueurs qui font toujours partie du groupe. C’est un bon signe pour eux. Mais rien n'est défini, rien n’est définitif. L’équipe de France doit savoir faire de la place à des jeunes joueurs et à des joueurs qui sont momentanément dans un état de forme excellent. C’est important pour installer une concurrence perpétuelle. Quand vous êtes sûr d’être sélectionné en équipe nationale, la motivation se fait de plus en plus rare. Et c’est une chose à éviter.
Vous avez été champion du monde en 1998 en tant que joueur. Est-ce que vous essayez de reproduire la même recette ? Et quelle est-elle ?
Les époques changent et le football avec. Dans un sport collectif, il faut avoir des talents individuels. Mais surtout, il faut savoir mettre ce talent individuel au service du collectif et non le contraire. On a pu voir que le contraire était très dangereux, je pense que c’était une partie du problème en Afrique du Sud il y a un an. Le talent est donc important, mais il faut surtout essayer de créer un état d’esprit, un collectif : c’est fondamental pour gagner des matches et obtenir des titres. Le travail est là.
À quoi ressemble l’état d’esprit du groupe de Laurent Blanc ?
C’est lorsque vous faites une tournée, que vous avez du temps que vous pouvez le juger. Sur trois jours, les choses vont un peu vite ! Cela a donc été un peu l’objet de notre tournée en Europe de l’est en juin. Même si l’on peut regretter le résultat contre le Bélarus, nous n’avons eu qu’à nous réjouir de l’état d’esprit des joueurs et du staff. A l’évidence, ce genre de stage permet d’approfondir les liens du groupe. On essaiera de renouveler l’expérience.
Zinedine Zidane a dit que Raphaël Varane, le nouveau défenseur du Real Madrid, avait le potentiel pour être le nouveau Laurent Blanc. D’après vous, y a t-il en France un nouveau Zidane ?
Nous aimerions tous qu’il y ait un nouveau Zidane, un nouveau Barthez. Mais il ne faut pas vivre avec le passé. Il faut vivre avec son temps et l’avenir. Nous avons de bons jeunes joueurs, mais selon moi, nous n’avons pas encore de joueurs qui ont véritablement explosé, comme Zidane à une certaine époque. On attend tous que ces garçons brillent dans les grands clubs. Cela serait bien pour eux, pour leur club et aussi pour l’équipe nationale. Quant au joueur du Real Madrid, je pense que c’est un garçon qui a du potentiel, mais il n’est pas le seul. Il a des qualités, j’espère qu’il aura du temps de jeu pour pouvoir les montrer. Mais j’ai quelques doutes.
En parlant de jeunes joueurs, vous connaissez sans doute les Neymar, Ganso et autres Lucas. Que vous inspire cette génération de jeunes talents ?
On ne fait que parler d’eux ! Ce sont de bons jeunes joueurs, mais on peut s’apercevoir que l’équipe du Brésil a du mal collectivement à s’imposer, malgré ses talents individuels. Il n’y a qu’à voir la dernière Copa América. Des joueurs au talent individuel hors pair ne font pas forcement une très grande équipe. L’Argentine et le Brésil le démontrent. Le talent ne suffit pas même s'il vaut mieux en avoir pour faire une grande équipe. Mais quand vous avez du talent, voire du génie, il n’est pas automatique que vous ayez une grande équipe. Heureusement, sinon le Brésil n’aurait pas gagné cinq coupes du monde, mais 10 (rires) ! Il faut bien qu’ils en laissent un petit peu aux autres…
Fifa.com (15/08/2011)
Un fiasco à solder, un blason à redorer, une qualification à assurer… Il y a un an, Laurent Blanc prenait la tête d’une équipe de France en chantier. Séduisants et conquérants, les Bleus ont bien changé en 12 mois. A l’évidence, ce retour en grâce est marqué du sceau de son sélectionneur.
Car s’il aime les défis, Laurent Blanc est surtout un gagneur. Après une carrière exemplaire de joueur jalonnée de multiples titres nationaux, continentaux et mondiaux, le Président s’est offert une reconversion parfaite. Sur le banc de Bordeaux, il est nommé meilleur entraîneur de Ligue 1 dès sa première année (2007/08) avant d’offrir le sacre l’année suivante. Le costume de patron tricolore semblait être fait pour lui.
"Ce qui m’importe, c’est uniquement de me qualifier pour l’Euro", répète-t-il à l’envi. "C’est uniquement ce qu’on demande à un sélectionneur !" Laurent Blanc est donc en train de remplir sa mission : la France est première de son Groupe D qualificatif pour l'UEFA EURO 2012, bien placée pour décrocher son sésame. Au micro de FIFA.com, Laurent Blanc revient sur cette première année à la tête des Bleus.
M. Blanc, un an après votre arrivée à la tête de l’équipe de France, pensez-vous connaître les clefs du métier de sélectionneur ?
Certainement pas. Mais je ne pense pas que cela soit possible non plus. La durée de vie d’un sélectionneur n’est jamais très longue, comme celle d’un entraîneur d’ailleurs. Certes, il y a des sélectionneurs avec davantage d’expérience que moi. Mais ce n’est pas de connaître le job sur le bout des ongles qui m’intéresse. Ce qui m’importe, c’est uniquement de me qualifier pour l’Euro. Et cela ne sert à rien de connaître le travail si vous ne qualifiez pas votre équipe ! C’est uniquement ce qu’on demande à un sélectionneur. La chose la plus importante est de bien travailler et d’appliquer ce que l’on veut mettre en place.
Après avoir passé un an à la tête de l’équipe de France, êtes-vous en mesure de comparer le poste de sélectionneur et celui d’entraîneur de club ?
Ces deux postes n’ont rien à voir. Ce sont deux métiers différents. Lorsque vous prenez un club, vous avez à disposition vos joueurs quasiment tous les jours. Vous pouvez les faire progresser, communiquer, parler, échanger, dialoguer. Pour un sélectionneur c’est pratiquement impossible. Prenons un exemple concret. Pour le match face au Chili, les joueurs arrivent à une heure de l’après midi le lundi, nous jouons le mercredi soir à 21h00. Que voulez-vous voulez mettre en place en ce court laps de temps ? Hormis les faire récupérer et essayer de leur dicter une certaine philosophie de jeu et de vie, on ne peut pas faire beaucoup plus. Il faut avoir du temps. Le métier de sélectionneur est plus difficile que le métier d’entraîneur : on demande à un entraineur comme à un sélectionneur de gagner, mais l’entraineur a un plus de temps pour remplir sa mission.
Êtes-vous frustré par cela ?
C’est la réalité. Tous les sélectionneurs sont logés à la même enseigne. Après il faut avoir la chance d’avoir une équipe compétitive le plus vite possible. Ce n’est pas notre cas, cela met un peu de temps. Rien n’est facile. Nous sommes dans une période de construction, où nous ne faisons plus partie des meilleures équipes européennes, voir mondiales. Et c’est compliqué.
Vous avez dit récemment qu’un noyau se dégageait. Vous considérez-vous dans les temps ?
Je confirme qu’un noyau se dégage. Mais je ne me suis pas mis de date butoir. La seule échéance importante pour tout le groupe, pour la fédération et pour les gens qui aiment le football est l’Euro. La construction d’une équipe prend beaucoup de temps. Parfois ça prend même tellement de temps que vous n’avez pas eu le temps d’en former une ! (rires) Nous essayons d’avancer étape par étape. Nous sommes en train de créer un noyau certes, mais la chose la plus importante est de gagner des matches. Car cela fait accélérer les choses.
Qui compose ce noyau ?
Il se compose de cinq-six joueurs. Si l’on se penche sur les convocations depuis le début de mon mandat, on s’aperçoit qu’il y a quelques joueurs qui font toujours partie du groupe. C’est un bon signe pour eux. Mais rien n'est défini, rien n’est définitif. L’équipe de France doit savoir faire de la place à des jeunes joueurs et à des joueurs qui sont momentanément dans un état de forme excellent. C’est important pour installer une concurrence perpétuelle. Quand vous êtes sûr d’être sélectionné en équipe nationale, la motivation se fait de plus en plus rare. Et c’est une chose à éviter.
Vous avez été champion du monde en 1998 en tant que joueur. Est-ce que vous essayez de reproduire la même recette ? Et quelle est-elle ?
Les époques changent et le football avec. Dans un sport collectif, il faut avoir des talents individuels. Mais surtout, il faut savoir mettre ce talent individuel au service du collectif et non le contraire. On a pu voir que le contraire était très dangereux, je pense que c’était une partie du problème en Afrique du Sud il y a un an. Le talent est donc important, mais il faut surtout essayer de créer un état d’esprit, un collectif : c’est fondamental pour gagner des matches et obtenir des titres. Le travail est là.
À quoi ressemble l’état d’esprit du groupe de Laurent Blanc ?
C’est lorsque vous faites une tournée, que vous avez du temps que vous pouvez le juger. Sur trois jours, les choses vont un peu vite ! Cela a donc été un peu l’objet de notre tournée en Europe de l’est en juin. Même si l’on peut regretter le résultat contre le Bélarus, nous n’avons eu qu’à nous réjouir de l’état d’esprit des joueurs et du staff. A l’évidence, ce genre de stage permet d’approfondir les liens du groupe. On essaiera de renouveler l’expérience.
Zinedine Zidane a dit que Raphaël Varane, le nouveau défenseur du Real Madrid, avait le potentiel pour être le nouveau Laurent Blanc. D’après vous, y a t-il en France un nouveau Zidane ?
Nous aimerions tous qu’il y ait un nouveau Zidane, un nouveau Barthez. Mais il ne faut pas vivre avec le passé. Il faut vivre avec son temps et l’avenir. Nous avons de bons jeunes joueurs, mais selon moi, nous n’avons pas encore de joueurs qui ont véritablement explosé, comme Zidane à une certaine époque. On attend tous que ces garçons brillent dans les grands clubs. Cela serait bien pour eux, pour leur club et aussi pour l’équipe nationale. Quant au joueur du Real Madrid, je pense que c’est un garçon qui a du potentiel, mais il n’est pas le seul. Il a des qualités, j’espère qu’il aura du temps de jeu pour pouvoir les montrer. Mais j’ai quelques doutes.
En parlant de jeunes joueurs, vous connaissez sans doute les Neymar, Ganso et autres Lucas. Que vous inspire cette génération de jeunes talents ?
On ne fait que parler d’eux ! Ce sont de bons jeunes joueurs, mais on peut s’apercevoir que l’équipe du Brésil a du mal collectivement à s’imposer, malgré ses talents individuels. Il n’y a qu’à voir la dernière Copa América. Des joueurs au talent individuel hors pair ne font pas forcement une très grande équipe. L’Argentine et le Brésil le démontrent. Le talent ne suffit pas même s'il vaut mieux en avoir pour faire une grande équipe. Mais quand vous avez du talent, voire du génie, il n’est pas automatique que vous ayez une grande équipe. Heureusement, sinon le Brésil n’aurait pas gagné cinq coupes du monde, mais 10 (rires) ! Il faut bien qu’ils en laissent un petit peu aux autres…
Fifa.com (15/08/2011)
Re: International -News
Lucio : "L'Allemagne a plus de grands talents"
Une semaine après la défaite en Allemagne (3-2), le capitaine de la Seleçao Lucio a estimé que la Mannschaft était supérieure au Brésil en matière de talents, lors d'un entretien publié mercredi dans Sport Bild.
Interrogé sur la valeur de l'espoir brésilien Neymar, Lucio a répondu: "C'est normal qu'un joueur comme Neymar soit tant célébré. Nous n'avons pas actuellement autant de grands talents que l'Allemagne. Et le premier qui me vient à l'esprit est Mario Götze qui a très bien joué contre nous et a marqué".
"Mais si Neymar garde la tête froide et supporte bien le battage médiatique, il fera son chemin", a ajouté Lucio, qui connaît bien la Bundesliga pour avoir joué au Bayer Leverkusen et au Bayern Munich.
Götze, 19 ans, avait illuminé la rencontre durant laquelle Schürrle, autre espoir âgé de 20 ans, avait inscrit le troisième but allemand. Neymar, également âgé de 19 ans, avait été peu en vue jusqu'à son but en fin de match.
L'Allemagne avait signé sa première victoire sur le Brésil depuis 18 ans.
Fifa.com (17/08/2011)
Une semaine après la défaite en Allemagne (3-2), le capitaine de la Seleçao Lucio a estimé que la Mannschaft était supérieure au Brésil en matière de talents, lors d'un entretien publié mercredi dans Sport Bild.
Interrogé sur la valeur de l'espoir brésilien Neymar, Lucio a répondu: "C'est normal qu'un joueur comme Neymar soit tant célébré. Nous n'avons pas actuellement autant de grands talents que l'Allemagne. Et le premier qui me vient à l'esprit est Mario Götze qui a très bien joué contre nous et a marqué".
"Mais si Neymar garde la tête froide et supporte bien le battage médiatique, il fera son chemin", a ajouté Lucio, qui connaît bien la Bundesliga pour avoir joué au Bayer Leverkusen et au Bayern Munich.
Götze, 19 ans, avait illuminé la rencontre durant laquelle Schürrle, autre espoir âgé de 20 ans, avait inscrit le troisième but allemand. Neymar, également âgé de 19 ans, avait été peu en vue jusqu'à son but en fin de match.
L'Allemagne avait signé sa première victoire sur le Brésil depuis 18 ans.
Fifa.com (17/08/2011)
Re: International -News
Koller, le géant raccroche à 38 ans
L'attaquant Jan Koller, meilleur buteur à ce jour de la République tchèque avec 55 buts en 91 sélections, a mis fin à sa carrière à 38 ans pour des raisons de santé, a annoncé mercredi l'agence de presse nationale CTK.
Jan Koller, 2,02 m, avait notamment porté le maillot du Sparta Prague, du Borussia Dortmund et Nuremberg en Allemagne, de Lokeren et Anderlecht en Belgique, de l'AS Monaco et des Russes de Samara.
Troisième de l'Euro-2004 avec sa sélection nationale, il a été sacré champion de République tchèque avec le Sparta, d'Allemagne avec Dortmund, et de Belgique avec Anderlecht. Il avait rejoint l'AS Cannes, en troisième division française, en 2010.
Fifa.com (17/08/2011)
L'attaquant Jan Koller, meilleur buteur à ce jour de la République tchèque avec 55 buts en 91 sélections, a mis fin à sa carrière à 38 ans pour des raisons de santé, a annoncé mercredi l'agence de presse nationale CTK.
Jan Koller, 2,02 m, avait notamment porté le maillot du Sparta Prague, du Borussia Dortmund et Nuremberg en Allemagne, de Lokeren et Anderlecht en Belgique, de l'AS Monaco et des Russes de Samara.
Troisième de l'Euro-2004 avec sa sélection nationale, il a été sacré champion de République tchèque avec le Sparta, d'Allemagne avec Dortmund, et de Belgique avec Anderlecht. Il avait rejoint l'AS Cannes, en troisième division française, en 2010.
Fifa.com (17/08/2011)
Re: International -News
Skills-Show : Volume 53
adsm- Messages : 19445
Date d'inscription : 05/11/2009
Age : 77
Localisation : Diguendin diguenda
Re: International -News
Van Marwijk : "Mon ambition est le progrès permanent"
Il n’avait toujours pas dormi une seule minute depuis son arrivée sur le sol brésilien, la veille du Tirage au sort préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Mais c’est un Bert van Marwijk alerte, bavard, philosophe et toujours aussi concret qui a reçu FIFA.com le mois dernier dans les salons de son hôtel à Rio de Janeiro.
Le sélectionneur néerlandais ne connaissait pas encore le menu de ses troupes pour gagner le droit défendre leur titre de vice-champions du monde en terre brésilienne. Mais l’impressionnant bilan batave depuis la finale perdue constitue à lui seul une source de discussion. Ces Pays-Bas là sont une machine à gagner, en phase d’écrire l’histoire. La clef de cette réussite insolente ? FIFA.com l’a cherchée le temps d’un entretien exclusif avec le maître à penser Oranje.
M. Van Marwijk, il y a 11 mois vous nous déclariez que trouver la motivation après la finale perdue de Johannesburg constituait le défi immédiat pour votre équipe. Le parcours depuis prouve que l’obstacle a été franchi avec succès. Aviez-vous sous-estimé la capacité de réaction de votre groupe ?
Je ne sais pas si vous vous en souvenez, mais deux semaines seulement après la défaite face à l’Espagne, nous devions jouer un match amical en Ukraine. Je ne voulais pas jouer ce match, on a demandé à la fédération ukrainienne de le repousser, mais elle n’a pas voulu. J’y suis allé avec une équipe B, mais ma tête n’y était pas. Moi-même, je n’avais pas la motivation, je ne l’ai pas caché. Il faut toujours être honnête avec ses joueurs et ne pas feindre ou maquiller ses sentiments. Quand on sort d’une Coupe du Monde en huitième de finale ou en phase de groupes, on a envie de rapidement rejouer pour passer à autre chose et se remettre dans le bain. Quand on perd en finale à quatre minutes des tirs au but, ce n’est pas du tout le cas. Mes mondialistes n’étaient pas motivés non plus, mais depuis 2008 cette équipe a appris à gagner quoiqu’il en soit, motivation ou non. Donc oui, j’ai peut-être sous-estimé cette nouvelle capacité, dont je me félicite. Et puis après ce match en Ukraine, les joueuers ont repris avec leur club, leur saison s’est lancée, donc physiquement ils étaient bien mieux quand les qualifications ont commencé.
Depuis, c’est un sans-faute. Quelle est la nouvelle source de motivation de l’équipe ?
Je leur ai répété sans cesse pendant la Coupe du Monde : nous avons une mission. Quand j’ai vu la sérénité de mes joueurs après la victoire face au Brésil, leur concentration intacte, j’ai compris qu’ils savaient que la mission n’était pas terminée. Je me souviens que nous avions organisé une petite soirée pour célébrer cela et ils m’ont tous dit "Coach, nous ne sommes pas encore prêts". Là, pour ces qualifications, nous ne sommes pas en mission, c’est différent. Les joueurs l’ont bien cerné. Notre source de motivation, c’est tirer les leçons de notre finale perdue, de capitaliser sur cette expérience. Tout était nouveau pour mes joueurs ce soir-là, et ils ont appris, je peux vous le dire.
Votre message et votre méthode ont t-ils changé depuis cette finale ?
J’essaie d’être le plus clair possible avec mes joueurs. La transparence est une ligne de conduite. Je veux que mes joueurs soient capables de comprendre ma méthode, de la soutenir et de l’appliquer. Pour ça, il faut garder son style, ne pas le changer en fonction de l’adversaire ou du contexte du moment. Sinon les joueurs ne vous croient plus et vous ne pouvez jamais progresser. Mon ambition est le progrès permanent, aller au bout de notre marge de progression dans notre système et notre méthode. Je leur dis tout le temps que quand on joue à chaque fois de la même manière, avec la même intensité, alors on progresse. Dans le cas contraire, on ne fait que réagir. La clef, c’est de comprendre qu’il n’y jamais la garantie de gagner le prochain match. C’est difficile de trouver les mots pour expliquer comment on fonctionne. J’ai souvent envie de dire à un journaliste, "venez avec nous, suivez nous et regardez, observez. Alors vous comprendrez."
Vos joueurs vous ont-ils surpris depuis le début des qualifications pour l’UEFA EURO 2012 ?
Le match contre la Hongrie, avec du recul, a constitué un gros test mental. Nous ratons le 2:0 et dans la foulée, nous nous déconcentrons pour finalement être menés 2:1. Nous marquons deux fois pour reprendre le match en main, mais les Hongrois parviennent quand même à égaliser. J’étais fou furieux, je leur en voulais énormément de s’être fait rattraper. Mais eux sur le terrain sont restés calmes, ils ont joué leur football sans paniquer et nous avons gagné 5:3 au final. J’étais toujours furieux, mais aussi très fier. Ils m’ont bluffé. Tomber dans la facilité et l’excès de confiance est très néerlandais. C’est cet ennemi-là que j’ai dû d’abord combattre, depuis le premier jour de ma prise de fonction.
A quel moment avez-vous eu la certitude que les joueurs avaient intégré votre message ?
Après un match, un autre arrive, et il faut sans cesse apprendre. Notre match contre la Norvège à Rotterdam en qualifications pour la Coupe du Monde a pour moi constitué une énorme satisfaction. C'était la preuve que mon discours pénétrait ce groupe. Nous étions déjà qualifiés mais nous avons joué ce match à fond, sans aucun relâchement. Nous avons gagné 2:0 et j’ai compris qu’ils avaient compris ! Il y a une différence entre "croire" et "vraiment croire"...
Depuis votre prise de fonction à l’été 2008, votre bilan est exceptionnel avec une finale mondialiste et un sans-faute en qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA 2010 et l'UEFA EURO 2012. Y pensez-vous parfois ?
On me parle des records mais franchement non, je n’y pense absolument pas. Je me concentre sur notre jeu et sur la mentalité de mes joueurs, il n’y a que ça qui m’intéresse. Le premier adversaire de cette équipe, c’est elle-même.
Le regard des autres sélectionneurs sur vous a-t-il changé depuis votre parcours en Afrique du Sud ?
J’ai appris à mieux connaître Vincente del Bosque, je l’apprécie beaucoup et c’est réciproque. Nous avons même fait une interview commune après la finale. J’ai aussi beaucoup de respect pour Marcello Lippi, je sais aujourd’hui que ça va aussi dans l’autre sens, et je le prends comme un énorme compliment. Lui et del Bosque ont accompli tellement plus de choses que moi dans ce métier...
Fifa.com (22/08/2011)
Il n’avait toujours pas dormi une seule minute depuis son arrivée sur le sol brésilien, la veille du Tirage au sort préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Mais c’est un Bert van Marwijk alerte, bavard, philosophe et toujours aussi concret qui a reçu FIFA.com le mois dernier dans les salons de son hôtel à Rio de Janeiro.
Le sélectionneur néerlandais ne connaissait pas encore le menu de ses troupes pour gagner le droit défendre leur titre de vice-champions du monde en terre brésilienne. Mais l’impressionnant bilan batave depuis la finale perdue constitue à lui seul une source de discussion. Ces Pays-Bas là sont une machine à gagner, en phase d’écrire l’histoire. La clef de cette réussite insolente ? FIFA.com l’a cherchée le temps d’un entretien exclusif avec le maître à penser Oranje.
M. Van Marwijk, il y a 11 mois vous nous déclariez que trouver la motivation après la finale perdue de Johannesburg constituait le défi immédiat pour votre équipe. Le parcours depuis prouve que l’obstacle a été franchi avec succès. Aviez-vous sous-estimé la capacité de réaction de votre groupe ?
Je ne sais pas si vous vous en souvenez, mais deux semaines seulement après la défaite face à l’Espagne, nous devions jouer un match amical en Ukraine. Je ne voulais pas jouer ce match, on a demandé à la fédération ukrainienne de le repousser, mais elle n’a pas voulu. J’y suis allé avec une équipe B, mais ma tête n’y était pas. Moi-même, je n’avais pas la motivation, je ne l’ai pas caché. Il faut toujours être honnête avec ses joueurs et ne pas feindre ou maquiller ses sentiments. Quand on sort d’une Coupe du Monde en huitième de finale ou en phase de groupes, on a envie de rapidement rejouer pour passer à autre chose et se remettre dans le bain. Quand on perd en finale à quatre minutes des tirs au but, ce n’est pas du tout le cas. Mes mondialistes n’étaient pas motivés non plus, mais depuis 2008 cette équipe a appris à gagner quoiqu’il en soit, motivation ou non. Donc oui, j’ai peut-être sous-estimé cette nouvelle capacité, dont je me félicite. Et puis après ce match en Ukraine, les joueuers ont repris avec leur club, leur saison s’est lancée, donc physiquement ils étaient bien mieux quand les qualifications ont commencé.
Depuis, c’est un sans-faute. Quelle est la nouvelle source de motivation de l’équipe ?
Je leur ai répété sans cesse pendant la Coupe du Monde : nous avons une mission. Quand j’ai vu la sérénité de mes joueurs après la victoire face au Brésil, leur concentration intacte, j’ai compris qu’ils savaient que la mission n’était pas terminée. Je me souviens que nous avions organisé une petite soirée pour célébrer cela et ils m’ont tous dit "Coach, nous ne sommes pas encore prêts". Là, pour ces qualifications, nous ne sommes pas en mission, c’est différent. Les joueurs l’ont bien cerné. Notre source de motivation, c’est tirer les leçons de notre finale perdue, de capitaliser sur cette expérience. Tout était nouveau pour mes joueurs ce soir-là, et ils ont appris, je peux vous le dire.
Votre message et votre méthode ont t-ils changé depuis cette finale ?
J’essaie d’être le plus clair possible avec mes joueurs. La transparence est une ligne de conduite. Je veux que mes joueurs soient capables de comprendre ma méthode, de la soutenir et de l’appliquer. Pour ça, il faut garder son style, ne pas le changer en fonction de l’adversaire ou du contexte du moment. Sinon les joueurs ne vous croient plus et vous ne pouvez jamais progresser. Mon ambition est le progrès permanent, aller au bout de notre marge de progression dans notre système et notre méthode. Je leur dis tout le temps que quand on joue à chaque fois de la même manière, avec la même intensité, alors on progresse. Dans le cas contraire, on ne fait que réagir. La clef, c’est de comprendre qu’il n’y jamais la garantie de gagner le prochain match. C’est difficile de trouver les mots pour expliquer comment on fonctionne. J’ai souvent envie de dire à un journaliste, "venez avec nous, suivez nous et regardez, observez. Alors vous comprendrez."
Vos joueurs vous ont-ils surpris depuis le début des qualifications pour l’UEFA EURO 2012 ?
Le match contre la Hongrie, avec du recul, a constitué un gros test mental. Nous ratons le 2:0 et dans la foulée, nous nous déconcentrons pour finalement être menés 2:1. Nous marquons deux fois pour reprendre le match en main, mais les Hongrois parviennent quand même à égaliser. J’étais fou furieux, je leur en voulais énormément de s’être fait rattraper. Mais eux sur le terrain sont restés calmes, ils ont joué leur football sans paniquer et nous avons gagné 5:3 au final. J’étais toujours furieux, mais aussi très fier. Ils m’ont bluffé. Tomber dans la facilité et l’excès de confiance est très néerlandais. C’est cet ennemi-là que j’ai dû d’abord combattre, depuis le premier jour de ma prise de fonction.
A quel moment avez-vous eu la certitude que les joueurs avaient intégré votre message ?
Après un match, un autre arrive, et il faut sans cesse apprendre. Notre match contre la Norvège à Rotterdam en qualifications pour la Coupe du Monde a pour moi constitué une énorme satisfaction. C'était la preuve que mon discours pénétrait ce groupe. Nous étions déjà qualifiés mais nous avons joué ce match à fond, sans aucun relâchement. Nous avons gagné 2:0 et j’ai compris qu’ils avaient compris ! Il y a une différence entre "croire" et "vraiment croire"...
Depuis votre prise de fonction à l’été 2008, votre bilan est exceptionnel avec une finale mondialiste et un sans-faute en qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA 2010 et l'UEFA EURO 2012. Y pensez-vous parfois ?
On me parle des records mais franchement non, je n’y pense absolument pas. Je me concentre sur notre jeu et sur la mentalité de mes joueurs, il n’y a que ça qui m’intéresse. Le premier adversaire de cette équipe, c’est elle-même.
Le regard des autres sélectionneurs sur vous a-t-il changé depuis votre parcours en Afrique du Sud ?
J’ai appris à mieux connaître Vincente del Bosque, je l’apprécie beaucoup et c’est réciproque. Nous avons même fait une interview commune après la finale. J’ai aussi beaucoup de respect pour Marcello Lippi, je sais aujourd’hui que ça va aussi dans l’autre sens, et je le prends comme un énorme compliment. Lui et del Bosque ont accompli tellement plus de choses que moi dans ce métier...
Fifa.com (22/08/2011)
Re: International -News
Zico en route vers l'Irak
L'ancienne star du football brésilien Zico, ex-sélectionneur du Japon, devrait devenir l'entraîneur de l'équipe d'Irak, selon ses propres déclarations faites au quotidien sportif brésilien Lance de lundi.
"Nous avons trouvé un accord de principe. Il ne manque plus que la signature", a affirmé Zico dans les colonnes du journal brésilien, en ajoutant qu'il se rendrait en Irak une fois que "tout sera réglé".
Zico a également précisé que son contrat s'étendrait jusqu'en 2013, date du terme des qualifications de la zone Asie pour le Mondial 2014 au Brésil, mais qu'en cas de qualification de l'Irak, le renouvellement à son contrat serait quasi "automatique".
Arthur Antunes Coimbra, 58 ans, plus connu sous le nom de "Zico" et légende du club brésilien de Flamengo, a entraîné la sélection japonaise entre 2002 et 2006.
Le Brésilien a ensuite pris en charge successivement le club turc de Fenerbahçe, puis les Ouzbeks de Bunyodkor, les Russes du CSKA Moscou et les Grecs de l'Olympiakos Le Pirée.
Fifa.com (23/08/2011)
L'ancienne star du football brésilien Zico, ex-sélectionneur du Japon, devrait devenir l'entraîneur de l'équipe d'Irak, selon ses propres déclarations faites au quotidien sportif brésilien Lance de lundi.
"Nous avons trouvé un accord de principe. Il ne manque plus que la signature", a affirmé Zico dans les colonnes du journal brésilien, en ajoutant qu'il se rendrait en Irak une fois que "tout sera réglé".
Zico a également précisé que son contrat s'étendrait jusqu'en 2013, date du terme des qualifications de la zone Asie pour le Mondial 2014 au Brésil, mais qu'en cas de qualification de l'Irak, le renouvellement à son contrat serait quasi "automatique".
Arthur Antunes Coimbra, 58 ans, plus connu sous le nom de "Zico" et légende du club brésilien de Flamengo, a entraîné la sélection japonaise entre 2002 et 2006.
Le Brésilien a ensuite pris en charge successivement le club turc de Fenerbahçe, puis les Ouzbeks de Bunyodkor, les Russes du CSKA Moscou et les Grecs de l'Olympiakos Le Pirée.
Fifa.com (23/08/2011)
Re: International -News
Vers un retour de Ribéry
Franck Ribéry doit effectuer son retour en équipe de France pour les matches décisifs des qualifications de l'Euro-2012 en Albanie (2 septembre) et en Roumanie (6 septembre), aucune surprise majeure n'étant par ailleurs attendue dans la liste que dévoilera jeudi Laurent Blanc.
En tête du groupe D avec un petit point d'avance sur le Bélarus et un match en moins, les Bleus abordent cette dernière ligne droite menant au Championnat d'Europe avec la plupart de leurs forces vives, hormis les cas Philippe Mexès (genou), Abou Diaby (cheville) et Mamadou Sakho (cuisse droite).
Blanc peut surtout se réjouir de voir Ribéry retrouver petit à petit ses sensations et son potentiel physique. Grand absent du match amical de rentrée contre le Chili (1-1, le 10 août), le Bavarois a depuis repris la compétition avec le Bayern Munich, inscrivant même un but contre Hambourg, samedi en Bundesliga.
Mardi, il a disputé l'intégralité du barrage retour de Ligue des champions sur la pelouse du FC Zurich (victoire du Bayern 1-0) et semble monter en puissance. Le sélectionneur n'a certes pas oublié les dernières prestations ternes de +Francky+ en équipe de France, notamment au Bélarus (1-1, le 3 juin), l'ultime rencontre qualificative de l'Euro-2012 de la saison 2010-11. Mais on l'imagine mal se passer de ses services au moment où c'est le destin des Bleus qui est en jeu.
Pour le reste, fidèle à sa philosophie et à sa "notion de groupe", Blanc ne devrait guère bouleverser l'édifice et l'équilibre de l'équipe de France. En défense, sans Mexès ni Sakho, Younes Kaboul pourra poursuivre son apprentissage international. Adil Rami étant suspendu à Tirana, le joueur de Tottenham formera la charnière centrale avec Eric Abidal après leur galop d'essai réussi face au Chili.
Valbuena de retour, exit Hoarau ?
En manque criant d'arrières centraux et pour parer à toute éventualité, le sélectionneur pourrait relancer le jeune Laurent Koscielny si le dos du Gunner est rétabli d'ici ce week-end. Pour l'ex-Lensois Raphaël Varane, 18 ans, il faudra d'abord sortir un jour du banc de touche du Real Madrid pour espérer quoi que ce soit.
Au milieu, outre le retour de Franck Ribéry, il faut aussi s'attendre à voir réapparaître Mathieu Valbuena, débarrassé de ses blessures et en grande forme avec Marseille. Blanc n'a sans doute pas oublié tout le bien que le "Petit" Marseillais avait fait aux Bleus les premiers mois de son mandat et ce but inscrit à Wembley au nez et à la barbe des Anglais (2-1, le 17 novembre en amical).
Pour Guillaume Hoarau, la patience du sélectionneur va en revanche peut-être connaître ses limites. L'attaquant parisien revient tout juste d'une blessure à la hanche mais il est en grand danger avant la publication de la liste et pourrait rapidement perdre sur tous les tableaux.
Au PSG, il devrait être définitivement éjecté du onze de départ avec l'incorporation progressive de Javier Pastore, le joueur le plus cher de l'histoire de la L1 (42 millions d'euros). En équipe de France, il a également assisté à l'éclosion de Kevin Gameiro, devenu le remplaçant naturel de Karim Benzema au poste d'avant-centre.
Blanc a toujours défendu le longiligne Hoarau (1,92m) dont le "profil atypique" lui rappelle Marouane Chamakh, l'un de ses chouchous à Bordeaux. Mais il va être obligé de se rendre à l'évidence, le Parisien n'ayant jamais convaincu en 9 capes. D'autant que Bafétimbi Gomis (Lyon) n'en finit pas de flamber en ce début de saison et devient un postulant sérieux.
Buteur à quatre reprises (2 en C1, 2 en L1), le Lyonnais pourrait goûter à l'équipe de France pour la première fois depuis la prise de fonctions de Laurent Blanc.
Fifa.com (24/08/2011)
Franck Ribéry doit effectuer son retour en équipe de France pour les matches décisifs des qualifications de l'Euro-2012 en Albanie (2 septembre) et en Roumanie (6 septembre), aucune surprise majeure n'étant par ailleurs attendue dans la liste que dévoilera jeudi Laurent Blanc.
En tête du groupe D avec un petit point d'avance sur le Bélarus et un match en moins, les Bleus abordent cette dernière ligne droite menant au Championnat d'Europe avec la plupart de leurs forces vives, hormis les cas Philippe Mexès (genou), Abou Diaby (cheville) et Mamadou Sakho (cuisse droite).
Blanc peut surtout se réjouir de voir Ribéry retrouver petit à petit ses sensations et son potentiel physique. Grand absent du match amical de rentrée contre le Chili (1-1, le 10 août), le Bavarois a depuis repris la compétition avec le Bayern Munich, inscrivant même un but contre Hambourg, samedi en Bundesliga.
Mardi, il a disputé l'intégralité du barrage retour de Ligue des champions sur la pelouse du FC Zurich (victoire du Bayern 1-0) et semble monter en puissance. Le sélectionneur n'a certes pas oublié les dernières prestations ternes de +Francky+ en équipe de France, notamment au Bélarus (1-1, le 3 juin), l'ultime rencontre qualificative de l'Euro-2012 de la saison 2010-11. Mais on l'imagine mal se passer de ses services au moment où c'est le destin des Bleus qui est en jeu.
Pour le reste, fidèle à sa philosophie et à sa "notion de groupe", Blanc ne devrait guère bouleverser l'édifice et l'équilibre de l'équipe de France. En défense, sans Mexès ni Sakho, Younes Kaboul pourra poursuivre son apprentissage international. Adil Rami étant suspendu à Tirana, le joueur de Tottenham formera la charnière centrale avec Eric Abidal après leur galop d'essai réussi face au Chili.
Valbuena de retour, exit Hoarau ?
En manque criant d'arrières centraux et pour parer à toute éventualité, le sélectionneur pourrait relancer le jeune Laurent Koscielny si le dos du Gunner est rétabli d'ici ce week-end. Pour l'ex-Lensois Raphaël Varane, 18 ans, il faudra d'abord sortir un jour du banc de touche du Real Madrid pour espérer quoi que ce soit.
Au milieu, outre le retour de Franck Ribéry, il faut aussi s'attendre à voir réapparaître Mathieu Valbuena, débarrassé de ses blessures et en grande forme avec Marseille. Blanc n'a sans doute pas oublié tout le bien que le "Petit" Marseillais avait fait aux Bleus les premiers mois de son mandat et ce but inscrit à Wembley au nez et à la barbe des Anglais (2-1, le 17 novembre en amical).
Pour Guillaume Hoarau, la patience du sélectionneur va en revanche peut-être connaître ses limites. L'attaquant parisien revient tout juste d'une blessure à la hanche mais il est en grand danger avant la publication de la liste et pourrait rapidement perdre sur tous les tableaux.
Au PSG, il devrait être définitivement éjecté du onze de départ avec l'incorporation progressive de Javier Pastore, le joueur le plus cher de l'histoire de la L1 (42 millions d'euros). En équipe de France, il a également assisté à l'éclosion de Kevin Gameiro, devenu le remplaçant naturel de Karim Benzema au poste d'avant-centre.
Blanc a toujours défendu le longiligne Hoarau (1,92m) dont le "profil atypique" lui rappelle Marouane Chamakh, l'un de ses chouchous à Bordeaux. Mais il va être obligé de se rendre à l'évidence, le Parisien n'ayant jamais convaincu en 9 capes. D'autant que Bafétimbi Gomis (Lyon) n'en finit pas de flamber en ce début de saison et devient un postulant sérieux.
Buteur à quatre reprises (2 en C1, 2 en L1), le Lyonnais pourrait goûter à l'équipe de France pour la première fois depuis la prise de fonctions de Laurent Blanc.
Fifa.com (24/08/2011)
Re: International -News
Le trophée pour Internacional
Le club brésilien Internacional a remporté la Super-Coupe sud-américaine (Recopa Sudamericana), équivalent de la Supercoupe d'Europe en Amérique du Sud, en battant les Argentins d'Independiente 3 à 1 (mi-temps: 2-0) en finale retour, mercredi à Porto Alegre.
Independiente s'était imposé 2 à 1 en finale aller, le 10 août à Buenos Aires.
La Recopa Sudamericana oppose chaque année, depuis 1989, le vainqueur de la Coupe Libertadores (en 2010: Internacional) à celui de la Coupe Sud-américaine (en 2O10: Independiente).
Fifa.com (25/08/2011)
Le club brésilien Internacional a remporté la Super-Coupe sud-américaine (Recopa Sudamericana), équivalent de la Supercoupe d'Europe en Amérique du Sud, en battant les Argentins d'Independiente 3 à 1 (mi-temps: 2-0) en finale retour, mercredi à Porto Alegre.
Independiente s'était imposé 2 à 1 en finale aller, le 10 août à Buenos Aires.
La Recopa Sudamericana oppose chaque année, depuis 1989, le vainqueur de la Coupe Libertadores (en 2010: Internacional) à celui de la Coupe Sud-américaine (en 2O10: Independiente).
Fifa.com (25/08/2011)
Re: International -News
Ljungberg à Shimizu S-Pulse
Le Suédois Fredrik Ljungberg, ancien milieu de terrain entre autres d'Arsenal et du Celtic Glasgow, poursuivra à 34 ans sa carrière dans le club japonais de Shimizu S-Pulse, a-t-il annoncé samedi au journal Aftonbladet.
"J'ai signé pour cette saison et la suivante", a précisé l'ancien international (75 sélections) au site internet du tabloïd suédois.
Après 23 journées (sur 34), Shimizu se trouvait en milieu de tableau dans le championnat japonais J-League, qui doit se terminer en décembre. Son meilleur classement final est 2e en 1999.
Après neuf saisons passées à Arsenal, Ljungberg a joué une saison à West Ham avant d'évoluer durant 18 mois dans le championnat nord-américain sous les maillots de Seattle et de Chicago. Fin décembre 2010, il était engagé par le Celtic Glasgow, avec lequel il a disputé sept matches.
Fifa.com (27/08/2011)
Le Suédois Fredrik Ljungberg, ancien milieu de terrain entre autres d'Arsenal et du Celtic Glasgow, poursuivra à 34 ans sa carrière dans le club japonais de Shimizu S-Pulse, a-t-il annoncé samedi au journal Aftonbladet.
"J'ai signé pour cette saison et la suivante", a précisé l'ancien international (75 sélections) au site internet du tabloïd suédois.
Après 23 journées (sur 34), Shimizu se trouvait en milieu de tableau dans le championnat japonais J-League, qui doit se terminer en décembre. Son meilleur classement final est 2e en 1999.
Après neuf saisons passées à Arsenal, Ljungberg a joué une saison à West Ham avant d'évoluer durant 18 mois dans le championnat nord-américain sous les maillots de Seattle et de Chicago. Fin décembre 2010, il était engagé par le Celtic Glasgow, avec lequel il a disputé sept matches.
Fifa.com (27/08/2011)
Re: International -News
Trezeguet se rapproche de Beni Yes
David Trezeguet, en fin de contrat avec Alicante (D1 espagnole) et qui s'entraîne actuellement à Monaco, est en négociations avec le club de Beni Yes (Emirats Arabes Unis, 1re div.) où il devrait terminer sa carrière, a-t-on appris samedi auprès de son agent, joint au téléphone.
L'ancien attaquant de l'équipe de France se soumettra dimanche à une visite médicale avant de poursuivre des négociations ouvertes en début de semaine, a précisé Antonio Calendio.
Libre de tout engagement envers le club espagnol, qu'il a quitté au printemps après sa relégation en 2e division, Trezeguet s'entraîne depuis à Monaco (L2), son club formateur.
Il avait fait part en juillet de son envie de revenir en France, mais seul Nice avait répondu à cet appel, en vain, le joueur privilégiant finalement d'autres pistes. Le meilleur réalisateur étranger de l'histoire de la Juventus Turin a été approché par des clubs anglais, allemands et italiens, mais Beni Yes, vice-champion des EUA, a sans doute d'autres arguments.
Le club qui espère engager David Trezeguet lui offrirait 1,7 million d'euros par an, plus des primes et des avantages selon la presse locale.
Fifa.com (27/08/2011)
David Trezeguet, en fin de contrat avec Alicante (D1 espagnole) et qui s'entraîne actuellement à Monaco, est en négociations avec le club de Beni Yes (Emirats Arabes Unis, 1re div.) où il devrait terminer sa carrière, a-t-on appris samedi auprès de son agent, joint au téléphone.
L'ancien attaquant de l'équipe de France se soumettra dimanche à une visite médicale avant de poursuivre des négociations ouvertes en début de semaine, a précisé Antonio Calendio.
Libre de tout engagement envers le club espagnol, qu'il a quitté au printemps après sa relégation en 2e division, Trezeguet s'entraîne depuis à Monaco (L2), son club formateur.
Il avait fait part en juillet de son envie de revenir en France, mais seul Nice avait répondu à cet appel, en vain, le joueur privilégiant finalement d'autres pistes. Le meilleur réalisateur étranger de l'histoire de la Juventus Turin a été approché par des clubs anglais, allemands et italiens, mais Beni Yes, vice-champion des EUA, a sans doute d'autres arguments.
Le club qui espère engager David Trezeguet lui offrirait 1,7 million d'euros par an, plus des primes et des avantages selon la presse locale.
Fifa.com (27/08/2011)
Re: International -News
Vasco - Ricardo victime d'un malaise
L'entraîneur de Vasco, Ricardo Gomes, a été victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC) dimanche vers la fin du match que le club carioca disputait contre le Flamengo et sera opéré dans la soirée.
D'après le premier bulletin médical, Gomes, dont la tension a atteint 19/12 a eu un AVC avec une hémorragie. Il respire avec l'aide d'appareils.
Gomes va subir une intervention de trois heures pour réduire l'hématome.
Le président du club, Roberto Dinamite, s'est rendu à l'hôpital Pasteur, dans la zone nord de Rio, pour apporter son soutien à la famille de l'entraîneur.
L'année dernière lorsqu'il dirigeait le Sao Paulo, Ricardo Gomes avait déjà été victime d'un petit AVC et hospitalisé à l'issue d'un match contre le Palmeiras.
Dimanche après-midi, Vasco et Flamengo ont fait match nul 0 à 0, lors de la 19è journée du championnat brésilien de première division. Flamengo est 2e et Vasco 4e au classement général.
Fifa.com (28/08/2011)
L'entraîneur de Vasco, Ricardo Gomes, a été victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC) dimanche vers la fin du match que le club carioca disputait contre le Flamengo et sera opéré dans la soirée.
D'après le premier bulletin médical, Gomes, dont la tension a atteint 19/12 a eu un AVC avec une hémorragie. Il respire avec l'aide d'appareils.
Gomes va subir une intervention de trois heures pour réduire l'hématome.
Le président du club, Roberto Dinamite, s'est rendu à l'hôpital Pasteur, dans la zone nord de Rio, pour apporter son soutien à la famille de l'entraîneur.
L'année dernière lorsqu'il dirigeait le Sao Paulo, Ricardo Gomes avait déjà été victime d'un petit AVC et hospitalisé à l'issue d'un match contre le Palmeiras.
Dimanche après-midi, Vasco et Flamengo ont fait match nul 0 à 0, lors de la 19è journée du championnat brésilien de première division. Flamengo est 2e et Vasco 4e au classement général.
Fifa.com (28/08/2011)
Re: International -News
Dunga entraîneur d'Al Rayyan
L'ancien international brésilien Carlos Dunga va entraîner le club qatari Al Rayyan, a-t-on appris lundi auprès d'un dirigeant du club qatari.
Dunga, 47 ans, capitaine de l'équipe brésilienne championne du monde en 1994, succède à son compatriote Paulo Autuori, qui prend la direction de l'équipe du Qatar des moins de 23 ans, engagés dans les qualifications pour les jeux Olympiques de Londres-2012.
"Oui, Al Rayyan sera dirigé par Dunga, son nom a été recommandé par Autuori", a déclaré un dirigeant du club.
Le Qatar, désigné pour organiser la Coupe du monde 2022, a été le théâtre de plusieurs mouvements d'entraîneurs ces derniers temps.
Le Brésilien Sebastiao Lazaroni a remplacé début août le Serbe Milovan Rajevac à la tête de l'équipe nationale qu'il dirigeait depuis cinq mois seulement.
Rajevac, qui avait conduit le Ghana en quarts de finale du Mondial 2010, avait succédé au Français Bruno Metsu, remercié en janvier dernier après l'élimination du Qatar en quarts de finale de la Coupe d'Asie.
La saison de la Qatar Stars League, première division de l'émirat, commence le 16 septembre.
Fifa.com (30/08/2011)
L'ancien international brésilien Carlos Dunga va entraîner le club qatari Al Rayyan, a-t-on appris lundi auprès d'un dirigeant du club qatari.
Dunga, 47 ans, capitaine de l'équipe brésilienne championne du monde en 1994, succède à son compatriote Paulo Autuori, qui prend la direction de l'équipe du Qatar des moins de 23 ans, engagés dans les qualifications pour les jeux Olympiques de Londres-2012.
"Oui, Al Rayyan sera dirigé par Dunga, son nom a été recommandé par Autuori", a déclaré un dirigeant du club.
Le Qatar, désigné pour organiser la Coupe du monde 2022, a été le théâtre de plusieurs mouvements d'entraîneurs ces derniers temps.
Le Brésilien Sebastiao Lazaroni a remplacé début août le Serbe Milovan Rajevac à la tête de l'équipe nationale qu'il dirigeait depuis cinq mois seulement.
Rajevac, qui avait conduit le Ghana en quarts de finale du Mondial 2010, avait succédé au Français Bruno Metsu, remercié en janvier dernier après l'élimination du Qatar en quarts de finale de la Coupe d'Asie.
La saison de la Qatar Stars League, première division de l'émirat, commence le 16 septembre.
Fifa.com (30/08/2011)
Re: International -News
Trezeguet signe à Bani Yas
L'attaquant français David Trezeguet a signé en faveur du Bani Yas d'Abou Dabi jusqu'à la fin de la saison, a annoncé mardi le club émirati, alors que le joueur était sans équipe depuis la fin de son contrat avec Hercules Alicante (1re div. espagnole).
"Nous sommes heureux de l'arrivée de Trezeguet dans le club. C'est un contrat d'une grande importance et un acquis, non seulement pour Bani Yas, mais aussi pour le football aux Emirats", a déclaré le vice-président du club, Seïf Al-Khayili.
Le club n'a pas précisé le montant du contrat mais l'ancien attaquant international, 34 ans, devrait, selon la presse, toucher 1,7 million d'euros.
Trezeguet était arrivé lundi à Abou Dabi où il a passé les tests médicaux avant de signer avec Bani Yas, deuxième du dernier Championnat des Emirats, qui jouera à la Coupe des clubs champions d'Asie.
"Je suis heureux de jouer aux Emirats. J'ai étudié toutes les offres qui m'avaient été faites, y compris celle de Bani Yas. J'ai essayé d'en savoir plus sur le championnat émirati et Bani Yas. Le résultat était encourageant", a déclaré Trezeguet.
Le joueur a ajouté que son nouveau club "compte plusieurs joueurs internationaux" et ses dirigeants "ont la volonté de progresser et de jouer pour les titres".
L'ancien attaquant international français de Monaco et de la Juventus avait participé au Mondial 1998, remporté par la France, et à la Coupe d'Europe de 2000 en marquant en finale le but de la victoire française sur l'Italie.
Fifa.com (30/08/2011)
L'attaquant français David Trezeguet a signé en faveur du Bani Yas d'Abou Dabi jusqu'à la fin de la saison, a annoncé mardi le club émirati, alors que le joueur était sans équipe depuis la fin de son contrat avec Hercules Alicante (1re div. espagnole).
"Nous sommes heureux de l'arrivée de Trezeguet dans le club. C'est un contrat d'une grande importance et un acquis, non seulement pour Bani Yas, mais aussi pour le football aux Emirats", a déclaré le vice-président du club, Seïf Al-Khayili.
Le club n'a pas précisé le montant du contrat mais l'ancien attaquant international, 34 ans, devrait, selon la presse, toucher 1,7 million d'euros.
Trezeguet était arrivé lundi à Abou Dabi où il a passé les tests médicaux avant de signer avec Bani Yas, deuxième du dernier Championnat des Emirats, qui jouera à la Coupe des clubs champions d'Asie.
"Je suis heureux de jouer aux Emirats. J'ai étudié toutes les offres qui m'avaient été faites, y compris celle de Bani Yas. J'ai essayé d'en savoir plus sur le championnat émirati et Bani Yas. Le résultat était encourageant", a déclaré Trezeguet.
Le joueur a ajouté que son nouveau club "compte plusieurs joueurs internationaux" et ses dirigeants "ont la volonté de progresser et de jouer pour les titres".
L'ancien attaquant international français de Monaco et de la Juventus avait participé au Mondial 1998, remporté par la France, et à la Coupe d'Europe de 2000 en marquant en finale le but de la victoire française sur l'Italie.
Fifa.com (30/08/2011)
Re: International -News
Basay nouvel entraîneur de Colo Colo
L'entraîneur chilien Ivo Basay a été présenté officiellement mardi à Santiago comme nouvel entraîneur de Colo Colo (1e division), le club le plus populaire et le plus titré du Chili, en remplacement de l'Argentin Americo Ruben Gallego.
Basay, 45 ans, ancien attaquant international chilien, a joué trois saisons au Stade de Reims (France) à la fin des années 1980, puis à Boca Juniors (Argentine), avant de terminer sa carrière à Colo Colo. En tant qu'entraîneur, il a notamment dirigé les sélections de jeunes du Chili.
Fifa.com (30/08/2011)
L'entraîneur chilien Ivo Basay a été présenté officiellement mardi à Santiago comme nouvel entraîneur de Colo Colo (1e division), le club le plus populaire et le plus titré du Chili, en remplacement de l'Argentin Americo Ruben Gallego.
Basay, 45 ans, ancien attaquant international chilien, a joué trois saisons au Stade de Reims (France) à la fin des années 1980, puis à Boca Juniors (Argentine), avant de terminer sa carrière à Colo Colo. En tant qu'entraîneur, il a notamment dirigé les sélections de jeunes du Chili.
Fifa.com (30/08/2011)
Re: International -News
Ronaldinho pour dynamiser la Seleçao
Le sélectionneur brésilien Mano Menezes espère bien dynamiser la Seleçao, éliminée dès les quarts de finale lors de la récente Copa America, pour le match amical contre le Ghana, lundi à Londres, en faisant appel à un revenant de luxe: Ronaldinho.
Le retour annoncé de Ronaldinho, 31 ans, avait fait sensation mi-août. Mais les récentes performances avec Flamengo de l'ancienne star du FC Barcelone et de l'AC Milan ont intéressé Menezes. Un choix peut-être aussi poussé par certains grands anciens comme Rivaldo, qui avait pris la parole un peu vertement pour demander le rappel de l'attaquant.
Un choix qui ne cadre pas du tout avec la politique de renouvellement de l'effectif opérée par Menezes après sa prise de pouvoir, à l'issue du Mondial-2010 où le Brésil avait été éliminé en quarts par les Pays-Bas (2-1).
Ronaldinho, n'avait pas été sélectionné pour le Mondial sud-africain, après avoir été de l'équipe championne du monde en 2002. Sa dernière apparition avec la Seleçao date de 2010, une défaite contre l'Argentine (1-0).
Mais l'ancien Parisien, enchaîne les performances avec Flamengo, et a déjà inscrit 15 buts après 20 journées dans le Championnat brésilien.
"Après son retour au pays, il s'est réajusté et joue vraiment bien. Il est devenu l'un des meilleurs joueurs du championnat et ce qui a pu apporter du succès à Flamengo peut aussi aider le brésil", s'est justifié Menezes.
Une renaissance qui tombe à pic. Le successeur de Dunga cherche désespérément à injecter de la fantaisie dans une Seleçao en manque d'inspiration.
Incapable de produire un jeu attrayant, le Brésil avait été piteusement sorti de la Copa America, dès les quarts de finale, au tirs au but, par le Paraguay. Et s'était incliné dans la foulée contre l'Allemagne en amical (3-2).
Séance de rattrapage
Menezes s'est aussi attaqué au chantier des côtés, primordiaux dans l'animation offensive brésilienne. Ainsi, le gaucher madrilène Marcelo, encore jamais appelé par Menezes, fait son retour en Seleçao. Il avait été jugé hors de forme pour la Copa America et les deux hommes s'étaient brouillés.
"Ca a pu ressembler à un manque d'engagement, mais j'ai toujours voulu être dans la Seleçao et aider mes coéquipiers. Ils sont les meilleurs alors pourquoi ne voudrais-je pas en être?", a déclaré Marcelo.
Toujours côté droit, mais plus probablement comme milieu, le technicien auriverde a par ailleurs fait appel à Danilo, tout récent champion du monde des moins de 20 ans, qui vient d'être acheté par le FC Porto.
Robinho blessé aux adducteurs, la Seleçao comptera en attaque sur ses jeunes vedettes qui tardent à confirmer: Neymar, Pato et Ganso.
Pour eux, ce sera une séance de rattrapage. Leur jeu, pas vraiment "bonito", avait été fortement décrié pendant la Copa America, valant à Menezes les unes de la presse brésilienne. "Quelle incompétence!" et "Incompétence historique" avaient ainsi titré Correio Braziliense et O Globo après l'élimination par le Paraguay.
Ce sera donc à Ronaldinho de remettre la jeune génération dans le droit chemin du "jogo bonito".
Fifa.com (04/09/2011)
Le sélectionneur brésilien Mano Menezes espère bien dynamiser la Seleçao, éliminée dès les quarts de finale lors de la récente Copa America, pour le match amical contre le Ghana, lundi à Londres, en faisant appel à un revenant de luxe: Ronaldinho.
Le retour annoncé de Ronaldinho, 31 ans, avait fait sensation mi-août. Mais les récentes performances avec Flamengo de l'ancienne star du FC Barcelone et de l'AC Milan ont intéressé Menezes. Un choix peut-être aussi poussé par certains grands anciens comme Rivaldo, qui avait pris la parole un peu vertement pour demander le rappel de l'attaquant.
Un choix qui ne cadre pas du tout avec la politique de renouvellement de l'effectif opérée par Menezes après sa prise de pouvoir, à l'issue du Mondial-2010 où le Brésil avait été éliminé en quarts par les Pays-Bas (2-1).
Ronaldinho, n'avait pas été sélectionné pour le Mondial sud-africain, après avoir été de l'équipe championne du monde en 2002. Sa dernière apparition avec la Seleçao date de 2010, une défaite contre l'Argentine (1-0).
Mais l'ancien Parisien, enchaîne les performances avec Flamengo, et a déjà inscrit 15 buts après 20 journées dans le Championnat brésilien.
"Après son retour au pays, il s'est réajusté et joue vraiment bien. Il est devenu l'un des meilleurs joueurs du championnat et ce qui a pu apporter du succès à Flamengo peut aussi aider le brésil", s'est justifié Menezes.
Une renaissance qui tombe à pic. Le successeur de Dunga cherche désespérément à injecter de la fantaisie dans une Seleçao en manque d'inspiration.
Incapable de produire un jeu attrayant, le Brésil avait été piteusement sorti de la Copa America, dès les quarts de finale, au tirs au but, par le Paraguay. Et s'était incliné dans la foulée contre l'Allemagne en amical (3-2).
Séance de rattrapage
Menezes s'est aussi attaqué au chantier des côtés, primordiaux dans l'animation offensive brésilienne. Ainsi, le gaucher madrilène Marcelo, encore jamais appelé par Menezes, fait son retour en Seleçao. Il avait été jugé hors de forme pour la Copa America et les deux hommes s'étaient brouillés.
"Ca a pu ressembler à un manque d'engagement, mais j'ai toujours voulu être dans la Seleçao et aider mes coéquipiers. Ils sont les meilleurs alors pourquoi ne voudrais-je pas en être?", a déclaré Marcelo.
Toujours côté droit, mais plus probablement comme milieu, le technicien auriverde a par ailleurs fait appel à Danilo, tout récent champion du monde des moins de 20 ans, qui vient d'être acheté par le FC Porto.
Robinho blessé aux adducteurs, la Seleçao comptera en attaque sur ses jeunes vedettes qui tardent à confirmer: Neymar, Pato et Ganso.
Pour eux, ce sera une séance de rattrapage. Leur jeu, pas vraiment "bonito", avait été fortement décrié pendant la Copa America, valant à Menezes les unes de la presse brésilienne. "Quelle incompétence!" et "Incompétence historique" avaient ainsi titré Correio Braziliense et O Globo après l'élimination par le Paraguay.
Ce sera donc à Ronaldinho de remettre la jeune génération dans le droit chemin du "jogo bonito".
Fifa.com (04/09/2011)
Re: International -News
Independiente - Mohamed s'en va
Antonio Mohamed, l'entraîneur de l'Independiente, a démissionné de ses fonctions en affirmant lundi avoir été victime de la branche dure des supporteurs du club argentin.
Mohamed, 41 ans, ancien milieu de terrain quatre fois international avec l'Argentine, a démissionné après la défaite à domicile dimanche face à Boca Juniors (1-0). Des supporteurs avaient chanté "Qu'ils s'en aillent tous", à l'adresse des joueurs et de l'encadrement.
"Le message était très clair. (Le président du club, Julio) Comparada est allé dans le vestiaire, a eu une discussion musclée avec quelques joueurs, et cinq minutes plus tard la bande de supporteurs était à la porte", a expliqué Mohamed à la presse après avoir quitté le siège du club.
"La décision, ce n'est pas moi qui l'ai prise, c'est ce groupe", a ajouté l'ancien joueur de l'Independiente et de la Fiorentina en Italie.
Aux commandes de l'équipe depuis octobre 2010, Mohamed a dirigé 51 matches, dont 16 victoires, 19 nuls et 16 défaites, et remporté la Copa Sudamericana la saison dernière.
C'est le deuxième entraîneur à démissionner cette saison en Argentine, après Sebastian Mendez à Banfield.
Fifa.com (05/09/2011)
Antonio Mohamed, l'entraîneur de l'Independiente, a démissionné de ses fonctions en affirmant lundi avoir été victime de la branche dure des supporteurs du club argentin.
Mohamed, 41 ans, ancien milieu de terrain quatre fois international avec l'Argentine, a démissionné après la défaite à domicile dimanche face à Boca Juniors (1-0). Des supporteurs avaient chanté "Qu'ils s'en aillent tous", à l'adresse des joueurs et de l'encadrement.
"Le message était très clair. (Le président du club, Julio) Comparada est allé dans le vestiaire, a eu une discussion musclée avec quelques joueurs, et cinq minutes plus tard la bande de supporteurs était à la porte", a expliqué Mohamed à la presse après avoir quitté le siège du club.
"La décision, ce n'est pas moi qui l'ai prise, c'est ce groupe", a ajouté l'ancien joueur de l'Independiente et de la Fiorentina en Italie.
Aux commandes de l'équipe depuis octobre 2010, Mohamed a dirigé 51 matches, dont 16 victoires, 19 nuls et 16 défaites, et remporté la Copa Sudamericana la saison dernière.
C'est le deuxième entraîneur à démissionner cette saison en Argentine, après Sebastian Mendez à Banfield.
Fifa.com (05/09/2011)
Re: International -News
Socrates de nouveau hospitalisé
L'ancien joueur de football brésilien Socrates, victime d'une hémorragie digestive il y a deux semaines, a de nouveau été hospitalisé à Sao Paulo pour le même symptôme lundi soir, les médias locaux avançant qu'il était placé en soins intensifs et que son état était grave.
"Nous ne pouvons pour l'heure nous avancer sur l'état de santé" de Socrates a pour sa part déclaré à l'AFP un porte-parole de l'hôpital Albert Einstein, après avoir confirmé la présence dans leur établissement du capitaine de la sélection auriverde dans les années 80.
Agé de 57 ans, Socrates avait déjà été placé en soins intensifs le 20 août dernier pour soigner une importante hémorragie digestive. Il avait notamment subi une intervention visant à décompresser l'hypertension portale, à l'origine du problème.
Socrates, capitaine de la Seleçao lors des Mondiaux 1982 et 1986, a notamment porté les couleurs de Botafogo (1974-1978), des Corinthians Sao Paulo (1978-1984) et de la Fiorentina (1984-1985).
Fifa.com (06/09/2011)
L'ancien joueur de football brésilien Socrates, victime d'une hémorragie digestive il y a deux semaines, a de nouveau été hospitalisé à Sao Paulo pour le même symptôme lundi soir, les médias locaux avançant qu'il était placé en soins intensifs et que son état était grave.
"Nous ne pouvons pour l'heure nous avancer sur l'état de santé" de Socrates a pour sa part déclaré à l'AFP un porte-parole de l'hôpital Albert Einstein, après avoir confirmé la présence dans leur établissement du capitaine de la sélection auriverde dans les années 80.
Agé de 57 ans, Socrates avait déjà été placé en soins intensifs le 20 août dernier pour soigner une importante hémorragie digestive. Il avait notamment subi une intervention visant à décompresser l'hypertension portale, à l'origine du problème.
Socrates, capitaine de la Seleçao lors des Mondiaux 1982 et 1986, a notamment porté les couleurs de Botafogo (1974-1978), des Corinthians Sao Paulo (1978-1984) et de la Fiorentina (1984-1985).
Fifa.com (06/09/2011)
Re: International -News
Niang quitte Fenerbahçe pour Al Sadd
L'international sénégalais Mamadou Niang quitte Fenerbahçe pour le Qatar, a annoncé mardi le club de première division turque qui a passé un accord avec le club d'Al Sadd pour transférer l'ex-attaquant de l'Olympique de Marseille.
Al Sadd versera au club stambouliote une rétribution de 7,5 millions d'euros, a indiqué la direction de Fenerbahçe dans un communiqué transmis à la Bourse d'Istanbul, a rapporté l'agence de presse Anatolie, sans donner de détails sur la durée du contrat ou le futur salaire du joueur.
Niang, 31 ans, avait signé en août 2010 un contrat de trois ans avec Fenerbahçe.
Il s'était auparavant illustré à Marseille, inscrivant 100 buts, dont 71 en championnat, en cinq saisons.
Le buteur a également évolué entre 2000 et 2005 à Troyes, Metz et Strasbourg.
Fifa.com (06/09/2011)
L'international sénégalais Mamadou Niang quitte Fenerbahçe pour le Qatar, a annoncé mardi le club de première division turque qui a passé un accord avec le club d'Al Sadd pour transférer l'ex-attaquant de l'Olympique de Marseille.
Al Sadd versera au club stambouliote une rétribution de 7,5 millions d'euros, a indiqué la direction de Fenerbahçe dans un communiqué transmis à la Bourse d'Istanbul, a rapporté l'agence de presse Anatolie, sans donner de détails sur la durée du contrat ou le futur salaire du joueur.
Niang, 31 ans, avait signé en août 2010 un contrat de trois ans avec Fenerbahçe.
Il s'était auparavant illustré à Marseille, inscrivant 100 buts, dont 71 en championnat, en cinq saisons.
Le buteur a également évolué entre 2000 et 2005 à Troyes, Metz et Strasbourg.
Fifa.com (06/09/2011)
Re: International -News
Le sélectionneur Katanec limogé
La Fédération de football des Emirats arabes unis a annoncé mardi le limogeage du sélectionneur national, le Slovène Srecko Katanec, pour mauvais résultats lors des éliminatoires asiatiques de la Coupe du monde.
Le limogeage de Katanec, engagé en juin 2009, a été décidé après la défaite mardi de l'équipe nationale des Emirats (1-3) face au Liban, la deuxième après celle concédée vendredi au Koweït (2-3), a ajouté la Fédération dans un bref communiqué publié à Abou Dhabi.
Fifa.com (06/09/2011)
La Fédération de football des Emirats arabes unis a annoncé mardi le limogeage du sélectionneur national, le Slovène Srecko Katanec, pour mauvais résultats lors des éliminatoires asiatiques de la Coupe du monde.
Le limogeage de Katanec, engagé en juin 2009, a été décidé après la défaite mardi de l'équipe nationale des Emirats (1-3) face au Liban, la deuxième après celle concédée vendredi au Koweït (2-3), a ajouté la Fédération dans un bref communiqué publié à Abou Dhabi.
Fifa.com (06/09/2011)
Page 19 sur 40 • 1 ... 11 ... 18, 19, 20 ... 29 ... 40
Sujets similaires
» International -News (Part 2)
» Handball International
» Streamingf Foot International
» FAF-LNF News
» Mondial 2022, Qatar: NEWS
» Handball International
» Streamingf Foot International
» FAF-LNF News
» Mondial 2022, Qatar: NEWS
Page 19 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|