[Débat] Moh Cherif Hannachi (Président) [Part 2]

Hannachi lache Fabbro : «Il a failli»

Le président Moh-Chérif Hannachi n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour traîner dans la boue son entraîneur.

Très déçu par la défaite concédée devant le nouveau promu, Hannachi impute l’entière responsabilité de ce énième échec à Fabbro. «L’entraîneur a failli à sa mission», a-t-il déclaré à la fin de la rencontre. Après l’avoir longtemps encensé, affirmant notamment à l’intersaison que Fabbro est l’un des meilleurs techniciens qui se sont succédé à la barre technique de la JSK, le président Hannachi estime maintenant qu’il n’a pas été à la hauteur. Il n’est pas satisfait de son travail, mais c’est la première fois qu’il s’attaque à lui de cette manière.

«Je n’ai rien compris à ce qu’il a fait et à son système de jeu»
Le président Hannachi se dit surpris par le système de jeu adopté par son entraîneur en deuxième mi-temps. Il pense que les changements opérés ont coûté à l’équipe les trois points. «Je n’ai rien compris à ce qu’il a fait et à son système de jeu», a-t-il dit. L’entraîneur Fabbro a effectué trois changements en deuxième période. Il a été obligé de remplacer Belkalem, qui a contracté une blessure, par Remache. Il a ensuite fait sortir Bouaïcha et Lamhane pour les remplacer respectivement par Hadiouche et Mokdad.

«Avec un système de jeu pareil, il était certain qu’on perde»
Si d’habitude le président Hannachi tire sur les arbitres, cette fois, sa cible était Fabbro. Il confie que son équipe avait bien débuté la rencontre, mais les changements opérés en deuxième mi-temps étaient inopportuns. «On a dominé notre adversaire, mais, en deuxième mi-temps, je n’ai rien compris à son système de jeu. La victoire de l’USMBA était logique.»

«On va trouver une solution avec lui»
L’entraîneur Enrico Fabbro a dirigé pour la dernière fois l’équipe de la JSK à Bel-Abbès. C’est le président Hannachi en personne qui a annoncé au coup de sifflet final qu’il se réunira avec ses dirigeants afin de tenter de trouver une solution avec Fabbro. Autrement dit, il veut une solution à l’amiable pour ne pas indemniser son entraîneur qui dispose d’un contrat en béton. «On va trouver une solution avec l’entraîneur», révélera Hannachi.

«On ne va pas continuer comme ça»
Très en colère contre son entraîneur, auquel il reproche d’avoir failli dans sa mission, le président Hannachi affirme ouvertement qu’il ne peut plus continuer à lui faire confiance. «On ne va pas continuer comme ça. Il a échoué dans sa mission et on doit trouver une solution avec lui», a assené le président de la JSK. En principe, Fabbro sera démis de ses fonctions aujourd’hui. Mais la décision de son renvoi a été prise hier à Bel-Abbès et les dirigeants ne feront que l’entériner.

Compétition (18/11/2012)

Foot, fric et politique : Président Moh Hannachi et ses 40 entraineurs virés

Et un entraineur de plus qui quitte la JSKabylie. Les jours de l’actuel entraineur de la JSK, l’italien Enrico Fabbro, nommé en juin 2012 à la tête du club, sont déjà comptés après la défaite samedi 17 novembre de son équipe face à celle de Belabess. Dans la foulée de cette sixième défaite, des informations, non encore confirmées, parues dans la presse sportive indiquent que le coach de la JSK a consommé son divorce avec l’équipe.

Nommé en juin 2012, Enrico Fabbro, 53 ans, aura donc tenu six mois à la tête de la JSK. A sa décharge, le palmarès de l’entraineur italien est peu reluisant.

Après 11 journées du championnat, la JSK trône à la 13eme place du classement de la Ligue 1, avec six défaites, 4 victoires, un nul, dix buts inscrits contre 9 encaissés.

Bref, une place du purgatoire pour cette équipe habituée à remporter coupes et championnats d’Algérie. Il n’en fallait pas plus pour signer l’arrêt de mort d’Enrico Fabbro.

Certes. Mais ce ne sont pas tant les mauvais résultats de l’équipe qui indignent et offusquent aujourd'hui les supporteurs, mais plutôt, et une fois de plus, la gestion du club par son président. Et davantage encore la propension de celui-ci à consommer les entraineurs.
Corruption, magouilles, affairisme, gros fric : Hannachi enfonce Raouraoua, mais pas trop !

Lire l'article original : Corruption, magouilles, affairisme, gros fric : Hannachi enfonce Raouraoua, mais pas trop ! | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie

Si le départ de Fabro devait être confirmé, il permettrait à son président, Mohand Cherif Hannachi, d’établir un nouveau record : celui de président de club qui a consommé le plus d’entraineurs à la tête d’un club algérien.

Avec le départ annoncé de l’entraineur italien, Mohand Cherif Hannachi, 62 ans, aura ainsi consommé 40 entraineurs depuis sa nomination comme président du club de la Kabylie en 1993.

19 ans de carrière, 40 entraineurs, le record de Hannachi est sans doute inégalable.

Ancien défenseur de la JSK avec laquelle il a remporté plusieurs titres au cours des années 1970, Moh Chrif, comme on surnomme le président du club kabyle, a pris la tête du club en 1993 pour ne plus la lâcher.

Depuis 19 ans que l’homme traine sa silhouette à travers les stades d’Algérie et d’Afrique; depuis 19 ans qu’il fait et défait les carrières et les réputations de ses entraineurs et de ses joueurs, rien ne semble l’atteindre.

Ni les critiques, ni les pétitions demandant son départ, ni encore les tentatives de dégommage dont il fait l’objet depuis au moins une décennie.

C'est que depuis des années, le boss de la JSK fait face à des mouvements de contestation de la part de supporters et d’anciens cadres de l’équipe visant à le destituer de son poste. Toutefois, Mohand Cherif Hannachi parvient toujours à s’y maintenir.

C’est comme si la moindre contestation glissait sur le dos de Hannachi comme des gouttes de pluie sur un parapluie.

Grande gueule au langage frisant parfois celui d’un charretier, Hannachi n’a pas son pareil pour nommer et dégommer les entraineurs. Recrutés à coups de milliards de centimes, ses entraineurs sont parfois éjectés au bout de 5 ou 6 mois d’exercice, voire moins.

Sa gestion à la tête du club? Elle est d’autant plus controversée, critiquée, dénoncée que l’homme mélange sports, business et politique.

Les fans lui reprochent son soutien au président Bouteflika qui ne jouit pourtant pas d'une grande estime parmi les supporteurs du club. Ils lui reprochent encore d'avoir contracté un partenariat avec le journal arabophone Echourouk.

Mais si le boss de la JSK reste insubmersible, c'est sans doute parce que son bilan plaide pour lui.

A la tête de la JSK depuis 19 ans, Hannachi peut se targuer d’un butin tout simplement époustouflant.

Avec lui, la JSKabylie a été sacrée quatre fois championne d’Algérie, a remporté deux fois la coupe d’Algérie, une coupe d’Afrique des vainqueurs de Coupes et l'équipe a été trois fois vainqueur de la Coupe de la CAF.

S'il faut admettre qu'aucun dirigeant de club algérien n’aura gagné autant de trophées durant les vingt dernières années, il faut reconnaitre qu'aucun président n'a consommé 40 entraineurs en 19 ans d'exercice.

DNA (17/11/2012)

Hannachi : «Quand il y a échec, le premier ciblé c’est moi !»

A la fin de cette défaite amère face à l’USMBA, le président Moh-Cherif Hannachi n’a pas mâché ses mots en se montrant étonné du résultat de son équipe, alors que les choses semblaient aller pour le mieux. Dès sa sortie du vestiaire, le boss nous dira : «On s’attendait à une réaction positive. Dommage qu’on ait perdu aujourd’hui, face à un adversaire qui n’a pas démérité. Beaucoup de choses n’ont pas marché dans l’équipe. Quand il y a échec, je sais que la première cible est le président. On est tous malades de cette situation. On doit vite réagir dans l’intérêt du club.»

«J’avais refusé la démission de Fabbro à Bologhine, mais maintenant il est impossible de le maintenir»
Revenant sur le limogeage de Fabbro, Hannachi nous dira : «Nous avons mis Fabbro dans les meilleures conditions possibles. Pour preuve, il a même demandé à partir après la défaite de l’USMA et c’est moi qui avais refusé. J’ai jugé utile de le maintenir à la tête du staff technique pour le bien de l’équipe. Mais maintenant, ce n’est plus possible. C’est la défaite de trop. Je ne reconnais plus l’équipe. Il était temps de se séparer de Fabbro.»

«Je persiste à dire qu’on a une bonne équipe»
Quant au rendement de l’équipe, le boss kabyle a été surpris de voir que ses joueurs manquaient de combativité sur le terrain. Il ne s’est pas empêché de dire : «C’est incompréhensible ! Je n’ai pas reconnu les joueurs. Ils manquent d’engagement. Je suis aussi surpris de la façon avec laquelle ils jouent. Pourtant, nous avons une bonne équipe. Je persiste à dire que nous avons effectué un recrutement de qualité. L’équipe n’est pas régulière dans ses résultats et il faut vite agir.»

«J’ai recruté ces joueurs pour jouer les premiers rôles»
Avant d’enchaîner : «Nous avons recruté de bons joueurs pour jouer les premiers rôles. Avec un tel recrutement, il est inacceptable de jouer le bas du tableau. Les choses doivent changer. C’est la raison pour laquelle nous avons pris la décision de limoger Fabbro. On prendra le temps nécessaire avant de nommer un nouveau coach.»

Le Buteur (19/11/2012)

JSK : Hannachi répond à Fabbro

Les déclarations du désormais ex-entraîneur de la JSK, l’Italien Enrico Fabbro, n’ont pas plu aux responsables kabyles.

La preuve, hier après-midi, un communiqué de la direction est tombé sur le site officiel du club. Hannachi et les autres responsables du club ont tenu, à travers ce communiqué, à répondre à Fabbro et préciser d’autres choses importantes à leurs yeux.

«Il n’a exprimé aucune opposition à la résiliation de son contrat»
Pour commencer leur communiqué, les dirigeants de la JSK ont expliqué qu’après la séparation à l’amiable avec Fabbro et la résiliation du contrat qui a eu lieu dimanche dernier, Fabbro n’a exprimé aucune opposition. Ils ont même argumenté leurs dires : «Dans le paragraphe deux de l’article du contrat d’engagement, il est mentionné qu’une séparation à l’amiable est possible à tout moment de la saison, en cas de mauvais résultats, bien sûr, ce qui est le cas d’ailleurs après onze journées de championnat.» Les responsables kabyles ont même exprimé à travers ce communiqué qu’ils ont respecté ce caractère de la séparation à l’amiable en accompagnant Fabbro à Alger avec le véhicule du club.

«Fabbro aurait dû exprimer ses observations et ses critiques lorsqu’il était en place»
Pour Hannachi et les autres dirigeants de la JSK, l’ancien entraîneur de l’équipe première, Fabbro, aurait dû exprimer ses critiques lorsqu’il était en poste : «Une fois à Alger, Fabbro a organisé une conférence de presse où il a fait part de certaines observations et critiques, ce qui mérite de la part de la direction du club quelques éclaircissements. Par loyauté envers le club, Fabbro aurait dû les exprimer pendant qu’il était en poste.»

«Il n’a jamais demandé à se passer de Karouf»
L’autre point que la direction de Hannachi n’a pu zapper est celui de l’entraîneur adjoint de Fabbro, Mourad Karouf. «A aucun moment, Fabbro n’a demandé à se passer de Karouf. Si c’était le cas, la direction aurait accepté sa demande rien que pour éviter de partager la responsabilité de l’échec. Karouf est un enfant du club, il aurait pu être utile au club en lui confiant d’autres responsabilités. A aucun moment Fabbro ne s’est plaint des dirigeants ou du personnel du club, il ne l’a fait qu’une fois qu’il a pris la route pour l’Italie.»

«Les dirigeants de la JSK ont la conscience tranquille»
Avant de parler de Mauro, les responsables kabyles ont tenu à souhaiter bonne chance à Fabbro : «On souhaite bonne chance à Fabbro dans sa carrière. Les dirigeants de la JSK ont la conscience tranquille. Tous les moyens ont été mis à sa disposition, il a bénéficié du soutien des dirigeants dans les moments difficiles, la confiance lui a été renouvelé à maintes reprises, alors qu’il ne faisait pas l’unanimité, malheureusement, les résultats n’étaient pas de son côté.»

«On a insisté pour garder Mauro, mais il a refusé»
Enfin, le dernier point que la direction de Mohand-Chérif Hannachi avait abordé dans ce communiqué, était le départ de Mauro : «Ce préparateur physique a réalisé un excellent travail à la JSK, c’est une grande satisfaction pour nous. D’ailleurs, on a insisté pour le garder, mais il n’a pas voulu rester. On le remercie et on lui souhaite aussi bonne chance pour le reste de sa carrière.»

Compétition (20/11/2012)

MUHECH : «Je persiste à dire qu’on a une bonne équipe de D II»

Sur ce point, tout le monde ne peut qu'être d'accord !

Son projet est en marche.....

rachid_as a écrit:Son projet est en marche accélérée.....

Hannachi : «Ce sera Luis Fernandez, le futur entraîneur de la JSK»

Présent à la soirée de Nedjma organisée, hier, à l’hôtel El-Aurassi, le président Moh Chérif Hannachi auquel certains journalistes ont demandé l’identité du futur entraîneur de la JSK a révélé que le successeur d’Enrico Fabbro sera l’entraîneur Luis Fernandez.

«Je veux Luis Fernandez et ce sera lui le futur entraîneur de la JSK», a-t-il déclaré. Sa présence à la soirée de Nedjma n’est pas une surprise, puisque cet opérateur de la téléphonie mobile n’est que le principal sponsor de la JSK. Le nom de Fernandez a déjà été annoncé par nos soins, il y a quelques jours de cela, avant même que le coach italien ne soit démis de ses fonctions. C’est Yazid Yarichène, le président de la section de football, qui n’a pas cessé de réclamer le limogeage de Fabbro qui a assuré Hannachi que s’il renvoie l’entraîneur transalpin, il ramènera soit Luis Fernandez ou Alain Giresse. Il a opté pour le premier et il devra lui assurer ses mensualités.

«J’attends son accord qui pourrait intervenir dans les prochaines heures»
Le président Hannachi ne s’est pas contenté seulement de nous confier qu’il veut Luis Fernandez, mais il a ajouté que les contacts ont déjà été établis avec l’ancien coach du PSG et de l’Athletic Bilbao pour ne citer que ces deux clubs. «Je tiens à vous faire savoir que les dirigeants l’ont contacté et j’attends son accord qui devrait intervenir dans les prochaines heures.»

«Ce ne sera pas Sandjak»
Au moment où tout le monde attendait à ce que le président Hannachi concrétise avec Sandjak, ce dernier a annoncé lors de la soirée de Nedjma que l’actuel coach de Noisy-le-Sec ne sera pas l’entraîneur de la JSK. «Le futur entraîneur de la JSK ne sera pas Sandjak», a rétorqué Hannachi à la question de savoir si les négociations avec Sandjak ont abouti ou pas.

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Fernandez : «Aucun dirigeant ne m’a contacté»
Quelques instants seulement après les révélations de Hannachi concernant les contacts entrepris avec Luis Fernandez, on a pris attache avec ce dernier pour voir s’il est emballé à l’idée d’exercer dans le championnat algérien. Mais il a nié tout contact avec la direction de la JSK en affirmant que jusqu’au moment où il nous parle aucun dirigeant de ce club ne l’a contacté. «Aucun dirigeant n’a pris attache avec moi», a-t-il dit.

«Si un jour, je reçois une offre, je l’étudierai»
Voulant savoir s’il est prêt à tenter une expérience en Algérie, comme son compatriote Courbis, qui a pris les rênes de l’USMA après le départ de Gamondi, Fernandez n’écarte pas l’idée de venir en Algérie. «Si un jour, je reçois une offre, je l’étudierai. Je compte de nombreux amis en Algérie», a-t-il ajouté.


Compétition (21/11/2012)

Il prendra ses fonctions dès ce lundi au stade du 1er-Novembre
Hannachi : “Sandjak est avec nous”

Après plusieurs contacts établis avec des entraîneurs étrangers, le destin a voulu que ce soit Nasser Sandjak qui succède finalement à l’Italien Enrico Fabbro à la barre technique de la JS Kabylie. Pourtant les négociations entre les dirigeants de la JSK et l’ancien entraîneur national ont failli capoter la semaine dernière pour des raisons financières, paraît-il, ce qui avait poussé la direction de la JSK à prendre attache avec l’ancien entraîneur du Coton-Sport de Garoua et de l’équipe nationale du Cameroun, le Français Denis Lavagne. Finalement, le président de la JSK, Mohand-Chérif Hannachi, et Nasser Sandjak ont fini par lâcher du lest, chacun de son côté, pour parvenir à un accord, jeudi passé, en cours de soirée. “Le cœur et la raison ont fini par l’emporter et Sandjak a fini par nous donner son accord jeudi soir. Tant mieux car Nasser connaît bien la maison et la mentalité du footballeur algérien. Dès cette semaine, il va rallier Tizi Ouzou pour entamer son travail et mettre en place un grand chantier. Nous comptons énormément sur son expérience du football de haut niveau et nous espérons que son retour au bercail va être bénéfique pour l’équipe qui a besoin de retrouver sa sérénité et surtout sa confiance”, dira encore le président Hannachi. D’ailleurs, le retour de Nasser Sandjak aux commandes du club kabyle a été confirmé officiellement hier par la direction de la JSK au moyen d’un communiqué paru sur le site officiel du club. “Un accord a été trouvé entre la direction du club et Sandjak. De ce fait, ce dernier est de nouveau l’entraîneur en chef de la JSK. Il prendra ses fonctions juste après le match du CABBA”, peut-on lire dans le même communiqué. Nous avons tenté de joindre plusieurs fois Nasser Sandjak durant ces deux derniers jours sur son téléphone portable, mais malheureusement ce dernier, qui a regagné Paris depuis mardi dernier, n’a pas daigné répondre à nos sollicitations, ce qui est curieux et regrettable tout à la fois car nos lecteurs et les milliers de supporters kabyles ont le droit de tout savoir.

Toujours est-il que l’ancien entraîneur du club français de Noisy-le-Sec drivera donc pour la troisième fois la JSK et force est d’admettre qu’il est attendu en Kabylie comme un véritable messie car la formation kabyle a réellement besoin de redresser la barre, surtout que cette nouvelle défaite consommée hier encore à Bordj Bou-Arréridj — la septième de la saison en douze matches seulement et la troisième consécutive en l’espace de quinze jours — n’a fait qu’empirer la situation.

Liberté (24/11/2012)

Alors que la JSK accumule les déconvenues
Hannachi implore le saint de Sidi Mansour

Les innombrables défaites qu’enregistre la JSK depuis le début de la saison ne relèvent surtout pas du manque de travail et encore moins de l'absence de cohésion au sein de l’équipe. Cette décadence du club kabyle trouvera certainement remède chez les saints et autres mausolées de la région. À en croire le geste du président Mohand-Chérif Hannachi, qui s’est rendu vendredi à la zaouïa de Sidi Mansour, dans la région de Timizar, pour porter en offrande un bœuf dans l’espoir peut-être de voir son club reprendre la place qui était la sienne dans le championnat national.

Radar-Liberté (25/11/2012)

rachid_as a écrit:Alors que la JSK accumule les déconvenues
Hannachi implore le saint de Sidi Mansour

Les innombrables défaites qu’enregistre la JSK depuis le début de la saison ne relèvent surtout pas du manque de travail et encore moins de l'absence de cohésion au sein de l’équipe. Cette décadence du club kabyle trouvera certainement remède chez les saints et autres mausolées de la région. À en croire le geste du président Mohand-Chérif Hannachi, qui s’est rendu vendredi à la zaouïa de Sidi Mansour, dans la région de Timizar, pour porter en offrande un bœuf dans l’espoir peut-être de voir son club reprendre la place qui était la sienne dans le championnat national.

Radar-Liberté (25/11/2012)

La réponse sur le site OFF

MISE AU POINT

N’ayant vraisemblablement rien à commettre pour attirer des lecteurs, un journal a publié une information selon laquelle, le président de la J.S.K se serait rendu, Vendredi à la Zaouïa du saint Sidi Mansour, et aurai porté en offrande un bœuf, dans l’espoir de mettre fin à la série de défaites qu’enregistre la J.S.K, depuis le début du championnat.

Si cette information est dénuée de tout fondement, elle pue la malveillance envers le président, se famille et la J.S.K.
Au lieu de s’intéresser aux visites religieuses du président ou de tout autre personne, le journaliste aurait du d’abord, s’informer sur le lien permanent et sacré qu’entretient la famille HANNACHI avec le saint sidi Mansour, et qui remonte à l’époque d’édification de cette Zaouïa.

Il aurait su que c’est fidele à cette tradition familiale, que les frères du président s’y sont rendus en pèlerinage, à l’occasion de la fête de l’Achoura.

Pour une fois que, Mohand Cherif n’a pu faire partie de la délégation familiale, il a été aperçu en ce lieu.
Pour une performance journalistique, c’en est une.

C’est dire qu’en plus d’être fausse et malveillante, cette information relève d’une volonté délibérée de nuire à la famille du président et à celle de la J.S.Kabylie.

Que dieu fasse, qu’il nous éloigne des gens du mal, et nous rapproche de ses hommes de bien.

AMEN

Hannachi : «Ce sera Luis Fernandez, le futur entraîneur de la JSK»

STAKHNAK AYAGHIYUL !!!

adsm a écrit:

Hannachi : «Ce sera Luis Fernandez, le futur entraîneur de la JSK»

STAKHNAK AYAGHIYUL !!!

Sla3qel kan Mezmez !!!

rachid_as a écrit:

adsm a écrit:

Hannachi : «Ce sera Luis Fernandez, le futur entraîneur de la JSK»

STAKHNAK AYAGHIYUL !!!

Sla3qel kan Mezmez !!!

Dayen qriv adnarrew;;;;;;;;;;;;;

adsm a écrit:

rachid_as a écrit:

adsm a écrit:

Hannachi : «Ce sera Luis Fernandez, le futur entraîneur de la JSK»

STAKHNAK AYAGHIYUL !!!

Sla3qel kan Mezmez !!!

Dayen qriv adnarrew;;;;;;;;;;;;;

Kif kif-agh ihi.....tarwi af FUHUC sin les anti-suppo af tikelet

rachid_as a écrit:

adsm a écrit:

rachid_as a écrit:




Sla3qel kan Mezmez !!!

Dayen qriv adnarrew;;;;;;;;;;;;;

Kif kif-agh ihi.....tarwi af FUHUC sin les anti-suppo af tikelet

Les supporters se sont ceux qui donnent à la JSK; pas ceux qui s'en servent sur le dos de la JSK comme ceux qui squattent sur dzkhorti........pour chanter le guru de leurs mamans....Wlad 3raya

Je vais finir là !!!!!

Hannachi : «Si Sandjak ne parvient pas à trouver des solutions, c’est moi qui partirai»

Invité d’honneur de l’émission Al Djazaïria Foot, qui sera diffusée aujourd’hui à 21h, sur la chaîne satellitaire Al Djazaïria, le président Hannachi, qui a répondu volontiers à cette invitation, a tenu à répondre à plusieurs questions qui lui ont été posées à propos de la situation que traverse son club depuis l’entame de la saison. Comme tout le monde le sait, le club phare du Djurdjura éprouve des difficultés à enchaîner les résultats positifs, malgré le recrutement de qualité qui a été effectué en début de saison. Cela a poussé le président Hannachi à déclarer publiquement que la nomination de Nasser Sandjak à la tête du club pourrait apporter une certaine stabilité à l’équipe. Dans le cas contraire, Hannachi n’a pas hésité à dire que si les résultats ne suivent pas, il quittera le club : «Depuis l’entame de la saison, l’équipe n’arrive pas à enchaîner des victoires de manière successive. La preuve, on a limogé Enrico Fabbro qui a été remplacé par Nasser Sandjak qui connaît bien la maison. Si la JSK ne parvient pas à renouer avec le succès, je cèderai ma place !»

«Karouf est un enfant de la JSK, on ne le lâchera pas»
Le maintien de Mourad Karouf dans le nouveau staff technique de Nasser Sandjak a fait couler beaucoup d’encre et de salive. D’après le premier responsable de l’équipe, une réunion devrait avoir lieu dès l’arrivée de l’ex-entraîneur de Noisy-le-Sec à Tizi Ouzou, pour trouver une solution. A ce sujet, il dira : «Concernant le maintien de Mourad Karouf dans le nouveau staff technique de la JSK, nous allons discuter avec Nasser Sandjak. J’espère que nous allons trouver une solution. Mourad Karouf a beaucoup donné à la JSK, on ne le laissera pas tomber.»

«Faux ! L’entourage de la JSK n’est pas pourri»
Avant de quitter l’Algérie, l’Italien Enrico Fabbro a déclaré que l’entourage de la JSK était pourri. Interrogé, Mohand-Cherif Hannachi s’est contenté de dire que la JSK a toujours été un club professionnel : «Comment peut-on juger un entourage d’un club comme étant pourri, alors que nous avons une équipe structurée ? Nous avons notre propre site officiel. Aussi, tous nos joueurs sont régularisés jusqu’au dernier centime.»

«On a déjà dépensé 17 milliards, on ne peut pas faire plus»
Après avoir assuré le maintien la saison passée, les responsables de la JSK n’ont pas attendu pour s’occuper du volet recrutement. De l’avis de tout le monde, la JSK a réussi un renfort qualitatif en enrôlant plusieurs joueurs de qualité, à l’image de Messaâdia, Hadiouche, Bellakhdar, Bouaïcha, Mekkaoui et Mokdad. Malgré tous ces noms, l’équipe n’arrive même pas à gagner à domicile. Cela a beaucoup inquiété le boss de la JSK qui dira : «Je persiste à dire qu’on a effectué un recrutement qualitatif. On a dépensé plus de 17 milliards pour assurer un bon renfort. Si on ne réalise pas de bons résultats, ce n’est pas de ma faute.»

«Nous allons recruter des joueurs étrangers au mercato»
Heureusement que trois journées seulement nous séparent du prochain mercato hivernal. La JSK en profitera pour se renforcer en recrutant un véritable chasseur de buts qui pourrait apporter de la stabilité au niveau de l’attaque. Poursuivant ses déclarations, Hannachi ajoutera : «Malgré le bon recrutement réalisé lors de la période des transferts, nous allons mettre à profit le prochain mercato hivernal pour nous renforcer. Nous allons recruter des joueurs étrangers dans le but de revenir en force lors de la deuxième manche du championnat.»

«Ma femme m’a dit : ‘Tu passes plus de temps à la JSK qu’avec ta famille’»
Nul doute que le président Hannachi a beaucoup donné à la JSK. Il a sacrifié toute sa vie pour cette grande équipe qui a toujours fait honneur aux Algériens. Évoquant ce sujet, Hannachi s’exprimera : «Vous savez, j’ai passé toute ma vie à servir la JSK. Une fois, ma femme m’a dit : «Tu passes ton temps à la JSK, tu as délaissé ta famille.» Cela prouve que je me suis toujours bien occupé de la JSK.»

«Je n’ai aucun problème avec le président de la fédération, Mohamed Raouraoua»
L’on se rappelle bien que le président Hannachi avait eu quelques frictions avec le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua. Maintenant, tout est renté dans l’ordre : «Je n’ai aucun problème avec le président Raouraoua. Il est vrai qu’on a eu quelques frictions par le passé, mais plus maintenant. Nous sommes tous ici pour servir le football algérien.»

«Le problème de la JSK réside au niveau de l’attaque»
De l’avis de tout le monde, l’attaque de la JSK ne fonctionne pas correctement et ce, depuis la première journée du championnat. En 12 rencontres disputées jusqu’à présent, le compartiment offensif kabyle n’a inscrit que 10 buts : «Le problème de la JSK, cette saison, réside au niveau de l’attaque. A plusieurs reprises, on se crée des occasions nettes de scorer, mais on ne marque pas. Notre attaque n’est pas performante», précisera-t-il.

«En 12 journées, Fabbro a été incapable de dégager un onze type»
Recruté quelques mois avant l’entame officielle du championnat, Enrico Fabbro, qui a dirigé 12 matchs de la JSK, n’a réussi à gagner que trois fois, dont deux à l’extérieur. Selon le président Hannachi, l’Italien, qui a été remercié à l’issue de la défaite contre l’USMBA, n’a même pas réussi à dégager l’équipe type. A chaque fois, une nouvelle formation a été alignée : «Nous avons limogé Fabbro pour insuffisance de résultats. C’était impossible de le garder encore plus. Vous savez, en 12 matchs, il n’a même pas réussi à dégager l’équipe type. Son limogeage a été une obligation», a-t-il dit.

«Tout est encore possible en championnat»
Avant le début du championnat et vu le recrutement qui a été fait, le président Hannachi avait déclaré que la JSK allait jouer le titre cette saison. Seulement, et après un début cauchemardesque, les supporters commençaient à douter de voir leur équipe rivaliser avec les autres ténors du championnat. Pour sa part, le président kabyle garde toujours espoir de voir la JSK revenir lors de la phase retour : «Il est vrai que nous avons mal débuté le championnat en ayant concédé plusieurs défaites, mais je tiens toujours à dire que tout est possible. Nous sommes capables de revenir dans la course au titre.»

«Les arbitres nous ont lésés depuis l’entame de la saison»
A propos des arbitres qui ont souvent été vicieux, le chairman kabyle ajoutera : «Cette saison, nous avons été lésés par les arbitres. A chaque fois, on siffle des penalties contre nous. Les directeurs de jeu doivent être avertis à chaque fois, dans le but d’améliorer notre football.»

«Je n’ai pas compris l’attitude de Belkalem à Bordj»
A Bordj Bou-Arréridj, la JSK a enregistré sa 7e défaite de la saison. Cette fois, le buteur du CABBA n’était autre que l’ex-Kabyle, Lounès Bendahmane. Ce dernier a réussi à transformer un joli coup franc direct, tout en délivrant les supporters bordjis qui étaient nombreux dans les gradins. Selon Hannachi, le but encaissé était la faute de Belkalem qui a composé le mur avec d’autres joueurs. Autrement dit, c’était lui qui a laissé le ballon passer : «Le but de Bendahmane est survenu suite à une faute de Belkalem. Le ballon est passé tout près de lui. Aussi, je ne comprends pas pourquoi il a quitté le terrain avant même d’avoir écopé un deuxième avertissement. Pour le moment, on n’a pas encore parlé avec lui, du moment qu’il ne sera pas présent contre l’Entente. Le nouvel entraîneur s’entretiendra avec lui prochainement.»

«Je suis plus que déçu par cette situation»
Quarante-huit heures après la défaite de son équipe à Bordj Bou-Arréridj, le premier responsable de la JSK, Moh-Cherif Hannachi, a décidé de s’exprimer sur cette situation critique que traverse son équipe en cette période de la saison. Le moins que l’on puisse dire est que Hannachi paraissait affecté par cette nouvelle crise qui frappe la JSK. Il a déclaré dans un premier temps : «Notre équipe vient d’enregistrer une énième contre-performance en perdant ce vendredi, le match face à l’équipe de Bordj Bou-Arréridj où nous avons été reçus comme il se doit par les dirigeants. Qu’ils en soient remerciés au passage. Je suis plus que déçu, je suis interpellé au premier chef par cette situation. Je dois y remédier en urgence. La période du mercato est proche, elle est propice à un bilan critique et autocritique de chacun de nous.»

«Sandjak ne pourra pas atteindre les objectifs escomptés»
Pour la première fois cette saison, Hannachi a reconnu qu’il va falloir revoir les objectifs du club à la baisse. Après avoir parlé du titre en début de saison, le boss reconnaît qu’il sera difficile de terminer à la 1re place. Il ajouta dans ce sens : «La première mesure, c’est déjà le retour de Nacer Sandjak chez lui, à la JSK. Je fonde beaucoup d’espoirs en lui. Cependant, et sans l’apport de chacun de nous, et quelle que soit sa volonté déjà éprouvée, il ne pourra jamais atteindre les objectifs escomptés. C’est pour cela que je lance un appel solennel à tous et à toutes pour lui faciliter la tâche.»

«Le retour de nos supporters, c’est ce que je retiendrai de bon de cette phase aller»
Une fois de plus, le président Hannachi a tenu à saluer le retour des supporters de la JSK qui soutiennent en force l’équipe ces derniers temps, même si les résultats ne suivent pas. Il faudrait dire que cela fait un bon moment qu’on n’a pas vu toute cette solidarité autour du club. Hannachi souhaite que cette solidarité se poursuive afin que le club puisse sortir de cette crise. Il dira ceci au sujet des supporters : «Je tiens à souligner que parmi les motifs de fierté, sinon le seul à tirer de cette première phase du championnat, c’est le retour des supporters, de leur maturité et leur sportivité.»

«J’ai une dette envers notre public»
Dans son message, Hannachi s’est montré conscient de la gravité de la situation. C’est la raison pour laquelle il n’a guère minimisé l’effort des supporters kabyles. Il a ajouté ceci :
«La JSK leur doit en contrepartie autant de joie qu’elle leur en a procurée par le passé (allusion faite aux supporters, ndlr). J’y veillerai personnellement, c’est plus qu’une promesse, c’est une dette envers eux.»

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Suivez l’intégralité de l’intervention de Hannachi ce soir sur Al Djazaïria
Comme annoncé par nos soins, le président de la JSK était l’invité, hier soir, de l’émission Djazaïria Foot. Profitant de son passage, nous avons choisi quelques extraits de son intervention pour les publier sur les colonnes de notre journal. Vous pourrez suivre l’intégralité de l’émission ce soir à partir de 21h sur la chaîne satellitaire Al Djazaïria. En plus de la JSK, le président kabyle a évoqué plusieurs sujets relatifs à nos clubs. Soyez au rendez-vous.

Le Buteur (26/11/2012)

Hannachi reconnait ses erreurs : « J’ai failli…. »

Depuis l’annonce de l’arrivée du coach de Noisy-le-Sec, Nacer Sandjak, on ne cesse de spéculer sur l’avenir de l’entraîneur intérimaire Mourad Karouf. Le successeur de Fabbro a clairement affirmé qu’il veut un staff costaud, ce qui a ouvert la voie à toutes les spéculations.

Mais tant que l’entrevue entre Hannachi et son nouvel entraîneur n’a pas eu lieu, personne n’est en mesure de dire avec exactitude si Karouf sera maintenu ou pas à son poste. Le flou est total, surtout que le nouvel entraîneur des Canaris est resté évasif quant à la composante de son staff. Mais d’après les dirigeants kabyles avec lesquels on s’est entretenus dans la matinée d’hier, le président Hannachi ne laissera jamais tomber Karouf. «Karouf est un enfant du club et on ne le laissera jamais tomber», leur a-t-il confié, en leur ajoutant qu’il trouvera un arrangement avec Sandjak.

«On a failli et on assume»
Sur le site du club, c’est la première fois que le président Hannachi reconnaît publiquement son échec et celui de sa direction. En parlant de l’autocritique, il s’est projeté vers la fin de la phase aller où il fera le bilan de la première manche du championnat. D’habitude, il rejetait toujours la responsabilité sur X ou Y, mais là, il reconnaît l’échec de sa direction. D’ailleurs, en plus de ses propos tenus sur le site du club, Hannachi a déclaré à ses dirigeants : «On a failli et on assume.»

«On ne peut pas jouer le titre»
Ayant promis aux supporters à l’intersaison de remporter le titre, le président Hannachi sait désormais qu’il lui est impossible d’atteindre cet objectif. Son équipe accuse 13 points sur le leader et il faudra un miracle pour qu’elle termine championne. C’est pour cela que le président Hannachi se montre réaliste en affirmant que la JSK ne peut pas jouer le titre. Si son équipe termine sur le podium, ce sera déjà une satisfaction.

«J’ai fauté en recrutant Fabbro»
Le président Hannachi regrette énormément sa décision de faire appel à Enrico Fabbro. Certes, il l’a présenté à l’intersaison comme le meilleur entraîneur qui a pris la JSK ces dernières années, mais il lui a suffi 11 journées de championnat pour se rendre compte qu’il a commis une faute monumentale en l’engageant au mois de juillet dernier. «J’ai fauté en recrutant Fabbro à l’intersaison», a avoué le président Hannachi à ses dirigeants. Acculé de toute part à la fin de l’exercice écoulé, le président Hannachi n’a pas hésité à recruter le coach italien après l’échec de ses négociations avec les deux entraîneurs français ciblés.

«L’équipe sera renforcée au mercato hivernal»
Bien qu’il n’ait pas cessé d’affirmer qu’il a recruté des joueurs de qualité à l’intersaison, le président Hannachi s’est rendu compte qu’il y a beaucoup de manque dans l’équipe. Il attend avec impatience l’ouverture du prochain mercato hivernal afin de renforcer son effectif avec des éléments susceptibles d’apporter un plus à l’équipe. En plus du renforcement de la ligne offensive, le milieu sera vraisemblablement renforcé.

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Hannachi rencontrera Karouf
Selon une source digne de foi, le président Hannachi tiendra une réunion de travail avec son entraîneur adjoint aujourd’hui. Il devait le rencontrer dans la journée d’hier, mais la rencontre a été ajournée pour ce lundi. Le président Hannachi devra lui renouveler sa confiance au cours de cette rencontre.

Hannachi mène son enquête
Selon une source proche de la direction, le président Hannachi a reçu dernièrement dans son bureau les trois personnes accusées par Enrico Fabbro de travailler pour leurs propres intérêts. Le président Hannachi préfère mener sa propre enquête que de prendre pour argent comptant les propos d’un entraîneur démis de ses fonctions après seulement 11 journées de championnat.

Compétition (26/11/2012)

Hannachi : «Je dois remédier en urgence à la situation actuelle»

Le président Moh-Chérif Hannachi se dit très déçu du parcours enregistré par son équipe en cette phase aller. Si d’habitude, il s’empressait de promettre monts et merveilles au public, cette fois, il a tempéré ses ardeurs en disant qu’il est interpellé par la mauvaise passe que traverse son équipe depuis l’entame de la saison. En effet, sur le site du club, le président Hannachi est revenu, hier, sur la énième défaite concédée par la JSK à Bordj Bou Arreridj. Tout en remerciant les dirigeants du CABBA pour le bon accueil réservé à la délégation kabyle, le président de la JSK reconnaît que la situation devient de plus en plus alarmante. «Je suis plus que déçu, je suis interpellé au premier degré par cette situation. Je dois y remédier en urgence», promet le premier responsable des Jaune et Vert.

«On doit faire un bilan critique et autocritique de chacun de nous»
En 12 rencontres, la JSK a concédé 7 défaites dont deux à domicile. Le bilan est plus que négatif et le président Hannachi le sait mieux que quiconque. En des termes à peine voilés, il reconnaît pour la première fois que le parcours enregistré jusqu’à maintenant est un fiasco. «La période du mercato est proche. Elle est propice à un bilan critique et autocritique de chacun de nous.»

Il est prêt à assumer son échec. Mais ce n’est pas uniquement lui qui va se remettre en cause puisque même ses proches collaborateurs doivent en assumer les conséquences.

«Je fonde beaucoup d’espoirs sur Sandjak»
La première mesure prise par le président Hannachi afin de tenter de remettre l’équipe sur de bons rails est de limoger Enrico Fabbro et de nommer à sa place le coach de Noisy-le-Sec, Nacer Sandjak, en l’occurrence. «La première mesure prise à l’approche du mercato est de faire revenir Nacer Sandjak chez lui à la JS Kabylie. Je fonde beaucoup d’espoirs sur lui. Cependant, il ne pourra jamais atteindre les objectifs escomptés. C’est pour cela que je lance un appel solennel à tous pour lui faciliter la tâche.»

«La fierté en cette phase aller est le retour des supporters»
Si le bilan de l’équipe est nul sur toute la ligne en cette phase aller, la seule satisfaction est le retour des supporters au stade. «Je tiens à souligner que parmi les motifs de fierté, sinon le seul à tirer de cette première phase du championnat, c’est le retour des supporters, de leur maturité et de leur sportivité. La JS Kabylie leur doit en contrepartie autant de joie qu’elle leur en a procurée par le passé. J’y veillerai personnellement, c’est plus qu’une promesse, c’est une dette envers eux.»

Compétition (26/11/2012)

rachid_as a écrit:Hannachi : «Si Sandjak ne parvient pas à trouver des solutions, c’est moi qui partirai»

Le Buteur (26/11/2012)

Alors Mr. Sandjak! Faites le partir!
Ca sera le grand service que vous rendrez a toute la kabylie!

Hannachi : “Je fonde beaucoup d'espoirs sur l'entraîneur Sendjak”

Le président de la JS Kabylie, Mohand Cherif Hannachi, a indiqué qu'il fondait “beaucoup d'espoirs” sur le nouvel entraîneur de son équipe, Nacer Sendjak, pour remédier à la situation critique que traverse son club depuis le début du championnat de Ligue 1. “Je fonde beaucoup d'espoirs sur Sendjak. Cependant, sans l'apport de chacun de nous, il ne pourra pas atteindre les objectifs escomptés”, a déclaré le premier responsable des Canaris sur le site officiel de son club. Hannachi a estimé, en outre, que Sendjak “sera chez lui à la JSK”, faisant allusion au passage de l'ancien sélectionneur national à la barre technique du club phare de la Kabylie en début des années 2000, ponctué d’un trophée en coupe de la Confédération africaine de football (CAF).

Un passage qui devrait permettre au désormais ex-entraîneur de Noisy-le-Sec (National, France) de gagner du temps en matière d'adaptation, en vue d'enclencher rapidement son plan de sauvetage.

Par ailleurs, le président kabyle assure être prêt à “assumer” ses responsabilités, après l'enchaînement des mauvais résultats du club au point de dévier complètement de l'objectif lui ayant été assigné avant le début de la compétition, à savoir jouer la carte du titre. “Je suis plus que déçu. Je suis interpellé au premier chef par cette situation. Je dois y remédier en urgence. Le mercato est proche, une aubaine pour faire notre autocritique”, a ajouté le doyen des présidents des clubs de la L1. “Contre le CABBA, c'est une énième contre-performance dans un match où nous étions très bien reçus. Je profite d'ailleurs de l'occasion pour remercier les dirigeants du CABBA pour leur hospitalité”, a encore commenté Hannachi, qui n'a pas omis en guise de conclusion de rendre hommage aux supporters de son équipe, revenus en force dans les tribunes cette saison. “Le seul motif de satisfaction durant cette première partie de la saison est sans conteste le retour des supporters au stade, tout en faisant preuve de maturité et de sportivité”, a-t-il conclu.

Liberté (27/11/2012)

C'est l'agonie chez les Echs!

Hannachi souffle le chaud et le froid :
«Je vais donner une autre dimension à la JSK avant de partir»



Le président de la JS Kabylie, Moh Cherif Hannachi, souffle le chaud et le froid en ces temps de crise que traverse son club.

Hannachi se contredit sur ses intentions de se retirer des affaires du club le plus titré d'Algérie, qui traverse des moments délicats ces dernières saisons. Le patron des Canaris a annoncé qu'il va jeter l'éponge si les résultats de son team ne s'améliorent pas (la crise des résultats persiste encore), avant de se rétracter en promettant une grande équipe au public kabyle pour la saison 2013-2014 qui coïncidera avec l'ouverture du nouveau stade de Tizi-Ouzou.

«La JSK, c'est ma famille et on n'abandonne jamais sa famille. Je vais donner une autre dimension à la JSK avant de partir. Je veux aussi laisser le club entre de bonnes mains. Dans une année et demie, notre nouveau stade sera prêt et on doit bâtir une grande équipe pour cette échéance. La JSK va dominer le championnat national en 2014», promet encore le président du club phare de la Kabylie sur le plateau de la nouvelle chaîne TV, El-Djazairia.

Hannachi réfute toute responsabilité sur le catastrophique parcours réalisé par son équipe durant la phase aller de cette saison 2012-2013 (7 défaites en 12 matches, du jamais vu). Il fait endosser la responsabilité de l'échec à l'entraîneur italien Enrico Fabbro, qui «n'a pu dégager une équipe type», et aux nouveaux attaquants qu'il a recrutés, qui sont «incapables de marquer des buts» (10 buts inscrits en 12 matches).

«On va se ressaisir face à l'ESS»
Hannachi fonde beaucoup d'espoirs sur l'ancien nouvel entraîneur du club, Nasser Sandjak, rappelé pour redresser la barre. «Sandjak a déjà une idée sur l'équipe et il va trouver rapidement des solutions», dira le boss kabyle, confiant avant le choc de samedi prochain face au champion d'Algérie sortant et leader actuel du championnat, l'ES Sétif.

«On va se ressaisir face à l'ESS. Il vaut mieux jouer avec une équipe du haut du tableau, qui ouvre le jeu, qu'avec un mal classé qui se contente de défendre», souligne le doyen des présidents de clubs, aux commandes de la JSK depuis 1993.

«Il reste toute une phase retour et notre équipe peut revenir en force. On va la renforcer cet hiver avec de nouveaux joueurs pour qu'elle puisse rebondir», a-t-il indiqué avant d'afficher clairement sa déception sur la prestation et le comportement de son défenseur international Saïd Belkalem lors du dernier match face au CABBA.

«Belkalem a bougé et ouvert le mur sur le coup franc qui a amené le but du CABBA. Il a quitté ensuite le terrain avant que l'arbitre ne brandisse le carton rouge à son encontre. Personne n'a compris son comportement. C'est un jeune joueur et il manque d'expérience. Sandjak va le recadrer», explique le patron de la JSK, content, par ailleurs, de sa réconciliation avec le président de la FAF, Mohamed Raouraoua.

Le Temps DZ (27/11/2012)