Articles de la presse nationale et internationale (Part 3)

Ils étaient présents hier matin à l’entraînement
Ouaked et Boukhari entament leur travail

Quelques heures seulement après avoir officialisé leur retour au club, Boukhari et Ouaked ont entamé leur travail. Hier matin, le coordinateur de l’équipe senior et le responsable administratif étaient présents au stade 1er-Novembre. Ils ont assisté à toute la séance d’entraînement d’hier. A l’issue de cette séance, Ouaked a glissé quelques mots aux joueurs avec lesquels il sera dorénavant en contact permanent. En raison de son expérience dans le domaine, il n’a pas voulu trop parler aux coéquipiers de Remache. Ces derniers ont été informés du retour de ces deux dirigeants et de leur rôle au sein du l’équipe. Pour Ouaked, l’objectif principal est de terminer la saison en force rien que pour améliorer le classement de l’équipe. Par ailleurs, le retour de Boukhari et Ouaked a été salué par tout le monde, surtout que ces derniers temps, de petits dirigeants ont terni l’image du club avec les scandales. Avec le retour de Boukhari et Ouaked, l’équipe senior sera entre de très bonnes mains.

Maintenant, les supporters attendent le retour de Doudane et Medane
Par ailleurs, les supporters kabyles, qui ont vivement salué le retour de Boukhari et Ouaked souhaitent le retour de Doudane et Medane. Comme Boukhari et Ouaked, les deux anciens joueurs de la JSK ont marqué les fans par leur sérieux et leur compétence en tant que dirigeants. Pour les supporters kabyles, les compétences ne manquent pas à Tizi Ouzou et des enfants du club ou d’anciens joueurs comme Medane et Doudane pourront rendre d’énormes services, alors que d’autres personnes, qui sont en train de roder auteur du club, n’ont rien à voir avec le football.

Doudane : «Personne ne m’a parlé de mon retour au club»
Ces derniers temps, il ne se passe pas un jour où on n’annonce pas le retour de Karim Doudane à la JSK. Hier après-midi, on a pris attache avec l’ancien président de section des Canaris pour avoir son avis. «Non, pour le moment, aucune personne à la JSK ne m’a appelé ou ne m’a contacté. Il n’y a rien de concret, moi aussi j’ai lu tout ça dans certains titres de presse», nous dira l’ancien milieu de terrain des Jaune et Vert.

«Je ne dirais pas non s’il y a un bon projet»
Sur sa position dans le cas où les hauts responsables du club le solliciteraient pour un retour, Doudane explique : «Pour le moment, je ne peux rien dire sur ce sujet tant qu’il n’y a rien. Maintenant, s’il y a un bon projet, pourquoi pas». Doudane est donc prêt à revenir à son club de toujours en cas de bon projet sportif. La balle est désormais dans le camp des responsables du club.

Compétition (14/04/2013)

Le podium est-il encore possible ?

A 7 journées du baisser de rideau, la JSK accuse 8 points de retard sur le MCA qui occupe la troisième place. Mathématiquement, les chances des Canaris de finir la saison sur le podium sont intactes, mais leur destin n’est plus entre leurs mains. Non seulement ils doivent faire un sans-faute lors des journées à venir, mais ils doivent espérer des contre-performances des autres équipes qui ambitionnent de terminer le championnat sur le podium. Même s’ils affichent une forme éblouissante en cette fin de saison, il ne leur sera pas facile de surmonter un écart de 8 points en 7 rencontres, d’autant qu’ils affronteront le Mouloudia d’Alger chez lui lors de la 25e journée. L’entraîneur Sandjak a fait un travail titanesque en cette phase retour, mais si son équipe termine à la 5e place, c’est une saison ratée pour la direction kabyle. Le président Hannachi a déboursé plus de 20 milliards uniquement dans l’opération recrutement afin de jouer le titre et si la JSK n’assure même pas une qualification à une compétition continentale, ce sera un échec pour lui. Les sponsors fuient l’un après l’autre le club et au train où vont les choses, il aura du mal à payer ses joueurs à la fin de l’exercice. Ainsi, afin de tenter d’attirer de nouveau les sponsors, la JSK doit renouer avec les titres au moins au niveau national. A 20 points du leader, l’équipe n’a aucune chance pour le titre. Même pour la deuxième place, les carottes sont déjà cuites. Il ne lui reste donc que d’aspirer à la troisième place, mais même dans ce cas-là, ça relève d’un miracle pour les poulains de Sandjak. Tout ce qu’ils peuvent faire est d’améliorer encore leur classement mais, il faut reconnaître, qu’une équipe comme la JSK n’est pas faite pour jouer les seconds rôles. Au vu du budget alloué au recrutement à l’intersaison, la JSK devrait être parmi les trois premiers au classement général. Les dirigeants doivent faire leur bilan à la fin de la saison, car c’est anormal qu’une équipe comme la JSK se contente de seconds rôles. Les deux prochains matches seront décisifs et si les équipiers de Rial ratent l’un d’eux, ils n’auront comme objectif que de terminer la saison à une place honorable.

Compétition (14/04/2013)

JSK : Hannachi sollicite Eurocasa

Le week-end passé, le président de la JSK a quitté le pays pour une destination qui a créée la confusion. Tout le monde parlait d’un voyage de Hannachi à Paris.

Comme ce dernier a multiplié les va-et-vient ces derniers temps entre Paris et Alger pour des raisons de santé, tout le monde croyait qu’il a fait un autre voyage en France pour effectuer un contrôle médical. Mais personne n’a donné les dates exactes de départ et de retour du président kabyle. Mieux encore, tout ce beau monde a été pris à contrepied par le président de la JSK, puisque ce dernier ne s’est pas rendu à Paris, mais bien à Madrid. Le séjour de Hannachi en Espagne n’a duré que quatre jours. Son voyage n’avait donc aucune relation avec son état de santé ni avec les vacances, puisque trois jours seulement après son départ, il était de retour au pays. Selon ses proches, Hannachi s’est rendu en Espagne pour rencontrer des gens qui pourraient aider le club sur le plan financier. Certes, ces derniers temps, les responsables de la JSK déclarent haut et fort que les caisses du club ne sont pas vides et que la situation financière est très confortable. Or la réalité est tout autre, puisqu’une crise financière secoue la JSK ces derniers temps, et les preuves sont à la pelle. Sandjak attend son argent, quelques joueurs attendent leurs salaires…

On parle d’une rencontre avec les responsables d’Eurocasa
Hannachi, qui a multiplié après son retour au pays les navettes entre Alger et Tizi, a réussi certes à débloquer la situation financière, puisque les joueurs qui attendaient leurs salaires depuis cinq mois ont touché quelques mensualités. Toutefois, la situation n’a pas été réglée définitivement, sachant que la crise s’était aggravée, surtout après le retrait de l’un des sponsors majeurs du club, Echourouk en l’occurrence. D’ailleurs, selon la même source, Hannachi est parti en Espagne pour essayer de trouver des bailleurs de fonds. On parle même d’une rencontre avec les responsables d’Eurocasa. Oscar, le patron de cette boîte, a aidé la JSK par le passé, et les responsables du club kabyle souhaitent un autre geste de l’Espagnol, surtout en cette période de grave crise. Mais la tâche n’est pas si facile que çà, surtout quand on sait que les entreprises espagnoles sont au bord du gouffre, financièrement parlant. La grave crise financière qui ébranle toutes les économies de la zone euro n’est pas faite pour arranger les choses, trouver de l’argent en Espagne, par les temps qui courent, relève du miracle, ni plus ni moins.

Compétition (15/04/2013)

Pour gérer la trêve qu’observera le championnat après le match du CSC
Sandjak songe à un mini-stage à Alger

La formation du Djurdjura, qui jouera mardi prochain un match de championnat devant le CSC, sera forcée au repos par la suite pour plusieurs jours. En plus des rencontres de la coupe d’Algérie où la JSK n’est pas concernée, il y aura la rencontre de l’EN devant le Bénin. Bref, Sandjak sera appelé de gérer une longue trêve. L’entraîneur des Jaune et Vert qui veut terminer le championnat en force et décrocher une place sur le podium ne veut rien laisser au hasard. D’ailleurs, Sandjak songe à un mini-stage à Alger. Le staff technique des Canaris mise d’abord sur une victoire mardi prochain devant le CSC. Un succès permettra aux Canaris d’enchaîner un septième match sans défaite, et dans ce cas, les chances de terminer sur le podium redeviennent bonnes. Pour cette raison, l’ancien sélectionneur national veut programmer un bon stage de préparation durant cette trêve.

Il veut d’abord avoir le OK de la direction avant d’arrêter son programme
Sandjak ne veut pas arrêter son programme de préparation avant d’avoir le OK de la direction concernant ce mini-stage, surtout que ces derniers temps, toutes les demandes de l’entraîneur en chef de l’équipe première ont été rejetées par la direction du club. Toutefois, ces derniers jours, les choses sont rentrées dans l’ordre, et les responsables kabyles ont déclaré la paix avec leur entraîneur. Bref, Sandjak attend le feu vert de ses responsables pour programmer un mini-stage durant la trêve et d’arrêter son programme de préparation.

Compétition (15/04/2013)

La tenue arborée face au CRB est truquée
La grande arnaque !!!

Décidément, à la JSK, du moins ce qu’il en reste, les « dirigeants » ou les « membres du conseil d’administration » actuels, ou on ne sait comment les appeler encore, cumulent scandale sur un autre (dit en kabyle, ça donnerait scandale à son frère…).

Jadis porte-flambeau de toute la Kabylie, elle est désormais réduite à un logo, un sigle volatil qu’on instrumentalise à tout va... Sinon, comment pourrait-on faire passer la grosse couleuvre du prétendu « équipementier, présenté comme représentant de Adidas, avec lequel on a soit disant conclu un accord pour habiller l’équipe ?». Surtout après le scandale de « la nouvelle tenue » arborée par l’équipe lors du dernier match de championnat face au CRB. Ce jour-là, tout le monde aura remarqué que le sigle du club, d’habitude lisible sur le côté gauche du maillot (côté cœur) s’était retrouvé au milieu, et que l’insigne de City Sport avait pris sa place. Certains avaient alors pensé qu’on avait concédé cet espace, d’habitude sacré et exclusivement réservé au sigle du club, pour faire plaisir à cet « équipementier », visiblement très ami. Sauf que ce n’est pas tout à fait ça. L’histoire est encore plus dramatique. A vrai dire, l’affaire du soi-disant « équipementier représentant d’Adidas avec lequel la JSK avait signé, avec grand bruit, lors d’une très médiatisée cérémonie », s’est révélée une grosse arnaque. Le magasin City Sport à Alger, celui pour qui « la direction » de l’équipe a tout fait pour jouer avec son logo lors du match de coupe télévisé et, du coup, lui filer un bon coup de pub, quitte à présenter une équipe burlesque sur le terrain avec des maillots Adidas et des short Altéa, s’est avéré encore une fois inapte à livrer à la JSK une tenue Adidas digne de ce nom. En fait, « la tenue » avec laquelle la JSK avait joué ce jour-là « n’est pas une tenue destinée aux matchs officiels. C’est juste une tenue de parade, d’entraînements, dédiée à la Ligue des champions d’Europe. Des maillots et shorts estampillés avec le logo de la Champions League pour faire de la promotion autour de l’évènement (A entendre par là, la ligue des champions d’Europe, bien sûr. Rien à voir avec la ligue des champions d’Afrique, encore moins avec la Ligue I algérienne) ». Pour voir ladite tenue de parade mise en exergue sur le web, il suffit d’ailleurs de cliquer sur Google image, sur le lien « adidas predator ucl training jersey ». Vous aurez le maillot et le short avec lesquels la JSK a joué face au CRB dans leur forme originale. Avant que l’on colle du « City Sport » sur l’espace où était écrit « UEFA Champions League ». En fait, si le sigle du club a été décalé au centre, c’est parce qu’il n’allait pas cacher toute l’écriture « UEFA Champions League » qui, plus large, allait déborder sur les côtés. Le logo de City Sport, de forme ovale, a été vu, par les auteurs de la mascarade, sans doute plus approprié pour cacher l’écrit et, du coup, être mis en valeur on ne peut mieux pour la réclame. L’arnaque a été bien maquillée, puisqu’on l’a fait et sur le maillot et sur le short. Mais voilà qu’il y’a…M. Google qui a tout démasqué. Un prétendu équipementier, visiblement pas tout à fait net, et puis de petits « dirigeants » qui, au mieux, se sont fait avoir, au pire ont été complices d’un autre coup de massacre au prestige de la JSK.

DDK (16/04/2013)

JSK : Maïza et Belakhdar ne rentrent plus dans les choix de Sandjak

C’est un scénario attendu, diraient certains, mais jusqu’à preuve du contraire, l’entraîneur en chef Nasser Sandjak semble ne pas vouloir oublier Belakhdar et Maïza après le clash qui a précédé la rencontre face à l’USMA. Après que l’affaire fut définitivement classée du côté de la direction, du moment que les deux joueurs ont repris les entraînements, il semblerait que le coach kabyle n’en a toujours pas fini avec eux. Pour preuve, une source très proche du premier responsable du staff technique nous a confié que Maïza et Belakhdar ne feront pratiquement plus partie des choix tactiques de l’entraîneur. C’est la décision prise par Sandjak, qui aurait souhaité les exclure définitivement du groupe. Il aurait même déclaré à un de ses proches que tant qu’il est en poste, ils ne joueront plus la moindre minute. D’ailleurs, Maïza et Belakhdar ont senti cela, puisque depuis qu’ils ont repris, ils sont quasiment mis à l’écart.

Le coach n’a pas apprécié le forcing de la direction
A vrai dire, ce que reproche Sandjak à ses dirigeants c’est de ne pas l’avoir soutenu dans cette affaire, puisque Hannachi a fait le forcing pour les réintégrer au sein du groupe. Maintenant que c’est fait, Sandjak veut marquer son territoire en les écartant. Sur ce volet, Sandjak sait que personne au sein de la direction ne pourra lui reprocher quoi que ce soit du moment qu’il est le seul décideur lorsqu’il s’agit du onze rentrant. Tant que personne ne s’immisce dans son travail, il reste le seul décideur.

La concurrence comme seule excuse
Bien évidemment, la veille d’un match de championnat, Sandjak ne s’exprimera pas sur cette affaire, histoire de ne pas relancer la polémique. Mais pour justifier cette mise à l’écart, Sandjak trouvera comme argument valable la concurrence au niveau des postes de jeu, notamment dans l’axe central pour le cas Maïza. De leur côté, les deux joueurs ne veulent plus évoquer le sujet. A sept matchs de la fin du championnat, ils termineront la saison ainsi, quitte à ne plus rejouer.

Le Buteur (16/04/2013)

JSK : Elle croule sous les dettes

La situation financière du club kabyle ne prête pas à l’optimisme. Malgré les déclarations rassurantes du président Hannachi dans lesquelles il ressasse à chaque fois que son club se porte à merveille financièrement, la réalité prouve le contraire.

La crise qui secoue actuellement la JSK n’est qu’une conséquence logique d’une gestion approximative prônée par la direction depuis plusieurs années. Le retrait des deux principaux sponsors du club n’a fait qu’envenimer la situation surtout que les bienfaiteurs habituels ne veulent plus mettre la main à la poche. L’un d’eux a aidé le président Hannachi à faire ses emplettes estivales et hivernales, mais pour éviter de provoquer sa propre banqueroute, il a décidé de ne plus débloquer aucune somme pour la direction actuelle. Ce bienfaiteur qui est actionnaire en même temps dans la SSPA/JSK a confié à ses amis qu’il n’en peut plus. «A chaque fois qu’ils ont besoin de quelque chose, ils s’adressent à moi», s’est-il plaint auprès d’eux. Jamais le président Hannachi n’a été confronté à une situation comme celle de cette saison. Par le passé, il trouvait toujours des gens qui lui venaient en aide. Mais cette fois, la situation est beaucoup plus compliquée, au point où il n’a même pas pu payer les deux membres du staff médical qu’il a limogés dernièrement. Le comble est que le salaire de chacun d’eux ne dépassait pas les 10 000 DA. C’est vraiment anormal pour un club comme la JSK de ne pouvoir assurer un salaire de 10 000 DA. La direction ne sait plus quoi faire en cette fin de saison. Elle attend le renflouement des caisses du club par l’argent des autres sponsors pour régulariser la situation financière des joueurs, des membres du staff technique, du staff médical et des autres employés du club.

Plus de 6 milliards, les salaires des joueurs
Bien que le président Hannachi ait déclaré en marge de la tenue de l’AG élective de la FAF qu’il est à jour avec ses joueurs, on a appris d’une source digne de foi que la direction du club doit plusieurs mensualités à la plupart d’entre eux. Certes, le président Hannachi a procédé, il y a quelques semaines de cela, à la régularisation partielle de la situation financière de ses joueurs, mais faute d’argent, il ne leur a accordé que quelques mensualités. D’ailleurs, certains cadres que nous avons sollicités pour voir s’ils ont touché ou pas la totalité de leur argent nous ont confié que la direction doit à certains d’entre eux 4 mensualités et à d’autres plus. Confronté à une grave crise financière, le président Hannachi ne sait plus à quel saint se vouer. Après son retour de Paris où il a été hospitalisé pendant plusieurs jours, le président de la JSK a accordé quelques mensualités à ses joueurs pour éviter la crise. Il y a ceux qui ont perçu 4 salaires et d’autres plus. Mais ce qui est certain est que tous les employés du club n’ont pas été payés depuis le mois de février dernier. Et comme la masse salariale dépasse largement 2 milliards de centimes, il faudra plus de 6 milliards au président Hannachi pour assurer les salaires de ses joueurs. Un joueur qui s’est exprimé sous couvert de l’anonymat nous a révélé qu’il a tenté à plusieurs reprises de réclamer son argent, mais les dirigeants lui rétorquaient à chaque fois que les caisses du club sont vides et qu’il doit patienter jusqu’à ce que la situation financière du club s’améliore. Le salaire moyen d’un joueur à la JSK est de 100 millions de centimes. Il est aisé donc de faire les calculs lorsqu’on sait qu’en plus des salaires du mois de fevrier, la direction doit jusqu’à 4 mensualités à certains cadres de l’équipe.

Près d’un milliards pour le staff technique
En plus des salaires des joueurs impayés jusqu’à maintenant, le président Hannachi devra vite trouver l’argent nécessaire pour payer ses entraîneurs. A titre illustratif, le salaire de l’entraîneur en chef, Nacer Sandjak, est de 220 millions de centimes. Et comme il est stipulé dans son contrat que la direction du club doit lui payer les trois derniers mois de son contrat avant la fin du mois de mars, Hannachi fait des mains et des pieds pour rassembler la somme nécessaire. En tout, il lui doit 660 millions de centimes et si ajoute les mensualités de ses assistants, à savoir Amrouche et Souibès, il faudra près d’un milliard de centimes à Hannachi pour payer uniquement les mensualités de Sandjak et des autres membres du staff technique. Ce ne sera pas facile pour lui de faire face à toutes les dépenses du club.

Les primes de matches s’élèvent uniquement à un milliard de centimes
Même si le président Hannachi affirme qu’il est à jour avec ses joueurs, la réalité est tout autre. Selon une source autorisée, la direction du club doit 9 primes de matches aux joueurs. Depuis le début du mois de novembre 2012, ils n’ont perçu, en effet, aucune prime. Quatre mois après leur victoire arrachée haut la main à Constantine face au CSC, les coéquipiers de Benlamri attendent toujours leur prime qui est de l’ordre de 10 millions de centimes. Le barème des primes arrêté par la direction est de 10 millions de centimes pour une victoire en déplacement, 5 millions de centimes pour une victoire à domicile et 5 millions pour un nul à l’extérieur. Toutefois, il est arrivé à la direction de doubler la prime à domicile, comme ce fut le cas face à l’USMA. En plus de la prime face au CSC qui est de 10 millions de centimes, la direction avait promis aux joueurs deux autres primes de 10 millions de centimes chacune suite à leurs victoires face respectivement au MCEE à El-Eulma et à l’USMA à Tizi Ouzou. Pour ce qui est des victoires acquises à domicile devant le CAB, la JS Saoura et l’ASO, la prime est de 5 millions de centimes pour chaque rencontre. Enfin, pour les nuls enregistrés en déplacement face au MCO, la JSMB et le CRB lors de la journée précédente, la prime est de 5 millions de centimes pour chaque nul. En tout, la direction doit 55 millions de centimes pour les joueurs titulaires et pour ce qui ont fait leur entrée en cours de jeu lors des rencontres citées en haut. Et pour les remplaçants, c’est-à-dire ceux qui n’ont joué aucune minute de jeu, ils n’ont droit qu’à la moitié de la prime. Sur les 55 millions de centimes, ils n’auront droit qu’à 27 millions de centimes. Et si on fait l’addition entre les titulaires et les remplaçants, la direction doit (les primes seulement) près de 900 millions de centimes aux joueurs. Et pour l’entraîneur Nacer Sandjak, il n’est pas concerné par la prime du CSC, puisqu’à l’époque, c’était Fabbro qui était à la barre technique de la JSK. Mais lui a droit à une double prime, comme c’est le cas de tous les entraîneurs. Ainsi, au lieu de 45 millions de centimes représentant les primes de matches face au MCEE, CAB, JS Saoura, MCO, ASO, JSMB, USMA et CRB, il percevra 90 millions de centimes. On ne doit pas aussi omettre de signaler ses assistants, à savoir Rezki Amrouche et Hamid Souibès, qui attendent eux aussi de toucher leurs primes.

Compétition (16/04/2013)

Les supporters réclament des explications sur la tenue de l’équipe

Depuis la signature du contrat avec City Sport, il ne se passe pratiquement pas un match sans que les supporters relèvent des anomalies dans la tenue de leur équipe. Après le scandale de la coupe d’Algérie où la JSK a évolué face au Mouloudia d’Alger avec deux équipementiers différents, à savoir des maillots City Sport et des shorts Altea, les amoureux des Canaris se sont interrogés à l’issue de la rencontre face au CRB sur les dessous de l’accord conclu entre la direction de la JSK et City Sport. En effet, les fans pensent que les maillots avec lesquels joue la JSK sont destinés aux officiels de l’UEFA. Ils ajoutent même que des maillots pareils sont disponibles sur internet à un prix très bas qui ne dépasse pas les 13 euros. Pour eux, un maillot Adidas du Milan AC ou Real Madrid par exemple ne coûte pas moins de 80 euros. Les supporters, qui ont pris attache avec notre direction pour exiger des explications de la part de la direction qui ne cesse d’affirmer qu’elle a signé un contrat avec Adidas, se disent stupéfaits de découvrir que la tenue avec laquelle joue leur équipe favorite ne soit pas destinée pour leur équipe puisqu’ils remarquent que sur le côté gauche le logo de Ligue des Champions a été caché par celui de City Sport. Toutefois, le ballon à étoiles est toujours visible. Ils regrettent que la JSK soit tombée aussi bas pour qu’elle joue avec des tenues pareilles. Ils ne comprennent qu’un grand club comme la JSK se retrouve à jouer avec des maillots soldés et qui ne sont même pas destinés pour des matches officiels. Les supporters souhaitent que la JSK retrouve ses couleurs habituelles, à savoir le jaune et le vert. Le contrat avec City Sport a fait couler beaucoup d’encre et de salive, mais au lieu que la direction fournisse des explications aux supporters, elle continue à justifier l’injustifiable. Les amoureux des Canaris ne tiennent pas City Sport responsable de cette situation, mais ils en veulent à ceux qui ont signé ce contrat avec cette boîte. Les supporters ont le droit de connaître la vérité, car sans eux la JSK est une équipe quelconque.

Compétition (16/04/2013)

Boukhari et Ouaked sont de retour
Yarichène quittera-t-il la section football ?

Yazid Yarichène, le jeune président de section football, sera appelé dans les prochains jours à quitter son poste ou de prendre un autre poste dans la SSPA/JSK. Désigné l'été dernier par le président Hannachi comme premier responsable de la section football, Yarichène a apporté, certes, un plus sur le plan financier, et cela personne ne pourra le nier. Hannachi a trouvé Yarichène dans les moments difficiles, surtout lors du mercato estival et la préparation d'inter-saison. Pour le récompenser, le numéro un des Jaune et Vert a placé le jeune Yarichène comme président de section. Toutefois, avec ses occupations professionnelles et son éloignement de la ville de Tizi Ouzou, puisqu’il réside à Alger, le président de section de la JSK ne pouvait pas être tout le temps proche des joueurs et près de l'équipe, cela sans oublier le manque d'expérience dans le domaine. Pour cette raison d'ailleurs, le premier responsable du club phare de la Kabylie a fait appel à deux anciens dirigeants qui ont travaillé pendant des années à la JSK et qui ont participé aux sacres du club kabyle. Ouaked et Boukhari ont accepté de revenir aux affaires du club. Pourtant, ils ont quitté la JSK dans l'ingratitude. Mais les deux dirigeants ont posé leurs conditions au président Hannachi qui a tout accepté. D'ailleurs, Ouaked a été nommé coordinateur de l'équipe seniors et Boukhari responsable administratif de l'équipe première. Autrement dit, les deux dirigeants seront les seuls responsables de l'équipe première. Que fera donc Yarichène ? Lorsqu’on dit section football à la JSK, ce sont les seniors, puisque ce n'est pas Yarichène qui va s'occuper des minimes ou des cadets. Bref, soit Yarichène sera poussé vers la sortie, soit il sera appelé à prendre un autre poste, surtout que sur le plan financier, il a aidé le club et Hannachi ne sera pas prêt à le lâcher, surtout en cette période de vaches maigres et de crise.

Compétition (16/04/2013)

JSK : Eurocasa, encore de l’intox

En raison de la crise financière qui frappe de plein fouet le club, les dirigeants n’ont pas trouvé mieux que de ressortir, à nouveau, la carte Eurocasa.

Ce n’est pas la première fois qu’ils évoquent la venue de cette société espagnole, mais sans que cela se concrétise. Le plus drôle est qu’à chaque fois que la JSK est confrontée à des difficultés financières, les responsables parlent tantôt des Qataris, tantôt des Espagnols. Le président Hannachi avait annoncé au mois de février dernier qu’avec l’arrivée d’Eurocasa, la JSK sera à l’abri de tout besoin. Une année plus tard, il n’y a ni les Espagnols ni les Qataris. Le club s’enfonce dans la crise sans que cela n’inquiète la direction actuelle. Mais pour faire croire aux gens qu’ils maîtrisent la situation, les responsables ont cru bon de ressortir la carte Eurocasa. Ils ont profité du déplacement du président Hannachi en Espagne, pour des raisons personnelles, afin d’exploiter son voyage en annonçant qu’il était parti pour négocier avec les responsables d’Eurocasa. Mais ce qu’ils ignorent est que cette société ne dispose pas de moyens lui permettant ni de sponsoriser la JSK et encore moins de reprendre un club de son envergure.

Son projet à Tamda accuse un énorme retard
Pour ceux qui ne le savent pas, Eurocasa a été chargée de réaliser 10 000 places pédagogiques à Tamda, mais cette société, que certains dirigeants de la JSK présentaient comme un symbole de réussite, a été mise devant ses responsabilités par le wali de Tizi Ouzou, Abdelkader Bouazghi, lors de sa réunion avec les gérants des entreprises chargées de la réalisation des projets concernant le secteur de l’enseignement supérieur, tenue mercredi dernier au siège de la wilaya. «Deux ans après, et vous n’êtes toujours pas fixés sur l’architecture ! J’avoue que j’ai peur pour ce projet», leur a-t-il dit, avant d’ajouter : «J’espère ne pas être déçu dans un mois. Vous vous êtes engagés à faire avancer les travaux d’ici là, et je veux voir ça à la prochaine réunion. Car je ne crois plus aux paroles, je veux du concret», a rapporté le journal La Dépêche de Kabylie dans son édition de jeudi dernier.

Les frais du stage effectué à Barcelone en janvier 2012 ont été assurés par la JSK
Depuis octobre 2011, les dirigeants de la JSK ne cessent d’évoquer la signature du contrat de partenariat avec Eurocasa. Mais près de deux après, rien n’a été conclu. De la construction d’un centre commercial pour le club, la direction kabyle a sauté à un contrat de sponsoring, puis de partenariat, or, ce n’était que des promesses sans lendemain. Mais ceux qui suivent de près l’actualité de la JSK ont vite compris que la carte Eurocasa ne tient pas la route. Leur sentiment s’est renforcé lors du déplacement de l’équipe à Barcelone en janvier 2012 où elle a effectué sa préparation hivernale. En apprenant que c’est le président Hannachi qui avait réglé la totalité des frais du stage qui s’élevaient à près de 500 millions de centimes, les supporters commençaient à douter des capacités d’Eurocasa à sponsoriser ou à investir à la JSK. Pour eux, il ne faut pas s’attendre à grand-chose d’une entreprise qui ne peut assurer un stage de moins d’une dizaine de jours à une équipe. Malheureusement, les dirigeants kabyles parlent encore de la venue de cette entreprise.

Compétition (17/04/2013)

JSK : Sandjak prolonge la sanction de Maïza et Belakhdar

Hier, à l’issue de la séance d’entraînement des Jaune et Vert, le premier responsable de la barre technique a communiqué la liste des joueurs qui seront concernés par la rencontre de demain devant le CSC.

Maïza et Belakhdar n’ont pas été retenus pour cette rencontre, une surprise pour plus d’un au club. Certes, Sandjak pourra dire que ces deux joueurs n’ont pas leurs places dans l’équipe type, mais il ne pourra jamais dire qu’ils ne sont pas de bonnes doublures. Bref, la non-convocation de ces deux éléments est une sanction qui cache son mot et l’ancien entraîneur des Canaris vient par cette décision d’engager une nouvelle fois un bras de fer avec ses responsables. En effet, après les écarts disciplinaires de Maïza et Belakhdar, les dirigeants de la JSK ont pris la décision d’infliger un match de suspension pour les deux joueurs et de les sanctionner financièrement. Les deux éléments concernés par cette histoire ont repris par la suite les entraînements et ils n’étaient pas concernés par la rencontre de leur équipe devant le CRB. Cependant, après cette rencontre, Maïza et Belakhdar ont purgé la sanction de la direction. De son côté, Sandjak a voulu faire un geste pour démontrer qu’il est autoritaire en écartant ces deux éléments de la liste des 18 devant le CSC.

Même avec l’absence de Khelili et Mekkaoui, Maïza n’a pas été convoqué
La formation du Djurdjura jouera demain après-midi le CSC sans aucun défenseur sur le banc. Khelili continue de manger son pain noir avec Sandjak et Mekkaoui n’a pas été retenu pour cause de blessure. Toutefois, Sandjak a préféré ne pas retenir Maïza, et dans le cas où Belkalem, Rial ou même Benlamri se blessent demain, il n’y aura pas de défenseurs qui pourront meubler le vide.

Maroci est bel et bien out pour le match de demain
Comme nous l’avions rapporté dans l’une de nos précédentes éditions, Tayeb Maroci n’est pas prêt pour le match de demain et le staff technique des Canaris ne l’a pas retenu pour le match du CSC. Il était impossible pour l’enfant de Maghnia d’être prêt pour ce rendez-vous, lui qui ne s’est pas entraîné depuis plusieurs jours, et ce n’était pas deux séances d’entraînement qui auraient permis à Maroci de récupérer tous ses moyens physiques et techniques. Le joueur ne sera donc pas concerné par le match de son équipe demain après-midi devant le CSC.

Belakhdar, Maïza, Mekaoui et Khelili dans la liste noire de Sandjak
Si l’entraîneur Nacer Sandjak reste à la barre technique de la JSK la saison prochaine, certains joueurs dont Belakhdar, Maïza, Mekaoui et Khelili ne seront pas retenus dans l’effectif des Canaris. Toutefois, l’éventualité de voir Sandjak maintenu à son poste à la fin de l’exercice actuel est peu probable. Et pour cause, la direction n’attend que la fin du championnat pour le remercier. Lui-même, le sait. Mais pour pouvoir mener l’équipe à bon port, l’ex-sélectionneur des Verts ne pense qu’au présent. Il est imperturbable et ne se soucie plus de l’attitude de sa direction. Il ne se laisse pas faire, malgré toutes les pressions auxquelles il fait face depuis le début de la phase retour. Il confirme d’un match à l’autre dans la gestion de son équipe que c’est lui le maître à bord. Les joueurs, qui l’ont déçu pour une raison ou une autre, l’ont vérifié à leurs dépens.

Mekaoui et Khelili écartés du onze depuis le match face au WAT
Le défenseur Sofiane Khelili n’a pas su exploiter la chance qui lui a été offerte par son entraîneur lors de la rencontre face au WAT. En l’absence de Rial et Belkalem qui étaient en Afrique du Sud avec l’équipe nationale, le coach de la JSK avait titularisé Khelili face au WAT, mais son rendement ne l’a pas convaincu. Depuis ce jour là, l’ancien pensionnaire du NAHD ne figure plus dans la liste des 18. Sandjak lui avait conseillé de perdre plusieurs kilos avant de prétendre à une place dans la liste des 18. Pour ce qui est de Mekaoui, sa dernière titularisation remonte face au WAT. Il avait joué 56 minutes avant de céder sa place à Bouchouk. Sandjak l’avait réprimandé à la fin de la première mi-temps en le tenant comme l’un des responsables des deux buts encaissés. Constatant que son arrière gauche avait le moral ailleurs, Sandjak avait procédé à son changement au début de la deuxième mi-temps. Lui aussi n’a pas rejoué depuis ce match. Il vit mal son statut de remplaçant, ce qui le pousse de temps à autre à sécher les entraînements à chaque fois qu’il le désire.

Le match de l’USMA, la goutte qui a fait déborder le vase
La mise à l’écart de Belakhdar et Maïza a été envisagée par l’entraîneur des Canaris bien avant la rencontre face à l’USMA. Le premier pour son manque de motivation aux entraînements. Le second en raison du retour de Rial et Belkalem de l’Afrique du Sud. Mais pour préserver la sérénité de son groupe, Sandjak faisait de son mieux pour responsabiliser ses joueurs. D’après une source digne de foi, l’entraîneur kabyle s’attendait à ce que l’ancien pensionnaire du MCEE, un jour ou l’autre, pète les plombs. Certaines personnes avaient réussi à lui faire croire que Sandjak était contre lui, et qu’il ne devait pas se laisser faire. C’est ainsi qu’il a fini par perdre sans sang-froid lors de la rencontre face à l’USMA. Mais sa non-incorporation n’a été que la goutte qui a fait déborder le vase. Il n’a fait qu’aggraver son cas, car Sandjak ne veut toujours pas lui pardonner. Il est dans sa liste noire, et il risque de ne plus rejouer pour le reste de la saison. Enfin, pour Maïza, les choses pourraient changer pour lui à l’avenir, si l’un des défenseurs centraux, à savoir Rial et Belkalem, déclarait forfait. Son cas n’est pas aussi grave que les autres.

Compétition (18/04/2013)

Deux matchs amicaux face à l’ORBA et la JS Azzazga en vue

Les Canaris du Djurdjura qui ont joué, hier après-midi, pour le compte de la 24e journée de championnat de Ligue 1, face au CSC, sont, une nouvelle fois, forcément conviés à partir en vacances pour deux semaines. Une trêve qui n’arrange pas les affaires du staff technique, notamment Sandjak, lequel ne souhaite pas voir cette belle dynamique enclenchée depuis plusieurs journées freinée. Au cours de cette période, le staff technique devra trouver les bonnes formules pour maintenir ses joueurs sur le rythme de la compétition et préparer les prochaines sorties qui s’annoncent d’ores et déjà ardues. Le premier responsable à la barre technique, Nasser Sandjak, qui devait en principe accorder à ses joueurs quatre jours de repos, a, selon nos informations, tracé un plan de travail et préparé son programme afin de poursuivre son petit bonhomme de chemin, lui qui a décidé de terminer l’exercice en force.

Deux matches amicaux face à l’ORBA et la JS Azazga en vue
Afin de combler le vide de plusieurs jours, le premier responsable technique kabyle songe sérieusement à la programmation de deux matches amicaux au minimum durant cette période. En plus des séances d’entraînement prévues après les quelques jours de repos accordés aux joueurs, Sandjak souhaite disputer deux matches amicaux au minimum, afin de garder ses joueurs intacts pour la suite de la compétition et, du coup, faire tourner son effectif et donner du temps de jeu aux éléments les moins utilisés. A ce propos, l’on a appris que la JSK songe à livrer deux matches, face à la formation de l’ORB Akbou et la JS Azazga. Selon nos informations, la première rencontre, qui pourrait avoir lieu le 25 mars prochain, s’inscrit dans le cadre d’un hommage que la région d’Akbou s’apprête à rendre à l’un de ses enfants, une figure emblématique du football national, l’ex-international algérien, Saïd Hamimi. On a appris que les organisateurs de cette manifestation ont officiellement sollicité la JSK pour se rendre à Akbou, où le club kabyle est très respecté, pour livrer une joute amicale. Une occasion pour Sandjak de retrouver les siens et de s’incliner à la mémoire d’un ami proche, Hamimi, qui a été, faut-il le rappeler, son adjoint à la barre technique de la sélection algérienne, en l’an 2000. La deuxième sortie en amical des Kabyles devrait, en principe, avoir lieu face à la JS Azazga, quatre jours après, le 29 mars prochain mais l’endroit de la rencontre n’est pas encore défini.

Préparer le déplacement contre le MCA
Au cours de ces deux prochaines semaines, la JSK se fixe un objectif bien précis, celui de préparer le Clasico face au MCA. Cette rencontre, qui s’annonce d’ores et déjà palpitante, drainera assurément la grande foule, et le résultat final sera déterminant pour la JSK, qui veut désormais terminer la saison sur le podium. A six journées de la fin de cet exercice, les Canaris ont un bon coup à jouer pour remonter au classement.

Le Buteur (20/03/2013)

En plus d’avoir raté tous ses objectifs
La JSK souffre sur le plan financier

Avec le nul, enregistré avant-hier face au CSC, à domicile, les Canaris ont compromis leurs chances de terminer la saison sur le podium. Même s’il reste encore 6 rencontres à disputer, les chances de la bande à Sandjak de terminer parmi les trois premiers sont très minimes

Ainsi donc, l’équipe a raté une nouvelle fois ses objectifs, alors que le président Hannachi avait promis de bâtir une grande équipe cette saison et de jouer les premiers rôles. Outre le problème des résultats, rien ne va plus pour les Canaris sur le plan financier. En effet, en plus du fait que ni l’entraîneur ni les joueurs n’ont encore été payés, la direction n’a pas encore trouvé de remplaçant au sponsor El Chourouk qui a mis fin à sa collaboration avec les Jaune et Vert. Le plus étonnant c’est que les espoirs de la JSK ont joué avant-hier avec des maillots qui portent encore le logo de ce sponsor, ce qui est pour le moins intriguant. Après le départ de l’un des plus grands sponsors, à savoir Peugeot, il y a quelques mois, ce fut donc au tour du journal « EL Chourouk » de se retirer. Une situation qui a de lourdes conséquences sur le club phare de Kabylie qui trouve toute les peines du monde à trouver de nouveaux sponsors. Pis encore, certaines informations parlent même de contacts du président Hannachi avec de petites entreprises pour sponsoriser le club, ce qui traduirait la souffrance financière du club. En résumé, c’est la crise à la JSK, et la direction doit trouver les solutions si elle veut entrevoir sous de bons auspices la saison prochaine.

Les supporters ne parlent que de lanouvelle tenue
D’autre part, et en dépit du fait que leur nouvelle tenue a fait couler beaucoup d’encre, l’équipe a joué avec la même tenue avant-hier face au CSC. Les supporters n’ont cessé de se poser des questions à ce sujet. Ces derniers n’ont pas caché leur inquiétude quant à la situation précaire de leur club fétiche. Une chose est sûre, et de l’avis de tous, la JSK doit être gérée d’une manière plus professionnelle si elle veut retrouver la place qu’elle mérite. Il n’est en effet pas normal que la prestigieuse équipe de la JSK soit réduite à jouer le maintien, elle qui a, il n’y a pas si longtemps, battu les géants du continent africain, à l’instar du Ahly. Un constat qui fend le cœur de ses millions de fans.

DDK (21/03/2013)

JSK : Hannachi dans tous ses états

On l’aura deviné, le président Moh Cherif Hannachi était dans tous ses états hier matin au siège du club. D’après ses proches, le boss kabyle était plus déçu par le rendement des joueurs en seconde période que par le résultat de la rencontre. Mais apparemment, les joueurs ne sont pas les seuls à essuyer les critiques, puisque le boss à même parlé de Sandjak. Déjà que les relations entre lui et l’entraîneur sont déjà tendues, ce semi-échec face au CSC ne ferait qu’enfoncer les relations entre les deux hommes. D’après la même source, Hannachi reproche à son entraîneur la baisse de forme des joueurs. Hannachi a déclaré à ses proches que le rendement médiocre en seconde période est dû au fait que les joueurs ne s’entraînent pas suffisamment pendant la semaine, et que le temps de repos accordé après chaque match est remis en cause.

Les salaires gelés jusqu’à nouvel ordre…
Pour l’instant, Hannachi ne veut absolument pas aborder la question des salaires des joueurs. Pour rappel, certains éléments n’ont pas perçu les mensualités de février et mars, ainsi que les primes de matchs. Après ce nul concédé face au CSC, les choses risquent de tarder davantage. La même source d’information nous a confié que Hannachi veut tout geler jusqu’à nouvel ordre, du moins le temps que l’équipe atteigne les 37 points au classement.

… Celui de Sandjak aussi
D’après la même source, les joueurs ne seront pas les seuls touchés par cette mesure, puisque même celui de Nasser Sandjak sera lui aussi gelé. Or, le coach s’est entendu avec la direction pour percevoir les trois prochains mois avant la première quinzaine de mars. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Sandjak devra attendre le début du mois d’avril pour espérer encaisser son dû. D’ici là, il n’a plus trop le choix que de poursuivre sa mission à la tête du staff.
-----------------------

MCA – JSK pourrait se jouer le vendredi 5 avril
Même si ce n’est toujours pas officiel, le choc de la 25e journée de Ligue 1 entre le MCA et la JSK au stade du 5-Juillet pourrait avoir lieu le vendredi 5 avril. Ainsi, l’affiche de la journée sera retransmise en direct sur le petit écran. Cela permettra aussi aux supporters des deux clubs de se déplacer en masse en plein week-end.
-----------------------

La forme physique des joueurs mise à l’index
Les Kabyles étaient tout simplement méconnaissables ! D’après les nombreux observateurs, la principale raison reste la forme physique des joueurs qui laisse à désirer. Mais pour mieux expliquer cette baisse de régime, il faudrait remonter au travail effectué durant la semaine. La forme physique d’un joueur, le jour de la compétition, reflète exactement le travail effectué durant les 5 séances qui ont précédé le match. Aux yeux de certains, Sandjak n’a pas su gérer la forme physique de ses hommes durant ces 10 derniers jours, soit depuis le 9 mars dernier. Déjà, le coach a accordé 3 jours de repos à ses joueurs, ce qui n’est plus faisable de nos jours. Les plus grands entraîneurs du monde effectuent une séance de décrassage le lendemain de la compétition, surtout après une charge aussi élevée que celle des 90 minutes d’un match. En accordant trop de temps de récupération à ses joueurs, Sandjak n’a pas pris en considération le maintien de la forme. Et rien n’indique que les choses vont changer, puisqu’après ce semi-échec de mardi dernier, le coach kabyle a accordé 3 jours de repos aux titulaires et 4 pour les remplaçants qui sont restés à l’arrêt le jour du match. Pour ce qui est des non-convoqués, cela fera 5 jours, du moment qu’ils étaient absents lundi dernier.

A quand un préparateur physique permanent à la JSK ?
En venant à la JSK, Sandjak a pris la décision de travailler seul à la barre technique, avant que Hannachi ne lui propose les services d’Arezki Amrouche. Une proposition que Sandjak a acceptée sans la moindre hésitation. Mais n’aurait-il pas été plus judicieux d’engager un préparateur physique permanent à la place, qui serait plus utile pour l’équipe ? De nos jours, la présence permanente d’un spécialiste en la matière n’est plus un choix, mais une obligation. Pour l’instant, personne au sein de la JSK ne semble avoir compris cela, ni du côté du staff ni de la direction !
-----------------------

Reprise samedi à 10h
A la fin du match face au CSC, les joueurs kabyles étaient autorisés à rentrer chez eux. Selon le programme arrêté par le staff technique, les joueurs ont bénéficié de trois jours de repos, et la reprise aura lieu samedi à partir de 16h.
-----------------------

Pas de stage à Alger
Concernant la préparation du prochain match face au MCA pour le compte de la 25e journée du championnat, on a appris d’une source de la direction kabyle que la JSK n’ira pas à Alger pour se préparer et les entraînements auront lieu à Tizi pendant toute cette période.
-----------------------

Sandjak depuis hier en France
L’entraîneur en chef de la JSK, Nasser Sandjak, a rallié la France hier, avons-nous appris d’une source du club. Sandjak profite de ces quelques jours de repos pour aller rendre visite à sa famille.

Il sera de retour ce vendredi
Par ailleurs, l’entraîneur kabyle, qui devra établir un programme de travail de deux semaines, en prévision du match face au MCA, sera de retour vendredi, soit la veille de la reprise des entraînements.

Le Buteur (21/03/2013)

JSK : La JSK hypothèque ses chances de terminer sur le podium !

Le match nul concédé par la JSK, avant-hier, face au CSC est mal tombé. Après une série de six matches sans défaite, dont trois victoires à domicile, les Canaris cèdent deux points au CSC qu’ils regretteront beaucoup. En effet, le nul pourra coûter aux Kabyles une place sur le podium sachant que les premiers au tableau ont tous profité de cette 24e journée de Ligue 1. Se positionnant à la 7e place du classement avec un total de 33 points, la JSK s’éloigne de son dernier objectif de l’année, à savoir terminer sur le podium, ou, en d’autres termes, terminer à une place qui lui offrira l’opportunité de jouer une compétition internationale l’année prochaine. Et pour cause, le plus dur reste à jouer. Justement, la JSK se déplacera à Alger pour affronter le MCA lors de la prochaine journée. Le Doyen qui a réussi une bonne opération, samedi dernier, n’offrira aucun cadeau à la JSK au complexe du 5-Juillet. Un match que les camarades de Rial savent déjà difficile et le moindre faux pas ne fera que leur compliquer la tâche.

Certains joueurs étaient émoussés en seconde période
Revenons au match d’avant-hier, pour dire que les Canaris, qui avaient bien démarré la rencontre en parvenant même à ouvrir le score, en première mi-temps, n’ont rien montré en seconde mi-temps. Pis encore, certains joueurs avaient l’air d’être émoussés. La fraîcheur physique a fait défaut à de nombreux joueurs qui ont éprouvé les pires difficultés à terminer le match, à l’image de Benlamri qui a perdu beaucoup de balles. Aussi, les absences à répétition de nombreux joueurs aux séances d’entraînements ont beaucoup influé sur l’aspect physique. A ce propos, l’entraîneur ne devrait plus tolérer cette situation alors que des joueurs qui ne ratent pas une séance acceptent amèrement leur statut de remplaçants.

Quel programme pour 14 jours sans compétition ?
Le staff technique a accordé aux joueurs trois jours de repos. Si la direction juge que c’est un peu trop de libérer les joueurs pour autant de jours, il n’en demeure pas moins que pour le staff technique, la décision est tout ce qu’il y a de logique sachant que les Canaris resteront pendant deux semaines sans compétition. A partir de la reprise des entraînements, prévue ce samedi matin, les Canaris auront en tout et pour tout 14 jours pour préparer le match du MCA. Pour l’instant, le programme officiel de travail n’est pas dévoilé. A noter que L’entraîneur Sandjak est contrarié par la programmation et il a déclaré que cela porterait un sale coup au groupe et craint le pire.

Tout pour éviter d’être renvoyé en bas de l’échelle
A la lecture des résultats qui ont sanctionné la 24e journée de Ligue I, la JSK reste toujours à la septième place avec un total de 33 points, soit à dix points de la troisième place qu’occupe son prochain adversaire, le MCA, qui comptabilise 43 points. Ainsi, il va sans dire que la mission des Canaris de terminer la saison sur le podium se complique et devient presque impossible. Par ailleurs, ce qu’il ne faudrait pas oublier, c’est que la bande à Sandjak est condamnée à ne plus perdre de points, car, même en bas du tableau, les choses ne sont pas encore claires et les six prochaines journées seront décisives. Le moindre faux pas de plus pour les Kabyles risque de les renvoyer en bas de l’échelle, chose que Sandjak et tout son staff devront éviter.

Le Buteur (21/03/2013)

JSK : Hannachi provoque Sandjak

Le nul concédé devant le CSC a provoqué la colère du président Hannachi, lequel ne s’attendait aucunement à cette contre-performance à domicile.

En mauvais termes avec son entraîneur depuis son retour de Paris où il a été hospitalisé pendant plusieurs jours, le président de la JSK n’a pas raté l’occasion pour remettre en cause le travail de Sandjak. Certes, il n’a fait aucune déclaration à la presse, mais d’après ses collaborateurs, le nul concédé face aux Sanafir lui a fait très mal. Ses relations avec son coach risquent de se détériorer davantage dans les jours à venir, d’autant que l’équipe n’a aucun objectif à atteindre en cette fin de saison. Le président Hannachi n’était pas présent au stade, mais ses proches lui ont dit que la JSK était méconnaissable et qu’elle a évité une défaite certaine. Cela l’a mis hors de lui. Lui qui tablait sur une victoire devant le CSC pour que son équipe se relance dans la course au podium n’en revenait pas d’apprendre que celle-ci a été tenue en échec par les Sanafir.

Le rapport qu’on a lui a transmis accable Sandjak
Malgré son absence, le président Hannachi a pu savoir tout ce qui s’est passé durant le match. Les dirigeants présents au stade lui ont fait savoir qu’ils n’ont pas reconnu la JSK sur le terrain. Ils lui ont ajouté que les causes de l’échec sont dues au manque de fraîcheur physique chez les joueurs et à une défaillance tactique. Ils ont visé directement leur entraîneur qui a expliqué à la fin de la rencontre la mauvaise prestation par la programmation hasardeuse de la LNF. Ils auraient pu accorder des circonstances atténuantes à Sandjak. Les arrêts à répétition du championnat en cette fin de saison n’arrangent pas les affaires de la JSK qui était sur une courbe ascendante avant la réception du CSC. En plus, ce n’est pas aisé pour tout entraîneur de motiver des joueurs d’une équipe qui n’a aucune ambition en cette fin de saison.

Hannachi le boude et n’assiste plus aux matches de son équipe
Depuis son retour de Paris, le président Hannachi n’a pas eu de tête- à-tête avec Sandjak. Ce dernier n’arrêtait pas de lui demander des audiences, mais en vain. Son président ne lui répondait même pas au téléphone. Et pour éviter tout contact avec lui, il ne se rendait même pas au stade pour suivre les matches de son équipe. Le président Hannachi justifiait ses absences aux matches de son équipe par des raisons de santé, mais depuis son déplacement à Aïn Témouchent où il a suivi la rencontre de l’équipe nationale des moins de 20 ans face au Bénin, les gens commencent à s’interroger sur les véritables raisons qui le poussent à ne pas se rendre au stade. Ceux qui connaissent le président de la JSK savent que lorsque ce dernier ne veut plus d’un entraîneur, il n’assiste plus aux rencontres de son équipe. L’exemple d’Ighil Meziane est encore vivace dans les mémoires des supporters. Les jours de Sandjak sont plus que jamais comptés et d’aucuns se demandent si celui-ci ira jusqu’à la fin de son contrat.

Pression sur le coach
3 victoires à Tizi et défaite interdite à l’extérieur
La formation du Djurdjura a raté une bonne occasion mardi dernier en recevant le CSC pour ajouter deux précieux points à son compteur. Avant le coup d’envoi de cette partie, tout le monde à la JSK misait sur la victoire. Sur le terrain, les coéquipiers de Remache n’ont pas pu battre le CSC et le match nul entre les deux équipes était équitable selon l’avis de plus d’un. Toutefois, à l’issue de cette rencontre, quelques dirigeants kabyles étaient en colère contre leur entraîneur. Ce dernier a fait l’objet de critiques acerbes de la part de quelques membres du CA et des dirigeants de la section football. «Non seulement sur le plan physique les joueurs ont souffert en seconde période, mais aussi sur le plan tactique on n’a rien vu», a balancé un membre influent du CA. Cette phrase a été partagée par tous les autres actionnaires de la SSPA qui, il faut le dire, sont contre Sandjak depuis un bon moment. D’ailleurs, au lendemain de ce semi-échec, les responsables du club kabyle n’ont pas hésité à parler de l’avenir de l’équipe. Les membres influents de la JSK exigent trois victoires à Sandjak lors des trois sorties de l’équipe à Tizi Ouzou. Les plus hauts responsables de la JSK ne veulent surtout pas terminer la saison à la septième place rien que pour sauver une saison pourtant ratée sur toute la ligne.

Même pour les matchs à l’extérieur, l’équipe doit réaliser des résultats positifs
En plus des trois matchs que les coéquipiers de Djamel Benlamri seront appelés à jouer à Tizi Ouzou, la formation du Djurdjura sera aussi appelée à jouer trois matchs en dehors de ses bases avant la fin du championnat. Même lors des matchs restants à disputer à l’extérieur, les responsables ds Jaune et Vert exigent de Sandjak des résultats positifs, surtout lors du clasico où la JSK n’aura pas droit à la défaite. Autrement dit, la formation du Djurdjura doit éviter coûte que coûte la défaite lors de ses trois déplacements.

Désormais, le coach n’aura pas droit à l’erreur
Trois victoires à domicile et défaite interdite à l’extérieur. Le premier responsable du club kabyle ainsi que les membres influents de CA n’ont pas hésité à mettre la pression sur leur entraîneur au lendemain du faux pas de l’équipe à domicile devant le CSC. Nacer Sandjak n’aura pas droit à l’erreur lors de six matchs restants du championnat. Pour un dirigeant kabyle, l’entraîneur touche un gros salaire, il ne doit pas rater ses matchs à Tizi Ouzou comme il doit aussi réaliser de bons résultats à l’extérieur.

La reprise des entraînements est prévue pour samedi matin
Pas de stage de préparation à Alger
Lors des précédents jours, les membres du CA ne pouvaient rien dire à propos de leur entraîneur, vu que l’équipe a enchaîné une bonne série de six matchs sans défaite. Toutefois, après le faux pas de mardi passé, quelques membres du CA sont montés au créneau pour descendre en flamme Sandjak. «Physiquement, les joueurs étaient out et tactiquement on n’a rien vu.» Les responsables kabyles ont tiré sur leur entraîneur à l’issue de la rencontre de mardi passé et la première conséquence de ce semi-échec, un stage à Alger refusé à Sandjak. Ce dernier voulait organiser un stage à Alger lors de cette longue trêve que la JSK observera. Cependant, les responsables de la JSK n’ont pas apprécié la demande de leur entraîneur. Pour eux, leur équipe n’est même pas concernée par une place sur le podium pour organiser un stage en fin de saison alors que les caisses du club sont vides. La formation du Djurdjura reprendra le chemin des entraînements samedi prochain à Tizi Ouzou et préparera son match devant le MCA à Tizi Ouzou jusqu’à la veille de la rencontre.

L’absence d’Yarichène intrigue
Depuis le retour de Saïd Boukhari et Mustapha Ouaked, Yazid Yarichène, le président de la section football, n’a plus donné signe de vie. Son absence au dernier match face au CRB a ouvert la voie à toutes les spéculations. Le fait que le président Hannachi ait confié la gestion de l’équipe seniors au duo Boukhari et Ouaked prouve si besoin est qu’il ne compte plus sur son bras droit. Yarichène qui a déboursé des sommes colossales à l’intersaison pour venir en aide au président Hannachi n’a pas encore récupéré son argent. Il attend que les caisses du club soient renflouées pour demander son argent, mais avec la crise qui secoue actuellement la JSK, ce n’est pas du tout évident.

compétition (21/03/2013)

L’absence d’Yarichène intrigue

Depuis le retour de Saïd Boukhari et Mustapha Ouaked, Yazid Yarichène, le président de la section football, n’a plus donné signe de vie. Son absence au dernier match face au CRB a ouvert la voie à toutes les spéculations. Le fait que le président Hannachi ait confié la gestion de l’équipe seniors au duo Boukhari et Ouaked prouve si besoin est qu’il ne compte plus sur son bras droit. Yarichène qui a déboursé des sommes colossales à l’intersaison pour venir en aide au président Hannachi n’a pas encore récupéré son argent. Il attend que les caisses du club soient renflouées pour demander son argent, mais avec la crise qui secoue actuellement la JSK, ce n’est pas du tout évident.

Il veut se retirer du SSPA. Il a même chargé une personne de demander à Hannachi de lui rembourser son argent .....

Alors que leur régularisation financière menace d’être ajournée après le match nul face au CSC…
Les joueurs dans la tourmente !

Le dernier match nul concédé par les Canaris face au CSC à domicile n’est pas pour plaire aux responsables du club, à commencer par le président de la SSPA-JSK, Mohand Cherif Hannachi. En effet, selon des indiscrétions, Hannachi avait menacé de procéder au gel des salaires des joueurs ainsi que des membres du staff technique jusqu’au retour des résultats positifs. En d’autres termes, la régularisation financière des joueurs, prévue pour après le match du CSC, est tout simplement reportée à une date ultérieure, ce qui n’a pas été du goût des joueurs qui ont espéré voir la direction faire un geste à leur égard en cette fin de saison. Selon une source digne de foi, les joueurs n’ont pas aussi apprécié que les primes de matches n’aient pas encore été versées, et cela date, selon nos informations, de la dernière victoire arrachée au match aller face au CSC. Reste maintenant à savoir si la direction kabyle campera sur sa décision ou la révisera-t-elle, dans l’optique d’éviter toute complication de la situation.

La dernière entrevue Hannachi-Sandjak remonte au 23 février dernier !
Un autre fait qui vient confirmer toute cette relation tendue qui existe entre le président Hannachi et son entraineur Nasser Sandjak, pour des raisons qui restent pour l’instant incompréhensibles, c’est le fait que les deux hommes ne se soient pas parlés depuis le match retour face à l’USMA, le 23 février dernier, à Tizi. En effet, le président kabyle était de passage à l’hôtel Amraoua pour encourager son équipe la veille du match. Depuis ce jour, les deux hommes ne se sont plus revus pour parler du quotidien de l’équipe et ce même pendant le traitement du dossier Maïza et Belakhdar. Ce qui laisse tout le monde perplexe !

Le Buteur (22/03/2013)

ORBA - JSK en amical, confirmé pour lundi prochain à 15h

Comme nous l’avons annoncé dans notre édition de mercredi dernier, les Canaris qui sont forcés à une trêve de deux semaines avant de reprendre avec le match face au MCA prévu au début du mois d’avril prochain, sont contraints de trouver des solutions pour garder le groupe en contact avec la compétition et ce afin d’éviter tout relâchement de fin de saison qui risque de leur porter un coup à six journées de la fin de l’exercice. Ainsi, l’information parue dans nos colonnes à propos de la programmation de deux matches amicaux est confirmée par une source de la direction kabyle. Ainsi, les camarades de Rial qui vont reprendre le chemin des entrainements demain matin, à Tizi Ouzou, ont déjà confirmé avec le premier adversaire qu’ils croiseront en amical, en l’occurrence l’Olympique d’Akbou. Selon notre source, le match est retenu pour ce lundi à partir de 15h et il aura lieu à Akbou.

Maroci d’attaque, Messadia et Chalali ne prendront pas de risque
Côté effectif, l’entraîneur kabyle devra, pour ce premier match amical face à l’ORBA, se passer des services de certains éléments qui poursuivront les soins. En effet, seul Maroci qui se porte mieux, pourra prendre part à ce match alors que les deux attaquants, Messadia et Chalali, seront indisponibles. Le premier a passé hier une échographie et devra se mettre au repos pendant quelques jours alors que le second, parti en France, continuera les soins, une fois de retour à Tizi.

Un autre match face à la JS Saoura en vue
Les Canaris du Djurdjura ne se contenteront pas d’un seul match amical lors de toute cette période qui précédera celui face au Doyen. On a appris d’une source digne de foi que la direction kabyle envisage de programmer une deuxième joute amicale, et selon nos informations les Canaris pourraient affronter la formation de la JS Saoura lors de la deuxième semaine de préparation du clasico. Les Kabyles, qui n’ont pas encore confirmé la date et le lieu du match, souhaiteraient le jouer sur une pelouse naturelle de façon à mieux se préparer pour celle du 5-Juillet.
-------------------------

Le staff craint des absences à la pelle
Après 3 jours de repos, le staff technique de la JSK craint des absences à la pelle pour la séance de ce matin, surtout que certains sont convalescents, à l’image de Messadia, Belakhdar et Maroci qui poursuivent leur programme spécifique.
-------------------------

Chalali autorisé à se soigner à Paris
Autorisé par son staff, l’attaquant Mohamed Chalali s’est envolé pour la France le lendemain du match face au CSC. Comme nous l’avons déjà rapporté, le joueur entamera les soins pour sa blessure aux adducteurs. Il ne sera de retour à Tizi que d’ici la fin de la semaine.
-------------------------

Reprise demain à 10h30
C’est dans la matinée de demain que les joueurs de la JSK reprendront le travail. La séance est programmée pour 10h30 au stade du 1er-Novembre. Finalement, il n’y aura pas de mini-stage à Alger. Les joueurs prépareront le match du MCA à Tizi.

Le Buteur (22/03/2013)

Après le nul face au CSC
Les Kabyles perdent l’espoir de terminer sur le podium

Les Canaris ont laissé deux précieux points mardi passé en faisant match nul face au CSC lors du match de la 24e journée de Ligue une. Un semi- échec qui a déçu les Kabyles qui misaient sur une victoire pour garder leurs chances intactes de jouer le podium. Avec cette contre-performance, les Kabyles perdent l’espoir de terminer parmi les trois premiers, vu que leur mission d’occuper la troisième place est presque devenue impossible. La formation kabyle a certes amélioré ses résultats lors de cette seconde manche du championnat, en enchaînant même avec sept rencontres sans défaite, toutefois, cela ne sera pas suffisant pour terminer sur le podium, vu que l’équipe a consommé pratiquement toutes ses chances. Ainsi donc, la JSK a raté tous ses objectifs pour la saison en cours, en dépit que le président Hannachi avait promis de jouer le titre. En résumé, même les supporters du club ont perdu espoir de voir leur équipe terminer sur le podium. Ces fans qui attendent le bout du tunnel pour leur équipe qui n’a rien gagné lors de ces trois dernières saisons. Au contraire, le club phare de la Kabylie a joué la relégation lors des deux dernières saisons et n’a rien gagné cette saison, ce qui signifie que beaucoup de choses doivent être revues pour que la JSK retrouve la place qu’elle mérite.

Attention aux vacances
Certes, l’équipe a encore six rencontres à disputer et les joueurs doivent réaliser les meilleurs résultats possibles. Autrement dit, les coéquipiers de Messaâdia ne doivent pas baisser les bras et doivent cravacher jusqu’au bout pour terminer la saison dans la meilleure position possible. En d’autres termes, les Canaris sont dans l’obligation d’honorer leur contrat, en terminant la saison en cours dans la meilleure position possible au classement général. La balle donc est dans le camp des joueurs lors des rencontres restantes pour réaliser de bons résultats, ce qui reste le souhait du staff technique et des supporters également.

Un grand chantier attend Sandjak
Ainsi donc, un grand chantier attend le coach Nacer Sandjak. En effet, ayant perdu tous les objectifs, Sandjak doit tout faire pour garder ses joueurs concentrés sur leur sujet en cette fin de saison. Même si son équipe a perdu toutes ses chances de jouer le podium, Sandjak veut cependant ajouter d’autres victoires et terminer la saison sur une bonne note, lui qui a pris l’équipe dans une situation catastrophique et qui veut terminer en beauté.

Reprise des entraînements demain
Après trois jours de repos au lendemain du match face au CSC, les Canaris reprendront le chemin des entraînements demain samedi. L’équipe aura tout le temps de préparer le match face au MCA vu que les Canaris ne joueront pas avant deux semaines.

Compétition (22/03/2013)

JS Kabylie : reprise sur fond de crise

La reprise des entraînements prévue aujourd’hui pour les Canaris se fera sur fond de crise. Une équipe qui a du mal à accepter d’être abandonnée, comme elle l’est, par cette direction.

Cette dernière ne daigne même pas à lui verser les arriérés des salaires et primes, que les joueurs n’ont pas touchés depuis pratiquement la 9e journée, soit depuis la victoire face au CSC à Constantine.
Une situation qui n’a certainement pas manqué de peser lourd psychologiquement chez les joueurs, notamment en terme de motivation, comme en témoigne cette seconde mi-temps face au CSC, mardi dernier, où l’équipe était passée à côté de son sujet en concédant le nul.
Un nul qui a été saisi au vol par les détracteurs du coach pour monter au créneau et fustiger Sandjak. Il reste que pour le coach «ces critiques sont loin de m’ébranler, au contraire, elles me motivent pour poursuivre mon travail afin de redorer le blason de l’équipe», dira-t-il.

Comme il ne manquera pas de faire part de ses difficultés à maintenir l’équipe motivée, lorsque cette dernière ne voit rien venir en matière de paiement. «Il est difficile de mobiliser une équipe qui a la tête à son argent», soulignera-t-il encore. Il faut dire que la direction du club fait face aujourd’hui à la plus grave crise financière de son histoire.

Pratiquement tous les bailleurs de fonds, notamment les plus importants d’entre eux, semblent avoir lâché cette direction qui attend avec impatience l’hypothétique subvention de l’APW pour souffler quelque peu. Ajouter à cela, la crise qu’il y a entre le coach et le président qui ne se sont plus rencontrés depuis des lustres et ne communiquent que par voie de presse interposée, attestant si besoin est que le mal est trop profond dans la maison JSK. Une chose est certaine à la JSK, on vit la crise au pluriel.

El-Watan (23/03/2013)

Marginalisés par Sandjak : Des joueurs veulent quitter la JSK en fin de saison

En plus du conflit qui l’oppose à la direction du club, le premier responsable du staff technique, Nasser Sandjak, semble avoir des soucis avec certains joueurs, notamment les moins compétitifs. Après son dernier clash avec Maïza et Belakhdar, en voilà d’autres éléments qui ruminent leur colère. La plupart d’entre eux n’acceptent pas leur statut de remplaçant, et ce, depuis la nomination de Sandjak à la tête de l’équipe. Et face à cette situation qui stagne depuis des semaines, une source crédible nous a confié que les concernés veulent rencontrer le président Moh-Cherif Hannachi pour réclamer leurs papiers. Encore liés pour une saison à la JSK, les «contestataires» sont décidés à changer d’air. A six journées de la fin de l’exercice, le coach kabyle se voit dans l’obligation de gérer cette nouvelle donne, afin d’assurer la stabilité au groupe. Aux yeux de nombreux observateurs, Sandjak risque d’être confronté à autre casse-tête s’il ne fait pas tourner son effectif, notamment en fin de saison.

Des titulaires à part entière depuis le mois de décembre
Le plus surprenant, aux yeux de certains, c’est que depuis sa venue, Nasser Sandjak n’a apporté que peu de changement dans son onze, et même lorsque les résultats ne suivent pas. Si l’équipe a bien tourné depuis la rencontre face à JS Saoura, néanmoins, elle connaît une baisse de régime inquiétante, ces derniers jours. Il n’y a qu’à voir le rendement des joueurs lors du dernier match face au CSC pour s’en rendre compte. Pourtant, Sandjak aurait opéré des changements dans son onze, du moment que le club ne fixait aucun objectif, à part le maintien. Ainsi, certains estiment que c’est le meilleur moment pour relancer la concurrence au sein du groupe, car à la JSK, il n’existe pas de titulaire à part entière.

Plusieurs clubs rentrent en course
Profitant de leur situation difficile à la JSK, plusieurs clubs de Ligue 1 rentrent en course pour s’attacher les services des remplaçants de «luxe» des Canaris. A la direction kabyle, on voit mal comment Hannachi se passera des joueurs recrutés à coup de milliards, à l’image de Belakhdar, Bouaïcha ou Maïza. Dans l’entourage du club, on est persuadés que le boss des Jaune et Vert saura convaincre ses remplaçants d’aller au terme de leur contrat, en leur promettant un meilleur statut, la saison prochaine, surtout que Sandjak ne sera pas là.

-----------

La préparation du Clasico débutera ce matin
Aujourd’hui, à 10h, les joueurs de la JSK reprendront du service. Une reprise risquée pour le staff, puisque plusieurs joueurs pourraient déclarer forfait. L’attaquant Mohamed Chalali, qui se trouve en France, et Belkalem, en stage avec la sélection, ne seront pas les seuls absents. En effet, d’autres éléments auraient demandé l’autorisation auprès des dirigeants pour reprendre dimanche. Une chose est sûre, et ce quel que soit le nombre de joueurs présents aujourd’hui, le staff technique entamera la préparation du prochain match face au MCA. Ainsi, le rendement des joueurs en seconde mi-temps contre le CSC a incité le staff technique à revoir sa copie, car physiquement, ils étaient nuls. Du coup, Sendjak doit réfléchir autrement avant d’établir son programme pour les
15 prochains jours. En effet, il priorise le maintien de la forme physique. Désormais, l’erreur n’est plus permise à six journées de la fin du championnat.

L’Olympique d’Akbou, premier test
Après avoir constaté que le manque de compétition a joué un mauvais tour à ses joueurs, l’entraîneur des Canaris a décidé de combler ce vide en programmant un match amical, lundi prochain, face à l’Olympique d’Akbou. D’après la feuille de route établie, une autre rencontre suivra, notamment contre la JS Saoura, sur du gazon naturel. Toutefois, cela n’a pas encore été confirmé.

-----------
City Sport équipera la JSK ce printemps
L’équipementier de la JSK, City Sport, devait lui envoyer un lot ces jours-ci, qui comportera des équipements du printemps. La même source indique que la JSK devrait bénéficier d’un nouveau jeu de maillots, qui sera présenté dans les prochains jours aux dirigeants. Ainsi, ce sera le dernier de cette saison. Ce n’est que vers la fin du mois de juin que le club kabyle réceptionnera les équipements de la saison d’été, quelques jours avant l’entame du stage d’intersaison.

Le Buteur (23/03/2013)

Poste de manager général : Medane demande un temps de réflexion

A la JSK, on attend la fin de saison avec impatience. Malgré le recrutement de qualité qui a été réalisé lors de la période des transferts, le club n’arrive toujours pas à dominer ses adversaires. Avec plusieurs défaites concédées à domicile et à l’extérieur, les supporters ne croient plus en cette équipe dont plusieurs joueurs ne méritent pas de défendre le maillot jaune et vert. Alors que l’avenir de l’actuel entraîneur n’est pas encore assuré, du moment qu’il se pourrait qu’il ne soirt pas reconduit l’exercice prochain, nous avons appris que le nom de Hakim Medane circule avec insistance ces derniers temps à Tizi Ouzou. L’ex-meneur de jeu des Verts, qui a décidé de quitter les affaires du club phare de Yemma Gouraya la saison dernière, pourrait revenir à la JSK. En effet, une source généralement bien informée nous a révélé que deux dirigeants kabyles l’ont sollicité dernièrement pour lui proposer l’idée de revenir à la JSK et occuper le poste de manager général. Un contact que les inconditionnels de la JSK apprécieront certainement d’autant plus qu’ils ont toujours été pour son retour au club, lui qui a réalisé un travail remarquable avec la JSMB.

Il n’écarte par l’idée de revenir au club
Le moins que l’on puisse dire est que Hakim Medane n’a toujours pas rendu sa réponse aux responsables kabyles. L’ex-meneur de jeu, qui a fait les beaux jours de la JSK, n’écarte pas l’idée de revenir un jour au club et reprendre ses fonctions de manager général. Seulement, il aurait juste demandé un temps de réflexion avant de prendre une décision finale. Apparemment, la situation délicate que le club traverse ces derniers temps, pourrait retarder son retour au sein de l’équipe.

Le Buteur (23/03/2013)

JSK : Qui gère le cercle du club ?

Partout dans le monde, les cercles sportifs des clubs sont très souvent gérés par les amoureux du club, les supporters chauvins comme on a coutume de dire. Quelque part, ces chauvins supporters, on les récompense par la gérance du cercle de leur équipe préférée.

Dans le monde entier aussi, les cercles sportifs sont les fiefs des supporters et le lieu de rendez-vous des fans. C’est au niveau de ces cercles qu’on prépare les déplacements, qu’on achète les billets, qu’on trouve les nouvelles de l’équipe… Ce n’est pas la peine de partir loin, on doit juste jeter un coup d’œil chez nos voisins marocains ou tunisiens pour faire la différence entre les cercles sportifs de l’EST, de l’ESS, du WAT, des FAR … il n’y a aucune ressemblance entre tous ces cercles et celui de la JSK. Pourtant, ce dernier a été rénové tout récemment. Sur la grande surface de ce cercle, on trouve juste une petite plaque d’un mètre carré en jaune et vert. On dirait que les responsables du club détestent ces deux couleurs, d’ailleurs, même la JSK joue ces derniers temps avec d’autres couleurs que le jaune et le ver. Bref, pour ne pas sortir du sujet, ce cercle de la JSK n’a aucune valeur d’un vrai cercle d’un grand club comme la JSK. Déjà, les supporters ne fréquentent pas ce lieu, les couleurs du club ne sont pas présentes dans ledit cercle qui sert d’une simple cafétéria pour les passagers du boulevard où se situe le local (stade Oukil Ramdane). Le plus grave dans toute cette histoire est que, à son ouverture au début de l’année, aucune annonce n’a été faite concernant l’ouverture du cercle sportif du club alors que les supporters devaient être informés sur tous les détails qui concernent le patrimoine du club. Aujourd’hui, tout le monde se pose la même question : qui gère le cercle de la JSK et sous quelle forme cette gestion a été donnée ? Location, pourcentage ou donation ? Mystère et boule de gomme !

Compétition (23/03/2013)

Après les remaniements au niveau de la section
De grands changements au niveau du CA

A la JSK, les choses changent d’un moment à l’autre. La preuve, Yazid Yarichène, qui était ce grand monsieur, le premier responsable de la section football, est devenu du jour au lendemain une personne anodine au sein du club, pourtant, ce même Yarichène a été le sauveur de Hannachi l’été dernier. Car au moment où l’opposition attendait au tournant le président Hannachi dans l’opération recrutement, Yarichène a mis tous les moyens financiers à la disposition du numéro un du club. Néanmoins, ces derniers jours, un changement a été fait au niveau de la section qu’Yarichène préside et les pouvoirs de ladite section ont été donnés à Boukhari et Ouaked, deux vieux routiers qui maîtrisent parfaitement les lois et les règlements. Bref, selon une source plus que crédible, de grands changements seront opérés lors des prochains jours au niveau du CA. Déjà, ce même CA a été modifié au début de cette saison, mais en catimini. Au jour d’aujourd’hui, les supporters ignorent la vraie composition de ce CA. «C’est vrai, les membres actuels du CA ont aidé le club, ils ont fait des gestes, mais la JSK a besoin d’un conseil d’administration digne de ce nom, un CA composé de médecins, de grands juristes, d’industriels…», nous dira un membre très influent de ce même CA. Ce dernier ajoute : «Non, à l’avenir, les choses ne vont plus continuer sur ce rythme, il y aura de grands changements.» Par ailleurs, les supporters et les proches du club estiment que seuls Ali Doudah, qui a un bon niveau intellectuel, et Azzedine Mellal un grand industriel méritent d’être dans l’actuel CA, sinon, selon les supporters toujours, les autres membres n’ont rien à voir avec le football, sans parler de leur petit niveau intellectuel.

Afin de régler son différend avec Hannachi
Yarichène devait le rencontrer hier
Même si le président de la section football, Yazid Yarichène, continue à dire qu’il n’y a rien de grave entre lui et le président Hannachi, la réalité est autre. Les deux hommes ne se sont pas parlé depuis bien longtemps, mais on ignore la cause de leur désaccord. Tout ce qu’on sait est qu’il a tenté à maintes fois d’entrer en contact avec Hannachi, mais en vain. Le président de la JSK ne voulait pas discuter avec son président de la section de football qui ne savait plus quoi faire. A l’intersaison, lorsque le président Hannachi s’était retrouvé seul, Yarichène n’avait pas hésité à lui venir en aide en faisant signer la plupart des nouvelles recrues dans son bureau à Dely Ibrahim. Il était le bras droit de Hannachi, mais les choses commençaient à changer pour lui après la victoire acquise à Constantine devant le CSC. Il avait menacé de démissionner avant de revenir à de meilleurs sentiments. Alors que tout le monde croyait que le président Hannachi et son président de la section de football ont réglé leur problème, mais ça n’a pas été le cas. D’après une source digne de foi, des proches du club ont intervenu afin de réconcilier les deux hommes. C’est ainsi qu’une rencontre devait avoir lieu hier entre Hannachi et Yarichène. Il est utile de rappeler que Yarichène a déjà été poussé à la sortie il y a quelques années avant de revenir la saison dernière. N’ayant pas encore récupéré l’argent qu’il a avancé à la direction, Yarichène n’a pas d’autre choix que de rester jusqu’à ce que les choses s’améliorent pour lui. Il faut dire néanmoins que la venue d’Ouaked signifie que le président Hannachi ne compte plus sur lui.

Compétition (23/03/2013)