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Message par rachid_as Jeu 22 Aoû - 22:35

Turquie : Terim retrouve encore la sélection

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La Fédération de football turque a annoncé jeudi avoir engagé l'entraîneur de Galatasaray Fatih Terim comme sélectionneur pour une durée d'un an, avec l'espoir de se relancer dans les qualifications pour le Mondial-2014.

Terim, qui a déjà dirigé la sélection turque à deux reprises, continuera tout de même à diriger Galatasaray, combinant ainsi les deux postes.

"Nous avons pensé à un sélectionneur expérimenté, qui ait faim de succès et qui résoudrait nos problèmes et nous avons donc négocié avec Terim", a déclaré le président de la fédération Yildirim Demiroren lors de la signature.

Le recrutement de Terim intervient au lendemain de l'annonce de la rupture du contrat d'Abdullah Avci, précédent sélectionneur, "d'un commun accord". Avci, qui avait pris la sélection en novembre 2011, paye ainsi les mauvais résultats de la Turquie dans sa campagne de qualifications pour le Mondial-2014, où elle n'est que 4e de son groupe (7 points en 6 matches).

Alors qu'il ne reste que 4 matches de qualification à disputer, la mission de Terim d'essayer d'arracher la qualification risque d'être rude. Terim a déjà entraîné la Turquie de 1993 à 1996, puis de 2005 à 2009.

L'"Empereur" - comme il est surnommé en Turquie - présente l'un des palmarès les plus fournis de l'histoire du pays: il a remporté six fois le championnat turc avec Galatasaray, avec lequel il a aussi remporté la Coupe de l'UEFA en 2000.

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Message par rachid_as Jeu 22 Aoû - 22:38

Afghanistan : Amiri veut continuer à vibrer avec son peuple

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"C’est comme si on avait gagné la Coupe du Monde !" L’ambiance qui régnait mardi 20 août dans les rues de Kaboul a fait chavirer Zohib Amiri. Le capitaine afghan n’a pas brandi le trophée en or massif que son homologue espagnol Iker Casillas avait soulevé il y a trois ans. Mais dans un pays miné par la violence, qui accueillait son premier match international depuis dix ans, la victoire sans appel contre le Pakistan (3:0) avait autant de valeur aux yeux des Afghans.

"C’est incroyable de voir à quel point les gens sont heureux depuis deux jours", confie Zohib Amiri à FIFA.com. "C’est comme si on avait gagné la Coupe du Monde. Cela prouve que notre Fédération fait du bon travail et que nous avançons dans la bonne direction."

"Les Afghans aiment beaucoup le football et j’ai pu voir que cet intérêt a encore grandi, au cours des deux ou trois dernières années, à mesure que l’on jouait plus régulièrement et que nos résultats s’amélioraient. Le match contre le Pakistan était de loin le plus important de ma carrière jusqu’ici. Il n’y avait pas vraiment d’appréhension avant le coup d’envoi. On a eu quatre ou cinq mois pour s’y préparer et le public était derrière nous."

Les 6 000 spectateurs massés dans l’AFF Stadium ont fait régner une ambiance formidable tout au long de ce match amical. Malgré la défaite de son équipe, l’entraîneur pakistanais Zavisa Milosavljevic a apprécié : "Je suis heureux d’avoir pu vivre un tel match et d’avoir découvert à quel point le public afghan est chaleureux".

Nombreux motifs de satisfaction
Zohib Amiri n’avait que 16 ans la dernière fois que l’Afghanistan avait organisé un match international, contre le Turkménistan, le 23 novembre 2003 au stade Ghazi. Il n’était même pas né lors de la dernière visite du voisin pakistanais sur le sol afghan, en 1977.

"Le football fédère", note le défenseur de 26 ans, qui jouait la saison dernière au Mumbai FC, en Inde. "J’ai pu le voir mardi avant, pendant et après le match. Je n’oublierai jamais l’enthousiasme et la fierté de nos supporters. La route a été longue, mais ce match récompense le travail effectué pour développer le football en Afghanistan", poursuit-il avant de se féliciter d'une autre étape importante pour le développement du football dans son pays. "Nous avons d’autres raisons d’être optimistes pour les années à venir : le coup d’envoi aujourd’hui de la deuxième édition de la Premier League afghane ou le fait de disposer d'un terrain synthétique moderne, sur lequel nous pouvons accueillir d’autres rencontres internationales."

Le match amical historique entre l’Afghanistan et le Pakistan s’est disputé à l’AFF Stadium, dont le terrain synthétique a été financé grâce au Programme Goal de la FIFA. Les rencontres de la deuxième édition de l’Afghan Premier League auront lieu dans la même enceinte.

"Nous devons désormais nous concentrer sur notre prochain objectif, la Challenge Cup de l’AFC", annonce Amiri. "Si on réussit à obtenir de bons résultats au niveau continental, on peut espérer se qualifier un jour pour la Coupe du Monde. C’est le rêve de toute une nation."

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Message par rachid_as Sam 24 Aoû - 16:28

Argentine : Trezeguet marque son premier but pour Newell's

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Le Franco-Argentin David Trezeguet a marqué vendredi soir son premier but sous le maillot de son nouveau club Newell's Old Boys, champion d'Argentine sortant.

Lors de la victoire contre l'Atletico de Rafaela (2-0, 4e journée du Tournoi d'ouverture), le champion du monde 1998 a inscrit le 2e but de son équipe à la 90e minute.

Entré à la 77e minute, le vétéran Trezegol (35 ans) avait été recruté à Newell's, club de la 3e ville du pays Rosario, par l'entraîneur Gerardo "Tata" Martino, recruté entre-temps par le FC Barcelone.

Ecarté par son club de coeur, River Plate, où il était arrivé début 2012, Trezeguet a signé en juillet à Newell's, où il côtoie d'anciens pensionnaires de L1 comme Gabriel Heinze (ex-PSG, OM, Real et Manchester United) ou Lucas Bernardi (ex-Monaco et Marseille).

Trezeguet avait déjà joué un quart d'heure lors de la précédente journée, c'était son retour à la compétition après une opération du genou gauche au printemps.

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Message par rachid_as Dim 25 Aoû - 15:17

Supercoupe d'Europe
Mourinho titille Guardiola avant leurs retrouvailles


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Jose Mourinho a titillé dimanche Pep Guardiola dans la presse allemande avant leurs retrouvailles en Supercoupe d'Europe sur les bancs de Chelsea et du Bayern vendredi, mettant en doute le niveau actuel de l'équipe bavaroise.

"Le Bayern de Jupp Heynckes était la meilleure équipe d'Europe. Ils ont désormais un nouvel entraîneur et de nouveaux joueurs, et je ne suis pas sûr qu'ils soient toujours aussi bons", a déclaré Mourinho dans l'édition dominicale du quotidien allemand Bild.

Le Bayern a réussi la saison dernière son premier triplé Coupe-championnat-Ligue des champions sous la houlette de Heynckes. Ce dernier a ensuite passé la main à Guardiola, de retour d'une année sabbatique après son départ du FC Barcelone.

Interrogé vendredi sur les retrouvailles avec l'ancien coach du Real Madrid, le Catalan avait répondu: "On se connait, j'ai un grand respect pour l'entraîneur et sa carrière. Mais le plus important ce sont les deux matches à venir".

La rivalité entre Guardiola et Mourinho a animé le championnat espagnol et la scène européenne entre 2010 et 2012, lorsque les deux hommes officiaient sur le banc des deux clubs les plus titrés d'Espagne.

Encore en rodage, le Bayern de Guardiola a poursuivi son sans-faute en Bundesliga en signant samedi sa 3e victoire au dépens de Nuremberg (2-0).

Vainqueur de ses deux premiers matches, le Chelsea version Mourinho effectue lundi un déplacement délicat chez le tenant du titre Manchester United.

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Message par rachid_as Lun 26 Aoû - 12:04

Brésil, Seedorf : "Le travail, toujours le travail"

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Il a traversé l'océan sans savoir à quoi s'attendre. Au terme d'une saison où il avait été peu utilisé par Massimiliano Allegri et où il n'avait pas obtenu le temps de jeu qui était le sien normalement à l'AC Milan, à savoir une cinquantaine de matches par saison, Clarence Seedorf a décidé d'aller voir ailleurs. Il a ainsi rejoint Botafogo, avec un statut de héros accompagné de la responsabilité de montrer l'exemple à un effectif jeune. À son arrivée à l'aéroport, une foule immense l'attendait avec une gigantesque banderole sur laquelle était floqué le visage de la nouvelle recrue.

L'adaptation n'a pas été difficile. Seedorf parlait déjà le portugais, appris aux côtés de Roberto Carlos, son coéquipier au Real Madrid pendant quatre ans. "Je ne connais personne qui parle autant que lui au téléphone", raconte le Néerlandais avant d'éclater de rire. À Rio de Janeiro, où il venait en vacances depuis plusieurs années, Seedorf avait déjà ses habitudes. Par exemple, le riz aux haricots rouges, l'un des plats les plus simples et typiques du Brésil, n'a pas de secret pour lui. "J'en mange tous les jours. C'est un plat incontournable."

Le football pratiqué par Botafogo depuis l'arrivée de la star néerlandaise est aussi simple et savoureux que ce fleuron de la gastronomie brésilienne. O Glorioso a remporté le dernier championnat de l'État de Rio de Janeiro et après 17 journées, il est à la lutte pour la place de leader du championnat du Brésil. Le patron de l'entrejeu de Botafogo répond aux questions de FIFA.com pour commenter, entre autres, les excellentes prestations de son équipe depuis son arrivée.


Clarence Seedorf, on entend souvent dire que vous êtes le plus brésilien des footballeurs étrangers qui évoluent dans le Brasileirão. Partagez-vous ce sentiment ?
Oui, je me sens un peu brésilien. Et c'est un compliment. Les faits sont là pour le prouver : les meilleurs footballeurs viennent du Brésil. Il y a peu de pays où l'on voit autant de gens porter des maillots de foot dans la rue. Pratiquement tout le monde, indépendamment du rang social, est fier de porter le maillot de son club. Au Suriname, on suit beaucoup la Seleção, mais aussi les Pays-Bas. En 1986, quand la France a battu le Brésil en Coupe du Monde, mon père a dû me sortir de la maison pour me calmer. Je pleurais de rage. C'était le dernier tournoi de Zico. Il incarnait le football que j'aimais.

Le football brésilien est-il si différent du football européen ?
La principale différence se situe au niveau de la discipline tactique, de l'application des consignes. La discipline est beaucoup plus forte en Europe. Ici en revanche, il y a plus de talent pur, plus de qualité individuelle. Mais attention, je ne dis pas non plus qu'il n'y a pas de qualité individuelle en Europe ou de sens tactique au Brésil. En dehors du terrain, ce sont deux mondes complètement différents. En Europe, vous voyagez au maximum quatre heures, par exemple pour un match de Ligue des champions. En championnat, les trajets durent au maximum 1h30. Ici, c'est beaucoup plus long. Pour aller de Porto Alegre à Bahia, il faut 4h30. Sur le plan logistique, c'est plus difficile. En plus, il faut gérer les différences de température entre le nord et le sud. Ce sont de vraies difficultés au niveau de l'adaptation.

Cette discipline européenne vient-elle de la formation ou du fait que les entraîneurs sont plus exigeants ?
C'est une question d'organisation. Sur le plan tactique, le Brésil est aussi bien organisée que les autres, sinon il n'arriverait pas à gagner. Le football international est ainsi. Mais l'Europe a une certaine culture, dans laquelle l'éducation est un peu rigide alors qu'ici, en Amérique du Sud, elle est plus libre. Quand un pays sud-américain rencontre des difficultés ou se retrouve en situation de crise, il y a plus de créativité ici. Au Brésil, il existe une discipline, mais avec un parfum sud-américain. Tout le monde doit défendre de la même manière. Certaines équipes défendent un peu plus haut, d'autres un peu plus bas, mais toujours de façon compacte. C'est le mot-clé. C'est plus sur le plan offensif qu'on remarque la différence tactique entre l'Europe et le Brésil. En Europe, la plupart des entraîneurs ont des schémas extrêmement précis sur le plan offensif, mais plus vous allez vers le sud, plus les joueurs ont la liberté d'utiliser leur créativité. Prenez la Hollande ou le Danemark d'un côté, et l'Espagne de l'autre. Ça n'a rien à voir sur le plan offensif. Dans le sud de l'Europe, il y a beaucoup plus de liberté pour changer de position et rechercher l'exploit individuel. Au Brésil, vu qu'il y a beaucoup de qualité individuelle, les entraîneurs vous donnent également cette liberté. Ils incitent leurs joueurs à se projeter vers l'avant. Si un attaquant se retrouve avec deux défenseurs sur le dos, il va essayer de les éliminer. Aux Pays-Bas, si vous êtes pris par deux adversaires, la consigne est de donner le ballon derrière. C'est une autre mentalité. Je ne pense pas que l'une soit meilleure que l'autre mais ce qui est certain, c'est que je me sens plus proche du football brésilien.

Vous avez remporté le dernier championnat carioca et vous êtes à la lutte pour la première place du Brasileirão. Comment expliquez-vous le succès de Botafogo ces derniers temps ?
Le travail, toujours le travail. Nous formons un groupe qui a la volonté de progresser, et vite. Nous avons la chance d'avoir un entraîneur qui réalise un travail merveilleux. Il y a de la qualité et beaucoup de jeunes, mais des jeunes qui font la différence car ils ont envie de progresser. En fait, c'est quelque chose de rare de voir autant de jeunes joueurs progresser aussi rapidement. Normalement dans une équipe, vous avez de la réserve pour pouvoir toujours disposer d'un onze solide. Cela dit, tout le monde sait que nous n'avons pas la profondeur d'effectif de clubs comme Corinthians, Grêmio ou l'Internacional. C'est pourquoi les jeunes de Botafogo doivent progresser très rapidement. Je pense que l'année qui commence sera la bonne. Mais on verra. Regardez ce qui s'est passé avec Fluminense. L'année dernière, ils ont survolé les débats, mais cette saison, ils sont en difficulté. J'ai découvert au Brésil ce que signifiait une équipe équilibrée. Nous récoltons le fruit de nos efforts. Nous formons un groupe solidaire, où chaque joueur aide tous les autres. Cela se traduit par un football positif, avec la balle au sol et des actions construites. À chaque match, nous nous créons beaucoup d'occasions.

En tant que leader de l'équipe, vous avez une certaine responsabilité dans l'évolution de ces jeunes joueurs. Comment gérez-vous cela ?
Les gens ne voient que les 90 minutes du match, mais derrière ça, il y a des heures et des heures de conversation avec les jeunes, de questions surtout. Quand vous posez des questions à un nouveau coéquipier, ou à un coéquipier tout court, il commence à réfléchir. Faut-il leur dire tout ce qu'ils ont à faire ? Sur le terrain, oui, c'est mon rôle. Mais en dehors, mon attitude est différente. Je dois les aider à grandir par eux-mêmes. Je suis passé par là. Comme pour eux, mon évolution a été très rapide et compliquée en même temps. En dehors du terrain, les conversations tournent autour de cela. J'essaie de leur faire comprendre certaines choses pour qu'ils comprennent leur propre évolution.

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Message par rachid_as Lun 26 Aoû - 19:27

Deco raccroche les crampons

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Le milieu de terrain portugo-brésilien Deco, 35 ans, a annoncé lundi qu'il abandonnait le football professionnel après une saison perturbée par des blessures à répétition à Fluminense (Brésil).

"Avec beaucoup de tristesse et de peine, j'annonce la fin de ma carrière professionnelle. Les dernières minutes jouées mercredi avec Fluminense seront les dernières de 17 années passées sur le terrain comme joueur de football", a annoncé Anderson Luis de Souza, dit Deco, dans un communiqué.

Lors de son dernier match, disputé le 21 août contre Goias, Deco était entré au cours de la deuxième période mais il avait été rapidement sorti suite à une élongation à la cuisse gauche.

Le natif du Brésil, qui a porté les couleurs du Portugal (75 sélections), était revenu au pays en 2010, dans le club carioca de Fluminense, pour lequel il a joué 92 matches (7 buts) et remporté deux titres de champion du Brésil (2010 et 2012), avant une dernière saison fortement perturbée par les blessures que le joueur a fini par écourter.

"J'ai été très heureux au cours de cette période, j'aurais aimé aider davantage Fluminense, mais mon corps ne me l'a pas permis (...) mes muscles ne peuvent plus supporter" les exigences du football professionnel, a ajouté le joueur, qui avait obtenu la nationalité portugaise en 2002.

Passé en début de carrière au Corinthians, Deco a successivement joué sous les couleurs des clubs portugais de Alverca, Salgueiros et Porto, avant d'être recruté par le FC Barcelone (en 2004), où il composa un trio magique avec Ronaldinho et Eto'o, avant de rejoindre Chelsea en 2008.

Son palmarès bien fourni compte deux Ligues des champions européennes (2004 avec le FC Porto puis 2006 avec le FC Barcelone), une Coupe de l'UEFA (Porto), trois Championnats du Portugal (1999, 2003, 2004), deux Championnats d'Espagne (2005 et 2006) et un Championnat d'Angleterre (2010).

Finaliste de l'Euro-2004 avec le Portugal, il avait annoncé sa retraite internationale après la Coupe du monde 2010.

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Message par rachid_as Mar 27 Aoû - 10:58

Seedorf : "J'ai toujours su que je serais entraîneur"

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Dans la première partie de son entretien avec FIFA.com, Seedorf parlait de son arrivée au Brésil et de la façon dont il est rapidement devenu incontournable pour Botafogo, notamment grâce à son rôle de leader d'un effectif relativement jeune. Dans cette deuxième partie, le Néerlandais nous donne plus de détails sur la façon dont il exerce une influence positive et sur l'attention indispensable quand on travaille avec les jeunes.

 Clarence, dans la pratique, comment se passent vos conversations avec les jeunes joueurs de Botafogo ?
Nous parlons par exemple du positionnement sur le terrain. Quand nous jouons, je donne beaucoup de consignes sur la manière de se placer avant que le ballon n'arrive. Je ne suis pas le seul. D'autres aussi donnent des instructions, car personne ne peut tout voir sur tout le terrain. Je parle pas mal. Dória, par exemple, progresse à une vitesse incroyable. Il arrive à remonter le ballon avec une grande confiance, mais c'est le fruit d'un travail collectif. Avec lui, je discute beaucoup de la manière de préparer le ballon. Comme il est gaucher - là, on entre dans un domaine très technique ! -, si le ballon est devant son pied droit, il ne va pas réussir à donner le ballon sur la gauche. C'est quasiment impossible. Par contre, si la balle est à gauche de son pied gauche, il peut aussi facilement passer la balle sur la gauche que sur la droite. Il lui suffit de faire un pas de côté pour pouvoir renverser le jeu. La conséquence, c'est que son adversaire ne sait pas ce qu'il va faire. C'est là qu'il est important de communiquer, pour pouvoir recevoir le ballon si je suis à côté de lui. Ainsi, il se donne des options pour lui-même et pour ses coéquipiers. Cela complique la tâche de l'adversaire. S'il est positionné avec le ballon devant le pied droit, l'adversaire sait que la transmission se fera soit à droite, soit derrière. Le pressing est différent. Ce sont de petits détails. Au début, il ne faisait pas attention à ça et assez souvent, il devait donner la balle en retrait. Dans ce cas-là, vous perdez beaucoup d'occasions d'attaquer. C'était le cas il y a huit ou neuf mois. Il a commencé à suivre mes consignes et depuis, le ballon circule mieux. En plus, il a une bonne frappe. Aujourd'hui, je me penche sur d'autres détails avec lui. C'est sans fin.

Et quand ces conversations ont-elles lieu ?
Dans le vestiaire, en stage, quand nous voyageons ou après les entraînements. Tous les jours. Pour moi, c'est un travail continu. On peut toujours progresser, n'est-ce pas ? Il faut toujours chercher à s'améliorer. Quand j'étais à l'AC Milan, le grand Milan, tout le monde communiquait pour essayer d'améliorer le niveau général. Si vous arrêtez de vouloir progresser, vous stagnez. Si vous voulez gagner, vous n'avez pas le droit de stagner. C'est la loi du marché, du monde, de la vie. Si vous stagnez, vous allez vous faire dépasser.

Jusqu'à quand allez-vous continuer à évoluer ?
C'est un processus sans fin. En ce moment par exemple, je m'entraîne aux penalties. Jusqu'à cette année, je n'en avais jamais tiré dans ma carrière, à part dans les séries de tirs au but. Être le premier tireur de penalties de l'équipe est quelque chose de nouveau pour moi. Pareil pour le positionnement. Aujourd'hui, j'évolue à mon poste de prédilection, celui que j'aime. J'ai montré mes qualités à ce poste, mais dans toute ma carrière, je n'ai joué que deux ans dans cette position. Seulement deux ans. Le reste de ma carrière, j'ai évolué comme milieu plutôt défensif. Parfois à droite, parfois à gauche, parce que je peux aussi facilement évoluer des deux côtés. Cela dépendait des besoins de l'entraîneur. Je l'ai fait parce qu'au final, c'est l'équipe qui compte. J'ai réussi à apporter une contribution importante.

Préférez-vous jouer près du but adverse, où cela vous est-il indifférent ?
Gagner, pour moi, ce n'est pas seulement soulever le trophée. Cela signifie faire le maximum, sur le terrain et en dehors. Si un footballeur est bon pendant cinq matches et qu'après cela, il commence à sortir, à boire, à se lever tard, à avoir une vie dissolue, ses prestations sur le terrain s'en ressentent forcément. Et si à la fin de la saison l'équipe ne gagne rien, alors on commence à se demander si on a fait tout notre possible pour y arriver. C'est une question que je ne veux pas avoir à me poser. Pour moi, gagner signifie ceci : faire tout son possible, individuellement et collectivement, pour soulever le trophée. C'est une question de mentalité. Tout le monde veut gagner, mais tout le monde n'a pas une mentalité de gagneur. Il faut réunir tous les ingrédients. Vous avez l'obligation d'être compétitif. La victoire ne dépend pas seulement de vous. Par contre, il ne dépend que de vous de tout donner et de faire le maximum pour essayer de gagner.

Vitinho, l'un des jeunes joueurs de Botafogo, a dit que vous étiez comme un père pour lui...
(rires) C'est drôle. Cela dit, je pourrais être le père de pas mal de joueurs dans cette équipe. C'est curieux parce qu'en même temps, j'ai l'impression que mes débuts, quand j'avais 16 ans, datent d'hier. C'est assez agréable. Les relations au sein de l'effectif sont très bonnes. Vitinho a atteint un niveau où il doit maintenant confirmer. Son talent est évident, mais il doit être protégé pour pouvoir continuer à évoluer.  Ici, il y a cette culture de donner des interviews sans arrêt, même à la mi-temps. Il est difficile pour n'importe qui de revenir après la mi-temps avec la même intensité (Seedorf avait interrompu une interview avec Vitinho à la mi-temps d'un match). Il y a des moments où il faut savoir dire non. Il faut savoir gérer ce genre de situations. Nous avions marqué un but, mais le match restait très compliqué. C'était loin d'être terminé. J'ai jugé qu'il était important de garder la concentration jusqu'à la fin. J'ai agi naturellement car je sais que pour n'importe quel joueur, expérimenté ou non, il est compliqué de rester concentré jusqu'à la dernière seconde. Quand vous donnez une interview, vous sortez du collectif, alors que le plus important est de rester focalisé. Ce sont des choses ponctuelles. Ça n'arrivera probablement plus, parce que la leçon a été retenue. Il continue de donner des interviews, mais en étant conscient qu'il doit rester concentré. Ce groupe apprend très vite. Une fois que vous avez progressé, vous ne pouvez pas régresser. Nous avons la chance d'avoir cette osmose.

Avez-vous déjà connu cette situation dans votre carrière ?
Quand je suis allé au Real Madrid, il y avait sept ans que le club n'avait plus remporté le championnat. Ils ont acheté 14 joueurs, dont huit ou neuf titulaires. Cette année-là, nous avons survolé la Liga. Pour cela, il faut forcément de la chance. Évidemment, c'est aussi dû à l'entraîneur, Fabio Capello. Il a joué un rôle important. Mais s'il n'y avait pas eu cette osmose entre les joueurs, nous aurions mis beaucoup plus de temps à gagner quelque chose.

Votre discours est focalisé sur le groupe et sa progression. Cela vous prédestine-t-il à une carrière d'entraîneur ?
Oui, sans aucun doute. C'est comme ça depuis le début de ma carrière. Je n'ai jamais rien gagné sans avoir tous ces ingrédients. J'ai été toujours très conscient des choses qui manquaient pour pouvoir gagner des titres. Nous n'avons pas tout gagné, mais nous avons terminé deuxième. Vous ne pouvez pas toujours gagner. Cela dit, nous avons été en course pour le titre jusqu'à la fin de la saison. Je possède déjà la licence d'entraîneur A de l'UEFA. J'ai travaillé avec les jeunes de Nova Iguaçu et de Boavista. Ça m'a plu. J'ai toujours su que je deviendrais entraîneur, mais les choses se sont un peu accélérées. Aujourd'hui, je suis des cours de l'UEFA Pro, le diplôme suprême pour les entraîneurs. J'entraîne des garçons de 17 ans à Boavista. C'est la partie pratique. Pour ce qui est de la théorie, je fais mes devoirs comme le font les entraîneurs aux Pays-Bas.

Comment va débuter cette nouvelle carrière ?
Ah, je n'en sais rien ! Aujourd'hui, mon objectif est de faire tout mon possible pour terminer cette carrière en beauté, au plus haut. Je ne veux pas terminer dans une petite équipe, en cinquième division. Ce genre de chose n'est pas pour moi. Je ne supporterais pas. Le Brésil, en dehors de l'Europe, est le pays qui possède le meilleur football. Je voulais jouer à ce niveau-là. Je savais que ça allait être différent, difficile, mais j'avais besoin d'un défi. L'année dernière, Massimiliano Allegri ne m'a pas fait beaucoup jouer. Il me gardait pour les matches importants. Mais après quatre rencontres sur le banc, vous perdez le rythme. Ma moyenne était de 48 matches par an. Du jour au lendemain, vous ne jouez plus que la moitié de ce temps-là. C'est compliqué, pour le corps comme pour le rythme. Je suis un footballeur qui a besoin de temps de jeu. Je n'ai pas aimé son comportement envers moi. J'ai eu envie de partir, tout simplement parce que j'avais envie de jouer au foot. Je ne pouvais pas regarder les matches depuis le banc de touche. Je voulais me fixer un nouveau défi, qui demanderait beaucoup de motivation. Après 20 ans de carrière, je voulais continuer de me lever tous les jours pour m'entraîner et faire toutes les choses que je faisais depuis longtemps, c'est-à-dire participer à un projet collectif majeur.

Vous êtes heureux. Tout du moins, c'est l'impression qu'on a quand on vous écoute parler...
(sourire) Vous devez vivre avec votre temps, sans penser au passé ou à l'avenir. Quand vous faites un choix, il faut le vivre intensément. Demain ou dans un an, les choses vont changer, je serai peut-être ailleurs. Qui sait ? Il faut savoir vivre bien.

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Message par rachid_as Mar 27 Aoû - 11:02

L'ex-gardien de la Seleçao Gilmar est décédé

International -News (Part 2) 2157628_FULL-LND

L'ancien gardien de la sélection du Brésil Gilmar dos Santos, champion du monde avec la Seleçao en 1958 et 1962, est décédé dimanche à l'âge de 83 ans, a confirmé lundi l'hôpital de Sao Paulo où il avait été pris en charge.

Gilmar s'est éteint dans la nuit à l'hôpital syrio-libanais, où il était soigné depuis le 8 août pour une infection urinaire et un infarctus, selon une note du centre médical.

L'ex gardien international (94 sélections) souffrait depuis 13 ans des séquelles d'un AVC et d'une affection cardiaque.

Gardien titulaire de la sélection brésilienne championne du monde en Suède (1958) puis au Chili (1962), Gilmar a gardé les buts des Corinthians (Sao Paulo) pendant dix ans entre 1951 et 1961 et a pris sa retraite sportive en 1969.

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Message par rachid_as Jeu 29 Aoû - 20:15

France : Deschamps évoque Zidane entraîneur

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Didier Deschamps s'est félicité de la récente nomination de Zinédine Zidane au poste d'entraîneur-adjoint de l'Italien Carlo Ancelotti au Real Madrid: "c'est bien pour lui", a déclaré le sélectionneur de l'équipe de France dans un entretien exclusif à l'AFP jeudi matin.

"C'est bien pour lui. Il a pris cette décision d'être sur le terrain. Il a eu Carlo (Ancelotti) comme entraîneur (à la Juventus Turin entre 1999 et 2001, ndlr). Il a passé ses diplômes, il a envie d'être sur le terrain", a expliqué Deschamps en préambule de l'annonce de sa liste de 25 joueurs convoqués pour les matches qualificatifs au Mondial-2014 que les Bleus disputeront en Géorgie (6 septembre) puis au Belarus (10 septembre).

"C'est un autre métier quand on passe de l'autre côté, avec forcément un rythme différent. C'est bien pour lui, déjà, qu'il ait pu décider dans quelle voie il voulait s'engager", a estimé le sélectionneur qui remporta la Coupe du monde 1998 aux côtés de Zidane.

Comme on lui demandait si Zidane communique assez, Didier Deschamps a répondu: "Je connais bien le joueur. La fonction implique forcément aujourd'hui de communiquer. Quand on lui demande de parler, il parle. Chacun aura son interprétation, mais il n'a jamais eu de souci pour parler. Peut-être qu'il parlait moins quand il était joueur, mais quand il parlait il parlait".

"Je ne suis pas objectif non plus, parce que j'étais régulièrement avec lui, et on parlait plus en tête-à-tête dans la chambre", a enfin ajouté le Basque en référence à leurs années communes à la Juventus (1995-1999).

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Message par rachid_as Jeu 29 Aoû - 20:18

Première réunion pour la Task Force Israël-Palestine

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La nouvelle Task Force de la FIFA destinée à améliorer la situation du football en Palestine se réunira pour la première fois le mardi 3 septembre au Siège de la FIFA, à Zurich. La création de ce groupe de travail a été annoncée au début du mois de juillet par le Président de la FIFA, Joseph S. Blatter, suite au mandat qu’il avait reçu lors du 63ème Congrès de la FIFA et à son déplacement au Moyen-Orient.

Le Président de la Fédération Israélienne de Football (IFA), Avi Luzon, le Président de la Fédération Palestinienne de Football (PFA), Jibril Al Rajoub, le Vice-Président de la FIFA et Président de la Fédération Jordanienne de Football (JFA), SAR le Prince Ali Bin Al Hussein, et les Présidents des deux confédérations concernées, Shaikh Salman bin Ebrahim Al Khalifa (AFC) et Michel Platini (UEFA), ont été invités par le Président Blatter à rejoindre cette Task Force.

Le groupe travaillera sur plusieurs sujets bilatéraux, comme la libre circulation des joueurs, des arbitres et des équipements sportifs en Palestine et à ses frontières. L’objectif principal est d’améliorer la situation du football dans la région, afin que la FIFA, conformément à ses statuts, puisse y accomplir sa mission de développement et de promotion du football.

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Message par rachid_as Jeu 29 Aoû - 20:22

Supercoupe d'Europe
Chelsea - Cech : "Un match très spécial"


International -News (Part 2) 2001028_medium

La Supercoupe d'Europe 2013 entre Chelsea et Bayern Munich, vendredi à Prague (18h45 GMT), sera un match très spécial pour le gardien de but tchèque des "Blues", Petr Cech, qui jouera à l'extérieur sur... sa terre natale.

Comment vous sentez-vous personnellement à Prague, avant le match de vendredi dans Eden Arena contre l'équipe bavaroise?
J'avoue que ce sera un match très spécial pour moi. Je connais bien ce stade, j'y ai déjà joué avec l'équipe nationale, mais ce qui est nouveau pour moi, c'est qu'il s'agira d'un terrain neutre cette fois-ci. Cela m'arrive pour la première fois dans ma carrière. Il n'y aura certes pas beaucoup de spectateurs tchèques sur les gradins, mais d'après ce que j'ai entendu dire, ils seront majoritaires à supporter Chelsea à cause de moi, son gardien de but. Malheureusement, on n'aura pas beaucoup de temps pour que je puisse montrer à mes coéquipiers tout ce qui est beau à Prague. Nous sommes venus pour jouer au foot.

Vous préparez-vous à une nouvelle séance de tirs au but, comme pour la finale de la Ligue des Champions en 2012?
L'essentiel, c'est de remporter la coupe. Que l'on gagne à l'issue du temps réglementaire ou à l'issue des tirs au but, ce n'est si important. Mais bien sûr, on se prépare aussi pour cette éventualité. Les joueurs tirent des penaltys à la fin de nos derniers entraînements. Notre victoire en 2012 face au Bayern, dans son arène, c'était quelque chose d'incroyable, un sentiment fantastique. En Europa League cette année, c'était pareil. Nous sommes fiers de pouvoir disputer la Supercoupe, c'est une grande motivation pour nous.

Que signifie pour vous le retour de José Mourinho sur le banc des "Blues"?
Nous avons déjà obtenu sous sa conduite pas mal de succès et je suis fermement convaincu que cette série va se poursuivre. Il y a de nouvelles recrues à Chelsea, nous avons une nouvelle motivation. L'important pour nous, c'est de gagner. C'est un scénario idéal pour nous.

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Message par rachid_as Jeu 29 Aoû - 20:26

Supercoupe d'Europe
Tout sur le duel entre Pep et Mou


International -News (Part 2) 1343309_medium

Il s'agit probablement des deux entraîneurs les plus cotés de ces dernières années. Les plus médiatiques et les plus admirés aussi. Ils ont adopté des méthodes et des trajectoires à première vue opposées, mais Josep Guardiola et José Mourinho ont au moins deux points communs : leur prénom et leur réussite. Le maestro catalan restera l'architecte de ce qui, pour beaucoup d'experts et de passionnés, restera le meilleur FC Barcelone de l'histoire. Quant au stratège portugais, il est réputé pour sa capacité à faire triompher toutes les équipes dont il prend les commandes.

Après des années d'une féroce rivalité née lors du passage de Mourinho à l'Inter Milan et amplifiée lorsque les deux hommes dirigeaient les géants du football espagnol, Pep et Mou vont se retrouver le 30 août à l'occasion de la Supercoupe d'Europe. Un an et quatre mois après leur dernier face-à-face, Pep Guardiola et José Mourinho vont s'affronter de nouveau, mais cette fois à la tête du Bayern Múnich et de Chelsea respectivement.

FIFA.com en profite pour comparer les carrières de ces deux monuments.

Joueurs-entraîneurs :
Guardiola : FC Barcelone B (1989-90), FC Barcelone (1990-01), Brescia (2001-02), AS Rome (2002-03), Brescia (2003-04), Al-Alhi (2003-05), Dorados de Sinaloa (2005-06).
Mourinho : Os Belenses (1980-81), Rio Ave (1981-82), Os Belenses (1982-83), Sesimbra (1983-84), U. Técnica (1984-85), Comercio e Industria (1985-87).

Si les deux hommes ont débuté en tant que joueurs, ils ont connus des parcours bien différents. Guardiola faisait partie de la Dream Team barcelonaise de Johan Cruyff, avec laquelle il a conquis la première Coupe d'Europe des Clubs Champions de l'histoire azulgrana en 1992, et il a joué en équipe d'Espagne. Après avoir été le symbole du jeu à la barcelonaise, il a exporté son talent en Italie, au Qatar et au Mexique. Mais son goût pour la tactique et les systèmes de jeu étaient inscrits dans ses gènes depuis bien longtemps. D'ailleurs, l'ancien Madrilène Raúl n'a-t-il pas un jour déclaré : "Guardiola était déjà entraîneur sur le terrain" ?

À l'inverse de son rival, Mourinho n'a pas connu la gloire sur le rectangle vert. Le Portugais a évolué dans de modestes clubs portugais, comme Rio Ave ou Os Belenenses, sans jamais accéder à la première division. À l'époque déjà, il aidait son père, ancien gardien et entraîneur, en concoctant des rapports sur les futurs adversaires de son équipe. Déjà, il se préparait à une reconversion sur le banc qu'il a effectuée dès l'âge de 24 ans.

L'homme d'un club face au globe-trotter :
Guardiola : FC Barcelone B (2007-08), FC Barcelone (2008-12), Bayern Munich (2013 à aujourd'hui).
Mourinho : Benfica (2000-01), U. Leiria (2001-02), FC Porto (2002-04), Chelsea (2004-08), Inter Milan (2008-10), Real Madrid (2010-2013), Chelsea (2013 à aujourd'hui).

Les deux hommes ont également connu des parcours d'entraîneurs différents. Bref et intense, celui de Guardiola a été marqué par son club de cœur, le FC Barcelone. Il a fait ses premières armes avec l'équipe B, qu'il a amenée au niveau supérieur, avant d'accéder à la gloire avec l'équipe première. Après quatre exercices sur le banc blaugrana, il a pris une année sabbatique avant de relever le défi munichois, aux commandes d'une équipe qui sort d'un triplé Bundesliga - Coupe - Ligue des champions de l'UEFA sous la houlette de Jupp Heynckes.

À l'inverse, Mourinho est un globe-trotter du ballon rond. Après avoir été assistant de Bobby Robson et de Louis van Gaal au Barça à l'époque où Guardiola était encore joueur, il a véritablement débuté sa carrière au Portugal. Son brillant passage au FC Porto lui a ouvert les portes de la Premier League. Depuis, il enchaîne les titres avec Chelsea, l'Inter Milan et le Real Madrid. Cette saison, il est revenu chez les Blues, qui viennent de remporter l'UEFA Europa League.

Deux palmarès exceptionnels :
Guardiola (14 titres) : 3 championnats ; 2 Ligue des champions de l'UEFA ; 2 Coupes du Monde des Clubs de la FIFA ; 2 Supercoupes d'Europe ; 2 Coupes du Roi ; 3 Supercoupes d'Espagne.
Mourinho (20 titres) : 7 championnats ; 2 Ligue des champions de l'UEFA; 1 Coupe de l'UEFA ; 6 Coupes ; 4 Supercoupes d'Espagne.

Si Guardiola peut se targuer d'être l'unique entraîneur à avoir conquis les six titres possibles sur une saison, sa première au Barça, et de s'être bâti un palmarès admirable avec 14 trophées en quatre ans, Mourinho n'est pas en reste. Le Special One a en effet remporté le championnat de quatre pays différents - Portugal, Angleterre, Italie et Espagne -, un tour de force que le grand Giovanni Trapattoni est le seul autre entraîneur à avoir réalisé. En outre, depuis 2002, il n'a connu qu'un seul exercice vierge de tout trophée. Autant dire que la présence de Mou sur un banc de touche donne de sérieux gages de succès.

Confrontations directes :
15 matches : 7 victoires pour Guardiola, 3 pour Mourinho, 5 nuls.

En à peine trois ans, les duels Pep-Mou sont devenus de véritables clasicos. L'histoire a commencé en 2009 avec les matches de groupes de la Ligue des champions de l'UEFA entre le Barça et l'Inter, suivis la même saison d'une double confrontation en demi-finale remportée par le Portugais. Après quoi, Mourinho a pris les commandes du Real et Guardiola a fait pencher la balance en sa faveur puisqu'il ne s'est plus incliné qu'à deux reprises. L'un de ces revers est intervenu en finale de la Coupe du Roi, seul match sec entre les deux clubs.

Ce vendredi 30 août, nous assisterons donc à la 16ème édition du duel Pep-Mou.

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Message par rachid_as Jeu 29 Aoû - 20:31

Joueur UEFA de la saison
Ribéry : "C'est spécial pour moi"


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Franck Ribéry a été élu joueur UEFA de la saison 2012-2013 au cours de laquelle le Français fut l'élément moteur du triplé Ligue des champions-Championnat-Coupe d'Allemagne réussi par le Bayern Munich.

En marge du tirage au sort de la phase de groupes de la Ligue des champions, Ribéry a terminé en tête des suffrages du collège des 53 journalistes votants, devant Messi et Ronaldo. Il succède au palmarès aux Barcelonais Messi (2011) et Iniesta (2012).

"Ca fait toujours plaisir de gagner un trophée, c'est spécial pour moi ce soir, je remercie les dirigeants du Bayern, mes équipiers, les supporters, j'ai une grande pensée pour ma famille, mes enfants, ma femme", a dit l'ancien Marseillais en recevant le trophée des mains de Michel Platini, président de l'UEFA.

Remporter ces trois titres C1-Championnat-Coupe relève de l'exploit pour un club, le Bayern n'étant que la 7e équipe de l'histoire à le réaliser. Mais pour un joueur, se classer devant les monstres sacrés Messi et Cristiano Ronaldo relève d'un exploit non moins considérable !

"La Pulga" et "CR7", habitués à truster les récompenses depuis quelques années, ont de nouveau empilé les buts, en 2012-2013: 69 pour le premier, 59 pour le second (toutes compétitions de clubs et sélections confondues). Mais ils ont aussi connu un exercice beaucoup moins roboratif que le Français question palmarès: l'Argentin n'a remporté que le Championnat d'Espagne, et le Portugais la Supercoupe d'Espagne.

Décisif à Wembley
Ribéry, lui, a sans doute réussi la meilleure saison de sa carrière en décrochant enfin la "coupe aux grandes oreilles", après deux finales de C1 perdues en 2010 et 2012. "Ca a été une année extraordinaire pour nous avec le Bayern, on attendait ça depuis longtemps, ce titre en Ligue des champions, l'ambiance était fantastique à Wembley pour la finale de la C1, le Bayern méritait ce trophée depuis longtemps", avait-il dit durant la cérémonie peu avant son élection jeudi.

En 27 matchs de Bundesliga, le Français a totalisé 10 buts et 14 passes décisives. En 12 rencontres de Ligue des champions, il a signé un but et cinq passes décisives. Lors de la finale remportée face au Borussia Dortmund (2-1), "Kaiser Franck" a d'ailleurs été impliqué dans les deux buts, offrant notamment à Robben celui de la victoire d'une talonnade un peu heureuse.

En équipe de France, Ribéry est désormais le plus capé (74 sélections et 12 buts), et représente la seule valeur sûre de haut niveau du secteur offensif. Ce trophée de meilleur joueur européen de la saison, "il le mérite, par ce qu'il a fait, les résultats et les titres qu'il a gagnés, même si mon côté objectivité n'est pas total, avait dit jeudi matin le sélectionneur des Bleus Didier Deschamps à l'AFP. Il ferait un beau vainqueur".

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Message par rachid_as Jeu 29 Aoû - 22:17

Le Graët : "La famille du football français fière"

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Le président de la FFF, Noël Le Graët, a salué jeudi soir le "formidable talent" de Franck Ribéry, élu meilleur joueur UEFA pour la saison 2012-13.

"Cette distinction récompense la magnifique saison réalisée par Franck avec son club et, surtout, elle met en exergue son formidable talent qui lui permet aujourd'hui de figurer parmi les meilleurs joueurs du monde", s'est réjoui le dirigeant français sur le site de la 3F.

"Toute la famille du football français est très fière, et s'associe à moi pour le féliciter", a-t-il conclu.

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Message par rachid_as Ven 30 Aoû - 18:15

Clube Deportivo Olimpia VS Motagua
Une rivalité qui perdure au Honduras


International -News (Part 2) 1435429%5ffull-lnd

Il ne faut jamais perdre de vue son ennemi. Cela pourrait s'appliquer à Olimpia et Motagua, car les deux grands rivaux du Honduras se partagent l'Estadio Nacional, qui est aussi le stade de l'équipe nationale.

Comme les deux clubs ont connu le succès dès le début, une rivalité s'est installée entre eux au fil du temps. Elle n'a qu'un seul enjeu : prouver quelle est la meilleure équipe du Honduras. FIFA.com revient sur l'histoire du Superclásico Nacional.

Les origines
Le Club Deportivo Olimpia, baptisé ainsi en l'honneur des Jeux Olympiques, est fondé en 1912. C'est à l'origine un club de baseball. Quelques années plus tard sont inaugurées les sections basket-ball et football, le club étant désireux de proposer plusieurs disciplines. Le football ne tardera pas à s'imposer et à devenir le sport roi de l'Albo.

Seize ans plus tard, El Ciclón Azul voit le jour, une formation qui deviendra le plus grand rival du Club Deportivo Olimpia. En 1928, le Guatemala et le Honduras se livrent une querelle de frontière au sujet de la région du fleuve Motagua. C'est ainsi que naît, sous la direction de Marco Antonio Ponce, le Club Deportivo Motagua, qui gagne d'emblée le cœur des fans en raison du contexte historique.

Un an plus tard, les deux équipes s'affrontent pour la première fois : le 12 mars 1929, Motagua s'impose 2:1. Cette rencontre marque la naissance d'un derby qui, depuis, a été disputé à plus de 200 reprises.

Quelques chiffres
Sur le plan statistique, c'est clairement Olimpia qui l'emporte, avec 77 victoires à son actif contre 46 pour son adversaire (chiffres en août 2013). Motagua s'est toutefois imposé quatre fois dans le cadre d'une finale, tandis que son rival n'en a gagné qu'une.

Amado Guevara est le joueur toujours actif qui a inscrit le plus de buts à l'occasion du Superclásico Nacional, sous les couleurs d'Olimpia : il a signé sept réalisations. Il est suivi par Ramiro Bruschi, qui en a enregistré six pour Motagua. Sur la liste des meilleurs buteurs figure également le nom de Noel Valladares, le... gardien de but actuel d'Olimpia ! En 2003, alors qu'il jouait pour Motagua, il a décidé, en deuxième période de la demi-finale, de s'essayer au rôle d'attaquant. Il a alors inscrit le second but de son équipe, contribuant ainsi à son accession à la finale.

Ramón Maradiaga est l'entraîneur qui a vécu le plus d'éditions du derby. En 44 duels à la tête de Motagua, il a comptabilisé 15 victoires, 15 nuls et 14 défaites.

Anecdotes et petites phrases
La confrontation de septembre 1968, à l'issue de laquelle Motagua s'est imposé 2:0, est restée dans les annales. À la fin du match, Fermín Navarro, de Motagua, élimine trois adversaires, puis décide en entrant dans la surface de réparation, non pas de tirer mais de... s'asseoir sur le ballon ! "Il ne restait plus que cinq minutes avant le coup de sifflet final et nous avions parié entre nous pour savoir qui oserait faire ce genre de chose. Tout le monde dans le stade en est resté bouche bée. C'était une autre époque, quand on jouait pour son club, on y mettait plus de cœur qu'aujourd'hui", raconte le joueur.

Comme pour la plupart des derbies, l'histoire du Superclásico hondurien compte une anecdote qui est devenue au fil du temps une légende. Salvador Bernárdez, buteur de Motagua à l'époque, en est le héros. Il décocha ce jour-là une frappe surpuissante face au gardien Belarmino Rivera et inscrivit l'un de ces buts que l'on n'oublie jamais et qui fascinent les fans. On dit que le tir était si puissant qu'il déchira les filets… "Non, c'est évidemment n'importe quoi. C'était un match amical dans le cadre de la préparation de la saison. Je me souviens que Bernárdez a contrôlé le ballon et immédiatement marqué, mais les filets sont restés intacts…", rectifie l'ancien portier d'Olimpia.

Le derby a bien sûr aussi été l'occasion d'un baptême du feu pour de nombreux jeunes footballeurs. Un joueur d'Olimpia a ainsi fait ses débuts en 1999 lors du match contre Motagua, à 19 ans. Ce jeune homme athlétique au style élégant a immédiatement impressionné. Il faut dire qu'il a contribué par deux réalisations à la victoire 4:1 de son équipe. C'était David Suazo, qui a alors fait les gros titres pour la première fois de sa carrière et allait devenir l'un des plus grands joueurs de l'histoire du football hondurien.

La première décennie du XXIème siècle a donné lieu à une série de duels passionnants. Les équipes se sont mesurées en finale du championnat à trois reprises. Motagua s'est imposé deux fois, en 2006/07 et en 2010/11, et Olimpia une fois, en 2009/10. Lors de la dernière de ces finales, Motagua semblait sur la voie du succès après le nul 2:2 du duel à l'extérieur, mais la tendance s'est renversée durant le match retour. Olimpia a gagné 3:1 et s'est ainsi adjugé son douzième titre de champion du Honduras. Trois des cinq buts d'Olimpia en finale ont été signés par Jerry Bengtson, qui est par ailleurs le seul joueur à avoir réussi jusqu'à présent à s'imposer trois fois de suite comme le meilleur buteur des deux tournois semestriels du Honduras. "C'était un moment particulièrement fort, parce que j'ai contribué à ce que nous gagnions le titre contre notre rival", se souvient le buteur.

Aujourd'hui
À l'heure actuelle, Olimpia a un peu plus de succès que son concurrent. En championnat, il est tenant du titre et occupe la troisième place du classement avec sept points au compteur. Il dispute en outre la phase de groupes de la Ligue des champions de la CONCACAF. Motagua, de son côté, se concentre pleinement sur le championnat. Il figure actuellement au cinquième rang et ne manquera pas de tout mettre en œuvre pour détrôner son grand rival.

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Message par rachid_as Ven 30 Aoû - 23:33

Supercoupe d'Europe
Ribéry s'offre un bon dessert


International -News (Part 2) 2160024_medium

En battant Chelsea aux tirs au but (2-2 a.p.; 5-4 t.a.b.), le Bayern Munich a remporté sa première Supercoupe d'Europe à Prague, permettant ainsi à son meilleur homme Franck Ribéry de s'offrir un dessert 24 heures après avoir été sacré joueur de l'UEFA.

L'échec de Romalu Lukaku, dixième joueur appelé à effectuer les tirs au but, a donné un point final à un spectacle particulièrement plaisant, une véritable fête du football dans l'Eden Arena.

Le club munichois a ainsi pris sa revanche face aux "Blues", après la finale malheureuse de la Ligue des champions 2012 perdue sur ses terres, également à l'issue d'une séance de tirs au but (4-3). Avec son capitaine Lahm en milieu de terrain à la place de Schweinsteiger blessé, le Bayern a subi très tôt une douche froide: Torres battait Neuer d'une frappe sans merci d'une dizaine de mètres, après avoir été servi par Schürrle lancé sur le flanc droit par Hazard ( 8 ).

Après son déplacement nocturne de Monaco à Prague, Ribéry prenait bientôt les rênes du match: après un rapide une-deux avec Mandzukic, il décochait un tir puissant des 18 mètres et Cech devait faire preuve de tous ses talents pour dévier le ballon en corner (23). Malgré la pression bavaroise, les Londoniens ne laissaient échapper aucune possibilité de contre-attaque: Neuer poussait un soupir de soulagement en voyant une nouvelle tentative de Torres frôler la barre transversale (31). De l'autre côté, Cahill sauvait les "Blues" in extrémis devant Müller, lancé dans la surface par Robben (38).

Ribéry décisif
L'heure du "Kaiser Franck" a sonné après la pause: Cech n'avait aucune chance face à sa puissante frappe d'une vingtaine de mètres, synonyme d'égalisation à 1-1 et d'une nouvelle offensive bavaroise menée essentiellement par le numéro 7.

Le Bayern risquait pourtant de payer cher une perte de ballon de Dante à l'intérieur de sa surface: Neuer sauvait d'abord miraculeusement devant Oscar, puis Lampard ne réussissait pas à cadrer son tir.

A la 79e minute, la tête d'Ivanovic, servi par David Luiz, ne trouvait que la barre transversale de Neuer.

A cinq minutes de la fin du temps réglementaire, Ramires écopait d'un second carton jaune après sa faute sur Götze, et devait quitter la scène...

Une douche glaciale surprenait les Bavarois après le début de la prolongation. Servi par David Luiz sur le flanc gauche, Hazard se débarrassait de Lahm et de Boateng dans la surface, et son tir à ras de terre glissait sous Neuer (93).

Première pour Guardiola
Bayern redoublait d'efforts mais Cech se montrait impeccable lors des deux coups de tête de Mandzukic puis Martinez (109). Peu après, Shaqiri hésitait trop devant Cech.Vigilant face à la tentative de Götze (115) et un coup franc de Ribéry (118), il capitulait pourtant devant Martinez (120+1), au moment où la pression du Bayern était maximale.

Le Bayern inscrit sur son palmarès sa première Supercoupe, une cerise sur le gâteau déjà très appétissant de la fabuleuse saison 2012-2013 marquée par le triplé historique Ligue des Champions-Championnat-Coupe d'Allemagne. Jusqu'ici, le club bavarois avait été obligé d'avaler trois pilules amères, en s'inclinant en 1975, 1976 et 2001.

Deux fois vainqueur de la Supercoupe en tant que joueur, Pep Guardiola, devient dans le même temps premier entraîneur à avoir remporté à trois reprises ce trophée, dépassant ainsi Alex Ferguson, Carlo Ancelotti, Louis van Gaal et Arrigo Sacchi.

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Message par rachid_as Lun 2 Sep - 8:53

Suspension provisoire d’un joueur zimbabwéen après des tests antidopage

International -News (Part 2) 2159685_FULL-LND

Le président de la Commission de Discipline de la FIFA a suspendu à titre provisoire un international zimbabwéen pour une période initiale de 30 jours, et a ouvert une procédure disciplinaire à son encontre en raison d’un résultat d’analyse anormal obtenu dans le cadre d’un contrôle de dopage effectué à l’issue du match de qualification pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™ disputé à Harare, au Zimbabwe, le 9 juin 2013 entre le Zimbabwe et l’Égypte.

Après avoir reçu les résultats de l’analyse de l’échantillon "A", qui ont signalé la présence d’une substance interdite figurant parmi la Liste des interdictions 2013 de l’AMA, le joueur n’a pas demandé l’analyse de l’échantillon "B" sous le délai imparti.

La décision du président de la Commission de Discipline de la FIFA a été dûment notifiée à la Fédération Zimbabwéenne de Football le 30 août. Le joueur a jusqu’au 9 septembre pour indiquer à la FIFA s’il souhaite être entendu. Qu’il le demande ou non, le joueur et/ou la Fédération Zimbabwéenne de Football a/ont jusqu’au 16 septembre pour présenter à la FIFA une déclaration assortie de toute preuve documentaire à l’appui.

Ce contrôle positif à une substance interdite constitue de la part du joueur une violation de l’art. 63 du Code disciplinaire de la FIFA. La décision de suspendre provisoirement le joueur a été prise en vertu des articles 38 et suivants du Règlement antidopage de la FIFA et des articles 129 et suivants du Code disciplinaire de la FIFA.

Conformément à l’art. 74, al. 2 du Règlement antidopage de la FIFA, la FIFA ne peut rapporter publiquement la nature d’une violation d’une règle antidopage, le nom du joueur ayant commis cette violation, la substance interdite en question et les conséquences imposées uniquement lorsqu’il aura été déterminé, dans le cadre d’une audience, qu’une violation des règles antidopage a bien été commise, ou après que le droit à une telle audience aura été rejeté ou que l’accusation de violation des règles antidopage n’aura pas été contestée dans les délais requis.

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Message par rachid_as Lun 2 Sep - 14:12

Beckenbauer : "Cette année, Ribéry est le meilleur"

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Franz Beckenbauer est l'un des anciens footballeurs les plus admirés. Âgé de 67 ans, l'Allemand au palmarès très fourni a remporté ses plus grands succès en Coupe du Monde de la FIFA™ : en 1974, l'ancien libéro a décroché la couronne mondiale dans son pays et 16 ans plus tard, en tant qu'entraîneur, il a emmené la Mannschaft jusqu'au titre en Italie.

En 2006, dans le rôle de président du Comité organisateur de la Coupe du Monde de la FIFA™, il a suscité l'enthousiasme aussi bien des participants au tournoi en Allemagne que des fans du monde entier.

Dans le cadre du tournoi Sepp Blatter à Ulrichen, en Suisse, Beckenbauer s'est entretenu avec FIFA.com. Il évoque sa plus grande réussite en tant qu'entraîneur, parle du rendez-vous mondial 2014 au Brésil et dévoile ses favoris dans la course au titre.


Franz Beckenbauer, en  1990, vous avez remporté la Coupe du Monde de la FIFA™ avec l'Allemagne en tant que sélectionneur. Quels souvenirs gardez-vous de cette compétition ?
La Coupe du Monde, c'est bien sûr ce qu'on garde le plus en mémoire dans sa carrière. En 1990, avec toute notre passion pour le football, nous avons réussi à devenir champions du monde dans un pays de rêve, l'Italie. Heureusement, les Argentins avaient battu le pays hôte en demi-finale, sinon il aurait sûrement été un peu plus difficile pour nous de disputer la finale contre les favoris italiens, qui jouaient à domicile. Il était plus facile de gagner contre l'Argentine. C'était un tout cas un événement que je ne suis pas près d'oublier.

L'année prochaine, l'épreuve sera disputée au Brésil. Qu'attendez-vous de cette Coupe du Monde de la FIFA 2014™ ?
Le Brésil est comme l'Italie un grand pays de football, qui a une vraie passion pour ce sport. J'espère que cela se ressentira pendant le tournoi.

La Seleção aremporté la Coupe des Confédérations de la FIFA 2013. Jusqu'où pensez-vous le pays hôte capable d'aller en 2014 ?
Si l'on regarde les statistiques, le vainqueur de la Coupe des Confédérations n'a encore jamais remporté la Coupe du Monde l'année suivante. Si on se fie à cela, les choses se présentent mal pour les Brésiliens (rires). Mais la Coupe du Monde se déroulera dans leur pays, ils ont montré en Coupe des Confédérations de quel bois ils se chauffaient et je les pense capable de se montrer aussi convaincants en 2014. Avec l'avantage du terrain, ils partent en tout cas grands favoris dans la course au titre.

Que pensez-vous de l'Allemagne entraînée par Joachim Löw ?
Jogi Löw a pris ses fonctions de sélectionneur de l'Allemagne en 2006 et continué ce qu'il avait commencé en tant qu'adjoint de Jürgen Klinsmann. Il a suivi la même voie de manière cohérente et cette voie a mené l'Allemagne au succès, grâce aussi à de nouveaux talents. Il reste quelques éléments de la sélection de la Coupe du Monde 2006, les autres sont de jeunes joueurs prometteurs sortis des centres de formation. Ces centres sont un très bon filon non seulement pour les clubs, mais aussi pour l'équipe nationale. Un nouveau style de jeu s'est développé, un vent de jeunesse et de fraîcheur souffle sur la Mannschaft. Joachim Löw n'y est pas pour rien. S'il y a une équipe qui peut battre le Brésil, je pense que c'est bien l'Allemagne.

La tâche est-elle plus facile pour Joachim Löw aujourd'hui, avec tous ces jeunes talents, que pour vous en 1990 ?
Quand on a l'embarras du choix, comme c'est le cas actuellement pour Joachim Löw, ça rend le travail plus facile, c'est clair. Il a aussi la chance que l'Allemagne possède actuellement deux clubs excellents. On l'a vu la saison passée, où le Bayern Munich et le Borussia Dortmund ont accédé à la finale de la Ligue des champions. L'équipe nationale sera constituée en premier lieu de joueurs de ces deux clubs. Bien sûr, d'autres joueurs comme Mesut Özil ou Sami Khedira s'y ajouteront, mais le gros de l'effectif sera composé d'éléments de Munich et de Dortmund. C'est toujours un avantage. On l'a constaté en 1974, où six membres de l'équipe de la Coupe du Monde venaient du Bayern et trois de Mönchengladbach, comme c'était déjà le cas en 1972.

Avec la grande rivalité qui existe entre le Bayern Munich et le Borussia Dortmund, l'Allemagne ne risque-t-elle pas d'en subir les conséquences ?
J'ai moi-même vécu cette situation en tant que joueur. Mes collègues de Munich et moi avions bien sûr des concurrents comme Berti Vogts, Günter Netzer, Hacki Wimmer ou Jupp Heynckes, qui évoluaient au Borussia Mönchengladbach. En club, nous nous affrontions sur le terrain, mais quand nous étions réunis en équipe nationale, nous tentions de former une unité. Ce n'est pas différent aujourd'hui.

Quelles sont les chances des autres pays pour la Coupe du Monde de la FIFA 2014™ et notamment des pays sud-américains, qui joueront sur leur continent ?
Les Sud-Américains se considèrent en quelque sorte comme des coorganisateurs. La Coupe du Monde se déroulera non seulement au Brésil, mais aussi en Amérique du Sud et c'est pour cette raison que les équipes du continent sont particulièrement motivées. Mais il ne me vient à l'esprit aucune équipe qui soit actuellement en mesure de jouer le titre. Les Argentins agissent toujours de la même façon et sont dépendants de Lionel Messi. Quant aux autres équipes, je les connais trop peu. Du côté européen, en plus de l'Allemagne, je dirais que l'Espagne a ses chances. Les Espagnols ont abordé la Coupe des Confédérations épuisés après une longue saison. Sans préparation, ce n'est pas possible de réussir. On a bien vu que les joueurs étaient fatigués. Ce sera différent l'année prochaine en Coupe du Monde. L'Allemagne et l'Espagne sont selon moi les seules formations qui puissent encore disputer le titre au Brésil.

Franck Ribéry a été sacré la semaine dernière meilleur footballeur d'Europe. À vos yeux, est-il actuellement le meilleur joueur du monde ?
Franck Ribéry est celui qui a connu le plus de réussite parmi les trois derniers joueurs qui étaient nominés pour cette récompense. Il fait sans aucun doute partie des meilleurs et cette année, il était "LE" meilleur. Sans lui, le Bayern Munich n'aurait pas réalisé son triplé, il aurait peut-être remporté un ou deux titres, mais pas les trois. Franck Ribéry y a grandement contribué.

En tant que président d'honneur du Bayern Munich, pensez-vous votre club capable de rééditer cette année son triplé championnat - Coupe d'Allemagne - Ligue des champions de l'UEFA de la saison dernière ?
Si les autres clubs le laissent faire, oui, mais je crains que non ! Le Borussia Dortmund s'est renforcé et ne permettra sûrement pas que le Bayern domine ainsi le football allemand une nouvelle fois. Le BVB essaiera de remporter des titres. Il est assez fort pour ça. La réussite du Bayern dépend surtout de lui-même. Il faudra encore quelques semaines ou même quelques mois avant que Pep Guardiola ne soit satisfait, car l'équipe n'a pas encore assimilé le jeu direct que l'entraîneur préconise. C'est normal, cela prend du temps. Je me réjouis en tout cas à la perspective d'une saison qui s'annonce passionnante et je crois que les choses vont se dérouler comme l'année dernière. Le titre de champion se jouera entre le Borussia Dortmund et le Bayern Munich.

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Message par rachid_as Lun 2 Sep - 18:55

France, Gignac : "Je suis un acharné"

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"Je suis un acharné": c'est en ces termes que l'attaquant André-Pierre Gignac a décrit, lundi à Clairefontaine, son état d'esprit combatif qui lui permet d'être rappelé en équipe de France pour la première fois depuis le Mondial-2010, par le sélectionneur Didier Deschamps.

Vous attendiez-vous à être rappelé en Bleu ?
J'étais un peu plus attentif ces derniers temps, mes performances en club me le permettaient. J'étais toujours dans un esprit où il fallait que je travaille pour revenir à mon niveau et être à nouveau dans les possibilités du sélectionneur.

Qu'avez-vous ressenti en revenant dans le groupe France ?
Une émotion particulière. Ca fait trois ans, une éternité... C'est un grand honneur, une grande fierté de porter les couleurs de son pays.

Avez vous pensé ne jamais pouvoir revenir dans cette équipe ?
Je suis un acharné, j'ai toujours envie de prouver, je me remets en question sans cesse. C'est sûr que finir sur cette mauvaise note qu'a été le Mondial sud-africain, ce n'était juste pas possible pour moi, J'ai mis toutes les chances de mon côté, j'ai travaillé dur pour y arriver, aujourd'hui je suis là.

Quels sont vos rapports avec Didier Deschamps ?
Si je suis là, c'est que la hache de guerre est enterrée, sinon on ne m'aurait pas revu (en Bleu). Le sélectionneur l'a dit, moi aussi. Il ne faut pas oublier que c'est lui qui m'a fait venir à l'OM. J'ai joué, il m'a soutenu. J'ai été blessé... Il y a eu ce moment critique où je n'étais pas très bien dans ma tête et où j'ai dit tout haut des choses que je pensais tout bas. Voilà... Ca s'est terminé, j'ai fini par rejouer. On s'est appelé quand il est parti de Marseille, ça s'est très bien terminé.

Sentez qu'il y a un coup à jouer au sein d'une attaque en berne depuis quatre matches ?
Si le sélectionneur fait appel à moi, c'est que j'ai fait un début de saison, avec mon équipe, où on a marqué des buts. S'il compte sur moi en match, je suis prêt, si j'ai le bonheur d'être décisif j'en serai d'autant plus heureux.

Quelle est la différence entre le Gignac de 2010 et celui d'aujourd'hui ?
Trois ans sont passés, j'ai mûri, je n'ai plus de blessures, j'ai fait des préparations complètes ces deux dernières saisons... C'est un tout: j'ai 27 ans, je connais la Ligue 1, j'ai un peu plus d'expérience, je suis un joueur plus mâture.

Que retenez vous de votre période difficile entre 2010 et 2012 ?
Je retiens surtout mon état d'esprit pour revenir à mon niveau parce que ces deux ans ont été une terrible souffrance, je jouais sur le mental car j'avais envie d'être sur le terrain, mais en réalité mon corps ne suivait pas. Ces deux ans m'ont aidé à écouter mon corps, à faire ce qu'il faut pour l'entretenir et être à 100% le week-end, pas à 30% ou 50% comme quand j'avais cette pubalgie.

Que pouvez vous apporter à l'attaque des Bleus ?
Ma générosité, j'ai besoin de courir, de me dépenser, de créer des brèches, de frapper, de marquer... J'ai besoin d'être utile à l'équipe et d'être décisif, c'est un peu le rôle que j'ai à l'OM depuis deux saison. Donc si je peux le faire en Bleu...

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Message par rachid_as Jeu 5 Sep - 19:45

Allemagne : La 100e cape pour Lahm

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Le défenseur et capitaine allemand Philipp Lahm fêtera sa 100e sélection vendredi dans son jardin de l'Allianz Arena à Munich, à l'occasion de la réception du voisin autrichien en qualification au Mondial-2014.

"Le 100e match chez soi, c'est fantastique!", s'est réjoui jeudi le natif de Munich, qui deviendra à 29 ans le 8e joueur de l'histoire de la Bundesliga à atteindre le cap des 100 sélections.

Lahm est aussi l'un des rares membres du "club des 100" à avoir débuté tous ses matches en sélection, depuis sa première cape le 18 février 2004 contre la Croatie (2-1).

Il rejoindra dans ce "club" le légendaire Franz Beckenbauer (105) et deux autres joueurs en activité, Miroslav Klose (128) et Lukas Podolski (111), respectivement 2e et 3e de ce classement derrière Lothar Matthäus et ses 150 sélections.

Trois autres joueurs figurent sur la liste de la Fédération allemande (DFB), mais avec un total de matches disputés entièrement ou en partie sous les couleurs de l'ex-RDA.

Le sélectionneur Joachim Löw a assuré mercredi que son capitaine, "un modèle absolu de sérieux, de disponibilité et de classe footballistique", allait "encore jouer beaucoup de matches pour nous".

"L'objectif n'est pas de battre Lothar Matthäus", a assuré le latéral de poche (1,70 m), mais "de gagner, accroître notre avance et faire un pas de plus vers le (Mondial-2014 au) Brésil".

L'Allemagne est leader du groupe C avec 17 points et 5 longueurs d'avance sur l'Autriche, la Suède et l'Eire.

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Message par rachid_as Ven 6 Sep - 22:16

Heynckes reçoit la médaille du fair-play

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Jupp Heynckes, l'homme qui a guidé le Bayern Munich au triplé historique la saison dernière, a reçu la médaille du fair-play des mains du président de la Fédération allemande de football (DFB), vendredi à Munich.

"Jupp Heynckes a montré qu'on peut réussir de grandes choses avec discipline, respect et fair-play", a déclaré Wolfgang Niersbach, le patron de la DFB, lors d'une cérémonie organisée en amont du match Allemagne-Autriche comptant pour les qualifications au Mondial-2014.

Heynckes, 68 ans, a passé les commandes du Bayern Munich à l'Espagnol Josep Guardiola au terme de l'exercice 2012-13 marqué d'un triple triomphe Championnat-Coupe d'Allemgane-Ligue des champions.

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Message par rachid_as Sam 7 Sep - 14:52

Allemagne : Löw en passe d'être prolongé jusqu'en 2016

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Le sélectionneur allemand Joachim Löw serait parvenu à un accord avec sa Fédération (DFB) pour une prolongation de son contrat jusqu'en 2016, rapporte le quotidien allemand Bild samedi, au lendemain de la brillante victoire sur l'Autriche (3-0) en qualification au Mondial-2014.

Selon le journal, la décision devrait être annoncée par Wolfgang Niersbach dès le billet pour le Brésil en poche, ce qui pourrait intervenir dès mardi si la Mannschaft s'impose aux Iles Féroé et que la Suède ne l'emporte pas au Kazakhstan.

L'Allemagne est confortablement installé en tête du groupe C avec 19 points et 5 unités d'avance sur la Suède avant les trois derniers matches.

Tout comme Löw l'a souvent répété, le directeur sportif Oliver Bierhoff a dit qu'il fallait "d'abord se qualifier avant de se réunir tous ensemble pour discuter". "Il existe une relation de confiance absolue entre nous et la tête de la Fédération", a toutefois assuré Bierhoff, qui serait également concerné par la prolongation de deux ans, tout comme l'entraîneur des gardiens Andreas Kopke.

De même source, Hansi Flick, adjoint de Löw, devrait hériter du poste de directeur technique laissé vacant par Robin Dutt parti entraîné le Werder Brême.

Arrivé en remplacement de Jürgen Klinsmann au lendemain de la 3e place de l'Allemagne au Mondial-2006 à domicile, Löw, 53 ans, a conduit l'Allemagne en finale de l'Euro 2008, perdue 1-0 face à l'Espagne, à la 3e place du Mondial-2010 et en demi-finale de l'Euro-2012 (défaite face à l'Italie 2 à 1).

Dès mars 2011, l'ancien joueur de 2e division allemande avait été prolongé à la tête de la sélection jusqu'au Mondial-2014.

Cible de critiques après le nouvel échec à l'Euro-2012, "Jogi" a toujours été soutenu par la DFB.

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Message par rachid_as Sam 7 Sep - 14:54

Allemagne : Deux Bombardiers au banc d'essai

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Vendredi 6 septembre, Miroslav Klose a gravé son nom en lettres d'or dans l'histoire du football allemand. En marquant contre l'Autriche (3:0) dans les qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, l'attaquant de 35 ans a égalé le record de buts en sélection détenu par Gerd Müller. Les deux hommes ont trouvé le chemin des filets à 68 reprises sous les couleurs de la Mannschaft. 

"Je suis très content pour lui", a déclaré Der Bomber, aujourd'hui âgé de 67 ans. "Miro est un grand attaquant et un type génial. Il mérite ce qui lui arrive." 

De son côté, le buteur de la Lazio n'a jamais fait mystère de son admiration pour Müller. En voyant s'approcher le record de son illustre aîné, le joueur d'origine polonaise a parfois semblé gêné à l'idée d'entrer en concurrence avec son idole de toujours. Au-delà de leur adresse devant le but, Klose et Müller partagent également une grande modestie. Une telle simplicité les rend éminemment sympathiques.

FIFA.com s'est risqué à comparer les statistiques de ces deux champions d'exception, pourtant séparés par plusieurs décennies. Loin d'être évident, l'exercice mérite néanmoins que l'on s'y attarde.

Buts en équipe d'Allemagne
Miroslav Klose : 68 en 129 sélections
Gerd Müller : 68 en 62 sélections

Tout finit par arriver. Klose, qui n'avait plus trouvé le chemin des filets depuis le nul (4:4) contre la Suède au mois d'octobre 2012, a enfin rejoint Gerd Müller. Pour ce faire, il lui aura cependant fallu deux fois plus de sélections que son illustre prédécesseur. La moyenne du Bomber n'est donc pas près d'être égalée. "C'est une plaisanterie de me comparer à lui. Personne ne lui arrive à la cheville. Ce qu'il a accompli est tout simplement exceptionnel. Je le lui ai dit personnellement quand je l'ai rencontré", assure Klose avec humilité et admiration. 

Buts en Coupe du Monde de la FIFA™
Miroslav Klose : 14 en 19 matches (3 phases finales)
Gerd Müller : 14 en 13 matches (2 phases finales)

Les deux hommes ont écrit quelques-unes des plus belles pages de l'histoire du football moderne et l'un comme l'autre compte parmi les plus grands attaquants à avoir disputé l'épreuve suprême. Ils se partagent actuellement la deuxième place du classement des meilleurs buteurs de la compétition, derrière le Brésilien Ronaldo (15 buts). Müller a remporté le Soulier d'Or adidas de l'édition 1970 au Mexique grâce à son agilité, à sa capacité à profiter du moindre espace et à ses frappes aussi précises que surprenantes. Klose a lui aussi été sacré meilleur buteur du tournoi, 36 ans plus tard en Allemagne, mais en misant sur d'autres qualités : vitesse, jeu de tête et qualité technique. Müller estime pourtant que le parcours de son successeur est "loin d'être terminé". La phase finale programmée l'an prochain au Brésil pourrait lui donner l'occasion de détrôner Ronaldo : "Ce serait extraordinaire. J'espère qu'il pourra encore évoluer deux ou trois ans au plus haut niveau".

Débuts professionnels
Miroslav Klose : 21 ans (1. FC Kaiserslautern)
Gerd Müller : 19 ans (Bayern Munich)

Les deux attaquants sont arrivés un peu par hasard dans les clubs qui les ont révélés. Jusqu'à 20 ans, Klose évoluait au SG Blaubach-Diedelkopf, modeste pensionnaire de septième division. Après un passage au FC Homburg, qui évoluait alors parmi l'élite des clubs amateur, il a rejoint Kaiserslautern en 1999. La suite, tout le monde la connaît. Gerd Müller s'est quant à lui distingué en inscrivant 180 des 204 buts de l'équipe de jeunes du TSV Nördlingen, son club formateur. Les performances du jeune homme de 17 ans ont immédiatement attiré l'attention du Bayern Munich et de Munich 1860. Le Bayern a été le plus prompt à proposer un contrat professionnel au jeune prodige, ce qui lui a valu d'emporter la décision. Müller avouera par la suite qu'il pensait en outre avoir du mal à s'imposer au sein de l'effectif des Löwen. Sous son impulsion, sa nouvelle équipe a été promue en Bundesliga dès la saison 1964/65. Par la suite, la carrière du Bomber a connu une ascension fulgurante.

Nombre de clubs
Miroslav Klose : 4
Gerd Müller : 3

Klose est généralement présenté comme un joueur stable mais, comparé à Müller, il fait presque figure de globe-trotter. Révélé à Kaiserslautern, l'attaquant d'origine polonaise a ensuite porté les couleurs du Werder Brême, du Bayern Munich et de la Lazio. Son aîné, lui, a fait presque toute sa carrière en Bavière. En 1979, le Bomber a effectué un séjour de trois ans aux États-Unis, chez les Fort Lauderdale Strikers et au Smiths Brothers Lounge. Mais l'histoire et le public retiendront surtout les 365 buts marqués en 427 matches de Bundesliga avec le Bayern. Le compteur de Klose indique pour sa part 121 buts en 307 sorties dans l'élite allemande. 

Tous deux ont été élus joueur allemand de l'année et meilleur buteur de Bundesliga. Müller a également remporté le Ballon d'Or en 1970. Klose et le Bomber ont en outre gagné le championnat et la Coupe d'Allemagne. Le natif de Nördlingen compte aussi à son tableau de chasse une Coupe d'Europe des Clubs Champions et une Coupe du Monde de la FIFA™. En somme, les deux hommes ont un palmarès bien rempli.

Nombre de titres avec l'équipe d'Allemagne
Miroslav Klose : 0
Gerd Müller : 2

Malgré l'abondance de points communs entre les deux joueurs, une chose les distingue encore : le nombre de titres remportés avec la Mannschaft. Finaliste malheureux de l'épreuve suprême en 2002 et de l'UEFA EURO en 2008, Klose est passé tout près de l'exploit, sans jamais le concrétiser. Müller a régné sur l'Europe en 1972, puis sur le monde en 1974. Klose aura peut-être l'occasion de marcher sur les traces de son modèle l'année prochaine, au Brésil.

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Message par rachid_as Sam 7 Sep - 14:56

France : Benzema, ça devient cruel

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Déjà sur la pente descendante, Karim Benzema est brutalement tombé de son piédestal d'attaquant N.1 de l'équipe de France vendredi en étant remplacé à l'heure de jeu contre la Géorgie (0-0), plus de vingt heures après son dernier but en Bleu.

Vingt heures et vingt-six minutes exactement, soit 15 matches traversés par "Benz" sans rien avoir à célébrer. Une stérilité d'autant plus rude qu'elle accompagne celle de l'équipe de France, qui a battu vendredi son record d'inefficacité avec un cinquième match d'affilée sans trouver les filets.

Pour Benzema, les matches se suivent et se ressemblent... ou presque, car à l'heure de jeu, c'était bien le N.10 qui s'affichait sur le panonceau du quatrième arbitre, une petite déflagration dans le monde des Bleus. Jamais le Madrilène n'était sorti aussi tôt d'un match de qualifications de l'ère Deschamps.

Lors des cinq précédentes rencontres sur la route du Mondial-2014, l'attaquant n'avait été remplacé que deux fois, contre l'Espagne, à Madrid par Giroud (87e), qui allait égaliser, puis au Stade de France par Sissoko (82e). Vendredi, Didier Deschamps a estimé plus avantageux d'associer Giroud et Gignac (61e) au détriment de son titulaire jusque-là indiscutable.

Mea culpa
L'intéressé a mêlé mea culpa et méthode Coué: "Je sais quand j'ai été bon et quand je n'ai pas été bon. Ce (vendredi) soir, ça a été difficile, je ne vais pas dire que j'ai été extraordinaire. A moi, à titre personnel, de faire mieux au prochain match. Il y a des matches où tu es bien, et des matches où tu n'es pas bien, j'ai l'habitude. Aujourd'hui, je n'ai pas été terrible mais il faut se concentrer pour le prochain match et aller chercher les trois points pour le barrage".

Mais, à l'instar du joueur qui met les pieds dans le plat statistique, la question se pose: à quand ce prochain match ? Le maintien du 4-4-2 au Belarus pourrait sauver sa place de titulaire, mais le retour plus probable au 4-2-3-1 ou au 4-3-3 pourrait en sonner le glas.

Certes, Benzema est mine de rien, à 25 ans, le troisième joueur le plus capé de l'effectif (60 sélections, 15 buts), derrière Ribéry et Abidal, et il pèse dans l'effectif. "Il y a aussi ce que je ressens avec le staff par rapport à sa place dans le groupe et les affinités avec les joueurs", avait confié Deschamps à l'AFP fin août. Par exemple avec Ribéry, poids-lourd du groupe et complice sur le terrain et en dehors.

"Je peux être amené à ce qu'il ne débute pas un match si je pense que c'est mieux pour l'équipe, avait aussi averti DD. On ne va pas dire jusqu'à quand, quelle limite... Mais ce serait évidemment très bien pour lui et tout le monde qu'il marque ce but". Et toujours rien.

Ses coéquipiers l'avaient défendu au début du rassemblement. "On montre Karim du doigt parce que c'est l'attaquant de pointe mais c'est injuste", avait ainsi dit Sagna. Subtil changement de ton vendredi soir après le match: plusieurs joueurs (Lloris, Nasri...) ont souligné la qualité de la dernière demi-heure ou du dernier quart d'heure, justement sans Benzema sur le terrain.

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Message par rachid_as Lun 9 Sep - 13:37

Honduras, Suazo : "J'ai tourné la moitié de la page"

International -News (Part 2) 1645709_FULL-LND

David Suazo est l'un des plus grands attaquants de l'histoire du Honduras. El Rey a pris sa retraite l'année dernière, à l'âge de 33 ans. Le physique ne suivait plus.
Suazo a fait ses classes au Club Olimpia, avant de signer en Italie, à Cagliari, à l'âge de 19 ans seulement. Il est ensuite devenu une légende du football hondurien ainsi qu'une figure emblématique du club sarde, qui l'a d'ailleurs invité à travailler avec ses équipes de jeunes.

Avec l'équipe nationale, Suazo a disputé la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010, deuxième et dernière Coupe du Monde de l'histoire de La H à ce jour. Il a également pris part à Sydney 2000, qui a marqué la première participation du Honduras à un Tournoi Olympique de Football Masculin.

Après plusieurs années prolifiques à Cagliari, Suazo rejoint l'Inter Milan, qui le prête ensuite à Benfica, puis au Genoa. En 2011, Il signe son dernier contrat de joueur professionnel avec Calcio Catania, en 2011. Un an plus tard, après une énième blessure, il annonce sa retraite. Bien malgré lui…

Alors qu'il est en plein processus de reconversion, Suazo a répond aux questions de FIFA.com. Il évoque son nouveau départ dans la vie et fait le bilan d'une carrière qui, selon ses propres mots, l'a "comblé".


David, lorsque vous avez pris votre retraite, vous avez dit qu'il serait difficile pour vous de vous habituer à la vie sans jouer au football à un niveau professionnel. Cela s'est-il vérifié ?
Oui, ç'a été difficile. Le football vous apporte beaucoup, des émotions et tellement d'autres choses. Au moment de raccrocher les crampons, ça a été dur. Je m'y habitue peu à peu et le fait d'être impliqué activement avec Cagliari m'aide beaucoup. Ça m'aide à accepter l'idée que je ne suis plus un joueur professionnel de haut niveau. Mais tout cela est encore tout frais dans ma tête et je me rends compte qu'il n'est pas évident de prendre ses distances par rapport à quelque chose qui a rempli votre vie au jour le jour pendant de nombreuses années. Disons que j'ai tourné la moitié de la page. Mais je ne peux pas dire avec certitude que tout cela est bel et bien derrière moi.

Comment fait-on pour réussir comme attaquant au pays du catenaccio ?
Chacun doit trouver sa voie et manifestement, j'avais les qualités pour réussir en Italie. Je pense que ma vitesse m'a beaucoup aidé. Sur le plan tactique, les joueurs rapides sont toujours très utiles. Ici, le football, c'est avant tout la tactique. À mon arrivée, j'ai dû travailler très dur sur cet aspect de mon jeu. Cela m'a permis de grandir, de progresser et d'écrire ma petite page d'histoire en Italie et en Europe.

Quel surnom préférez-vous : le Roi David ou La Panthère ?
C'est difficile à dire. Ce sont les fans qui vous donnent ces surnoms comme signes de reconnaissance. Après, c'est à vous d'y faire honneur. Ce sont des choses qui me touchent et qui m'ont toujours poussé à me dépasser. J'aime les deux surnoms parce qu'ils ont tous les deux été inventés par les supporters.

Êtes-vous satisfait de votre carrière ?
Oui, bien sûr. Mais comme tout joueur qui vise toujours plus haut, j'aurais moi aussi aimé en faire un peu plus. Mais dans l'ensemble, je suis heureux de ce que j'ai fait, principalement parce que les gens me font comprendre que j'ai bien fait mon travail. Je leur en suis d'ailleurs reconnaissant.

De tous les buts que vous avez marqués avec la Bicolor, lequel reste le plus fortement gravé dans votre mémoire ?
Le premier, avec les U-20. C'était en 1998, lors d'un match de qualifications pour le Championnat du monde juniors contre le Guatemala. Il compte beaucoup pour moi, car c'est le premier que j'ai marqué sous le maillot du Honduras.

Quand vous avez quitté le Honduras à l'âge de 19 ans, de quoi avez-vous eu peur ?
De tout ce qu'un jeune joueur peut craindre lorsqu'il se lance dans une telle aventure. Je crois qu'à l'époque, je n'ai pas vraiment réalisé l'ampleur de ce que j'entreprenais. J'allais sur un autre continent sans avoir la moindre idée de ce qui m'attendait. Tout ce processus d'adaptation m'a beaucoup aidé pour la suite de ma carrière. J'ai dû apprendre une autre langue et m'habituer à une culture totalement différente, sur le plan footballistique comme dans tous les autres domaines. J'ai dû renoncer à mes frijolitos (plats de haricots) et me mettre aux pâtes. Ç'a été un grand choc ! (rires)

En avez-vous souffert ?
Il y a eu des moments difficiles, où je me suis dit que j'allais rentrer au pays parce que j'en avais ras-le-bol. Mais petit à petit, je me suis habitué et intégré. J'ai eu la chance d'être soutenu par une famille merveilleuse. Mon frère Nicolas était lui aussi footballeur et m'avait prévenu des problèmes que j'allais probablement rencontrer. Ça m'a aidé. En fin de compte, j'ai pu supporter tout cela. Je suis très heureux d'avoir tenu bon et d'avoir cru en moi, cru en ma capacité de réussir quelque chose de grand en Europe.

Avec le recul, que diriez-vous au jeune David Suazo qui quitte la maison à l'âge de 19 ans pour aller en Europe ?
Je lui dirais que le plus important est de croire en lui-même et de tenir bon. C'est comme ça que les opportunités se présentent. Ce n'est pas facile mais en même temps, vous n'obtiendrez rien sans travail. C'est un processus qui vous rend plus fort. Tous les problèmes rencontrés sur le chemin vous aident à grandir comme personne et comme joueur.

Vous avez disputé la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010. Vous avez dit que vous n'étiez pas au meilleur de votre forme dans ce tournoi. Cependant, quels souvenirs et quelles impressions en gardez-vous ?
Ça restera toujours quelque chose de spécial pour moi. Nous savons tous comment le football fonctionne. Pour un joueur, il faut un concours de circonstances quasiment miraculeux pour pouvoir participer à un événement comme la Coupe du Monde. J'ai eu des problèmes au début et je n'ai pas joué aussi bien que je l'aurais voulu, mais ça reste fantastique d'avoir participé à cette aventure. Je suis très heureux d'avoir vécu ça, même si je n'ai pas été très bon. Mais il est évident que sur un plan personnel et professionnel, la Coupe du Monde, c'est la cerise sur le gâteau. Je voulais d'autant plus y participer que c'est la seule grande compétition qui manquait à mon CV. Je pourrai dire à mes petits-enfants que j'ai joué contre les champions du monde. C'était merveilleux.

Aujourd'hui, vous regardez les qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA de l'extérieur. Qu'est-ce que cela vous inspire ?
C'est différent. Il n'y a pas longtemps que j'ai raccroché les crampons. Par conséquent, je me dis parfois que je pourrais y être. C'est dur. J'y pense beaucoup, mais c'est quelque chose que je dois accepter. Il n'est pas facile pour moi de regarder ces matches à la télévision. Je suis assis dans mon canapé, mais dans ma tête, je suis en train de me positionner pour essayer de reprendre un corner. Cette expérience me permet de comprendre à quel point il est difficile d'être supporter. J'ai assisté au match du Honduras, à domicile contre le Mexique. Au bout de 90 minutes, j'avais un mal de crâne épouvantable. Il y avait une telle tension dans le stade !

La génération actuelle du Honduras peut-elle se qualifier pour la Coupe du Monde de la FIFA ?
Luis Fernando Suarez a complètement reconstruit l'équipe après l'Afrique du Sud. C'est important. Il y a beaucoup d'attentes autour de ces garçons, mais je suis convaincu qu'ils sont suffisamment matures pour supporter la pression, dans un tournoi qualificatif extrêmement compliqué.

Allez-vous rester en Italie ?
Pour l'instant, oui. Je travaille pour le club et mes enfants sont scolarisés ici. Je me sens heureux et apprécié. Après, on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve.

Pour terminer, voici une liste de courtes questions. L'idée est d'y répondre le plus vite possible.
Ça marche, allons-y.

Un entraîneur ?
José de la Paz Herrera.

Une idole ?
Ronaldo, le Brésilien.

L'adversaire que vous admiriez le plus ?
L'Italien Alessandro Nesta.

Le match de votre vie ?
Pas évident... Mon premier match Motagua-Olimpia, en 1999.

La meilleure décision de votre carrière ?
Mes huit années à Cagliari.

Un regret dans votre carrière ?
Avoir été obligé de prendre ma retraite.

Ce qui vous rend fier ?
Mes enfants.

Quelque chose que vous auriez aimé faire ?
Marquer en Coupe du Monde.

À quoi donneriez-vous un carton rouge ?
Au racisme.

En guise de conclusion, un conseil pour les jeunes ?
Croyez en vous-mêmes et ne laissez pas les gens dire que vous n'avez aucune chance d'y arriver.

Fifa.com (09/09/2013)
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