Articles de la presse nationale et internationale (Part 3)

Les Kabyles s’apprêtent pour le partenariat avec le Bayern de Munich

Comme nous l’avons annoncé dans notre édition d’hier, le déplacement de Samy Idrès, président du CSA-JSK, et de l’avocat du club, Me Berkaïne, à Doha, a été fructifié par un accord entre la JSK et le président du Bayern de Munich pour engager un partenariat dans le domaine de la formation. Cette idée qui a été saluée par l’ensemble des observateurs, notamment les connaisseurs, sera, selon Idrès, concrétisée dans un avenir très proche. Ce faisant, un déplacement d’une délégation kabyle en Allemagne est prévu dans les prochaines semaines afin d’officialiser les choses et se mettre au travail pour que la JSK tire profit de la riche expérience des Allemands en la matière et se préparer convenablement à la réception de son propre centre de formation. C’est un lourd dossier que les présidents du CSA, Idrès, et de la SSPA, Mohand Cherif Hannachi, vont devoir engager, mais surtout concrétiser, dans l’optique de donner à la JSK des assises solides pour faire face aux exigences de la balle ronde moderne.

Hannachi donne son aval
Ne s’étant pas déplacé à Doha (Qatar) pour des raisons de santé, le président Hannachi a chargé deux personnes qui ont vraiment honoré le club kabyle de par leurs compétences et leur savoir-faire en matière d’organisation. De l’avis des supporters qui ont commenté l’événement hier, les deux émissaires de Hannachi à Doha ont dignement représenté la JSK et ont rapporté un important projet qu’il faudra concrétiser au plus vite. Selon une source de la direction, Hannachi est favorable au projet et a donné son aval. Comme nous l’avons annoncé, le président Hannachi pourra se rendre en Allemagne pour signer le protocole.

Une opportunité à ne pas rater
Les supporters de la JSK ont accueilli avec beaucoup de fierté la nouvelle du partenariat que va engager le club mythique de la Kabylie avec le Bayern de Munich. Tout-Tizi attend avec impatience la concrétisation du projet. Les nombreux supporters rencontrés hier à la reprise des entrainements des Canaris, ont beaucoup commenté la nouvelle et estiment que c’est une opportunité à ne pas rater. Profiter de la méthode allemande va beaucoup apporter comme bienfaits à la JSK, estiment les supporters interrogés à ce propos.

Accélérer la réalisation du centre de formation, une exigence
L’autre paramètre important dans la réussite du projet de partenariat avec le Bayern de Munich est la disponibilité des infrastructures. Les dirigeants de la JSK devraient alors accélérer le processus de réalisation du nouveau centre de formation qui sera érigé sur le terrain du club mitoyen avec le nouveau complexe de 50 000 places. Selon la maquette présentée par le passé, ledit centre disposera de toutes les installations nécessaires pour mener de manière efficace la formation de jeunes talents appelés à défendre les couleurs du club.

La formation est la devise de toute réussite à travers le monde
Enfin, il est toujours important de dire que sans la formation, notre football ne pourra pas évoluer. Les spécialistes sont unanimes à dire que nos clubs sont plus que jamais tenus de se mettre à la formation pour pouvoir, demain, bâtir de grandes équipes et devenir un potentiel pourvoyeur d’éléments à notre sélection nationale.

Le Buteur (13/02/2013)

Aït Abdelmalek Ahcène (entraîneur et formateur en Allemagne) : «C’est une bonne initiative que d’engager un protocole d’accord avec le Bayern Munich»

Il est algérien, natif de la Kabylie (Ouacifs), la JSK lui coule dans les veines. C’est un fin technicien, matière grise locale qui a choisi, faute de considération chez nous, de « s’exiler » en Allemagne pour monnayer son talent d’entraîneur, mais surtout acquérir de nouvelles méthodes de travail. Lui c’est Ahcène Ait Abdelmalek, actuellement entraineur et formateur en Allemagne. Qui mieux que lui pourrait nous éclairer sur la philosophie allemande, notamment dans le domaine de la formation, à propos duquel la JSK est sur le point de parapher un protocole d’accord avec le Bayern de Munich. Modestement, Ait Abdelmalek répond à nos questions. Entretien.


Bonjour M. Ait Abdelmalek, d’abord, peut-on avoir de vos nouvelles ?
Bonjour, je vous remercie de m’avoir appelé. Je vais bien, à l’heure où je vous parle je m’apprête à rejoindre le boulot. Il fait froid, je crois, un peu plus que dans nos montagnes de Kabylie, comme le Djurdjura qui me manque tellement. A travers vous, je salue toute ma région et mon pays.

Avez-vous appris que la JSK, par le biais de deux de ses dirigeants, est sur le point de signer un protocole d’accord avec un club allemand, en l’occurrence le Bayern de Munich ?
Franchement j’ai lu l’information dans vos colonnes à trois heures du matin, j’ai pour habitude de ne pas dormir avant de consulter sur Le Buteur toute l’actualité sportive de chez nous. Honnêtement, je suis surpris mais plutôt fier que le club de ma région natale va sceller un accord avec l’un des plus grands clubs d’Allemagne, pour ne pas dire carrément d’Europe et du monde entier. C’est une fierté pour nous les Algériens. J’espère que ce projet va bientôt se concrétiser et je suis même convaincu qu’il apportera beaucoup de belles choses, non pas à la JSK uniquement, mais à tout le football national qui en tirera profit.

Justement, les dirigeants kabyles nous ont expliqué que cet accord portera beaucoup plus sur la formation de jeunes talents. Vous qui êtes sur place, quel est votre avis là-dessus ?
Vous savez, ici les Allemands ne parlent pas une autre langue que celle de la formation, alors il ne faut pas s’attendre à des partenariats avec le Bayern de Munich sur un autre dossier que la formation. Si la JSK arrive à concrétiser cet accord, croyez bien qu’elle aura une tout autre démarche à suivre et c’est la plus indiquée, je les appelle donc à ne pas rater cette opportunité.

Pourriez-vous être beaucoup plus explicite ?
Le Bayern de Munich est un club réputé dans le monde pour la qualité de la formation dispensée aux jeunes talents. Le président lui-même qui n’est plus à présenter, en l’occurrence Karl Heinz Rummenigge, est issu de la pure formation allemande. Ici c’est très sérieux et les moyens sont ultra-modernes, la formation pour eux est une étape non négligeable. Le joueur est pris en charge dès ses débuts en football jusqu’à atteindre l’étape où il signera son contrat professionnel dans un club. En quelque sorte, à l’issue de la formation, le joueur aura acquis une discipline allemande qui lui servira durant toute sa carrière footballistique.

Avant d’évoquer les moyens, parlez-nous même brièvement de la méthode utilisée en Allemagne…
La formation en Allemagne se fait principalement en deux phases. Je m’explique : la première étape est définie comme étant une préformation, le joueur qui arrive tout jeune à ses débuts bénéficie d’une prise en charge particulière et totale aussi, à savoir sa scolarité, l’internat et un programme adapté. C’est une fois passé 16 ans qu’il entame la seconde phase au cours de laquelle on lui enseigne de nouvelles choses.A la fin, le joueur décrochera un contrat professionnel et ceux qui ne seront pas libérés du centre resteront toujours stagiaires.

Quels sont les moyens qu’il faut mettre en place pour la réussite d’un tel projet de formation ?
Voilà justement ce qui empêche notre pays d’avancer dans ce domaine, ce sont les moyens. D’abord l’infrastructure doit être disponible, à savoir un centre de formation digne de ce nom, puis les temps modernes exigent un personnel compétent, des entraîneurs diplômés de haut niveau, un staff médical qui maitrise le sujet…

La JSK a bénéficié d’un projet de construction d’un centre de préparation, et le futur stade de 50 000 places est en cours de réalisation, pensez-vous qu’il est venu le moment d’engager une véritable réflexion ?
Je le rappelle autant de fois qu’il le faudra, cette opportunité de partenariat avec les Allemands doit être bien saisie.Je sais que la JSK aura bientôt ses infrastructures sportives dignes de ce nom, c’est donc le moment, non pas pour la JSK seulement, mais pour tous les clubs, de mettre fin aux pratiques que je n’oserai pas dire révolues, mais qui font partie des temps anciens, il faut maintenant s’ouvrir au monde et profiter des nouvelles technologies, on ne pourra rester amateur toute notre vie, au moment où tous les pays du monde ont pris une sérieuse option pour l’avenir.

Dans un premier temps, compte tenu de votre expérience et votre vécu en Allemagne, quels sont les tuyaux que vous pouvez donner à la JSK pour mieux démarrer le projet ?
Vous savez, ce n’est pas très compliqué, ce qui se fait ici, toutefois ça demande de la patience et l’amour de ce qu’on fait. Par rapport à l’Allemagne, la JSK doit dans un premier temps signer des partenariats avec des clubs locaux de chez nous, même ceux évoluant dans les paliers inférieurs. Pour ces clubs, elle communiquera un programme de travail à mettre en place pour les jeunes leur fixant les objectifs qu’il faut atteindre en fin de saison. Car à la fin de saison, au lieu de perdre leur temps dans la prospection de jeunes talents, ce sont ces clubs partenaires, qui ont été chargés de ce programme de formation, qui choisiront parmi leurs meilleurs éléments ceux qui viendront poursuivre leur formation à la JSK. C’est le modèle allemand qui donne ses fruits et qui est le plus suivi. Je suis plus que certain qu’en sillonnant notre Kabylie profonde ou même ailleurs dans les autres régions du pays, la JSK découvrira des talents qui sont malheureusement marginalisés et inexploités.

Vous avez tenté une expérience à l’USMH puis à l’USMA, mais de courte durée. Pourquoi votre mission d’engager une véritable opération de formation n’a-t-elle pas abouti ?
Avant de prendre en main l’USMH et l’USMA, permettez-moi d’abord de vous dire que j’ai commencé par présenter un programme de travail à la JSK. Charité bien ordonnée commence par soi-même. On dit bien que celui qui veut faire du bien commence par sa maison, malheureusement l’idée est restée sans suite…J’ignore si ma proposition a été débattue ou pour d’autres raisons elle a été reléguée au second plan, néanmoins, je suis allé à l’USMH puis à l’USMA, mais ma mission n’est pas allée à son terme pour plusieurs raisons. Je crois qu’il est temps que nos clubs reviennent à la raison, on ne peut bâtir de grandes équipes sans formation, arrêtons de dépenser des milliards pour des joueurs seniors dont la plupart n’ont pas fait de formation. En Allemagne, ce discours n’existe même pas. Aucun joueur n’est tombé du ciel.

C’est même la raison qui a fait que notre sélection nationale est composée dans sa majorité de joueurs évoluant à l’étranger, quelle est votre opinion ?
Cet état de fait ne peut surprendre quelqu'un qui connaît la situation. Oui, le fait de ne pas avoir la majorité des joueurs de la sélection nationale composée de joueurs locaux renseigne qu’il y a vraiment un problème. Je ne suis pas contre ces joueurs qui viennent des clubs européens, au contraire, je sais qu’ils sont algériens et qu’ils aiment leur pays et veulent apporter un plus à notre sélection. Toutefois, en tant que technicien, je dois dire qu’il ne faut pas négliger le produit local, il faut bien le préparer et le prendre en charge dans l’intérêt de notre sélection et de notre football.

Les dirigeants de la JSK vont peut-être se rendre en Allemagne, pour entreprendre les démarches du protocole d’accord, seriez vous disposé à les assister si on vous fait appel ?
Matoub Lounès, que Dieu ait son âme, disait dans une de ses plus belles chansons : « Un Kabyle, là où il est, on ira pour le rencontrer et le solliciter ». Donc je vous annonce aujourd’hui que pour tout ce qui concerne la JSK et son bien-être je suis constamment disponible, je suis en Allemagne et lorsqu’ils viendront, qu’ils sachent qu’ils me trouveront à leurs côtés en permanence. Moi je suis très fier de voir mon club de cœur concrétiser un projet ambitieux avec le grand Bayern de Munich.

On vous laisse le soin de conclure…
Permettez-moi, à travers le Buteur, de passer un grand bonjour à toute la famille, à toute la Kabylie et à l’Algérie entière. Mon rêve le plus cher est de voir les compétences locales considérées dans leur pays d’origine et qu’on leur donne les moyens et qu’on les laisse travailler. Aujourd’hui, on assiste, la mort dans l’âme, à la marginalisation de notre matière grise. Certains résistent, d’autres ont fini par remettre le tablier, c’est malheureux ! L’argent existe, la matière grise aussi, il reste à faire appel aux gens compétents, ceux qui ont des idées à concrétiser, et tout ira bien. J’espère que la situation va changer. En tout cas, c’est impératif sinon on ne fera que figurer. Enfin, je tiens à souhaiter bonne chance à la JSK, c’est notre club le plus cher, celui qui a bercé notre enfance et qui nous a procuré de la joie dans les moments les plus difficiles qu’a vécus notre région et le pays en général. Je n’oublierai pas de souhaiter, au passage, un prompt rétablissement au président Hannachi.

Nom : Ait Abdelmalek
Prénom : Ahcène
Fonction : Entraîneur et formateur de football (UEFA)
Diplôme universitaire préparation physique Dijon (France)
Diplôme d’entraîneur gardien de but
Performances : participation à la Champions League africaine avec le Djoliba de Bamako (Mali)
Entraineur et formateur au centre de formation de l’Eintracht Frankfurt / Allemagne.

Le Buteur (13/02/2013)

JSK : Sandjak s’explique avec Mekaoui et Khelili

Sachant que ses choix ont fait quelques mécontents au sein de l’équipe lors des derniers matches, Nacer Sandjak n’a pas attendu que la situation devienne intenable pour s’entretenir avec eux.

C’est ainsi qu’il a longuement discuté hier avec Mekaoui et Khelili en attendant, bien sûr, Maïza qui ne s’est pas entraîné hier avec le groupe. Le cercle des mécontents s’élargit d’un match à l’autre et, pour préserver la sérénité du groupe en cette phase retour, le coach kabyle a jugé utile de s’adresser à ceux qui acceptent mal leur statut de remplaçant. Parmi eux, il y a Mekaoui et Khelili. Certes, le premier a écrit dernièrement sur sa page Facebook que sa non-titularisation face à la JS Saoura et le MCO est due à sa blessure, mais, d’après une source digne de foi, sa mise à l’écart est due essentiellement à ses erreurs lors de la rencontre disputée face au WAT. En plus, il n’a pas apprécié les remarques de son staff technique. Même s’il s’est abstenu de faire la moindre déclaration concernant son nouveau statut, il accepte mal le banc. Ainsi, pour que son cas ne prenne pas d’autres proportions, il lui a parlé en aparté afin de le rassurer sur sa situation. Le cas de Khelili diffère de celui de Mekaoui puisqu’il ne jouait pas avant l’arrivée de Sandjak. Mais comme ce dernier ne le convoquait même pas dans la liste des 18 malgré l’absence de Rial et Belkalem, il a fini par perdre sa patience en déclarant qu’il connaît sa valeur et qu’il laisse chacun à sa conscience. Les propos de son poulain n’ont pas été à son goût et c’est pour cela qu’il a eu une explication, hier, avec lui à l’occasion de la reprise des entraînements.

«Vous devez confirmer d’abord aux entraînements, si vous voulez jouer»
Convaincu par ses choix, l’ex-coach de Noisy-le-Sec a clairement fait savoir à ses deux poulains que s’ils veulent jouer ils n’ont qu’à prouver aux entraînements. Il ne leur a rien promis, mais il leur a fait comprendre qu’il compose avec les plus en forme. Bien que Khelili n’ait pas arrêté de dire qu’il est en forme, le staff technique lui a conseillé de travailler davantage s’il veut vraiment avoir sa chance. Le recrutement de Maïza au dernier mercato est une preuve que Sandjak n’était pas convaincu par l’ancien défenseur des Rouge et Noir. Il estime qu’il n’est pas compétitif et qu’il doit perdre d’abord les kilos de plus avant d’espérer jouer. Quant à Mekaoui, qui était un titulaire indiscutable durant toute la phase aller, il a été mis sur le banc lors des trois derniers matches. L’explication qui lui a été donnée par son coach est qu’il est loin de son niveau. «Pour retrouver votre place de titulaire, vous devez confirmer aux entraînements que vous êtes au top de votre forme», lui a-t-il expliqué.

L’entrevue avec Mekaoui a duré plus d’un quart d’heure
Si la discussion qu’il a eue avec Khelili n’a été que de courte durée, Sandjak s’est longuement entretenu avec son arrière gauche. Il lui a parlé en aparté pendant plus d’un quart d’heure. D’après les échos qui nous sont parvenus, le premier responsable de la barre technique des Canaris a expliqué à son arrière gauche pourquoi il ne le faisait pas jouer depuis la rencontre face au WAT. Nos multiples tentatives de joindre l’ancien pensionnaire du CSC pour savoir s’il a été convaincu par le discours de son coach sont restées vaines.

Compétition (13/02/2013)

La JSMB et l’USMA, un tournant important pour les Kabyles

Le moins que l’on puisse dire est que les joueurs de la JSK s’apprêtent à entamer la semaine la plus difficile depuis le coup d’envoi de la phase retour de la Ligue 1. Avec deux succès à domicile et un nul à l’extérieur, les supporters de la JSK commencent à croire à la thèse qui dit que leur équipe pourrait terminer la saison parmi les cinq premiers au classement. Et en jetant un coup d’œil sur le programme des hommes de Nasser Sandjak, on constate clairement que la mission des Kabyles est loin d’être une partie de plaisir. Pour cause, la JSK se déplacera au milieu de cette semaine à Béjaïa pour le derby kabyle face à la formation locale, avant d’affronter l’USMA 4 jours plus tard à Tizi. Aux yeux de nombreux observateurs, ces deux matchs sont considérés comme un tournant important pour les Kabyles, qui doivent gérer convenablement ces deux sorties. L’enjeu est énorme et c’est au staff de faire réagir les joueurs, car à dix journées du tomber de rideau de la Ligue 1, il n’y a plus de place au relâchement.

Avec six points en jeu, l’occasion de gagner deux places
Actuellement à la 7e position avec un total de 26 points, les Kabyles ne sont plus très loin de l’exploit. Se trouvant désormais dans une position confortable, le prochain objectif est d’empocher 6 points. Si cela se concrétise, la JSK prendra le large sur ses deux poursuivants, en l’occurrence la JS Saoura et la JSMB. Ce n’est qu’après samedi prochain que les joueurs kabyles sauront si la 5e place est désormais possible. C’est à eux seuls de réagir du moment qu’ils ont l’opportunité de gagner pas moins de deux places avant la mini-trêve.

Deux matchs en quatre jours, le seul inconvénient
Toutefois, le seul casse-tête du staff technique est le programme chargé qui attend les joueurs. Si la JSK a eu suffisamment le temps de préparer son derby, ce ne sera pas le cas pour la rencontre à domicile face à l’USMA. Pour cause, aussitôt qu’ils seront revenus de Béjaïa, les camarades de Rial reprendront le lendemain. Sandjak n’aura pas plus de quatre séances pour apporter les retouches sur le plan tactique. Il est clair que ce micro-cycle de préparation sera beaucoup plus axé sur la récupération. Le staff espère seulement qu’aucun blessé ne sera déploré lors du derby.
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Hannachi, demain en France, pour un nouveau contrôle
De retour à Tizi Ouzou vers la fin du mois de janvier, le président de la JSK, Moh Cherif Hannachi, devrait quitter à nouveau la ville des Genêts pour plusieurs jours. D’après ses proches, l’homme fort du club kabyle a un bilan à refaire. Depuis son traumatisme crânien, les médecins ont conseillé à Hannachi de se contrôler à l’avenir. C’est, donc, pour des raisons de santé que le président retournera une nouvelle fois dans un hôpital parisien. Ce n’est qu’après que les médecins pourront lui dire si son état de santé s’améliore. Pour rappel, depuis qu’il est revenu à la maison, Hannachi a limité ses déplacements, puisqu’il n’est allé que trois ou quatre fois au siège du club.
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On parle d’une prime spéciale pour le derby
Tout comme la précédente sortie face à l’ASO, les dirigeants du club ne comptent pas rester les bras croisés la veille du derby. Afin de motiver les joueurs, une source proche de la maison kabyle nous a confié que les dirigeants ont promis une forte prime de match en cas de succès face à la JSMB. Même si dans l’entourage du club on parle de plus de 15 millions de centimes, aucun membre du bureau n’a pu confirmer ce montant.
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Reprise demain après-midi
Après un break aujourd’hui, les joueurs kabyles reprendront le travail demain. Et c’est dans l’après-midi que les camarades d’Ali Rial poursuivront leur préparation. D’après la même source, la séance est programmée à 15h.
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La séance de dimanche programmée pour la matinée
Quant à la séance du lendemain, Sandjak l’a programmée le matin à 10h30. Toutefois, il semblerait que ce ne soit pas la dernière, puisque le staff prévoit une dernière séance le jour du départ à Béjaïa, c'est-à-dire lundi matin. Dans ce cas de figure, la délégation kabyle quittera Tizi Ouzou l’après-midi, après le déjeuner.
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Maroci poursuit les soins
Quasiment out pour le derby, le milieu récupérateur Tayeb Maroci poursuit les soins. Souffrant d’un sérieux problème aux adducteurs, le joueur en question ne veut pas trop s’aventurer. Il travaille pour faire disparaître les douleurs au plus vite.
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Le même programme pour Bouchouk
Quant au second joueur convalescent, en l’occurrence Saïd Bouchouk, il poursuit le même programme que celui de Maroci, à savoir des séances de rééducation et de renforcement musculaire. Pour rappel, la blessure de Bouchouk est plus complexe puisque le joueur souffre d’une élongation musculaire à la cuisse.

Bouchouk s’est soigné à l’infirmerie
Pour ce qui est de l’attaquant Saïd Bouchouk que le coach Sandjak ne retiendra pas officiellement dans les 18 qui effectueront le déplacement à Béjaïa, ce dernier s’est soigné, hier, à l’infirmerie. Le joueur avait le moral à plat à sa sortie du stade, car il voulait préparer le match avec le groupe.
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Ali Doudah a assisté à l’entraînement
La séance d’hier a vu la présence d’un membre du CA de la JSK, Ali Doudah. A la fin, il a discuté avec quelques joueurs, en les encourageant de continuer sur leur lancée, notamment contre la JSMB.
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Maroci et Sedkaoui ont fait du footing
Alors que la plupart des joueurs blessés ont pu reprendre avec le groupe cette semaine, deux joueurs poursuivent encore un programme spécifique sous la coupe du kiné Guillou. Il s’agit de Sedkaoui et du milieu récupérateur, Maroci, toujours souffrant de l’adducteur.
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Ultime séance de la semaine, hier
Les Canaris ont effectué, hier matin, leur troisième séance d’entraînement de la semaine. A la fin, le staff technique les a libérés pour vingt-quatre heures de repos, la reprise étant prévue samedi, à 15h.

Le Buteur (15/02/2013)

Partenariat JSK-Bayern : Le grand mensonge

Samy Idrès, le président du CSA-JSK, a intrigué plus d’un, en annonçant dernièrement, à l’occasion de son déplacement à Doha où il a représenté la JSK en compagnie de l’avocat du club, à l’AG de l’association des clubs européens, qu’un accord de partenariat sera signé prochainement avec le Bayern Munich. «Aucun partenariat avec la JSK» «Rummenigge n’a pris qu’une photo avec le président de la JSK»

Le président du CSA de la JSK était tellement formel que nous avons décidé de prendre attache avec la direction du FC Bayern Munich pour confirmer l’information et se féliciter de ce partenariat. En effet, ça aurait été une très belle surprise que la JSK s’associe avec ce grand européen et d’apprendre qu’enfin la direction kabyle a fini par prendre une décision de grandir et de s’inspirer d’un modèle pour sa reconstruction. Mais cela n’est qu’un leurre… en effet, voulant en savoir un peu plus sur cette «bonne nouvelle», nous avons pris le soin de prendre attache directement avec le secrétariat du club bavarois. Dans un mail envoyé mercredi, nous avions sollicité les responsables du FC Bayern : «…on souhaite avoir un complément d'information sur le partenariat que va entreprendre votre club et la JS Kabylie, que son président du CSA a rendu public. Dans sa communication, le responsable de la JSK a parlé d’une rencontre fructueuse avec Karl-Heinz Rummenigge. On veut savoir si cette information est vraie et dans ce cas, si vous pouvez donner quelques informations sur ce partenariat. Merci», avions nous écrit.

Jeudi la réponse tombe : la direction du Bayern Munich dément
Il a fallu quelques heures aux responsables du Bayern Munich pour nous répondre. La réponse est implacable : «Il n’a jamais été question d’un partenariat entre le FC Bayern et la JSK.» Ils ont tenu à démentir tout accord de partenariat avec la JSK. Une réponse qui ne nous surprend pas, soit dit en passant. Les dirigeants du Bayern, par le biais de leur secrétariat nous ont envoyé ce courrier en retour :

«On vous remercie pour votre email. Le FC Bayern n'a pas de partenariat avec la JS Kabylie. M. Rummenigge a rencontré le président de la JS Kabylie à l'occasion de l'assemblée générale de l'ECA à Doha et ils ont pris une photo ensemble. Cordialement». Clair net et précis.

Donc ni partenariat et encore une discussion avec Rummenigge qui était a Doha en sa qualité de représentant du Bayern mais aussi dans le rôle du président de l’ECA, association des clubs européens. Cette dernière a voulu fêter son 5e anniversaire à Doha en organisant une AG dans cette ville et pour cette occasion plusieurs clubs non européens ont été conviés à assister aux différents ateliers qui ont été organisés. La JSK, au même titre que l’ASEC Mimosa, le Ahly du Caire, le Zamalek et le club camerounais de Garoua faisait partie des 31 autres clubs venus d’Afrique, d’Asie,

d’Amérique du Sud, d’Amérique du Nord et d’Océanie. Les Européens voulaient faire profiter les autres clubs de leur expérience dans tous les domaines. Le représentant de la JSK devait revenir avec une tête pleine de projets et de nouvelles idées plutôt que ces «mensonges» sur un partenariat qui n’existe pas et on ne sait dans quel but le président du CSA, l’unique candidat à la dernière élection a inventé toute cette histoire ? Peut être qu’à ses yeux, c’est le meilleur moyen de valoriser davantage le président Hannachi ? Mais dans ses plans, Sami Idris a oublié que le monde est devenu un petit village et qu’il suffit de cliquer sur le net pour confirmer ou infirmer une information. La JSK aurait pu s’éviter une telle «honte»

«Il a juste pris une photo avec Rummenigge»
Dans la foulée de sa réponse, le secrétariat du club allemand a tenu à préciser son représentant que Karl-Heinz-Rummenigge n’a fait que prendre une photo avec le président de la JSK lors de l’AG de l’association des clubs européens. Président de cette dernière, l’ex-attaquant de la Mannschaft n’a eu ni discussion ni un entretien avec Samy Idrès sur un éventuel partenariat entre le Bayern Munich et la JSK. Rien de plus. Voilà tout sur le grand mensonge du partenariat JSK-Bayern. Un partenariat qu’on aurait applaudi s’il s’est avéré…

A quoi joue Samy Idrès ?
Candidat unique à la dernière élection du CSA, Samy Idrès a été élu sans surprise président. Depuis son élection, il ne s’exprime que très rarement dans la presse, mais il lui a suffi d’un voyage à Doha pour représenter la JSK à l’AG de l’association des clubs européens pour faire parler de lui. Mais pas dans le sens qu’il le souhaitait puisque même avant que les dirigeants de Bayern Munich n’apportent un démenti à ses balivernes, les gens ont accueilli ses propos avec beaucoup de prudence. Certains en ont même fait des blagues. Mais là où le bât blesse c’est qu’on lit sur le message du FC Bayern, que le président du CSA/JSK est présenté comme étant le président du club kabyle. Une usurpation de fonction qui renseigne à plus d’un titre sur le fonctionnement actuel de la JSK. Tout le monde peut prétendre détenir un poste autre que celui pour lequel il est désigné et cette affaire de partenariat avec le Bayern a plus nui au club qu’elle ne l’a servi. On se demande à quel jeu joue Samy Idres ?

Compétition (16/02/2013)

Après le virement : Les joueurs sont passés à la banque mercredi

Comme nous l’avions rapporté dans l’une de nos précédentes éditions, la direction de la formation du Djurdjura a fait un virement aux joueurs au début de la semaine. Après plusieurs mois d’attente, les joueurs sont passés mercredi dernier à la banque pour retirer leur argent. «C’est bon, on a été régularisés, on a pris notre argent, on est contents, ainsi, on pourra nous concentrer uniquement sur les prochains rendez-vous de l’équipe en championnat», nous dira un cadre de l’équipe. Les navettes de Hannachi entre Tizi et Alger ces derniers jours lui ont permis de débloquer la situation sur le plan financier, puisque les joueurs ont été régularisés avant le derby de mardi prochain. Désormais, la balle est dans le camp des coéquipiers de Remache qui seront appelés à enchaîner les bons résultats lors de ces dix matchs restants pour la phase retour.

Compétition (16/02/2013)

Après avoir régularisé les joueurs
Les membres du staff perçoivent leur argent

Comme nous l’avons annoncé il y a quelques jours de cela, le président Moh-Cherif Hannachi a donné l’ordre de régulariser l’ensemble des joueurs, avant le match de championnat face à l’ASO. Ainsi, comme convenu, les camarades d’Ali Rial ont encaissé trois mois de salaire, cette semaine, en attendant les primes de matchs. Toutefois, et d’après certaines indiscrétions, les joueurs ne sont pas les seuls bénéficiaires, car même les membres du staff technique ont, eux aussi, eu droit à ce privilège, entre autres l’entraîneur-adjoint, l’entraîneur des gardiens et le staff médical. Ainsi, tout le monde a eu son pactole dans la catégorie des seniors. Et d’après notre source, même les entraîneurs des jeunes catégories ont été régularisés.

Sandjak n’en a pas fait partie
Toutefois, seul l’entraîneur Nasser Sandjak ne faisait pas partie de cet avantage, car son cas diffère des autres techniciens exerçant dans ce club. En effet, ce dernier a déjà perçu trois mois de salaire le jour de son intronisation officielle à la tête du staff technique. A son arrivée, il a exigé le paiement des mois de décembre, janvier et février. Il ne lui restait que le trimestre prochain. Par contre, une source proche de la direction nous a confié que le président Moh-Cherif Hannachi n’a toujours pas abordé le reste des mensualités de son entraîneur qui perçoit 225 millions/mois. Ainsi, 675 millions attendent le club, sans compter les primes de matchs, suivant les clauses de son contrat avec l’équipe.

Certains ont demandé une augmentation de salaire
Par contre, nous avons appris que certains membres du staff médical ont demandé une augmentation de leur salaire. Ils ne seraient pas les seuls, puisque même les membres du bureau en réclament. Ces personnes auraient exposé leurs problèmes au président Hannachi, en vain. Ils attendent son retour de France, la semaine prochaine, pour réitérer leur demande.

Le secrétaire général n’a pas démissionné
Contrairement aux rumeurs qui ont circulé ces derniers temps à propos de la démission du secrétaire général de la JSK, Hadbi Ali, il est à signaler que ce dernier est toujours en poste et exerce toujours ses fonctions de secrétaire général de la JSK. D’ailleurs, il accompagnera l’équipe, aujourd’hui à Béjaïa. Par ailleurs, il est utile de rappeler que l’absence de Hadbi Ali, lors des derniers jours, est due à des raisons personnelles.

Le nouveau site officiel du club sera lancé prochainement
Ils sont plusieurs fans de la JSK à se demander pourquoi le site de leur club n’est plus opérationnel, depuis quelques jours. Lorsque nous avons cherché à en connaître les raisons, nous avons appris que les responsables kabyles vont bientôt lancer un nouveau site officiel. D’après nos échos, il sera meilleur que le précédent.

Le Buteur (18/02/2013)

N’ayant pas perçu 6 primes de match
Les joueurs s’impatientent

Si la direction du club a accordé quelques mensualités aux joueurs la semaine dernière, elle leur a promis, en revanche, de régulariser leur situation financière dans les prochains jours. Certains joueurs n’ont pas encore touché tous leurs salaires et d’après certains d’entre eux, ils n’ont perçu aucune prime depuis la rencontre de la phase aller disputée face au MCEE. Certes, ils n’ont pas réclamé jusqu’à maintenant, mais si on se fie à quelques uns d’entre eux, ils commencent à s’impatienter vu que la fin de la saison approche. L’un d’eux nous a confié que la direction leur doit 6 primes de match, à savoir celle du MCEE, CAB, JSS, MCO, ASO et celle de mardi dernier face à la JSMB. En ce qui concerne les salaires, on a appris que la direction a pris en considération le critère du rendement dans la régularisation. C’est pour cela qu’elle doit encore deux, voire trois mois à certains éléments. Les dirigeants attendent que les caisses du club soient renfloués par l’argent des sponsors pour les régulariser le plus vite possible. Même s’ils commencent à s’impatienter quant à leur argent, les joueurs savent qu’ils ne sont pas en position de force pour réclamer quoi que ce soit vu que l’équipe a raté tous ses objectifs cette saison. Mais ils espèrent néanmoins toucher quelques primes avant la fin de ce mois. La direction a déboursé des milliards à l’intersaison pour jouer le titre, malheureusement l’équipe s’est retrouvée à jouer le maintien pour la troisième fois d’affilée.

Les joueurs manquent ils de fraîcheur physique?
La JSK aurait pu revenir avec les trois points de son déplacement à Béjaïa si elle avait su comment gérer le match. Sans être très convaincants, les Canaris ont pris le dessus sur leurs adversaires en première mi-temps, mais en seconde mi-temps, ils ont subi les assauts des locaux. Ils ne se sont procuré aucune occasion durant toute la seconde période. Leur baisse de forme en deuxième-mi-temps inquiète, surtout que ce n’est pas la première fois que cela arrive. Face à l’ASO, ils auraient pu concéder un semi-échec si les Chélifiens avaient cru en leurs chances. En outre, en première mi-temps, ils n’avaient trouvé aucune peine pour asseoir leur domination. La question que chacun se pose est de savoir si les joueurs sont saturés ou bien ils manquent de fraîcheur physique. Durant toute la phase aller, ils tenaient facilement 90 minutes sans ressentir la moindre fatigue contrairement à maintenant où ils éprouvent des difficultés à leur retour des vestiaires. On ne sait pas si cela est dû au manque de fraîcheur physique ou à autre chose, mais si cette situation persiste, le staff technique devra se pencher sur ce problème, car il n’est pas normal que l’équipe fléchisse sans aucune raison valable en deuxième mi-temps. La JSK a effectué sa préparation hivernale à Boumerdès et n’a joué qu’une seule rencontre face à une modeste formation de Boumerdès. Résultat : malgré les bons résultats enregistrés ces dernières semaines, les joueurs ont eu du mal à terminer leurs matches.

Compétition (21/02/2013)

JS Kabylie : les Canaris ne perdent plus

Il y avait de la place pour une victoire, mais ce nul atteste bien que nous sommes solides à l’extérieur», déclare Belkalem, l’axial de la JSK, au sujet de cette rencontre face à la JSM Béjaïa.

Lui par qui est venue l’égalisation. Un Belkalem, qui en avait gros sur le cœur lors de son passage sur une chaîne satellitaire, a tenu à saluer les efforts de ses coéquipiers pour avoir réussi à malmener cette équipe des Dauphins. En alignant quatre matchs sans défaite, les Canaris voient le spectre de la relégation s’éloigner. Mieux, ils lorgnent maintenant le podium, sous la conduite d’un Sandjak qui semble déranger avec sa manière forte. Au point où même la direction du club ne le rencontre plus. D’ailleurs, chacune de ses sorties est attendue au tournant. Comme ce sera le cas ce samedi face à l’USM Alger.

Un match qui constitue un challenge important pour le coach et ses joueurs. Lors de la rencontre d’avant-hier, la formation kabyle a démontré qu’elle jouit d’un bon mental, car, menée, elle a réussi à revenir au score avant de prendre l’avantage et enfin résister aux rushs des locaux après l’égalisation. Un nul qui, même s’il arrange les deux équipes, a laissé comme un goût d’inachevé pour les Canaris. Beaucoup de fans, qui ont vu arriver Khellili en tenue de ville, refusant de s’entraîner, ne comprennent pas pourquoi certains joueurs qui chauffaient le banc de touche à Tizi Ouzou ou ailleurs trouvent aujourd’hui à redire et se rebiffent contre leur coach. «Mes choix je les assume et personne ne peut les contester ou me les dicter», dit à ce propos Sandjak, qui se projette déjà sur la rencontre de samedi face à l’USMA.

«Là encore, on doit être costaud et surtout concentré sure ce match. Nous n’avons que faire de ces interférences que certaines personnes veulent entretenir vaille que vaille», dira Sandjak. Le coach des Canaris estime qu’il a encore une grosse marge de progression et que «des matches comme ceux que nous sommes en train de joueur ne feront que renforcer un peu plus le mental et les capacités technico-tactiques de l’équipe».Pour la rencontre de samedi prochain, tout porte à croire que Sandjak reconduira la même composante que face aux Dauphins de la JSMB tant un doute plane encore sur la participation de Maroci, toujours aux soins. 

El-Watan (21/02/2013)

L’équipe livrée à elle-même

Depuis quelques jours, on a constaté que l’équipe est livrée à elle-même. A l’exception des jours de matches où certains dirigeants font leur apparition tout en donnant l’impression qu’ils ne laissent rien au hasard, les autres jours, ils ne donnent pas signe de vie. Même l’entraîneur Nacer Sandjak ne trouve aucun interlocuteur devant lui. Le problème latent qui existe entre le CSA et quelques membres de la SSPA n’a fait qu’envenimer les choses. L’absence des dirigeants a ouvert la voie à tous les écarts disciplinaires. Le défenseur Sofiane Khelili s’est présenté à la séance de la reprise de mercredi dernier en tenue de ville en signe de protestation contre son statut de remplacant, mais, le lendemain, il a réintégré le groupe sans être inquiété par qui que ce soit. Ensuite, c’est au tour de son équipier Maïza d’abandonner ses équipiers à 48 heures de la rencontre face à la JSMB suite au refus de l’entraîneur Sandjak de céder à son chantage. Cela n’a fait réagir aucun dirigeant. Si le président Hannachi se trouve toujours en France pour subir des examens médicaux, ceux qui ont été chargés de veiller à la bonne marche de l’équipe ne se manifestent que les jours des matches tout en promettant des primes aux joueurs par le biais de la presse, alors que les équipiers de Belkalem n’ont perçu aucune prime depuis le match gagné face au MCEE.

Compétition (23/02/2013)

Leurs futurs adversaires jouent tous pour une place au podium
Des chocs pour les Kabyles

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la programmation de la fin de ce mois est loin d’être une partie de plaisir pour les Canaris. Après un déplacement périlleux à Béjaïa, suivi d’un clasico face à l’USMA, la JSK se voit dans l’obligation de préparer trois autres rencontres extrêmement complexes. La raison est toute simple : les trois prochains adversaires des Vert et Jaune jouent tous pour une place au podium. En effet, la JSK se déplacera lors de la 23e journée au 20-Août pour affronter la formation du CRB, laquelle comptabilise 33 points, après sa défaite face au MCA. Par la suite, les hommes de Sandjak affronteront la formation de Roger Lemerre, à Tizi, où l’erreur est interdite. Et une semaine plus tard, les Kabyles auront un rendez-vous avec un autre clasico face au Doyen, au 5-Juillet, où ils ont intérêt à prendre leur revanche sur les Mouloudéens, qui les ont éliminés aux 16es de finale de la Coupe d’Algérie. Un mauvais souvenir que les Kabyles ne sont pas prêts d’oublier, surtout pour le coach Sandjak. Ainsi, l’importance des prochains adversaires de la JSK lui complique davantage la situation. Pour le moment, les Canaris se trouvent au milieu du tableau et visent toujours la 5e place, pas si simple à atteindre.

Deux matches à l’extérieur
Sur les trois prochaines rencontres, la JSK en jouera deux à l’extérieur. Sur les deux déplacements d’Alger, les hommes de Nasser Sandjak chercheront, avant tout, le point du nul, vu la complexité de leur mission. Mais aux yeux de certains, la JSK est capable de créer des surprises, car elle s’est toujours bien débrouillée à l’extérieur. C’est plutôt à Tizi qu’elle joue sous une forte pression. Désormais, les camarades d’Ali Rial savent ce qui les attend, à huit journées de baisser de rideau de la Ligue 1.

Le Buteur (24/02/2013)

Maïza et Belakhdar exclus jusqu’à nouvel ordre

Le défenseur Adel Maïza et l’attaquant Fayçal Belakhdar ne seront pas autorisés à reprendre ce mercredi avec le groupe avant que la direction ne prenne des décisions qui s’imposent à leur encontre. Le premier a exigé une place de titulaire avant d’abandonner son équipe à 48 heures de la rencontre. Le second a fait pire que lui puisqu’il a manqué de respect à son entraîneur avant de vouloir s’en prendre à lui au coup de sifflet final. Leur comportement est condamnable et c’est pour cela que Sandjak ne veut pas fermer les yeux sur ces deux écarts disciplinaires.

Sandjak insiste sur leur traduction devant le conseil de discipline
L’entraîneur Sandjak n’est pas prêt à reprendre Belakhdar et Maïza dans son groupe tant que la direction ne les a pas sanctionnés. Il insiste sur leur traduction devant le conseil de discipline, car s’il tolère leur écart disciplinaire, l’image de la JSK sera ternie davantage. Ils ne reprendront pas ce mercredi avec le groupe et les dirigeants doivent prendre les décisions qui s’imposent. Les supporters souhaitent même leur exclusion, car ils estiment que la JSK est un grand club et elle ne doit pas être salie par le premier venu.

Compétition (24/02/2013)

Après la montée au créneau de Maïza et Belakhdar
Sandjak ne compte pas se laisser faire

Ce n’est un secret pour personne, rien ne va plus entre le coach des Canaris, Nacer Sandjak et certains joueurs ces derniers temps. En effet, après le cas Khelili et Maïza, à la veille du match JSK- USMA, c’était au tour du milieu offensif, Fayçal Belakhdar, avant-hier, d’afficher son mécontentement. A quelques minutes de la fin de la confrontation face au Rouge et Noir, l’ex-pensionnaire du MCEE a quitté le banc des remplaçants pour protester contre la décision de son entraîneur de ne pas l’incorporer. Les choses ne se sont pas arrêtées là et les deux hommes se sont accrochés dans les vestiaires. Le coach kabyle a affirmé lors de son point de presse que Belakhdar et Maïza allaient être traduits devant le conseil de discipline pour expliquer leur comportement. Sandjak est allé plus loin encore, en déclarant que ces joueurs auraient besoin d’un psychiatre. Sandjak n’accepterait plus Belakhdar dans l’équipe avant que ce dernier ne règle son problème avec la direction. Rien ne va plus donc entre Sandjak et certains de ses joueurs, en attendant ce que les prochains jours apporteront comme rebondissements.

Belakhdar: “Je n’ai pas insulté mon entraîneur”
D’autre part, nous avons appris auprès de Belakhdar que ce dernier compterait rencontrer le président Hannachi demain ou mercredi prochain pour exposer son problème au chairman kabyle tout en affirmant qu’il n’avait aucunement manqué de respect à son entraîneur. « Je n’ai pas manqué de respect à mon entraîneur et l’ai encore moins insulté. J’ai juste demandé à avoir un peu de temps de jeu car j’estime que je suis vraiment marginalisé. Devant cette situation je compte demander à voir le président Hannachi afin de mettre au claire cette situation car je ne supporte plus d’être marginalisé de la sorte» nous a confié le joueur, hier au bout du fil. Les prochains jours apporteront donc un éclairage à la situation et nous permettront de voir plus clair dans toute cette affaire qui a fait couler beaucoup d’encre. En attendant les décisions de la direction, concernant les derniers cas disciplinaires, la sérénité de l’équipe est on ne peut plus affectée, en dépit de la série de bons résultats enregistrés depuis maintenant cinq rencontres consécutives.

Rien de grave pour Ziad
Rien de grave pour le milieu offensif, Hamza Ziad, qui a été contraint de quitter le terrain, avant-hier, après avoir ressenti des douleurs au niveau des adducteurs, lors du match de son équipe face à l’USMA. En effet, l’ex pensionnaire du MSPB reprendra le chemin des entraînements demain mardi. Joint hier après-midi, il nous a affirmé qu’il va beaucoup mieux et qu’il sera apte pour le service à partir de la séance de reprise prévue pour demain matin, en vue de préparer le prochain match des Canaris face au CRB.

Reprise des entraînements demain
Les Canaris ont bénéficié de deux jours de repos bien mérité, au lendemain de leur confrontation face à l’USMA qu’ils ont battue par la plus petite des marges. La reprise est prévue donc pour demain mardi, dans la matinée, au stade du 1er novembre de Tizi-Ouzou. Le staff technique des Canaris aura largement le temps de préparer le prochain match face au CRB, programmé pour le 9 mars prochain. Après 5 rencontres sans défaites, l’objectif des Canaris et d’ajouter un autre bon résultat face au Rouge et Blanc de la capitale et de gagner des places au classement général.

DDK (25/02/2013)

Échos de l’infirmerie

Ziad passera une échographie dans 24h
Le milieu de terrain kabyle, Hamza Ziad, qui aura accompli sa mission convenablement aux côtés de Camara dans la récupération, n’est pas allé au terme de la rencontre. Touché au genou lors d’un duel entre lui et Gasmi de l’USMA, le joueur a été vite évacué par le médecin du club au vestiaire pour lui prodiguer les soins nécessaires. Selon nos informations, Ziad devra passer une échographie après 48 heures du match pour permettre au staff médical de mieux explorer sa blessure et décider du programme à suivre pour le rétablissement du joueur d’ici le match face au CRB.

Maroci toujours souffrant de l’adducteur
Donné out face à l’USMA, le milieu récupérateur Tayeb Maroci, laissé au repos pendant une dizaine de jours, a été finalement aligné forcément en seconde partie à la place de Ziad sorti sur blessure. Tous les présents ont remarqué qu’un gros risque a été pris par Sandjak en alignant Maroci qui n’était pas à l’abri d’une rechute qui pourrait lui coûter la suite du parcours. À la fin du match, Maroci a difficilement quitté le terrain souffrant de douleurs aigües. Il est très important de signaler que le joueur Maroci est actuellement blessé aux adducteurs et nécessite du repos total. Toute utilisation du joueur en compétition officielle à l’heure qu’il est risque bien de causer des conséquences fâcheuses allant même jusqu’à hypothéquer l’avenir de Maroci en football.

Benlamri touché à la cheville
Le troisième joueur de la JSK qui a dû terminer la rencontre avec des difficultés est le latéral droit Djamel Benlamri. En effet, l’international olympique a été au four et au moulin et sa blessure à la cheville contractée en première mi-temps ne l’a pas privé d’accomplir son rôle et de rester présent dans toutes les actions. Toutefois, et selon l’avis médical, Benlamri profitera d’une part de ces jours de récupération accordés par le staff technique et sera soumis à un programme spécifique dès la reprise, d’autre part.

Le Buteur (25/02/2013)

Après l’entrevue Hannachi-Sandjak samedi soir
Maïza et Belakhdar demain en conseil de discipline

Comme il fallait s’y attendre, la direction kabyle vient de réagir concernant l’affaire de Maïza et de Belakhdar qui viennent de claquer la porte. Pour rappel, le premier a plié bagage, jeudi dernier, après avoir appris qu’il ne sera pas titularisé. Pour le second, c’est plus grave puisqu’il a quitté le stade en plein match face à l’USMA, après avoir appris qu’il ne sera pas remplaçant. Deux coups de gueule qui ont poussé la direction à réagir. Aux dernières nouvelles, le premier responsable du staff technique n’a pas été tendre dans son rapport. En effet, Sandjak a demandé dans un premier temps à ce que les 2 joueurs passent devant le conseil de discipline avant d’être exclus définitivement de l’équipe. C’est ce que le coach a confié au président, samedi soir, à la fin du match. D’après la même source, Hannachi a refusé l’idée de l’exclusion, préférant faire passer les joueurs devant le conseil pour une audition, avant de prendre les mesures qui s’imposent.

Belakhdar a failli en arriver aux mains avec son coach
Dans tous ses états, Fayçal Belakhdar a rejoint le vestiaire quelques minutes avant le coup de sifflet final de la rencontre. Il a pris ses affaires sur le banc de touche avant d’aller chercher la clé du vestiaire chez Samir, le garde-matériels du club. Mais une fois la partie terminée, le joueur est allé demander des explications de son coach. Toutefois, les choses ne sont pas passées dans le calme, puisque le joueur a failli en arriver aux mains avec Sandjak. Il aurait fallu l’intervention du capitaine Ali Rial pour calmer le joueur et lui éviter le pire. C’est, d’ailleurs, ce qui a poussé Sandjak à demander son exclusion de l’équipe. Aux dernières nouvelles, c’est demain que Maïza et Belakhdar seront traduits devant le conseil de discipline. Ils seront invités à prendre la parole pour justifier leur coup de gueule. D’après la même source, Sandjak sera lui aussi présent. Les deux joueurs crèveront l’abcès une fois pour toutes, avant de connaître la sanction qui leur sera infligée par la direction. De son côté, Sandjak veut frapper d’une main de fer dans ce genre d’affaires afin que ce soit un exemple pour tout le groupe.

Ils ne s’entraîneront pas à la reprise
Ce qui est, néanmoins, certain c’est que Maïza et Belakhdar ne s’entraîneront pas, ce mercredi, à l’occasion de la séance de reprise. Ils seront, d’ailleurs, privés des entraînements jusqu’à nouvel ordre. D’après la même source, dans le cas où cette mise à pied sera validée par la direction, les deux joueurs seront sanctionnés financièrement et présenteront à leur retour des excuses devant l’ensemble des joueurs et des membres du staff technique. Affaire à suivre.
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Chapeau bas aux supporters !
Ni le froid glacial le jour du match face à l’USMA, ni les pluies torrentielles ni moins la retransmission en direct de la rencontre, n’ont dissuadé les supporters de la JSK à effectuer le déplacement au stade du 1er-Novembre. Ils étaient nombreux les fans à venir soutenir les Canaris condamnés à gagner face à l’USMA ne serait-ce que pour éviter qu’une dernière formation algéroise ne reparte de Tizi avec la totalité des points après le CRB, MCA et l’USMH. L’appel des joueurs envers leur public a eu l’effet escompté. Les fidèles des Jaunes et Vert, partagés en plusieurs groupes, ont tenu à accompagner l’équipe jusqu’à l’ultime seconde et le mérite de la victoire leur revient inévitablement, chose reconnue par Sandjak ainsi que l’ensemble des joueurs et dirigeants. Le retour des résultats positifs vient en quelque sorte réconcilier l’équipe avec ses fans. Ces derniers malgré déçus de n’avoir plus aucun objectif à jouer espèrent voir leur équipe terminer parmi les premiers au classement, un défi que se lancent l’ex-sélectionneur national et ses poulains.

Le Buteur (25/02/2013)

En plus de la victoire
Les 3 satisfactions des Canaris

La formation du Djurdjura a réussi un grand coup samedi dernier en battant l’USMA au stade 1er-Novembre de Tizi Ouzou. Vu le grand potentiel de l’équipe adverse, ils n’étaient pas beaucoup ceux qui ont misé sur la JSK lors de cette rencontre. Sur le terrain, les capés de Sandjak ont prouvé le contraire. Ces derniers, en plus d’avoir gardé les trois points à la maison, ils étaient supérieurs aux Rouge et Noir et sur tous les plans. La JSK a démontré un bon visage devant la dream team. Certes, dans ce genre de match, le plus important, ce sont les trois points, toutefois, on a noté aussi d’autres satisfactions à l’issue de cette rencontre, côté kabyle bien sûr.

Une bonne assise défensive
La plus grande satisfaction de cette rencontre pour les Kabyles est la charnière centrale ou la défense d’une manière générale. Belkalem et Rial ont réalisé un match de haut niveau et ils ont tout simplement réussi un excellent match. Ni Ziaya, ni Hanifi, ni Gasmi ou les autres joueurs, Djediat, Betrouni ou Tedjar n’ont réussi à prendre le dessus sur les deux internationaux kabyles. Même Benlamri et Bencherifa ont réalisé un sans-faute lors de cette rencontre, puisqu’ils ont bien fermé les couloirs, comme ils ont participé aussi au travail offensif de leur équipe. En résumé, la JSK possède une bonne assise défensive, et les Rial, Belkalem… et les autres l’ont confirmé d’une belle et forte manière devant l’USMA.

Camara et Mokdad brillent au milieu
En plus de la défense, deux joueurs ont brillé de mille feux au milieu de terrain. D’abord, le joueur ivoirien de la JSK a réalisé l’un de ses meilleurs matchs depuis qu’il est au club phare de la Kabylie. Malgré le fait que Courbis ait aligné cinq joueurs au milieu, Camara s’est bien débrouillé et a sorti le grand jeu pour prendre le dessus sur les Koudri, Bouchema, El-Orfi, Djediat et Tedjar. De son côté, Mokdad a fourni une excellente prestation et il a participé au succès de son équipe, lui qui a démontré de grandes qualités techniques lors de cette rencontre. C’est très important pour un entraîneur d’avoir au sein de son effectif un meneur de jeu et un récupérateur qui pourront rivaliser avec les meilleurs joueurs de championnat.

Un Chalali qui joue bien sans ballon
Certes, c’est un défenseur qui a offert la victoire à la JSK sur une balle arrêtée, mais les attaquants ne sont pas à blâmer. D’ailleurs, Chalali a réalisé un bon match. Ce jeune attaquant a créé beaucoup de problèmes à l’arrière-garde usmiste. En plus de son bon placement sur le terrain, Chalali a démontré lors de cette rencontre qu’il joue bien sans ballon, ce qu’est une grande qualité pour un attaquant.

Compétition (25/02/2013)

JSK : Que décidera Hannachi concernant Maïza et Belakhdar ?

Devant la multiplication des écarts disciplinaires relevés ces derniers jours, le président Hannachi doit intervenir afin de mettre le holà.

24 heures après la décision de Maïza de quitter l’équipe en signe de protestation contre la décision de son entraîneur de ne pas le titulariser face à l’USMA, son équipier Fayçal Belakhdar lui a emboîté le pas en quittant le terrain dès le deuxième changement opéré par Sandjak en deuxième mi-temps face à l’USMA, avant de s’accrocher avec lui dans les vestiaires à la fin de la rencontre.

L’entraîneur des Canaris n’a même pas besoin de rédiger des rapports contre ses deux joueurs, puisque tout le monde a su ce qui s’est réellement passé. Sandjak s’attend maintenant à ce que Maïza et Belkhdar soient convoqués par la direction du club pour s’expliquer sur le mauvais comportement. Il espère que des sanctions sévères seront prises à leur encontre pour qu’ils servent d’exemple aux autres joueurs. Mais pour le moment, aucune décision n’a été prise. D’après certaines indiscrétions, le président Hannachi convoquera les deux joueurs incessamment afin de les entendre avant de trancher sur leur cas. On ne sait pas encore la sanction qui leur sera infligée, mais si le président Hannachi ne sévira pas, d’autres joueurs risquent de remettre aussi en cause les choix du staff technique, surtout que le cercle des mécontents s’élargit d’un match à l’autre. La gestion de l’effectif pour le reste de la saison dépendra de la décision qui sera prise par le président de la JSK. S’il passera l’éponge sur ce qui s’est passé, cela risque d’ouvrir la voie à toutes les dérives. Mais s’il les sanctionne, les autres éléments feront très attention à l’avenir.

Sandjak : «C’est à la direction de trancher sur le cas de Maïza et Belakhdar»
Intervenant, hier, sur la chaîne de radio Beur FM, Nacer Sandjak a condamné pour la énième fois le comportement de Maïza et Belakhdar. Il a réaffirmé que Maïza qui a joué titulaire lors des 4 premières journées de la phase retour et qui a marqué deux buts n’a pas signé un contrat pour être un titulaire. «A ce que je sache, aucun joueur n’a signé un contrat pour être un titulaire indiscutable», a déclaré Sandjak. Interrogé sur Belakhdar qui lui a manqué de respect suite à sa non-incorporation en deuxième mi-temps, Sandjak s’est contenté de répéter ce qu’il a déjà dit à la fin de la rencontre face à l’USMA. «C’est un truc de fou. Il a pris sa veste et il a rejoint les vestiaires.»

S’agissant des mesures qui seront prises à l’encontre de ces deux joueurs, l’entraîneur kabyle souligne : «C’est à la direction maintenant de prendre les décisions qui s’imposent. C’est à elle de trancher sur ces cas, et moi, je ne vois pas d’inconvénients à les reprendre dans le groupe s’ils seront traduits devant le conseil de discipline.»

Pour ce qui est des matches à venir, Sandjak avoue que le fait d’affronter le CRB, puis le CSC et le MCA au 5-Juillet, est une chose magnifique. «C’est bien d’affronter des équipes pareilles. L’équipe revient en force ces dernières semaines et on tentera de maintenir la cadence afin d’améliorer encore notre position au classement général.»

Sandjak l’a confié à ses proches : «Maïza et Belakhdar ne seront pas une perte pour l’équipe»
Le sujet qui fait l’actualité ces derniers jours à la JSK est celui des écarts de discipline. En plus de Maïza, Belakhdar aussi était l’auteur d’un grave dérapage. Deux lourds dossiers sur le bureau des dirigeants qui seront appelés non seulement à régler ces deux cas, mais aussi à sévir afin de remettre de l’ordre au sein de l’équipe et d’éviter des cas pareils à l’avenir, surtout que le groupe a retrouvé ces derniers temps la sérénité. De son côté, Nacer Sandjak qui a rédigé des rapports concernant ces deux éléments n’a pas hésité à confier à ses proches que Maïza et Belakhdar ne seront pas une perte pour l’équipe, une déclaration qui veut tout dire. Autrement dit, l’ancien sélectionneur national n’aura pas besoin des services de ces deux éléments lors des matchs restants du championnat. «En plus de leur comportement, ces deux joueurs ne pourront pas jouer actuellement, vu la rude concurrence qui règne au sein de l’attaque et de la défense. D’ailleurs, l’équipe a réalisé de bons matchs et de bons résultats sans eux», avait déclaré le premier responsable de la barre technique à un proche à lui. Cela dit, quelle que soit la décision que la direction du club prendra concernant ces deux éléments, Sandjak ne compte pas les utiliser lors des prochaines rencontres du championnat.

Compétition (25/02/2013)

La JSK non concernée par la coupe d’Algérie
Sandjak compte programmer un match amical durant le week-end

Les coéquipiers de Remache seront obligés au repos le week-end prochain. En effet, les responsables de la LNFP ont programmé les matchs des 1/8 de finale en fin de semaine, et comme tout le monde est au courant, les Canaris ne sont pas concernés par l’épreuve populaire. Devant cette situation, le staff technique des Jaune et Vert sera appelé à bien gérer cette mini-trêve obligatoire. D’ailleurs, Sandjak compte programmer un match amical le week-end afin de meubler ce vide et permettre aux joueurs de rester compétitifs et de garder leur forme, surtout qu’un match difficile en championnat les attend devant le CRB au 20-Août. C’est demain lors de la reprise des entraînements que Sandjak et Amrouche aborderont ce sujet et arrêteront aussi le programme de la préparation.

Reprise des entraînements demain
Après deux journées de repos au lendemain de la confrontation face à l’USMA, les équipiers de Bencherifa reprendront les entraînements demain matin au stade du 1er-Novembre. Le staff technique des Canaris entamera la préparation en prévision du prochain match face au CRB. Un match que les Canaris veulent gagner pour confirmer leur bonne santé de ces derniers jours.

Compétition (25/02/2013)

JSK : Après la fugue de Maïza, Bellakhdar quitte le banc de touche
Vers des sanctions extrêmes

En s’imposant face à l’USM Alger (1-0), la JSK aura confirmé sa belle série de cinq matchs sans défaite et continue ainsi de fort belle manière son ascension sous la férule de Nasser Sandjak, mais voilà que ce dernier, qui aura redonné des couleurs au club kabyle, se trouve du coup miné par des agissements néfastes et condamnables au niveau du banc de touche.

Et pour cause, après les premières sautes d’humeur du défenseur axial Sofiane Khelili, qui contestait son statut de remplaçant, l’ex-défenseur international Adel Maïza lui a dangereusement emboîté le pas cette semaine en pliant carrément bagage pour rentrer chez lui à Annaba, jeudi dernier, en sachant qu’il n’était pas titulaire pour le match JSK-USMA. S’il faut rappeler que Maïza a été recruté à la hâte par les dirigeants kabyles durant le dernier mercato d’hiver pour pallier les absences de taille des deux défenseurs centraux Rial et Belkalem, retenus à l’époque pour les besoins de la Coupe d’Afrique des nations en Afrique du Sud, il était clair que la concurrence allait s’amplifier au niveau de la charnière centrale kabyle après le retour des deux “Sud-Africains”. Cette situation ne semble pas avoir été acceptée par Maïza, qui avait déjà manifesté des signes de mécontentement lors des matchs disputés contre l’ASO à Tizi Ouzou, puis lors du derby kabyle où il était sur le banc des remplaçants, du fait que Sandjak avait préféré faire de nouveau confiance à la paire habituelle Rial-Belkalem.

Aux dernières nouvelles, Maïza aurait même hésité à faire son entrée en seconde mi-temps du derby kabyle à Béjaïa, où la JSK avait ramené le nul (2-2) et aurait même demandé à l’entraîneur adjoint Rezki Amrouche d’être son interlocuteur auprès de l’entraîneur Sandjak pour ne plus le convoquer en tant que joueur remplaçant, soit une sorte de chantage que Sandjak n’a pas voulu cautionner. “A ce que je sache, je suis l’entraîneur en chef de la JSK, et personne ne me dictera mes choix. Je dis bien personne ! Nous avons la chance de posséder la meilleure charnière centrale du championnat avec deux défenseurs axiaux internationaux, et la JSK ne peut se passer des services et de l’expérience du tandem Rial-Belkalem qui est tout simplement indispensable à la stabilité de la défense et de toute l’équipe.” Mais voilà que Maïza a préféré aggraver sa situation en pliant tout simplement bagage jeudi dernier à la veille du “classico” JSK-USMA pour rentrer sans aucune retenue chez lui à Annaba. Et ce qui est grave, c’est que son geste plus que condamnable aura fait malheureusement tache d’huile au sein des joueurs remplaçants, puisque Bellakhdar, à son tour, s’est illustré d’une façon tout à fait ridicule et honteuse lors du dernier match JSK-USMA, où il avait décidé de son propre chef de quitter le banc de touche en seconde période où les Canaris faisaient bloc pour tenter de préserver le but de la victoire. Sandjak venait d’incorporer Maroci à la place de Ziad, blessé (60’), puis Bouaïcha à la place de Chalali (78’), et ce fut à ce moment-là que Bellakhdar manifesta son mécontentement à l’encontre de Sandjak et prit tout bonnement le chemin des vestiaires, alors qu’un troisième remplacement était encore possible. Pis encore, selon certaines indiscrétions obtenues auprès du banc de touche kabyle, il paraît que Sandjak envisageait de faire remplacer juste après Mokdad par Bellakhdar qui a préféré abandonner les siens comme dans une équipe de quartier, ce qui a fortement déplu au staff technique de la JSK et surtout aux supporters kabyles qui ont longuement hué ce geste irresponsable d’un prétendu footballeur professionnel. “Dans toute ma vie d’entraîneur, je n’ai jamais vu de tels actes qui relève de la psychanalyse pour ne pas dire de la psychiatrie”, s’est indigné Nasser Sandjak lors de la conférence de presse d’après-match, tout en signifiant qu’il va sévir tel qu’il se doit après les graves impairs commis par Maïza et Bellakhdar. “Personnellement, je n’ai pas besoin de tels joueurs qui ne méritent pas de porter le maillot sacré de la JSK, et il appartient à la direction de statuer sur leur cas”, conclut Sandjak, visiblement ulcéré par de tels écarts d’une grande gravité que les dirigeants kabyles devraient certainement sanctionner énergiquement pour faire régner l’ordre et la discipline et ne pas vicier davantage l’air qui semble se purifier progressivement au sein de la maison kabyle. Il y va même de la crédibilité de la JSK, qui n’a jamais cautionné de tels cas de dérapage et de rébellion de la part de joueurs qui négocient pourtant des contrats juteux à coups de centaines de millions. Basta!

Liberté (25/02/2013)

JS Kabylie : Les Canaris poursuivent leur envol

En battant l’USMA et sa pléiade de stars, la JSK a marqué les esprits.

En effet quatre jours après un match très intense disputé à Béjaïa, les Kabyles devaient, contre l’USMA, confirmer leur invincibilité entamée depuis quatre journées. Ils ont doublement réussi avec une prestation de premier ordre, notamment en première mi-temps où ils ont copieusement dominé leur adversaire du jour. Outre la maîtrise technique, tactique et l’engagement, il y avait beaucoup d’audace dans cette équipe. La meilleure illustration en sont les remplacements poste pour poste opérés par Sandjak. Un autre coach aurait introduit à la place d’un attaquant un milieu récupérateur ou un défenseur.

Ainsi donc, l’équipe se met à respirer en s’éloignant de la zone rouge tout en remontant au classement. C’est d’ailleurs le but assigné à Sandjak qui est en train de se concrétiser. Les Kabyles, à l’image de leur coach, se mettent même à rêver du podium. «Je pense que nous avons assuré quelque peu le maintien, mais rien ne nous interdit de venir réveiller ces quatre équipes qui ronronnent en haut du tableau. Désormais le podium est dans nos cordes», dira Sandjak qui précisera tout de même que les deux prochains matches face au CRB et au CSC s’annonce très délicats. «Ces deux matches bien négociés, je pourrais dire que le podium serait à notre portée.»

Il reste que ces résultats positifs et cette sérénité retrouvée semblent quelque peu déranger certains esprits malsains qui ont vu en le retour de Belkalem, qui a désormais fait taire tous ses détracteurs, un moyen de saborder le travail de Sandjak dont les méthodes ne plaisent guère alors qu’elles génèrent des résultats. Et les sorties inattendus de Maïza puis de Belakhdar qui contestent leur statut de remplaçant ne plaident guère pour un vestiaire serein en ces moments où l’équipe en a plus besoin. Deux joueurs que le coach ne veut plus voir tant qu’ils ne soient pas traduits devant la commission de discipline.

Autre joueur qui supporte de moins en moins d’être relégué au banc des remplaçants, c’est Mekkaoui supplanté à son poste par Bencherifa d’essence plus offensive. Mais là encore le choix de Sandjak a porté ses fruits. En attendant la bande à Sandjak, à sa tête Belkalem, poursuit son petit bonhomme de chemin et compte mettre à profit ces 15 jours de vacances forcés par Dame Coupe pour encore peaufiner son travail qui reprendra dès mercredi après les quatre jours de repos bien mérités accordés par le coach.

El-Watan (25/02/2013)

JSK : Sandjak face à la colère de «certains» joueurs !

La JSK qui réalise, depuis quelques semaines, des résultats positifs qui l’ont éloignée de la zone rouge, vit depuis quelques jours une crise inattendue. Il s’agit, comme tout le monde le sait, de la colère de certains joueurs dont deux au juste qui sont montés au créneau en dénonçant la manière de gérer le groupe par le premier responsable technique, Nasser Sandjak. Ce dernier, qui aura selon son entourage, trouvé l’équipe type pour continuer la saison et permettre à la JSK de se hisser en haut du tableau, est contesté par les joueurs qui ne jouent pas. Cette grogne du vestiaire risque bien de porter un sale coup au moral du groupe, si un dénouement de la crise n’est pas prévu. La JSK, qui a consolidé sa position à la septième place à la faveur du succès obtenu face à l’USMA, et qui a bénéficié de deux semaines pour se préparer pour la suite, devra croiser le fer avec trois grosses formations toutes classées en haut du tableau respectivement le CRB, le CSC et le MCA, pour ne citer que les trois prochaines sorties des Canaris qui nécessiteront à coup sûr une concentration maximale mais, surtout, une sérénité totale si l’on ne veut pas revenir à la case de départ.

Tout a commencé avec l’axial Maïza
Si, jusqu’à la semaine dernière, tout semblait bien pour le coach Sandjak, qui s’est réjoui du retour de sa paire internationale qui lui permet de recomposer sa défense et reprendre la compétition avec des résultats probants, l’incident causé par Maïza qui a refusé de figurer dans les 18 face à l’USMA a provoqué la cassure entre le coach et son joueur. Cet incident n’est pas resté sans provoquer un mouvement de panique à la maison kabyle et qui, heureusement, n’a pas atteint les joueurs qui ont bien réagi en battant la « Dream Team ». Le coach Sandjak n’est pas allé par trente-six chemins pour annoncer que son joueur Maïza, qui n’avait pas le droit de discuter ses choix, sera sévèrement sanctionné.

Après Bellakhdar, à qui le tour ?
Moins de vingt-quatre heures après l’incident causé par l’axial kabyle, Adel Maïza, que Sandjak n’avait pas encore traité, le temps de jouer le match de l’USMA aussi capital, voilà qu’un autre joueur se distingue par un autre écart disciplinaire. Lui, c’est le milieu de terrain Bellakhdar qui a quitté le terrain avant même le coup de sifflet final en contestant les changements opérés par son coach. Deux dossiers qui viennent au moment où l’équipe retrouve la joie de vaincre mais qu’il faudra traiter en urgence afin d’éviter que l’épidémie ne gagne d’autres éléments, car cela coûterait beaucoup à la JSK à huit journée de la fin de la saison.

Sandjak persiste et signe : « Je suis le maître à bord »
Pour sa part, l’entraîneur en chef des Canaris reste serein et lucide. Pour lui, ces deux écarts de discipline seront confiés à la direction laquelle, selon ses propos tenus en fin de match, est habilitée à prendre les mesures qui s’imposent. Pour lui, et ce n’est qu’un rappel qu’il a fait, dès lors qu’il avait déjà annoncé sur ces mêmes colonnes, qu’il est hors de question qu’un joueur vienne lui dicter ce qu’il doit faire ou plutôt discuter ses choix : « Je suis l’entraîneur en chef et j’assume pleinement mes responsabilités. Je suis le seul maître à bord et il est de mon ressort seulement de décider qui doit jouer et qui doit rester sur le banc. »

Réunion Sandjak–joueurs ce matin
C’est aujourd’hui, à l’occasion de la reprise des entraînements, que l’entraîneur en chef, Nasser Sandjak, réunira ses joueurs afin de revenir sur les deux derniers incidents qui ont entaché la semaine dernière. On croit savoir que Sandjak, qui ne souhaite pas faire passer ces deux actes sous silence, reviendra à la charge et demandera aux joueurs de respecter ses choix et ne jamais les discuter. Reste seulement à savoir s’il saura maîtriser cette colère de certains éléments et, par la même, permettre à l’équipe de reprendre son travail dans la tranquillité.

Medane : «Les auteurs des écarts disciplinaires doivent être sévèrement sanctionnés»
L’ancien international de la JSK et ex-dirigeant, Hakim Medane, qui intervenait en sa qualité de consultant à Canal Algérie, a évoqué les deux derniers incidents qui sont survenus, l’un la veille du match de l’USMA, et l’autre à la fin de la partie en regrettant d’emblée ce qui est arrivé et qui, selon lui, est inadmissible, tout en déclarant que les auteurs doivent être sévèrement sanctionnés. A ce propos, il dira : « D’abord, je tiens à souligner que de tels incidents ne devraient pas se produire dans un match ou bien avant. L’entraîneur est le seul à décider de ses choix et tout un chacun est tenu de les respecter. A mon sens, il ne faudrait pas faire passer ces deux gestes sous silence et des sanctions sévères doivent être prononcées. »

« C’est un manque de respect aux autres joueurs »
L’ancien Canari, Hakim Medane, ira encore plus loin dans son analyse de ces deux écarts de discipline causés par Maïza et Bellakhdar, en déclarant : « Discuter les choix du coach ou refuser carrément de jouer, si l’on n’est pas retenu dans le onze, est à mon sens un manque de respect aux autres joueurs. L’équipe est formée de plus de 18 joueurs et tous ont le droit de jouer. Il n’y a que onze joueurs que l’entraîneur dégage pour le match. Tout le monde travaille dans la semaine pour le même objectif et seul l’entraîneur est le mieux placé pour décider. »

Belkalem depuis 48 heures à Doha
Juste à la fin du clasico contre l’USM Alger, remporté par les Kabyles avec la plus petite des marges, l’international Essaïd Belkalem s’est directement envolé à destination du Qatar, plus exactement à Doha. Lorsque nous avons cherché en connaître la raison, nous avons appris que le défenseur de la JSK s’est déplacé à Aspitar. Cette visite ne rentre pas dans le cadre des soins du moment que le joueur ne souffre d’aucune blessure, mais d’après les échos qui nous sont parvenus, Belkalem avait un contrôle à effectuer. Comme tout le monde le sait, Kalou souffrait d’une pubalgie qui l’a privé de la compétition pendant plus de neuf mois.

Il sera absent à la reprise
Comme il se trouve à Doha depuis 48 heures, Essaïd Belkalem ratera officiellement la reprise des entraînements prévue aujourd’hui. Selon nos informations, le joueur rentrera au pays avant la fin de semaine.

La prime de l’USMA doublée
Les Canaris, qui ont décroché samedi dernier une précieuse victoire face à l’USMA, laquelle a permis au club kabyle de se consolider au milieu du tableau en attendant, bien sûr, de gagner d’autres matches, seront bien récompensés par la direction du club. Selon une source crédible, le président Mohand Cherif Hannachi ainsi que l’ensemble des membres du CA, ont décidé de doubler la prime de la victoire en accordant aux joueurs 10 millions de centimes chacun. Cette prime, ajoute notre source, est amplement méritée au vu de tout ce qu’ont montré les joueurs sur le terrain et qui ont réussi à redonner confiance au public venu très nombreux.

Toutes les précédentes primes seront perçues cette semaine
Toujours dans le même sens, nous avons appris que les primes de matches non encore perçues seront versées dans les comptes des joueurs avant la fin du mois de février en cours. En procédant ainsi, les responsables veulent maintenir cette bonne dynamique et motiver davantage les joueurs appelés à redoubler d’efforts pour se hisser en haut du tableau et, pourquoi pas, ne pas terminer sur le podium.

Reprise aujourd’hui à 10h
Après avoir bénéficié de deux jours de repos bien mérités, au lendemain de l’éclatante victoire face à l’USMA, les Canaris reprendront le chemin des entraînements aujourd’hui à partir de 10 h. Le staff technique kabyle aura devant lui deux semaines pour préparer son équipe à la suite du parcours, à commencer par le déplacement au CRB le 9 mars prochain.

Le gros risque pris avec Maroci !
Tout le monde sait que le milieu de terrain récupérateur, Tayeb Maroci, ne devait pas jouer le dernier match face à l’USMA pour cause de blessure. Pis encore, le joueur ne devait même pas être retenu dans la liste des 18. Or, avec l’incident de Maïza qui a claqué la porte, Sandjak a fait appel aux services de Maroci qu’il a aligné forcément en seconde période, après la sortie de Ziad pour blessure. Ainsi, la participation de Maroci ne serait-ce que pour les toutes dernières minutes n’est pas restée sans lui faire revenir les douleurs. Sa participation face à l’USMA est un gros risque pris avec la santé du joueur, qui devra se forcer au repos en extrême urgence, s’il ne souhaite pas voir sa santé se dégrader. Selon nos informations, le joueur ne reprendra pas de si tôt les entraînements et attendra le feu vert du staff médical.

Le Buteur (26/02/2013)

Plusieurs buts ont été marqués après les 40’ et 80’ : La JSK efficace dans les dernières minutes !

Malgré les turbulences que le club a connues en début de saison, la JSK est revenue en force dans la course depuis la nomination de Sandjak à la tête de la barre technique. Ce dernier, qui connaît bien la maison, a réussi à redresser la barre en l’espace de quelques journées seulement. Malgré la défaite de l’USMH et du WAT, les Canaris enchaînent avec cinq bons résultats de suite. Cela a permis à l’équipe de s’installer confortablement à la 7e place. Parlant des résultats, nous avons remarqué que la JSK de cette saison est plutôt forte dans les dernières minutes. Pour enrichir notre étude, nous avons établi quelques statistiques concernant les buts enregistrés depuis l’entame de la saison. D’après les résultats, les Kabyles ont inscrit plusieurs réalisations après la 40’ et la 80’. Autrement dit, dans les 21 réalisations marquées jusqu’à présent, 9 d’entre elles ont été inscrites vers la fin. Cela veut vdire que la formation de la JSK croit plus que jamais en ses qualités et ne baissera pas les bras avant d’entendre le sifflet final de l’arbitre.

Les défenseurs en pôle position
L’autre analyse que nous avons faite concerne les buteurs. En effet, la majorité des réalisations qui ont été inscrites dans les dernières minutes par la JSK, cette saison, et ont été l’œuvre des défenseurs. Mise à part Messaâdia qui en a mis deux et Hanifi et Mokdad un seul, les autres c’était les défenseurs qui en ont été derrière. La preuve, Maïza et Benchérifa ont inscrit un but chacun, tandis que Belkalem en a inscrit deux. Rappelons qu’au total, Benchérifa possède 3 buts, Messaâdia 4 buts, Maïza 2 buts, Belkalem 2 buts, Chalali 2 buts, Rial 2 buts, Maroci 1 but, et Mokdad 2 buts.

Les buts inscrits dans les dernières minutes
JSK–JSMB (Messaâdia 45’)
CSC 1 – JSK 2 (le deuxième but inscrit par Messaâdia à la 84’)
JSK 1– ESS 1 (Hanifi 89’)
MCEE 0 – JSK 1 (Benchérifa 80’)
WAT 3– JSK 1 (Mokdad 87’)
MCO 1- JSK 1 (Maïza 45’)
JSMB 2 – JSK 2 (Belkalem 42’, Messaâdia 45’)
JSK 1– USMA 0 (Belkalem 45’)
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Physiquement, les Canaris tiennent bien le coup !
Désormais, il ne reste que huit journées seulement avant la fin de la saison et l’objectif de la JSK n’est autre que de finir l’exercice parmi les cinq premiers. Théoriquement, les Canaris sont aptes à jouer le haut du tableau puisqu’ils ont droit à accueillir encore quatre fois à Tizi Ouzou. En vérité, leur mission s’annonce très difficile puisqu’ils auront quatre déplacements périlleux à effectuer. Malgré cela, le staff technique garde toujours espoir de voir la JSK remonter au classement et conquérir les leaders. En début de saison, la JSK jouait bien mais ne marquait pas. Il a fallu changer d’entraîneur, qui, en l’espace de quelques journées, a réussi à remobiliser ses troupes. La preuve, elle donne entière satisfaction puisqu’elle n’a plus essuyé de défaite depuis cinq journées. L’autre point positif qui mérite d’être signalé n’est autre que la fraîcheur physique qu’affichent les joueurs. Nous avons constaté face à l’USMA que les coéquipiers de Djamel Benlameri étaient au-dessus du lot. Donc, la JSK est bien partie pour finir la saison en force en jouant toutes ses cartes pour finir sur le podium.

Sandjak très satisfait
A l’issue de l’agréable victoire enregistrée contre le rival usmiste, nous avons essayé de nous rapprocher du premier responsable à la barre technique de la JSK, Nasser Sandjak, pour nous livrer ses impressions. Ce dernier, qui était aux anges, s’est contenté de nous dire que ses joueurs étaient tous à la hauteur et qu’ils avaient livré un match d’hommes. Toutefois, il n’a pas manqué de signaler un petit détail, celui de la fraîcheur physique. D’après lui, ses poulains sont au top physiquement.

«Les joueurs affichent une éblouissante forme physique»
Interrogé par nos soins à la fin du clasico face à l’USMA, Nasser Sandjak, qui a débuté ses déclarations par féliciter ses joueurs qui étaient tous à la hauteur face à l’USMA, a jugé utile de rajouter : «Sincèrement, mes joueurs ont livré un match d’hommes contre l’USMA. Toutefois, je tiens à dire aussi qu’ils étaient au top physiquement. Ils commencent à tenir bien le coup.»

Benlameri : «Physiquement, on est bons !»
Après avoir sollicité l’entraîneur, nous avons posé quelques questions au défenseur Djamel Benlameri qui a, encore une fois, brillé sous l’œil du sélectionneur, Vahid Halilhodzic. L’ex-Nahdiste, qui espère retrouver la sélection face au Bénin, nous a révélé que la JSK commence à revenir en force dans cette deuxième partie de championnat et que tous les joueurs se sentent en super forme physiquement : «Depuis quelque temps, on se sent en super forme physiquement. Les joueurs ne trouvent plus de peine à aller au terme d’une rencontre. Je pense que c’est une bonne chose d’autant plus qu’on est en fin de saison où les clubs sont sensés régresser. J’espère qu’on continuera sur cette lancée.»

Le Buteur (26/02/2013)

Match amical ce jeudi face au RC Arba

Comme nous l’avons rapporté dans notre dernière édition, l’entraîneur Nacer Sandjak a émis le vœu de disputer un match amical avant la fin de la semaine afin de meubler l’arrêt du championnat. C’est ainsi que la direction a programmé une joute amicale ce jeudi face au RC Arba, une équipe qui joue l’accession en Ligue 1. Ce sera une belle opportunité pour le coach Sandjak de faire tourner son effectif. Il alignera probablement ceux qui n’ont pas bénéficié d’un temps de jeu conséquent en cette phase retour afin d’avoir une idée précise sur chacun d’entre eux. En raison de l’enchaînement des rencontres, il n’a pu programmer de rencontre amicale depuis la reprise du championnat. Le RC Arba est un bon sparring-partner, vu que cette équipe occupe la deuxième place au classement général. Elle est bien partie pour réussir une accession historique en L1. Enchaînant performance sur performance lors des 5 dernières journées, Sandjak ne laisse rien au hasard. Il se remettra au travail dès aujourd’hui afin de préparer son prochain match dans de meilleures conditions.

Ce qui s’est réellement passé entre Belakhdar et Sandjak
Ce n’est que 48 heures après la rencontre face à l’USMA que les langues commencent à se délier concernant le comportement condamnable de l’attaquant Fayçal Belakhdar. Bien que ce dernier ait affirmé qu’il n’a pas manqué de respect à son entraîneur, on a appris d’une source sûre qu’il a failli l’agresser au vestiaire. N’ayant pas mesuré la gravité de son comportement en quittant le banc des remplaçants après le deuxième changement opéré par son coach, Belakhdar voulait en découdre avec lui au coup de sifflet final. D’après notre source, n’était-ce l’intervention de quelques joueurs, la situation aurait dégénéré dans le vestiaire, et ce, malgré la précieuse victoire acquise devant l’USMA.

Voulant mettre les points sur les «i» avec son poulain qui s’est distingué par un comportement condamnable, Sandjak ne s’attendait nullement à ce que son joueur s’en prenne violemment à lui. Déçu de sa non-incorporation, Belakhdar a failli frapper son entraîneur avec son portable, avant de proférer des propos à son encontre qui ne l’honorent pas. Heureusement que certains joueurs ont intervenu pour le calmer. La réaction de Belakhdar a poussé Sandjak à dire que son comportement est celui d’un fou et qu’un joueur comme lui et Maïza ont besoin d’un psychologue ou d’un psychiatre.

Compétition (26/02/2013)

JSK-Maiza et Belakhdar : que décidera Hannachi ?

C’est aujourd’hui que les deux joueurs de la formation du Djurdjura, auteurs d’écarts disciplinaires, comparaîtront devant le conseil de discipline.

Pour rappel, Maïza a refusé de rester sur le banc de touche devant l’USMA. L’ancien joueur de l’USMAn et de l’ESS a parlé à Amrouche lors de la séance d’entraînement de son équipe de jeudi dernier et lui a demandé de dire à Sandjak que s’il ne comptait pas le faire jouer comme titulaire, il ne le convoquerait pas pour cette rencontre, car, toujours selon lui, il n’était pas prêt à chauffer le banc. Pis encore, Maïza a laissé ses coéquipiers à 48 heures de la rencontre en rentrant chez lui. Une décision qui a provoqué la colère des membres du staff technique, des dirigeants, mais aussi des supporters. En plus du cas Maïza, un autre joueur a provoqué la colère de tout ce beau monde, il s’agit de Belakhdar, qui a contesté les choix de son entraîneur publiquement. L’ancien pensionnaire du MCEE a quitté le banc de touche de son équipe après le deuxième changement effectué par Sandjak samedi passé devant l’USMA. Avec ces deux écarts de discipline, les responsables kabyles ont pété les plombs, puisqu’ ils ont tout simplement perdu le contrôle du groupe. La JSK était par le passé un modèle et un exemple sur le plan de la discipline. Outre ces derniers, on assiste à des cascades d’écarts de discipline. Pour essayer de calmer les esprits, les responsables de la formation de la ville des Genêts ont convoqué ces deux éléments pour comparaître devant le CD. Maïza et Belakhdar seront attendus donc ce matin au siège du club. Par ailleurs, les responsables doivent prendre de sévères sanctions à l’encontre de ces deux joueurs afin de remettre de l’ordre au sein du groupe et avertir aussi les autres joueurs. Cela dit, le dernier mot revient au premier responsable car, désormais, la balle est dans le camp de Hannachi.

Sandjak a rédigé des rapports chargés
«Les affaires Maïza et Belakhdar sont au niveau de la direction. Moi j’ai fait mon travail, j’ai remis mes rapports aux responsables du club qui doivent prendre les mesures nécessaires», n’a cessé de déclarer Nacer Sandjak ces derniers jours, lui qui a rédigé de sales rapports contre ces deux joueurs. Certes, Sandjak a insisté sur la convocation de Maïza et Belkhdar par les responsables du club afin de passer en CD, en outre, l’ancien sélectionneur national a déclaré à ses proches qu’il n’aura pas besoin des services de ces deux joueurs pour le reste de la saison.

La direction soutiendra-t-elle l’entraîneur ou sera-t-elle souple avec les joueurs ?
Les deux joueurs qui passeront devant le CD aujourd’hui seront entendus par les responsables du club. Reste à savoir maintenant si la direction va soutenir l’entraîneur, Sandjak, ou si elle sera souple avec les deux joueurs. Ce n’est un secret pour personne, les dirigeants de la JSK ont demandé à Sandjak de faire jouer Maïza à Béjaïa mais ce dernier a refusé catégorique- ment, lui qui n’a pas accepté qu’on s’immisce dans ses affaires.

Certains parlent de l’exclusion de Belakhdar
Même si le président Hannachi n’a pris aucune décision pour le moment, certains évoquent déjà l’éventualité de se séparer de Belakhdar. Pour eux, même dans le cas où la direction sanctionnera financièrement le joueur, cela ne suffira pas au vu de la gravité de son comportement. Non seulement il a quitté le terrain après le deuxième changement opéré par son entraîneur, mais il l’a aussi insulté avant de tenter de l’agresser au vestiaire. Si la direction se contente seulement de lui infliger une sanction financière, cela ne réglera rien au problème. C’est vrai que Belakhdar est un joueur de qualités, mais Sandjak acceptera-t-il d’avoir sous sa main un joueur auquel il a conseillé de voir un psy ?

La relation entre Sandjak et Belakhdar est arrivée à un point de non-retour, et quelle que soit la décision qui sera prise par le président Hannachi, celle-ci risque de ne pas plaire à l’un d’eux. Si le coach kabyle passe l’éponge sur le comportement condamnable de son joueur, cela risque d’ouvrir la voie à d’autres dérapages, surtout que la fin de saison approche. Le président de la JSK est appelé à trancher sur un cas qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive depuis la rencontre face à l’USMA. Peu utilisé depuis qu’il a rejoint la JSK, Belakhdar se dit prêt à prolonger son contrat si son employeur le lui demandera. Le président Hannachi réfléchira mille fois avant de prendre une quelconque décision.

Compétition (26/02/2013)

Après la belle prestation devant l’USMA
Le podium reste-t-il possible pour les Canaris ?

La victoire des Jaune et Vert de samedi dernier devant l’USMA a fait naître un grand espoir chez les supporters kabyles. Ces derniers, qui étaient très contents à l’issue de la rencontre, ont salué aussi le bon rendement des joueurs. En battant la bonne équipe de l’USMA, la JSK a démontré à tout le monde qu’elle pourra rivaliser avec n’importe quelle équipe de championnat. D’ailleurs, les responsables de l’équipe, ainsi que les supporters qui ont souhaité terminer le championnat à une place honorable ont changé d’ambitions. A la JSK, on souhaite terminer le championnat sur le podium. A huit journées du baisser de rideau, la formation du Djurdjura sera appelée à récolter le maximum possible de points afin de tenter de prendre une place sur le podium. Néanmoins, la mission des coéquipiers de Rial ne sera pas facile, car, des équipes comme l’USMH, l’USMA, le MCA ou même le CSC ne comptent pas lâcher leur places La bande à Sandjak aura-t-elle les moyens de terminer la saison sur le podium, ou se contentera-t-elle d’une place honorable au classement général, on le saura en fin de saison.

Chalali, l’attaquant tant recherché
S’il y a un joueur qui a donné une grande satisfaction samedi dernier lors de la rencontre qui a opposé la JSK et l’USMA, c’est bien l’attaquant Chalali. Certes, ce dernier n’a pas marqué lors de cette rencontre, en outre, son rendement a épaté tout le monde à la JSK. Pour les Kabyles, l’ancien joueur de l’ESS a réalisé un gros travail en attaque en jouant bien sans ballon et en pesant très fort sur l’arrière-garde des Rouge et Noir. D’ailleurs, au lendemain de cette rencontre, tout le monde au club parlait de ce joueur qui a réussi déjà à marquer deux buts depuis qu’il est à la JSK. Contrairement aux autres attaquants recrutés par les responsables kabyles lors des deux derniers mercatos et qui ont trouvé d’énormes difficultés pour ouvrir leur compteur buts, Chalali a frappé lors de sa première titularisation avant de confirmer par la suite sa valeur. La JSK a-t-elle trouvé l’attaquant tant recherché ? C’est au joueur de répondre à la question, en enchaînant les belles performances, mais surtout en marquant d’autres buts lors des huit matchs restants de championnat.

Compétition (26/02/2013)