International -News
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Re: International -News
Un champion et des débuts difficiles
Notre revue hebdomadaire des championnats d'Asie et d'Océanie vous fera voyager de la Nouvelle-Zélande à la Jordanie. D'une extrémité de la région à l'autre, la compétition bat son plein, même si les situations varient grandement d'un pays à l'autre.
En Australie, Brisbane Roar vient tout juste de décrocher la première couronne de son histoire, au terme d'un match épique. De leur côté, les poids lourds du football sud-coréen connaissent un début de saison difficile. FIFA.com revient également sur les bonheurs et les malheurs des leaders en Iran, au Qatar et en Thaïlande.
Championnat de République de Corée : Suwon donne le la
Au terme de la deuxième journée, deux équipes seulement présentent un bilan impeccable en K-League. Le quadruple champion de République de Corée, Suwon Bluewings, a enregistré un deuxième succès consécutif aux dépens de Gwangju FC (2:1), tandis que le Gyeongnam FC a confirmé ses bonnes dispositions du moment en s'imposant sur la plus petite des marges face à Ulsan Hyundai Horangi. En revanche, le FC Séoul continue de décevoir. Le tenant du titre a arraché le nul (1:1) à Daejeon Citizen pour inscrire son premier point de la saison. Le champion d'Asie ne fait guère mieux : Seongnam Ilhwa Chunma affiche lui aussi un point au compteur, suite à sa défaite 0:1 devant Jeonbuk Motors.
L'affiche : L'ancien international croate Mato Neretljak a été le grand artisan du succès de Suwon. En trouvant le chemin des filets à deux reprises après la pause, le défenseur a offert les trois points de la victoire et le fauteuil de leader à son équipe. Tout avait pourtant bien mal commencé pour les locaux, cueillis à froid par une frappe de Kim Dong-Sub dès la première minute. Après avoir gâché un nombre incalculable d'occasions, les Bluewings ont finalement égalisé à un quart d'heure de la fin par Neretljak. L'ex-star de Hajduk Split a ensuite doublé la mise sur penalty.
À la une : Kim Jung-Woo a pris les commandes du classement des buteurs avec trois réalisations en l'espace de deux journées. Sous son impulsion, Sangju Sangmu Phoenix s'est installé dans le trio de tête. Auteur d'un doublé contre Incheon United (2:0), le milieu de terrain sud-coréen a de nouveau trouvé le chemin des filets à l'occasion du nul (3:3) face à Busan I'Park.
Championnat d'Iran : Sepahan revient sur Zob Ahan
Avec le succès 2:0 de Sepahan sur Naft Tehran, la course au titre est totalement relancée en Iran. Tenu en échec (2:2) sur le terrain du modeste Rah Ahan, Zob Ahan ne possède plus qu'une longueur d'avance sur son premier poursuivant. Esteghlal a lui aussi abandonné de précieux points en concédant le nul (0:0) à Saipa, mais conserve néanmoins sa troisième place.
L'affiche : Zob Ahan a frôlé la catastrophe contre Rah Ahan. Seul un but de Reza Khalatbari dans le temps additionnel a permis au principal candidat au titre d'éviter une défaite embarrassante. Les visiteurs avaient pourtant pris l'avantage dès la troisième minute par Mohammad Ghazi Najafabadi. Les locaux trouvent les ressources pour égaliser à la 68ème minute, sur une reprise signée Iman Razaghirad, et prennent l'avantage grâce à Meysan Aghaei à sept minutes du terme. Dans le temps additionnel, Khalatbari offre le but de l'égalisation à Zob Ahan, qui conserve un point d'avance en tête du championnat à huit journées de la fin.
À la une : Foolad a depuis longtemps abandonné tout espoir de se mêler à la lutte pour le titre mais son attaquant Reza Norouzi continue de briller. Fort d'un nouveau doublé à Peykan (2:0), il conforte sa première place au classement des buteurs avec 16 unités.
Championnat du Qatar : Situation inchangée en tête
Samedi, le choc au sommet entre le leader Lekhwiya et son dauphin Al Arabi s'est conclu sur un score de parité (1:1). Ce résultat fait plutôt l'affaire du premier nommé, qui conserve une avance de cinq points. En ouvrant le score à l'heure de jeu par Abdul Aziz Hatem, les visiteurs s'imaginaient déjà infliger une troisième défaite cette saison à Lekhwiya, mais l'ancien Marseillais Bakary Koné a remis les pendules à l'heure à deux minutes du coup de sifflet final.
L'affiche : Battu pour la troisième fois d'affilée, Al Gharafa poursuit son chemin de croix. Cette fois, le tenant du titre a mordu la poussière sur le terrain d'Al Rayyan (2:3). Les locaux sont revenus par deux fois au score, avant de porter l'estocade en fin de partie sur une frappe de Rodrigo Tabata.
À la une : Le Marocain Anouar Diba fait apprécier son sens du but ce samedi en frappant à quatre reprises lors du succès (5:2) d'Al Wakra devant Al Siliya. Malgré la défaite, le club de Doha compte toujours dans ses rangs le meilleur buteur du championnat en la personne de l'ex-Sochalien Moumouni Dagano, déjà auteur de 14 réalisations.
Ailleurs
Au bout du suspense, Brisbane Roar a remporté ce week-end le premier titre de A-League d'Australie de son histoire. Invaincu depuis 27 matches, le Roar était donné largement favori face aux Central Coast Mariners. Devant son public, Brisbane a pourtant dû marquer à deux reprises dans les quatre dernières minutes de la prolongation pour arracher la séance de tirs au but. C'est Erik Paartalu qui a endossé les habits de sauveur, en égalisant sur l'ultime action de jeu. Le gardien Michael Theoklitos s'est ensuite illustré en sortant deux tentatives adverses pour offrir la victoire (4:2) aux siens.
Véritables ténors du football de Nouvelle-Zélande, Waitakere United et Auckland City semblent bien partis pour se retrouver en finale du championnat. Les deux équipes ont en tout cas fait un pas dans la bonne direction : le premier a écrasé Canterbury United 6:2, grâce notamment à deux doublés signés Ryan de Vries et Dakota Lucas, le second s'est imposé 2:0 sur le terrain d'une Team Wellington réduite à dix et qui aura sans doute bien du mal à inverser la tendance au retour.
En Jordanie, Al Wahdat conforte sa place en tête du classement sans jouer. En effet, Al Faysali a concédé une surprenante défaite 1:2 face à Al Buqaa, une formation de milieu de tableau. Le tenant du titre compte toujours huit points de retard, avec un match en plus.
En Thaïlande, l'ambitieux Muang Thong United a signé son premier succès de la saison devant Thai Port (2:0). Après un début de saison poussif, marqué par un nul et une défaite dans les deux premières journées, le champion en titre semble avoir retrouvé la forme. Dans le même temps, Royal Thai Army a concédé le nul (1:1) à Bangkok Glass et abandonne la pole position à Chonburi, auteur d'un impressionnant 6:0 face à Tot-Cat.
Fifa.com (14/03/2011)
Notre revue hebdomadaire des championnats d'Asie et d'Océanie vous fera voyager de la Nouvelle-Zélande à la Jordanie. D'une extrémité de la région à l'autre, la compétition bat son plein, même si les situations varient grandement d'un pays à l'autre.
En Australie, Brisbane Roar vient tout juste de décrocher la première couronne de son histoire, au terme d'un match épique. De leur côté, les poids lourds du football sud-coréen connaissent un début de saison difficile. FIFA.com revient également sur les bonheurs et les malheurs des leaders en Iran, au Qatar et en Thaïlande.
Championnat de République de Corée : Suwon donne le la
Au terme de la deuxième journée, deux équipes seulement présentent un bilan impeccable en K-League. Le quadruple champion de République de Corée, Suwon Bluewings, a enregistré un deuxième succès consécutif aux dépens de Gwangju FC (2:1), tandis que le Gyeongnam FC a confirmé ses bonnes dispositions du moment en s'imposant sur la plus petite des marges face à Ulsan Hyundai Horangi. En revanche, le FC Séoul continue de décevoir. Le tenant du titre a arraché le nul (1:1) à Daejeon Citizen pour inscrire son premier point de la saison. Le champion d'Asie ne fait guère mieux : Seongnam Ilhwa Chunma affiche lui aussi un point au compteur, suite à sa défaite 0:1 devant Jeonbuk Motors.
L'affiche : L'ancien international croate Mato Neretljak a été le grand artisan du succès de Suwon. En trouvant le chemin des filets à deux reprises après la pause, le défenseur a offert les trois points de la victoire et le fauteuil de leader à son équipe. Tout avait pourtant bien mal commencé pour les locaux, cueillis à froid par une frappe de Kim Dong-Sub dès la première minute. Après avoir gâché un nombre incalculable d'occasions, les Bluewings ont finalement égalisé à un quart d'heure de la fin par Neretljak. L'ex-star de Hajduk Split a ensuite doublé la mise sur penalty.
À la une : Kim Jung-Woo a pris les commandes du classement des buteurs avec trois réalisations en l'espace de deux journées. Sous son impulsion, Sangju Sangmu Phoenix s'est installé dans le trio de tête. Auteur d'un doublé contre Incheon United (2:0), le milieu de terrain sud-coréen a de nouveau trouvé le chemin des filets à l'occasion du nul (3:3) face à Busan I'Park.
Championnat d'Iran : Sepahan revient sur Zob Ahan
Avec le succès 2:0 de Sepahan sur Naft Tehran, la course au titre est totalement relancée en Iran. Tenu en échec (2:2) sur le terrain du modeste Rah Ahan, Zob Ahan ne possède plus qu'une longueur d'avance sur son premier poursuivant. Esteghlal a lui aussi abandonné de précieux points en concédant le nul (0:0) à Saipa, mais conserve néanmoins sa troisième place.
L'affiche : Zob Ahan a frôlé la catastrophe contre Rah Ahan. Seul un but de Reza Khalatbari dans le temps additionnel a permis au principal candidat au titre d'éviter une défaite embarrassante. Les visiteurs avaient pourtant pris l'avantage dès la troisième minute par Mohammad Ghazi Najafabadi. Les locaux trouvent les ressources pour égaliser à la 68ème minute, sur une reprise signée Iman Razaghirad, et prennent l'avantage grâce à Meysan Aghaei à sept minutes du terme. Dans le temps additionnel, Khalatbari offre le but de l'égalisation à Zob Ahan, qui conserve un point d'avance en tête du championnat à huit journées de la fin.
À la une : Foolad a depuis longtemps abandonné tout espoir de se mêler à la lutte pour le titre mais son attaquant Reza Norouzi continue de briller. Fort d'un nouveau doublé à Peykan (2:0), il conforte sa première place au classement des buteurs avec 16 unités.
Championnat du Qatar : Situation inchangée en tête
Samedi, le choc au sommet entre le leader Lekhwiya et son dauphin Al Arabi s'est conclu sur un score de parité (1:1). Ce résultat fait plutôt l'affaire du premier nommé, qui conserve une avance de cinq points. En ouvrant le score à l'heure de jeu par Abdul Aziz Hatem, les visiteurs s'imaginaient déjà infliger une troisième défaite cette saison à Lekhwiya, mais l'ancien Marseillais Bakary Koné a remis les pendules à l'heure à deux minutes du coup de sifflet final.
L'affiche : Battu pour la troisième fois d'affilée, Al Gharafa poursuit son chemin de croix. Cette fois, le tenant du titre a mordu la poussière sur le terrain d'Al Rayyan (2:3). Les locaux sont revenus par deux fois au score, avant de porter l'estocade en fin de partie sur une frappe de Rodrigo Tabata.
À la une : Le Marocain Anouar Diba fait apprécier son sens du but ce samedi en frappant à quatre reprises lors du succès (5:2) d'Al Wakra devant Al Siliya. Malgré la défaite, le club de Doha compte toujours dans ses rangs le meilleur buteur du championnat en la personne de l'ex-Sochalien Moumouni Dagano, déjà auteur de 14 réalisations.
Ailleurs
Au bout du suspense, Brisbane Roar a remporté ce week-end le premier titre de A-League d'Australie de son histoire. Invaincu depuis 27 matches, le Roar était donné largement favori face aux Central Coast Mariners. Devant son public, Brisbane a pourtant dû marquer à deux reprises dans les quatre dernières minutes de la prolongation pour arracher la séance de tirs au but. C'est Erik Paartalu qui a endossé les habits de sauveur, en égalisant sur l'ultime action de jeu. Le gardien Michael Theoklitos s'est ensuite illustré en sortant deux tentatives adverses pour offrir la victoire (4:2) aux siens.
Véritables ténors du football de Nouvelle-Zélande, Waitakere United et Auckland City semblent bien partis pour se retrouver en finale du championnat. Les deux équipes ont en tout cas fait un pas dans la bonne direction : le premier a écrasé Canterbury United 6:2, grâce notamment à deux doublés signés Ryan de Vries et Dakota Lucas, le second s'est imposé 2:0 sur le terrain d'une Team Wellington réduite à dix et qui aura sans doute bien du mal à inverser la tendance au retour.
En Jordanie, Al Wahdat conforte sa place en tête du classement sans jouer. En effet, Al Faysali a concédé une surprenante défaite 1:2 face à Al Buqaa, une formation de milieu de tableau. Le tenant du titre compte toujours huit points de retard, avec un match en plus.
En Thaïlande, l'ambitieux Muang Thong United a signé son premier succès de la saison devant Thai Port (2:0). Après un début de saison poussif, marqué par un nul et une défaite dans les deux premières journées, le champion en titre semble avoir retrouvé la forme. Dans le même temps, Royal Thai Army a concédé le nul (1:1) à Bangkok Glass et abandonne la pole position à Chonburi, auteur d'un impressionnant 6:0 face à Tot-Cat.
Fifa.com (14/03/2011)
Re: International -News
Une MLS 2011 à connotation française
La saison 2011 de la Ligue nord-américaine de football (MLS) débute mardi avec une présence française renforcée par rapport à l'an dernier: Thierry Henry est arrivé à l'été à New York et trois "Frenchies" ont signé à l'intersaison pour porter le contingent à sept.
Le match d'ouverture oppose mardi les Seattle Sounders aux Los Angeles Galaxy de David Beckham, dont ce sera la dernière saison en MLS, un championnat qui comptera cette année deux nouvelles équipes, Vancouver et Portland.
Les arrivées à New England des trentenaires Ousmane Dabo, formé à Rennes avant de partir en Italie et en Angleterre, et Didier Domi, un ancien du Paris SG, ainsi que la signature pour la nouvelle franchise de Vancouver d'Eric Hassli, ex-attaquant de Metz et Valenciennes, ont illustré cet hiver le fait que la MLS est un débouché qui n'est plus ignoré par les Français.
Avec ces trois joueurs plus Stéphane Auvray (Kansas City), Léandre Griffit (Columbus), Sébastien Le Toux (Philadelphie) et Henry, de loin le plus connu, le foot "Made in France" devient une réalité en MLS, même si Gilles Grimandi (Colorado), Youri Djorkaeff (New York), Pascal Bedrossian (Chicago), Laurent Merlin (Chivas USA) et Laurent Robert (San Jose) sont passés par là avant eux.
'Titi' est certes la star du lot - il est d'ailleurs le joueur de MLS dont le maillot se vend le plus, devant son coéquipier Rafael Marquez et Landon Donovan (Los Angeles), mais le Français qui a le plus de succès en MLS est peut-être Le Toux. En plus de recevoir le prix individuel du fair-play la saison passée, l'attaquant ou milieu offensif de Philadelphie a été élu dans l'équipe-type grâce à ses 14 buts et 11 passes décisives (en 28 matches).
Anciens de L1
Premier Français à remporter le titre de champion MLS, l'an dernier avec Colorado, Julien Baudet n'a pas trouvé de terrain d'entente avec Seattle et ne devrait pas repartir pour une nouvelle saison en Amérique du nord. Mais l'effectif tricolore pourrait gonfler à huit unités si Alexis Pradié, un ancien du centre de formation de Marseille qui était de l'aventure des "minots" de CFA2 qui avaient arraché un match nul héroïque au Paris SG en mars 2006, signait un contrat professionnel avec Dallas, finaliste MLS en 2010.
La touche bleu-blanc-rouge sera aussi palpable en Amérique du nord grâce aux anciens du Championnat de France. Comme le Brésilien Andre Luiz (San Jose), ancien de l'OM, du PSG et d'Ajaccio, le Serbe Branko Boskovic (DC United), ex joueur de Paris, le Colombien Faryd Mondragon (Philadelphie), ancien gardien de Metz, ou le Finlandais Teemu Tainio (New York), qui a passé huit ans à Auxerre. Sans parler de Marquez, qui a fait les beaux jours de Monaco avant ceux de Barcelone.
Du côté de Sochaux, on gardera un oeil intéressé sur Charlie Davis, prêté à DC United. L'attaquant américain tente de retrouver le haut niveau 18 mois après l'effroyable accident de voiture qui l'avait très sérieusement blessé.
Fifa.com (14/03/2011)
La saison 2011 de la Ligue nord-américaine de football (MLS) débute mardi avec une présence française renforcée par rapport à l'an dernier: Thierry Henry est arrivé à l'été à New York et trois "Frenchies" ont signé à l'intersaison pour porter le contingent à sept.
Le match d'ouverture oppose mardi les Seattle Sounders aux Los Angeles Galaxy de David Beckham, dont ce sera la dernière saison en MLS, un championnat qui comptera cette année deux nouvelles équipes, Vancouver et Portland.
Les arrivées à New England des trentenaires Ousmane Dabo, formé à Rennes avant de partir en Italie et en Angleterre, et Didier Domi, un ancien du Paris SG, ainsi que la signature pour la nouvelle franchise de Vancouver d'Eric Hassli, ex-attaquant de Metz et Valenciennes, ont illustré cet hiver le fait que la MLS est un débouché qui n'est plus ignoré par les Français.
Avec ces trois joueurs plus Stéphane Auvray (Kansas City), Léandre Griffit (Columbus), Sébastien Le Toux (Philadelphie) et Henry, de loin le plus connu, le foot "Made in France" devient une réalité en MLS, même si Gilles Grimandi (Colorado), Youri Djorkaeff (New York), Pascal Bedrossian (Chicago), Laurent Merlin (Chivas USA) et Laurent Robert (San Jose) sont passés par là avant eux.
'Titi' est certes la star du lot - il est d'ailleurs le joueur de MLS dont le maillot se vend le plus, devant son coéquipier Rafael Marquez et Landon Donovan (Los Angeles), mais le Français qui a le plus de succès en MLS est peut-être Le Toux. En plus de recevoir le prix individuel du fair-play la saison passée, l'attaquant ou milieu offensif de Philadelphie a été élu dans l'équipe-type grâce à ses 14 buts et 11 passes décisives (en 28 matches).
Anciens de L1
Premier Français à remporter le titre de champion MLS, l'an dernier avec Colorado, Julien Baudet n'a pas trouvé de terrain d'entente avec Seattle et ne devrait pas repartir pour une nouvelle saison en Amérique du nord. Mais l'effectif tricolore pourrait gonfler à huit unités si Alexis Pradié, un ancien du centre de formation de Marseille qui était de l'aventure des "minots" de CFA2 qui avaient arraché un match nul héroïque au Paris SG en mars 2006, signait un contrat professionnel avec Dallas, finaliste MLS en 2010.
La touche bleu-blanc-rouge sera aussi palpable en Amérique du nord grâce aux anciens du Championnat de France. Comme le Brésilien Andre Luiz (San Jose), ancien de l'OM, du PSG et d'Ajaccio, le Serbe Branko Boskovic (DC United), ex joueur de Paris, le Colombien Faryd Mondragon (Philadelphie), ancien gardien de Metz, ou le Finlandais Teemu Tainio (New York), qui a passé huit ans à Auxerre. Sans parler de Marquez, qui a fait les beaux jours de Monaco avant ceux de Barcelone.
Du côté de Sochaux, on gardera un oeil intéressé sur Charlie Davis, prêté à DC United. L'attaquant américain tente de retrouver le haut niveau 18 mois après l'effroyable accident de voiture qui l'avait très sérieusement blessé.
Fifa.com (14/03/2011)
Re: International -News
Ratage de la saison
Giaccherini ( Cesena vs Juventus)
benratage
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Re: International -News
L'Afrique du Sud bénéficie encore de la Coupe du Monde de la FIFA
Le Comité d'organisation local de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 a franchi une étape de plus dans la pérennisation d'une compétition qui s'est attiré les louanges du monde entier. Ce processus reposera en partie sur la création du Fonds d'héritage de la Coupe du Monde de la FIFA, qui sera administré par un représentant de la FIFA, un dirigeant de la Fédération sud-africaine de football (SAFA), un intervenant du secteur privé et un membre du gouvernement sud-africain.
Après la réunion du conseil d'administration au siège de la SAFA, à Johannesburg, le Secrétaire général de la FIFA, Jérôme Valcke, a indiqué aux journalistes que les équipes travaillent d'arrache pied à la mise en œuvre du Fonds d'héritage. Il a par ailleurs félicité les membres du conseil d'administration et de la SAFA pour leur collaboration tout au long de cette phase de travail.
"Les chiffres ne mentent pas. De ce que nous avons pu constater (sur le plan financier), cette Coupe du Monde a été un immense succès à tous points de vue", a déclaré Valcke. "Nous avons récemment publié un rapport financier positif, qui reflétait bien l'organisation de cette compétition. La Coupe du Monde de la FIFA 2010 a été une bonne édition pour la FIFA. Elle ne s'est pas soldée par la faillite financière annoncée par certains. Nous avons déjà indiqué que tous les membres bénéficieraient de retombées. Cela signifie que tout l'argent généré par la Coupe du Monde sera destiné au football. L'Afrique du Sud a donné le ton. Maintenant, c'est au Brésil puis à la Russie et au Qatar de suivre l'exemple."
Le Président de la SAFA, Kirsten Nematandani, a indiqué que ses associations et ses structures bénéficiaient déjà des fruits de la Coupe du Monde de la FIFA. Et d'ajouter que des solutions ont été trouvées pour que le football sud-africain puisse continuer à profiter des bienfaits de l'organisation de cet événement planétaire.
"L'enseignement le plus important qui est ressorti de la réunion du conseil, c'est que nous avons trouvé la route pour aller de l'avant et une méthode pour traiter l'après-Coupe du Monde. La SAFA se doit de remercier la FIFA pour le soutien qu'elle lui a apporté. Grâce à la réussite de la Coupe du Monde, nos 52 régions vont bénéficier d'immenses retombées. Nous avons lancé le projet de 52 terrains "héritage", dont 12 sont déjà terminés et livrés. Il est important que la Coupe du Monde 2010 agisse comme une fontaine intarissable pour nous. La génération à venir doit récolter les fruits du travail effectué durant cette période."
Un modèle
Le président du COL de la Coupe du Monde de la FIFA 2010, Danny Jordaan, est allé dans le même sens en affirmant que l'Afrique du Sud devait exploiter la dynamique créée par la Coupe du Monde de la FIFA. "Plus de huit mois après l'organisation de la compétition dans le pays, on lit encore la fierté sur le visage des gens dès qu'ils parlent de la Coupe du Monde 2010, a déclaré Jordaan. Je me suis récemment rendu au Soudan pour le congrès de la CAF, où tous les intervenants ont parlé en bien de la compétition. Les Africains s'identifient à cet événement. Comme nous l'avons dit, cette réussite n'appartient pas seulement aux Sud-Africains, elle appartient au continent tout entier. Nous devons maintenant construire une base de développement solide, afin d'améliorer le niveau footballistique de notre pays."
Le Secrétaire général de la FIFA a déclaré que l'attention serait désormais portée sur les préparatifs de la Coupe du Monde de la FIFA 2014, dont le tirage au sort préliminaire est programmé le 30 juillet 2011. Jérôme Valcke est certain que tout se passera pour le mieux. "Aujourd'hui, nous voulons nous assurer que le tirage au sort préliminaire soit une réussite. Après quoi, le moment sera venu de se concentrer sur les nombreux sujets d'importance capitale que nous devons traiter. J'estime que la période qui suivra le tirage au sort sera une véritable charnière pour l'orientation de notre travail", a-t-il déclaré.
Fifa.com (14/03/2011)
Le Comité d'organisation local de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 a franchi une étape de plus dans la pérennisation d'une compétition qui s'est attiré les louanges du monde entier. Ce processus reposera en partie sur la création du Fonds d'héritage de la Coupe du Monde de la FIFA, qui sera administré par un représentant de la FIFA, un dirigeant de la Fédération sud-africaine de football (SAFA), un intervenant du secteur privé et un membre du gouvernement sud-africain.
Après la réunion du conseil d'administration au siège de la SAFA, à Johannesburg, le Secrétaire général de la FIFA, Jérôme Valcke, a indiqué aux journalistes que les équipes travaillent d'arrache pied à la mise en œuvre du Fonds d'héritage. Il a par ailleurs félicité les membres du conseil d'administration et de la SAFA pour leur collaboration tout au long de cette phase de travail.
"Les chiffres ne mentent pas. De ce que nous avons pu constater (sur le plan financier), cette Coupe du Monde a été un immense succès à tous points de vue", a déclaré Valcke. "Nous avons récemment publié un rapport financier positif, qui reflétait bien l'organisation de cette compétition. La Coupe du Monde de la FIFA 2010 a été une bonne édition pour la FIFA. Elle ne s'est pas soldée par la faillite financière annoncée par certains. Nous avons déjà indiqué que tous les membres bénéficieraient de retombées. Cela signifie que tout l'argent généré par la Coupe du Monde sera destiné au football. L'Afrique du Sud a donné le ton. Maintenant, c'est au Brésil puis à la Russie et au Qatar de suivre l'exemple."
Le Président de la SAFA, Kirsten Nematandani, a indiqué que ses associations et ses structures bénéficiaient déjà des fruits de la Coupe du Monde de la FIFA. Et d'ajouter que des solutions ont été trouvées pour que le football sud-africain puisse continuer à profiter des bienfaits de l'organisation de cet événement planétaire.
"L'enseignement le plus important qui est ressorti de la réunion du conseil, c'est que nous avons trouvé la route pour aller de l'avant et une méthode pour traiter l'après-Coupe du Monde. La SAFA se doit de remercier la FIFA pour le soutien qu'elle lui a apporté. Grâce à la réussite de la Coupe du Monde, nos 52 régions vont bénéficier d'immenses retombées. Nous avons lancé le projet de 52 terrains "héritage", dont 12 sont déjà terminés et livrés. Il est important que la Coupe du Monde 2010 agisse comme une fontaine intarissable pour nous. La génération à venir doit récolter les fruits du travail effectué durant cette période."
Un modèle
Le président du COL de la Coupe du Monde de la FIFA 2010, Danny Jordaan, est allé dans le même sens en affirmant que l'Afrique du Sud devait exploiter la dynamique créée par la Coupe du Monde de la FIFA. "Plus de huit mois après l'organisation de la compétition dans le pays, on lit encore la fierté sur le visage des gens dès qu'ils parlent de la Coupe du Monde 2010, a déclaré Jordaan. Je me suis récemment rendu au Soudan pour le congrès de la CAF, où tous les intervenants ont parlé en bien de la compétition. Les Africains s'identifient à cet événement. Comme nous l'avons dit, cette réussite n'appartient pas seulement aux Sud-Africains, elle appartient au continent tout entier. Nous devons maintenant construire une base de développement solide, afin d'améliorer le niveau footballistique de notre pays."
Le Secrétaire général de la FIFA a déclaré que l'attention serait désormais portée sur les préparatifs de la Coupe du Monde de la FIFA 2014, dont le tirage au sort préliminaire est programmé le 30 juillet 2011. Jérôme Valcke est certain que tout se passera pour le mieux. "Aujourd'hui, nous voulons nous assurer que le tirage au sort préliminaire soit une réussite. Après quoi, le moment sera venu de se concentrer sur les nombreux sujets d'importance capitale que nous devons traiter. J'estime que la période qui suivra le tirage au sort sera une véritable charnière pour l'orientation de notre travail", a-t-il déclaré.
Fifa.com (14/03/2011)
Re: International -News
L'Allemagne vise un 6e titre d'affilée
L'Allemagne cherchera à conquérir un sixième titre continental d'affilée lors de l'Euro-2013 féminin (10-28 juillet 2013 en Suède) mais doit d'abord en passer par des qualifications dont le tirage au sort a été effectué lundi par l'UEFA, avec notamment l'Espagne dans son groupe.
La phase de qualifications se disputera de septembre 2011 à septembre 2012. Elle concerne 38 équipes (les 36 possédant le meilleur classement et deux équipes issues du tour préliminaire, la Macédoine et l'Arménie).
Le vainqueur de chaque groupe et le meilleur deuxième décrocheront leur billet pour la phase finale. Les six autres deuxièmes s'affronteront en barrages aller-retour pour déterminer les derniers qualifiés.
Tirage au sort des groupes
Groupe 1: Italie, Russie, Pologne, Grèce, Macédoine, Bosnie-Herzégovine
Groupe 2: Allemagne, Espagne, Suisse, Roumanie, Turquie, Kazakhstan
Groupe 3: Norvège, Islande, Belgique, Hongrie, Irlande du Nord, Bulgarie
Groupe 4: France, Ecosse, Eire, Pays de Galles, Israël
Groupe 5: Estonie, Finlande, Ukraine, Belarus, Slovaquie
Groupe 6: Angleterre, Pays-Bas, Slovénie, Serbie, Croatie
Groupe 7: Danemark, République tchèque, Autriche, Portugal, Arménie
Fifa.com (14/03/2011)
L'Allemagne cherchera à conquérir un sixième titre continental d'affilée lors de l'Euro-2013 féminin (10-28 juillet 2013 en Suède) mais doit d'abord en passer par des qualifications dont le tirage au sort a été effectué lundi par l'UEFA, avec notamment l'Espagne dans son groupe.
La phase de qualifications se disputera de septembre 2011 à septembre 2012. Elle concerne 38 équipes (les 36 possédant le meilleur classement et deux équipes issues du tour préliminaire, la Macédoine et l'Arménie).
Le vainqueur de chaque groupe et le meilleur deuxième décrocheront leur billet pour la phase finale. Les six autres deuxièmes s'affronteront en barrages aller-retour pour déterminer les derniers qualifiés.
Tirage au sort des groupes
Groupe 1: Italie, Russie, Pologne, Grèce, Macédoine, Bosnie-Herzégovine
Groupe 2: Allemagne, Espagne, Suisse, Roumanie, Turquie, Kazakhstan
Groupe 3: Norvège, Islande, Belgique, Hongrie, Irlande du Nord, Bulgarie
Groupe 4: France, Ecosse, Eire, Pays de Galles, Israël
Groupe 5: Estonie, Finlande, Ukraine, Belarus, Slovaquie
Groupe 6: Angleterre, Pays-Bas, Slovénie, Serbie, Croatie
Groupe 7: Danemark, République tchèque, Autriche, Portugal, Arménie
Fifa.com (14/03/2011)
Re: International -News
Un groupe très britannique pour les Bleues
L'équipe de France féminine disputera des qualifications à l'Euro-2013 à forte teneur britannique puisqu'elle affrontera dans le groupe 4 l'Ecosse, l'Eire et le Pays de Galles, outre Israël qu'elle croisera pour la première fois, selon le tirage au sort effectué lundi.
Les Bleues, qui ont survolé leur groupe de qualifications pour le Mondial-2011 (dix victoires en dix matches, 50 buts marqués, aucun encaissé!) avant de battre l'Italie en barrage (0-0, 3-2), sont largement favorites.
Au classement Fifa, elles sont 8e, loin devant l'Ecosse (24e), l'Eire (29e), le Pays de Galles (47e) et Israël (61e).
Les 38 équipes en lice ont été réparties en quatre groupes de cinq équipes et trois poules de six. Les qualifications se disputeront entre septembre 2011 et septembre 2012.
Le vainqueur de chaque groupe et le meilleur deuxième décrocheront leur billet pour la phase finale (10-28 juillet 2013 en Suède). Les six autres deuxièmes s'affronteront en barrages aller-retour pour déterminer les derniers qualifiés.
Le calendrier de la France
22 septembre 2011: Eire - France
22 octobre 2011: Pays de Galles - France
26 octobre 2011: France - Israël
24 novembre 2011: Israël - France
31 mars 2012: France - Ecosse
4 avril 2012: France - Pays de Galle
15 septembre 2012: France - Eire
19 septembre 2012: Ecosse - France
Fifa.com (14/03/2011)
L'équipe de France féminine disputera des qualifications à l'Euro-2013 à forte teneur britannique puisqu'elle affrontera dans le groupe 4 l'Ecosse, l'Eire et le Pays de Galles, outre Israël qu'elle croisera pour la première fois, selon le tirage au sort effectué lundi.
Les Bleues, qui ont survolé leur groupe de qualifications pour le Mondial-2011 (dix victoires en dix matches, 50 buts marqués, aucun encaissé!) avant de battre l'Italie en barrage (0-0, 3-2), sont largement favorites.
Au classement Fifa, elles sont 8e, loin devant l'Ecosse (24e), l'Eire (29e), le Pays de Galles (47e) et Israël (61e).
Les 38 équipes en lice ont été réparties en quatre groupes de cinq équipes et trois poules de six. Les qualifications se disputeront entre septembre 2011 et septembre 2012.
Le vainqueur de chaque groupe et le meilleur deuxième décrocheront leur billet pour la phase finale (10-28 juillet 2013 en Suède). Les six autres deuxièmes s'affronteront en barrages aller-retour pour déterminer les derniers qualifiés.
Le calendrier de la France
22 septembre 2011: Eire - France
22 octobre 2011: Pays de Galles - France
26 octobre 2011: France - Israël
24 novembre 2011: Israël - France
31 mars 2012: France - Ecosse
4 avril 2012: France - Pays de Galle
15 septembre 2012: France - Eire
19 septembre 2012: Ecosse - France
Fifa.com (14/03/2011)
Re: International -News
José Luis Suarez sélectionneur du Honduras
Le Colombien José Luis Suarez a été nommé officiellement lundi sélectionneur de l'équipe du Honduras de football avec pour mission de qualifier la sélection pour la Coupe du monde 2014 au Brésil.
"Je suis très heureux, très fier d'être à la tête de cette sélection qui veut se qualifier de nouveau pour le Mondial", a déclaré lors d'une conférence de presse Suarez, qui prendra officiellement ses fonctions lors des matches de qualification pour le Mondial-2014.
Le Colombien a indiqué qu'il serait présent comme conseiller pour les deux matches amicaux du Honduras contre la Chine et la Corée du Sud, les 26 et 29 mars prochains.
Le Honduras, sous la direction du Colombien Reinaldo Rueda, s'était qualifié pour le Mondial sud-africain en 2010. Mais pour sa seconde participation à une Coupe du monde, la sélection avait été éliminée au premier tour sans avoir remporté une victoire (2 défaites et un nul).
La Fédération avait annoncé le 2 février la nomination du Colombien Juan Carlos Osorio. Mais ce dernier, déjà sous contrat avec le club colombien Once Caldas, avait du renoncer.
Fifa.com (15/03/2011)
Le Colombien José Luis Suarez a été nommé officiellement lundi sélectionneur de l'équipe du Honduras de football avec pour mission de qualifier la sélection pour la Coupe du monde 2014 au Brésil.
"Je suis très heureux, très fier d'être à la tête de cette sélection qui veut se qualifier de nouveau pour le Mondial", a déclaré lors d'une conférence de presse Suarez, qui prendra officiellement ses fonctions lors des matches de qualification pour le Mondial-2014.
Le Colombien a indiqué qu'il serait présent comme conseiller pour les deux matches amicaux du Honduras contre la Chine et la Corée du Sud, les 26 et 29 mars prochains.
Le Honduras, sous la direction du Colombien Reinaldo Rueda, s'était qualifié pour le Mondial sud-africain en 2010. Mais pour sa seconde participation à une Coupe du monde, la sélection avait été éliminée au premier tour sans avoir remporté une victoire (2 défaites et un nul).
La Fédération avait annoncé le 2 février la nomination du Colombien Juan Carlos Osorio. Mais ce dernier, déjà sous contrat avec le club colombien Once Caldas, avait du renoncer.
Fifa.com (15/03/2011)
Re: International -News
Le match Japon-Monéténégro annulé
Le match amical de football Japon-Monténégro prévu le 25 mars au stade de Shizuoka, a été annulé en raison du séisme catastrophique survenu vendredi dans l'archipel, a annoncé mardi la fédération japonaise.
La Fédération japonaise a également indiqué avoir essayé d'organiser un match amical contre la Nouvelle-Zélande, le 29 mars à Tokyo, mais que cela était trop difficile.
Fifa.com (16/03/2011)
Le match amical de football Japon-Monténégro prévu le 25 mars au stade de Shizuoka, a été annulé en raison du séisme catastrophique survenu vendredi dans l'archipel, a annoncé mardi la fédération japonaise.
La Fédération japonaise a également indiqué avoir essayé d'organiser un match amical contre la Nouvelle-Zélande, le 29 mars à Tokyo, mais que cela était trop difficile.
Fifa.com (16/03/2011)
Re: International -News
Bryan Robson opéré d'un cancer
L'ancien capitaine de l'Angleterre et de Manchester United Bryan Robson a été opéré d'un cancer de la gorge, a annoncé mercredi le club de football.
"Bryan Robson a subi une opération visant à retirer un tumeur à la gorge le 3 mars dans un hôpital de Bangkok. Les oncologues ont bon espoir que la maladie soit soignable", a déclaré le club dans un communiqué.
Bryan Robson, 54 ans, exerce en même temps les fonctions de représentant de Manchester United et d'entraîneur de l'équipe nationale de Thaïlande.
Sélectionné 90 fois pour l'Angleterre, dont 65 fois en tant que capitaine, ce milieu de terrain a remporté deux Championnats d'Angleterre, trois Coupes d'Angleterre et une Coupe des Coupes pour MU (1981-1994).
Il a ensuite mené une carrière d'entraîneur, passant notamment par Middlesbrough, Bradford, West Bromwich et Sheffield United.
Fifa.com (16/03/2011)
L'ancien capitaine de l'Angleterre et de Manchester United Bryan Robson a été opéré d'un cancer de la gorge, a annoncé mercredi le club de football.
"Bryan Robson a subi une opération visant à retirer un tumeur à la gorge le 3 mars dans un hôpital de Bangkok. Les oncologues ont bon espoir que la maladie soit soignable", a déclaré le club dans un communiqué.
Bryan Robson, 54 ans, exerce en même temps les fonctions de représentant de Manchester United et d'entraîneur de l'équipe nationale de Thaïlande.
Sélectionné 90 fois pour l'Angleterre, dont 65 fois en tant que capitaine, ce milieu de terrain a remporté deux Championnats d'Angleterre, trois Coupes d'Angleterre et une Coupe des Coupes pour MU (1981-1994).
Il a ensuite mené une carrière d'entraîneur, passant notamment par Middlesbrough, Bradford, West Bromwich et Sheffield United.
Fifa.com (16/03/2011)
Re: International -News
Al-Gharafa - Metsu prend les commandes
L'entraîneur français Bruno Metsu, sélectionneur du Qatar jusqu'en février, s'est engagé lundi avec Al-Gharafa (Qatar) jusqu'en 2013, a-t-on appris mercredi auprès de l'intéressé.
"C'est un bon challenge, s'est-il réjoui. Le groupe est bon et intéressant. On peut faire quelque chose de bien".
Champion du Qatar en 2005 avec ce club, Metsu, 57 ans, retrouve une formation qu'il connaît bien. Il aura également sous sa responsabilité l'ex-Lyonnais Juninho, ainsi que l'ex-Parisien Amara Diané.
Fifa.com (16/03/2011)
L'entraîneur français Bruno Metsu, sélectionneur du Qatar jusqu'en février, s'est engagé lundi avec Al-Gharafa (Qatar) jusqu'en 2013, a-t-on appris mercredi auprès de l'intéressé.
"C'est un bon challenge, s'est-il réjoui. Le groupe est bon et intéressant. On peut faire quelque chose de bien".
Champion du Qatar en 2005 avec ce club, Metsu, 57 ans, retrouve une formation qu'il connaît bien. Il aura également sous sa responsabilité l'ex-Lyonnais Juninho, ainsi que l'ex-Parisien Amara Diané.
Fifa.com (16/03/2011)
Re: International -News
L'Allemagne affrontera la France en 2012
L'Allemagne, 3e du Mondial-2010 en Afrique du Sud, recevra la France en match amical le 29 février 2012 à quatre mois de l'Euro-2012 en Pologne et Ukraine, a-t-on appris mercredi auprès de la Fédération allemande de football (DFB).
Les fédérations allemande et française ont convenu que leurs équipes nationales se retrouveraient pour un "match retour", cette fois en France, le 5 mars 2014, a précisé la DFB.
L'Allemagne et la France se sont affrontées à 23 reprises, la dernière fois le 12 novembre 2005, un match amical à Paris qui s'était soldé par un nul (0-0).
La Nationalmannschaft compte sept victoires, la France dix et les deux équipes se sont séparées sur un nul à six reprises.
Fifa.com (16/03/2011)
L'Allemagne, 3e du Mondial-2010 en Afrique du Sud, recevra la France en match amical le 29 février 2012 à quatre mois de l'Euro-2012 en Pologne et Ukraine, a-t-on appris mercredi auprès de la Fédération allemande de football (DFB).
Les fédérations allemande et française ont convenu que leurs équipes nationales se retrouveraient pour un "match retour", cette fois en France, le 5 mars 2014, a précisé la DFB.
L'Allemagne et la France se sont affrontées à 23 reprises, la dernière fois le 12 novembre 2005, un match amical à Paris qui s'était soldé par un nul (0-0).
La Nationalmannschaft compte sept victoires, la France dix et les deux équipes se sont séparées sur un nul à six reprises.
Fifa.com (16/03/2011)
Re: International -News
L'Argentine bat le Venezuela 4:1
L'Argentine a battu le Venezuela 4 à 1 (mi-temps: 2-1) en match amical, mercredi à San Juan (ouest).
Buts
Chavez (20'), Mouche (35', 53'), Aued (75') pour l'Argentine
Arismendi (29') pour le Venezuela
Fifa.com (17/03/2011)
L'Argentine a battu le Venezuela 4 à 1 (mi-temps: 2-1) en match amical, mercredi à San Juan (ouest).
Buts
Chavez (20'), Mouche (35', 53'), Aued (75') pour l'Argentine
Arismendi (29') pour le Venezuela
Fifa.com (17/03/2011)
Re: International -News
Coup d'envoi d'une MLS toujours plus relevée
La Major League Soccer s'apprête à fêter son seizième anniversaire en grande pompe : avec seize formations américaines, deux canadiennes et une poignée de nouvelles recrues prestigieuses, tous les éléments sont réunis pour offrir aux fans un spectacle de qualité.
Los Angeles Galaxy et Red Bull New York débutent la saison avec le statut de favoris, grâce à leurs effectifs constellés de stars. Toutefois, l'issue du championnat est loin d'être jouée d'avance. Il suffit en effet de se pencher sur les noms des deux derniers lauréats pour comprendre qu'en MLS, le collectif prime souvent sur les individualités. L'arrivée de deux nouvelles écuries, Portland et Vancouver, et les ambitions retrouvées de grands noms comme New England Revolution et Chicago Fire nous promettent de beaux moments de football en perspective.
FIFA.com vous propose un aperçu des forces en présence au sein de l'élite du football des Etats-Unis.
Des stars à l'est et à l'ouest
New York et Los Angeles ont fait le pari d'attirer à eux des footballeurs de grande renommée. L'ancien international anglais David Beckham se prépare à honorer sa cinquième et dernière année de contrat en Californie, aux côtés de l'Américain Landon Donovan. Tous deux rêvent de remporter leur premier titre en MLS. À l'autre bout du pays, Red Bull New York comptera de nouveau sur ses deux ex-Barcelonais pour faire la différence. Arrivés en cours de saison dernière, Thierry Henry et Rafael Marquez ont encore beaucoup à prouver.
"C'est génial de compter de tels joueurs dans nos rangs", se réjouit le véloce international jamaïcain de Red Bull, Dane Richards. De son côté, Beckham confiait récemment à FIFA.com : "Si la MLS continue à faire venir de grandes stars mondiales, elle va rapidement rattraper son retard sur les grands championnats". Don Garber partage visiblement ce sentiment. La semaine dernière, le commissaire de la MLS a invité d'autres footballeurs connus à venir tenter leur chance aux Etats-Unis. L'euphorie ambiante ne doit cependant pas faire oublier que les deux derniers titres sont tombés dans l'escarcelle d'équipes composées de joueurs plus modestes, les Colorado Rapids et le Real Salt Lake.
Arrivées et départs
L'intersaison a été l'occasion pour quelques clubs de procéder à certains ajustements. On notera par exemple le départ du meneur de jeu argentin Guillermo Barros Schelotto, qui avait mené le club de l'Ohio à son premier sacre national en 2008. Son retour au pays laissera certainement un grand vide dans l'entrejeu de Columbus et dans le cœur des spectateurs américains, qui s'étaient pris d'affection pour cet artiste.
L'ancien Sochalien Charlie Davies en profite pour faire le chemin en sens inverse. Privé de Coupe du Monde de la FIFA 2010 à cause d'un terrible accident de voiture, l'attaquant international s'est engagé en faveur de DC United. Bon dernier en 2010, le club de la capitale espère retrouver un peu de son lustre d'antan. À l'inverse, le très prometteur Robbie Findley a quitté le Real Salt Lake pour partir à la chasse aux buts en Angleterre, plus précisément à Nottingham Forest. Chicago Fire a également connu une trêve agitée, avec l'arrêt de Brian McBride et les départs de Nery Castillo et de Freddie Ljungberg.
Le vétéran suisse Blaise Nkufo a quant à lui décidé de quitter les Seattle Sounders. Sa décision est intervenue moins d'une heure avant le match d'ouverture de la saison, qui s'est soldé par une défaite de son ancien club (0:1) à domicile, face à LA Galaxy. Les Californiens ont eux aussi défrayé la chronique en engageant le Colombien Juan Pablo Angel, en provenance de New York.
Une nouvelle rivalité
L'une des attractions de la saison à venir pourrait bien être la nouvelle rivalité en passe de s'installer dans le nord-ouest du pays. Depuis les premiers pas de leur équipe en MLS en 2009, les supporters des Sounders se sont souvent distingués par leur enthousiasme et leur ferveur. Avec l'arrivée des Portland Timbers et des Vancouver Whitecaps, deuxième équipe canadienne du championnat, la région possède désormais trois équipes dans un rayon de moins de 500 kilomètres. Dans une compétition où les énormes distances entre les villes tendent à policer les rapports, cette concentration bienvenue devrait donner lieu à des échanges animés.
Malgré leur statut de nouveaux venus en MLS, les trois équipes faisaient déjà partie de la North American Soccer League en 1974. "Nous voulons aller le plus loin possible", prévient John Spencer, l'entraîneur de Portland.
Colorado en quête de reconnaissance
Si Red Bull et LA Galaxy font pour l'heure les gros titres, les Colorado Rapids entendent bien prouver que leur succès de l'année passée ne doit rien au hasard. À défaut de noms ronflants, le champion des Etats-Unis en titre peut compter sur la redoutable efficacité et la puissance de Conor Casey en attaque. En outre, l'arrivée du Gambien Sanna Nyassi s'annonce très prometteuse.
Pendant ce temps, Kansas City a rejoint les Rapids, New York, LA et Columbus en devenant la treizième équipe du pays à se doter d'un stade réservé à la pratique du football. Après avoir manqué la qualification pour les play-offs d'un rien, les Kansas City Wizards ont décidé de changer nom. Le Sporting Kansas City s'est lui aussi renforcé en accueillant le Mexicain Omar Bravo, un ancien de Chivas.
Le Real Salt Lake en première ligne
Membre de la MLS depuis 2005, le Real Salt Lake avait créé la surprise en s'adjugeant le titre en 2005. Cette année, les Lakers ont pris un peu d'avance sur leurs concurrents, puisqu'ils ont déjà disputé deux matches officiels : un contre Columbus, l'autre contre les Costaricains du Deportivo Saprissa, pour le compte des demi-finales de la Ligue des champions de la CONCACAF. Fort de leur succès 2:0 à l'aller, ils pourraient bien se qualifier pour la finale, ce qu'aucune équipe américaine n'a réussi à faire depuis le sacre de LA Galaxy en 2000.
Fifa.com (18/03/2011)
La Major League Soccer s'apprête à fêter son seizième anniversaire en grande pompe : avec seize formations américaines, deux canadiennes et une poignée de nouvelles recrues prestigieuses, tous les éléments sont réunis pour offrir aux fans un spectacle de qualité.
Los Angeles Galaxy et Red Bull New York débutent la saison avec le statut de favoris, grâce à leurs effectifs constellés de stars. Toutefois, l'issue du championnat est loin d'être jouée d'avance. Il suffit en effet de se pencher sur les noms des deux derniers lauréats pour comprendre qu'en MLS, le collectif prime souvent sur les individualités. L'arrivée de deux nouvelles écuries, Portland et Vancouver, et les ambitions retrouvées de grands noms comme New England Revolution et Chicago Fire nous promettent de beaux moments de football en perspective.
FIFA.com vous propose un aperçu des forces en présence au sein de l'élite du football des Etats-Unis.
Des stars à l'est et à l'ouest
New York et Los Angeles ont fait le pari d'attirer à eux des footballeurs de grande renommée. L'ancien international anglais David Beckham se prépare à honorer sa cinquième et dernière année de contrat en Californie, aux côtés de l'Américain Landon Donovan. Tous deux rêvent de remporter leur premier titre en MLS. À l'autre bout du pays, Red Bull New York comptera de nouveau sur ses deux ex-Barcelonais pour faire la différence. Arrivés en cours de saison dernière, Thierry Henry et Rafael Marquez ont encore beaucoup à prouver.
"C'est génial de compter de tels joueurs dans nos rangs", se réjouit le véloce international jamaïcain de Red Bull, Dane Richards. De son côté, Beckham confiait récemment à FIFA.com : "Si la MLS continue à faire venir de grandes stars mondiales, elle va rapidement rattraper son retard sur les grands championnats". Don Garber partage visiblement ce sentiment. La semaine dernière, le commissaire de la MLS a invité d'autres footballeurs connus à venir tenter leur chance aux Etats-Unis. L'euphorie ambiante ne doit cependant pas faire oublier que les deux derniers titres sont tombés dans l'escarcelle d'équipes composées de joueurs plus modestes, les Colorado Rapids et le Real Salt Lake.
Arrivées et départs
L'intersaison a été l'occasion pour quelques clubs de procéder à certains ajustements. On notera par exemple le départ du meneur de jeu argentin Guillermo Barros Schelotto, qui avait mené le club de l'Ohio à son premier sacre national en 2008. Son retour au pays laissera certainement un grand vide dans l'entrejeu de Columbus et dans le cœur des spectateurs américains, qui s'étaient pris d'affection pour cet artiste.
L'ancien Sochalien Charlie Davies en profite pour faire le chemin en sens inverse. Privé de Coupe du Monde de la FIFA 2010 à cause d'un terrible accident de voiture, l'attaquant international s'est engagé en faveur de DC United. Bon dernier en 2010, le club de la capitale espère retrouver un peu de son lustre d'antan. À l'inverse, le très prometteur Robbie Findley a quitté le Real Salt Lake pour partir à la chasse aux buts en Angleterre, plus précisément à Nottingham Forest. Chicago Fire a également connu une trêve agitée, avec l'arrêt de Brian McBride et les départs de Nery Castillo et de Freddie Ljungberg.
Le vétéran suisse Blaise Nkufo a quant à lui décidé de quitter les Seattle Sounders. Sa décision est intervenue moins d'une heure avant le match d'ouverture de la saison, qui s'est soldé par une défaite de son ancien club (0:1) à domicile, face à LA Galaxy. Les Californiens ont eux aussi défrayé la chronique en engageant le Colombien Juan Pablo Angel, en provenance de New York.
Une nouvelle rivalité
L'une des attractions de la saison à venir pourrait bien être la nouvelle rivalité en passe de s'installer dans le nord-ouest du pays. Depuis les premiers pas de leur équipe en MLS en 2009, les supporters des Sounders se sont souvent distingués par leur enthousiasme et leur ferveur. Avec l'arrivée des Portland Timbers et des Vancouver Whitecaps, deuxième équipe canadienne du championnat, la région possède désormais trois équipes dans un rayon de moins de 500 kilomètres. Dans une compétition où les énormes distances entre les villes tendent à policer les rapports, cette concentration bienvenue devrait donner lieu à des échanges animés.
Malgré leur statut de nouveaux venus en MLS, les trois équipes faisaient déjà partie de la North American Soccer League en 1974. "Nous voulons aller le plus loin possible", prévient John Spencer, l'entraîneur de Portland.
Colorado en quête de reconnaissance
Si Red Bull et LA Galaxy font pour l'heure les gros titres, les Colorado Rapids entendent bien prouver que leur succès de l'année passée ne doit rien au hasard. À défaut de noms ronflants, le champion des Etats-Unis en titre peut compter sur la redoutable efficacité et la puissance de Conor Casey en attaque. En outre, l'arrivée du Gambien Sanna Nyassi s'annonce très prometteuse.
Pendant ce temps, Kansas City a rejoint les Rapids, New York, LA et Columbus en devenant la treizième équipe du pays à se doter d'un stade réservé à la pratique du football. Après avoir manqué la qualification pour les play-offs d'un rien, les Kansas City Wizards ont décidé de changer nom. Le Sporting Kansas City s'est lui aussi renforcé en accueillant le Mexicain Omar Bravo, un ancien de Chivas.
Le Real Salt Lake en première ligne
Membre de la MLS depuis 2005, le Real Salt Lake avait créé la surprise en s'adjugeant le titre en 2005. Cette année, les Lakers ont pris un peu d'avance sur leurs concurrents, puisqu'ils ont déjà disputé deux matches officiels : un contre Columbus, l'autre contre les Costaricains du Deportivo Saprissa, pour le compte des demi-finales de la Ligue des champions de la CONCACAF. Fort de leur succès 2:0 à l'aller, ils pourraient bien se qualifier pour la finale, ce qu'aucune équipe américaine n'a réussi à faire depuis le sacre de LA Galaxy en 2000.
Fifa.com (18/03/2011)
Re: International -News
Rueda : "L'Equateur est en pleine transition"
La seule chose qui manquait au Colombien Reinaldo Rueda pour se faire un nom au niveau mondial était de diriger une sélection nationale en Coupe du Monde de la FIFA. C'est chose faite depuis Afrique du Sud 2010, où il a pris en main les destinées du Honduras. Certes, les Catrachos n'ont pas passé le premier tour, mais ils ont quand même tenu la dragée haute à des formations du calibre de l'Espagne, de la Suisse et du Chili.
Ne comptez toutefois pas sur Rueda pour s'enorgueillir d'une participation au tournoi suprême du football mondial. À 53 ans, le Colombien est un modèle d'humilité et de simplicité, deux valeurs parmi d'autres qui lui ont permis de gravir les échelons d'entraîneur depuis les sélections de jeunes de son pays jusqu'à l'équipe A, qu'il a failli qualifier pour Allemagne 2006.
Depuis 2010, Rueda est sélectionneur de l'Equateur. En exclusivité pour FIFA.com, il a accepté d'évoquer la première grande échéance à venir pour les Amarillos : la Copa América 2011.
Reinaldo Rueda, huit mois se sont écoulés depuis la Coupe du Monde de la FIFA 2010. C'était votre première expérience dans la compétition. Quel bilan avez-vous tiré de votre performance en Afrique du Sud ?
Chaque fois que je relis les comptes-rendus ou que je regarde les vidéos, je réalise l'ampleur de de ce que nous avons fait. D'un point de vue personnel et professionnel, je suis très satisfait d'avoir participé à une Coupe du Monde. Ce fut une expérience merveilleuse. Vous luttez pendant plusieurs années pour obtenir la qualification, mais une fois donné le coup d'envoi de la phase finale, le temps passe à la vitesse de l'éclair…
Êtes-vous un entraîneur plus complet désormais ?
Peut-être, car on ne peut pas nier que le fait d'avoir participé à une Coupe du Monde vous donne un autre statut. Cela inspire un mélange de respect et d'admiration. Une expérience comme celle-là vous permet d'apprendre, de mûrir, d'obtenir des informations qui, si vous savez les utiliser, vous aident beaucoup pour progresser. C'est d'ailleurs l'une des beautés de ce métier : on n'arrête jamais les progrès !
Quel regard portez-vous sur le parcours du Honduras en Afrique du Sud ?
Nous aspirions à mieux, mais je dois dire qu'avec tous les joueurs que nous avions à l'infirmerie, nous avons revu nos ambitions à la baisse. Ensuite, il faut rappeler que dans notre groupe, il y avait le futur champion du monde, la seule équipe qui a réussi à battre le futur champion du monde et enfin l'une des révélations des qualifications sud-américaines.
Votre départ a-t-il été chargé d'émotion ?
Oui. D'un côté, il y a la raison, de l'autre, le cœur. Sur un plan non seulement professionnel mais également personnel, je m'étais attaché au Honduras. Même chose pour ma famille. Quand il a fallu tourner la page et partir car un cycle venait de prendre fin, mes enfants voulaient rester !
Il est un peu surprenant de vous entendre dire qu'un cycle avait pris fin. Pouvez-vous préciser ?
Ce que je veux dire, c'est que le Honduras s'était successivement qualifié pour les Coupes du Monde U-17 et U-20 de la FIFA, les Jeux Olympiques de Pékin 2008, et enfin Afrique du Sud 2010. Pour les grandes nations, cela peut paraître normal. Mais pour un petit pays comme le Honduras, avec ses huit millions d'habitants, ses problèmes économiques et sociaux, c'est un exploit. Après l'Afrique du Sud, j'ai eu le sentiment qu'il était préférable pour les deux parties de continuer chacun de son côté. Je n'ai aucune inquiétude pour le football hondurien. Je suis convaincu qu'il est sur la bonne voie.
Parlons de votre nouvelle sélection. Où en est l'Equateur ?
L'Equateur a réussi de bonnes choses récemment. Il s'agit maintenant de confirmer. En même temps, cette sélection est en période de transition. Il y a passage d'une génération à l'autre. C'est logique et naturel. Ce qui est certain, c'est qu'il existe un grand potentiel footballistique dans ce pays. Les structures sont là, aussi bien au niveau des clubs que de l'équipe nationale. Les U-20 se sont qualifiés pour la Coupe du Monde de la catégorie. C'est la première fois depuis 10 ans. C'est un signe qui ne trompe pas.
Votre premier grand rendez-vous va être la Copa América. Considérez-vous ce tournoi comme un objectif en soi ou plutôt comme une répétition pour les qualifications de Brésil 2014 ?
C'est une compétition prestigieuse, qui a une riche histoire. En plus, elle va se dérouler en Argentine. Pour nous, ça va être l'unique opportunité avant le début des qualifications pour la prochaine Coupe du Monde de passer 25 jours ensemble. Par conséquent, c'est un rendez-vous très important en vue du prochain tournoi préliminaire. Cela dit, il faudra également penser au résultat. Cette Copa América va sans aucun doute nous aider à savoir où nous nous situons.
Que pensez-vous du tirage au sort ?
Mon destin est de tomber dans des groupes compliqués ! (rires) Le Brésil, en forme ou pas, est un adversaire toujours redoutable. Le Paraguay, avec Gerardo Martino, est devenu une équipe régulièrement performante. Elle l'a prouvé en Afrique du Sud. Quant au Venezuela, il a montré qu'il ne faisait plus partie des soi-disant "petits pays." C'est un candidat à part entière. Je le répète, cette Copa América va nous permettre de savoir où nous en sommes.
Quel sera votre objectif en Argentine ?
Je préfère ne pas en fixer. Notre premier match, contre le Brésil, en dira long sur ce que nous pouvons espérer. Si nous parvenons à passer le premier tour, il n'est pas utopique d'envisager les demi-finales.
Arriveront ensuite les qualifications. Vous allez affronter la Colombie, votre pays natal…
Oui. Là encore, il y aura beaucoup d'émotion. Il faudra savoir gérer cela sur le plan professionnel. Je ne m'inquiète pas pour la Colombie, qui a fait beaucoup de changements et qui construit une équipe de qualité. Cette formation possède de grandes individualités et un entraîneur, Hernán Darío Gomez, qui est le plus performant des qualifications. Pour nous, la Colombie sera un rival direct. Nous allons essayer de prendre un maximum de points contre cette équipe, car notre objectif reste la qualification pour la Coupe du Monde 2014.
Fifa.com (18/03/2011)
La seule chose qui manquait au Colombien Reinaldo Rueda pour se faire un nom au niveau mondial était de diriger une sélection nationale en Coupe du Monde de la FIFA. C'est chose faite depuis Afrique du Sud 2010, où il a pris en main les destinées du Honduras. Certes, les Catrachos n'ont pas passé le premier tour, mais ils ont quand même tenu la dragée haute à des formations du calibre de l'Espagne, de la Suisse et du Chili.
Ne comptez toutefois pas sur Rueda pour s'enorgueillir d'une participation au tournoi suprême du football mondial. À 53 ans, le Colombien est un modèle d'humilité et de simplicité, deux valeurs parmi d'autres qui lui ont permis de gravir les échelons d'entraîneur depuis les sélections de jeunes de son pays jusqu'à l'équipe A, qu'il a failli qualifier pour Allemagne 2006.
Depuis 2010, Rueda est sélectionneur de l'Equateur. En exclusivité pour FIFA.com, il a accepté d'évoquer la première grande échéance à venir pour les Amarillos : la Copa América 2011.
Reinaldo Rueda, huit mois se sont écoulés depuis la Coupe du Monde de la FIFA 2010. C'était votre première expérience dans la compétition. Quel bilan avez-vous tiré de votre performance en Afrique du Sud ?
Chaque fois que je relis les comptes-rendus ou que je regarde les vidéos, je réalise l'ampleur de de ce que nous avons fait. D'un point de vue personnel et professionnel, je suis très satisfait d'avoir participé à une Coupe du Monde. Ce fut une expérience merveilleuse. Vous luttez pendant plusieurs années pour obtenir la qualification, mais une fois donné le coup d'envoi de la phase finale, le temps passe à la vitesse de l'éclair…
Êtes-vous un entraîneur plus complet désormais ?
Peut-être, car on ne peut pas nier que le fait d'avoir participé à une Coupe du Monde vous donne un autre statut. Cela inspire un mélange de respect et d'admiration. Une expérience comme celle-là vous permet d'apprendre, de mûrir, d'obtenir des informations qui, si vous savez les utiliser, vous aident beaucoup pour progresser. C'est d'ailleurs l'une des beautés de ce métier : on n'arrête jamais les progrès !
Quel regard portez-vous sur le parcours du Honduras en Afrique du Sud ?
Nous aspirions à mieux, mais je dois dire qu'avec tous les joueurs que nous avions à l'infirmerie, nous avons revu nos ambitions à la baisse. Ensuite, il faut rappeler que dans notre groupe, il y avait le futur champion du monde, la seule équipe qui a réussi à battre le futur champion du monde et enfin l'une des révélations des qualifications sud-américaines.
Votre départ a-t-il été chargé d'émotion ?
Oui. D'un côté, il y a la raison, de l'autre, le cœur. Sur un plan non seulement professionnel mais également personnel, je m'étais attaché au Honduras. Même chose pour ma famille. Quand il a fallu tourner la page et partir car un cycle venait de prendre fin, mes enfants voulaient rester !
Il est un peu surprenant de vous entendre dire qu'un cycle avait pris fin. Pouvez-vous préciser ?
Ce que je veux dire, c'est que le Honduras s'était successivement qualifié pour les Coupes du Monde U-17 et U-20 de la FIFA, les Jeux Olympiques de Pékin 2008, et enfin Afrique du Sud 2010. Pour les grandes nations, cela peut paraître normal. Mais pour un petit pays comme le Honduras, avec ses huit millions d'habitants, ses problèmes économiques et sociaux, c'est un exploit. Après l'Afrique du Sud, j'ai eu le sentiment qu'il était préférable pour les deux parties de continuer chacun de son côté. Je n'ai aucune inquiétude pour le football hondurien. Je suis convaincu qu'il est sur la bonne voie.
Parlons de votre nouvelle sélection. Où en est l'Equateur ?
L'Equateur a réussi de bonnes choses récemment. Il s'agit maintenant de confirmer. En même temps, cette sélection est en période de transition. Il y a passage d'une génération à l'autre. C'est logique et naturel. Ce qui est certain, c'est qu'il existe un grand potentiel footballistique dans ce pays. Les structures sont là, aussi bien au niveau des clubs que de l'équipe nationale. Les U-20 se sont qualifiés pour la Coupe du Monde de la catégorie. C'est la première fois depuis 10 ans. C'est un signe qui ne trompe pas.
Votre premier grand rendez-vous va être la Copa América. Considérez-vous ce tournoi comme un objectif en soi ou plutôt comme une répétition pour les qualifications de Brésil 2014 ?
C'est une compétition prestigieuse, qui a une riche histoire. En plus, elle va se dérouler en Argentine. Pour nous, ça va être l'unique opportunité avant le début des qualifications pour la prochaine Coupe du Monde de passer 25 jours ensemble. Par conséquent, c'est un rendez-vous très important en vue du prochain tournoi préliminaire. Cela dit, il faudra également penser au résultat. Cette Copa América va sans aucun doute nous aider à savoir où nous nous situons.
Que pensez-vous du tirage au sort ?
Mon destin est de tomber dans des groupes compliqués ! (rires) Le Brésil, en forme ou pas, est un adversaire toujours redoutable. Le Paraguay, avec Gerardo Martino, est devenu une équipe régulièrement performante. Elle l'a prouvé en Afrique du Sud. Quant au Venezuela, il a montré qu'il ne faisait plus partie des soi-disant "petits pays." C'est un candidat à part entière. Je le répète, cette Copa América va nous permettre de savoir où nous en sommes.
Quel sera votre objectif en Argentine ?
Je préfère ne pas en fixer. Notre premier match, contre le Brésil, en dira long sur ce que nous pouvons espérer. Si nous parvenons à passer le premier tour, il n'est pas utopique d'envisager les demi-finales.
Arriveront ensuite les qualifications. Vous allez affronter la Colombie, votre pays natal…
Oui. Là encore, il y aura beaucoup d'émotion. Il faudra savoir gérer cela sur le plan professionnel. Je ne m'inquiète pas pour la Colombie, qui a fait beaucoup de changements et qui construit une équipe de qualité. Cette formation possède de grandes individualités et un entraîneur, Hernán Darío Gomez, qui est le plus performant des qualifications. Pour nous, la Colombie sera un rival direct. Nous allons essayer de prendre un maximum de points contre cette équipe, car notre objectif reste la qualification pour la Coupe du Monde 2014.
Fifa.com (18/03/2011)
Re: International -News
Les équipes asiatiques disputeront un tour préliminaire pour Brésil 2014
L'Asie sera la première à se lancer dans la course à Brésil 2014. Avant même le tirage au sort préliminaire programmé le 30 juillet 2011 au Brésil, les équipes du continent le plus peuplé de la planète disputeront un premier tour. Les affiches de ce rendez-vous seront connues à l'issue du tirage au sort, qui aura lieu le 30 mars 2011 à la Maison de l'AFC à Kuala Lumpur.
Ce premier tour concernera les quatorze équipes les moins bien classées en Asie, qui s'affronteront au meilleur des deux manches. Les sept vainqueurs seront directement qualifiés pour le tour suivant.
Le tirage au sort prend en compte le dernier classement de la Confédération Asiatique de Football. Cette hiérarchie continentale a été établie en se basant sur les résultats de la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010 et des préliminaires. Ces chiffres ont été approuvés par la FIFA. Toutes les équipes concernées prendront donc part au premier tour, à l'exception du Bhutan et de Guam, qui ont décliné l'invitation, et du Brunei, toujours suspendu.
Fraîchement sacré champion d'Asie, le Japon pointe en première position, devant la République de Corée. Rappelons que ces deux équipes avaient atteint les huitièmes de finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 en Afrique du Sud. L'Australie et la RDP Corée, également qualifiées pour le grand rendez-vous mondial, complètent le groupe de tête en compagnie de Bahreïn, barragiste malheureux face à la Nouvelle-Zélande.
Le Brunei, actuellement suspendu par la FIFA, est la seule équipe à ne pas figurer dans le classement établi par l'AFC.
Classement pour le premier tour des qualifications asiatiques pour la Coupe du Monde de la FIFA 2014
1. Japon
2. République de Corée
3. Australie
4. RDP Corée
5. Bahreïn
6. Arabie saoudite
7. Iran
8. Qatar
9. Ouzbékistan
10. EAU
11. Syrie
12. Oman
13. Jordanie
14. Irak
15. Singapour
16. RP Chine
17. Koweït
18. Thaïlande
19. Turkménistan
20. Liban
21. Yémen
22. Tadjikistan
23. Hong-Kong
24. Indonésie
25. Kirghizistan
26. Maldives
27. Inde
28. Malaisie
29-30. Afghanistan, Cambodge
31. Népal
32. Bengladesh
33-34. Sri Lanka, Viêt-Nam
35. Mongolie
36. Pakistan
37. Palestine
38. Timor oriental
39. Macao
40-41. Chinese Taipei, Myanmar
42-43. Philippines, Laos
Suspendu : Brunei
Forfait : Bhutan, Guam
Fifa.com (19/03/2011)
L'Asie sera la première à se lancer dans la course à Brésil 2014. Avant même le tirage au sort préliminaire programmé le 30 juillet 2011 au Brésil, les équipes du continent le plus peuplé de la planète disputeront un premier tour. Les affiches de ce rendez-vous seront connues à l'issue du tirage au sort, qui aura lieu le 30 mars 2011 à la Maison de l'AFC à Kuala Lumpur.
Ce premier tour concernera les quatorze équipes les moins bien classées en Asie, qui s'affronteront au meilleur des deux manches. Les sept vainqueurs seront directement qualifiés pour le tour suivant.
Le tirage au sort prend en compte le dernier classement de la Confédération Asiatique de Football. Cette hiérarchie continentale a été établie en se basant sur les résultats de la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010 et des préliminaires. Ces chiffres ont été approuvés par la FIFA. Toutes les équipes concernées prendront donc part au premier tour, à l'exception du Bhutan et de Guam, qui ont décliné l'invitation, et du Brunei, toujours suspendu.
Fraîchement sacré champion d'Asie, le Japon pointe en première position, devant la République de Corée. Rappelons que ces deux équipes avaient atteint les huitièmes de finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 en Afrique du Sud. L'Australie et la RDP Corée, également qualifiées pour le grand rendez-vous mondial, complètent le groupe de tête en compagnie de Bahreïn, barragiste malheureux face à la Nouvelle-Zélande.
Le Brunei, actuellement suspendu par la FIFA, est la seule équipe à ne pas figurer dans le classement établi par l'AFC.
Classement pour le premier tour des qualifications asiatiques pour la Coupe du Monde de la FIFA 2014
1. Japon
2. République de Corée
3. Australie
4. RDP Corée
5. Bahreïn
6. Arabie saoudite
7. Iran
8. Qatar
9. Ouzbékistan
10. EAU
11. Syrie
12. Oman
13. Jordanie
14. Irak
15. Singapour
16. RP Chine
17. Koweït
18. Thaïlande
19. Turkménistan
20. Liban
21. Yémen
22. Tadjikistan
23. Hong-Kong
24. Indonésie
25. Kirghizistan
26. Maldives
27. Inde
28. Malaisie
29-30. Afghanistan, Cambodge
31. Népal
32. Bengladesh
33-34. Sri Lanka, Viêt-Nam
35. Mongolie
36. Pakistan
37. Palestine
38. Timor oriental
39. Macao
40-41. Chinese Taipei, Myanmar
42-43. Philippines, Laos
Suspendu : Brunei
Forfait : Bhutan, Guam
Fifa.com (19/03/2011)
Re: International -News
La Suisse laisse parler l’expérience
Abuja, Nigeria. Dimanche 15 novembre 2009. Un vent nouveau souffle sur la Suisse. Son équipe U-17 vient de remporter la finale de la Coupe du Monde de la FIFA U-17, Nigeria 2009 et promet des jours heureux pour le football helvétique. La relève est assurée, il faut juste que jeunesse se passe…
"On doit laisser le temps au temps. Cela vaut également pour la réussite d'un jeune joueur. Nous avons tous eu besoin de beaucoup de matches et de pratique pour se faire une place dans le monde du football professionnel. Cela ne se fait pas du jour au lendemain", analyse Alexander Frei, légende de la Nati et du FC Bâle.
Car, en attendant la jeune génération, c’est justement le vent "Frei" de l’expérience qui continue à pousser dans le dos l’équipe nationale Suisse. Et pour la mettre sur les rails de la qualification pour l’UEFA EURO 2012, le buteur-roi du championnat de Suisse (16 buts) peut compter sur ses dauphins Marco Streller, 29 ans, et Hakan Yakin, 34 ans. L’expérience parle : FIFA.com écoute le trio magique.
Qualité, amitié, complémentarité
"L’expérience est assurément une des clés du succès, mais pas seulement. J’ai vu des jeunes joueurs insouciants avoir autant d’importance. Je pense qu’il faut un mélange de tout ça !", avance d’emblée Streller. "Elle est en tout cas un élément fondamental pour un attaquant, pour l’instinct du buteur", surenchérit Frei. Comment ne pas croire ce duo ? Ensemble, ils ont inscrit près de la moitié des buts d’un FC Bâle largement en tête du classement de l’Axpo League Suisse.
Ce n'était d'ailleurs pas tout à fait un hasard de retrouver les compères une nouvelle fois à la fête ce week-end. Sur la pelouse des Grasshoppers de Zurich, les deux "vétérans" ont trouvé le chemin des filets, notamment Frei d'un magnifique coup franc de 30 mètres pleine lucarne en toute fin de match (1:2), offrant trois points précieux au FC Bâle dans la course au titre.
Cette formidable entente est mise en lumière par le grand ami de Frei et néanmoins rival au classement des buteurs, Hakan Yakin. L’attaquant du FC Lucerne rappelle combien "de part et d’autre, leurs excellents coéquipiers jouent un rôle prépondérants" dans leur réussite devant le but. Et Frei de répondre : "Le respect mutuel et l’amitié qui existe entre Hakan et moi ne laisse en tout cas place à aucune forme de rivalité sur la pelouse. Peu importe qui marque, tant que cette rivalité est saine."
S’ils n’ont jamais été coéquipiers en club, Frei et Yakin ont d’ailleurs toujours prouvé que l’amitié était aussi une question de complémentarité. La paire pèse 170 sélections, et 62 buts ! "Sur mes 83 matches internationaux, j’en ai joués entre 50 et 60 avec Yakin, ce n’est donc pas dur de se trouver avec lui", assurait Frei au sortir d’un Suisse-Ukraine (2:2) où il fut l’auteur d’un doublé. Un match à la veille duquel il allait également annoncer sa retraite internationale, prévue pour juin 2011.
Abuja, Sofia, même combat
"J’ai un immense respect pour Alex, et pour tout ce qu’il a fait, en tant qu’homme et coéquipier, pour les différents clubs pour lesquels il a pu jouer comme pour l’équipe nationale", avoue comme un hommage Yakin. Et Streller d’ajouter : "C’est un très grand joueur. Même si vous ne le voyez pas pendant 90 minutes, il est capable de surgir à la 91ème pour faire la différence. C’est l’apanage des joueurs de classe mondiale. Il est redoutable dans la finition, il sait sentir les occasions, il est à l’aise des deux pieds, il est toujours au bon endroit au bon moment…"
A l’évidence, à la veille d’un Bulgarie-Suisse décisif sur la route de l’UEFA EURO 2012, la Nati a plus que jamais besoin de son recordman de buts (42). Car à l’image d’une Coupe du Monde de la FIFA 2010, au cours de laquelle elle a à la fois battu le futur champion espagnol (1:0) tout en se faisant éliminer dès la phase de groupes, la Suisse a une fâcheuse tendance à souffler le chaud et le froid. Après leur belle victoire obtenue face au Pays de Galles (4:1) en match qualificatif pour l’EURO, les hommes d’Ottmar Hitzfeld ont ainsi enchaîné en amical sur un match nul positif face à l’Ukraine 2:2, et un plus inquiétant, 0:0 face à Malte en février dernier.
"La Bulgarie a l’avantage de jouer à domicile. C’est une équipe qui évolue très vite en contre. Nous devrons rester compacts, être bons dans la transition entre défense et attaque. Un nul ne me suffit pas. Notre objectif, ce sont les 3 points", annonce le sélectionneur qui vient de voir son contrat prolongé jusqu’à Brésil 2014. "Il est clair que l’objectif est toujours de se qualifier pour l’EURO 2012. L’équipe, le staff, nous allons tout entreprendre pour atteindre cet objectif."
"On va jouer une finale !" ajoute encore Hitzfeld, comme pour invoquer les dieux d'Abuja. Après le Nigéria, le vent du succès va-t-il souffler sur Sofia ?
Fifa.com (22/03/2011)
Abuja, Nigeria. Dimanche 15 novembre 2009. Un vent nouveau souffle sur la Suisse. Son équipe U-17 vient de remporter la finale de la Coupe du Monde de la FIFA U-17, Nigeria 2009 et promet des jours heureux pour le football helvétique. La relève est assurée, il faut juste que jeunesse se passe…
"On doit laisser le temps au temps. Cela vaut également pour la réussite d'un jeune joueur. Nous avons tous eu besoin de beaucoup de matches et de pratique pour se faire une place dans le monde du football professionnel. Cela ne se fait pas du jour au lendemain", analyse Alexander Frei, légende de la Nati et du FC Bâle.
Car, en attendant la jeune génération, c’est justement le vent "Frei" de l’expérience qui continue à pousser dans le dos l’équipe nationale Suisse. Et pour la mettre sur les rails de la qualification pour l’UEFA EURO 2012, le buteur-roi du championnat de Suisse (16 buts) peut compter sur ses dauphins Marco Streller, 29 ans, et Hakan Yakin, 34 ans. L’expérience parle : FIFA.com écoute le trio magique.
Qualité, amitié, complémentarité
"L’expérience est assurément une des clés du succès, mais pas seulement. J’ai vu des jeunes joueurs insouciants avoir autant d’importance. Je pense qu’il faut un mélange de tout ça !", avance d’emblée Streller. "Elle est en tout cas un élément fondamental pour un attaquant, pour l’instinct du buteur", surenchérit Frei. Comment ne pas croire ce duo ? Ensemble, ils ont inscrit près de la moitié des buts d’un FC Bâle largement en tête du classement de l’Axpo League Suisse.
Ce n'était d'ailleurs pas tout à fait un hasard de retrouver les compères une nouvelle fois à la fête ce week-end. Sur la pelouse des Grasshoppers de Zurich, les deux "vétérans" ont trouvé le chemin des filets, notamment Frei d'un magnifique coup franc de 30 mètres pleine lucarne en toute fin de match (1:2), offrant trois points précieux au FC Bâle dans la course au titre.
Cette formidable entente est mise en lumière par le grand ami de Frei et néanmoins rival au classement des buteurs, Hakan Yakin. L’attaquant du FC Lucerne rappelle combien "de part et d’autre, leurs excellents coéquipiers jouent un rôle prépondérants" dans leur réussite devant le but. Et Frei de répondre : "Le respect mutuel et l’amitié qui existe entre Hakan et moi ne laisse en tout cas place à aucune forme de rivalité sur la pelouse. Peu importe qui marque, tant que cette rivalité est saine."
S’ils n’ont jamais été coéquipiers en club, Frei et Yakin ont d’ailleurs toujours prouvé que l’amitié était aussi une question de complémentarité. La paire pèse 170 sélections, et 62 buts ! "Sur mes 83 matches internationaux, j’en ai joués entre 50 et 60 avec Yakin, ce n’est donc pas dur de se trouver avec lui", assurait Frei au sortir d’un Suisse-Ukraine (2:2) où il fut l’auteur d’un doublé. Un match à la veille duquel il allait également annoncer sa retraite internationale, prévue pour juin 2011.
Abuja, Sofia, même combat
"J’ai un immense respect pour Alex, et pour tout ce qu’il a fait, en tant qu’homme et coéquipier, pour les différents clubs pour lesquels il a pu jouer comme pour l’équipe nationale", avoue comme un hommage Yakin. Et Streller d’ajouter : "C’est un très grand joueur. Même si vous ne le voyez pas pendant 90 minutes, il est capable de surgir à la 91ème pour faire la différence. C’est l’apanage des joueurs de classe mondiale. Il est redoutable dans la finition, il sait sentir les occasions, il est à l’aise des deux pieds, il est toujours au bon endroit au bon moment…"
A l’évidence, à la veille d’un Bulgarie-Suisse décisif sur la route de l’UEFA EURO 2012, la Nati a plus que jamais besoin de son recordman de buts (42). Car à l’image d’une Coupe du Monde de la FIFA 2010, au cours de laquelle elle a à la fois battu le futur champion espagnol (1:0) tout en se faisant éliminer dès la phase de groupes, la Suisse a une fâcheuse tendance à souffler le chaud et le froid. Après leur belle victoire obtenue face au Pays de Galles (4:1) en match qualificatif pour l’EURO, les hommes d’Ottmar Hitzfeld ont ainsi enchaîné en amical sur un match nul positif face à l’Ukraine 2:2, et un plus inquiétant, 0:0 face à Malte en février dernier.
"La Bulgarie a l’avantage de jouer à domicile. C’est une équipe qui évolue très vite en contre. Nous devrons rester compacts, être bons dans la transition entre défense et attaque. Un nul ne me suffit pas. Notre objectif, ce sont les 3 points", annonce le sélectionneur qui vient de voir son contrat prolongé jusqu’à Brésil 2014. "Il est clair que l’objectif est toujours de se qualifier pour l’EURO 2012. L’équipe, le staff, nous allons tout entreprendre pour atteindre cet objectif."
"On va jouer une finale !" ajoute encore Hitzfeld, comme pour invoquer les dieux d'Abuja. Après le Nigéria, le vent du succès va-t-il souffler sur Sofia ?
Fifa.com (22/03/2011)
Re: International -News
Les dernières folies du génie Olsen
Egil Olsen a longtemps été considéré comme un original dans le petit monde du football. Le studieux Norvégien, qui se vantait volontiers de connaître la hauteur exacte de tous les sommets du monde, a parfois souffert de son image de "savant fou."
Il suffit pourtant de se pencher sur les résultats de la sélection norvégienne pour comprendre qu'Olsen n'a rien d'un doux dingue. En effet, sa folie supposée répond à une logique implacable. À son arrivée aux commandes en octobre 1990, la Norvège n'est encore qu'une équipe de seconde zone, qui ne compte qu'une seule qualification pour la phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA à son actif en 1938. La formation scandinave a terminé avant-dernière de son groupe dans les préliminaires d'Italie 1990 et ne totalise que six victoires sur ses 48 derniers matches.
En l'espace de quatre ans, celui que l'on surnomme Drillo propulse la Norvège sur la plus grande scène du monde, en devançant notamment l'Angleterre, les Pays-Bas et la Pologne dans la course à la qualification pour États-Unis 1994. Cette période marque le début de l'âge d'or du football norvégien. Composée de joueurs pratiquement inconnus, cette équipe multiplie les exploits : deux fois deuxième du Classement mondial FIFA/Coca-Cola, elle remporte une victoire de prestige sur le Brésil pour atteindre les huitièmes de finale de France 1998.
Une coïncidence qui n'est pas une
La méthode Olsen s'appuie avant tout sur une défense solide et un jeu extrêmement direct. Les puristes n'apprécient guère mais force est de constater que le départ du technicien en 1998 coïncide avec l'irrésistible déclin de la sélection norvégienne. À son retour en janvier 2009, les Scandinaves sont résignés à manquer leur cinquième grand rendez-vous international consécutif et n'ont pas gagné un seul de leurs huit derniers matches. Depuis, l'effet Olsen est passé par là et le contraste est saisissant. L'expérimenté technicien a fête son retour aux affaires par une victoire concluante contre l'Allemagne. Depuis, les Norvégiens enchaînent les bons résultats.
Un récent succès 1:0 sur le Portugal leur a notamment permis de prendre la tête de leur groupe de qualification pour l'UEFA EURO 2012. La Norvège est par ailleurs la seule équipe, avec l'Espagne, les Pays-Bas, l'Allemagne et la Russie, à présenter un bilan impeccable à ce stade de la compétition préliminaire.
Un nouveau test l'attend dès samedi avec la venue du voisin danois, ce qui n'empêche pas Olsen de penser déjà au voyage en Pologne et en Ukraine, comme il le confie à FIFA.com. "Nous avons dépassé toutes nos attentes. Nous avons remporté deux matches difficiles à l'extérieur, en Islande et à Chypre, et nous avons battu le Portugal. Nous sommes idéalement placés. Si nous l'emportons samedi contre le Danemark, nous aurons fait un grand pas vers la qualification. Nous savons que ce sera compliqué car les deux équipes sont très similaires. Notre petit plus, c'est que nous encaissons très peu de buts. Quelle que soit l'issue, je m'attends à un match très serré."
Une réputation en jeu
Indépendamment du résultat de samedi, Olsen s'est imposé dans l'esprit des fans comme le plus grand technicien norvégien de tous les temps. Malgré la pression et le risque de ternir l'image de vainqueur dessinée tout au long des années 90, le sélectionneur n'a pas hésité à mettre sa réputation en jeu en se précipitant au chevet de l'équipe nationale.
On dit souvent qu'en football, il ne faut jamais revenir sur ses pas. De toute évidence, Olsen n'est pas homme à se fier aux dictons. "Les gens me demandent souvent si je n'ai pas eu peur de brouiller mon image. Honnêtement, ça ne m'a jamais traversé l'esprit. Dans ce sport, le passé ne compte pas. Et puis, j'avais très envie de revenir. Cela peut paraître étrange, bien entendu. J'ai 68 ans, je suis un vieil homme. Je ne m'attendais pas à reprendre ce poste. Mais quand les dirigeants m'ont contacté pour me demander un coup de main, je n'ai pas pu refuser. Jusqu'à présent, je n'ai eu aucune raison de regretter ma décision."
"J'ai la chance de disposer d'un groupe très talentueux. C'est pour cette raison que je ne change pratiquement rien d'un match à l'autre. L'ambiance dans les vestiaires est très conviviale, un peu à l'image de ce qu'on trouve dans certains clubs. Aujourd'hui, nous sommes en mesure de donner du fil à retordre à n'importe qui. Les Danois savent qu'ils vont devoir affronter une des meilleures équipes européennes à domicile."
Il n'y a pas si longtemps, cette description aurait prêté à sourire. Désormais, plus personne ne rit, tant les hommes d'Olsen ont su imposer le respect. La question se pose donc de savoir comment Drillo a pu renverser la situation de façon aussi radicale ? "J'ai procédé à quelques ajustements tactiques, surtout derrière. Nous sommes repassés à une défense en zone. En fait, je crois que nous sommes les plus efficaces dans ce système en Europe. Sur le plan offensif, je n'ai pas changé grand-chose. Le jeu est peut-être un peu plus direct qu'il y a deux ans. Notre stratégie n'est pas basée sur la possession de balle. Nous ne sommes pas du genre à faire tourner le ballon pendant des heures. Pour nous, l'objectif est de se projeter le plus vite possible vers l'avant, ce qui implique de nombreuses courses et beaucoup de travail. Ce style ne convient pas à tout le monde mais il est idéal pour nous."
Même recette avec de meilleurs ingrédients
L'évocation du marquage en zone et des longs ballons vers l'avant rappellera sans doute quelques souvenirs aux supporters norvégiens. Si Olsen est le premier à reconnaître que son système actuel s'inspire très largement de celui mis en place dans les années 1990, il précise cependant que l'évolution du football l'a forcé à repenser certains aspects. "Il ne suffit pas de reprendre les vieilles recettes pour obtenir des résultats, car le football a changé. Il est plus rapide aujourd'hui. Le niveau technique est meilleur. Mes joueurs sont bien meilleurs individuellement que ceux que j'avais sous mes ordres il y a vingt ans, ce qui me ravit."
Olsen a beau apprécier ce second mandat, sa sortie est d'ores et déjà programmée. Stale Solbakken, l'entraîneur du FC Copenhague, devrait lui succéder à l'issue du prochain EURO. Cette fois-ci, les adieux seront définitifs. "Je suis content de passer la main. Le poids des années commence à se faire sentir et je crois pouvoir dire que j'ai eu ma part du gâteau. Si ma santé me le permet, je prendrai peut-être un petit boulot mais c'est la dernière fois que j'entraîne au plus haut niveau. Heureusement, Stale Solbakken prendra ma succession. C'est une excellente nouvelle. Nous avons beaucoup de choses en commun et je suis persuadé qu'il obtiendra de très bons résultats."
Tout le monde en Norvège espère qu'Olsen aura une fois de plus raison. En attendant, Solbakken sait qu'il aura fort à faire pour se montrer à la hauteur de son prédécesseur.
Fifa.com (23/03/2011)
Egil Olsen a longtemps été considéré comme un original dans le petit monde du football. Le studieux Norvégien, qui se vantait volontiers de connaître la hauteur exacte de tous les sommets du monde, a parfois souffert de son image de "savant fou."
Il suffit pourtant de se pencher sur les résultats de la sélection norvégienne pour comprendre qu'Olsen n'a rien d'un doux dingue. En effet, sa folie supposée répond à une logique implacable. À son arrivée aux commandes en octobre 1990, la Norvège n'est encore qu'une équipe de seconde zone, qui ne compte qu'une seule qualification pour la phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA à son actif en 1938. La formation scandinave a terminé avant-dernière de son groupe dans les préliminaires d'Italie 1990 et ne totalise que six victoires sur ses 48 derniers matches.
En l'espace de quatre ans, celui que l'on surnomme Drillo propulse la Norvège sur la plus grande scène du monde, en devançant notamment l'Angleterre, les Pays-Bas et la Pologne dans la course à la qualification pour États-Unis 1994. Cette période marque le début de l'âge d'or du football norvégien. Composée de joueurs pratiquement inconnus, cette équipe multiplie les exploits : deux fois deuxième du Classement mondial FIFA/Coca-Cola, elle remporte une victoire de prestige sur le Brésil pour atteindre les huitièmes de finale de France 1998.
Une coïncidence qui n'est pas une
La méthode Olsen s'appuie avant tout sur une défense solide et un jeu extrêmement direct. Les puristes n'apprécient guère mais force est de constater que le départ du technicien en 1998 coïncide avec l'irrésistible déclin de la sélection norvégienne. À son retour en janvier 2009, les Scandinaves sont résignés à manquer leur cinquième grand rendez-vous international consécutif et n'ont pas gagné un seul de leurs huit derniers matches. Depuis, l'effet Olsen est passé par là et le contraste est saisissant. L'expérimenté technicien a fête son retour aux affaires par une victoire concluante contre l'Allemagne. Depuis, les Norvégiens enchaînent les bons résultats.
Un récent succès 1:0 sur le Portugal leur a notamment permis de prendre la tête de leur groupe de qualification pour l'UEFA EURO 2012. La Norvège est par ailleurs la seule équipe, avec l'Espagne, les Pays-Bas, l'Allemagne et la Russie, à présenter un bilan impeccable à ce stade de la compétition préliminaire.
Un nouveau test l'attend dès samedi avec la venue du voisin danois, ce qui n'empêche pas Olsen de penser déjà au voyage en Pologne et en Ukraine, comme il le confie à FIFA.com. "Nous avons dépassé toutes nos attentes. Nous avons remporté deux matches difficiles à l'extérieur, en Islande et à Chypre, et nous avons battu le Portugal. Nous sommes idéalement placés. Si nous l'emportons samedi contre le Danemark, nous aurons fait un grand pas vers la qualification. Nous savons que ce sera compliqué car les deux équipes sont très similaires. Notre petit plus, c'est que nous encaissons très peu de buts. Quelle que soit l'issue, je m'attends à un match très serré."
Une réputation en jeu
Indépendamment du résultat de samedi, Olsen s'est imposé dans l'esprit des fans comme le plus grand technicien norvégien de tous les temps. Malgré la pression et le risque de ternir l'image de vainqueur dessinée tout au long des années 90, le sélectionneur n'a pas hésité à mettre sa réputation en jeu en se précipitant au chevet de l'équipe nationale.
On dit souvent qu'en football, il ne faut jamais revenir sur ses pas. De toute évidence, Olsen n'est pas homme à se fier aux dictons. "Les gens me demandent souvent si je n'ai pas eu peur de brouiller mon image. Honnêtement, ça ne m'a jamais traversé l'esprit. Dans ce sport, le passé ne compte pas. Et puis, j'avais très envie de revenir. Cela peut paraître étrange, bien entendu. J'ai 68 ans, je suis un vieil homme. Je ne m'attendais pas à reprendre ce poste. Mais quand les dirigeants m'ont contacté pour me demander un coup de main, je n'ai pas pu refuser. Jusqu'à présent, je n'ai eu aucune raison de regretter ma décision."
"J'ai la chance de disposer d'un groupe très talentueux. C'est pour cette raison que je ne change pratiquement rien d'un match à l'autre. L'ambiance dans les vestiaires est très conviviale, un peu à l'image de ce qu'on trouve dans certains clubs. Aujourd'hui, nous sommes en mesure de donner du fil à retordre à n'importe qui. Les Danois savent qu'ils vont devoir affronter une des meilleures équipes européennes à domicile."
Il n'y a pas si longtemps, cette description aurait prêté à sourire. Désormais, plus personne ne rit, tant les hommes d'Olsen ont su imposer le respect. La question se pose donc de savoir comment Drillo a pu renverser la situation de façon aussi radicale ? "J'ai procédé à quelques ajustements tactiques, surtout derrière. Nous sommes repassés à une défense en zone. En fait, je crois que nous sommes les plus efficaces dans ce système en Europe. Sur le plan offensif, je n'ai pas changé grand-chose. Le jeu est peut-être un peu plus direct qu'il y a deux ans. Notre stratégie n'est pas basée sur la possession de balle. Nous ne sommes pas du genre à faire tourner le ballon pendant des heures. Pour nous, l'objectif est de se projeter le plus vite possible vers l'avant, ce qui implique de nombreuses courses et beaucoup de travail. Ce style ne convient pas à tout le monde mais il est idéal pour nous."
Même recette avec de meilleurs ingrédients
L'évocation du marquage en zone et des longs ballons vers l'avant rappellera sans doute quelques souvenirs aux supporters norvégiens. Si Olsen est le premier à reconnaître que son système actuel s'inspire très largement de celui mis en place dans les années 1990, il précise cependant que l'évolution du football l'a forcé à repenser certains aspects. "Il ne suffit pas de reprendre les vieilles recettes pour obtenir des résultats, car le football a changé. Il est plus rapide aujourd'hui. Le niveau technique est meilleur. Mes joueurs sont bien meilleurs individuellement que ceux que j'avais sous mes ordres il y a vingt ans, ce qui me ravit."
Olsen a beau apprécier ce second mandat, sa sortie est d'ores et déjà programmée. Stale Solbakken, l'entraîneur du FC Copenhague, devrait lui succéder à l'issue du prochain EURO. Cette fois-ci, les adieux seront définitifs. "Je suis content de passer la main. Le poids des années commence à se faire sentir et je crois pouvoir dire que j'ai eu ma part du gâteau. Si ma santé me le permet, je prendrai peut-être un petit boulot mais c'est la dernière fois que j'entraîne au plus haut niveau. Heureusement, Stale Solbakken prendra ma succession. C'est une excellente nouvelle. Nous avons beaucoup de choses en commun et je suis persuadé qu'il obtiendra de très bons résultats."
Tout le monde en Norvège espère qu'Olsen aura une fois de plus raison. En attendant, Solbakken sait qu'il aura fort à faire pour se montrer à la hauteur de son prédécesseur.
Fifa.com (23/03/2011)
Re: International -News
Les Bleuets à l'heure espagnole
Avec l'Espagne et son style de jeu emblématique, l'équipe de France Espoirs affronte son premier adversaire d'envergure, jeudi à Reims en match amical (20h45), une occasion pour peaufiner son projet de jeu dans une période de transition avant les qualifications à l'Euro-2013 dès septembre.
Le sélectionneur Erick Mombaerts a fait appel à un groupe panaché, entre les "anciens" trop âgés pour la prochaine campagne qualificative (Sissoko, Mbengue, Martin...), et les natifs de 1990-1991 (Corchia, Rivière, Abdoul Camara...). Contre l'Espagne jeudi, ce seront les moins de 21 ans qui joueront, en République tchèque mardi, ce sera plus mélangé.
En septembre devrait débarquer chez les Bleuets la génération Kakuta, championne d'Europe des moins de 19 ans l'année dernière, et qui dispute deux matches amicaux cette semaine au Pérou en vue du Mondial des moins de 20 ans en Colombie en août. Ils avaient décroché le titre européen contre... l'Espagne (2-1).
"C'est un vrai test de jouer contre l'Espagne, relève Mombaerts. Quelle que soit la catégorie d'âge, il y a toujours une qualité de jeu et des individualités. Ils aiment avoir le ballon ? Nous aussi !"
Déformation
"On travaille d'arrache-pied pour avoir la possession du ballon, mais on a aussi des joueurs intelligents dans le jeu en mouvement et avec un niveau de puissance qui nous permettent d'avoir une identité de jeu, poursuit-il. C'est dû au métissage que l'Espagne n'a pas".
L'Espagne a son "toque", les Bleuets leur jeu en mouvement, que Mombaerts appelle "la déformation". "On utilise les rassemblements pour donner des repères, notamment pour un projet de jeu exigeant, explique-t-il. Les matches viennent donner une consistance aux rassemblements".
De l'exigence, il en faudra jeudi. L'arrière droit Sébastien Corchia, auparavant surclassé en Espoirs, en est désormais le capitaine, comme un trait d'union entre les générations. Comme ses coéquipiers, il "préfère jouer contre des équipes comme ça. Les Espagnols aiment monopoliser le ballon. On va faire notre jeu, on commence à bien se connaître, à avoir une bonne cohésion".
Côté espagnol ? Deux individualités se détachent du collectif, qui disposent cependant de peu de temps de jeu en club, le meneur de jeu Sergio Canales (Real Madrid) et le milieu polyvalent Fran Merida (Atletico Madrid). Seuls deux joueurs barcelonais figurent chez les Espoirs, les défenseurs Marc Bartra et Carles Planas, de l'équipe B du Barça.
Fifa.com (23/03/2011)
Avec l'Espagne et son style de jeu emblématique, l'équipe de France Espoirs affronte son premier adversaire d'envergure, jeudi à Reims en match amical (20h45), une occasion pour peaufiner son projet de jeu dans une période de transition avant les qualifications à l'Euro-2013 dès septembre.
Le sélectionneur Erick Mombaerts a fait appel à un groupe panaché, entre les "anciens" trop âgés pour la prochaine campagne qualificative (Sissoko, Mbengue, Martin...), et les natifs de 1990-1991 (Corchia, Rivière, Abdoul Camara...). Contre l'Espagne jeudi, ce seront les moins de 21 ans qui joueront, en République tchèque mardi, ce sera plus mélangé.
En septembre devrait débarquer chez les Bleuets la génération Kakuta, championne d'Europe des moins de 19 ans l'année dernière, et qui dispute deux matches amicaux cette semaine au Pérou en vue du Mondial des moins de 20 ans en Colombie en août. Ils avaient décroché le titre européen contre... l'Espagne (2-1).
"C'est un vrai test de jouer contre l'Espagne, relève Mombaerts. Quelle que soit la catégorie d'âge, il y a toujours une qualité de jeu et des individualités. Ils aiment avoir le ballon ? Nous aussi !"
Déformation
"On travaille d'arrache-pied pour avoir la possession du ballon, mais on a aussi des joueurs intelligents dans le jeu en mouvement et avec un niveau de puissance qui nous permettent d'avoir une identité de jeu, poursuit-il. C'est dû au métissage que l'Espagne n'a pas".
L'Espagne a son "toque", les Bleuets leur jeu en mouvement, que Mombaerts appelle "la déformation". "On utilise les rassemblements pour donner des repères, notamment pour un projet de jeu exigeant, explique-t-il. Les matches viennent donner une consistance aux rassemblements".
De l'exigence, il en faudra jeudi. L'arrière droit Sébastien Corchia, auparavant surclassé en Espoirs, en est désormais le capitaine, comme un trait d'union entre les générations. Comme ses coéquipiers, il "préfère jouer contre des équipes comme ça. Les Espagnols aiment monopoliser le ballon. On va faire notre jeu, on commence à bien se connaître, à avoir une bonne cohésion".
Côté espagnol ? Deux individualités se détachent du collectif, qui disposent cependant de peu de temps de jeu en club, le meneur de jeu Sergio Canales (Real Madrid) et le milieu polyvalent Fran Merida (Atletico Madrid). Seuls deux joueurs barcelonais figurent chez les Espoirs, les défenseurs Marc Bartra et Carles Planas, de l'équipe B du Barça.
Fifa.com (23/03/2011)
Re: International -News
Benitez rêve de retourner à Liverpool
L'Espagnol Rafael Benitez, qui a quitté la saison dernière Liverpool pour l'Inter Milan, a affirmé jeudi qu'il rêvait de retourner au club de la Mersey avec lequel il a remporté une Ligue des champions.
"Je suis vraiment fier d'avoir été manageur de Liverpool et j'aimerais y retourner dans l'avenir, a déclaré le technicien espagnol sur Sky Sports. On ne sait jamais ce que peut vous réserver l'avenir, d'autant que Kenny (Dalglish) fait du bon travail. Mais je serais vraiment heureux d'y retrouver. Ce serait alors un rêve" (devenu réalité).
Rafael Benitez a quitté les Reds à la fin de la saison dernière sans pouvoir les qualifier pour la Ligue des champions, un trophée qu'il avait remporté avec les Reds en 2005 après une finale à suspense devant l'AC Milan.
Le technicien, sans club depuis son renvoi de l'Inter en décembre, a également ajouté qu'il accepterait l'offre de n'importe quel club anglais en dehors de deux grands rivaux de Liverpool, Everton et Manchester United.
"Les fans de Liverpool connaissent les noms des clubs que je n'accepterais jamais de diriger. Mais je pense que ces clubs, que je ne citerai pas, ne feraient jamais appel à moi", a conclu Rafael Benitez.
Fifa.com (24/03/2011)
L'Espagnol Rafael Benitez, qui a quitté la saison dernière Liverpool pour l'Inter Milan, a affirmé jeudi qu'il rêvait de retourner au club de la Mersey avec lequel il a remporté une Ligue des champions.
"Je suis vraiment fier d'avoir été manageur de Liverpool et j'aimerais y retourner dans l'avenir, a déclaré le technicien espagnol sur Sky Sports. On ne sait jamais ce que peut vous réserver l'avenir, d'autant que Kenny (Dalglish) fait du bon travail. Mais je serais vraiment heureux d'y retrouver. Ce serait alors un rêve" (devenu réalité).
Rafael Benitez a quitté les Reds à la fin de la saison dernière sans pouvoir les qualifier pour la Ligue des champions, un trophée qu'il avait remporté avec les Reds en 2005 après une finale à suspense devant l'AC Milan.
Le technicien, sans club depuis son renvoi de l'Inter en décembre, a également ajouté qu'il accepterait l'offre de n'importe quel club anglais en dehors de deux grands rivaux de Liverpool, Everton et Manchester United.
"Les fans de Liverpool connaissent les noms des clubs que je n'accepterais jamais de diriger. Mais je pense que ces clubs, que je ne citerai pas, ne feraient jamais appel à moi", a conclu Rafael Benitez.
Fifa.com (24/03/2011)
Re: International -News
Claude Le Roy nommé sélectionneur
Le Français Claude Le Roy a été nommé sélectionneur de la Syrie, avec laquelle il s'est engagé jusqu'en juin 2013, a-t-il déclaré jeudi à l'AFP.
"C'est une formidable nouvelle expérience. J'ai toujours l'impression d'être au début de ma carrière", a déclaré à l'AFP le technicien français, âgé de 63 ans, qui se rendra sur place le 9 avril.
"L'objectif est d'aller le plus loin possible dans les qualifications pour le Mondial, de passer quelques tours", a-t-il dit.
La Syrie "a des attaquants de talent", a estimé Le Roy, qui était depuis 2008 sélectionneur d'Oman et qui a expliqué qu'il avait eu "d'autres pistes en Afrique et dans le Golfe".
Interrogé sur le contexte politique en Syrie, où des mouvements de protestations violemment réprimés ont déjà fait plus de 20 morts et plus de cent blessés ces derniers jours, Claude Le Roy a assuré qu'il n'était pas inquiet.
"C'est vrai qu'il y a un peu d'agitation mais j'ai pris mes renseignements", a-t-il dit.
Claude Le Roy a fait l'essentiel de sa carrière d'entraîneur en Afrique, où il a notamment été sélectionneur du Cameroun, du Sénégal et du Ghana.
Fifa.com (24/03/2011)
Le Français Claude Le Roy a été nommé sélectionneur de la Syrie, avec laquelle il s'est engagé jusqu'en juin 2013, a-t-il déclaré jeudi à l'AFP.
"C'est une formidable nouvelle expérience. J'ai toujours l'impression d'être au début de ma carrière", a déclaré à l'AFP le technicien français, âgé de 63 ans, qui se rendra sur place le 9 avril.
"L'objectif est d'aller le plus loin possible dans les qualifications pour le Mondial, de passer quelques tours", a-t-il dit.
La Syrie "a des attaquants de talent", a estimé Le Roy, qui était depuis 2008 sélectionneur d'Oman et qui a expliqué qu'il avait eu "d'autres pistes en Afrique et dans le Golfe".
Interrogé sur le contexte politique en Syrie, où des mouvements de protestations violemment réprimés ont déjà fait plus de 20 morts et plus de cent blessés ces derniers jours, Claude Le Roy a assuré qu'il n'était pas inquiet.
"C'est vrai qu'il y a un peu d'agitation mais j'ai pris mes renseignements", a-t-il dit.
Claude Le Roy a fait l'essentiel de sa carrière d'entraîneur en Afrique, où il a notamment été sélectionneur du Cameroun, du Sénégal et du Ghana.
Fifa.com (24/03/2011)
Re: International -News
Portugal-Chili : Match nul et amical
Le Portugal a été tenu en échec par le Chili (1-1) samedi soir à Leiria (centre), lors d'un match amical sans éclat marqué par l'absence du capitaine portugais Cristiano Ronaldo et les débuts de l'Argentin Claudio Borghi aux commandes de "La Roja".
L'affiche était prometteuse, mais les deux 8e de finalistes du Mondial-2010 se sont neutralisés au cours d'une rencontre jouée sur un rythme lent, avec très peu d'occasions de but.
Varela a ouvert le score pour le Portugal sur corner (16e). Laissé seul au deuxième poteau après une mauvaise déviation de Contreras, l'ailier du FC Porto a facilement marqué de la tête.
Le Chili a bien réagi, mais Beausejour ne profitait pas d'un rebond favorable à l'entrée de la petite surface (38e). Son étoile montante Alexis Sanchez, souvent décalé à droite, disputait un beau duel avec l'arrière gauche Fabio Coentrao, mais son jeu de passes manquait de précision.
"La Roja", qui jouait cette fois en blanc, a finalement égalisé grâce à son meneur de jeu Matias Fernandez (41e) qui, sur un coup franc à 25 mètres, a battu d'une lourde frappe le gardien Rui Patricio, son coéquipier au Sporting Portugal.
En seconde période, seul Nani parvenait avec ses slaloms à arracher les applaudissements d'un public clairsemé mais il se heurtait à Bravo (54e) ou ne cadrait pas sa frappe (65e).
L'ailier du Manchester United n'a donc pas fait oublier l'absence de Cristiano Ronaldo, attaquant vedette du Real Madrid qui se remet toujours d'une blessure.
Mardi, face à la Finlande, le Portugal continuera de préparer la suite de sa campagne de qualification pour l'Euro-2012. Il est deuxième du groupe H à 3 points de la Norvège.
Fifa.com (27/03/2011)
Le Portugal a été tenu en échec par le Chili (1-1) samedi soir à Leiria (centre), lors d'un match amical sans éclat marqué par l'absence du capitaine portugais Cristiano Ronaldo et les débuts de l'Argentin Claudio Borghi aux commandes de "La Roja".
L'affiche était prometteuse, mais les deux 8e de finalistes du Mondial-2010 se sont neutralisés au cours d'une rencontre jouée sur un rythme lent, avec très peu d'occasions de but.
Varela a ouvert le score pour le Portugal sur corner (16e). Laissé seul au deuxième poteau après une mauvaise déviation de Contreras, l'ailier du FC Porto a facilement marqué de la tête.
Le Chili a bien réagi, mais Beausejour ne profitait pas d'un rebond favorable à l'entrée de la petite surface (38e). Son étoile montante Alexis Sanchez, souvent décalé à droite, disputait un beau duel avec l'arrière gauche Fabio Coentrao, mais son jeu de passes manquait de précision.
"La Roja", qui jouait cette fois en blanc, a finalement égalisé grâce à son meneur de jeu Matias Fernandez (41e) qui, sur un coup franc à 25 mètres, a battu d'une lourde frappe le gardien Rui Patricio, son coéquipier au Sporting Portugal.
En seconde période, seul Nani parvenait avec ses slaloms à arracher les applaudissements d'un public clairsemé mais il se heurtait à Bravo (54e) ou ne cadrait pas sa frappe (65e).
L'ailier du Manchester United n'a donc pas fait oublier l'absence de Cristiano Ronaldo, attaquant vedette du Real Madrid qui se remet toujours d'une blessure.
Mardi, face à la Finlande, le Portugal continuera de préparer la suite de sa campagne de qualification pour l'Euro-2012. Il est deuxième du groupe H à 3 points de la Norvège.
Fifa.com (27/03/2011)
Re: International -News
Allemagne-Australie : Forfaits annoncés
L'Allemagne sera privée de Mesut Özil, Sami Khedira et Philipp Lahm pour le match amical contre l'Australie, elle-même confrontée au forfait de Tim Cahill, mardi à Mönchengladbach.
Comme convenu avec leur club, le Real Madrid, Özil et Khedira, titulaires lors de la victoire contre le Kazakhstan (4-0) en qualifications pour l'Euro-2012 samedi, ont été libérés par leur sélectionneur Joachim Löw dès dimanche.
Lahm, capitaine en l'absence de Michael Ballack, a lui aussi quitté ses coéquipiers pour bénéficier d'une période de repos alors qu'il n'a manqué aucun des 102 derniers matches du Bayern Munich.
Joachim Löw a prévu de titulariser contre les Australiens plusieurs joueurs d'avenir comme Andre Schürrle, Mats Hummels et Marcel Schmelzer.
De son côté, Holger Osieck, le sélectionneur allemand de l'Australie, finaliste de la Coupe d'Asie 2011 des nations, doit composer avec l'absence de Cahill (23 buts en 52 sélections).
Le milieu offensif d'Everton est blessé à un pied.
Les deux équipes s'étaient affrontées lors de la 1re phase du Mondial-2010 en Afrique du Sud. L'Allemagne s'était imposée 4 à 0.
Fifa.com (27/03/2011)
L'Allemagne sera privée de Mesut Özil, Sami Khedira et Philipp Lahm pour le match amical contre l'Australie, elle-même confrontée au forfait de Tim Cahill, mardi à Mönchengladbach.
Comme convenu avec leur club, le Real Madrid, Özil et Khedira, titulaires lors de la victoire contre le Kazakhstan (4-0) en qualifications pour l'Euro-2012 samedi, ont été libérés par leur sélectionneur Joachim Löw dès dimanche.
Lahm, capitaine en l'absence de Michael Ballack, a lui aussi quitté ses coéquipiers pour bénéficier d'une période de repos alors qu'il n'a manqué aucun des 102 derniers matches du Bayern Munich.
Joachim Löw a prévu de titulariser contre les Australiens plusieurs joueurs d'avenir comme Andre Schürrle, Mats Hummels et Marcel Schmelzer.
De son côté, Holger Osieck, le sélectionneur allemand de l'Australie, finaliste de la Coupe d'Asie 2011 des nations, doit composer avec l'absence de Cahill (23 buts en 52 sélections).
Le milieu offensif d'Everton est blessé à un pied.
Les deux équipes s'étaient affrontées lors de la 1re phase du Mondial-2010 en Afrique du Sud. L'Allemagne s'était imposée 4 à 0.
Fifa.com (27/03/2011)
Re: International -News
Ribéry s'attend à des sifflets
Franck Ribéry pense qu'il "y aura des sifflets" pour ses retrouvailles avec le public français, mardi au Stade de France contre la Croatie en amical, dans un entretien accordé dimanche à Téléfoot sur TF1.
"Ecoutez, ça va être quelque chose de vraiment particulier mardi contre la Croatie, avec 80.000 spectateurs, on verra comment ça va se passer, je pense qu'il y aura des sifflets, mais il faudra accepter ce moment, le passer, continuer à avancer", a expliqué le milieu offensif du Bayern Munich, un des joueurs symboles du fiasco des Bleus au Mondial-2010.
Le défenseur de Manchester United Patrice Evra, autre figure des mutins de Knysna, également de retour en équipe de France, s'attend lui aussi à des sifflets: "Mais les premiers qui sifflent sont les premiers qui vont me demander un maillot à la fin, alors je prends ça comme un jeu".
Lundi, Ribéry avait indiqué qu'il souhaitait avoir une entrevue avec Yoann Gourcuff et qu'il n'avait pas apprécié de passer pour "le méchant" tandis que le Lyonnais passait pour "le malheureux" durant la Coupe du monde. "J'aurais aimé qu'il fasse un démenti", avait ajouté Ribéry.
"J'ai bien discuté avec Yoann"
Dimanche, dans Téléfoot, Ribéry a déclaré à ce sujet: "J'ai surtout bien discuté avec Yoann, tranquillement, ça s'est super bien passé".
"Je lui ai posé simplement cette question (pourquoi ne pas avoir démenti, ndlr), maintenant, apparemment, il l'avait fait, mais comme je suis à l'étranger, je n'ai pas trop suivi, voila c'est terminé, a-t-il ajouté. A aucun moment, il n'y a eu un gros souci avec Yoann Gourcuff, au contraire il n'y a pas problème avec lui, je préfère gagner des choses avec lui en équipe de France que de rien gagner".
Interrogé sur son positionnement à gauche, qu'il affectionne plus que sa position à droite au début du match contre le Luxembourg, Ribéry a parlé de "choses qu'on peut discuter". "Mais avant tout, c'est le collectif, c'est l'équipe, c'est pas un joueur ou deux... Certes, c'est sûr, que je suis différent quand je joue à gauche, mais le coach décide et il faut respecter".
Questionné sur l'ambiance chez les Bleus, Ribéry a assuré: "Elle est bien meilleure, on se prend moins la tête, on se pose moins de questions, on ne pense qu'au foot, à prendre du plaisir".
Fifa.com (27/03/2011)
Franck Ribéry pense qu'il "y aura des sifflets" pour ses retrouvailles avec le public français, mardi au Stade de France contre la Croatie en amical, dans un entretien accordé dimanche à Téléfoot sur TF1.
"Ecoutez, ça va être quelque chose de vraiment particulier mardi contre la Croatie, avec 80.000 spectateurs, on verra comment ça va se passer, je pense qu'il y aura des sifflets, mais il faudra accepter ce moment, le passer, continuer à avancer", a expliqué le milieu offensif du Bayern Munich, un des joueurs symboles du fiasco des Bleus au Mondial-2010.
Le défenseur de Manchester United Patrice Evra, autre figure des mutins de Knysna, également de retour en équipe de France, s'attend lui aussi à des sifflets: "Mais les premiers qui sifflent sont les premiers qui vont me demander un maillot à la fin, alors je prends ça comme un jeu".
Lundi, Ribéry avait indiqué qu'il souhaitait avoir une entrevue avec Yoann Gourcuff et qu'il n'avait pas apprécié de passer pour "le méchant" tandis que le Lyonnais passait pour "le malheureux" durant la Coupe du monde. "J'aurais aimé qu'il fasse un démenti", avait ajouté Ribéry.
"J'ai bien discuté avec Yoann"
Dimanche, dans Téléfoot, Ribéry a déclaré à ce sujet: "J'ai surtout bien discuté avec Yoann, tranquillement, ça s'est super bien passé".
"Je lui ai posé simplement cette question (pourquoi ne pas avoir démenti, ndlr), maintenant, apparemment, il l'avait fait, mais comme je suis à l'étranger, je n'ai pas trop suivi, voila c'est terminé, a-t-il ajouté. A aucun moment, il n'y a eu un gros souci avec Yoann Gourcuff, au contraire il n'y a pas problème avec lui, je préfère gagner des choses avec lui en équipe de France que de rien gagner".
Interrogé sur son positionnement à gauche, qu'il affectionne plus que sa position à droite au début du match contre le Luxembourg, Ribéry a parlé de "choses qu'on peut discuter". "Mais avant tout, c'est le collectif, c'est l'équipe, c'est pas un joueur ou deux... Certes, c'est sûr, que je suis différent quand je joue à gauche, mais le coach décide et il faut respecter".
Questionné sur l'ambiance chez les Bleus, Ribéry a assuré: "Elle est bien meilleure, on se prend moins la tête, on se pose moins de questions, on ne pense qu'au foot, à prendre du plaisir".
Fifa.com (27/03/2011)
Re: International -News
Klose veut battre le record de Gerd Müller
Miroslav Klose, auteur de ses 60e et 61e buts sous le maillot allemand contre le Kazakhstan (4-0) samedi, s'est fixé comme objectif de battre le record de Gerd Müller, meilleur buteur de l'histoire de la Nationalmannschaft avec 68 réalisations.
"Maintenant que je suis si proche, je veux naturellement le dépasser", a expliqué Klose qui a disputé contre le Kazakhstan son 107e match en équipe d'Allemagne, quasiment dix ans jour pour jour après sa première sélection.
"J'en ai déjà parlé avec Gerd et il ne sera pas en colère si je le dépossède de son record. Il m'a assuré qu'il serait même heureux pour moi. De toutes façons, il est et restera le "Bombardier", personne ne pourra jamais le détrôner", a souligné Klose.
Gerd Müller, surnommé le "Bombardier", a en effet inscrit ses 68 buts en 62 sélections entre 1967 et 1974.
Klose reste sur une série de six matches internationaux consécutifs où il a marqué au moins une fois, ce qu'aucun autre joueur allemand n'avait plus réussi depuis 30 ans.
S'il est aligné contre l'Australie mardi en match amical, l'attaquant du Bayern Munich, relégué sur le banc des remplaçants en Bundesliga, rejoindra par ailleurs Jürgen Klinsmann à la 2e place du classement des joueurs les plus utilisés en sélection allemande (108).
"Miro" ne se croit toutefois pas capable de battre le record de Lothar Matthäus: "Je vais avoir 33 ans cet été, j'espère que mes jambes vont me permettre de disputer encore quelques matches, mais battre les 150 sélections, cela me paraît illusoire", a-t-il reconnu.
Fifa.com (27/03/2011)
Miroslav Klose, auteur de ses 60e et 61e buts sous le maillot allemand contre le Kazakhstan (4-0) samedi, s'est fixé comme objectif de battre le record de Gerd Müller, meilleur buteur de l'histoire de la Nationalmannschaft avec 68 réalisations.
"Maintenant que je suis si proche, je veux naturellement le dépasser", a expliqué Klose qui a disputé contre le Kazakhstan son 107e match en équipe d'Allemagne, quasiment dix ans jour pour jour après sa première sélection.
"J'en ai déjà parlé avec Gerd et il ne sera pas en colère si je le dépossède de son record. Il m'a assuré qu'il serait même heureux pour moi. De toutes façons, il est et restera le "Bombardier", personne ne pourra jamais le détrôner", a souligné Klose.
Gerd Müller, surnommé le "Bombardier", a en effet inscrit ses 68 buts en 62 sélections entre 1967 et 1974.
Klose reste sur une série de six matches internationaux consécutifs où il a marqué au moins une fois, ce qu'aucun autre joueur allemand n'avait plus réussi depuis 30 ans.
S'il est aligné contre l'Australie mardi en match amical, l'attaquant du Bayern Munich, relégué sur le banc des remplaçants en Bundesliga, rejoindra par ailleurs Jürgen Klinsmann à la 2e place du classement des joueurs les plus utilisés en sélection allemande (108).
"Miro" ne se croit toutefois pas capable de battre le record de Lothar Matthäus: "Je vais avoir 33 ans cet été, j'espère que mes jambes vont me permettre de disputer encore quelques matches, mais battre les 150 sélections, cela me paraît illusoire", a-t-il reconnu.
Fifa.com (27/03/2011)
Re: International -News
Omeyer au Stade de France aves les Bleus
L'équipe de France a effectué dimanche un entraînement sur la pelouse du Stade de France, à deux jours du match amical contre la Croatie, où avait été conviés Thierry Omeyer, le gardien de l'équipe de France de handball, et 41 jeunes de 8 à 12 ans sélectionnés sur concours.
La séance, qui a duré environ une heure, a été très légère pour les Bleus, qui se sont contentés d'un tennis-ballon avant d'effectuer un footing et de poser pour une photo de famille avec les enfants.
Thierry Omeyer a de son côté assisté à l'entraînement des gardiens Hugo Lloris et Cédric Carrasso, supervisé par Franck Raviot, alors que Steve Mandanda est resté avec les joueurs de champ. Le handballeur a beaucoup échangé avec les deux portiers bleus, ainsi qu'avec Fabien Barthez, et s'est même placé dans les buts l'espace de quelques minutes.
"Dans les buts, je n'ai pas grand chose à leur apprendre, a déclaré le triple champion du monde. On a échangé sur nos postes respectifs. Il y a quand même des similitudes notamment dans l'approche du poste, pas forcément dans les techniques de parade. Les buts sont trop grands pour moi et je n'ai pas trop l'habitude de faire des plongeons. J'ai jeté un oeil attentif à ce que faisaient Hugo et Cédric et c'est assez impressionnant."
"C'est super sympa que Thierry ait accepté notre invitation, a réagi Barthez, toujours en béquilles après s'être blessé à une cheville il y a un mois en chutant dans sa salle de bains. On a la chance d'avoir le plus grand gardien de la décennie en handball. Au niveau des valeurs, c'est important de partager ça, parce qu'on peut se retrouver, même si le domaine technique n'a strictement rien à voir. Cela va servir aux deux gamins (Lloris et Carrasso, ndlr)."
Fifa.com (27/03/2011)
L'équipe de France a effectué dimanche un entraînement sur la pelouse du Stade de France, à deux jours du match amical contre la Croatie, où avait été conviés Thierry Omeyer, le gardien de l'équipe de France de handball, et 41 jeunes de 8 à 12 ans sélectionnés sur concours.
La séance, qui a duré environ une heure, a été très légère pour les Bleus, qui se sont contentés d'un tennis-ballon avant d'effectuer un footing et de poser pour une photo de famille avec les enfants.
Thierry Omeyer a de son côté assisté à l'entraînement des gardiens Hugo Lloris et Cédric Carrasso, supervisé par Franck Raviot, alors que Steve Mandanda est resté avec les joueurs de champ. Le handballeur a beaucoup échangé avec les deux portiers bleus, ainsi qu'avec Fabien Barthez, et s'est même placé dans les buts l'espace de quelques minutes.
"Dans les buts, je n'ai pas grand chose à leur apprendre, a déclaré le triple champion du monde. On a échangé sur nos postes respectifs. Il y a quand même des similitudes notamment dans l'approche du poste, pas forcément dans les techniques de parade. Les buts sont trop grands pour moi et je n'ai pas trop l'habitude de faire des plongeons. J'ai jeté un oeil attentif à ce que faisaient Hugo et Cédric et c'est assez impressionnant."
"C'est super sympa que Thierry ait accepté notre invitation, a réagi Barthez, toujours en béquilles après s'être blessé à une cheville il y a un mois en chutant dans sa salle de bains. On a la chance d'avoir le plus grand gardien de la décennie en handball. Au niveau des valeurs, c'est important de partager ça, parce qu'on peut se retrouver, même si le domaine technique n'a strictement rien à voir. Cela va servir aux deux gamins (Lloris et Carrasso, ndlr)."
Fifa.com (27/03/2011)
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